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[FB Solo][L'île des agneaux] J'ai toujours voulue prendre la mer

Jeu: Aucun, je reste tout simplement moi-même. Donc, je suis Aoi D. Nakajima
[FB Solo][L'île des agneaux] J'ai toujours voulue prendre la mer Fille-feu-3154904288

Milieu d'année, 1615

12h00
Après avoir volée le navire dans lequel je me trouvais, je me situais dans la baie de l'île des agneaux. Un bout de terre où j'avais rencontrée une certaine personne répondant au nom de Valentina D. Méria. Une femme avec un caractère et un avenir prometteur si elle se ralliait à mon futur équipage. Elle qui voulait à tout prix quitter cette île... D'ailleurs, ce qui étonnant sur cette île, c'était que pas mal de monde souhaitait la quitter. Je connaissais cette fille depuis plus de 10ans, voir plus. Je ne me souvenais plus exactement. Je n'avais plus eu l'occasion de la rendre visite depuis un bon moment.

Je l'avais rencontrée autrefois il y a longtemps, quand j'avais découverte son lieu d'habitat pour la première fois. Elle tenait un bar-restaurant à l'époque. J'étais entrée dans son auberge pour boire un coup. "L'antre" que ça s'appelait, si je me souvenais bien. J'espérais qu'elle y travaillait encore. D'un autre côté, si elle avait mise les voiles, c'était positif pour elle. Valentina désespérait sur son île de malheur et espérait pouvoir un jour prendre la mer. Lors de notre rencontre, je l'avait dit qu'un jour je reviendrais pour l'emmener avec moi. Après de longues années, je revenais enfin pour accomplir cette promesse.

Je laissai mon navire, qui portait toujours son nom d'origine, près du quai. Ce dernier percuta la jeté. Je n'étais pas encore douée pour conduire un bâtiment. De plus, je ne maîtrisais pas les compétences d'une parfaite navigatrice. Je devais impérativement me trouver des hommes et un navigateur... Il y avait tant de choses que je devais faire pour bien commencer ma nouvelle carrière.

Le port était la principale activité de la ville, et encore... Et vu qu'il n'y avait qu'une agglomération avec des champs on avait fait vite fait le tour. Sinon, le reste de la campagne était rempli d'agneaux. Ce qui pouvait être ennuyeux, surtout pour des gens qui étaient appelés à prendre la mer. Beaucoup de propriétaires vivaient d'élevage. La commune possédait un tout petit chantier naval. Seulement, ce dernier ne faisait pas trop la fortune du bled. En principe, il n'y avait qu'un ou deux bateaux amarrées dans la berge, le reste était plus souvent des barques pour la pêche. Aujourd'hui, il y avait un navire de commerce et un autre en construction. J'allais pouvoir changer de nom à mon rafiot et l'équiper!

Je descendis du pont et je me dirigeai vers le chantier. Je trouvai tout de suite un homme en train de travailler avec ses camarades. Il fallait dire que rares étaient les occasions de rencontrer des gens qui étaient étrangers au village. Rien ne passait part ici à part quelques marchands et le courrier. Même la Marine n'avait pas de cargaison pour un lieu peu intéressant. En même temps, cela se comprenait.

- Jack, apporte-moi donc la caisse, là-bas. Tom, va me chercher la pièce manquante. Et enfin, Julie. J'ai besoin que tu...

Je venais d'interrompe sa phrase juste par ma seule présence. In-timidité? Surpris? En tout cas, je faisais de l'effet à première vu. Ce qui pourrait ressembler être le responsable de ce groupe venait de perdre ses moyens.

- Hmm, bonjour mon brave. Je viens d'avoir un navire, mais je n'ai pas de matériaux ou outils prévus pour le bichonner. Je voudrais savoir s'il était possible d'obtenir quelques pièces, s'il vous plait.

- Euhh... Oui. Bien sûr ma... ma mademoiselle... Je vais vous fournir cela tout de suite. Venez. Suivez-moi. Vous avez besoin de quoi exactement?

Mon charme faisait effet. Il était mignon. Le genre de jeune marin musclé et fier allure qui pouvait tout faire. Il était grand et brun. Tout en me faufilant alors dans le chantier en restant derrière le jeune homme chaleureux, je lui énumérais tous ce dont j'avais besoin en commençant par des vivres, des poudres à canon, etc... Je voyais quelques armes et des canons sur le côté. Avec un air d'une petite curieuse, je lui demandai ce que des telles choses pouvaient bien faire, ici. Je souhaitais armer mon navire. J'espérais qu'il comprendrait le rapprochement entre mes deux sujets.

