Ferrem Zol
• Pseudonyme : Lady White• Age : 20
• Sexe : Femme
• Race : Humaine
• Métier : Chanteuse / Voleuse
• Groupe :Civil pour le moment
• But : Redorer le blason de sa famille en créant une organisation riche et puissante ( à long terme). A plus court terme, s’enrichir en volant et se faire un réseau.
• Équipement : Tout le nécessaire de maquillage, une jolie dague sertie d’une émeraude qu’elle dissimule dans ses chaussures.
• Parrain : X
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? X
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? X
Codes du règlement :
• Équipement : Tout le nécessaire de maquillage, une jolie dague sertie d’une émeraude qu’elle dissimule dans ses chaussures.
• Parrain : X
• Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? X
• Si oui, quel @ l'a autorisé ? X
Codes du règlement :
Description Physique
Les bougies n’allument que guère la pièce, on ne distingue pas son visage. Cependant, elle avance, d’un pas assuré, la démarche d’une femme élégante mais à la fois détendue : un savant mélange assumé par une créature sûr d’elle. Sa longue robe blanche qui virevolte au gré de ses pas lui donne sans même voir son visage une douceur et une pureté qui pourrait même faire envier les anges. Ses talons, qu’elle surplombe majestueusement sont dorés et si bien faits qu’on peut avec certitude dire que cette femme suit la mode et qu’elle pourrait même la créer !
Elle n’est pas grande, mais elle n’est pas petite. Cependant, sa taille de guêpe et ses seins ressortant suffisamment pour ne pas être plat lui donne un aspect élancé qui va dans le sens de l’élégance. Ses jambes sont également fines et si bien épilées que l’on distingue à distance la douceur de sa peau porcelaine.
Elle s’approche encore puis s’arrête à la lumière d’un candélabre laissant ainsi apparaître sa sublime chevelure blonde platine. Ses cheveux sont attachés en une couette haute les laissant retombés ensemble sur son dos. On aperçoit aussi son doux visage maquillé avec soin soulignant ses splendides yeux bleu océan dans lesquels bon nombre d'hommes aimerait plonger. Ils sont surplombés de sourcils presque bruns. Son nez est légèrement retroussé mais s’accorde parfaitement avec le visage. Ses lèvres sont d’une taille relativement semblable mais le côté droit monte légèrement plus haut que le gauche donnant à cet aspect trop gentil la touche de dureté qu’il lui manquait.
Elle fredonne une chanson tout en enlevant sa robe. Sa voix est telle son apparence, à la fois douce et puissante, dure et tendre, sucrée et épicée. Le tissu blanc finit sa chute sur le sol révélant un joli petit arrière-train légèrement bombé mais surtout ce tatouage en forme de « F » situé juste en dessous de son épaule droite.
La jeune femme nue s’éloigne de nouveau alors que je souffle enfin sur les bougies plongeant le lieu dans la pénombre et laissant le sublime être disparaître.
Elle n’est pas grande, mais elle n’est pas petite. Cependant, sa taille de guêpe et ses seins ressortant suffisamment pour ne pas être plat lui donne un aspect élancé qui va dans le sens de l’élégance. Ses jambes sont également fines et si bien épilées que l’on distingue à distance la douceur de sa peau porcelaine.
Elle s’approche encore puis s’arrête à la lumière d’un candélabre laissant ainsi apparaître sa sublime chevelure blonde platine. Ses cheveux sont attachés en une couette haute les laissant retombés ensemble sur son dos. On aperçoit aussi son doux visage maquillé avec soin soulignant ses splendides yeux bleu océan dans lesquels bon nombre d'hommes aimerait plonger. Ils sont surplombés de sourcils presque bruns. Son nez est légèrement retroussé mais s’accorde parfaitement avec le visage. Ses lèvres sont d’une taille relativement semblable mais le côté droit monte légèrement plus haut que le gauche donnant à cet aspect trop gentil la touche de dureté qu’il lui manquait.
Elle fredonne une chanson tout en enlevant sa robe. Sa voix est telle son apparence, à la fois douce et puissante, dure et tendre, sucrée et épicée. Le tissu blanc finit sa chute sur le sol révélant un joli petit arrière-train légèrement bombé mais surtout ce tatouage en forme de « F » situé juste en dessous de son épaule droite.
