Cette aventure commence au Royaume de Bliss. La capitaine Crow s'y était arrêtée avec sa toute nouvelle complice. Voilà deux semaines qu'Adrienne l'avait rejoint. Elles ne marchaient pas encore main dans la main. Toutefois, le courant semblait passer entre eux. Pour l'affaire à suivre, c'était avantageux. Mais ne soyons pas trop hâtifs, ce début d'amitié n'est pas encore significatif. Les aléas des motivations pouvaient se confronter. Cela ne pourrait être, à l'avenir, comme résultat qu'un difficile regret.
Il y a pas à dire ! C'est vraiment une grande ville ! Toute cette activité, tout ce monde ; ça me change de mon ile natale ! Je vois enfin à quoi servaient la plupart des troncs que l'on coupait. J'ai remarqué plusieurs fois la marque de mon ile natale. Des troncs que ma famille à couper sont surement en train d'être coupé, transformer et taillé pour qu'ils deviennent des parts de ces fabuleux navires qui vogueront bientôt sur les mers. Ça me rend un peu rêveuse. J'aimerais bien voguer sur un navire fait exclusivement du bois de mon ile. Ça serait comme naviguer en restant chez soi. Car les arbres, c'est chez moi ! Il faudrait justement en parler avec la Capitaine. Ça peut être compliqué à réaliser, mais on sait jamais.
Justement, la Capitaine, elle est où, encore ? Ah ! Elle est dernière en train de pester contre je ne sais qui, sa fille toujours coller entre ses jambes. Ses blessures de notre rencontre vont bien. Heureusement qu'elle s'est un peu ménagée. Quoique, c'est quand même difficile de ménager une personnalité aussi forte ! Je n’y crois toujours pas qu'elle a eu autant d'énergie à faire plein de choses alors qu'elle avait ses blessures. Après quelques jours, ce n'était plus trop grave, mais elle aurait dû prendre du repos. Franchement, quel exemple pour Rosianne ! Quel exemple pour les futurs enfants ! J'espère que le temps la changera un peu.
Enfin, oublions ça. Il faut recruter de nouvelles camarades. Pour parvenir à nos objectifs, il faut qu'on soit plus nombreux. J'espère qu'elles seront gentilles. Ah oui ! Pas d'hommes ! Sarah a été très claire sur ce sujet. C'est bête, ce n’est pas comme ça que je vais trouver l'amour. Si elles ne sont pas des vilaines méchantes pirates, ça ne sera vraiment pas la joie. En même temps, j'vais pouvoir les faire revenir sur le droit chemin si c'est le cas. Mais ça serait quand même embêtant ! Ne pas avoir de vraies amies gentilles, ça sera difficile à vivre. Du coup, j'vais tenter d'être intraitable sur les candidates. Pas question de les recruter si elles ont des têtes de véritables criminels sanguinaires. Sarah est un peu gentille quand même, je ne pense pas qu'elle irait à les accepter. Je ferais quand même attention.
Où on se trouve là ? À marcher un peu au hasard, on s'est un peu perdu dans les ruelles de la ville. C'est un peu une deuxième ville ici. Les bandits et les voleurs peuvent s'y cacher des troupes militaires qui sont assez nombreuses sur l'ile. C'est, il paraît, le lieu idéal pour recruter des nouveaux en membre. C'est vrai que l'on ne propose pas d'ouvrir un salon de thé ; on ne peut pas se poser sur la grande place et demander à la volée. Les marines nous seraient tombés dessus ! Le mieux serait de trouver un bar pour recruter. Enfin, je ne sais pas en fait. Sarah m'a bien recrutée dans un bar, ça doit être comme ça que ça se passe d'habitude, non ? Tiens, je lui demande.
Capt'aine ? On va ou alors ? On fait comment pour proposer aux gens ?
Je me suis arrêtée pour lui demander. On est à un carrefour entre deux ruelles. Il n’y a pas grand monde dans ce coin là ; on n’est pas très loin des docks, surement. Encore quelques centaines de mètres et on peut croiser des marines. Vaut mieux rester à l'ombre encore un peu. Crow s'approche de moi, cependant, c'est de l'agitation sur ma gauche qui m'alerte. Je vois trois hommes qui s'approchent. Ils parlent fort et avec animation. Ils l'ont l'air de ceux à vouloir se cacher en temps normal et qui, dans ce genre d'endroit, ne passe pas inaperçu. Je n'écoute pas vraiment leur conversation, mais quelques mots attirent mon attention. Vol ? Cambriolage ? Butin ! Je ne rêve pas ! Ces hommes parlent d'un cambriolage ! Impossible ! Seigneur ! Ces hommes vont commettre un péché. Tu ne voleras point ! Je ne peux rester là sans rien faire. Je fais un pas de côté et je coupe la route aux trois hommes qui s'arrêtent, brusquement, sur les gardes après m'avoir dévisagée. On me demande ce que je veux.
Vous voulez cambrioler ? Ce n’est pas bien ! Il ne faut pas voler ! C'est pécher ! Reniez vos vilaines actions, ou, sinon, je vous empêcherais d'agir et je laisserais le Seigneur vous punir !
