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[Terminé] Jean Bilbotin

JEAN BILBOTIN
Pseudonyme : -
Age : 25 ans
Sexe : Homme
Race : Humain

Métier : Ingénieur
Groupe : Brigade scientifique de la Marine

But : Faire des simples subalternes de la marine autre chose que de la chair à canon.

Équipement : Ses outils. Et l'équipement d'un matelot.

Parrain : -

Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? Non
Si oui, quel @ l'a autorisé ? -

Codes du règlement :


Description Physique
En uniforme de marin, Jean se fond parfaitement entre les matelots. Il n'a pour ainsi dire aucun gros défaut marquant son visage, mais aucune particularité le rendant mémorable non plus. Certains l'envient, mais Jean aimerait qu'on le remarque un peu plus au premier coup d’œil. Les seules choses qu'il a hérité du physique atypique de son père sont ses caractéristiques les moins atypiques, qui sont les cheveux noirs et la grande taille combinée à une silhouette élancée.

Il compense le temps qu'il passe à travailler sur les machines ou en laboratoire avec des séances de sport qu'il prend très à cœur pour conserver son corps de militaire modèle et être prêt à passer à l'action à tout moment.

Au niveau vestimentaire, il porte généralement son ensemble blanc sous une salopette bleue marquée de l'insigne de la marine, sa casquette de marine ainsi que des lunettes de protection rondes qu'il laisse pendre autour de son cou quand il ne les utilise pas. Lorsqu'il ne travail pas, il a ses vêtements de civil classiques, rien d'extravagant.

En dehors de ça, Jean essaie de constamment sourire pour améliorer l'ambiance générale et sa propre humeur. Il sait y faire pour avoir un sourire chaleureux venant du cœur. Il bouge sans arrêt ses mains quand il ne tient pas quelque chose ou qu'elles ne sont pas occupées, il est obligé de tripoter des choses, il ne supporte pas de rester les bras ballants.


Description Psychologique
Jean est gentil, il n'aime pas vraiment se battre et il le fera plus par nécessité que par soif de sang.
Il est connu de ses amis comme étant très protecteur vis à vis de leurs vies, mais ce que moins ont remarqué, c'est qu'il a aussi tendance à prendre ses ennemis en pitié. Ayant toujours vécu en paix, entouré d'amis et ne s'étant jamais retrouvé en position de faiblesse face à une attaque de criminelles sanguinaires, Jean n'a jamais développé de haine profonde envers les pirates contrairement à beaucoup de marins. Il les voit plus comme des gens stupides qui clament être libres mais empiètent sur celle des autres. Il comprend pourquoi ils sont mauvais, mais ne retient pas vraiment de haine viscérale envers eux. C'est aussi pour ça qu'il manque de rage au combat, son objectif n'étant pas directement la mort des criminelles mais la protection des innocents, il garde son sang froid et cela freine ses coups. C'est pourquoi il préfère des armes mettant de la puissance à sa place, comme les armes à feu. Il préfère même éviter le combat la plupart du temps.

Dans la vie quotidienne c'est plutôt le contraire, détestant se prendre la tête, il fait face à ses problèmes tête baissée, sans jamais reculer. Faire attendre les choses ne fait qu'aggraver la situation dans la plupart des cas. Alors autant chercher à les résoudre le plus vite possible pour avoir l'esprit léger.
Entouré d'amis et d'amour depuis sa plus tendre enfance Jean est globalement heureux et transmetteur de sa bonne humeur. Sa force réside dans sa sociabilité, dans ses camarades. Et sa plus grande peur est de se retrouver seul. C'est pourquoi il cherchera à protéger ses camarades à tout prix, même depuis son laboratoire.

Étant optimiste il a du mal à supporter les gens se plaignant sans arrêt, mais à part ça, il ne hait pas grand chose. Il accorde un intérêt particulier au travail bien fait et voit pour cela d'un mauvais œil le travail bâclé.


Biographie
Jean Bilbotin, de son nom complet Jean Bilbotin Junior, fils de feu Jean Bilbotin, Lieutenant-Colonel de la marine mort sur les mers, Jean-Bilbotin (Junior) donc, naquit en l'an 1602 sur Grand Line. Mais sa mère et lui furent vite envoyés en sécurité sur l'île de Tanuki, en North Blue, par Jean Bilbotin (père), très craintif pour leur sécurité. Alors âgé d'un an, Jean entama tranquillement sa croissance au milieu des moutons et des gentils villageois. L'absence de son père le marqua peu, tant il était entouré par des amis. Bien qu'il fût toujours heureux de revoir ce héros de la Marine revenir chaque fois plus fort et plus médaillé pour lui raconter des histoires, la lettre annonçant son décès ne le traumatisa pas plus que ça, c'était comme ça qu'il le voyait disparaître depuis toujours.

