Ce sont les tonnerres de canons qui réveillent les hommes. La mer était calme, la nuit noire laissait reposer les cœurs et en un instant, en une infime petite seconde, les coups de canons se mettent à résonner de toute part, les obus s'écrasent contre les vagues à quelques mètres de la coque. Les vaguent giclent sur le pont pour venir se fracasser contre la gueule d'un Ishii peu réveillé. Alors les ordres se lancent sous les regards endormis d'Adrienne, Jackie, Monster, Jevta, Lucio et les autres. Mais ils ont l'habitude, ils se connaissent et se mettent en ordre de bataille comme un seul homme. Les places sont établies, les rôles connus. Tant et si bien qu'en un instant chacun est à sa place prêt à faire face contre la coque pirate qu'ils croient voir à une centaine de mètres. Il y a quelques loupiote qui éclairent le mat et les ombrent volent là bas entre les canons. Et le tonnerre des boulets fait voler autant d'étoiles.
Les Etrangers, eux, ne parlent pas et c'est à peine s'ils se regardent mais pourtant, avec leurs gestes et leurs rôles c'est comme s'ils savaient où trouver l'autre d'un claquement de doigt. C'est comme s'ils connaissaient les mouvement de leurs collègues sans même avoir besoin de lever le regard de leur tâche. Oh, il y a bien Blake qui tente subtilement de dégrafer le soutient gorge d'Adrienne. Il y a bien Lucio encore endormi auprès du tapir,mais les autres, eux, font leur travail. Adrienne et Ishii lutent comme ils peuvent pour arrêter les obus qui dévalent de plus en plus précisément, de plus en plus vite. Shishou et Iwa tentent de maintenir la barre pour ramener leur coque vers les ennemis tandis que Jackie fait crier les canons. Et Jevta se bat avec les bouts et écoutes qu'il tente de choquer. Et les canons, eux, ils crient, ils gueulent, ils hurlent et ils crachent avec leur lot de mort.
La coque des Etranger finit par réussir à lofer et c'est toute la troupe qui fonce maintenant sur les ennemis. Le vent est avec eux et avec, le calme de ceux qui connaissent le travail. C'est drôle, comme en pleine bataille,comme au milieu de tout ce rafiot les Jackie, Ishii ou Adrienne purinent de confiance et de calme. C'est drôle comme même Jevta semble rassuré, serein dans le travail des écoutes.
Alors lorsque le Bel espoir arrive à hauteur du navire ennemi et que les bouts se lancent pour aborder, Jackie souriraient presque. Et ils se trouvent là, au milieu du navire ennemi.Et ils admirent, là, toute la peur qui s'immisce chez ceux qu'ils ne connaissent pas. Il y a les hommes de l'autre bateau qui les encerclent avec leurs pétoires et lames de sorties. Il y a le capitaine qui les taraude de tout son large. Parce qu'il est gros, le capitaine. Il y a son énorme ventre qui déborde sous le haut salement abîmé. Il y un épis de maïs qui pend lamentablement entre ses deux bouts de lèvres.
-Le gentlefish,les amis. L'gentlefish et les Etrangers.
-Hmm. Tu es renseigné, Bobby. Mais pas de chance pour toi, moi aussi. 30 millions de berrys, ça fait beaucoup de méchancetés réalisés.
Le Bobby se mord les lèvres, comme agacé. Il y a ses tempes qui virent au rouge sous l'énervement.
-Un aut' pirate qui m'dit ça. Avec une plus grosse prime que moi en plus.
-Hmm... Moi je paye mes actes pour la liberté. Et toi, tu as fait quoi, comme horreur, pour avoir la marine à tes trousses ?
-Moi, je fracasse les insolents.
-Hmm.
Un geste de la main suffit à faire taire l'équipage. Un geste de la main suivi d'un regard vers Adrienne. Et la femme s'avance. Elle marche vers les ennemis qui ne comprennent pas encore que c'est perdu. Ils ne comprennent pas encore que cette femme qui avance et cette hache qu'elle tient dans les mains sera l'arme de leur défaite.
Les Etrangers, eux, ne parlent pas et c'est à peine s'ils se regardent mais pourtant, avec leurs gestes et leurs rôles c'est comme s'ils savaient où trouver l'autre d'un claquement de doigt. C'est comme s'ils connaissaient les mouvement de leurs collègues sans même avoir besoin de lever le regard de leur tâche. Oh, il y a bien Blake qui tente subtilement de dégrafer le soutient gorge d'Adrienne. Il y a bien Lucio encore endormi auprès du tapir,mais les autres, eux, font leur travail. Adrienne et Ishii lutent comme ils peuvent pour arrêter les obus qui dévalent de plus en plus précisément, de plus en plus vite. Shishou et Iwa tentent de maintenir la barre pour ramener leur coque vers les ennemis tandis que Jackie fait crier les canons. Et Jevta se bat avec les bouts et écoutes qu'il tente de choquer. Et les canons, eux, ils crient, ils gueulent, ils hurlent et ils crachent avec leur lot de mort.
La coque des Etranger finit par réussir à lofer et c'est toute la troupe qui fonce maintenant sur les ennemis. Le vent est avec eux et avec, le calme de ceux qui connaissent le travail. C'est drôle, comme en pleine bataille,comme au milieu de tout ce rafiot les Jackie, Ishii ou Adrienne purinent de confiance et de calme. C'est drôle comme même Jevta semble rassuré, serein dans le travail des écoutes.
Alors lorsque le Bel espoir arrive à hauteur du navire ennemi et que les bouts se lancent pour aborder, Jackie souriraient presque. Et ils se trouvent là, au milieu du navire ennemi.Et ils admirent, là, toute la peur qui s'immisce chez ceux qu'ils ne connaissent pas. Il y a les hommes de l'autre bateau qui les encerclent avec leurs pétoires et lames de sorties. Il y a le capitaine qui les taraude de tout son large. Parce qu'il est gros, le capitaine. Il y a son énorme ventre qui déborde sous le haut salement abîmé. Il y un épis de maïs qui pend lamentablement entre ses deux bouts de lèvres.
-Le gentlefish,les amis. L'gentlefish et les Etrangers.
-Hmm. Tu es renseigné, Bobby. Mais pas de chance pour toi, moi aussi. 30 millions de berrys, ça fait beaucoup de méchancetés réalisés.
Le Bobby se mord les lèvres, comme agacé. Il y a ses tempes qui virent au rouge sous l'énervement.
-Un aut' pirate qui m'dit ça. Avec une plus grosse prime que moi en plus.
-Hmm... Moi je paye mes actes pour la liberté. Et toi, tu as fait quoi, comme horreur, pour avoir la marine à tes trousses ?
-Moi, je fracasse les insolents.
-Hmm.
Un geste de la main suffit à faire taire l'équipage. Un geste de la main suivi d'un regard vers Adrienne. Et la femme s'avance. Elle marche vers les ennemis qui ne comprennent pas encore que c'est perdu. Ils ne comprennent pas encore que cette femme qui avance et cette hache qu'elle tient dans les mains sera l'arme de leur défaite.