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Alec Houm

>> Alec Houm


Alec Houm Teppei11
Pseudonyme : La Mouche
Age: 19
Sexe : Homme
Race : Humain

Métier : Charpentier
Groupe : Marine (espion de la Révolution)
But : Atteindre la Lune avec une flèche (à expliquer en FB)

Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Pas pour le moment
Équipement : Equipement de base du Marine, avec un arc fait maison à la place du fusil réglementaire et 2 tonfas de sa production également

Codes du règlement :

Parrain : /

Ce compte est-il un DC ? : Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? : /
>> Physique

La Mouche, tel qu’il se fait secrètement appeler, ne ressemble en rien à l’animal dont est issu son nom. De taille moyenne et de corpulence solide, il ne donne pas l’impression de vouloir s’envoler à tout moment. Sa chevelure brun foncé met en valeur son teint clair, qu’une absence d’exposition au soleil a depuis longtemps fixé. Seule la cicatrice qui barre la droite de son visage apporte une note de couleur sombre à son visage pâle. Ses yeux, d’un gris acier, renforcent le côté étrangement calme de son expression. Il semble continuellement serein, paré à toute éventualité. Il porte également 3 boucles d’oreilles de couleurs différentes à l’oreille droite. Ce sont les seuls bijoux qu’on lui a jamais vu.
C’est lorsque qu’il sourit qu’une vraie chaleur envahit ses traits. Une rangée de dents saines apparaissent comme par magie et illuminent son visage pour la plus grande surprise de son interlocuteur. Son rire est quant à lui vraiment singulier. D’abord choquant, le « Bzah bzah bzah ! » devient vite agréable à l’oreille.
Cependant, lorsque le marine se met en colère, tout caractère sympathique disparait de son être. Ses yeux surtout, dégagent un froid glacial qui réduit au silence la pauvre personne qui a eu la mauvaise idée de le provoquer. Cet effet est assez rare, un des seuls moyens de le provoquer est de parler de tuer avec un plaisir apparent.  
La majorité du temps, Alec se déplace avec son arc dans le dos. Ses mouvements de tête, plus réguliers que la moyenne, donnent l’impression qu’il veut toujours s’assurer de sa présence sur lui. Cela lui permet surtout de garder à l’œil les environs afin d’éviter d’être surpris. Il se déplace d’un pas décidé, sans pour autant faire plus de bruit que de raison. Ses épaules, relativement larges, lui permettent de fendre quelques groupes de personnes, mais traverser une foule compacte sans se faire bousculer n’est pas dans ses cordes.
Houm se rapproche plus du parleur discret que de l’enjoué qui ne peut retenir un trait d’esprit. Il lui arrive parfois de laisser quelques secondes passer avant de répondre à son interlocuteur. Est-ce une marque de réflexion ou une provocation délibérée ? Cela dépend de l’interlocuteur auquel il s’adresse. Quand un petit sourire ironique se devine, c’est définitivement cette dernière option.
Le régime végétarien qu’il suit depuis son enfance, n’a pas porté préjudice à sa musculature. Les muscles de son dos, fréquemment employés lors des séances de tir à l’arc, sont les plus développés de son anatomie. Ses bras sont de taille respectables mais les épreuves de force avec d’autres soldats ne finiraient pas par sa victoire. Ses capacités de déplacement, par contre, sont très bonnes. Une adolescence passée en forêt, à fuir les mouches auxquelles il venait de dérober leur butin, lui a permis d’acquérir une vitesse et une endurance très respectables ainsi que des réflexes impressionnants.
Mais toute cette énergie disparait comme par enchantement lorsqu’il saisit son arc. Ce bout de bois amoureusement travaillé à la main, Alec s’immerge dans le moment présent. Il n’est plus que perception. Ses sens sont employés à leur maximum, pour percevoir le moindre changement dans l’air ambiant et adapter son tir en fonction. Les spectateurs d’une telle transe sont en général absorbés par le spectacle et essaient, inconsciemment, de reproduire cette concentration. Sans vraiment de résultats.
>> Psychologie