Sa mère, qui fabriquait des meubles auparavant, profita des moutons à coton de l'île de Tanuki pour se spécialiser dans la création de canapés, fauteuils, lits, et autres objets du genre. Jean s'amusait à bricoler divers outils ou des machines pour aider sa mère dans son travail. Mais ce passe-temps le lassa, et les moutons ne l'intéressaient pas du tout. Il préférait rendre visite au vieux Kanemitsu dans son temps libre pour le regarder travailler ou pour lui demander conseil. Le soin que prenait le forgeron de chaque centimètre de chaque arme l'émerveillait. « Son sabre est la dernière défense d'un soldat, disait-il, il doit être infaillible, tenir tant que le bras le tient. Si un soldat venait à mourir à cause d'une faiblesse de son arme, je ne pourrais plus me regarder dans ces lames. » Ces paroles restent gravées dans la tête de Jean encore aujourd'hui.

Apprécié et appréciant à peu près toute la 412e garnison, c'est à ses dix-sept ans qu'il commença sa formation dans la Marine pour se trouver une occupation. Il la termina en 1620, alors qu'il avait dix-huit ans. Sa naïveté et son manque d'expérience lui faisant préférer l'aventure et la gloire à la paix qu'il connaissait depuis toujours, Jean s'ennuyait beaucoup trop sur l'île. Il demanda à être muté et il fut transféré au QG de North Blue.

Il y travailla exemplairement, embarqué sur un croiseur aux côtés d'une grosse centaine de camarades. Il traînait beaucoup avec les gars de la Brigade Scientifique et apprenait leurs astuces. Il resta cependant un simple matelot jusqu'à l'attaque du QG de 1622 où il réalisa sa faiblesse et sa relative inutilité au combat. Après cet événement, il suivit une formation de deux ans pour devenir ingénieur.
Au milieu de ces deux années, il reçu un message l'informant de l'attaque de l'île de Tanuki. Il s'y déplaça pour constater les dégâts et il prit conscience de la différence de puissance entre les humains et les surhommes qui régnaient sur le monde. Le colonel avait du se sacrifier pour affronter l'ennemi qui aurait pu raser toute la base sans problème sans lui. Jean avait l'impression frustrante que ses amis étaient morts en vain, que leur présence n'avait fait absolument aucune différence dans la bataille. Comme à celle du QG.
De retour à la base, Jean était plus déterminé que jamais à devenir un grand ingénieur, un but désormais en tête : donner un sens au combat de ces milliers d'hommes qui gardent les mers au nom de la Justice.

En 1624, il devint ingénieur sur le même croiseur qu'auparavant. Il y travailla dur trois années pour acquérir de l'expérience, surtout en mécanique mais aussi un peu en médecine, puisqu'il côtoyait et aidait souvent ses camarades médecins. Sur son temps libre, Jean travaillait aussi sur son premier projet qu'il nomma "sabroçonneuse" au moment d'en dévoiler le prototype à ses amis en 1927. Ses trois années de casse-tête étaient récompensées par sa première arme fonctionnelle, mais surtout par le premier pas vers son objectif final.


Test RP

Effroi ! Quelqu'un a copié les plans de la sabroçonneuse de Jean ! Avec, il a confectionné - malhabilement - un premier prototype. Sans être forcément concluant, il était assez perfectionné pour trancher des matières rudimentaires.

La marine enquête, et grâce à des témoignages de camarades de Jean, finit par apprendre que tu es celui qui a imaginé cet outil, devenant par là même le premier suspect dans l'affaire des chatons déchiquetés (oui, celui qui a copié tes plans s'est servi de la machine pour massacrer les chats errants, il se prend pour une sorte de justicier qui lutte contre les matous indolents qui fouillent dans les poubelles).
Comment vas-tu t'extirper de ce déplorable quiproquo ?

Au milieu d’une petite salle enfumée et mal éclairée trônait une table austère sur laquelle étaient éparpillées plein de photographies, ainsi qu’une lampe braquée sur le visage mal à l’aise de Jean Bilbotin, assis d’un côté de la table. De l’autre côté, le sergent-chef Abderrafi Stonnier, un pied par terre et le second sur sa chaise, crachait une nouvelle vague de fumée de son cigare bas de gamme au nez du pauvre marine qui toussa malgré lui.
« – Tousse devant moi encore une fois et je te rajoute une semaine, capitcho ?  » dit le sergent de sa voix profonde et abîmée par tous les interrogatoires de sa carrière.

