♣ I am Marine in the Soul ♣
A North Blue se trouve une ville avec un effectif de cinq mille habitants pour seulement 200 marines. Cette grande ville est connue pour son grand trafic avec les pays voisins. Elle accueille aussi bien les bateaux pirates que les marchands. Un an avant d'avoir passer son examen pour la Marine. Kentaru était accompagné de son père afin de profiter du commerce. Ce jour là, il lui apprenait comment marchander, parler et bluffé. Pour notre jeune Homme tous ceci étaient nouveau et il avait soif d'apprendre d'avantage. Chaque nouvel article et nouveaux endroits qu'il découvrait le rendait un peu plus béat. Le garçon solitaire et bagarreur avait laissé sa place à un jeune homme sage et cultivé. Il était attentif et ne manquait rien. Kentaru n'imaginait pas à quel point il était ignorant du monde qu'il l'entourait. Lorsqu'ils marchaient dans les rues, rares étaient les personnes qui connaissaient son père et les saluaient à leurs passages. Quand à d'autre on pouvait voir des regards fuyants. Surement dû à l'accident.... Mais le fils gardait la tête haute. Il était fier de son père et le restera.
La journée avait bien commencé. Son père avait réussis à marchander des articles neuf pour trois fois rien, il avait du talent pour ça ! Ses marchandises étaient soit des présents pour sa famille, soit pour les revendre à bon prix dans leurs villes natal. Si seulement Kentaru pouvait réutiliser se talent pour profiter d'un magasin de viennoiserie et de sucrerie...Enfin bon ! Il avait appris que profiter de la sorte était mal, et il avait depuis longtemps choisit son camps. Pour chaque rue qu'ils visitaient, il y avait au moins une caverne. Celles-ci regroupaient plusieurs types de personne. Les voyageurs venaient s'y reposé et y prendre plaisirs. Le père de notre protagoniste avait expliqué à son fils, que ce qui maintenait la ville si haute c'était les tavernes de catins. Les heures passèrent et le jeune garçon avait eu le droit à quelque sucrerie de la part de son père. Tous ce passaient bien. Cependant, l'après-midi n'allait pas tarder à arriver. Comme on lui avait prévenu, il faudrait qu'il aille au port patienter jusqu'à l'arriver de son père. En effet, celui-ci avait des choses importantes à faire. Il devait s'entretenir avec un homme de la Marines pendant plusieurs heures. Pour la sensibilité du jeune adolescent, il devrait quitter son père et l'attendre assez loin. Ils avaient convenue tout deux, qu'il attendrait au port dans un coin assez éloigné afin de ne déranger personne.
Le futur marine vagabondait dans les rues de cette grande ville. Plusieurs fois dans sa marche solitaire on le bouscula, lui faisant quelque fois trébuché. Mais qu'avaient-ils donc tous ? A plusieurs reprise il c'était retourné pour insulté ses agresseurs, qui bien sûr ne le faisait pas exprès. Certain le forçait à juré. Il c'était même mit à poursuivre un gosse de ville qui avait tenté de lui voler. Néanmoins il s'avait qu'il n'en sortira pas vainqueur. Essoufflé, Kentaru avait failli se perdre, mais il arriva finalement au port. Mais il y avait trop de monde. Non seulement il devait faire attention au déchargement des bateaux, mais aussi aux allé et venu de certain marins. Finalement c'était un mauvais endroit. A sa droite, le garçon avait trouvé un endroit parfait sans activité diverse. C'était un petit coin décoré de verdure et de gros rochés. Il pourrait s'y installé en attendant le retour de son père.
Les bateaux amarré au port étaient certains petits, d'autre impressionnant. Trop préoccupé à regarder les embarcations, il ne fit pas attention en face de lui: Quelqu'un le renversa. Mais il était hors de question qu'il tombe une fois de plus à terre et salisse encore ces vêtements. Aussi rapide que ses pensées, notre jeune bourgeois se retourna et se rattrapa en tirant sur un vêtement que portait l'inconnu. Fiou.... encore un peu et c'était la flaque d'eau qui l'accueillerait...
fou de rage, Kentaru se retourna sans lâcher le vêtement :
- NON, M.....
La taille de l'homme l'impressionna. Il lâcha le vêtement et eu un petit mouvement de recule... il avait une mauvaise impression. Mais il ne fallait pas que sa réaction se traduise par de la peur, ce qui ne l'tait pas !
- Faites y attention la prochaine fois !
Il se retourna afin de continuer sa marche. Mais avant même de savoir si son "agresseur " était partit il avait déjà murmuré dans sa barbe:
- Quel taré !