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Marine : Toji Arashibourei

>> Arashibourei Toji



Marine : Toji Arashibourei 101114035209220438

Pseudonyme : "Père Tempête"
Age: 43 ans
Sexe : Homme
Race : homme poisson
Rang : Colonel si possible.

Métier : Despote
Groupe : Marine
Déjà un équipage : Je compte bien en créer un si mon grade l'autorise.
But : Arriver à Rough Tell pour y planter le drapeau de la marine, ceci afin de devenir le Marine le plus craint des océans.

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Haki +++
bases du karaté aquatique.
Équipements : Son uniforme d’officier, un escargophone, sa fierté.


Codes du règlement (2) :

Parrain : Nope

>> Physique

Lorsque vous croiserez Toji en entrant dans une des sombres tavernes où il traîne quelquefois, il vous faudra lever les yeux pour détailler toute l'étendue de sa silhouette massive. Une jambe épaisse comme un poteau donc. Engagée dans une botte militaire qui visiblement a été maintes fois réparées, ayant connu des jours meilleurs. Ah, voilà la deuxième jambe qui apparaît, donnant sur un buste musclé surplombé d'un visage patibulaire aux allures de monstres marins. La silhouette voûtée se redresse lentement lorsqu'elle se retrouve face à vous, se dépliant alors de son bon mètre quatre-vingt-dix. Elle se passe machinalement une main sur la nuque, avant de se gratter les quelques barbillons qui servent de barbe aux membres de sa race, les hommes-poissons typés poisson-foudre. Puis, la silhouette tourne un visage méfiant. Et là, on se retrouve face à deux yeux aussi sombres que les abysses où ils semblent vouloir vous y plonger. Il vous dépasse rapidement avec un froncement de sourcils. Visiblement il n’aime pas cette attention prolongée et silencieuse. Mais cela à suffit pour discerner les cicatrices marqués à la serpe sur son visage, nombreuses marques du temps sur un visage résolu. La rudesse du regard et des traits contrastent étrangement avec les marbrures jaunes et orangés de sa peau... La moue provocatrice qu’il ne peut retenir avant de la remplacer par un sourire narquois ne fait qu'augmenter l'antipathie qu'on pourrait ressentir en prime abord. Avec des airs de prédateur tout ce qui a de plus légitime, il nous a évalué en un instant. Alors qu'il nous dépasse on devine un symbole de la marine habilement tatoué dans le haut du dos. On le devine à peine entre les marbrures blanches et les différents degrés de jaunes/oranges qui caractérisent la couleur de sa peau écailleuse. Et comme il est venu le colosse s'en va, rentrant les épaules il continue sa route d’une démarche assurée.

Alors qu’il s’éloigne, notre attention se porte sur ses vêtements. Des rangers qui ont connus des jours meilleurs on remonte le long d’un épais pantalon de marin blanc cassé. Délavé, rapiécé. Et sur le dos un manteau de la marine sous laquelle on peut entrapercevoir les bords d’une chemise sombre. Ressemblant à un vestige archéologique tant il semble avoir vécu d'aventures à lui tout seul, son âge ancestral ne laisse aucun doute et le temps et le sel ont atténué depuis longtemps le symbole bleu qui y était placé. Mais on reconnaît tout de même la coupe militaire caractéristique. Ce genre de veste n'est pas réputé pour être de mode, mais elle tient chaud et sous ses airs de tissu délabré elle reste un atout inaltérable pour celui qui souhaite passé une nuit à la belle étoile sous une pluie torrentiel. Il prend quelques secondes pour relever le grand col de son manteau afin de s'abriter de la pluie battante qui lui tombe dessus. Et déjà la silhouette disparaît dans la pénombre.

Comme tous les membres de sa race, Toji est particulièrement à l'aise dans l'eau. Jamais rien ne pouvant égaler le sentiment de liberté et de bien être qui l'envahit quand l'eau ruisselle entre ses écailles. Il voit alors sa force et sa vitesse –déjà énormes comparées à un humain- nettement augmenter une fois en mer. Le long de ses avant bras et de ses paumes, une observation attentive pourra discerner les multiples cellules électro-génératrices propres aux poisson-foudre. Si Toji n’a pas encore vraiment pris la peine d’en faire souvent usage, nul doute qu’avec un peu de temps il saura parfaitement les utiliser en défense comme en attaque, à l’instar des anguilles électriques.


>> Psychologie

Comment décrire Toji Arashibourei ?... Inflexible ! Voilà le terme adéquat ! Un bloc de pure volonté, inflexible et inaltérable. Rien ni personne ne saurait le faire changer d’avis ou bien le détourner de son but. Quel est donc son but ?! Mais rien de moins que sa seule personne ! Toji mettra tout en œuvre pour satisfaire ses envies et son ambition démesurée. D’un ego et d’une fierté proverbiale, militaire de carrière, notre homme n’a ainsi que très peu de considération pour toutes les autres classes sociales. Les pirates ? Des proies à chasser. Les Révolutionnaires ? Des parasites à éradiquer ! Les Civils ? Tout juste bons à payer leurs impôts ! En bref vous l’aurez compris, Toji est un sale fumier égocentrique.

Égocentrique oui, mais égoïste non ! Loin d'être avare, l’officier se montrera extrêmement généreux avec ceux qui se trouvent dans ses petits papiers, les abreuvant de berries, d’alcool et de gloire. Car l’homme aime les plaisirs de la vie plus que quiconque ! Hédoniste à temps plein, rien n’est trop beau pour lui et ses "amis". Se complaisant dans l’alcool les fêtes et les femmes, il passera le plus clair de son temps à profiter des privilèges de son rang et de sa force. Inutile de vous préciser que les pots de vin et les traitements de faveurs sont toujours les bienvenus avec lui.

Par contre, malheur à vous si vous venez nuire à son confort ou à ses caprices ! Vous découvririez alors instantanément pourquoi on le surnomme « Père Tempête ». Car il faut le savoir, Toji considère le monde comme son terrain de chasse personnel. Un terrain dans lequel tout doit être à sa disposition permanente. D’un naturel extrêmement sanguin, Toji ne supporte pas les gêneurs et les rabats joies ! Si vous ajoutez à ça le fait qu’il est susceptible/rancunier/violent/colérique, vous comprenez vite qu’il n’est pas le genre d’homme qu’il est bon de se mettre à dos. Ses réactions brutales et totalement disproportionnées conduisent le plus souvent les impudents à l’hôpital ou au cimetière !