Jean resta silencieux, le moindre effort de sa gorge aurait déclenché une quinte de toux incontrôlable. Le sergent-chef déplia un couteau plus long que sa tête et lui reposa la question, calmement :
« – Capitcho ?
– C-capitcho… réussit à souffler Jean, retenant l’enfer dans ses poumons. »

Son couteau passa au travers de la table.
« – ON DIT ‘’OUI SERGENT-CHEF’’ ! OÙ C’EST QUE T’AS FAIT TA FORMATION SATANÉ BRANQUIGNOLE ? CHEZ LES PIRATES ? T’ES UN DE CES SALOPARDS PAS VRAI ?!
– N-non sergent-chef !
– ON DIT ‘’OUI SERGENT-CHEF’’ !
– Oui Sergent-Chef !
– ALORS COMME ÇA T’ES BIEN UN ENCULÉ DE MACCHABÉE D'EAU DE VAISSELLE ! ÇA M’ÉTONNE PAS DE TOI ! il se calma comme si rien ne s’était passé et glissa les photos vers Jean. Tu sais ce que c’est, ça ?
– Des… morceaux de cadavres ? hésita Jean, oscillant entre l’envie de vomir, celle de s’évanouir et celle de fondre en larmes et d’avouer les crimes qu’il n’avait pas commis.
– Ce sont tes putains de victimes… toutes âgées de moins de 7 ans d’après nos experts.
– Mes victimes ? Mais je n’ai rien fait !
– Inutile de jouer au con avec moi. Tes petits camarades t’ont balancé, et regarde ce qu’on a trouvé dans ta piaule, il posa la sabroçonneuse de Jean sur la table, et oui… l’arme du crime, tu l’as bien nettoyée mais on sait que c’est toi.
– Mais c’est ridicule ! Demandez à mon équipage, tout le monde sait que je ne ferai jamais de mal à des enfants !
– À des enfants peut-être pas, mais t’es pas le premier timbré de scientifique à tester ses inventions sur des pauvres animaux innocents. Et moi vivant, aucun de mes chiens de sous-fifres ne touchera à un poil de p’tits chats impunément. C’est pas parce qu’ils n’ont pas de familles qui les attendent dans un foyer qui n’existe pas que leur vie vaut moins que celle d’un barjot comme toi. Capitcho ?
– Cap- Oui Sergent-Chef !
– T'es un peu con mais tu comprends vite on dirait… Bon, si ça ne tenait qu’à moi t‘aurais déjà sali ton pantalon devant le peloton d’exécution mais heureusement pour toi ces mous de la bite d’officiers veulent te laisser une chance de t’expliquer. Tu as trente secondes.
– Je vous jure sur ma casquette que je suis innocent ! Laissez-moi un peu de temps pour le prouver !
– Ben tiens, j’ai que ça à faire de t’attendre mon joli, il souffla un dernier jet de fumée sur Jean et lui écrasa le reste de son cigare dans la narine gauche. T’as 24 heures, si t’es pas de retour avec le coupable d’ici-là, je viendrai te traîner et t’enchaîner moi-même au plafond de la prison. Maintenant dégage !
– Oui Sergent-Chef ! Merci Sergent-Chef ! »

Jean se précipita dehors, le cigare lui brûlait le nez et l’empêchait de respirer mais il ne pouvait rien dire. Le sergent Abderrafi lui lança juste avant qu’il ne sorte :
« – Et qu’est-ce que tu fous à te promener avec un cigare dans le nez, ça te fait rire ? Je peux t’assurer que ça apparaîtra dans mon rapport. Du vent ! »

Jean sortit donc, jeta le cigare au sol et cracha ses poumons. Après quelques secondes pour se remettre de cet entretien enrichissant, il emprunta la route et se mit à marmonner pour réfléchir.
« Hmm… je ne comprends pas pourquoi on m’accuse. Ma sabroçonneuse n’est peut-être pas parfaite mais elle est bien plus propre. Jamais elle n’aurait déchiré les cadavres de cette façon… Enfin je pense, j’aurais bien vérifié mais ils me l’ont confisquée du coup, c’est malin. Je vais voir mes plans. »


Arrivé dans sa chambre, à la caserne, après un trajet garni d’insultes envers le sergent-chef, Jean se tourna vers le range-bouteilles qui lui servait à entreposer ses quelques plans et prit celui de sa sabroçonneuse. Quelle ne fut pas sa surprise quand il découvrit que c’était le plan du Mâche-Laine K1000 ! Lui qui rangeait pourtant si consciencieusement son matériel. Il découvrit que tous ses plans étaient mélangés alors il les remit à leur place sans se poser plus de questions puis procéda à l’examination du plan qui l'intéressait. Il griffonna quelques calculs sur un bout de papier et marmonna de nouveau.
« Comme je le pensais… le nombre de dents, leur inclinaison, ainsi que la vitesse de rotation… tout ça devrait passer à travers la chair comme dans du beurre. Même à travers les os, surtout à travers des os de chatons. C’est sûr, ma sabroçonneuse n’est pas l’arme du crime ! Une démonstration devrait suffire à m’innocenter, mais le sergent-chef veut que je ramène le coupable. Et il a raison ! Des pauvres p’tits chatons si mignons ! C’est impardonnable ! »

