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Huit ans dans tes dents

Contexte : Suite du test rp

Dans une prison d'Est blue se trouve un enfant. Un jeune garçon qui n'est là qu'à cause de son sang, à cause du fait qu'il est le rejeton d'un pirate. Cela fait déjà plusieurs semaines qu'il est ici et il a abandonné tout espoir d'être sauvé par son père. La seule chose qu'il souhaite maintenant c'est de se renforcer pour devenir assez costaud pour sortir d'ici. Petit détail qui a son importance, sa mère se trouve aussi dans cette prison pour les mêmes raisons que lui.

Dans la cellule de Tsumetaidesu il y a deux codétenus. Le premier qui s'allonge souvent et reste pensif se nomme Godalbert. Un individu plutôt sympa qui tente de conseiller le petit pour qu'il reste en vie dans ce dur milieu qu'est la prison. On raconte qu'il ne supporte pas le manque de respect et s'il le pouvait il se montrerait d'une cruauté sans égal à celui qui ose lui faire un affront.

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Celui qui est adossé contre le mur à murmurer on ne sait quoi et qui a des envies de massacre trois fois par jour se nomme Mars. Lorsqu'il est dans la cellule on a l'impression que le lieu devient si petit de par la présence bestiale de cet individu. Soulignons aussi le fait que sa corpulence assez importante doit faire son effet aussi mais cela n'atteint pas plus Godalbert que ça.

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Mars souhaite faire de Tsumetaidesu son petit larbin sauf que ce dernier n'a fait qu'entendre les paroles de Godalbert depuis son arrivée et un enfant c'est assez influençable. Vous voyez où je veux en venir? Même si Tsumetaidesu ne parlait pas vraiment au départ, le fait d'entendre Godalbert faire la discussion et parler du manque de respect cela à déteint sur lui. Donc Tsumetaidesu n'écoute absolument pas Mars.

-Les gamins dans ton genre c'est des jouets pour des types comme moi. Dernière chance Tsutsu. File moi ton repas en signe d’allégeance.

-Tsutsu? T'as cru que j'étais ton chien-chien? Si j'devais te filer mon repas ça serait juste pour te le mettre où j'pense.

Je sais pas ce qui est le pire entre le fait que l'enfant répond avec froideur ce qui gèle aussi tôt l'ambiance électrique, ou qu'il ose tenir tête à un individu qui fait trois fois son gabarit. En tout cas Mars n'aime pas ça et les mecs des cellules d'à côté ricanent dans leur coin. Se faire marcher dessus en prison c'est compliquer, montrer un signe de faiblesse et les autres vous mangeront. Alors Mars se lève pour s'approcher du petit qui fait une série de pompes comme s'il ne se passait rien d'autre. Le grand attrape le col de son adversaire et le soulève comme un vulgaire détritus qu'il jette comme les ordures du samedi soir. L'enfant heurte le mur avec violence pour terminer au sol.

-Ben alors t'appelle pas les gardes comme un merdeux? Ah non j'oubliais, tu vas encore appeler ton papa. Papa ! Papa !

Les criminels des alentours observent le spectacle. Il ne faut pas oublier qu'ils ont très peu de distraction et même si c'est qu'un enfant celui qui risque de se prendre une correction, c'est toujours mieux de regarder ça comme une vulgaire crapule que d'arrêter le spectacle en appelant des gardes.

Tsumetaidesu est à quatre pattes, puis il se relève doucement. Un filet de sang dégouline de sa bouche qu'il essuie du revers de la main. Tout le monde s'attend à voir des larmes aux yeux puis pourquoi pas des pleures mais ce n'est pas le scénario de ce spectacle. Son regard froid se lève et fixe son adversaire. Un regard froid qui peut vous glacer le sang. Des yeux rouges pour le moins original semblent stopper le grand qui a un petit moment d'hésitation. Un tel regard n'est pas normal. Non ce n'est absolument pas normal pour un être aussi petit, si jeune. Mars réalise un petit rire nerveux comme s'il était intimider. Son côté bestial semble lui signaler quelque chose, comme s'il y a danger alors que son regard lui dit que ce n'est qu'un enfant en face de lui. Le grand se reprend et relance une l'attaque.
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Le poing vient frapper le gosse avec violence et l'envoi sur les barreaux cette fois. Le petit n'a pas réagi. Ce n'est pas parce qu'il ne voulait pas mais plutôt qu'il ne pouvait pas. Il veut se battre, il veut tenter de vaincre Mars mais son corps refuse. La peur, c'est la peur qui le domine plus qu'autre chose. Comment un si petit gars peut s'imaginer vaincre. Faut arrêter de croire qu'on va nous ressortir l'histoire de David et Goliath à chaque fois que deux individus de corpulence diamétralement opposée s'affrontent. Il n'y aura pas de miracle mais seulement un réalité aussi dure que les coups de poing de Mars. Le pire dans tout ça c'est que cette dure réalité ben c'est justement les coups de mars.