Alors comment un homme comme cela a il pu devenir un officier de la marine ? Pourquoi ne s’est-il pas encore fait révoquer ? Tout simplement parce que si les tracasseries administratives l’horripilent au plus haut point, la traque des pires criminels est pour lui une véritable passion. Professionnel de la traque, amateur de violence et de sang, Toji est un atout majeur pour la marine. Lorsqu’il se met au travail, il devient alors un meneur d’homme charismatique et rusé, spécialiste des chasses à l'homme ! Capable d’affronter sans faiblir les pires conditions, il ne lâchera jamais sa proie avant qu’elle ne rende l’âme. Pour atteindre son but tous les moyens sont alors bons ! Pour lui c'est le résultat qui prime ! Ce trait de caractère s’applique d’ailleurs à son équipage, dont la rigueur martiale laissera clairement à désirer. Tant qu’ils se montrent aussi efficaces que ses attentes, Toji leur laisse profiter du même train de vie que lui. Par contre, si vous le décevez vous ne ferez pas long feu... Après tout, vous deviendrait alors un frein pour sa carrière, qui constitue son principal objectif après ses plaisirs. Ambitieux et arriviste sans état d’âme, Toji est prêt à tout pour mettre la main sur les plus hautes fonctions de la marine, quitte à devoir user de menaces/chantage/vol... ou même à se débarrasser d’un subordonné gênant.

Vous ne l’avez toujours pas réalisé ?! Toji est une raclure de la pire espèce ! Un monstre cruel et despotique. Mais comme tous les monstres, mieux vaut l’avoir à ses côtés que contre soi... L’amirauté l'a bien compris.


>> Biographie

~~~ Prélude ~~~

Qu'est-ce que vous regardez vous ? Vous voyez pas que j'essaye de boire ma pinte tranquil' ?! Vous osez me demander si je connais Toji Arashibourei... Bien sûr que je le connais, tous les hommes poissons le connaissent au moins de réputation.

Et je suis plutôt bien placé pour vous en dire plus sur lui, vu que le destin nous a placé dans le même équipage pendant de nombreuse années, j'y étais pour ainsi dire son confident à l'époque. Mais je ne vous apprends rien sinon vous ne seriez pas venu me voir dans ce bled' perdu...
Donc oui j'ai côtoyé Toji au sein de la Marine pendant quelques années. Mais je brûle les étapes attendez ! La véritable histoire commence il y a de ça 43 ans...
A cette époque naissait sur l'île des hommes-poissons un petit têtard pas plus gros que mon poing. L'adorable bambin qu'il était à cette époque n'avait rien de vraiment terrifiant, petit, chétif, soumis, on ne peut pas dire que c'était un foudre de guerre ! Et pourtant dans ses veines coulait le sang des hommes-poissons foudre, hérité de son père. Et on peut pas dire que ces lascars-là soit en général des tendres.
Encadré par une Famille aimante, Toji grandit donc avec insouciance et pour toute ambition que celle de suivre les traces de sa famille sur le sentier du théâtre, du Fish-théâtre pour être précis.

Ahahaha je vois à vos visages que vous ne voyez pas vraiment le lien entre la brute que vous cherchez et le gringalet que je vous décris... attendez un peu encore, tout s'amorce maintenant.



~~~ Enfance et esclavagisme ~~~

La troupe où officiait les parents Arashibourei commençait à avoir une sacré réputation de part toutes les mers, et ne manque pas de parvenir aux oreilles de la noblesse locale. Un Tenryuubito eut un jour la volonté de voir un de leurs spectacles, et vous savez que quand un Tenryuubito veut quelque chose il faut l'entendre comme un ordre. Toute la troupe fit donc le déplacement jusqu'au domaine altier et Toji alors âgé de 15 ans les accompagna évidemment. Impossible de dire ce qui déplu au noble, sûrement une lubie ou un acte gratuit, mais toujours est-il qu'il fit instantanément enfermer tous ces "poiscailles" et les réduisit en esclavage sans autre forme de procès. A partir de là débuta la plus longue et terrible partie de la triste vie de notre cher Toji . Ce que je vais vous raconter n'est que le résumé de ce que j'ai mis des années à accumuler sur lui. Il faut bien dire que notre homme n'est pas très nostalgique, surtout sur ce sujet-là.

Au cours des 10 années que dura sa captivité, Toji connu bien plus que son lot de souffrance et humiliation et fut affliger des pires traitements que l'on peut infliger à un larbin à écaille. D'abord employé aux corvées, puis comme porteur, on le poussa très vite à se battre dans des arènes contre d'autres prisonnier. C'est alors qu'il se forgea une volonté tenace et une rage de vaincre sans limite. Car il faut bien préciser que le petit avorton que je vous ai décrit plus tôt, s'est au cours de cette période de labeur et de brimade forgé un corps à la hauteur de ses glorieux ancêtres. Mue par un mental taillé à même le roc, il arriva rapidement à son mètre quatre-vingt-dix pour ses cent cinquante kilos. Il faut bien dire qu'à ce moment se faisait sur son corps la délicate alchimie entre la haine pure et l'instinct de survie.
Au bout de quelques années il était devenu une machine à briser les os redoutable ! En apprenant sur le tas par des combats quotidiens il avait acquis une force et une technique que peu pouvaient rivaliser. Et il lui fallait bien ça, car s'il avait été un tant soit peu moins efficace, les Tenryuubitos se seraient débarrassé de lui à la première occasion tant son insolence croissait de paire avec sa haine. Oh il n'était ni le plus rapide ni le plus fort, mais il était le genre de guerrier à compenser avec un mental et une volonté d'acier ! Toujours le dernier debout, voilà la mentalité qui l'a poussé là où il est maintenant.



~~~ Une vie de Gladiateur ~~~

C'est au court de ses combats quotidiens que Toji fut remarqué par un mécène des plus étrange. Le noble alors en quête d’un champion pour ses paris, le trouva en Toji au vu du plaisir qu’il éprouvait sans cesse dans la violence.
Sorti de l’anonymat, Toji reçu traitements de faveur et entraînements poussés afin de répondre aux demandes de plus en plus dangereuses de son parrain. Il faut bien dire qu’il en éprouva alors beaucoup de plaisir ! Une vie de luxe et de violence.... que demander de plus ?! Toujours plus fort et plus craint, Toji appris à aimer ce statut de champion respecté, jusqu'à en éprouver une satisfaction comme jamais il n’allait en éprouver d’autre.
Ce train de vie dura 10 des 15 années de sa captivité. Mais hélas toutes les meilleures choses ont une fin...
Victime d’un coup d’état révolutionnaire, son mécène fut sauvagement assassiné par les rebelles en furie... Toji perdit alors ses privilèges du même coup. Aussi bien la mort du noble laissa l’homme-poisson de marbre, autant ne plus être champion fut vécu comme une cruelle perte. Mais où étaient donc ces esclaves ?! ces festins ? Ces admirateurs ?... Privé de ses privilèges, Toji retomba dans l'anonymat le plus sordide d'un camp de gladiateur perdu.