Les décisions d’Alec Houm sont dictées par un grand principe de vie : ne jamais tuer. Il n’aura aucun remord à attaquer quelqu’un, à lui infliger une raclée, mais il évitera au maximum de faire couler le sang et ne tuera jamais de manière consciente. Ce principe l’amène à détester toutes les personnes pour qui tuer est un acte basique, quasi journalier, qu’ils accomplissent sans aucun état d’âme. S’entendre avec des personnes si différentes est impossible pour lui.
Il n’est pas modeste mais évite de se vanter de ses capacités devant ses camarades. Celles-ci sont suffisamment étonnantes pour attirer l’attention sur lui mais il n’en tire aucun plaisir. Son affection va vers les membres de la Révolution, dont la cause lui semble juste. Il ne méprise pas les Marines. Ce sont des êtres libres qui ont fait leur choix et qui en assument les conséquences. Ils sont prêts à mourir pour leurs convictions et c’est un quelque chose qu’il respecte. Voilà pourquoi il n’a pas de problème à se lier avec d’autres soldats, mais ça n’ira pas plus loin qu’une camaraderie.
En groupe, il peut être enjoué mais ce n’est pas le gai luron de la bande. Il se met légèrement en retrait, afin de garder un œil sur tout ce qui se passe. Cette attitude lui permet d’analyser le comportement de ses proches mais également de réfléchir sur le monde qu’il découvre, si différent de sa forêt natale. Cela peut être perçu comme attitude solitaire, mais ceux qui le pensent se rendent rapidement compte du contraire une fois qu’ils lui parlent.

La grande passion d’Alec est la Lune. Il rêve de la percer d’une flèche afin de pouvoir la manger [ce sera expliqué lors d’un FB]. Cette obsession l’amène à un comportement spécial dès qu’il voit un objet s’en rapprochant (pierre blanche, crâne chauve, bloc de sel…)  il essaye de mordre dedans à pleine dent.
C’est un leader efficace, sensible au bien-être de ses hommes, qui fera passer leur sécurité avant la réussite de la mission.
Son attachement à la Révolution n’est pas issu de la haine envers le Gouvernement Mondial. Il pense que ce dernier fait ce qu’il peut pour maintenir la paix mais que celle-ci n’est qu’une illusion dans laquelle se bercent trop de personnes. La Révolution, au contraire, lui semble plus réaliste. Elle voit la face sombre du monde et est prête à se sacrifier pour la faire disparaitre.
>> Biographie

« Disparais de ma vue ! Tu n’es plus mon fils ! Je n’en ai jamais eu ! »

Tels furent les derniers mots du plus riche industriel de Poiscaille à son fils unique, avant qu’il ne claque la porte de sa demeure. Certains diront que c’était prévisible, l’enfant avait après tout causé la mort de sa mère, Alexia, lors de sa naissance. D’autres diront qu’il était plus que temps que l’industriel s’en débarrasse, le gosse ne manifestait après tout aucun intérêt pour la pèche.
Mais personne ne se portera au secours d’un garçon tellement étrange. Après tout, comment considérer comme normale une personne qui refuse de tuer un pauvre petit poisson ou même simplement de le manger ?!

C’est donc sans soutien d’aucune sorte qu’Alec, désormais sans nom, débuta son entrée dans le monde.
Poiscaille, reconnue dans tout East Blue pour son industrie poissonnière, n’est pas un endroit pour un garçon de 12 ans.
Devant l’inhospitalité des lieux, Alec se décida assez rapidement à se rendre dans la forêt grise. Les habitants de la ville, dont l’attention est uniquement orientée vers le large et les bancs de poissons, n’ont jamais pris la peine d’explorer leur île. Il faut reconnaître que celle-ci est sinistre. Sans les courants marins concentrant une invraisemblable quantité de poissons dans les environs, cette île serait sans aucun doute inhabitée.
Cependant, la vie à Poiscaille étant totalement hors de question, c’est dans cette forêt lugubre que le garçon s’aventura, la peur au ventre mais bien décidé à y survivre.

Les 3 années suivantes furent rudes et sans répit, mais Alec survécut. L’eau était abondante et la faune plutôt inoffensive, le seul problème était la recherche de nourriture. Les arbres fruitiers étaient très nombreux et leur fruits larges et succulents, pourtant l’adolescent ne pouvait les atteindre.
Les arbres étaient totalement dépourvus de branches, excepté à leur sommet, et c’est sur celles-ci que poussaient les fruits démesurés. De plus, lorsqu’un fruit était mûr, il ne restait pas plus d’une dizaine de minutes avant qu’une mouche de s’en empare.
Ces « mouches », comme Alec les désigna lorsqu’il les aperçu pour la première fois, faisaient plus d’un mètre de long. Taille nécessaire pour transporter des fruits lourds de plusieurs kilos.
Le seul moyen pour le garçon de se nourrir était donc de s’emparer d’un fruit lorsqu’un  de ces insectes le transportait.
C’est ainsi qu’il développa de merveilleux talents d’archer, lui permettant de faire lâcher prise à la mouche, sans pour autant la tuer. Car oui, le principe qui lui avait valu d’être refouler par l’entièreté du peuple de Poiscaille était toujours une valeur quotidienne pour jeune homme.

Cela compliquait sa tâche, car les mouches le poursuivaient généralement avec ardeur pour récupérer leur bien, mais Alec ne cédait pas sur ce principe. Et lorsqu’il ne parvenait pas à se procurer suffisamment à manger, il se rendait en ville pour chaparder des fruits ou du pain.

