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La Tour Galamadriabuyak

A 1 km avant la tour


[Battements de coeur]...Je suis là pour toi...Je n'espère rien...Ecoute le son de ma voix...VIENS ! Sauve-moi...[Battements de coeur accéléré /Coup d'adrénaline, réveil brusque !] Huuuuhaaa ! Ce n'était qu'un rêve ! Assis au fond de mon lit de paille, j'ai la gorge sèche et la tête qui tourne, pis ce rêve m'a semblé tellement vrai...Serait-ce une prémonition ? Hahaha, j'ai lu trop de livres.

Mizu ! Mizu ! Mizu ! On est plus qu'à 1 km de la tour !

Pt'in ! Mais crie pas aussi fort.

ça c'est Elodie, jeune fille doté d'une crinière blonde, d'une robe blanche et de 4 sabots, ouais c'est ma jument et mon plus fidèle compagnon. Elle a mangé le fruit de l'humain était poulain et à cause de ça, je l'entends avec un son plus aigu, sa voix parait ridicule, surement à cause de mon fruit ou bien de mon imagination. Mh...Je crois que j'ai un problème aux oreilles, la dernière fois, je me suis battu contre un malabar et il avait une voix de tafiole. M'enfin bref.

Elodie, J'ai encore fait ce rêve.

Alors on doit se dépêcher, d'après les animaux de la forêt qu'on a rencontré, il garde prisonniers plusieurs hommes et femmes sur cette tour.


Je réfléchis deux secondes et si tout ceci n'est pas qu'un pathétique rêve et si elle pouvait me parler a travers cette voix et si en fait, elle est prisonnière dans cette tour, imaginons tout en haut ! Je donnerais ma vie pour la revoir un jour, ce qui est con parce que si je meurs et que je donne ma vie donc je pourrais pas la voir...Heuu, je m'égare. Je pourrais devenir un simple marchand pour elle, eh ? C'est un grand sacrifice ! Que diable, si je pouvais voir ne serait-ce que son sourire qui m'a un jour redonné gout à cette vie ! Je serais le plus heureux des pirates.

Mizu, désolé de t'interrompre, mais y'a une sorte de blocus, y'a qu'un seul passage et il est gardé par deux grands hommes, on fait quoi ?

Tu t'arrête et tu dis quelque chose, n'importe quoi ! S'ils sont faible et qu'ils n'ont jamais voyagé, ils tomberont dans les pommes. Mais si c'est le contraire, ils risqueront de braquer leur arme vers toi et de fouiller la calèche. A ce moment là, tu fous un coup de sabot sur celui qui te menace et moi je m'occuperais du second à ma sauce.


Nous arrivons près d'eux et avec tous le baratin que leur a sorti Elodie, ils sont plus vénère qu'autre chose, elle aurait pas du sortir des trucs sur leur virilités...Elle commence par lui donner un coup de sabot et le voilà par terre en train d'agoniser, tandis que moi, je me suis mis en dans un angle en haut à droite de la calèche pour pas qu'il ne m'aperçois, au moment où il a détourné le regard en entendant son collègue, je lui saute par dessus et lui tourne la tête, un craquement plus tard et le voilà mort. Je calme ma monture et lui explique que je dois entreprendre ce voyage seul, si ma bien aimée est en haut de la tour, je dois agir de ma propre volonté, si je l'implique dedans et qu'elle se blesse, je m'en voudrais toute ma vie, surtout si je ne trouve pas ce que je cherche en haut de la tour...Ma quête pour la liberté viens tout juste de commencer !

Aux alentours de la tour jusqu'à la grande porte d'entrée !


Je suis sur une plaine où la verdure fait office de tapis. La lumière du jour est éclatante, si brillante que je ne peux regarder l'horizon sans réduire mes paupières. J'avance d'un pas pressé tout en gardant de vue mon objectif actuel, atteindre la tour et monter jusqu'au sommet. Je pense à tous les crimes que j'ai pu commettre en étant Capitaine Pirate, toute cette haine qui me consumait, une folie, je vous dis. En parlant de ça, je sens que je vais devoir user de cet état pour venir à bout de mes adversaires. Je ne pourrai pas me le pardonner s'il arrivait quelque chose à ma tendre. Vous pensez que je suis un monstre ? Un tueur sanguinaire ? Lorsque vous aurez tout perdu et que la mort vous pendra au nez, revenez me voir et dites moi ce que vous avez fait pour survivre.  

