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Les racines du mal I

Vous quittez la zone. Mizukawa viens de faire le ménage et aucun ennemi ne semble en état de vous causer le moindre problème.

En moins d'une dizaine de minute vous vous êtes débarrassé des hommes du tyran, de quoi laisser les habitants de ce petit village d'une vie sans cet être qui les opprimes.

Alors que vous prenez le large, les habitants commencent à sortir et vous entendez clairement des cris de joie. Ce n'est pas de la comédie, c'est de la liesse, du bonheur. Ils vous remercient, ils vous saluent, maintenant ils croient en vous.

Alors que vos pas vous conduisent vers un escalier qui conduit directement à un autre niveau, l'homme qui était apparu plus tôt fait de nouveau son apparition.



"Pourquoi faites-vous cela ? Pourquoi nous aider ?"

Votre sens du jugement vous fait comprendre que cet homme n'est pas mauvais et que sa question à tout d'une excellente question.


    Il n'y a plus de quoi s'inquiéter, mais il reste tout de même un rempart de taille. Je voudrais pouvoir trouver cet homme tant redouté par les habitants, lui foutre une mandale et pourquoi pas deux... Mon action n'est pas altruiste, elle est animée par une fureur que je ne saurais décrire. Et là, comme un éclat de lumière entre les ténèbres de mon existence, j'entends le soulagement et les encouragements des nombreuses personnes qui nous ont vu à l'oeuvre contre ces parias.

    Cette île abrite un mystère, tout porte à croire que la cohésion sociale est en péril, mais ce que l'on voit, c'est des villageois soudés qui n'attendent qu'une seule chose, la libération ! Se délivrer des griffes du terrible Auron. Alors si tu veux vraiment savoir pourquoi nous faisons cela ? Et bien la réponse est simple. Aussi limpide que le réveil de Luka qui se relève peu à peu de ce mauvais coton qu'on lui a filé... Et puis, il n'y a guère que le sublime qui puisse nous aider dans l'ordinaire de la vie.

    Aller au delà de nos propres sentiments afin de ressentir toute la chaleur humaine qui nous enveloppe, nous réchauffe et nous réconforte dans cet dédale oppressante qu'est la vie. Et je survis dans une réalité qui m'échappe. Accablé par tant de violence, écrasé par l'hypocrisie, ébloui par un artifice de simulacre artificiel. Je suis seul dans ce labyrinthe, pour unique repère, ma lumière noire et ma ténèbre blanche.

    Je suis condamné à errer au milieu de ce hiatus. Je me réfugie dans mon esprit tourmenté, je me blottis en son sein pour caresser le peu de pureté en moi, mon humanité.

    - C'est dans notre nature, les pirates. On s'aime pas vraiment et on se fait la guerre. Alors si ça permet de vous aider au passage, c'est pas plus mal. Pourriez-vous nous guider vers Auron ?  


    Qu'est-ce que je compte faire ?

    - Je vais lui botter le cul !

    Pendant ce temps, Luka questionne le monsieur à propos des gens d'ici ainsi que sur cette île volante...
      Dans l'obscurité de son esprit, Luka attendait que son corps élimine le peu de gaz qu'elle avait aspirée. Cela faisait longtemps qu'elle ne c'était pas retrouvée ici et ca ne lui manquer pas temp que ça ! Dans cet endroit, le temps passe différemment mais aujourd'hui elle n'avait aucune envie de restait dans l'obscurité pour réfléchir. Dehors il y avait beaucoup de chose a faire. Ainsi dés qu'elle sentit l'opportunités de se réveiller, elle força un peu les choses.

      La fillette se redressa en toussant, l'odeur du gaz lui donner envie de vomir, malheureusement son estomac n'était pas asser remplir pour prétendre vomir quoi que ce soit! L'ambiance du terrain avait changée...pourtant elle n'avait pas dormis longtemps...si?
      Des femmes, qui quelques temps plus tôt la dévisageait, l'aidait maintenant à ce relevait. L'homme du bar s'approcha. La jeune fille compris la situation après quelques explications qu'il lui donna.