~~~ Entrée dans la marine ~~~

Laissé à l’abandon, Toji ne dû son salut qu’à l’arrivée d’un vieil officier de la marine, le colonel Jack O’Brian. Celui-ci l’extirpa des geôles de MarieJoa contre un contrat à vie dans l’armée. Le deal était simple : "Bats-toi pour la marine et tu pourras de nouveau voguer sur les océans". Bien heureux de pouvoir se relancer dans l'aventure, Toji accepta sans même se demander les raisons de cet intérêt soudain.
En fait l’officier avait-lui aussi décelé chez Toji une aptitude au combat des plus brillante. L’homme s'empressa donc de ramener l’homme-poisson dans sa base, où il commença un long apprentissage.

Manœuvres, combats, règlements... Toji dut alors assimiler une quantité incroyable de choses. Mais les récompenses étaient à la hauteur de ses efforts : des hommes à tyranniser sous son commandement, mais surtout des entraînements poussifs avec Jack. De son côté, Toji commença à percevoir les débuts du karaté aquatique en autodidacte. Les arènes étant loin de la mer, il n’avait jusqu’alors pas eu l’occasion de développer son style, mais ce n’était que partie remise.
O’Brian tacha au maximum de lui enseigner les principes d’un grand pouvoir dont il était maître, le Haki. le vieux colonel avait en réalité déceler du premier coup d'oeil une formidable prédisposition de l'homme poisson aux Haki, né de sa volonté indomptable et de son égo sur-dimensionné. La volonté de fer de l’homme-poisson deviendrait alors une arme redoutable entre les mains de la justice. Car le but de O’Brian n’était rien de plus : il voulait créer une arme puissante face à la montée en puissance de la piraterie. Hélas, il ne verra jamais son œuvre atteinte...



~~~ Émancipation forcée~~~

Seulement deux ans après le début de son entraînement, O’Briansubit une série de terribles blessures dans un violent affrontement contre des pirates. Complètement brisé, l’homme n’était alors plus que l’ombre de lui-même. Bien qu'encore en vie, celui-ci devenait alors parfaitement incapable de continuer à former son apprenti. Aux oeil de Toji il devenait donc inutile... Devant ce débris vivant, Toji n'eut aucun scrupule à l’abattre sommairement. Maquillant l’assassina comme des séquelles de ses blessures, il mit en place une des perfides manigances dont il a le secret. Au moins ce vieux croulant lui servirait dans la mort ! Car il en profita aussitôt pour se faire attribuer le grade et les fonctions de son prédécesseur, lui permettant enfin de retrouver un semblant d'autonomie.



~~~ Père Tempête ~~~

Commença alors sa tumultueuse carrière d’officier, oscillant entre ripou et despote. Toji venait de goutter pour la première fois au pouvoir, auquel il allait rapidement devenir accro. Toujours plus audacieux et égocentrique, Toji se lança corps et âme dans une longue lutte pour la puissance et le pouvoir. Enchaînant les actions d’éclat et les entraînements intensifs, son nom fut rapidement craint par tous les écumeurs de la région (ainsi que par la population civile elle-même). Cependant il était tout simplement incapable de cacher ses pulsions violentes ou même son manque évident d'état d'âme. Son caractère impossible en faisait donc la bête noire du QG, qui voyait en lui un pouvoir incontrôlable bien qu’utile.