Au sol, cette fois la douleur est sur tout le corps. Le poing de l'adversaire fait la moitié du corps de Tsumetaidesu. Les jambes du garçon tremblent, les bras s'y mettent aussi. Comment est-il supposé gagner un tel combat? Commet il est censé sortir de cette prison? Des gars plus terrifiants que Mars sont enfermés alors s'il y a déjà un écart important entre nos deux individus... Le petit espoir de retrouver la liberté semble lui aussi bien décidé à disparaitre.

L'abandon?
L'abandon?

Réellement?

L'abandon?

C'est ce que tu vas faire Tsumetaidesu et c'est le plus raisonnable. Abandonne ! NON !! Arrête ne fait pas ça. Le jeune qui a les larmes aux yeux se refuse. Il refuse que tout s'arrête ici. Ce n'est pas le seul enfermer, il y a sa mère aussi. Baisser les bras à la première épreuve, sa volonté n'est pas si faible que ça. Non Tsumetaidesu, ne fait pas ça....
Le voilà debout de nouveau alors que Mars pensait en avoir fini.

-Mon corps me dit qu'il a mal... Mon cerveau me dit que je ne peux gagner... Mais mon esprit me dit de me lever. De me relever toujours et toujours. Comme si... Comme si... Si j'abandonne maintenant j'abandonnerais toute ma vie. Je n'abandonnerais jamais ma mère. Je veux sortir, je veux retrouver mon père, je veux devenir riche, je veux qu'on me respect, je veux devenir un seigneur, et maintenant ce que je veux c'est te mettre mon poing dans la gueule.

-Hahaha ! T'es bien cupide pour un si petit gars. Mais laisse moi briser tes rêves.

La situation devient plus intéressante comme si tout le départ n'était que le prologue de ce moment. Les spectateurs n'en perdent pas une miette. Tsumetaidesu veut avancer, alors il se dit qu'il peut le faire parce que s'il se met dans la tête qu'il n'y arrivera pas il n'y arrivera pas. Il peut le faire, mais surtout il va le faire !

Mars s'approche avec ses gros bras et du plat de la main il tente d’aplatir Tsumetaidesu comme une crêpe.

*Bougez. Bougez ! Allez mes jambes !! C'est le moment de m'obéir. C'est moi qui commande. Ni la peur, ni la puissance de l’adversaire décidera de ce que vous faites. Je suis le roi, j'ordonne et j'exige que vous bougiez.... MAINTENANT !*

Tsumetaidesu saute sur le côté et réalise sa premier esquive qu'applaudit un pirate.

-Bien joué petit.
-Pt'in mais applaudit pas tu vas attirer les gardes.
-Ah... Merde. Désolé.

Mars sourit et se relance à l'attaque. Encore des coups de poing mais le petit ne peut pas tous les esquiver. Il tente tout de même de se protéger avec ses frêles bras. Il tombe, se relève. Son état s’aggrave. Chaque coup donne l'impression d'être percuter par un bulldozer. Impossible de résister devant une telle puissance qui te détruit.

-Continu petit !!
-Mais FERME LAAAAAAAAAAAAA !!!
-Pt'ain mais t'es sérieux.
-Mais c'est toi enfoirer qui hurles depuis tout à l'heure.

Un combat éclate entre les deux spectateurs mais personne n'y prête attention. De son côté Tsumetaidesu pense avoir trouvé comment il va mettre son coup de poing. Des gardes se ramènent dans le couloir. Il ne reste plus beaucoup de temps avant que tout ceux-ci s'arrêtent. Mars attaque du poing droit. Un crochet pour terminer ce combat mais ce qu'il y a c'est que ses bras son gros et grand. En réalité, cela donne une ouverture en ligne droite pour toucher le grand. C'est dans ses dernières forces qu'il met dans ses jambes que Tsumetaidesu saute en direction du visage de son adversaire.

-YIAAAAA !!