La jeune femme nue s’éloigne de nouveau alors que je souffle enfin sur les bougies plongeant le lieu dans la pénombre et laissant le sublime être disparaître.
Description Psychologique
Comment des gens peuvent-ils être heureux rien qu’en servant les autres ? Comment l’humanitaire ou l’aide à la personne peut satisfaire qui que ce soit ? Pour Zol, il faut penser à soit avant tout, le bonheur est autre chose, un terme utilisé par les gens trop stupides pour trouver un mot approprié pour définir leur bêtise. Tous les moyens sont bons pour se satisfaire puis lorsque la satisfaction est passée, alors il faut agir à nouveau. Voyez en ces paroles le fait que cette femme est prête à tout pour parvenir à ses fins mais qu’elle n’agirait sans rien avoir à y gagner. Elle réfléchit toujours énormément avant d’effectuer une action.
La jolie blonde à un faible pour les mystères, à défaut d’en trouver de partout elle aime en créer. Le mystère ? C’est une atmosphère, une façon d’être avec laquelle Zol parvient parfaitement à jouer.
Jouer, elle le fait également de ses charmes. Son physique est avantageux, on ne peut pas le nier. De plus, c’est une femme intelligente et qui sait à quel point les hommes peuvent être faibles face à une belle muse. Elle n’hésite donc pas à utiliser les mâles pour parvenir à ses fins.
Ne nous mentons pas, Zol n’est pas la plus grande combattante que le monde ait connue, elle manque de force et ne sait pas spécialement se battre. Elle privilégie donc la ruse et est plutôt du genre à mettre sa dague dans le dos de quelqu’un plutôt que de l’affronter en face à face. Il serait inconcevable pour elle de prendre des risques démesurés. Mieux vaut agir dans l’ombre !
Elle agit d’ailleurs de la même façon pour dérober toutes sortes de choses de valeurs. C’est vrai qu’elle a un faible pour les pierres précieuses et pour les belles robes. Elle a d’ailleurs commencé une petite collection de bijoux de valeur. Cependant, le plus gros de ses vols est consacré à la revente, afin d’engendrer un maximum de berrys. Sa couverture ? Elle change souvent, Zol est un fine actrice qui n’hésite pas à se grimer lorsqu’il le faut mais elle use souvent de ses talents de chanteuses pour évincer les soupçons.
Comme dit plus haut, si quelqu’un est un obstacle à son plan alors elle n’hésitera pas à l’éliminer, cependant, si elle n’est pas un problème, elle ne lui fera aucun mal. Malgré sa relative noirceur, Zol reste quelqu’un avec des sentiments humains et peut totalement être saisie d’amitié, voir d’amour.
Oh et j’oubliai, c’est « une enfant de la lune », maladie de naissance aussi appelée Xeroderma Pigmentosum. Zol ne peut pas exposer sa peau à la lumière du jour… Ainsi, soit elle sort la nuit, soit elle se couvre totalement et se balade avec une ombrelle. Et pour ceux qui n’auraient pas tout compris, non, elle ne boit pas de sang !
La jolie blonde à un faible pour les mystères, à défaut d’en trouver de partout elle aime en créer. Le mystère ? C’est une atmosphère, une façon d’être avec laquelle Zol parvient parfaitement à jouer.
Jouer, elle le fait également de ses charmes. Son physique est avantageux, on ne peut pas le nier. De plus, c’est une femme intelligente et qui sait à quel point les hommes peuvent être faibles face à une belle muse. Elle n’hésite donc pas à utiliser les mâles pour parvenir à ses fins.
Ne nous mentons pas, Zol n’est pas la plus grande combattante que le monde ait connue, elle manque de force et ne sait pas spécialement se battre. Elle privilégie donc la ruse et est plutôt du genre à mettre sa dague dans le dos de quelqu’un plutôt que de l’affronter en face à face. Il serait inconcevable pour elle de prendre des risques démesurés. Mieux vaut agir dans l’ombre !
Elle agit d’ailleurs de la même façon pour dérober toutes sortes de choses de valeurs. C’est vrai qu’elle a un faible pour les pierres précieuses et pour les belles robes. Elle a d’ailleurs commencé une petite collection de bijoux de valeur. Cependant, le plus gros de ses vols est consacré à la revente, afin d’engendrer un maximum de berrys. Sa couverture ? Elle change souvent, Zol est un fine actrice qui n’hésite pas à se grimer lorsqu’il le faut mais elle use souvent de ses talents de chanteuses pour évincer les soupçons.