Mais par où commencer ? C’était bien là son problème majeur. Il n’avait aucune piste, un déchiqueteur de chatons pouvait être n’importe qui dans la ville. Il pouvait même s’être déjà enfui de l’île !
Jean ruminait ses problèmes sur la route et arriva bientôt à l’atelier sans s’en rendre compte. L’habitude de faire ce trajet, sans doutes. Ses deux camarades de chambre y travaillaient et le saluèrent.
« – Alors, Jean ? Comment ça se passe cette histoire de chatons déchiquetés ? C’est pas toi pas vrai ?
– Évidemment que c’est pas moi, mais je dois trouver le coupable si je ne veux pas prendre sa place au trou. Saleté de Stonnier… »

Ils rigolèrent.
« – T’as de la chance, t’es tombé sur le plus gentil des sergents-chefs du QG !
– Il m’a brûlé le nez ce con ! Non mais pour qui ils se prennent ! Ça fait mal.
– Fais pas ta chochotte, ça va. Tu sais où chercher, sinon ?
– Pas du tout, je sais que ce n’est pas mon prototype qui a servi d’arme mais je dois en plus trouver le coupable, je suis dans une merde noire. Vous avez touché à mes plans sinon ? Remettez-les à leur place, s’il-vous-plaît. J’aime pas devoir chercher mes affaires.
– Hein ? Non j’ai rien touché, et toi Patachon ?
– Rien touché non plus. Pourquoi ?
– Ils n’étaient pas bien rangés je vous ai dit, y’a bien quelqu’un qui y a touché, ils n’ont pas bougé tout seuls quand même !
– Bingo ! s’exclama Polochon en tapant son poing contre sa main. Tu la tiens ta piste !
– Comment ça ?
– Tu dis que c’est pas ta sabroçonneuse l’arme ! Quelqu’un a dû la copier à partir de tes plans !
– Oula, tu pars loin. Ça peut être une tronçonneuse normale. Tiens, je vais aller voir les bûcherons du coup !
– Mais non idiot, les experts étaient formels : ce n’était pas une simple tronçonneuse.
– Comment ils peuvent dire ça avec quelques cadavres déchiquetés ?
– Va savoir, c’est leur métier. En tout cas un gars a copié ton arme et s’en sert pour commettre des crimes. Tu devrais faire gaffe à tes plans, tu les laisse traîner sur une étagère sans aucune sécurité. Imagine si un pirate ou un révolutionnaire mettait ses mains dessus et équipait tout son équipage avec tes machines !
– Je vois pas ce qu’ils pourraient faire du Mâche-Laine K1000 ou du Mâche-Coton K100X, dit Jean en rigolant. Mais bon, tout ça ne m’avance pas trop. Un mec a copié mes plans, et maintenant je fais quoi ?
– Cherche dans les ruelles un gars qui massacre des chatons, ça doit faire du bruit, ça.
– Bon, je vais essayer, merci les gars.
– Y’a pas de quoi ! À la prochaine j’espère ! »


Le soleil commençait déjà à retomber sur l’Ouest et Jean déambulait désormais à travers les rues pleines de la ville. C’était un vrai labyrinthe et même s’il le connaissait plutôt bien grâce à tous les entraînements de la division, il n’avait aucune idée d’où commencer à chercher. Il jetait des coups d’œil dans les ruelles sur les côtés avec l’espoir d’y voir un fou torturant des chatons, mais rien, jusqu’à ce qu’il tombe sur une patrouille de cinq marins, dirigés par son meilleur ami, le Caporal Philippe Edvash.
« – Philippe ! Quelle veine de te trouver ici ! J’aurais bien besoin d’aide.
– Jean ! Content de te voir vivant ! Comment s’est passé ton interrogatoire ?
– Ça aurait pu être pire, je suppose… Je dois chercher le coupable, avec de la chance il doit faire ses affaires dans le coin. Mais seul ça va être compliqué de le retrouver.
– Je vois, tu peux compter sur nous ! Les gars ! On a un tueur de chatons à la sabroçonneuse qui agit ici ! Chez nous ! C’est intolérable et c’est notre devoir de protecteur des innocents de l’arrêter ! Tirez si vous le trouvez, n’agissez pas seul ! Dispersion ! »

Sa patrouille cria en cœur puis partit dans toutes les directions. Philippe prit le nord et laissa Jean se débrouiller.
Les six marins déambulèrent des heures dans les ruelles tortueuses de la ville de la base G-6 avant qu’un feu de détresse ne soit tiré, au nord. Jean se précipita dans la direction de son ami pour l’aider à appréhender le criminel.
Il arriva en même temps que les autres marins de la patrouille, et ils découvrirent le talentueux Caporal Philippe en difficulté face à notre coupable, un homme de taille moyenne, plutôt maigre et portant un masque blanc de souris. Des chats entouraient la scène, appréciant visiblement le spectacle. La lame du caporal était repoussée sans difficulté par la sabroçonneuse ennemie.
« – Faites gaffe, il a bien failli me désarmer plusieurs fois, et j’y ai laissé ma main gauche. »