Surpris par un tel mouvement, Mars n'a pas le temps de réagir et reçoit le coup en plein visage ! La foule est en délire ! Il l'a fait. Il a réussi à mettre son poing dans la figure. Épatant ce petit même si le coup ne sera vraiment pas un problème pour le grand, cela est important. C'est plus l'ego de Mars qui prend un sévère coup que son visage si vous voulez tout savoir. Les gardes déboulent et demande le silence. Ils entrent dans la cellule où il y a les deux bagarres pour les arrêter et emmener au trou les combattants sans se poser la question "qui a commencer?".
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Encore dans ce maudit endroit où il n'y a aucune lumière. Un lieu totalement fermé où le jeune a même une camisole. Un lieu où l'on peut réfléchir à ce que l'on a fait pour éviter d'y retourner.  Foutaise, c'est le lieu qui permet de s'isoler du monde et de voir où on en est. Pour Tsumetaidesu la situation est différente de la première fois. Il ne pleurera pas, ne paniquera pas. C'est ce lieu qui va le rendre très glacial comme individu. Lorsqu'on n'est pas en contact avec des humains, on prend l'habitude d'être seul, de se forger. Alors une fois qu'on retourne avec les autres il suffit d'un rien pour montrer son niveau d’intolérance.

Lorsqu'il sort de cet endroit quatre jour plus tard il reprend son entrainement là où il l'a laissé. Par "chance", il retrouve ses codétenus et la tension est palpable avec Mars qui ne fait que le regarder depuis de nombreuses minutes. Le hic c'est que tout cela commence à être invivable pour Godalbert. Vous savez le genre de type plus terrifiant que les autres et qu'on devrait laisser roupiller dans son coin.

-Vous êtes pas marrant vous deux. Un gamin plus froid que les fonds marins et un monsieur muscle qui veut jouer aux dures. Si seulement on pouvait choisir avec qui on partage sa cellule.

-J'préfère quand tu roupilles au moins t'as la gueule fermée. Abrutis.

Tsumetaidesu vient de terminer sa série de pompes et il se met à faire des abdominaux. Comme ça il va pouvoir voir le spectacle du jour. Godalbert se lève et on entend le bruit de ses chaines. C'est d'ailleurs étrange que ça soit le seul avec un boulet au pied. Il s'avance vers Mars et lui fait face. Les deux sont en tête à tête.

-Tu veux te battre toi aussi? J'te préviens que contrairement au gamin, j'irai à fo...

Il ne termine pas sa phrase que Godalbert vient de lui asséner trois coups dans la gorge et repart s'allonger comme si ce n'était rien. On entend un bruit de corps qui tombe et vu que le corps et assez lourd, on a droit à un joli bruit. Du sang coule de la bouche de Mars. Le petit garçon se lève et va voir de plus près celui qui est inerte. Au départ il lui met un léger coup de pied mais pas de réaction.

-Évite de jouer avec les morts, c'est assez malsain petit.

Le bougre fait un petit clin d’œil avec une certaine classe. Partager entre deux émotions Tsumetaidesu ne sait pas comment réagir. C'est la première fois qu'il voit un mort et ce n'est pas banal comme situation. Mais il n'est pas plus terrifié que ça, on croirait que Mars dort tranquillement en réalité. La deuxième émotion et l'admiration. Les yeux pleins d'étoiles, a-t-il trouver un modèle à suivre? Franchement, c'est vraiment classe ce qu'a fait Godalbert. Il pouvait le faire depuis si longtemps, mais n'a jamais levé le petit doigt sauf lorsque ses intérêts étaient en jeu.

-Enseigne moi le combat.

-Mm? C'est pas toi qui as causé un brouhaha parce que tu refusais de devenir un larbin?
-Je suis le larbin de personne. Mais pour le moment je n'ai pas le choix. Je dois devenir fort, bien plus fort si je veux sortir d'ici. Et toi tu peux m'aider.
-Si tu as un plan assez bon pour nous faire sortir de là je veux bien te montrer deux trois trucs.

Un service pour un service. Cela ce tien comme raisonnement mais Tsumetaidesu refuse. Il ne veut pas être sur le même pied d'égalité que ce type ni de quiconque d'ailleur. Rien ne prouve qu'il ne va pas se faire abandonner comme son père l'a abandonnée. Il ne peut compter que sur lui-même. De toute façon, il n'avait pas encore trouvé un plan pour sortir d'ici, faut dire qu'il y a tellement de tentative d'évasion que la prison est bien sécurisée.
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La force? C'est donc ça qui permet tout? Tsumetaidesu est petit mais pas stupide. Il se rappelle des histoires de son père et si ce dernier n'est pas derrière les barreaux avec lui c'est parce qu'il est futé. Si t'en a pas dans la tête ta force te sert à rien. On trouve toujours plus fort que soit c'est la triste réalité, personne n'est immortel. Il suffit de savoir tirer son épingle du jeu et tout ce fait avec un timing qui nécessite de la réflexion. A huit ans il a déjà compris que c'est en étant fort d'esprit, dans sa tête ainsi que physiquement qu'il pourra être au top.