Afin de l’empêcher de nuire plus à la réputation de justice de la marine, Toji fut transféré dans les océans les plus isolés du globe, les poches pleines d'avis de recherche à mettre au trou.
Mais le pouvoir et le luxe sont des drogues dures... Toji vécu alors cet isolement comme une insulte grave. On voulait le mettre sur la touche ?! On ne voulait pas de lui dans les hautes sphères ?! Qu’à cela ne tienne ! Toji allait remonter Grand Line comme le faisaient les pirates, avec pour but Rough Tell. A part Gol D.Roger personne n’y était parvenu. Si lui -un Marine- y arrivait, cela serait un symbole fort que nul pirate ou amiral ne pourraient ignorer. Son autorité deviendrait alors écrasante !



~~~ A la conquête du monde ~~~

Une récente série de revers du destin -dans ces eaux pourtant réputée si faible- ont pourtant clairement fait comprendre à l’homme-poisson que s’il aspirait à de telles ambitions, il allait devoir sérieusement s’améliorer. Sa lutte pour le contrôle de la Marine ne passerait que par de difficiles épreuves et par l’apprentissage de techniques puissantes. Il faudrait bien ça pour devenir le Marine le plus craint de toutes les mers !

Il y avait donc du travail à faire...
Qu’importe ! Le sang et la sueur avaient toujours fait partie de son quotidien.



>> Test RP

Cf post suivant

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    Prénom : Olivier

    Age : 25

    Aime : One pièce, l'imaginaire en général, la bonne bouffe et les jeux de mots.

    N'aime pas : Les susceptibles, les vaniteux, le racisme,

    Personnage préféré de One Piece : Sanji / Dorafummingo / Garp

    Caractère : Ouvert et social.

    Fais du RP depuis : 1 an sur Forum, 10 ans sur papier et GN (principalement en MJ et orga)

    Disponibilité :Quotidienne

    Comment j'ai connu le forum ? Par des recherches personnelles sur le net. Y en a vraiment une foule de fofo One Pièce en fait....





Voilà donc une nouvelle fiche de personnage. Voyant que le fdd de l'eau de mon pirate porte à beaucoup de polémique, je préfère tout reprendre à la base. Après tout on est pas là pour se prendre le choux mais pour rp peinard.

Du coup merci de relire ma fiche (qui change pas mal) et de me dire ce que vous en pensez. Il y a probablement de nombreuses améliorations possibles, alors je suis à l'écoute de toutes critiques constructive pour parfaire ma validation ^^


Dernière édition par Toji Arashibourei le Dim 3 Juin 2012 - 14:34, édité 12 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t154-fiche-de-toji
  • https://www.onepiece-requiem.net/t115-marine-toji-arashibourei
Ok, (tu fais bien, on comptais refuser ton fruit ^^)
Petite chose que je dois te préciser, c'est que je ne ferais aucun commentaire tant que le code du règlement ne sera pas présent ;)
    Oubli réparé ! Autant pour moi...
    (Est il possible de me retirer mes couleurs de pirate et mes stats obsolètes svp ?)

    Bonne lecture ;)
    • https://www.onepiece-requiem.net/t154-fiche-de-toji
    • https://www.onepiece-requiem.net/t115-marine-toji-arashibourei
    J'ai supprimé tout ce qu'il y avait d'obsolète ;)
    Voici ton test RP :

    "Shabondy, Grove 42. Une fois de plus, il y a eu de la discrimination envers les hommes-poissons. Un homme assez riche possédant divers esclaves puissants. Tu décides de t'en prendre à lui et de libérer les esclaves qui sont des hommes poissons. Attention, ils possèdent un collier qui explose si l'homme n'appuie pas sur un bouton toutes les 10 secondes. De plus, pour enlever les colliers, il faut un code spécial. Vu ton niveau actuel, tu ne peux les enlever à la main. Note spéciale : l'homme est plutôt paranoïaque et sur ses gardes. Bonne chance !"

    Amuse-toi bien avec le RP ;)


      >> Test RP


      * Partie 1 : Archipel Shabondy, début d'une rancune.


      On dit dans toutes les mers que le temps de l'archipel de Shabondy est un modèle d'île printanière, rendant paradisiaques toutes escales dans ses eaux. Grâce à la proximité du QG de la marine, l'archipel a toujours été considéré comme une escale agréable par tous les aventuriers et les marchands cherchant à atteindre le tant convoité nouveau monde. Mais Toji Arashibourei faisait encore une fois exception à la règle...


      Vagabondant au grès de mes envies dans les multiples racines de l'archipel, j'y erre depuis maintenant plus de trois jours avec mon équipage. Trois put*.. de journées que l'amirauté me fait attendre ici ! Trois longues journées d'inactivité alors que les océans et leurs aventures m'appellent ! A croire que ces foutus scribouillards du QG cherchent à me mettre sur la touche encore une fois... faudra que j'aille leur dire deux mots à mon retour de mission. Marre de cette attente interminable ! On m'avait bien dit que l'île pullulait à l'occasion de pirates en partance pour l'île des homme-poissons... Mais depuis que je suis cantonné ici je n'ai eu qu'une malheureuse prime de 50 Millions à me mettre sous la dent. Pas vraiment de quoi satisfaire mes appétits bestiaux quoi...

      Bon au début je dois reconnaitre que j'ai plutôt trouvé ça pas mal... Des vacances aux frais de la princesse, un temps idyllique, des jeux et des bars à ne plus savoir qu'en faire... Mais bon au bout d'un moment on s'en lasse de ces put*.. de bulles colorées ! Me faut de l'action moi ! Je sens petit-à-petit la pression monter dans ma grande carcasse. Mes muscles se contractent, ma mâchoire saille, mes réflexes sont à vifs... Malheur à l'imprudent qui vient me casser les roustons, mon humeur est terrifiante. Je pourrais tuer n'importe qui au moindre prétexte.
      Mais le pire c'est que je ne peux pas... on n'est pas en pleine mer ici. Trop de témoins... trop d'emmerdes si je fais le con en pleine ville... Alors je ronge mon frein en maudissant cette hiérarchie qui préfère gâcher mes talents ici plutôt que de m'envoyer sur les traces d'un criminel. Faudra pas qu'ils se plaignent si ça tourne au grabuge croyez-moi.

      C'est donc dans un état d'esprit particulièrement irascible que je patrouille dans les rues du Grove 42, les yeux en quête d'une agitation sur laquelle je pourrais passer mes pulsions et mon ennui.
      Tiens en parlant d'agitation, voilà que j'entends du bruit dans l'allée principale d'une rue marchante. Il s'agit en réalité d'un léger mouvement de foule, mais qui n'échappe pas à mes sens en ébullitions. D'un pas décidé je me dirige vers leur source, impatient de me mettre à l'action. Pffff... mais quelle n'est pas ma déception !