En effet, tout le monde pu voir le triste état de sa main, déchirée en deux par le milieu. Le sang coulait abondamment, et Jean se précipita dessus pour freiner l’hémorragie, suivi du marin portant la trousse de secours.
Pendant qu’on le soignait, le criminel prit la parole :
« – Mouahaha ! Vous ne m’arrêterez pas ! Je tuerai tous ces sales chats jusqu’au dernier ! Ils salissent notre belle ville en éventrant les poubelles ! Ils répandent les détritus partout ! Il faut les éliminer jusqu’au dernier !
– Mais enfin, protesta Jean, n’aimes-tu pas les chats errants ? Fais appelle à l’enfant qui sommeille en toi, rappelle-toi de ce jour où tu croisas un chat tout choupi mais un peu méfiant dans la rue, en rentrant de l’école. Et qu’à force de patience, il accepta tes caresses ! Ne sont-ce pas là des souvenirs chers de n’importe quel homme ?! »

Philippe soupira devant l’innocence de Jean, et le criminel retira lentement son masque. Laissant apparaître un visage douloureux derrière un air grave, quadrillé de cicatrices.
« – Tu ravives là de terribles souvenirs… alors que j’étais un charmant bambin et que je rentrais de l’école, je découvris justement un petit chatounnet tout mignon choupi. Je m’approchai pour lui faire des papouilles, et ce fumier me sauta au visage, m’infligeant les cicatrices que tu vois. Ses griffes pleines de bactéries après avoir fouillé les poubelles avaient infecté mes plaies et je failli perdre mon visage ce jour-là. Mais même si j’ai survécu, je dois vivre caché avec cette apparence hideuse depuis lors. Il est mon devoir de purifier cette ville afin qu’aucun autre enfant ne puisse subir ce triste sort ! Ne comprenez-vous pas ?! »

Au moment où il finissait sa tirade, un des marins l’attaqua par surprise, au sabre. Le tueur de chats para le coup et le sabre fut arraché des mains de son propriétaire qui finit au sol. Le criminel ricana.
« – Inutile, grâce à mon invention, la tronsabreuse, je suis invincible ! Mouahaha !
– Ton invention ? Tu as copié mes plans ! Et d’abord c’est la sabroçonneuse ! Pff ‘’tronsabreuse’’, ridicule vraiment !
– Oh c’est donc toi ! Sache que tes plans n’étaient pas complets, j’ai dû finir moi-même la plus grosse partie.
– Normal, il y avait deux plans, t’en as oublié un vu la gueule de ton arme.
– Qu- peu importe ! Vous feriez mieux de garder vos distances, sinon, vous êtes des hommes morts ! Je n’ai rien contre les humains mais je suis prêt à tout pour sauver la ville de ces vils démons ! »

Un coup de feu retentit et le tueur s’effondra. Le marin qui avait tiré regarda son groupe d’un air blasé.
« – Ben quoi ? J’ai gardé mes distances.
– Aaaargh, alors ma vie se termine ici… désolé maman, tu m’as toujours soutenu, même après mon accident. Et pourtant j’ai dévié du droit chemin. Quel déshonneur.
– C’est ça, c’est ça, garde tes larmes pour le juge. »

Le marin avec la trousse de secours s’occupa de l’épaule trouée du criminel puis le ligota et le releva. Jean l’emmena derechef au Sergent-Chef, qui passa dessus ses nerfs tendus après une dure journée, puis il revint voir le Caporal Philippe.
« – Alors ta main, ça va ?
– Pas vraiment non, ça n’a pas empiré mais je l’ai définitivement perdu.
– C’est de ma faute, désolé. »

Il ne fit pas de commentaire, il ne pouvait pas vraiment dire le contraire, même s’il n’en voulait pas à son ami. C’étaient les risques du métier. Mais Jean se sentait coupable, il avait laissé son arme aux mains d’un ennemi et il voyait désormais le résultat. De plus, son œuvre ne suffirait pas du tout à atteindre son objectif. Une simple balle avait arrêté le criminel. Toute la fierté qu’il avait en montrant le prototype à ses camarades s’était évaporée, il trouvait son arme vachement nulle à bien y réfléchir. Elle serait trop chère à produire en masse en plus, aucun intérêt.

« – Je vais l’arranger ta main, ça doit pas être si compliqué que ça des connections nerveuses.
– Perds pas ton temps pour ça, continue tes projets, si t’y arrive alors j’aurai même plus besoin de cette main, pas vrai ? »

Jean souffla du nez pour confirmer puis les deux amis se dirent au revoir.