- Qu'est-ce que c'est là-bas? On dirait des restes.

- Oh. Vous voulez parler des canons en fontes? Ils proviennent d'une ancienne épave sans importance. Je pense qu'ils ne sont pas destinés à quoique ce soit. Ils vont surement moisirent quelque part... C'est triste.

- Ah, beh s'il y a moyen de les récupérer je le ferais très avec joie.

- Bah tout est possible... Faudra voir cela avec le vieux.

- Le vieux?

- Ouai, enfin le patron, quoi.

On contournait le navire en travaux. On pouvait dire que c'était leur principale activité. Il y avait pas mal de bruits. Il fallait se coller pour s'entendre. Je voyais les ouvriers à chaque poste. Ils continuaient à faire leur boulot sérieusement, même en esquissant un mouvement d'œil dans ma direction. On pouvait dire que j'étais un sujet d'attraction. Les échafaudages et tout le reste du lieu étaient pratiquement faits que de bois ou sinon de fers. Toujours en faisant ma petite curieuse, je demandais au jeune homme.

- Vous faites quoi exactement, ici? Vous êtes ingénieur navale?

- Pas tout à fait. En fait, on fait plus des réparations, ici. On récupère du matos et essayer de faire un peu de commerce. Et rare quand un navire marchand s'arrête dans le coin. On construire rarement des navires. Là, ce que vous pouvez voir c'est exceptionnel! D'habitude on récolte de la marchandise pour les bateaux.

- Je vois.

La personne me fit entrer dans un petit locale où il y avait une table avec un plan déroulé sur la table. Il n'y avait pas de porte et seulement deux ouvertures pour apporter de la lumière. Il y avait également deux lampes à huile, car le soleil ne suffisait pas. Je pouvais voir aussi des affiches et des trophées liées à la pêche. Il y avait un vieillard qui fumait la pipe en train de rédiger une note sur son bureau. Son tabac me donnait envie de fumer. Il devait certainement être le chef des ouvriers, voir le patron de l'agence. Ce dernier semblait avoir eut une vie de pêcheur. Il était assez maigrichon et à première vu, il devait être frêle. Un papy classique qui était assis sur une chaise à bascule. Il portait sur son nez des lunettes en demi-lune. Il marmonnait pendait qu'il passait sa plume sur la feuille. Le maître des lieux était tellement occupé qu'il ne semblait être indifférent de notre intrusion. Pouvait-on être aussi vieux pour ne pas se rendre compte de la présence de deux individus? Probablement...

- Et voilà. Vous êtes arrivée, mademoiselle.

Mon guide se rapprocha vers son chef au fond de la pièce. Le vieux était vraiment absorbé par ce qu'il faisait.

- Monsieur? Nous avons une cliente. Elle vient juste d'arriver sur notre île. Elle souhaiterait acheter divers outils dans notre magasin.

L'homme assis, leva doucement la tête, face à son interlocuteur. Puis, il réalisa ce que venait de dire son employé. Il me regarda alors, surpris de voir un nouveau visage. Un nouveau visage féminin... Il me demanda d'approcher.


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Sam 29 Sep 2012 - 18:04, édité 9 fois
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L'ouvrier qui avait accompagné Aoi ne put s’empêcher d'écouter la conversation, il resta donc dans la pièce. Qu'est-ce qu'il cherchait donc à faire? Que voulait-il savoir?

- Bonjour et bienvenu sur l'île des agneaux, mademoiselle. Que puis-je faire pour vous?

Le vieillard parlait littéralement dans sa barbe. Je ne comprenais pas tout ce qu'il disait. Je lui demandai de répéter. Je répondis un peu plus fort que d’habitude, car j'avais peur qu'il soit vraiment sourd.

- Bonjour. J'aimerais équiper mon bateau. Et pour cela j'aurais besoin de vos compétences et de vos savoirs. Je vous avouerais que ma carrière dans la navigation n'est que récente. À vrai dire, j'ai héritée de mon bâtiment, il y a peu.

- J'ai quelques hommes sur le chantier qui pourront peut-être vous aider. Alors, avez-vous besoin de matérielles et d'armes ou seulement un équipage? Vous savez, il y a beaucoup d'hommes qui veulent prendre la mer.