C’est vie à moitié sauvage aurait pu continuer encore de nombreuses années, s’il n’y avait pas eu cette rencontre …


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Rapport confidentiel de Neil Quanou, Capitaine de frégate de l’Armée Révolutionnaire.

Chef,

Voici l’histoire d’une personne dévouée à notre cause qui, selon moi, mérite votre attention pleine et entière.

Il y a 3 ans, nous croisions au large de Poiscaille, en East Blue, quand une violente tempête nous surprit. Les dégâts étaient importants et nous devions nous ancrer pour que je puisse réparer. La ville étant pourvue d’une forte garnison, nous sommes allés de l’autre côté de l’île. Selon mes estimations, une semaine de réparation était nécessaire. Comme le règlement le prévoit, nous avons établi un périmètre de surveillance puis le reste de l’équipage s’est attelé à la remise à flot du navire.
J’étais occupé sur le gaillard d’avant quand le garçon est apparu. J’ai beau avoir perdu un œil, vous savez d’expérience qu’il est difficile de me surprendre.
Et pourtant, ce n’est que lorsqu’il a parlé que je me suis rendu compte de sa présence. Il m’a interrogé sur ce que je faisais. Trop abasourdi pour réfléchir, je lui ai dit que je ponçais une rame. Et, sans que je m’en rende compte, nous avons parlé menuiserie et charpenterie tout le reste du jour. Il avait du mal à s’exprimer au début et ses vêtements étaient plus végétaux qu’issus d’un magasin. Il avait dans le dos un arc grossier et quelques morceaux de fruits dans sa besace. Je devinais donc qu’il vivait dans la forêt peu accueillante qui se trouvait à deux pas. Il ne me sembla pas représenter de danger, le reste de l’équipage fut du même avis. Nous pensions qu’il embarquerait avec nous le moment venu afin que nous l’amenions dans une ville.
Pourtant, lorsque nous partîmes, il ne demanda pas à nous accompagner.

Durant la semaine que nous passâmes là-bas, il observa toutes nos réparations ave attention, interrogeant chacun sur ce qu’il faisait. Nous nous prîmes d’affection pour lui et nous lui laissâmes quelques vivres ainsi que des ustensiles de base avant de le quitter. Cette rencontre date de 2 ans.


L’année passée, nous étions déployés dans le même secteur. Nous nous sommes donc rendus au même endroit pour remplir nos barriques d’eau fraiche. Le garçon s’y trouvait lorsque nous mîmes pied à terre. Il avait grandi, paraissait plus en forme et avait désormais un arc de très belle facture dans le dos, mais toujours pas de gibier à la ceinture.
Cette fois-ci, il se montra plus posé. Il m’interrogea sur le travail du bois mais également sur le monde extérieur. Je lui parlais de la situation actuelle, des différentes forces qui s’affrontaient et, le jugeant fiable, lui annonçait que nous faisions partie de la Révolution. Cela ne sembla pas le perturber. Au contraire, il se montra encore plus curieux. Le lendemain soir, il demanda à se joindre à nous.
Je suis un vieux de la vieille chef, j’ai vu mon lot de nouvelles recrues clamant haut et fort qu’ils voulaient combattre le gouvernement. Et pourtant mouiller leur culotte au premier son d’un canon. Ce n’était pas le cas de celui-là. Il avait le regard droit et franc, celui d’un gars qu’on veut avoir à ses côtés lors des coups durs. J’étais prêt à lui donner l’accolade directement, mais j’aime faire ça dans les formes donc je lui posais quand même les questions rituelles.

- Si tu rejoins la Révolution, tu seras l’ennemi du Gouvernement Mondial, la plus grande puissance de ce monde à l’heure actuelle. - T’en rends-tu comptes ?
- Oui.
- Les privations sont fréquentes dans l’armée révolutionnaire, sauras-tu y faire face ?
- La richesse de la compagnie contrebalancera.
- Le froid, la faim, la peur seront tes amies.
- La conviction en est une meilleure.
- La Révolution a un gouvernail, es-tu prêt à le suivre ?
- Tant qu’il ne perd pas sa route.
- Lui prêteras-tu ta force ?
- Tant qu’il m’en restera.
- S’il s’égare, que feras-tu ?
- Je lui montrerai la voie.
- Trahirais-tu ton chef ?
- Seulement s’il trahi la Révolution.
- Lui feras-tu confiance ?
- L’idiot fait confiance, le sage la confie.
- Tu trouveras certainement la mort lors d’une mission. L’acceptes-tu ?
- Oui.
- Pourquoi ?
- Car une mort sensée vaut plus qu’une vie égoïste.
- Tu es prêt à donner ta vie pour notre cause, mais es-tu prêt à en prendre ? Tueras-tu lorsque ce sera nécessaire ? »

Ce n’est pas la partie la plus simple. Je suis habitué à voir les candidats virer au blanc ou se tendre avant de répondre à cette question, mais sa réaction m’a totalement choqué. Il m’a regardé droit dans les yeux, plusieurs secondes durant. La surprise, l’incompréhension, la peur, la colère… Je ne sais lequel de ces sentiments était le plus fort mais le dégoût les dominait tous. Il a ensuite tourné les talons et disparu dans la nuit. Nous avons essayé de le suivre mais peine perdue, il était introuvable. Nous avons passé plusieurs jours à le chercher mais l’heure du départ à finalement sonné. C’est le moral au plus bas que nous avons quitté l’île, pensant ne jamais y revenir.


