Manshon, durant la semaine de préparation du mariage de Moka et Séréna. Au bord d’une falaise, deux ombres se dressent, la pluie et le vent formaient une parfaite harmonie, créant une symphonie mortuaire parfaite.
J’avançais d’un pas, le prêtre en reculait d’un. La pluie ruisselait sur mon visage arborant un sourire machiavélique, le bonze avait une mine effrayé, il fit encore un pas en arrière, ça aurait pu être son dernier.
Lorsqu’il vit qu’il était au bout de la falaise, il su se rattraper et éviter une première chute tout en bas sur le tapis rocheux, il ré-avança son pied qui avait le faillit le faire tomber dans le vide, il s’agenouilla pour implorer ma pitié.
- S’il vous plaît… j’ai fait tout ce que vous m’avez demandé ! Laissez-moi ! Dieu peut vous pardonnez de tout vos pêchés !
Je ricanais suite à sa phrase, je ne croyais aucunement en Dieu ni en aucune autres entités, mis à part le Dieu de l’Océan qui est le Dieu de tout bon marin qui se respectent. Je me rapprochais de lui, cigarette en bouche je pris une immense bouffé sur ma clope avant de tout lui lancer à la gueule. Je m’essuyais le visage d’un coup de manche, mon chapeau ne suffisait pas à lutter contre la pluie et le vent. Je penchais ma tête sur le côté, d’un air songeur, effectuant ainsi une moue avec ma bouche.
- Je pourrai te laisser en vie… maiiiis… je ne crois pas en ton Dieu et… ce n’est pas dans mes habitudes de laisser les personnes en vies. Encore moins les foutus curés de ton espèce.
Je finis par me relever tout en le choppant par le cou, ainsi, l’étranglant, je le soulevais au-dessus du vide, quant à lui il essayait tant bien que mal de me parler mais n’ayant plus un apport d’air suffisant il émettait plus des gargouillis, des bouts de mots jusqu’à ce que je le lâchais, il entama sa course et là, on pu entendre un cri horrifié de sa part.
Pourquoi avoir peur ? Si son Dieu existait vraiment, il n’aurait pas dû avoir si peur que ça.
Je crachais dans le gouffre, espérant que j’atteigne son cadavre recouvrant les rochers en bas avec son sang. Je mis mes mains dans mes poches avant de regarder les nuages noirs au-dessus de l’île, quel temps de chien, on ne pouvait même pas avoir un soir à peu près potable ici ou quoi ?!
Je remontais alors en ville, allant jusqu’à ma cachette, je m’assurais que je n’étais pas suivi en regardant à chaque bout de ruelle derrière moi, sur les côtés et au-dessus. Je ne voulais pas encore une fois de plus me trouver une autre cachette pour fuir ces putains de mafieux.
Une fois à la planque, un gars vint m’accueillir, je déposais dans ses bras mes vêtements trempés qu’il apporta près du feu, en mawashi, j’attrapais une couverture qu’un autre de mes hommes m’apporta, ils me traitaient bien ces bougres malgré mes folies eheh.
Ce jour-là j’avais un plan que j’exposais à mes gars autour du feu, bien sûr ni Moka et ni Arhye n’étaient au courant.
J’attendais que l’on soit tous réunis pour exposer mes idées.
- Bon, j’ai un plan, pour nous apporter un appui plus que considérable lorsque vous entendrez mon coup de feu vous tirez sur l’église à coup de boulet de canon !
Tous se regardèrent entre eux, je lisais bien l’inquiétude sur leurs visages.
- Si vous savez viser un minimum visez la partie la plus longue de l’église, là où serons les invités, pas la large bande de macaques !
Je les sentais plus soulagés d’un coup.
- Léonardo, ce sera toi qui aura les commandes de l’équipage à ce moment-là. Ensuite, attendez-nous à la baie plus au Nord, elle est pas mal pour prendre tout le monde, une plage plate et dégagée, comme ça pas de mauvaises surprises.
Je me mis à bailler.
- Aller, c’est tout pour ce soir, je vais me coucher. Vous devriez faire de même, n’oubliez pas de profiter de cette semaine, vous êtes de repos.
Je m’enfermais dans le coffre-fort qui alors me servait de chambre, à l’intérieur j’y avais installé un sommier, quelques bougies et un vieux matelas qui traînait. Le verrou du géant coffre fort me servait de porte, je la laissais entre ouverte pour éviter d’être coincé comme un bouffon.