   
Informations IRL

Prénom : Nicolas
Age : 20 ans
Aime : Les belles choses, le chocolat, rêver, faire l'hélico devant le miroir de ma salle de bain, faire des papouilles aux animaux, la musique chill, l'air froid d'hiver, ...
N'aime pas : Les sous-titres / scantrads écrits par des illetrés, les odeurs fortes, les boissons gazeuses, avoir le nez bouché, ...
Personnage préféré de One Piece : L'amiral Fujitora, j'adore ce genre de persos "sages".
Caractère : Je sais pas, je vais vous laisser vous faire un avis avec le temps.
Fait du RP depuis : J'ai commencé des RP à la con dans les années 2011-2012-2013 par là. Mais j'ai commencé un peu plus sérieusement y'a 1 ou 2 deux ans (ça passe vite je sais plus trop) sur des RPs Pokémon notamment.
Disponibilité approximative : Le soir en semaine, entre 17h et 22h, enfin ça varie selon mes horaires. Le week-end sinon.
Comment avez-vous connu le forum ? Une idée de personnage One Piece trainait dans ma tête depuis un moment alors j'ai décidé de le concrétiser. Je pensais juste créer le perso puis le garder pour ma poire mais finalement j'ai pensé aux RPs, donc j'ai tapé "RP One Piece" sur Google et me voilà. (bon au final ce personnage a été refusé mais peu importe)


ONE PIECE REQUIEM ©️



Dernière édition par Jean Bilbotin le Lun 2 Juil 2018 - 18:51, édité 5 fois
    Salut Jeannot, je passe pour ton test RP.

    Effroi ! Quelqu'un a copié les plans de la sabroçonneuse de Jean ! Avec, il a confectionné - malhabilement - un premier prototype. Sans être forcément concluant, il était assez perfectionné pour trancher des matières rudimentaires.

    La marine enquête, et grâce à des témoignages de camarades de Jean, finit par apprendre que tu es celui qui a imaginé cet outil, devenant par là même le premier suspect dans l'affaire des chatons déchiquetés (oui, celui qui a copié tes plans s'est servi de la machine pour massacrer les chats errants, il se prend pour une sorte de justicier qui lutte contre les matous indolents qui fouillent dans les poubelles).
    Comment vas-tu t'extirper de ce déplorable quiproquo ?

    Si le test RP ne te plaît pas, tu peux en demander un autre.
    • https://www.onepiece-requiem.net/t16440-fiche-technique-joe-biut
    • https://www.onepiece-requiem.net/t16405-presentation-joe-biutag
    Salut,

    Test fait !
      Salut Jean, je passe pour ton premier avis.

      Point forme  :

      Lorsqu'il ne travail pas → verbe travailler conjugué → travaille
      Il est connu de ses amis comme étant très protecteur vis à vis de leurs vies → leur vie (ils sont plusieurs, mais n'ont qu'une seule vie chacune)
      Jean-Bilbotin (Junior) → Pas de parenthèses dans le récit

      Point fond  :

      En uniforme de marin, Jean se fond parfaitement entre les matelots.

      Bien essayé Cool, mais je ne mettrai pas un extrait de In the Navy, ce serait trop prévisible.

      il est obligé de tripoter des choses

      N'insiste pas !

      Si je dois dresser un portrait robot de Jean à partir de ce que j'ai lu : il est plutôt svelte, a les cheveux bruns, porte l'équivalent d'un bleu de travail et sourit. Difficile de me le représenter avec si peu d'éléments. Alors certes, ça concorde avec le côté insignifiant et difficile à remarquer que tu souhaites lui octroyer, mais là on ne sait pas du tout à quoi il ressemble.

      Jean est gentil

       Il comprend pourquoi ils sont mauvais

      Une description mentale toute en manichéisme.

      Myo n'a pas encore posté son avis, mais je peux déjà dire qu'il t'objectera le manque de nuance de ton personnage ([Terminé] Jean Bilbotin 1481051365 prends ça Myo). Cela dit, il a entièrement raison (à titre préventif). Ton personnage aime les gens, il est sociable, bien ordonné, consciencieux, rigoureux et capable de pitié.
      Ma question est la suivante : a-t-il ne serait-ce qu'une once de défaut ? Ce personnage est trop parfait, trop lisse. Même les saints ont leurs tourments et leurs mauvais côtés.

      naquit en l'an 1602 sur Grand Line.

      Quelle île exactement ?

      La mère, le père, le forgeron : pas de nom, pas de description. Juste un rôle.

      Cette biographie est d'un vide. Comme pour celle que j'ai faite précédemment : tout va de soi. C'est froid, désincarné, rien ni personne n'est développé. Il devient ingénieur comme ça et roule ma poule. Son intérêt pour la marine est vague et il prétendait s'ennuyer sur GL, pourtant il n'a pas le profil de quelqu'un qui recherche l'action, bien au contraire même.

      Vient l'heure du test RP.

      [Terminé] Jean Bilbotin Tumblr_nwfb4cM5ly1rb2l1co1_500

      Si j'ai trouvé la biographie... non pas quelconque... en dessous de ça, vide et stérile. Ce test RP m'a fait bondir tant le contraste avec ce que j'ai lu jusque là était saisissant
      Aucun reproche à faire de ce que j'en ai lu. AU-CUN.