Il y a quelques mois pourtant, nous étions pris en chasse par un navire de la Marine. Nous avions besoin d’un abri où nous cacher en attendant des renforts. Nous nous sommes donc dissimulés dans notre crique désormais bien connue, sans plus penser au jeune garçon que nous avions quitté il y a plus d’un an. Ce fut donc une grande surprise quand nous le vîmes, à la lisière de la forêt. Il avait de nouveau grandit, et ressemblait maintenant à un vrai jeune homme en pleine santé. Les retrouvailles furent tendues, sa fuite précédente était dans tous les esprits. Il ne nous laissa cependant pas le temps de l’interroger à ce sujet.
Voici ce qu’il nous dit :

« La mort est inévitable, je le comprends depuis de nombreuses années. Toute chose finit tôt ou tard par mourir. Que sont heure soit venue ou que ce soit pour nourrir quelqu’un. L’homme est le seul à précipiter les choses sans besoin vital. J’ai écouté tes paroles, et elles m’ont choquées. Je pensais que vous étiez différents, que vous défendiez la vie. J’ai été déçu.

Mais j’ai réfléchi. Certains sacrifices sont nécessaires pour défendre ce qu’on croit juste. Si je suis prêt à les faire pour la Révolution, certains les feront pour d’autres causes. La mort de l’un permet la vie de l’autre, et maintenant je l’accepte.
Je ne peux pourtant pas me résoudre à tuer, même pour une cause dans laquelle je crois. J’aimerais me rendre utile sans tuer quiconque.
Est-ce possible ? »


Si seulement vous aviez été là Chef, je ne déclenche pas les passions comme vous. J’étais bouleversé par ce gamin, donc je lui ai répondu la seule chose qui me soit venue en tête sur le moment.

« Tu peux infiltrer la Marine et espionner pour nous. »


Il m’a regardé avec intensité puis a souri avant de dire :

« Adieu N’a qu’un œil. Prends soin de toi.»
Et il disparut dans la forêt.

Je m’en voulais d’avoir dit ça mais mieux valait que ce gamin s’enfuie plutôt que de plonger dans un monde auquel il n’est pas préparé, n’est-ce pas ?
Enfin, les Marines s’approchaient et il était temps de faire front. A contrecœur, je le chassais de mes pensées et me concentrais sur l’affrontement imminent. Vous en connaissez le résultat : nous gagnâmes mais au prix de nombreuses vies. Paix à leurs âmes.


Si je vous raconte cette histoire en détail c’est parce que, il y a quelques jours, je me suis de nouveau rendu dans la crique pour faire le plein d’eau.
Un parchemin était déposé dans une besace, près de la source que nous avions l’habitude d’utiliser.
Le voici :

«  Le cadet est diplômé de l’Académie de la Marine après 2 mois de formation. Son excellente prestation lui permet d’entrer à l’école des officiers de la Marine avec les vives recommandations de ses instructeurs, spécialement ceux du tir et de construction nautique. »

Comme si ça ne suffisait pas, un deuxième parchemin était également dans la besace :

«Le test final à lieu demain midi. Je t’écrirai une fois que je connaitrai mon grade et mon affectation. Prends la besace avec toi et garde-la à l’abri de la pluie mais à l’air libre. Je me débrouillerai pour y faire déposer mes rapports. Prends-soin de toi N’a qu’un œil. Et bonjour à tout le monde. La Mouche. »

Voilà toute l’histoire Chef. Si tout se passe bien, et je l’espère vraiment pour le gamin, nous disposerons d’un espion supplémentaire au sein de la Marine. Mais celui-ci me semble promis à de grandes responsabilités, si l’œil qui me reste sait encore jauger les gens.

Avec votre accord, je vais garder la besace sur mon navire. Aucun de mes gars ne sait de quoi il s’agit et j’apprécierais que vous gardiez secrète cette histoire, qui sait où les espions de la Marine sont eux-mêmes parvenus.