Comme dit plus haut, si quelqu’un est un obstacle à son plan alors elle n’hésitera pas à l’éliminer, cependant, si elle n’est pas un problème, elle ne lui fera aucun mal. Malgré sa relative noirceur, Zol reste quelqu’un avec des sentiments humains et peut totalement être saisie d’amitié, voir d’amour.
Oh et j’oubliai, c’est « une enfant de la lune », maladie de naissance aussi appelée Xeroderma Pigmentosum. Zol ne peut pas exposer sa peau à la lumière du jour… Ainsi, soit elle sort la nuit, soit elle se couvre totalement et se balade avec une ombrelle. Et pour ceux qui n’auraient pas tout compris, non, elle ne boit pas de sang !
Biographie
« Cette ville est un havre de paix grâce à nous. C’est pour cela que si quelqu’un bouscule cette paix, il faut l’anéantir. Les gens doivent rester calme, c’est comme ça qu’ils sont le plus heureux. »
« Mais alors le bonheur c’est se taire ? »
« Oui ma fille, mais pas pour la famille Ferrem, nous, nous avons de grandes choses à accomplir. »
Lors de cette conversation, Zol avait 6 ans. Jonas, le patriarche de la famille avait voulu enseigner à ses enfants dès le plus jeune âge sa vision de la vie. La puissance, l’argent et le pouvoir étaient pour lui le moyen de régner. Il aimait sa famille plus que tout et tous ses enfants de la même manière. Zol avait trois frères : Yoel, son ainé de cinq ans, un homme froid et dur mais très intelligent. C’était l’enfant qui ressemblait le plus au père, il avait la même façon de penser et il était un véritable stratège. Il y avait aussi Half, âgé de 2 ans de plus que Zol. Half était un brillant combattant, il avait tout de suite aimé se battre. Contrairement à Yoel qui impressionnait les autres par sa ruse, lui préférait les soumettre par la force. Maxwell était le petit dernier, âgé de 2 ans de moins que Zol. Il avait toujours été le petit protégé de la famille et avait développé des facultés dans la médecine. Il pouvait venir à bout de n’importe quelle plaie, du moins c’est la façon dont le voyait le reste de la famille. Maxwell était certainement le membre qui avait le plus de cœur et le plus sensible. Yoel lui répétait sans cesse que ça le rendrait faible ce qui provoquait une certaine animosité entre les deux. Enfin, entre tous ces hommes, il y avait Zol, l’atout charme de la famille. Maligne, discrète et rusée, elle jouait de ses talents d’actrice pour parvenir à ses fins. C’est elle qui était le plus proche de sa mère Azel. Cette dernière était un savant mélange entre douceur et fermeté. Beaucoup de personnes pensaient qu’au fond, c’est elle qui tenaient les rennes de la famille, ce qui n’était sans doute pas totalement faux étant donné l’amour inconditionné que Jonas avait pour sa femme.
Toute cette petite famille habitait sur l’île de Malivia, une petite île où il n’y avait qu’une grande ville entourée de champs d’opium. Bon nombre de médecins vivaient ici et utilisaient l’opium pour soigner les malades, sa culture était donc exceptionnellement tolérée. Les Ferrem, sur l’île depuis plusieurs siècles avaient au fil du temps accru leur réseau mafieux et possédait de nombreuses terres d’opium. Ils avaient pris tellement d’importance et avaient tellement d’hommes qu’on peut dire qu’ils régnaient officieusement sur la ville. La famille Ferrem était crainte, ce qui ne leur déplaisaient pas le moins du monde excepté pour Maxwell qui trouvait cette façon de faire barbare et ne supportait pas le fait d’être privilégié. Il préférait se joindre aux médecins pour les aider à soigner les populations. Ceci avait don d’exaspérer Yoel mais Jonas, lui laissait vivre son fils comme il le souhaitait, puis ce n’était pas plus mal d’avoir un membre de la famille apprécié de la population.