      Il ne s'agit que d'une longue file d'esclave qui se déplace vers le hangar où ils seront stockés. Menés par un petit gros au visage porcin et aux yeux plein de malveillance, le groupe marche résigné au milieu de la foule qui s'en écarte d'un air écœuré. Il faut dire qu'il s'agit de congénères, des hommes-poissons tout comme moi. Victimes de la xénophobie générale, le moindre de leur geste est source de crainte chez les citoyens "respectables" de notre bel empire.
      *Non mais quelle pitié... Pas un pour rattraper les autres. Ils marchent tous comme s'ils n'y avait plus rien à faire ! Putain et votre fierté les gars ?! Elle est où bordel ?!*
      La mine abattue et les épaules basses, le groupe défile devant moins sans esquisser le moindre geste de rébellion. Les voyant ainsi soumis je n'ai que du dégout qui me monte à la gorge ! Des loques, voilà ce qu'ils sont. Je n'ai aucune trace de pitié pour ces déchets qui ont abandonné leurs âmes d'aventurier lorsqu'on leur a mis les chaînes. N'y a t'il donc plus que moi comme homme-poisson digne de ce nom sur cette terre ?! Mes yeux se portent sur le dernier de la file, qui me regarde fixement. Dans son regard je peux lire une fierté blessée et un appel à l'aide silencieux... ceux d'un guerrier abattu mais pas vaincu pour autant. Voilà qui est mieux... Alors qu'il s'éloigne de moi j'ancre son visage dans mon esprit.



      "Dégage de mon chemin sale bouseux !"

      De quoi ?! Avec une lueur d'incompréhension dans le regard je me retourne pour tomber nez-à-nez avec un homme confortablement assis sur un palanquin. Je regarde alors autour de moi pour m'assurer que ce fou s'adresse bel et bien à moi... ce qui doit être le cas, puisque tous se sont écartés à son arrivée. L'homme -visiblement de haute bourgeoisie si on peut en juger par ses vêtements couverts de dentelles et d'or- aurait parfaitement pu me contourner, mais il a préféré m'insulter à la place.

      "Je t'ai dit de dégager sale poiscaille ! Même les chiens de garde de le marine comme toi doivent me laisser le passage ! Bouseux !"

      Le temps que je réalise le sens de ses paroles -tant elles me paraissent incohérentes- le voilà qui arme son bras en arrière et me projeté violemment son fouet en plein visage. Trop surpris par l'énormité de la scène je me laisse prendre de vitesse. La lanière de cuir me cingle le visage, marquant la peau épaisse de ma joue droite et laissant un fin filet de sang s'en écouler. Je n'ai pas mal pour autant... mais la symbolique du geste m'a frappé avec plus de force que n'importe quel coup de canon.

      En un instant mes yeux fulminent ! Tels deux charbons ardents ils s'animent de pulsions meurtrières alors que mes poings se resserrent à m'en faire blanchir les phalanges ! Je dois me refréner de le tuer, là, maintenant ! Dans son droit, le meurtre de cet homme détruirait ma carrière et tous mes efforts. Ce n'est pas une erreur que je peux me permettre... Mais je ne supporterais pas non plus que l'affront reste impuni. Foi de "Père Tempête" il allait le payer !

      Je regarde donc immobile ce cadavre en sursis s'éloigner victorieux. Vingt mètres plus loin il réitère le même geste avec son contre-maitre à face porcine, puis continu sa route l'air joyeux.
      Derrière moi mes hommes viennent d'arriver, attendant silencieusement ma réaction. Ils me connaissent et savent qu'ils ne doivent surtout pas me parler avant que je sois calmé... je les tuerais dans ma furie ! Après une courte pose je m'adresse sans me retourner à l'un d'eux. Dans ma voix il peut sentir tout le poids de ma colère et de ma rancune.


      "Karl. Tu prends avec toi Xan et Rolf, puis te renseignes sur ce fumier. Je veux tout savoir de lui dans moins d'une heure c'est bien compris ? Retrouvez-moi au "tambour rafistolé" quand tu auras fini."

      L'homme s'exécute en silence, filant avec zèle vers sa mission.




      * Partie 2 : La machination se met en place.



      Affalé à la terrasse du café "le tambour rafistolé", je suis maintenant en train de boire une grosse pinte de bière locale, tout en ruminant ma vengeance. L'air renfrogné je laisse glisser inlassablement mon index sur la marque fraîche de fouet, comme pour raviver inlassablement la douleur et la rancœur qu'elle contient.
      Derrière moi le patron de l'établissement évacue un client , qui a eu le malheur de bousculer ma chaise en s'excusant. Les deux bras brisés, l'homme refrène des hurlements de douleur alors que ses amis tâchent de l'évacuer vers l'hôpital le plus proche. C'est moche mais il m'a aidé à me passer les nerfs. Rien à foutre, il était là au mauvais endroit au mauvais moment ! Il pourra toujours se plaindre ensuite à son karma ou au QG, j'en aurais rien à branler.

      Terrifiés, les autres clients boivent leurs consommations dans un silence religieux... Me flattant par la même occasion. Je me calme alors un peu et commence à réfléchir plus sérieusement à ma vengeance. Mon cerveau retord en a déjà les bases, reste juste quelques menus détails à régler.

      Juste après, le sergent Karl arrive au rapport, me transmettant une feuille d'information que je lui arrache des mains. D'une rapide lecture je prends en considération les nouvelles données qu'il a amassées en reconnaissance, puis les incorpore dans ma machination. Tout est là, je n'ai plus qu'à lancer la manœuvre.

      D'un geste brusque je me lève en un éclair, lance une série d'ordre à mes subalternes, puis me dirige à grand pas vers l'auberge où se trouve actuellement le contre-maître. Cet esclavagiste affublé du nom de Roshua-san et moi avons une petite conversation de prévu. Il ne le sait pas encore, mais cela n'a aucune importance.

      Le sang bouillant toujours dans mes artères, il me tarde de passer à l'action !





      * Partie 3 : Haine et corruption.


      Je retrouve ainsi notre homme attablé dans une échoppe minable, ruminant lui aussi la vilaine cicatrice qui lui zèbre le cou. Ce foutu nobliau n'a pas été tendre avec lui non plus... Tant mieux ! Cela servira d'autant plus mes intérêts. La haine qu'il doit probablement avoir pour son employeur sera ma meilleure carte. L'étincelle de cupidité que j'ai su déceler en lui au premier coup d'œil sera ma deuxième. Souvent sous-payé et mal considéré, les esclavagistes sont d'autant plus facile à corrompre, surtout sous le coup de la colère comme notre ami Roshuan.