Longue vie à la Révolution !
Neil Quanou.
>> Test RP

Le Test RP est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation une fois achevées les étapes précédentes. Faire un test RP avant cette intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.
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Informations IRL

Prénom : Jean
Age : 24
Aime : beaucoup de mangas ;)
N'aime pas : les choux de bruxelles
Personnage préféré de One Piece : Un seul ?! Hum... Impossible de faire un choix désolé ^^
Caractère : Convivial. Souriant (pratique derrière un écran). Gourmand. Sportif.
Fait du RP depuis : J'ai fait 1 an sur One Piece Reign il y a un certain temps, rien en dehors de ça (ce qui explique ma maitrise des codes ^^')
Disponibilité approximative : Assez élevée
Comment avez-vous connu le forum ? Google



Dernière édition par Alec le Mer 12 Nov 2014 - 17:45, édité 1 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t12609-fiche-technique-alec-houm
  • https://www.onepiece-requiem.net/t12531-alec-houm
Paré pour le test RP ;)
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Yo Alec, bienvenue !

Je te propose ce test :

Les boucaniers se replient. Leur assaut n'a pas duré plus d'une demi-heure, mais les horreurs insoutenables qu'ils ont commis durant ce laps de temps s'étalent dans la rue, sous forme de sang, de feu et de gémissements. On ne sait pas vraiment où et comment le chaos est né, probablement un accrochage de pirates qui a viré au drame. Au point de faire flamber un quartier, population comprise...

Situation extrême est synonyme de mesures extrêmes : pour vos supérieurs, l'heure est à la "justice absolue" : on ne laisse s'échapper aucun criminel, on répond au sang par le sang.

Et lorsque ton régiment trouve et encercle un groupe de pirates, l'ordre est simple : "Tuez les tous !"

Ton credo survivra-t-il à cette débauche de violence... et aux désirs vengeurs de ton supérieur ?

S'il ne te convient pas, n'oublie pas que tu peux en demander un de remplacement.

Bon courage et à bientôt !
  • https://www.onepiece-requiem.net/t10413-fiche-de-craig
TEST RP


Les yeux verts émeraude. Limpides dans la mort.
Les paupière avaient refusé de se fermer sur son visage enfantin. Une dernière marque de son combat pour la vie, tandis qu’elle fuyait par sa gorge.
Comme si l’acte n’était pas déjà si ignoble en soi, il avait fallu qu’il ne soit pas immédiat, que le pauvre se rende compte que sa vie lui échappait et qu’il essaye de la retenir en portant ses mains sur la plaie.

Il était l’une des dernières victimes qu’Alec et son régiment de futurs marines avait rencontré.
Si jusque-là les morts les avaient mis en colère, l’enfant et sa mère, effondrés en plein milieu de la route avaient éveillé en eux une rage nouvelle. Subite. Incontrôlable. Douloureuse. Qui ne demandait qu’à trouver une échappatoire.
Maintenant à portée de sabre.

Ils avaient rencontré un groupe de pirates, quelques instants auparavant, et les avaient promptement encerclés. Adossés au mur de la forge de la ville, ces derniers n’avaient aucune chance de s’enfuir, sans dégâts du moins. Les deux camps s’étaient alors défiés du regard, l’un échauffant sa haine avant l’assaut, l’autre hésitant à se porter à la rencontre d’adversaires plus coriaces.

Le meurtrier face à Alec était l’archétype du vilain. Le visage balafré, la barbe mal rasée, il avait de vieux chicots jaunes pointant entre ses gencives irritées. Sa chemise lignée battait à tout vent et le sang qui l’ornait ne semblait pas être celui de son propriétaire. Il jetait un regard torve autour de lui, cherchant vainement une issue au piège dans lequel il se trouvait.


Oh la raclure ! Pour tuer des femmes et des enfants sans défense, pas de problèmes. Mais dès qu’il s’agit d’un combat à peu près égal, la fuite est la meilleure option… Quelle sale engeance ! Il mériterait que je..

Tuez-les ! Tuez-les tous !


Le cri du sergent-instructeur venait de couper court aux malédictions du jeune soldat. Comme un seau d’eau froide qui tombe sur une tête brulée, ces simples mots avaient rendu ses esprits à Alec.


Il mériterait que je quoi ? Que je le tue ? NON ! Jamais ! Je me le suis juré. Pas après tout ce que j’ai vu. Jamais. Ne pas détruire définitivement ce qui peut encore porter des fruits, je l’ai promis. Et si je suis seul sur cette route, je dois être d’autant plus fort pour la suivre.


Ce recentrement de conscience finit, le jeune archer porta son attention sur ce qui l’entourait. Quelques soldats étaient restés sans bouger, le sergent passait vivement d’un à l’autre pour les pousser dans la mêlée.
La majorité du régiment était cependant aux prises avec les pirates, et ce que vit Alec ne le rassura pas.