Alors le temps passe et il continue les bagarres contre ceux qui semblent être les moins dangereux histoire de rester en vie tout de même. A huit ans il en casse des dents déjà. Après c'est la même rengaine, direction le trou où il a appris à faire abstraction de tout, à devenir froid comme le vent de Tequila Wolf. Il observait les tours de gardes, les couloirs, les placements des escargocamera. Dans sa tête ça commençait à marcher de plus en plus, un plan se montait petit à petit.

-Mm? C'est quoi ça?
-...
-Non ne me dit rien.

Godalbert se redresse alors qu'il était allongé comme d'habitude.

-Oh, n'est-ce pas un léger sourire au coin de ta bouche. Allez dit moi tout.
-T'as pas voulu m'enseigner le combat et tu crois que j'vais te dire ce qui me fait sourire?

L'adulte cherchait en vain à savoir et de toute façon il ne trouvera pas. Tsumetaidesu avait un plan pour quitter la prison qui ne fonctionne que pour une personne de petite taille, donc que pour lui. Alors pourquoi sourire s'il ne peut prendre sa mère avec lui. La raison est tout autre. Il a rencontré récemment un homme avec un certain tatouage. Le même tatouage d'équipage pirate auquel appartient son père. Cet homme lui avait fait un clin d’œil puis un mouvement de tête comme pour lui dire que ça ira maintenant. Alors si Tsumetaidesu est si concentré que ça c'est pour éviter de montrer un énorme sourire. Son père est là? Il va venir !! IL VA VRAIMENT VENIR !! Le petit a envie de hurler de partout, il n'en peut plus d'attendre.

[...]

Deux jours plus tard. Comme tout attaque digne de ce nom cela s'effectue le soir. L'équipage pirate auquel appartient son père lance un assaut. Dans les cellules on ne peut voir que l'agitation des gardes qui courent dans tous les sens. Les prisonniers ne savent pas ce qui se passe mais il vont rapidement en être informé. Kizoku D. Gaïa s'amène seul dans le couloir avec du sang sur ses vêtements et un trousseau de clefs.

-Ouvre ma cellule !
-Ouvre la mienne, j'vais t'aider !

Les hommes se mettent au niveau des barreaux et font tous la même demande. Mais la première porte qui s'ouvre c'est celle où se trouve le petit.

-On y va fiston.
-Yosh

Le petit pleure, c'est plus fort que lui. Même s'il est devenu quelqu'un de froid il reste le petit garçon qui possède au cœur. Tous les hommes qui ont osé se moquer de l'enfant qui appeler désespérément son père se sentent ridicules. La raison est la suivante, lui son père est réellement venu le chercher, eux ils n'ont personne de leur entourage qui est venue, point final. Le père lance les clefs dans une cellule et tous les criminels se libèrent petit à petit. C'est la pagaille dans la prison avec des combats qui éclate un peu partout. Les Kizoku réussissent à progresser jusqu'à l'entrée où ils y retrouvent la maman. Il ne reste plus qu'à mettre les voiles et la mission sera un succès.

-Papa, pourquoi t'as mis autant de temps, t'était encore partie chercher le one piece? Tu l'as enfin trouvé?
-Hmm.

Il ne fait que sourire et passer la main sur la petite tête du garçon qui semble toujours aussi innocent après ces mois emprisonné. Une petit séquence émotion entre des regards mais pas plus que ça. Pas plus de contacts, ce n'est pas le moment et en plus l'escargophone du père se met à sonner.

-Gaïa, le capitaine va pas tenir longtemps, amènes-toi !
-J'arrive.

-Je vous rejoins rapidement. Prend soins de ta maman Tsumetaidesu.
-Um !

Il ne le savait pas, mais c'était la dernière fois que ce petit garçon verra son père. Mais ne le rendons pas de nouveau triste et laissons le rêver un peu comme un enfant. La mère, le fils ainsi que d'autres prisonnier réussissent à s'enfuir avant l'arriver des renforts qui remettent de l'ordre dans la prison.

A l'extérieur c'est enfin l'air libre. Vous savez après les odeurs dues à un endroit fermé, l'air extérieur vous fait un bien fou, comme si vous n'aviez pas respiré depuis tout ce temps. Non loin de la prison Tsumetaidesu attend.

-Il faut y aller Tsu.
-Maman, il va arriver encore cinq minutes, je sais qu'il va venir.
-Tsu les soldats arrivent.
-...
Tsu ! Si tu as confiance en ton père, alors tu sais qu'il nous retrouvera encore.
-...

Dans le lieu où les deux individus se trouvent les soldats de la marine arrivent au pas de course. Les armes en main, les voilà ! Mais il n'y a déjà plus personne ici.
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