Voilà qu'un ennemi pointe le bout de son nez et...Un pistolet ! Je zigzague et l’assomme avec mon bras...Trop faible pour me barrer la route, je vois qu'ils ont mis de la chair à canon en première ligne, pas très juste envers eux, compréhensible certes, mais voilà quoi, on les envoie pas à la mort alors qu'ils ne sont pas prêt voyons. Soudain une cinquantaine d'homme apparaissent aux alentours...S'ils sont aussi faible que celui que j'ai envoyé au tapis, je vais peut être tenter ma technique à distance...Dragon SlashJe me mets alors en position du dragon, sortant mon katana de son fourreau pour ensuite trancher l'air et envoyer une vague sur ses hommes...Quelques minutes plus tard, le grondement de l'attaque et le choc occasionné les fait tombé comme des mouches assommée en pleine été. Puis j'en croise sept autres dans mon chemin, vulgaire cafards, bougez ou vous allez tous crever. D'une détermination sans limite, ils osent se confronter et perdent à leur grand malheur. Je ne suis plus qu'à la moitié de l'entrée là où la chaleur est réputé pour être ardente, il n'y a que très peu de gardes et les seuls qui croisent mon chemin, meurt au combat après avoir tenté de m'arrêter. J'ai continuer ainsi en utilisant une autre attaque de type Dragon Slash ainsi que quelques coups par ci par là...Ah oui ! J'ai aussi décapité un gars, mais ça c'est parce qu'il a fait le malin et m'a mit un coup dans les bijoux de famille, ce qui m'a irrité un temps soit peu, je l'avoue...

Enfin la voilà ! La grande porte qui mène au premier étage de la tour...J'aperçois un Géant munit d'une masse qui me fait signe de la main...Ok ! Je m'arrête, mais seulement si t'as quelque chose à boire, parce que cet escapade et toute ces tueries m'ont tué ! J'ai oublié que ça rend soif d'éliminer de la chair à canon. Et là d'une voix hyper grave et monotone, l'immensité me dit :

Tu as tué 400 hommes de l'armée Galama !

Oh non...Y'en a surement que j'ai pas croisé, j'ai pas compté, mais c'est plutôt 200 hommes que j'ai massacré avec mon katana environ, de la chair à canon, c'était d'un ennuie, d'ailleurs. Vous leur donné quoi à ces gars ? De la mousseline ? Faut leur donner de la bonne bouffe, de la viande de préférence bien saignante quoi ! Grr...Le mec s'échauffe et commence par taper sur sa batte en plastoc, son jouet de récrée...Si tu crois que ta taille m'impressionne...Il sort un katana qui était accroché sur son dos...Un gigantesque...Hé ! Tu sais ce qu'on dit, grosse épée, petite...Le voilà qu'il abat sa massue par terre et fait trembler le sol.

Tu peux pas faire la même chose sur mon dos ? J'ai besoin d'un massage corporel et ton doigté pourrait sérieusement me relaxer...

Il fait au moins 10 mètre de haut et n'a pas l'air très commode, d'après la secousse que j'ai ressentie, cet homme doit être faible, tu peux le savoir rien qu'à la forme du cratère qu'il a fait. Niark...Le voilà qu'il tente de m'attaquer sur mon flanc avec sa massue, j'esquive et tente une acrobatie pour monter sur son arme et ainsi être à hauteur pour essayer de le trancher, ces mecs là, on en vient à bout qu'en tranchant leur jolie gorge. Bordel ! J'ai loupé mon coup, au moment où j'allais sauté et m'agripper sur la massue, je perds l'équilibre, bien sûr l'autre en profite pour essayer de me donner un coup avec son épée. Un coup classique qu'il essaie de me donner, pt'in ce qu'il est lent ! Je l'ai vu à des kilomètres, je vais même avoir le temps de contre-attaquer, mais d'abord je barre l'attaque grâce à mon katana puis saute par dessus et tombe sur son gigantesque bras, je cours jusqu'à atteindre son épaule et ensuite je saute et dégaine mon arme...Mizukawa Sutero ! Je lui tranche le cou avec une rapidité et une agilité remarquable...Bien que j'ai réussis à l'avoir, mon acte n'est pas sans conséquence, le voilà qu'il lache ses armes à terre et essaie je ne sais quoi en mettant ses mains sur son cou...Par chance, je m'extirpe avant même qu'il ne fasse le fou et parte tout droit dans une direction inconnu...Surement pour mourir en paix.