J'accompagne mes paroles d'un poing serré brandi dans leur direction. Dans mes vêtements de la vie tous les jours, je peux impressionner un peu plus, mais les hommes n'ont pas l'air forcément de détaler dès la première difficulté venue.
Il y a pas à dire ! C'est vraiment une grande ville ! Toute cette activité, tout ce monde ; ça me change de mon ile natale ! Je vois enfin à quoi servaient la plupart des troncs que l'on coupait. J'ai remarqué plusieurs fois la marque de mon ile natale. Des troncs que ma famille à couper sont surement en train d'être coupé, transformer et taillé pour qu'ils deviennent des parts de ces fabuleux navires qui vogueront bientôt sur les mers. Ça me rend un peu rêveuse. J'aimerais bien voguer sur un navire fait exclusivement du bois de mon ile. Ça serait comme naviguer en restant chez soi. Car les arbres, c'est chez moi ! Il faudrait justement en parler avec la Capitaine. Ça peut être compliqué à réaliser, mais on sait jamais.
Justement, la Capitaine, elle est où, encore ? Ah ! Elle est dernière en train de pester contre je ne sais qui, sa fille toujours coller entre ses jambes. Ses blessures de notre rencontre vont bien. Heureusement qu'elle s'est un peu ménagée. Quoique, c'est quand même difficile de ménager une personnalité aussi forte ! Je n’y crois toujours pas qu'elle a eu autant d'énergie à faire plein de choses alors qu'elle avait ses blessures. Après quelques jours, ce n'était plus trop grave, mais elle aurait dû prendre du repos. Franchement, quel exemple pour Rosianne ! Quel exemple pour les futurs enfants ! J'espère que le temps la changera un peu.
Enfin, oublions ça. Il faut recruter de nouvelles camarades. Pour parvenir à nos objectifs, il faut qu'on soit plus nombreux. J'espère qu'elles seront gentilles. Ah oui ! Pas d'hommes ! Sarah a été très claire sur ce sujet. C'est bête, ce n’est pas comme ça que je vais trouver l'amour. Si elles ne sont pas des vilaines méchantes pirates, ça ne sera vraiment pas la joie. En même temps, j'vais pouvoir les faire revenir sur le droit chemin si c'est le cas. Mais ça serait quand même embêtant ! Ne pas avoir de vraies amies gentilles, ça sera difficile à vivre. Du coup, j'vais tenter d'être intraitable sur les candidates. Pas question de les recruter si elles ont des têtes de véritables criminels sanguinaires. Sarah est un peu gentille quand même, je ne pense pas qu'elle irait à les accepter. Je ferais quand même attention.
Où on se trouve là ? À marcher un peu au hasard, on s'est un peu perdu dans les ruelles de la ville. C'est un peu une deuxième ville ici. Les bandits et les voleurs peuvent s'y cacher des troupes militaires qui sont assez nombreuses sur l'ile. C'est, il paraît, le lieu idéal pour recruter des nouveaux en membre. C'est vrai que l'on ne propose pas d'ouvrir un salon de thé ; on ne peut pas se poser sur la grande place et demander à la volée. Les marines nous seraient tombés dessus ! Le mieux serait de trouver un bar pour recruter. Enfin, je ne sais pas en fait. Sarah m'a bien recrutée dans un bar, ça doit être comme ça que ça se passe d'habitude, non ? Tiens, je lui demande.
Capt'aine ? On va ou alors ? On fait comment pour proposer aux gens ?
Je me suis arrêtée pour lui demander. On est à un carrefour entre deux ruelles. Il n’y a pas grand monde dans ce coin là ; on n’est pas très loin des docks, surement. Encore quelques centaines de mètres et on peut croiser des marines. Vaut mieux rester à l'ombre encore un peu. Crow s'approche de moi, cependant, c'est de l'agitation sur ma gauche qui m'alerte. Je vois trois hommes qui s'approchent. Ils parlent fort et avec animation. Ils l'ont l'air de ceux à vouloir se cacher en temps normal et qui, dans ce genre d'endroit, ne passe pas inaperçu. Je n'écoute pas vraiment leur conversation, mais quelques mots attirent mon attention. Vol ? Cambriolage ? Butin ! Je ne rêve pas ! Ces hommes parlent d'un cambriolage ! Impossible ! Seigneur ! Ces hommes vont commettre un péché. Tu ne voleras point ! Je ne peux rester là sans rien faire. Je fais un pas de côté et je coupe la route aux trois hommes qui s'arrêtent, brusquement, sur les gardes après m'avoir dévisagée. On me demande ce que je veux.
Vous voulez cambrioler ? Ce n’est pas bien ! Il ne faut pas voler ! C'est pécher ! Reniez vos vilaines actions, ou, sinon, je vous empêcherais d'agir et je laisserais le Seigneur vous punir !
J'accompagne mes paroles d'un poing serré brandi dans leur direction. Dans mes vêtements de la vie tous les jours, je peux impressionner un peu plus, mais les hommes n'ont pas l'air forcément de détaler dès la première difficulté venue.