      Luka s'épousta, elle avait encore l'estomac de travers mais pour le reste, tout avait l'air ok. Elle se renseigna toujours auprès de son informateur sans nom, un resumer rapide et complet sur ce qu'il y avait à savoir sur l'île. La topographie, les lieux important et bien sure tout ce qui est lié à Auron. Pour cela Luka n'avait pas beaucoup eu à parler, elle avait seulement rajouter deux mots: révolution et Shinji.

      Aprés quelques minutes, l'enfant parvint à s'échapper de la foule pour rejoindre Mizu. Elle s'approcha de lui en faisant la moue. Faussement fâchée elle déclara:

      -Tu ne t'en sortira pas comme ça. On reparlera plus tard...

      Puis dans un immense sourire elle leva la main.

      -Bon retour parmis nous cap'taine!

      Leurs mains se rejoignent dans une tape amicale, il faudrait fêter leur retrouvaille plus tard, pour le moment il y avait d'autre chats a fouéttés ! Luka voulait parler avec Mizu. Il était hors de question de foncer têtes baissée. Elle avait les villageois de son côté, et le fillette comptais bien s'en servir! Le premier village était le plus difficile a avoir, maintenant en jouant bien, elle pouvait monter une armée, de villageois certe, mais une petite armée quand même. Et c'est bien une chose à laquelle Auron ne se serait peu être pas préparer...
        "Je suis Icare IV un des rares hommes à se dresser officieusement contre le tyran. "

        L'homme se montra très vite amical envers vous. Cela faisait longtemps qu'il attendait ce jour. le jour ou des gens arriveraient à gagner Wathéria et combattrait en leur nom Auron. Depuis la légende Shinji, personne n'avait osé défier le tyran, peut-être qu'avec ces deux étranger leur rêve deviendrait réalité.

        Le natif de Wathéria vous explique qu'il peut vous conduire au plus près du chef l'usurpateur, mais que cela prendrait du temps, car l'île entière est sous la surveillance d'Auron et ses hommes.


          Tu dis que l'île entière est sous la surveillance d'Auron et de ses hommes et je te réplique qu'il n'y a pas de mal, nous nous rendrons invisible et cela ne prendra pas plus de temps qu'il n'en faudra. Dès lors, nous entamons notre quête en suivant les traces d'Icare. Tout porte à croire que la traversée se fera tranquillement sans embrouille, mais la réalité est toute différente. Surtout lorsque celui qui nous accompagne a un gros rhum. Notamment lorsqu'il éternue en présence d'un groupe ennemi...

          - Robert, t'as pété ?
          - Pete, t'as roté ?
          - Mais non ! Mais non ! C'est un gros Atchoum ! Pas un prout ou grOoh.
          - Tiens encore ? C'était de ce côté !
          - Mais y'a personne...
          - Les intrus de la mer bleue ? Il parait qu'ils sont forts !

          C'est bien vrai, nous sommes d'une force incomparable. Et réussir à chasser les clandestins montés à bord ne serait pas une chose facile. Je suis l'être introuvable dont le mystère est maintenant ma cape. Je me meurs dans l'instant des caprices avec tendresse et chocolats. Dans les parfums de l'âme qui hante mon esprit fort de ces combats incessants, je défie le paraître et m'impose en petit prince des ténèbres. Une lueur caresse l'air et l'éther subit la pression du Roi !

          Qu'ils soient armés ou non, les êtres les plus faibles tombent dans les vapes avant d'apprécier les cafés noirs et fumants qu'on boit symboliquement dans une tasse blanche. C'est à cet instant qu'un adversaire devine ma présence et sait qu'il ne pourra compter sur personne pour s'en sortir. Terrifié, il part en cavalant au milieu de cette foule inanimée, je m'empresse de sortir mon katana et utilise la pointe de ma lame pour percer l'air. Le coup allie rapidité et précision. Comme un tir de balle qui vient fusiller celui qui prend la fuite.

          La différence dans le combat, ce n'est pas la force brute mais bien la faiblesse de l'autre. Le point qui fera chuter l'opposant. Je me manifeste d'un geste précis, une lame d'air qui vient effleurer le ciel comme un coup de tonnerre. S'il faudra déloger tout le monde, on le fera ! Je me retourne vers l'enrhumé...

          - C'est encore loin ? Ou bien toute cette marche n'est qu'une ruse ? Lui dis-je clairement avec des yeux rouges et une aura meurtrière comme Luka à l'habitude de ressentir lorsque je suis en colère... Réussira t-elle à me calmer avant que mes nerfs l'emporte et que je ne fasse subir plus de préjudice à notre sois-disant allié malgré toute sa sympathie.