J’éteignais les bougies et je sombrais dans un profond sommeil dans les minutes qui suivirent, exténué j’avais tendance à vite m’endormir.
J’avançais d’un pas, le prêtre en reculait d’un. La pluie ruisselait sur mon visage arborant un sourire machiavélique, le bonze avait une mine effrayé, il fit encore un pas en arrière, ça aurait pu être son dernier.
Lorsqu’il vit qu’il était au bout de la falaise, il su se rattraper et éviter une première chute tout en bas sur le tapis rocheux, il ré-avança son pied qui avait le faillit le faire tomber dans le vide, il s’agenouilla pour implorer ma pitié.
- S’il vous plaît… j’ai fait tout ce que vous m’avez demandé ! Laissez-moi ! Dieu peut vous pardonnez de tout vos pêchés !
Je ricanais suite à sa phrase, je ne croyais aucunement en Dieu ni en aucune autres entités, mis à part le Dieu de l’Océan qui est le Dieu de tout bon marin qui se respectent. Je me rapprochais de lui, cigarette en bouche je pris une immense bouffé sur ma clope avant de tout lui lancer à la gueule. Je m’essuyais le visage d’un coup de manche, mon chapeau ne suffisait pas à lutter contre la pluie et le vent. Je penchais ma tête sur le côté, d’un air songeur, effectuant ainsi une moue avec ma bouche.
- Je pourrai te laisser en vie… maiiiis… je ne crois pas en ton Dieu et… ce n’est pas dans mes habitudes de laisser les personnes en vies. Encore moins les foutus curés de ton espèce.
Je finis par me relever tout en le choppant par le cou, ainsi, l’étranglant, je le soulevais au-dessus du vide, quant à lui il essayait tant bien que mal de me parler mais n’ayant plus un apport d’air suffisant il émettait plus des gargouillis, des bouts de mots jusqu’à ce que je le lâchais, il entama sa course et là, on pu entendre un cri horrifié de sa part.
Pourquoi avoir peur ? Si son Dieu existait vraiment, il n’aurait pas dû avoir si peur que ça.
Je crachais dans le gouffre, espérant que j’atteigne son cadavre recouvrant les rochers en bas avec son sang. Je mis mes mains dans mes poches avant de regarder les nuages noirs au-dessus de l’île, quel temps de chien, on ne pouvait même pas avoir un soir à peu près potable ici ou quoi ?!
Je remontais alors en ville, allant jusqu’à ma cachette, je m’assurais que je n’étais pas suivi en regardant à chaque bout de ruelle derrière moi, sur les côtés et au-dessus. Je ne voulais pas encore une fois de plus me trouver une autre cachette pour fuir ces putains de mafieux.
Une fois à la planque, un gars vint m’accueillir, je déposais dans ses bras mes vêtements trempés qu’il apporta près du feu, en mawashi, j’attrapais une couverture qu’un autre de mes hommes m’apporta, ils me traitaient bien ces bougres malgré mes folies eheh.
Ce jour-là j’avais un plan que j’exposais à mes gars autour du feu, bien sûr ni Moka et ni Arhye n’étaient au courant.
J’attendais que l’on soit tous réunis pour exposer mes idées.
- Bon, j’ai un plan, pour nous apporter un appui plus que considérable lorsque vous entendrez mon coup de feu vous tirez sur l’église à coup de boulet de canon !
Tous se regardèrent entre eux, je lisais bien l’inquiétude sur leurs visages.
- Si vous savez viser un minimum visez la partie la plus longue de l’église, là où serons les invités, pas la large bande de macaques !
Je les sentais plus soulagés d’un coup.
- Léonardo, ce sera toi qui aura les commandes de l’équipage à ce moment-là. Ensuite, attendez-nous à la baie plus au Nord, elle est pas mal pour prendre tout le monde, une plage plate et dégagée, comme ça pas de mauvaises surprises.
Je me mis à bailler.
- Aller, c’est tout pour ce soir, je vais me coucher. Vous devriez faire de même, n’oubliez pas de profiter de cette semaine, vous êtes de repos.
Je m’enfermais dans le coffre-fort qui alors me servait de chambre, à l’intérieur j’y avais installé un sommier, quelques bougies et un vieux matelas qui traînait. Le verrou du géant coffre fort me servait de porte, je la laissais entre ouverte pour éviter d’être coincé comme un bouffon.
J’éteignais les bougies et je sombrais dans un profond sommeil dans les minutes qui suivirent, exténué j’avais tendance à vite m’endormir.