Bien que moins nombreux, les pirates ne cédaient pas d’un poil face aux assauts des jeunes marines. Se fiant au mur dans leur dos, ils seraient les rangs et attendaient que les bleus commettent des erreurs pour frapper. Cette technique défensive n’a que peu de chances de réussir face à des armes à feu.
Hélas, aucun des marines présent n’en disposait. De retour d’une manœuvre à l’extérieur de la ville lors de l’attaque, il était déjà heureux que les aspirants officiers aient leur sabre à la ceinture.
En temps normal, l’officier aux commandes modifierai sa stratégie en attendant des renforts ou des armes à feu, mais le sergent ne semblait pas se rendre compte de la situation. Alec se précipita vers lui.


Sergent ! Il faut arrêter le combat ! On se fait massacrer. Il faut rétablir le périmètre et attendre l’arrivée de renforts ou envoyer chercher des fusils.

Arrêter le combat ?! Attendre ?! Et risquer de les laisser s’enfuir ? JAMAIS ! Ils doivent être tués. Tous ! Après ce qu’ils ont commis ? Ces gens égorgés, carbonisés… Et ce qu’ils ont fait à …


Tremblant de rage, le sergent porta son regard sur le groupe de pirates et le chargea en hurlant. Le jeune marine voulut le retenir mais son supérieur fut plus vif que prévu. Il le perdit rapidement de vue dans la cohue.


Il a perdu l’esprit… Si on ne change pas la donne rapidement, les pirates seront certainement tous morts, mais au prix de combien des nôtres ? Il faut éviter ce bain de sang.


Sans perdre inutilement son temps à maudire l’absence de son arc, qui aurait rendu son entreprise beaucoup plus facile, il inspecta les bâtiments alentours.
Le quartier où ils se trouvaient était mortel de par sa banalité : des petites chaumières tranquilles avec parfois un pot de fleurs à la fenêtre, un banc usé par les intempéries et un vieux puits hors d’usage.
Seule tranchait la bâtisse du forgeron, plus haute que les autres et surmontée d’une citerne de bonne taille. Le puits défectueux avait surement poussé l’artisan à investir dans ce réservoir supporté par un épais trépied.
Ce rapide tour d’horizon suffit à Alec pour établir son plan d’action.


Phase 1, la main d’œuvre.


Sans l’influence du sergent désormais dans la mêlée, quatre marines hésitaient encore à se porter au devant du danger.
Ils parurent soulagés quand le jeune homme leur ordonna de se rendre dans la forge et de récupérer une corde aussi longue que possible. Aucun d’entre eux n’éleva d’objection devant la prise de pouvoir d’un de leurs pairs. Ils obéirent directement et se ruèrent à l’intérieur.


Peur du combat et aucun esprit d’initiative… De vrais moutons qui ont besoin d’un berger rassurant. Enfin, passons à la phase 2.


La phase 2 pourrait sembler irréalisable pour les-dit moutons, mais ce n’était qu’une formalité pour Alec. Après tout, qu’est-ce qu’une maison d’un étage, aux briques apparentes, quand on a grandi en partie dans une forêt vierge ? Rien du tout. C’est le temps qu’il fallut au futur marine pour se retrouver à côté d’un pilier de la citerne.
Il s’agenouilla et laissa ses mains glisser sur la poutre.


Du chêne. Vieux. Le vent et le sel marin l’ont abîmé, mais le cœur reste fort. Echardes et fiss…Haaaa !


D’énervement, Alec donna un coup de poing sur le bois. Cela ne servit strictement à rien, si ce n’est à s’érafler les phalanges. Il savait depuis longtemps écouter le bois, mort ou vivant.
Tout d’abord par curiosité, puis par nécessité, il avait appris à lire cette matière, à percevoir où et comment il devait couper pour que la courbe de son arc soit belle et solide. Ce savoir, uniquement issu de l’observation et du toucher, il l’avait appliqué avec plus de finesse après avoir écouté tout ce qu’avait bien voulu lui dire N’a qu’un œil.
Devant une poutre pareille, il ne devrait pas lui falloir plus de quelques secondes. Mais les bruits du combat en contre-bas perturbaient sa concentration.


Allez. Calme-toi. Respire… Voilà, reprenons. Echardes et fissures. Grain profond. Un erreur de ponçage ici. Et là… Parfait !


A environ un mètre de hauteur, un nœud avait été coupé sur l’extérieur du bois. Avec une pression exercée au bon endroit, il sortirait de la poutre dans son entièreté sans difficulté. Armé de son sabre, Alec le délogea. Cela ne suffisait pas pour briser la poutre, mais elle était considérablement affaiblie. Il fallait juste lui donner un petit coup de pouce.

Reportant son regard juste en dessous de lui, il aperçut que la bataille battait toujours son plein. Le nombre de morts avait augmenté des deux côtés, mais l’issue restait indécise.