      Sans même prendre le temps de me présenter je saisis une chaise que je mets à sa table avant de m'asseoir brusquement dessus. Le temps que notre homme se remette de sa surprise, je l'enchaîne de ma voix caverneuse. Je ne dois pas lui laisser le temps de remettre ses esprits en place, je dois le mener rapidement et implacablement là où je veux qu'il aille. Le visage dur et les yeux perçant, je le transperce du regard tout en m'adressant à lui.



      "Salut l'ami. Un sale coup que tu as reçu là hein ?... Je le sais parce que j'ai eu le même pas plus tard qu'il y à deux heures, regarde. Sale patron que tu as là ! Que dirais-tu de lui jouer un sale tour et d'en mettre plein les fouilles par la même occasion ? Mwouhahah je vois que ton regard s'illumine ! Ne dis rien et écoute. J'ai cru comprendre que ton patron attendait une escorte de la marine d'ici la fin de la journée. Ils sont sensés l'aider à encadrer ses esclaves jusqu'à MarieJoa, mais je te propose de prendre leur place. Pour ça je n'ai besoin que de ta petite signature en bas de ce document..."


      Sans lâcher du regard mon interlocuteur intrigué, je saisis le faux document que vient juste de finir le caporal Rolf. Un sourire malicieux peint sur le visage, je tends la feuille à Roshua qui la parcoure des yeux. En lui je n'ai aucun mal à lire une foule d'émotions qui luttent les unes avec les autres : Peur, méfiance, loyauté, curiosité, rancune... mais surtout cupidité. Le voyant encore hésitant je sors un atout de ma manche, ou plutôt un gros sac de bijoux et de pierres précieuses que j'étale sous ses yeux ébahis. La somme semble immense et sa cupidité s'enflamme aussitôt !

      "J'ai la rancune tenace l'ami... et je suis prêt à mettre le prix pour l'assouvir."

      Ce que ce pigeon ignore, c'est qu'il ne s'agit en réalité que d'une pièce à conviction pour une affaire de faussaires. Tout ce monticule brillant n'a donc aucune véritable valeur, tout bijoutier vous le dira. Mais pour un néophyte comme lui l'illusion est parfaite. Sans même lui demander son avis je prends sa main tremblante, dans laquelle je fourre une plume d'oie. Docile, il se laisse faire et signe mon document sans lâcher des yeux les bijoux. Mes motivations ou mon plan ?! A ce moment précis il n'en a rien à foutre ! Pensant sa fortune faîte il vient d'abandonner son employeur sans remords.

      La phase une de mon plan est ainsi conclue sans anicroche... Le plus dur est encore à faire, mais pour l'instant tout ce passe sans encombre.





      * Partie 4 : Mensonges et hypocrisie.


      L'air sûr de moi je pénètre avec mes hommes dans le bâtiment où le noble a pris ses quartiers. Ses esclaves étant parqués dans un entrepôts un peu plus loin, il ne loge ici "qu'avec" son escorte personnelle, composée "uniquement" d'une petite dizaine de mercenaires et de deux gardes du corps aux allures patibulaires. Ceux-ci représenteront le vrai problème puisqu'ils ne lâchent pas ma cible d'une semelle. Dès mon entrée je vois à leur façon de nous évaluer que ce sont des pros, des vrais. Le reste n'est que du menu fretin dont mes hommes devraient se régler facilement si on change un peu la donne des cartes. Tricher est la base de toute confrontation... celui qui suit les règles meurt vite, ça Je l'ai compris depuis bien longtemps. Quant à ces blaireaux ils vont en faire les frais bientôt.

      Montrant mes papelards falsifiés à un des deux gorilles, j'arrive à me faire inviter à leur table, puisqu'ils sont justement en train de se restaurer (le timing était parfaitement choisit) Un instant j'ai l'impression que l'homme se méfie... visiblement il attendait quelqu'un d'autre et n'aime pas les changements imprévus. Heureusement la signature de l'autre pigeon en bas du document endors sa méfiance.

      Je laisse dans le réfectoire mes hommes faire du copinage avec les mercenaires attablés, alors que moi-même me dirige vers la chambre de ce fumier de bourgeois.
      Ce qui m'étonnera toujours, c'est la facilité avec laquelle les gardes lient toujours amitié ! Mettez deux plantons dans une pièce, vous pouvez être assuré que cinq minutes plus tard ils joueront aux cartes en se montrant des escargo-photos de famille ! C'est d'ailleurs le cas de mes hommes, qui discute déjà bruyamment avec leurs confrère mercenaires. Sous leurs visages amicaux se cachent la pire bande de salauds et de teignes que la marine compte dans ses rangs. Pris dans les pires escadrons, ces salopards dont personne ne veut comptent ce qui se fait de mieux comme coupeurs de gorge et comme filous dans la région. Pour l'instant ma meute de loups s'est déguisée en agneau, mais lorsque le signal sera donné je sais qu'ils seront sans pitié.

      (...)

      Quelques minutes plus tard je suis présenté à ce cher bourgeois, future cible de toute ma rancune. Comme prévu l'homme ne me reconnait même pas ! Il appartient à cette espèce d'homme qui vous oublie aussitôt qu'il vous à lâcher du regard. Même si cela participe à mes plans, je ne peux m'empêcher de trouver cela vexant. Put*... c'est bien la première fois qu'on m'oublie de la sorte !
      Se montrer insultant envers moi n'est pas une bonne idée... Oser se prétendre à l'abri de ma vindicte n'est pas non plus une bonne idée... Me frapper avec un fouet n'était vraiment pas une bonne idée... Mais oser m'oublier ?!... Alors là ce n'était pas du tout, mais alors pas du tout une bonne idée ! Lorsqu'on s'adresse à un colosse de plus de deux mètres au caractère irascible et aux réactions aussi violentes que spontanées, il vaut mieux éviter de cumuler quatre mauvaises idées d'affilées. Simple question de survie. Mais il ne perd rien pour attendre... Toujours le visage de marbre je continue la conversation avec mon nouvel "employeur".



      "[...] ... et c'est donc pourquoi me voici ici à sa place. Je comprends que vous soyez surpris, mais ne vous inquiétez pas pour mes origines, je n'ai aucune sympathie pour mes confrère de la mer.

      "De toute façon que puez ou pas le poisson m'importe peu ! Ce que je veux c'est que vous fassiez votre travail et bien. Demain nous partons pour Marie Joa, je ne veux aucun problème sur la route. Vous seriez alors le seul responsable ! Je me suis bien fait comprendre misérable vermine ?"