            La façon de combattre de Mizukawa n'avait plus de secret pour l'enfant. Aussi, pour elle, voir tous ces gens tombaient, puis les survivants mortellement blessés était presque devenu...habituel? Pour le moment elle se contenter de se reposer en suivant gentiment son capitaine, contre se genre d'ennemis, il n'avait pas besoin d'elle !

            Enfin, le ciel ne sembler pas d'accord avec ce fait et un nouveau combat se dressa devant Luka. Peut être aussi difficile qu'un combat phisique, elle devait menait un combat mental. En effet son capitaine sembler plus qu'énerver pour des raisons qu'elle ne comprenait pas. Après avoir envoyé un bon nombre d'ennemis au tapis, il s'était tourné vers Icare, la voix forte et sèche, une aura qui fit trembler même Luka. Aprés tout n'est il pas normal qu'une enfant tremble quand son pére est en colère ? Pour la fillette se n'était pas une reaction connue et elle put donc s'en débarrasser rapidement pour allait essayer de calmer Mizu.

            D'une façon calme elle se plaça entre Mizukawa et l'autre homme. Cela empêcherait son capitaine de frapper Icare pour le moment. La plus grande incompréhension de Luka était de savoir pourquoi Mizu en voulait autant a l'informateur. La petite aveugle n'avait rien ressentit de désagréable a son approche et même si elle ne le connaissait pas, elle savait qu'elle pouvait lui faire confiance. Pourquoi? Une simple raison : il était présent lors des retrouvaille entre elle et Mizu, il les avaient vu se battre et depuis tout a l'heure il voyait Mizukawa a l'œuvre. Du point de vue de l'enfant il était suicidaire de restait aussi proche d'eux alors que d'après se qu'elle observait, elle suffisait à battre l'énergumène. Du peu qu'elle savait de l'île, l'itinéraire emprunter sembler correct et même surement le moins dangereux, peut être rallongé par quelque détours, apres tout il y avait certains endroits qu'il valait mieux éviter, mais ces informations l'énervé ne les avait pas.

            Luka pensait que son capitaine devait être préoccuer par autre chose pour faire une erreur de jugement pareil. Et dans se genre de cas, elle espérait toujours trouvait les mots juste pour lui faire comprendre ces erreurs. Aprés tout son esprit était celui d'une enfant qu'on avait forcée à grandir trop vite, une simplicité complexe régissait sa façon de penser, de réagir, et de comprendre.
            Maintenant qu'elle avait déceler le probléme, elle s'adressa à mizu:

            -Mizukawa...elle plaça ses mains sur ses yeux aveugles tu ne doit pas te laisser tromper par ta vue. Celle ci t'enduit en erreur et tu en viens à faire des gourdes plus grande que toi. Il y a des fois où les apparences sont trompeuses, mais jugées une personne hâtivement n'est pas la solution du probléme. Alors ferme les yeux, souffle et reconcentre toi. Depuis le début je te sens tendu, tu fonce tête baissée dans une bataille que tu na pas commencé, tu ne cherche pas a faire au mieu mais a sonner tous ce qui bouge. Je ne sais pas se qui t'inquiète ou te préoccupe et j'espère que bientôt tu m'en parlera sans penser à moi comme une petite chose fragile. Je suis plus forte que tu ne le pense, il va falloir apprendre à te reposer sur moi de temps en temps capitaine. Alors maintenant ouvre les yeux, regarde, et dit moi ce que tu vois, ce que tu veut et ce que tu fais.

            Quelques mots de ta nakama, la vérités sors de la bouche des enfants dit on, bien qu'avec se genre de discours, il est difficile d'imaginait que Luka est une enfant.
              Devant ta question le guide semble montrer des signes de peur. Il ne ment pas, il connait cette île comme sa poche, mais ne veut tout simplement pas faire partie des hommes qui tomberont aujourd'hui.

              Luka se positionne entre vous, la pression descend un peu. Les idées de mort d'Ikare IV diminuent, mais commence à penser que vous prendre sous son aile afin de rejoindre la base d'Auron en cachète est une mauvaise idée.

