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Sonrisa o Smile?

Epsillon avait vraiment la pêche après cet évènement, un ami de la famille qu'elle avait rencontré dans un bar lui avait gentillement demandé de livrer un paquet à un certain cousin à lui vivant sur cette île. Elle n'aurait sans doute rien accepté si "gentillement" ne valait pas "argent" et vue le prix de la commission, elle ne pouvait qu' acquiser peu importe la destination! 
S' étant assuré que celui-ci paierait le service, notre belle philosophe parti avant même d'avoir plus de précision sur le paquet. Ni nature, ni nom, ni adresse... Nada! L'homme n'avait même pas encore fini de parler, qu'elle s'était déjà emparé du colis avant de prendre la porte.

Dehors, le temps commençait à se gâter, il fallait donc s'empresser de partir avant que n'arrivent les intempéries fort proche. Ajustant son manteau blanc avec précaution par respect pour son chat, inlassablement endormi sur ses épaules, elle se lança dans une course contre le temps en direction du port où se trouvait un navire luxueux qu'elle savait à disposition des C.Guevara depuis peu.
 Embarquant sur le bateau sans hésitation, elle trouva à l'avant deux employés qui pliaient les voiles de celui-ci.

- Hé!  Qu'est - ce que vous faites là? Personne n'a le droit d'embarquer pendant trois jours pour cause de mauvais temps. Descendez !

Epsillon prit sa fameuse pose jambes écartés, tête légèrement relevée et main gauche dans sa poche. A la droite le paquet. Elle dévisageait le matelot avec arrogance: grand,  musclé, tête de chien enragé et cheveux bruns, vêtue d'un simple short bleu , * hum, celui-la m'a l'air peu commode avec une tête pareille,peu importe."

- Le temps tu dis? El tiempo es dineros, alors dis à ton capitaine qu'on embarque tout de suite hombre!

-Rolah minette, je ne sais pas qui t'es mais je ne te laisserai pas me parler comme ça. Je travaille pour le Señor C.Guevara, moi, tout comme le cap waish ! Alors descends de ce bateau avant que je ne puisse défigurer ta belle tronche d'insolente. Allons p'tit gars on va la foutre au sol."

Amusée, elle décrocha un sourire, celui annonciateur d'une éventuelle distraction :

- Attends mec, je crois que tu ne sais pas à qui tu t'adresse...

- Ne me dis pas que tu te fais intimider par cette gonzesse waish ?! Je vais la faire descendre, va!

-Écoute je ne crois pas que ce soit une bonne idée, car vois-tu...


Ne laissant pas son partenaire finir, l'enragé se dirigeait d'un pas décidé vers la jeune femme.

- Je vais m'en débarrasser de cette p'tite conne waish, et par la peau du cul!

Ce disant, celui-ci s'apprêtait à lancer une droite quand Epsillon l'interrompit dans son élan en interceptant son poignet puis le tira en sa direction de façon à ce que le moussaillon puisse tomber par devant, et avant même que l'ignorant touche le sol, la jeune femme lui avait déjà shooté violemment la tête, projetant la pauvre victime de la limite opposé du navire.
D'un geste rapide elle sortit de sa poche un pistolet automatique et tira tout juste entre les jambes de l'autre employé paralysé.

- Allez amigo, je veux voir le capitaine! 

Sous ces mots, le pauvre perdit connaissance. Peu de secondes passa avant qu'un homme blême tout aussi grand que l'enragé,  mais mince comme notre bonne femme en sortit :

-Nom d'un chien, c'est quoi ce raffut?! Hé, mais c'est notre jeune Epsillon, que fais-tu avec un flingue pointé vers mon matelos? Tu veux que je t'emmène en quelque part?

-En efecto, Pablo. Disculpeme, mais le grand clébard qui te sert d'employé ne m'as pas vraiment laissé le choix.

-Tu sais qu'une tempête arrive? Où veux-tu aller au juste?

 L'avocate rangea son arme, puis s'avança d'un pas élégant, elle donna le colis à celui qui semblait être le commandant du navire qui l'analysait.  

- Je ne sais pas et je ne veux pas savoir. Je ne suis pas sûre amigo, mais je crois qu'il y a une adresse dessus. Emmène-moi dès maintenant et je te paie le double du salaire que padre te verse. 