      Entre le ton qu'il emploie et ses injures, l'homme ne fait que planter un par un les clous de son cercueil... Alors que je dois faire de plus en plus d'effort pour garder cet hypocrite visage de soumission, je poursuis mon tissu de mensonge.

      "Bien sûr Monseigneur je comprends. Ne vous inquiétez pas tout se passera comme selon mon plan (ce qui était plutôt vrai en fin de compte) J'engage ma vie et mon honneur à défendre vos bien ... [...]"

      Cette conversation à quadruple sens m'irrite au plus haut point tant mon envie de combats devient fort. Cependant il me faut me montrer prudent, l'homme semble méfiant et ne me donnera probablement pas les codes des colliers si je lui demande. Par contre, le boîtier qu'il doit sans cesse tenir semble l'embarrasser plus qu'autre chose...

      [...] ... car nous pourrons ainsi profiter des courants du nord pour parvenir à l'horaire prévu. Comme vous pouvez le voir j'ai les choses bien en main, vous pouvez vous reposer sur moi et mes hommes. D'ailleurs, comme nous allons nous charger personnellement de vos esclaves, peut être serait il judicieux de nous confier le boitier de commande des colliers explosifs ? En cas d'attaque révolutionnaire vous ne seriez ainsi pas pris à parti si jamais ils voulaient les libérer... votre sécurité passe avant tout monseigneur. (je vois le regard suspicieux de l'homme s'aiguiser alors) De toute façon, sans les codes que vous êtes les seuls à connaitre, ça ne leur serviraient pas à grand-chose de partir bien loin !"

      Convaincu, le bourgeois paresseux s'empresse de se débarrasser du l'encombrant boitier que je met aussitôt dans ma veste, le bouton bien bloqué avec une lanière de cuir. Ainsi équiper il ne me reste plus qu'à lancer la partie la plus amusante de mon plan.




      * Partie 5 : Massacre.


      Je me tourne alors vers un des deux gardes du corps, regardant un point au dessus de son épaule droite. Poussé par un réflexe malheureux, celui-ci tourne alors la tête par curiosité... Aussitôt ma main droite se détend comme un serpent ! La manchette le frappe à la gorge avec une force capable de décapiter un buffle ! La trachée complètement broyée, l'homme titube en arrière avant de heurter le mur de toute sa masse.
      Malgré la puissance du coup, l'homme a encore le réflexe de dégainer un pistolet. Put*... qu'il est résistant ce fumier ! Ne pouvant me permettre d'être confronté à deux adversaires à la fois et de me prendre une balle dans le dos, je dois en finir vite avec lui. Je me jette alors avec brutalité sur lui, lui écrasant un genou directement dans le foie ! Alors que j'entends avec délectation le bruit de ses côtes qui se brisent, je lui assène un puissant coup de coude dans la tempe, avant de l'achever en lui enfonçant profondément un doigt dans l'orbite ! *Aaaah ce que c'est bon !* Ce n'est que dans ces moments-là que je me sens en vie pour de bon ! L'odeur puissante de la peur, la chaleur du sang sur mon doigt, cette petite vie que s'échappe entre mes mains... Un instant je suis tout puissant.

      Comme prévu son confrère ne tarde pas alors à se jeter dans le combat. Véritable vétéran, l'homme ne s'est pas laissé submerger par l'effet de surprise. Le voilà déjà qui dégaine son sabre avant de se fendre vers moi ! Averti par mon instinct affiné au cours d'un nombre incalculable de combat à mort, je me retourne vivement en tendant mon bras gauche dans un grand mouvement circulaire. Déviant la lame au niveau de la garde, je la décale suffisamment pour ne pas finir embrocher. Rapide, l'homme a tout de même la vitesse suffisante pour m'entailler profondément une partie de l'avant-bras.
      *Bah... ça fait mal mais j'ai vu largement pire !*
      Mon poignet se retourne alors vers l'extérieur, avant de se saisir de sa main d'arme afin de l'immobiliser. Rapide et expérimenté, le garde du corps a alors le réflexe de dégainer de sa main gauche une longue dague qu'il tend vers ma gorge. Là encore un réflexe bienheureux m'évite une vilaine blessure par une vive esquive de la tête ! Le coup mortel se transforme ainsi en une simple balafre supplémentaire au lobe de mon oreille droite.

      Mes sens sont en ébullition ! Chacune des fibres de mon corps est alors plongée dans une puissante transe par l'adrénaline qui me submerge ! Comme un drogué enfin rassasié je me laisse aller aux plaisirs de cet instant de fureur et de carnage.

      Sans même y réfléchir mon poing droit se détend comme le trait d'un baliste vers le thorax de mon adversaire ! L'impact lui coupe le souffle alors que son sternum s'émiette au contact de mon poing. Tandis que son visage se tord de douleur, le mien se fend d'un sourire carnassier. Aussitôt après mon poing se rabat sur son cou, lui fendant à l'occasion plusieurs cervicales ! Alors que j'enchaîne avec vigueur une série de frappes brutales sur mon adversaire immobilisé, j'exulte à chaque impact. A moitié mort, l'homme ne se rendra même pas compte que je lui arrache la tête d'une violente torsion. La force des hommes-poissons a souvent du bon.





      * Partie 6 : La fin d'une vengeance méritée.


      Haletant sous l'effet de l'excitation et du combat, je me retourne vers ma cible. Celle-ci s'est recroquevillé dans un coin de la pièce, le visage tordu par l'horreur et la peur. J'aime ces visages !
      Me rapprochant lentement de lui, je profite de la tension qui monte à chacun de mes pas. Il croit voir sa mort arriver et je le sens... peut être a t'il raison...

      Derrière moi la porte s'ouvre lentement, laissant apparaitre le sergent Karl. Dans sa main ensanglantée il tient encore un court poignard qui a visiblement servi à l'instant. Aussitôt le premier bruit de combat perçu, lui et mes autres hommes ont parfaitement joué leur rôle d'égorgeur en prenant par surprise les mercenaires sans méfiance. Je les connais, je les ai entrainé pour... ils ne leur ont laissé aucune chance. En combat direct se ne sont probablement pas les meilleurs, mais ne leur tournait jamais le dos.


      "Le tableau de chasse ?"

      "Complet Patron."

      "Des pertes ?"

      "Non Patron. Rolf surveille la rue et les autres s'occupent des corps. Apparemment personne ne nous a entendu Patron."

      "C'est bien les enfants... Du bon boulot.