              Il peut être prêt à partir et vous laisser en plan à tout instant, votre sort est entre vos mains.

              Alors que vous marchez, il vous interpelle d'une voix encore fébrile et vous dit que l'île est en marche, mais vous, vous ne sentez rien.

              Info ou intox ? Ques-ce-que cela changerait ? Rien à moins que la zone où vous vous trouver est une zone spéciale...

                Je ferme les yeux, je respire.

                Dans le bruit, je cours et j'ai peur et surtout revient la douleur. Soudain, un éclair me foudroie. Je m'abandonne sous les regards interloqués de mes deux compagnons. Je me relève déterminé, mes yeux s'effacent comme une poupée de cire sans orbites, mes pensées s'envolent et je vois l'échec qui se matérialise en un ennemi sorti du Purgatoire. Revil O'king! Le tortionnaire d'Awakuzim... Je le vois exécuter mes anciens nakamas morts au combat pour la liberté... Leurs rêves s'affichent sur des bulles... Sploc !  Dès lors ma pensée n'est plus, la philosophie prend plus de place dans ma caboche aux atroces souvenirs...

                Schopenhauer a cultivé la perfection sans pour autant être l'objectif principal de sa vie. Enjambant la réalité de l'être parfait, visant l'aspiration dans le sens où elle irait guider l'homme vers quelque chose d'ascendant. Vaut mieux s'accepter comme on est, un travail qui prend du temps, toute son existence à s'affirmer comme le maillon d'une chaîne fragile. Il pourrait transformer le Roi en un simple bouffon en tutu rose. Déformer le titan en un maigre pantin hargneux. Je me délivre de ces liens sans remarquer les flashs colorés, les éclats furtifs sur les parois.

                Nietzsche parle de l'homme dans ces considérations inactuelles pour entretenir un gai savoir qu'on lirait à l'aurore et au crépuscule des idoles. Par delà bien et mal, ces écrits aux sens tragiques ne sont qu'une généalogie de la morale nous conseillant l'amour du lointain.

                Loin de la mer, je regarde le ciel, te cherchant des yeux pour oublier un peu que nos instants n'a le temps de ses problèmes et l'envie d'abandonner. Malgré moi, je m'accroche continuant à ramer comme si ma vie en dépendait, mais où es-tu ? Je suis dans le brouillard, je ne te vois plus, je n'ai plus d'espoir de te retrouver, tu t'éloignes peu à peu et tu me dis Adieu. Je controle pas quand je pense à toi alors je fais demi-tour, pas facile de remonter à contre-sens, je n'ai aucune chance.

                Aimer le lointain, c'est abstrait dans mon coeur... T'aimer est plus concret !

                Matilda est la seule immunisée contre Schopenhauer et Nietzsche. Meilleure peine, vaine émotion, fichtre rengaine, audace démesurée, courage sans égal. Elle construit des chateaux de cartes que le vent ne peut détruire. Tu pars en vadrouille sans avoir la trouille, pas facile de se faire une place à tes côtés.

                Bang ! Bang !

                J'ouvre les yeux et tout devient plus clair.

                - Je te vois à mes côtés et l'autre trouillard en train de se faire la malle. Apparemment l'île bouge, au moindre problème, agrippe toi sur moi et nous nous envolerons !



                  Je n'ai pas peur de la route, faudra voir.... Faut qu'on écoute des méandres au creux des vents et tout ira bien, le vent m'emportera, ton message à la grande ours et la trajectoire de la course à l'instant tel est le velours même s'il ne sert à rien. Le vent m'emportera, tout disparaîtra. La caresse et la mitraille, cette plaie qui nous tiraille le palais des autres jours, Dieu fait le vent. Le parfum de ces allés mortes. L'infinité de ce qu'on retient, chacun fait ces comptes, les gens contre mon ombre, des poussières d'étoiles. Juste le temps de battre des cils, un souffle, un éclat bleu, un instant, équilibre fragile. J'ai tout vu, je n'ai rien retenu. Entends-tu les autres qui se battent à la périphérie et même si tes yeux dissolvent les comètes. A cette époque, on écoutait à peine le clic-cloc des pendules. A l'heure où je te parle, sans entraves, circule en attendant le carnage, il se peut qu'arrive l'effroyable. Ensemble, on peut prendre la fuite, disparus avant qu'il ne surgit. Je me love dans tes bras, au tour du sentiment éphémère et la terre s'est mis à valser, sûr que le fond du cendrier n'est pas net.