Pablo Abiks ne réfléchi nullement à cette proposition, car l'offre était alléchante même si un danger pouvait les attendre avec ce risque naturel en approche. * Et puis zut, ce sont des berrys quoi... Je ferais tout pour ça  Après avoir accompagné sa cliente dans ses appartements, le capitaine démarrait le navire, tout en pensant à ses précieux berrys tout comme Epsillon.


Dernière édition par Epsillon C.Guevara le Ven 24 Jan 2014 - 0:14, édité 1 fois

    Un jour plus tard, après le départ d’Epsillon.

    Sur une ile plus loin, juste un peu plus loin, plus précisément au Quartier Général de South Blue, un mousse aux dents blanches attendait bien cacher dans l’ombre d’un bâtiment. Bâtiment avec vue sur le port en plus, car aujourd’hui c’était un jour spécial, sa cargaison illégale arrivait par navire, il avait fait affaire avec les meilleurs selon les dires du créateur. La famille C.Guevara. Bref, il avait commandé cette substance illégale et était désormais dans la ruelle indiqué avec le livreur pour récupérer sa marchandise, l’impatience le tuait à petit feu, mais l’arrivé d’un navire le calma aussitôt. Un équipage des plus commun et une tonne de barils, sur le coup Smile ne comprit pas tout de suite, mais il se dit que la compagnie devait avoir embauché des As du déguisement et il partit donc à la rencontre des ouvriers.

    - Psssst, psst c’est vous les livreurs ?
    - Livreur de poisson, oui, vous voulez une belle morue mon bon monsieur ?

    Ce devait être un nom de code pensât le mousse, après tout ce liquide expérimental n’avait pas été approuvé par l’association des artisans se qui impliquait qu’ici, au QG, il aurait certainement des problèmes s’il se fessait prendre la main dans le sac. Jouant donc les gros joueurs, Smile se rapprochât encore de l’homme, jusqu’à se que la situation devienne malaisante, sa bouche effleurait presque l’oreille du pauvre pêcheur et son souffle effleurait désormais sa nuque.

    - Vous avez une belle morue en surplus, j’imaaagine ?

    Insulté, voire enragé face à la déclaration bien évidente de ce blondinet, l’homme s’écarta en remontant ses manches.

    - T’as un problème blanc bec, je ne joue pas dans cette cour-là moi ! Ramène tes fesses si tu veux gouter à quelque chose de savoureux ! Dit-il en le menaçant du doigt.

    Ne voyant toujours pas qu’il passait pour un Okama de premier choix, le mousse se rapprochât tout en chuchotant d’une voix suave et douce qu’il prendrait LA morue spéciale pour emporter. Bien évidemment le marin qui lui ignorait les réelles intentions du blondinet lui envoya son poing dans la gueule et lui balança une morue. Le poisson mort atterrit sur sa tête et un rire bien gras de tous les spectateurs s’éleva alors que le petit Smile prenait le poisson pour retourner sur le quai. Décidément, se livreur avait de bien mauvaise manière, mais qu’importe ! Il avait son colis ! C’est en enfonçant sa main libre dans les entrailles du petit animal qu’il comprit son erreur, il s’était trompé, la cargaison secrète n’était pas dissimulée dans le poisson… Foutu C.Guevara… pas foutu d’arriver en premier…

    - humm si s’n’était pas dans le poisson, ou est mon colis secret ? dit Smile à sa propre intention.
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    Bourrée! 
    Elle était totalement bourrée, quand le navire acostait enfin à destination. Le voyage parut plus long et donc désagréable pour les passagers puisque la tempête avait fait pas mal de ravages concernant le bateau; ils étaient tous fatigués, que ce soit capitaine , comme employés. Tous jurèrent de ne jamais recommencer cette expérience,  tous sauf une personne: Epsillon!  Elle avait passé ces dernières heures à se soûler sans cesse, même quand les vagues menaçaient de retourner le navire, la jeune femme aux cheveux blancs buvait comme un trou, si bien que lorsqu'ils furent sorti d'affaire elle ne cessait de gueuler " cuando l'autre tour de manège? ... Et si je sors qu'est ce qui se passseeeeuh?!!".