Il faut se dépêcher ou il n’y aura personne à sauver.



Heureusement, ses camarades, en bordure de l’agitation, l’avaient aperçu et l’un deux faisait déjà tourner l’extrémité de la corde qu’il tenait pour la lui lancer. Les 3 autres attendaient visiblement son feu vert pour tirer par l’autre bout. Révisant son jugement laineux à leur propos, il attrapa la corde qu’on lui lançait et l’attacha fermement à la poutre. Il entama aussitôt sa désescalade tout en hurlant :


TIREZ !



La corde se tendit et le bois se brisa au niveau du nœud manquant. La citerne sembla hésiter puis bascula lentement en direction de la cohue. Le toit était assez large pour que la citerne ne risque pas de tomber dans son entièreté sur la foule, tout en déversant son contenu directement sur la chaussée.
Le résultat fut immédiat. Les trombes d’eau renversèrent tous les combattants, emportant certains sur quelques mètres avant qu’ils ne s’immobilisent. L’action fulgurante de l’eau ne dura pas.
Les hommes commençaient à geindre tout en peinant à se relever, quand Alec cria à ses compagnons, simplement éclaboussés :


Assommez-les ! Assommez-en le plus grand nombre avant qu’ils ne reprennent leurs esprits !


Se jetant lui-même au milieu des corps trempés, le jeune homme leva son sabre et abattit le pommeau sur le crâne d’un boucanier qui se relevait. Celui-ci retourna illico s’affaler dans l’eau boueuse. Plusieurs autres le suivirent.

Alec ne pouvait espérer mettre hors d’état de nuire tous les criminels, mais ses 4 acolytes œuvraient avec force à ses côtés. Devant ce spectacle, les autres jeunes marines qui se relevaient se rangeaient à leurs côtés et assommaient leur lot.
Une fois que tout le monde fut sur pied, il ne restait plus qu’un tiers des pirates. Ceux-ci, comprenant la situation, jetèrent leurs armes et s’agenouillèrent.
C’est alors que le sergent, couvert de boue comme la plupart, arriva. Il semblait avoir été de ceux refoulé sur plusieurs mètres par la vague. Sans prêter gare à ses hommes, il se dirigea vers les prisonniers, l’épée levée. Alec se jeta devant lui.


Sergent non ! Ils se sont rendus.

Dégage ! Ils doivent mourir.

Ils se sont rendus sergent. Ils doivent être jugés pour leur crimes. C’est Impel Down à coup sûr pour eux.

Non, ils doivent tous crever. Après ce qu’ils ont fait à cette ville… Ils ne peuvent pas s’en sortir.


Le jeune marine observa son supérieur. Il ne l’avait jamais vu ainsi. Après quelques mois passés en sa compagnie, il ne le classait pas comme un furibond voulant tuer à tout prix…
C’est alors qu’il remarqua ses yeux. Ils n’étaient que douleur et haine. Pas de trace d’hésitation, de réflexion ou de soulagement. Rien que de la haine, derrière une douleur immense dans ces yeux verts.
C’est alors qu’il compris.


C’était votre fils n’est-ce pas ? demanda-t-il d’une voix douce.


Un long silence. Porteur de chagrin. De doute. De deuil.


Oui.


Un murmure. A peine discernable. Comme s’il refusait l’évidence.


Alors laissez-les vivre. Laissez-les vivre pour qu’ils regrettent. Qu’ils se rendent compte de leur crime. Que ce soit de leur propre chef ou sous la houle de leurs geôliers. Qu’ils en sortent meilleurs ou qu’ils souffrent à jamais dans les tréfonds d’Impel Down.
Mais ne les privez pas de cette souffrance qui les attend. La mort est bien trop douce pour des monstres comme eux.


La place était silencieuse. Les pirates, comprenant que leur sort était en jeu, attendaient le verdict avec crainte. De longues secondes s’écoulèrent. Finalement, le sergent releva la tête et regarda la recrue qui avait osé le défier.
Celle-ci ne lut plus que de la résolution et une tristesse immense dans les yeux vert émeraude.


Le commandant sera averti de votre comportement, engagé Houm. En attendant, prenez 10 hommes et occupez-vous des blessés. Amenez-les au centre médical puis venez me faire votre rapport. Vous posterez une sentinelle pour chaque pirate qui devra être soigné. Rompez !


Puis, à l’adresse du reste de ses hommes.


Régiment d’aspirants officiers. Formation en 2 colonnes. Les prisonniers au milieu. Au moindre signe de rébellion, vous leur tranchez la gorge. En formation !


Comme tout bon régiment de marines, les ordres furent promptement exécutés.
Et quelques minutes plus tard, seuls quelques traces de sang témoignaient du carnage qui avait failli avoir lieu devant la forge.