                  Silence...

                  A se changer en roi, hurler à la lune, à traquer la fortune au risque de s'y plaire. Sous la lumière enclin et dans l'ombre en silence, si tu cherches un abri inaccessible, petite sœur de mes nuits, sache que je n'oublie rien. Toujours à l'horizon, du soleil qui s'incline, comme on a pas le choix, il nous reste le cœur. Tu peux cracher, même rire et je le dois... A mon étoile.

                  A mon étoile !

                  Rien ne se passe. A moitié soulagé, je regarde les petits yeux ronds de Luka et lui somme de s'éloigner. Car dans quelques temps, les étoiles chuteront comme le tyran. Les lumières dissociées se rejoindront pour ne faire qu'une. Ne discute pas mes ordres ! Pars ! Refuge toi avec Icare le temps que j'en finisse.

                  Je boufferai les racines du mal et je m'hisserai haut à la manière du plus célèbre Jolly Roger...
                    Si tu continu comme ça, ce sont les racines des pissenlits que tu bouffera. Mizukawa avais beau donner un ordre, sa petite nakama ne bougea pas. Il était hors de question que Luka parte se planquer. Icare avait déjà fuis, dommage, il était bon guide mais apparemment pas très courageux. La fillette était un peu déçut du comportement de l'homme pourtant de plusieurs dizaines d'année sont aînés. Courir en ne pensant qu'à sa propre survie au détriment de celle de camarades, voir même condamner sa propre île en ne menant pas les deux jeunes gens comme sa mission lui demandait...et toi, Mizukawa, tu demanderais a Luka de faire de même ? L'enfant avait connue la peur, elle avait même plusieurs fois frôler la mort, sa vie était une longue valse avec un shinigami dont la faux menaçait a chaque instant de s'abattre impitoyablement. Devant la mort, nous somme tous égaux, pas question d'âge, pas question de sexe, le plus fort des rois mourra, au même titre que le plus pitoyable de ces esclaves mourra. Mais jamais, au grand JAMAIS, Luka n'avais était une lâche.  Elle était tristement mature pour son âge, dans un sens elle se demandait si ce n'étais pas sa vision des choses qui était erronée.

                    Campée sur sa position, l'enfant resta prés de Mizukawa. Rien ne l'en fera bouger. Hey capitaine ! Tuer est facile mais sauras tu protéger ? Prendre la vie d'inconnus est moins dure que de perdre la vie d'un être cher. Alors non Luka ne partira pas. De toute façon, est tu sûre que lâcher une petite aveugle sur une île inconnue en plein affrontement est moins dangereux que de rester auprès d'elle ? L'enfant est têtue, tu as beau lui hurler d'aller se mettre à l'abri, elle reste planter là, droite et sure d'elle, t'adressant de l'océan vide que sont ses yeux un dialogue que seul toi peut entendre. Quel est le bien, quel est le mal, que faut il choisir ? La fillette démonte une a une tes convictions sur la situation. Vaut il mieux qu'elle reste ? Vaut il mieux qu'elle parte ? Tristement mature...c'est déjà dis plus haut mais il faut bien le répéter, en cet instant tu ne sais plus qu'elle décision il faut prendre. Pourtant Luka elle ne doute pas. Elle a une confiance absolue en toi, elle sais ce qu'elle veut a ce moment précis. L'océan pourrait bien engloutir l'île, des météores  pourraient leurs tomber dessus que la fillette ne bougerait pas. Elle se battra jusqu'au bout et de toute la force qu'elle puisse apporter. Alors, attaque, ta petite ombre est derrière toi. Tu n'as plus le choix, Luka a décider pour toi. Son destin lui appartient et elle a choisis de rester. L'enfant se mise sur ces gardes, elle n'attendait même pas un plan expliqué et détaillé, elle n'avais qu'à harmoniser ces attaques à celles de Mizukawa pour qu'ensemble ils atteignent le boss final.


                    HRP: désoler du long temps de réponse, ici la connexion est plus que pourrie mais je pense avoir trouvé un moyen de suivre! Encore désoler et à bientôt !