Zol dans tout ça ? Et bien elle chantait dans un bar à la nuit tombée. Elle était souvent chargée de séduire des hommes pour leur soutirer des informations. La jeune femme en profitait aussi pour dérober quelques objets de valeurs ou bourses bien remplies mais ça seulement pour pouvoir s’acheter les plus belles robes. La journée ? Et bien, la plupart du temps, Zol se promenaient dans les sous-sols de la ville qui avaient été aménagé par son père. Boutiques, maisons, parcs en pierre : c’est une véritable ville souterraine qui avait été ainsi créée à cause de la maladie de Zol. En effet, dès son plus jeune âge, les médecins de Malivia lui ont détecté une maladie très rare et incurable. Zol était ce qu’on appelait une « enfant de la lune ». Les rayons ultras-violets lui brûlent la peau et peuvent entraîner de graves maladies. Malgré que ce soit très handicapant, cela lui a permis de développer sa vision dans l’obscurité devenu son terrain de jeu favori.
Les enfants Ferrem jouaient tous un rôle important dans la mafia familiale et avaient leur place dans le conseil, le regroupement hebdomadaire de tous les membres de la famille comprenant oncles, grands-parents et cousins. C’est lors de ce conseil que fut décidée l’extermination de la famille Jefford. Qui étaient-ils ? Il s’agissait d’une famille qui s’était implantée sur l’île il y a quelques années et avaient peu à peu pris du terrain sur les Ferrem qui ne les avaient pas vraiment vu venir. Grâce à un semblant de négociation, ils allaient les faire tomber. Les quatre enfants Ferrem auraient une place primordiale dans le plan !
Dans « L’opium du Peuple », un bar sous la main des Ferrem, Joshua et le patriarche ennemi se rejoignirent entourés de quelques-uns de leurs hommes. Ceux de Joshua étaient dirigés par Half. La première partie du plan était de se montrer en état de faiblesse, aller dans le sens de l’ennemi, le mettre en confiance, le laisser penser qu’il est sur le point de gagner. Ensuite, lui faire croire à un ennemi commun, et si la marine arrivait ? Yoel rentra en trombe dans la pièce accompagné de quelques hommes criant que la marine arrivait. Dehors, des coups de feu se faisaient retentir. Il s’agissait en réalité de l’extermination de la famille Jefford par les hommes des Ferrem. Ceci à la vue de tous les habitants ? Bien sûr que non, une alerte à la bombe avait été communiquée et la protectrice famille Ferrem tentait de sauver tous ces bons citoyens… C’est d’ailleurs Maxwell qui s’était chargée d’écarter tous les citoyens. Et Zol ? C’est simple, elle se baladait dans les souterrains. Alors que les hommes se dirigeaient pour combattre la marine, les deux patriarches s’enfuiraient par la trappe secrète du bar qui menait tout droit aux souterrains. Là où l’attendaient Zol et quelques hommes afin de tuer le principal ennemi. Cependant, étrangement, lorsque Yoel cria pour prévenir que la marine arrivait, c’est bien une centaine d’hommes à l’ancre bleue qui entrèrent dans « L’Opium du Peuple ». Zol attendit, attendit encore, quelque chose semblaient les retarder. Lorsqu’elle se décida enfin à jeter un œil sur la pièce du dessus, cette dernière était vide. Elle entendait dans les rues les « Houra ! », « Vive la marine ! », « Nous les aurons eu ces vauriens ! ». Mais le cri qui faisait le plus mal, celui qui creva le cœur de la jeune femme, c’était les « Maxwell ! »
Elle se saisit de son ombrelle puis courut vers le port. Cependant, il était trop tard, les trois bateaux de la marine était déjà loin. Elle gardait les yeux rivés vers l’horizon.
« Tu sais ma fille, il ne faut pas lui en vouloir, il a écouté son cœur, comme un être bon. »
« Il a trahi sa famille, souillé notre nom et causé notre perte. Il n’a pas le cœur de quelqu’un de bon, mais le cœur d’un égoïste. Il a trompé tout le monde, nous avions confiance en lui ! »
Azel mis la main sur l’épaule de sa fille et lui sourit.