On avait fait une question et une réponse sans encombre, il y avait du progrès. Quoique...

- Les deux.

- Je vais donc vous laisser un fascicule avec une liste de tous les nécessaires importants, primordiale je dirais même. Vous regarderez attentivement. Il ne faudrait pas partir en mer sans équipement, vous voyez? En parlant de ça, vous avez hommes pour le manoeuvrer? Un médecin, un charpentier naval et un cuisiner? C'est important tout ça, vous savez. Si vous débutez sur cette voie, il vaudrait mieux vous apprendre les bases avant de reprendre le large.

C'était moi ou il se répétait? Il m’agaçait déjà ce pauvre diable. Je levai les yeux, car je n'avais pas besoin de son maudit papier. Et sa mimique de dire "vous voyez ou vous savez" devenait soûlant.

- Je vous remercie, mais je sais où me fournir un bon équipage. Et merci, je regarderai cela plus tard. J'aimerais passer directement aux armes. Qu'est-ce qu'il vous reste? Je vous prends tout.

Le vieux ne bougea pas. Putain, mais il ne m'avait pas entendu ou quoi? Je répétais alors avec un ton plus autoritaire.

- Bien, bien, bien. Je ne voulais pas vous offenser. Hmm, nous n'avons plus grand-chose à part quelques canons...

Je lui tendis une liasse de billets. Je lui indiquai que je payerai une fois que mes armes seront chargées sur mon navire. Cela pouvait se faire le temps que je m'entretiendrais avec Valentina. Je comptais sur cette dernière pour avoir un équipage en quittant cette île... Je repris la conversation sur un autre sujet.

- Est-ce que "L'antre" existe toujours? Cela fait quelques années que je ne suis plus allée...

- "L'antre"? Oh! Oui, bien sûr. Mais... Vous connaissez l'endroit? Curieux pour quelqu'un qui n'est pas du pays. C'est malfamé, vous savez?

Encore son putain de tic...

- Pourquoi je ne connaîtrais pas?

- Bah disons qu'il s'il passe des choses pas louche parfois et pour une jeune femme telle que vous, je ne vous recommande pas. La propriétaire nourris des gens pas nets, pour sûr.

- Valentina?

- Vous avez l'air de la connaitre...

- Tout à fait. Et je ne vais pas plus attendre. Je vous dis donc à tout à l'heure, monsieur. Et merci.

Mon ton était un peu plus fort. Je me levai alors en lui serrant la pince, comme si on venait de conclure un marché. Avant de partir, le jeune homme tenais à me dire qu'il allait installer les canons pendant mon absence. Il m'accompagna jusqu'à la place du port pour savoir si je pouvais le prendre avec moi. Seulement, je ne m’engageai pas trop sur le sujet, vu que c'était un civil...

Ensuite, je continuais seule en direction de la taverne. Ce n'était pas très loin et il était vrai que l'ambiance qui y régnait rien que de l'extérieur ne donnait pas envie pour des personnes seines d'esprit. J'entrai alors dans l'auberge.


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Ven 24 Aoû 2012 - 15:38, édité 2 fois
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À peine rentrée, une femme de mon âge près du comptoir, s’exclama en me voyant dans un air mélangé de surprise, d’enthousiasme et de joie. C'était mon amie Valentina D. Méria, l'aubergiste. Elle était brune, les cheveux pendant jusqu'aux épaules. Elle portait un bandana. Elle était habillée dans les teintes sombres. Son corset pouvait lasser visible son ventre si son tablier de ménage ne le couvrait pas. Elle avait un pantalon tenu par une ceinture de cuir. Et à cette dernière se trouvait son sabre. Un sabre? La dernière fois elle en n'avait pas et elle ne savait pas battre. J'espérais que si elle en avait une, elle sera capable de combattre. Ça m’évita de lui apprendre...

- Yaahh!! Mais... Mais c'est Aoiiii!! Quel bon vent t'amène sur mon pauvre rocher perdu en pleine mère, ma puce? C'est un plaisir de te revoir. Aller, je t'offre ma tournée pour ta venue. Raconte-moi tout.

Elle prenait un air de petites filles sous ce genre de réaction. C'était notre petit délire en commun. Je m'avançai vers elle et l'embrassai à la joue. Après l'avoir serrée dans mes bras, je répondis franchement. Tant qu'à faire, autant aller droit au but. Mais je ne pouvais pas tout raconter, ici. Je pensais faire plutôt cela sur le navire.