      - L'intitulé du test RP est parfaitement respecté.
      - Les PNJ sont légions et formidablement décrits et joués (camarades de chambrée de Jean, son ami Philippe, l'interrogateur du début et enfin, le criminel).
      - La psyché de ton personnage est tout en nuance contrairement à ce que laissait paraître la description psychologique, ce qui ne rend son évolution dans le récit que plus agréable.
      - Les dialogues sont riches et pertinents.
      - Il y a une enquête cohérente
      - De l'humour ! Et de l'humour qui fonctionne surtout !
      - Une résolution avec un enseignement final (au fond, la sabroçonneuse, c'était de la merde).

      C'était superbe, un plaisir à lire, les personnages sont intéressants et attachants, la mise en scène foutrement bien ficelée, tu sais instaurer et gérer une ambiance. Ce test RP a sauvé ta note finale. Le reste de la fiche aurait été de ce même registre que tu aurais eu 800 dorikis les doigts dans le nez.

      Pour moi, 580 dorikis.

      En attente de ton deuxième avis, je te souhaite une bonne continuation.


      • https://www.onepiece-requiem.net/t16440-fiche-technique-joe-biut
      • https://www.onepiece-requiem.net/t16405-presentation-joe-biutag
      Salut, merci d'avoir lu et tout,

      Il est connu de ses amis comme étant très protecteur vis à vis de leurs vies → leur vie (ils sont plusieurs, mais n'ont qu'une seule vie chacune)

      J'ai toujours un doute et au final je me suis dit que les deux marchaient. En disant "leur vie" ça laisse entendre qu'ils n'ont qu'une vie commune. Par "leurs vies", je voulais dire qu'il s'inquiète pour la vie de chacun séparément.

      Jean-Bilbotin (Junior) → Pas de parenthèses dans le récit

      C'était un peu pour la blague, vu que je mettais des Jean-Bilbotin de partout Razz

      Si je dois dresser un portrait robot de Jean à partir de ce que j'ai lu : il est plutôt svelte, a les cheveux bruns, porte l'équivalent d'un bleu de travail et sourit. Difficile de me le représenter avec si peu d'éléments. Alors certes, ça concorde avec le côté insignifiant et difficile à remarquer que tu souhaites lui octroyer, mais là on ne sait pas du tout à quoi il ressemble.

      Ton portrait robot est parfait ! Le problème c'est que moi même je ne sais pas trop à quoi il ressemble, je l'imaginais comme un marin random justement. Mais à bien y réfléchir c'est pas un PNJ jetable donc c'est dommage. Du coup je sais pas trop, tu me conseil de prendre du temps pour revenir sur son apparence ?

      Une description mentale toute en manichéisme.

      Par gentil je veux dire "délicat et doux" pas que c'est le gentil de l'histoire.
      Et par mauvais, là on prend le point de vue d'un marin lambda qui voit les ennemis comme les méchants à éliminer sans préavis.

      Ton personnage aime les gens, il est sociable, bien ordonné, consciencieux, rigoureux et capable de pitié.
      Ma question est la suivante : a-t-il ne serait-ce qu'une once de défaut ? Ce personnage est trop parfait, trop lisse. Même les saints ont leurs tourments et leurs mauvais côtés.

      C'est vrai, j'en avais parlé sur la chatbox, je disais que je le trouvais plat et inintéressant. Myo m'a déjà dit quelques trucs pour que je puisse l'étoffer (parce que j'avais que 9-10 lignes de description) mais j'ai eu beau me creuser la tête, je ne trouvais pas de défaut qui ferait vraiment sens. C'est un fils de marin qui a grandi en paix, à l'abri des horreurs du monde, protégé par son père craintif pour sa sécurité. Je ne voulais pas faire un énième orphelin qui a perdu ses parents contre les méchants XXX.
      Après j'ai un peu développé dans le test en montrant son côté naïf et ignorant des maux du monde. Mais là du coup je me dis que j'aurais pu faire plus. Même si j'avoue que j'ai du mal à trouver des idées, l'inspiration vient quand j'écris.

      Quelle île exactement ?

      C'est pas important, c'était pour dire qu'il est né dans un lieu un peu dangereux et que son père a vite voulu le mettre en sécurité.

      La mère, le père, le forgeron : pas de nom, pas de description. Juste un rôle.

      Le forgeron est dans la fiche d'île de Tanuki, c'est d'ailleurs pour ça que je l'ai introduit.
      La mère n'est pas très importante, je l'ai mise pour dire qu'il n'a pas grandi seul.
      Son père, c'était le perso que j'avais prévu avant mais qui m'a été refusé. Je voulais en parler plus mais je me suis dit que c'était la présentation de Jean Bilbotin Junior et pas de Jean Bilbotin Père. Du coup ça a un peu fait un mélange des deux, j'en parle à quelques reprises mais il n'a pas un si grand rôle que ça au final. Je pensais peut-être le développer un peu plus dans le futur.

      Son intérêt pour la marine est vague et il prétendait s'ennuyer sur GL, pourtant il n'a pas le profil de quelqu'un qui recherche l'action, bien au contraire même.