    Le bateau stabilisé près du quai, Epsillon encore ivre et prise de bouffées de chaleur, ôta son manteau blanc, laissant tomber Naimon de façon grossière; une bouteille d'eau de vie à la main, l'ivrogne se précipitait de façon plus ou moins désordonné vers le quai, sur lequel elle avait vue un homme aux longs cheveux blonds, elle prit une grande respiration puis cria en secouant son manteau comme un drapeau:

    "Wouhouh , et toiii blondinette... Yaaa livraisooon , Hips! Donnez les berrys, donnez les berr...hips!!?" 
     
    Il avait sûrement entendu car il regardait en la direction de l'ivrogne le sourire plein les lèvres ; son erreur fut peut être de poser ses yeux en sa direction, puisque la soularde se dirigeait maintenant vers lui d'un pas désordonné. 
    Les employés amusés se gardaient bien de courir l'aider,  jusqu'à ce qu'elle s'écroule au sol, toutes ses armes en étaient sortis de leurs poches: deux couteaux, deux pistolets,  des explosifs et même des fusils ; elle murmurait un ramassis de conneries dans lesquels "Berrys" et "dineros" revenaient souvent.

    -Capitaine, qu'est-ce qu'on fait? Je ne veux plus qu'elle m'approche waish, et encore moins l'approcher. 

    -Il faut essayer de la relever, faites attention à ses affaires surtout. Ces armes peuvent s'avérer dangereuses même quand personne ne les utilise, la priorité est de trouver un toit, on a besoin de se reposer et elle de se désouler.

    - Et le colis?

    -Je ne sais pas où il se trouve, nous reviendrons et... 


    -Regardez capitaine, quelqu'un approche... Il n'a pas l'air net ce type, il se ramène avec toute sa dentition en exposition. 


    - Occupe-toi de lui, personne ne doit se mettre à travers de nos berrys et de nos berrys, vue ?


    Sur ces mots, le sbire sorti discrètement une dague de la ceinture qui tenait son short et avançait d'un air enjoué vers l'homme aux cheveux d'or dont le sourire se faisait aussi effrayant qu'un clown aux yeux de la brute.
      La femme évidemment n’était pas dans son état normal, la pauvre semblait prise de vertige et de petite tentation pour les haut-le-cœur, il était clair qu’elle ne supportait pas l’alcool ou bien les bateaux, mais si on se fiait à l’odeur répugnante qui émanait d’elle il n’y avait pas l’ombre d’un doute qu’un liquide était la cause de tout ce cirque. Malheureusement c’était bien elle qui devait livrer le colis mystérieux de Smile et les armes qu’elle laissait trainer ici et la en étaient la preuve, une dure à cuir, probablement entrainer pour défendre les cargaisons au péril de sa vie. Par contre elle n’était plus en mesure de se battre, pas pour le moment, mais son homme de main lui en avait l’envie. Prendre une arme au sol aurait peut-être été moins voyant vue le regard et l‘air désordonner des deux hommes, mais Smile bien qu’idiot en apparence avait garder ses sens en action, la dernière chose qu’il voulait s’était de se faire prendre la main dans le sac.

      - Si j’étais vous, je rangerais le cure-dent dans votre ceinture, je ne vous veux pas de mal vous savez…

      L’homme sembla surpris, mais comme l’ombre qu’il était il jeta un coup d’œil au cerveau et se fit remettre à sa place d’un simple regard. L’affrontement était donc inévitable. Il grogna même à l’idée de devoir se salir les mains, mais avec la substance interdite qu’il y avait en jeu, Smile n’avait vraiment aucun choix.

      - Tes pas moi d’abord !

      Cria le monsieur muscle, mais son erreur n’était pas dans son intention, son erreur était d’avoir rencontré Smile dans cette situation. Le mousse poussé par l’envie d’obtenir se qu’il désirait s’approchât en un éclair de la jeune femme à forte poitrine et s’empara du pistolet qu’il avait apporté au cas ou. Il fit mine de prendre la femme pour otage, mais il lui chuchota bien vite a l’oreille qu’il ne fessait que bluffer, celle si ronronna comme une femme du sud et son petit accent exotique étaient surement charmants pour un homme que cela pourrait toucher. À la vue de la prise d’otage, le cerveau stoppa son homme de main et fit signe u blondinet qu’il n’avancerait pas plus loin, pour l’instant.