- Héhéh, moi aussi je suis contente de te revoir, ma belle. Alors, les affaires, ça tourne? Pas trop à ce que je peux voir. Merci ma chère, pour moi se sera une brune. Bah puisque tu me le demande comme ça, je vais donc te dire ce qu'il me pousse à te voir, aujourd'hui.

Dans la taverne il n'y avait pas des masses de gens. Certainement quelques habitués... Ce n'avait pas changé, l'endroit était toujours aussi miteux que la dernière fois où j'étais venue voir Valentina. Rien ne laissait à désirer.

La propriétaire servit ma boisson, puis elle versa la sienne dans un verre. Accoudée au comptoir, je la regardais un peu excitée. Elle non plus n'avait guère changée. Elle me faisait signe de poursuive ma conversation.

- Tu dois bien te faire chier, n'est-ce pas? Le commerce ne t'ai pas favorable, comme toujours, on dirait? Tu te souviens d'une promesse que je t'avais faite, il y a 10ans? J'ai un navire en ma possession et je peux te faire sortir de ce troue perdu à condition que tu devienne ma capitaine en second. Je ne vois que toi pour accomplir un tel dessein. Tu as le tempérament qu'il me faut. D'ailleurs, je recherche des gens de ta trempe pour voyager avec nous. Et autant t'avertir que je me lance dans la piraterie. Ça paye mieux que mon salaire! Tu sais que ça ce conduit pas tout seul un bâtiment. Alors, qu'en dis-tu?

Elle me répondit pendant que je buvais dans ma chope. J'attendais sa réponse.

- T'es sérieuse? Attends, tu te rends compte de ce que ça veut dire, hein? Les pirates et tout ce que cela peut engendrer. Enfin, je te connais. Tu ne devrais pas avoir de problème. Si je viens, c'est sous deux conditions. La première, c'est que tu prennes ma fille aussi. Et la deuxième, c'est que tu la rendes heureuse en accomplissant son rêve.

PlLeeFfF!!!!

Entendant cela, je recrachai mon contenu sur le visage de la pauvre tavernière. Cette dernière s’essuya avec une serviette. Elle ne le prenait pas mal. C'était une sacré surprise!

- Oupps! Pardon, ma chère. Je... Je ne savais pas que t'avais une gosse...

- Ce n'est pas grave. Bien sûr, mais tu ne l'as pas connue. Je fus enceinte juste quelques mois après notre rencontre.

Elle cria en direction de la cuisine.

- Muchacho? Oublie la popote et viens donc dire bonjour à ton capitaine. Ahaha.

- Capitaine?

- Bah ouai. C'est pourtant vrai, non? Et je te signale qu'elle te fera une très bonne forban. Elle sait se battre.

Sa fille arriva. Elle avait l'âge de mes enfants à peu près.

- C'est quoi ces conneries? C'est vous ma capitaine? Vous n'êtes pas très impressionnante...

Soudain, une voie forte, provenant de la salle coupa sa parole. Elle appartenait à un homme d'une vingtaine d'années. Ce dernier arriva pendant qu'il parlait assurément.

- Muchacho a raison. C'est quoi ce petit jeu? Je vous écoute depuis tout à l'heure et je ne vois qu'une jeune fille qui ne connait rien à la piraterie. Vous n'allez pas me dire que vous êtes à la hauteur pour affronter tout ce qui peut vous attend...

- Il suffit, John. Mon amie sait très bien ce qu'elle fait. Et j'ai foi en la capitaine Aoi D. Nakajima.

- En fait, faudra m'appeler Rei Kimura.

- En plus, elle ne sait même pas comment elle s'appelle. Ahaha!

La conversation commençait à chauffer. Je n'aimais pas les fortes têtes qui se mêlaient des conversations des autres. J'osai le ton.

- Je sais très bien ce que je fais et je t’interdis de me parler de la sorte...

- Sinon quoi?

- Calmez-vous!

Le dénommé John, sa fille et moi-même on se retourna vers elle.

- Bon, si Aoi sait ce qu'elle dit, tu dois te la fermer. J'ai confiance en elle. Je ne veux pas de conflit chez moi. Je vous rappelle que vous êtes encore sous moi toit. Je suis prête à te suivre et ma fille aussi. Je sais que tu parviendras à réaliser nos rêves et être à la hauteur de nos espérances. Explique-nous alors pourquoi un changement de nom.