« Au moins toi tu es là. Un jour le vent tournera et la famille Ferrem sera encore plus forte. »
« Certainement pas en restant sur cette île où je ne peux plus voir la face de qui que ce soit. C’est décidé, je m’en vais. »
« Mais alors le bonheur c’est se taire ? »
« Oui ma fille, mais pas pour la famille Ferrem, nous, nous avons de grandes choses à accomplir. »
Lors de cette conversation, Zol avait 6 ans. Jonas, le patriarche de la famille avait voulu enseigner à ses enfants dès le plus jeune âge sa vision de la vie. La puissance, l’argent et le pouvoir étaient pour lui le moyen de régner. Il aimait sa famille plus que tout et tous ses enfants de la même manière. Zol avait trois frères : Yoel, son ainé de cinq ans, un homme froid et dur mais très intelligent. C’était l’enfant qui ressemblait le plus au père, il avait la même façon de penser et il était un véritable stratège. Il y avait aussi Half, âgé de 2 ans de plus que Zol. Half était un brillant combattant, il avait tout de suite aimé se battre. Contrairement à Yoel qui impressionnait les autres par sa ruse, lui préférait les soumettre par la force. Maxwell était le petit dernier, âgé de 2 ans de moins que Zol. Il avait toujours été le petit protégé de la famille et avait développé des facultés dans la médecine. Il pouvait venir à bout de n’importe quelle plaie, du moins c’est la façon dont le voyait le reste de la famille. Maxwell était certainement le membre qui avait le plus de cœur et le plus sensible. Yoel lui répétait sans cesse que ça le rendrait faible ce qui provoquait une certaine animosité entre les deux. Enfin, entre tous ces hommes, il y avait Zol, l’atout charme de la famille. Maligne, discrète et rusée, elle jouait de ses talents d’actrice pour parvenir à ses fins. C’est elle qui était le plus proche de sa mère Azel. Cette dernière était un savant mélange entre douceur et fermeté. Beaucoup de personnes pensaient qu’au fond, c’est elle qui tenaient les rennes de la famille, ce qui n’était sans doute pas totalement faux étant donné l’amour inconditionné que Jonas avait pour sa femme.
Toute cette petite famille habitait sur l’île de Malivia, une petite île où il n’y avait qu’une grande ville entourée de champs d’opium. Bon nombre de médecins vivaient ici et utilisaient l’opium pour soigner les malades, sa culture était donc exceptionnellement tolérée. Les Ferrem, sur l’île depuis plusieurs siècles avaient au fil du temps accru leur réseau mafieux et possédait de nombreuses terres d’opium. Ils avaient pris tellement d’importance et avaient tellement d’hommes qu’on peut dire qu’ils régnaient officieusement sur la ville. La famille Ferrem était crainte, ce qui ne leur déplaisaient pas le moins du monde excepté pour Maxwell qui trouvait cette façon de faire barbare et ne supportait pas le fait d’être privilégié. Il préférait se joindre aux médecins pour les aider à soigner les populations. Ceci avait don d’exaspérer Yoel mais Jonas, lui laissait vivre son fils comme il le souhaitait, puis ce n’était pas plus mal d’avoir un membre de la famille apprécié de la population.
Zol dans tout ça ? Et bien elle chantait dans un bar à la nuit tombée. Elle était souvent chargée de séduire des hommes pour leur soutirer des informations. La jeune femme en profitait aussi pour dérober quelques objets de valeurs ou bourses bien remplies mais ça seulement pour pouvoir s’acheter les plus belles robes. La journée ? Et bien, la plupart du temps, Zol se promenaient dans les sous-sols de la ville qui avaient été aménagé par son père. Boutiques, maisons, parcs en pierre : c’est une véritable ville souterraine qui avait été ainsi créée à cause de la maladie de Zol. En effet, dès son plus jeune âge, les médecins de Malivia lui ont détecté une maladie très rare et incurable. Zol était ce qu’on appelait une « enfant de la lune ». Les rayons ultras-violets lui brûlent la peau et peuvent entraîner de graves maladies. Malgré que ce soit très handicapant, cela lui a permis de développer sa vision dans l’obscurité devenu son terrain de jeu favori.
Les enfants Ferrem jouaient tous un rôle important dans la mafia familiale et avaient leur place dans le conseil, le regroupement hebdomadaire de tous les membres de la famille comprenant oncles, grands-parents et cousins. C’est lors de ce conseil que fut décidée l’extermination de la famille Jefford. Qui étaient-ils ? Il s’agissait d’une famille qui s’était implantée sur l’île il y a quelques années et avaient peu à peu pris du terrain sur les Ferrem qui ne les avaient pas vraiment vu venir. Grâce à un semblant de négociation, ils allaient les faire tomber. Les quatre enfants Ferrem auraient une place primordiale dans le plan !