      - Vous êtes dans un Quartier général sombre idiot, vous devriez retourner d’où vous venez immédiatement.

      Smile n’était pas sur d’avoir été assez convainquant, mais en fouillant les poches de la demoiselle il trouva se qu’il avait tant espéré, un sachet gros comme une orange avec à l’intérieur une petite fiole.

      - On peut au moins savoir s’que contient la fiole.

      - Oui, un dentifrice super puissant pour les dents blanches, mais il n’est pas encore légal sur l’ile.

      Le visage des deux hommes se tordit de honte, tout ceci pour du simple dentifrice ?
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      Dans l'immédiat, il est bien sûr qu'Epsillon ne comprenait pas grand chose de la situation; quoi de plus évident quand quelqu'un -certes ivre- se met à rêver éveillé, de masses d'argents en mouvement dotés de paroles dont elle ne comprenait pas un iota? Mais certaines choses troublaient son idylle,une masse de pièces la saisissait et murmurait quelque chose comme "Bluffer" ... Incorrect, inconcevable !!
      Car primero: c'est elle qui saisit les Berrys et jamais l'inverse, secundo: Berrys plus "bluff" ne font pas bon ménage. Le plus troublant fut encore le tercio : le mot "dentifrice", elle commençait peu à peu à reprendre de la lucidité en analysant le "sac à Berrys" qui la tenait. Pourquoi celui-ci avait un aussi grand et magnifique sourire ?

      Petit à petit notre ivrogne s'efforçait de reprendre ses esprits, sa vue commençait à devenir un peu plus nette, assez pour comprendre que ces fameux "sacs d'argents" n'étaient autres que des personnes normalement constituées, ainsi que "Sa personne" éteint dans l'étreinte d'un inconnu. Il ne s'agissait en aucun cas de l'étreinte dont toutes les femmes rêvent, mais de celle-d'une éventuelle prise d'otage.

      Ses neurones se remettaient suffisamment en place pour se rappeler qu'elle avait une mission, celle de retrouver de l'argent au bout d'un voyage ; mettant en pratique ses entraînements longuement travaillés, Epsillon eut le courage de se rappeler de faits révulsant afin de pouvoir rendre tout ce qu'elle n'avait pas encore digéré, en l’occurrence l'alcool !
      L'homme aux cheveux d'or qui jusque là la tenait, la lâcha aussitôt, dégoûté par ce que la jeune femme venait de faire, il se précipita vers l'eau afin de nettoyer son bras souillé, tandis qu'elle commandait aux deux demeurés à la tête d'ahuris d'allé chercher de quoi la nettoyer.

      -Raaah, es la ultima vez !!

      Encore secouée et transpirant à grosse goutte, elle tomba à genou et se détaillait: plus de manteau donc plus d'armes. De toute façon elle ne pouvait correctement se mouvoir, cela lui servirait à rien et puis, elle remarquait l'absence de quelque chose d'important: son colis!
      Puisque celle-ci était tenue par l'individu, qui maintenant se rapprochait d'un air révolté, cela signifiait donc qu'il s'en était emparé, * La violence ne m'aidera pas, je suis grossièrement en désavantage. Wahouh, il a l'air remonté malgré le fait que son sourire ne semble pas s'effacer et si ... *

      -Êtes-vous le client, amigo ? Je vous annonce que vous devrez payer le double du prix pour nous avoir fait déplacer en jour de mauvais temps, annonçait-elle avec un sourire béat. Êtes-vous satisfait de votre colis ? J'ai cru comprendre qu'il s'agissait de dentifrice... Savez-vous que pour ce genre de produit, - elle fit une pause afin de prendre une grande respiration, puis fixait le regard doré de la silhouette, maintenant en face de "Sa personne" avant de jeter - le prix triple?

        La jeune femme était là, sans l’ombre d’un doute drogué pour ainsi halluciner des bêtises, puis soule pour rajouter une cerise sur le gâteau, mais au moins elle commençait à cuver ses mauvaises manières et à régurgiter le peut d’estime qui lui restait. Du haut de ses grands airs, elle fit mine d’être en état de comprendre la situation, reconnue que Smile était le client et exigeait maintenant le prix pour son colis… Smile n’avait jamais compris qu’il y avait un prix pour ses choses-là, il avait simplement lu dans l’article de journal qu’il s’occupait de tout, trajet et compagnie, livraison assurée ! C’était donc son erreur de penser qu’il récupérerait cet incroyable dentifrice gratuitement. Mais Smile n’était pas dupe, il ne payerait pas pour ça, pas avec la tournure des évènements, il décida donc de terminer le lavage rapide de son bras tout en expliquant les choses à la fille.