- Si ma mère croit en vous, alors je veux bien vous suivre.

- ...

La tension avait descendu. Je regardais un instant le jeune homme. J'avais une certaine méfiance, mais Valentina devait certainement le connaitre. Elle m'aidera à les rendre dociles. Finalement, je pris la parole.

- Pour faire court, je compte créer une personnalité pour la piraterie. Il ne faut pas oublier que je suis comédienne et que cela est à ma hauteur. Pourquoi jouer la comédie, alors que je peux être moi-même. La peur? La honte de porter mon nom? Non! Si je me casse la tête, c'est pour continuer à vivre dans le monde de la jet-set tout en vivant les aventures de mon équipage! Ainsi, le monde me connaîtra en tant qu'une sanguinaire et en tant qu'actrice sans pour autant faire la différence entre les deux.

Je continuai pour l'homme.

- Sache que de cette manière, je pourrais accomplir mon destin et celle de mon équipage. Maintenant, puis-je savoir pourquoi m'as-tu interrompu tout à l'heure? Tu penses que je ne suis pas capable de mener un groupe de matelots?

Je venais de montrer mes grands airs de femme autoritaires. Je sentis une certaine forme de soumission soudaine. Cependant, il me fixait toujours des yeux.

- Mes amis et moi-même cherchions un capitaine digne de nous diriger. On ne voulait pas de femmelette. Tu m'as prouvé le contraire. Je veux bien naviguer avec toi.

Alors tout aller pour le mieux. On devrait pouvoir mettre les voiles alors. Mon amie m'expliqua qu'elle s'entraînait depuis que j'étais partie pour plus être la risée des autres et j’appris qu'elle avait quelques armes chez elle.

- Bon beh si vous êtes tous prêts à suivre mes premiers ordres, je vous demande de prendre tout ce qui est nécessaire à notre voyage. Armes, nourriture et argent.

Quelques instants plus tard, Valentina avait fait ses affaires avec sa fille. Armes, bouffe, ustensiles et autres objets divers... On pouvait dire qu'elles étaient vraiment décidées à tout laisser du jour au lendemain. C'était donc parfait. Cette dernière me fis un serment avant de partir.

- Bon, en échange de naviguer sous ton commandement et ta protection, j’accepte d'être ta première nakama. Je te jure d'être fidèles jusqu'à la mort.


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Ven 24 Aoû 2012 - 15:47, édité 5 fois
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Notre groupe gagna rapidement le port sous les regards dégoûtés et méprisant des citoyens. On dirait qu'ils n'étaient pas content de voir les mauvaises têtes dehors. D'un autres côtés ils devaient être content de les voir partir... On se dirigeait tous vers la cabane du vieux pêcheur. À peine arrivée sur le chantier, le jeune homme de tout à l'heure m'aborda.

- Je vous ai installé vos armes sur votre navire. Je vois que vous avez du monde qui vous suivent. Mais ont-ils les compétences d'un vrai marin? De plus, il vous faudra un médecin, un navigateur et un charpentier naval. C'est le minimum...

- Je te remercie et je t'apprécie beaucoup.

Le mec continua. Il était décidé à prendre la mer avec moi. M'aimait-il?

- Je veux être avec vous, car je veux prendre la mer et vous avez besoin de moi. Surtout besoin de mes compétences. Ne vous inquiétez pas, j'en ai déjà parlé à mon supérieur et à mes camarades.

- Hmm, tu sais dans quel genre d'aventure tu t'engages, petit?

Je faisais bien sûr référence à la piraterie.

- Oui, madame. Et je suis prêt à vous servir.

- Alors en route pour Las Camp. Monter sur mon bâtiment. Je vais aller payer le vieux.

- Euhh... Si je peux me permet, j'ai déjà réglé cela. Vous avez les 10 canons installés sur le pont. C'est le maximum qu'on puisse faire.

*Lèche-botte?*

- Alors tant mieux. En route mes amis!

Ainsi, j'avais de quoi voguer pendant un petit temps. On grimpa alors sur mon vaisseau. On quitta le port sans dire au revoir à cette île. De toute façon, c'était la dernière fois que nous la verrons. On était maintenant en route pour Las Camp. L'ouvrier m'expliqua pourquoi il voulait vraiment partir et pourquoi je n'avais pas à payer.

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Aoi D. Nakajima



~FIN~
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