Dernière édition par Mizukawa B. Sutero le Jeu 3 Sep 2015 - 22:04, édité 1 fois
    Je découvre peu à peu les vestiges de la tour, ses murs tapissé de tableau de l'avant guerre, univers verdoyant, je souris en pointant du doigt la fontaine et le petit oiseau jaune, l'animal préféré de ma jument, je tourne la tête pour regarder en arrière et je me souviens qu'elle est restée dehors...Je regarde donc mes pieds tout en grimaçant et en pensant à mon étalon, j'espère qu'elle va bien. Puis je remarque des flèches, ça indique la direction à prendre, je suis bêtement le cheminement de ses illustrations géométrique en faisant l'enfant et en faisant attention de ne pas marcher sur les lignes. J'arrive alors jusqu'à une porte en marbre, j'ouvre, un grincement s'en suit et une voix m'interpelle. Celle d'un vieillard qui crie de colère, puis j'entends une autre, celle d'une fille qui rigole et encore une autre, une femme qui hurle de panique, soudain un tigre qui miaule...Mais où suis-je bien tombé...Quand tout à coup ! Un homme en capuche surgit de nulle part et m'aborde.

    Bienvenue Honorable visiteur. Ta quête commencera lorsque tu auras lâché toute tes armes...Dit moi ? Tu es sans doute là pour trouver quelque chose d'important à tes yeux, mais la seule chose que tu trouveras est totalement différente et elle risque de te changer à vie. Je serai présent à chaque instant clé de ton parcours, on ne peut pas me tuer alors enlève cette pensée de ta tête...Je serai l'homme qui te soignera à chaque étage traversé. Maintenant vit ta légende personnel, découvre ta première mission et essaie de rester en vie.

    Je ne pouvais plus rien dire, plus même penser, sa voix m'est bien familière, on aurait cru entendre la mienne. Cet endroit pue le bizarroïde à plein nez, peut être que c'est l'effet d'un fruit du démon ou une sorte de capacité vaudou... J’acquiesce et lâche toutes mes armes...De toute façon, le combat à main nue, c'est ma spécialité, nah ! Je fronce les sourcils en entendant son ramassis de connerie...Je suis là pour un but précis et ça compte pas changer ! Je parcourais la tour entière...

    Un jour je serai le meilleur bretteur, je me battrai sans répit, je ferai tout pour être vainqueur et gagner les défis ! Je parcourais la tour entière ! Traquant avec espoir, tout ces chiens et leur mystère, le secret de leur pouvoir. C'est mon histoire....Seul pour la victoire, rien ne m'arrêtera, ni même les amitiés les plus solides, je triompherai ! Rien ni personne sur mon chemin ne pourra me briser, car pour accomplir mon destin, je suis déterminé, quand il faudra passer à l'action, je serai seul à gagner le dernier des combats. Seul pour la victoire, rien ne m'arrêtera. ...Une voix s’immisce dans mes pensées...

    ''Je voudrais aidé tout le monde dans l'absolu possible, nous voudrions tous nous aidé si nous le pouvions, les êtres humains sont ainsi fait. Nous voulons donné le bonheur à notre prochain, pas lui donné malheur. Nous ne voulons pas haïr, ni humilié personne. En ce monde chacun de nous à sa place, et notre terre est bien assez riche, elle peut nourrir tous les êtres humains. Nous pouvons tous avoir une vie, belle et libre, mais nous l'avons oublié. L'envie a empoisonné l'esprit des hommes, a barricadé le monde avec la haine. Nous a fait sombré dans la misère et les effusions de sang. Nous avons développé la vitesse pour nous enfermé en nous même.

    Notre savoir, nous a fait devenir scinque. Nous sommes inhumains à force d'intelligence. Nous ne ressentons pas assez et nous pensons beaucoup trop. Nous sommes trop mécanisé, nous sommes trop cultivé. Sans ses qualités humaines, la vie n'est plus que violence et tout est perdu. En ce moment même, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde. De millions d'hommes, de femmes et d'enfants désespéré, victime d'un système qui torture les faibles, qui emprisonnent des innocents.

    Je dis à tout ceux qui m'entendent...Ne désespérer pas ! Le malheur qui est sur vous n'est que le produit éphémère de l'amertume de ceux qui ont peur du progrès de l'humanité. Mais la haine finira par disparaître. Et les indignes dirigeants mourront et le pouvoir qu'ils avaient prit au peuple va retourner au peuple. Et tant que les hommes mourront, la liberté ne pourra pas périr. Citoyens du monde ! Ne vous tenez pas à ses brutes, à une minorité qui VOUS MÉPRISE ET QUI FAIT DE VOUS DES ESCLAVES !
    En régiment tous votre vie, qui vous dit tout ce qu'il faut faire et e qu'il faut penser ! Qui vous dirigent, vous manœuvrent, se sert de vous comme chair à canons et qui vous traitent comme du bétail. Ne donner pas votre vie à ces êtres si inhumains, ces hommes machines, avec une machine à la place de la tête ! Une machine dans le cœur. Vous n'êtes pas des machines, vous n'êtes pas des esclaves ! Vous êtes des HOMMES ! Vous n'avez pas de haine, sinon pour ce qui est inhumain. ce qui n'est pas fait d'amour. Ne vous battez pas pour l'esclavage, mais pour la liberté.