Dans « L’opium du Peuple », un bar sous la main des Ferrem, Joshua et le patriarche ennemi se rejoignirent entourés de quelques-uns de leurs hommes. Ceux de Joshua étaient dirigés par Half. La première partie du plan était de se montrer en état de faiblesse, aller dans le sens de l’ennemi, le mettre en confiance, le laisser penser qu’il est sur le point de gagner. Ensuite, lui faire croire à un ennemi commun, et si la marine arrivait ? Yoel rentra en trombe dans la pièce accompagné de quelques hommes criant que la marine arrivait. Dehors, des coups de feu se faisaient retentir. Il s’agissait en réalité de l’extermination de la famille Jefford par les hommes des Ferrem. Ceci à la vue de tous les habitants ? Bien sûr que non, une alerte à la bombe avait été communiquée et la protectrice famille Ferrem tentait de sauver tous ces bons citoyens… C’est d’ailleurs Maxwell qui s’était chargée d’écarter tous les citoyens. Et Zol ? C’est simple, elle se baladait dans les souterrains. Alors que les hommes se dirigeaient pour combattre la marine, les deux patriarches s’enfuiraient par la trappe secrète du bar qui menait tout droit aux souterrains. Là où l’attendaient Zol et quelques hommes afin de tuer le principal ennemi. Cependant, étrangement, lorsque Yoel cria pour prévenir que la marine arrivait, c’est bien une centaine d’hommes à l’ancre bleue qui entrèrent dans « L’Opium du Peuple ». Zol attendit, attendit encore, quelque chose semblaient les retarder. Lorsqu’elle se décida enfin à jeter un œil sur la pièce du dessus, cette dernière était vide. Elle entendait dans les rues les « Houra ! », « Vive la marine ! », « Nous les aurons eu ces vauriens ! ». Mais le cri qui faisait le plus mal, celui qui creva le cœur de la jeune femme, c’était les « Maxwell ! »
Elle se saisit de son ombrelle puis courut vers le port. Cependant, il était trop tard, les trois bateaux de la marine était déjà loin. Elle gardait les yeux rivés vers l’horizon.
« Tu sais ma fille, il ne faut pas lui en vouloir, il a écouté son cœur, comme un être bon. »
« Il a trahi sa famille, souillé notre nom et causé notre perte. Il n’a pas le cœur de quelqu’un de bon, mais le cœur d’un égoïste. Il a trompé tout le monde, nous avions confiance en lui ! »
Azel mis la main sur l’épaule de sa fille et lui sourit.
« Au moins toi tu es là. Un jour le vent tournera et la famille Ferrem sera encore plus forte. »
« Certainement pas en restant sur cette île où je ne peux plus voir la face de qui que ce soit. C’est décidé, je m’en vais. »
Test RP
« Et maintenant, merci d’accueillir la belle et talentueuse Lady White ! »
La lumière extérieure fut couverte grâce aux magnifiques rideaux de velours rouges. Les lumières convergèrent vers la scène tandis que la pièce était plongée dans une atmosphère sombre. Un terrain de jeu idéal pour Zol. De plus, elle avait enfin la chance de jouer dans un bar un peu mieux fréquentés que ces taudis où elle avait l’habitude de se retrouver, enfin le public paraissait être le même, simplement avec une bourse plus remplie. La jeune femme entra sur scène d’un air énigmatique dans sa sublime et longue robe blanche. Ses yeux charbonneux soulignaient son regard azuré. Elle s’approcha du micro puis commença à pousser la chansonnette.
La lumière extérieure fut couverte grâce aux magnifiques rideaux de velours rouges. Les lumières convergèrent vers la scène tandis que la pièce était plongée dans une atmosphère sombre. Un terrain de jeu idéal pour Zol. De plus, elle avait enfin la chance de jouer dans un bar un peu mieux fréquentés que ces taudis où elle avait l’habitude de se retrouver, enfin le public paraissait être le même, simplement avec une bourse plus remplie. La jeune femme entra sur scène d’un air énigmatique dans sa sublime et longue robe blanche. Ses yeux charbonneux soulignaient son regard azuré. Elle s’approcha du micro puis commença à pousser la chansonnette.