      Maintenant tu vas me ligoter ce trou du cul avant qu'il ne lui prenne l'idée de faire une connerie. Lui et moi avons encore des choses à nous dire..."


      Alors qu'il s'exécute, je sors de son étui mon poignard de combat. Enfin, si je dis poignard c'est uniquement parce que les mots machette ou épée courte possèdent un copyright. De la taille d'un bras d'enfant et parsemé d'encoche et de pointes, mon petit joujou produit toujours son effet autour de lui. Tout en m'accroupissant devant ma victime, je lui agite sous le nez la pointe de la lame menaçante. Dans ses yeux je lis toute la détresse d'un homme condamné. Deux flammes au fond des orbites, je m'adresse à lui avec toute la joie animale qui m'envahit.

      "Tu as surement fais bien des conneries dans ta vie mon lascar, mais celle d'aujourd'hui est sans aucun doute la pire. Tu n'as qu'une toute petite chance de t'en sortir... Donne-moi le code des colliers et je te laisse vivant. Promis.
      Dans le cas contraire tu vas passer un très mauvais moment en ma compagnie... et de toute façon tu finiras par me les avouer ces foutus codes... Alors autant qu'on gagne du temps blaireau, tu ne crois pas ?"


      La cupidité de l'homme lutte un instant contre la peur qui l'assaille, mais finalement son instinct de survie prend le dessus. Dans un souffle il obtempère et me révèle tout ce qui a à savoir. Alors que Karl prend note des codes, je me fends une nouvelle fois d'un sourire malsain. Avec doigté je baillonne mon prisonnier.

      "Navré mais j'ai menti connard. Garde moi une place en enfer tu veux bien ?
      Mwouahahahahha !"


      Je lui laisse juste le temps de réaliser pleinement le sens de mes paroles avant de lui enfoncer la lame en plein poumon. Lentement sa vie s'enfuit de sa carcasse... Sa mort est longue, j'en profite pleinement en la dévorant du regard. Alors que son dernier souffle vient de le quitter dans un râle, je me détourne du corps sans intérêt avant de sortir un petit paquet de toile. De celui-ci je sors alors un petit poignard dont la garde est ciselée d'un poisson-chat.
      En quelques coups de lame voilà que je maquille la plaie, dans laquelle je laisse l'arme enfoncée profondément. Une fois mon meurtre déguisé, je saisis l'escargo-phone que me tend diligemment mon sous-officier. Quelques secondes plus tard la communication s'établit.


      "Allo, Ici l'officier Arashibourei Toji ! Je viens de constater plusieurs meurtres récents. Selon les indices sur place il y a fort à parier qu'il s'agit du pirate "Kogi Bonigen" dît "le poisson chat" qui en soit le coupable. Je lance aussitôt mon équipe à sa poursuite. Un de mes hommes va vous indiquer les détails. Terminé."


      Ce pauvre Kougi est né avec la malchance de me ressembler grossièrement, car lui aussi homme-poisson à la peau jaune et orange. Je l'ai en réalité rencontré sur les mers quelques années plus tôt, où il s'agissait alors d'un petit pirate que j'avais capturé. Tel un pêcheur remettant à l'eau les poissons trop petits afin d'assurer des pêches futurs plus fructueuses, je l'avais relâché afin qu'il augmente un peu sa prime d'ici que je le capture de nouveau. Sa prime avait d'ailleurs pris des proportions astronomiques depuis le temps, au vu des innombrables crimes dont je l'affublais sans remords. Un jour il s'agirait de lui régler son compte avant que quelqu'un ne le fasse à ma place.


      Rendant l'escargo-phone à mon sergent, je règle avec lui un dernier détail : Roshuan. Il reste le seul témoin de ma magouille, devenant ainsi plus que gênant. D'un signe de tête j'indique à Karl qu'il peut agir. Il sait ce qu'il a à faire et il le fera bien. Roshuan n'est qu'une vermine sans force, il ne devrait pas poser de problèmes.

      Une fois ce détail réglé, je me lance dans la rue en direction du hangars à esclaves. Il ne me reste que peu de temps avant l'arriver de mes confrères, je dois faire vite ! Il est temps de mettre en place la dernière phase de mon plan.





      * Partie 7 : Esclavagisme et état-d'âme.


      Quelques minutes plus tard j'entraine dans mon sillage toute la bande d'hommes-poissons. Trop heureux d'être libéré, ceux-ci me suivent docilement dans le dédale de l'archipel. Je leur ai tout de même laisser leurs colliers, "au cas où on rencontrerait des marines en routes". Au bout de la course, je nous amène enfin à l'arrière d'un immense bâtiment qui m'est familier. Alors que je peux lire une lueur d'incompréhension dans le regard de mes compatriotes, je tape à une petite porte qui se déverrouille dans un grincement. Après une courte conversation à voie basse et plusieurs enveloppes données en sous-main, j'indique aux fuyards d'entrer.

      "Cachez vous ici le temps que mes confrères de la marine arrêtent de vous traquer. C'est un très bon ami à moi qui tient cet établissement, vous y serez à l'abri. Allez, dépêchez-vous !"


      Alors que défile devant moi les visages reconnaissants, je retrouve le guerrier au regard fier que j'avais remarqué dans la matinée. Dans ses yeux je vois toute la gratitude d'un peuple à l'agonie. Il se souviendra très probablement de moi toute sa vie.
      Une fois la porte fermée et verrouillée, je repars sans perdre de temps en direction de mon équipage. Contournant le bâtiment, je sifflote une petite marche militaire, le visage peint d'une satisfaction évidente. Derrière moi retentissent d'innombrables cris de rage, étouffé en partie par les murs épais de la salle de vente aux esclaves que je viens de quitter.

      Les poches pleines de Berries, j'explose d'un rire puissant qui résonnera encore longtemps entre les racines de l'archipel.


      "Mwouahahahahahahhahahah !!"


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      RP fini, relu et corrigé ! 250 lignes.

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      Pour moi c'est d'accord pour le grade de Colonel avec 1000 Dorikis.
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      Moi de même !
      Il ne te manque plus qu'une voix !
        De même, même si ça me fait mal au cœur qu'il soit plus fort que moi ;)

        Mais tu as un meilleur niveau, donc bon rp à toi ! Et finalement tu prendras quel haki en attendant la dernière voix pour que tu sois validé.
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        Je déplace et valide.