        - Oui ! c’est bien moi le client, mais j’ai déjà payer, vos hommes ont pris l’argent et regarder les, ils essayent maintenant de se tirer avec tout l’argent ! j’ai payé quatre fois la mise vous savez ? Moi si j’étais vous, je prendrais mes jambes à mon coup pour les rattraper !

        Profiter d’elle alors qu’elle n’était pas en état de tout comprendre, lui mentir pour sauver une poignée de Berrys qu’il n’avait pas et punir les vils personnages qui avaient tenté de s’en prendre à lui, oui ce n’était pas trop mal. La femme se retourna pour scruter l’horizon et comme elle venait de leur ordonner d’aller chercher quelque chose pour nettoyer, il était normal qu’elle les voie en train de fuir, enfin, c’est se qu’elle due croire, car elle commença à crier diverse insultes en une langue étrange, puis pendant qu’elle avait le dos tourné, Smile pris le paquet et retourna se cacher dans l’ombre, au pire elle repartirait les mains vides, mais franchement qui était assez fou pour traverser tout se chemin, pour du dentifrice ?

        Astalavista señorita. Smile était maintenant hors de portée et comment une inconnue comme elle pénètrerait le QG de South Blue ? En disant qu’une marchandise illégale venait d’être livrée ? Qu’elle en avait la charge, il fallait bien être fou pour simplement y penser, non elle venait d’essuyer une grosse défaite, maintenant elle n’avait plus qu’à retourner d’ou elle venait tout en laissant le souriant sourire comme il savait si bien le faire.

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        Epsillon courait tant bien que mal à la poursuite des hommes qui l'accompagnaient, dans le bateau elle saisit une arme à feu et commença à tirer n'importe où et sur tout ce qui bougeait. N'arrêtant pas de se plaindre du "vol" qu'aurait orchestré Pablo Abiks et ses hommes; les pauvres ne comprenaient pas vraiment ce qu'il se passait, ils avaient beau essayé d'expliquer la ruse du client au sourire écarlate mais la jeune femme n'entendait mots! De ce fait, les matelots se réjouissaient que la jeune femme soit encore légèrement sous l'emprise de l'alcool, puisque celle-ci était quasiment incapable de les toucher.

        Aussi quand notre bonne señorita fut lassé de jacasser, elle s'écroula sur le premier fauteuil qui apparut sous ses yeux et parti dans un long sommeil agité: agité par les maux de tête que l'eau de vie lui avait infligé, agité par la préoccupation d'un voyage effectué pour "un dentifrice" et enfin agité par des Berrys qui manquaient à l'appel[...]

        C'était le petit matin quand Epsillon rouvrit les yeux, elle sentait le vent frais embrassé son visage de façon si douce qu'elle ne put s'empêcher de sortir de son fauteuil afin d'humer l'air apaisant de la mer par un hublot. Visiblement, il n'y avait plus personne dans le bateau et ils étaient arrivé à bon port c'est-à-dire au lieu de départ ; c'était le désordre assuré à l'intérieur: des objets cassés ainsi que des murs criblés de balles. Ses pensées étaient un peu plus claire et bien sûr en y repensant, elle avait honte de son comportement.
        Elle prit une grande respiration avant de se mettre à la recherche d'une quelconque bourse pouvant contenir son précieux "dinero", mais rien de rien. La seule chose sur laquelle Epsillon était tombé n'était que son Chat Naimon affalé sous un meuble, il fallait bien se rendre à l'évidence: son client l'avait belle et bien roulé dans la farine.

        Avant de sortir de l'embarcation elle saisit son chat et récupéra aussi ses armes :

        Nadie, nadie ... Personne ne s'enfuit avec ma raison de vivre, je poursuivrai le blond au gran sonrisa jusqu'à ce qu'il me paie. On se retrouvera, palabra de C.Guevara!!