Les évènements du jours seront par contre lourds de conséquences.
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Yebah mon grand, la bienvenue dans la zone ! Veinard, que je reprends un peu de service dans le coin rien que pour toi (ou presque). Bwahahaha !

Sur le physique / caractère, peut-être quelques points de trop développés, pas forcément méga utiles (genre : il est ni orgueilleux, ni modeste...), mais l'essentiel est bien foutu, plutôt marrant par endroits, et donne une bonne idée du perso. Donc, c'est cool.

L'histoire se lit vraiment vraiment bien. Le rapport en particulier est chouette, et j'ai eu un coup de cœur pour le recrutement avorté (avec le jeu cérémoniel des questions-réponses, qui aurait pu faire kitch mais en fait non). En plus, c'est globalement original. Et je te dis ça alors même que dans le coin, on a tendance à avoir des aprioris négatifs concernant les gens qui tentent de jouer des révos infiltrés dans la marine (rarement crédible sur le long terme...). Mais là, avec l'innocence, l'humanisme et la flexibilité naturelle de ton perso, ça passe franchement bien.
Niveau points noirs, j'en relèverai quand même quelques uns. Déjà, j'ai toujours eu du mal avec les histoires d'enfant semi-sauvage qui arrive à développer une raison, un langage au top, et qui ne vire pas totalement autiste (mais devient au contraire une espèce de "noble sauvage" saint dans son corps et dans sa tête, tout ça). Une petite justif' par-rapport à ton choix extrême, qui est de ne jamais ôter la moindre vie animale ou humaine, ça aurait été top. Mais tout ça, c'est qu'à moitié du vrai défaut. Parce que t'auras tout le temps et toutes les occas' que tu voudras pour faire du FB là-dessus.

Le test, j'ai vraiment bien aimé. Peut-être que ça se termine trop bien à mon goût (subjectivité quasi-totale), mais l'action était chouette, bien retranscrite, très visuelle et pas mal vivante aussi. Une fin un peu abrupte, quelques couilles sur la forme (pas fan des pensées qui se détachent de la narration), mais dans l'ensemble, c'était bien bon à lire.

Aller, je te fais pas plus attendre, je suis sur un 700 dorikis rond comme une pleine lune. T'amuse pas à tirer dedans, il pourrait mal le prendre.

T'hésites pas à réagir en attendant le prochain avis, si le cœur t'en dit ! o/
Une belle soirée à toi !
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Mouetteyo Alec ! C'est moi, le surpuissant Mouetteman, et je viens m'occuper de ton second avis !

Alors, alors, au niveau formel, je n'ai pas grand chose à dire, si ce n'est te conseiller de te relire. Ton style est bon, ton français est plus que correct et ton vocabulaire, riche et fourni ; pourtant, j'ai trouvé plein de petites coquilles, des oublis, imperfections encore plus marquées quand elles sont rares. Du coup, je t'invite à te relire pour tes prochains rp.

Sinon, au niveau du fond, je dois t'avouer que j'ai plutôt bien aimé ton histoire. Déjà, le rire unique, caractère que je trouve absolument nécessaire quand on veut jouer du One Piece, est plutôt cool. Ensuite, le but étrange par rapport à la Lune, honnêtement, a beaucoup attiré mon attention, et, même si tu as dit en parler en FB, j'aurais quand même bien aimé en avoir un avant-goût dans ta biographie.
Par contre, je dois dire que certains passages auraient peut-être mérité quelques éclaircissements, comme l'a souligné Soren. Déjà, pourquoi tu ne veux tuer personne ? Qu'est-ce qui explique ton goût pour la Révolution ? Tu le dis dans ta description, mais tu n'en donnes pas vraiment la raison dans ta biographie. La mort de ta mère ? Le rejet de ton père ?
Potentiellement, ton personnage, à moins d'avoir reçu une éducation extrêmement poussée jusqu'à ses 12 ans, n'est pas forcément apte à ressentir tous les enjeux géopolitiques mondiaux et comprendre la "face obscure" du monde.
Mais bon, je chipote, bien sûr. Après, contrairement à Soren, je n'ai pas forcément de problème avec l'enfance sauvage, qui, je trouve, est une des caractéristiques typiques du Shonen. Surtout que, niveau expression, ton perso a forcément dû se développer avec son père particulièrement riche. Un peu à la "Jumanji", j'ai envie de dire.
Pour ce qui est du test, j'ai bien aimé la façon dont tu t'en es sorti, et tes descriptions m'ont paru si réalistes que, à la fin, j'en ai même éprouvé de la compassion pour le Marine qui a perdu son fils, alors qu'il me paraissait antipathique, de base.

Voilà, voilà, je partirai donc plutôt sur du 750 Dorikis, moi, ce qui te valide, au final, à 725 Dorikis ! Bon jeu sur OPR !

:trucmoche:
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