    Vous le peuple qui avez le pouvoir...le pouvoir de créer une machine, le pouvoir de créer le bonheur, vous le peuple en avez le pouvoir, le pouvoir de rendre la vie belle et libre...le pouvoir de faire des amis et de merveilleuses aventures..Utilisons ce pouvoir, il faut tous nous unir et nous battre pour un monde nouveau ! Il faut nous battre pour libérer le monde ! Pour renverser les frontières et les barrières ! Pour en finir avec la haine et l’intolérance...Il faut nous battre pour construire un monde de raison, un monde où l'amour et l'aventure mèneront tous les hommes vers le bonheur. Peuple ! Au nom de la LIBERTÉ ! Unissons nous tous ! ''


    *Hourra ! ! !*


    J'ai comme été téléporter dans un désert de sable où le soleil tape aussi fort qu'une bonne massue dans le crâne. Je vois devant moi une centaine d'hommes levant leurs poings respectifs criant à l'unissons, regardant celui qui a l'air de leur chef, celui qui s'est auto-proclamé libérateur...Mais bordel, où ais-je bien mis les pieds ? Où sont les escaliers pour monter jusqu'au dernier étage de la tour ? Qui sont ses putin de gens ! Je vois au loin le signe de leur chef...Il pointe son doigt sur moi...

    Le voilà ! Celui qui a tué notre rêve de liberté !


    A l'attaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaque ! Chargeeeez !

    Tout à coup, je ressens une secousse sous mes pieds, le sable commence à remonter jusqu'à mes chevilles, ces hommes viennent vers moi à une vitesse ahurissante...Rien à voir avec les gars que j'ai pulvériser qui sont resté à l’extérieur, là bas...je n'ai rencontré que des peureux, sans force ni rage de vaincre...Ceux là sont bel et bien différents. Armé de mes poings, je me prépare à les accueillir ! Sans même avoir eut le temps de mettre en position, les gus sont à mes pieds, arrivé plutôt que je ne l'ai prévu...Tous autour de moi...Ils commencent à me donner des coups de poings, le premier m'a envoyé valser à quelques mètres, puis le second m'a fait revenir à ma dernière place et ainsi de suite...Plus je reçois de coup de poing, moins je ressens la douleur...Car elle a atteint la limite, je souffre le martyre, c'est comme si on m'avait piqué dans tous le corps en une seule fois...Jamais, je n'ai reçu pareil châtiment, auparavant.

    Il n'ont usé que de leurs poings. Ensemble, ils ont réussit à me mettre K.O. en un tour...Couvert de sang, au milieu d'un cercle d'humains sur-entraîné, pour la première fois de ma vie, je me suis senti aussi faible qu'un têtard. Pour la première fois, j'ose comparer ces coups qui m'ont blessé à ce que j'ai pu faire subir à de simples gens...C'est comme le reflet de mon passé...Dois-je subir tout ceci pour retrouver ma bien aimée ? Dois je me laisser faire ou dois je me battre ! ?

    J'essaie avec peine de reprendre ma respiration, de bouger le petit doigt, de toucher un grain de sable, de sentir ne serait-ce qu....AIE ! Pitié ! STOP ! Arrêtez ! Je ferais tout ce que vous voulez ! J'inspire et j'expire de plus en plus fort, lentement tout en tremblant...

    Cet homme a ce qu'il mérite ! Qu'on l'achève dit un homme...Non, ça ne sert à rien de tuer une mouche qui va bientôt crever...




      Nous n'étions que des enfants, nous avions que cinq ou six ans. On jouait au même jeu, c'était elle la plus forte des deux. Elle me tirait, elle me blessait. Moi je pleurais et elle me consolait.

      Bang ! Bang !

      Bien vite, passa le temps et nous sommes devenus grands. En riant, elle me disait, rappelle-toi quand on jouait. Elle me tirait, elle me blessait. Moi je pleurais et elle me consolait.

      Bang ! Bang !

      Vous pouvez rire et chanter pendant que je vais pleurer. Elle était mon grand amour, je voulais le garder toujours et moi je n'étais rien sans elle car sans un mot, elle est partie ! Elle m'a quittée, je suis blessé, je vais pleurer sans être consolé.