      Il s'ennuyait sur l'île de Tanuki. C'est un truc que j'ai remarqué de nos jours. On vit tellement en paix que y'a plein de gens qui s'amusent à jouer aux durs. À vouloir jouer à la guerre. Ben lui c'est un peu ça, il s'ennuyait au milieu des moutons donc il s'est engagé dans l'armée pour faire le beau, mais même là il s'ennuyait -ne réalisant pas sa chance- donc il a demandé à être affecté à une division plus active.
      Après il s'est pris une douche froide en 1622 pendant l'attaque des Guns'N'Guns, où il s'est un peu rendu compte que la vie ne roulait pas sur des roulettes.

      Et merci pour le test, j'ai été plutôt inspiré par le sujet, ça ne m'arrive pas tout le temps mais là ça allait. En plus ça m'a permit d'installer des collines sur la platitude du personnage donc voilà.

      Et merci pour ton avis. Je pense gommer un peu son aspect "sage", j'ai pas l'habitude de jouer des persos bordéliques étant donné que je suis plus dans l'alignement loyal moi-même. Mais là, je pourrai profiter de cette histoire de paix, coupé du monde, pour en faire un peu un gamin pas très sérieux. Parce que c'est vrai que c'est pas trop justifié le fait qu'il soit très discipliné et sérieux en venant de la garnison de Tanuki. Je vais creuser ce point, mais je ne sais pas si ça suffira à le rendre plus intéressant.
        Hellow ! Je passe pour ton deuxième avis !

        Alors alors on va commencer tout de suite avec tes descriptions ! Sur le physique je vais m’aligner sur ce que Joe t’a déjà dit, c’est un portrait robot trèèèèès brossé qui aurait mérité d’être développé. Tu as à peine esquissé l’avatar, mais ces 4 petits paragraphes qui ne dépassent pas 4 lignes rendent assez compliqué de visualiser ton personnage autrement qu’en regardant ton avatar et c’est dommage. Tu as insisté sur le fait qu’il avait une apparence insignifiante, mais en quoi est-elle insignifiante ? Pourquoi ? Tu parles de “vêtements civils classiques” mais on est dans One Piece, le classique c’est assez relatif avec toutes ces îles qui ont leurs propres modes et on ne sait rien de tout ça non plus. Tu as donné des pistes de manies/tics mais là non plus c’est à peine brossé. Donc je pense que tu aurais pu vraiment rallongé tout ça pour nous montrer un peu plus à quoi ressemble Jean.

        Sur la psycho, Joe m’a bien anticipé (faut dire que depuis le temps il a capté ce que je trouvais pertinent). Maaaaais oui, la nuance est ce qui manque sur cette description. Comme Joe l’a dit, on a là un perso’ assez unidimensionnel. Et je vais pour le coup rebondir sur ce que tu as dit sur ta réponse :

        mais j'ai eu beau me creuser la tête, je ne trouvais pas de défaut qui ferait vraiment sens. C'est un fils de marin qui a grandi en paix, à l'abri des horreurs du monde, protégé par son père craintif pour sa sécurité. Je ne voulais pas faire un énième orphelin qui a perdu ses parents contre les méchants XXX.

        Et du coup ? [Terminé] Jean Bilbotin 1512393872 J’ai (moi, pas mon perso) grandi à l’abri des horreurs du monde, en paix, et pourtant ça ne fait pas de moi quelqu’un exempt de défauts, loin de là. T’es pas obligé de jouer un mec torturé, orphelin ou même cruel pour qu’il ait des défauts. Personne n’est tout blanc ou tout noir, et j’avoue que c’est pas trop trop une bonne excuse. ^^’
        Un personnage exempt de défauts fait très “factice” dans l’esprit, presque irréel. Je pense que c’est quelque chose qui peut être aussi problématique en RP, un perso’ trop parfait peut être assez redondant à jouer et vite lassant.

        La bio j’ai pas grand chose à dire, il se passe pas graaaand chose. Je pense que tu aurais pu en profiter pour développer un peu ton personnage pour combler les brèches de la description psycho’ et consolider sa décision de devenir Marine.

        Le test RP était très satisfaisant je rejoins Joe là dessus, donc je vais pas vraiment développer là dessus. C’était bien, et j’espère que tu continueras de jouer comme ça en RP également. Ton personnage semble plus consistant que lors des descriptions précédente, j’ai presque eu l’impression d’en découvrir quelqu’un d’autre. Bref, j’ai compris Joe quand il disait que ce test était salvateur sur ta note, effectivement il était plaisant à lire. Donc je t’encourage à continuer sur cette voie là !

        Ceci étant, je t’encourage également à ne pas négliger les descriptions/introspections pour ton personnage qui, bien développées, peuvent bien servir à poser un décor ou un ton à ton récit.

        Donc, Joe a tablé sur 580 dorikis. Je vais m’aligner à sa note je pense.

        Voilou, et bon jeu ! o/
        • https://www.onepiece-requiem.net/t16409-fiche-technique-de-myoso
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