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[FB 13 Janvier 1623] I Want To Break Free ♪

I Want To Break Free ♪

[FB 13 Janvier 1623] I Want To Break Free ♪ Ville_10

Bienvenue sur l'île aux esclaves une île où esclavage rime avec ... avec ... emmerdage ? Peut être bien, c'était en tout cas une île qui ne présageait rien de bon pour les simples touristes comme Juusei. En effet, le pirate fut confronter à pas mal de situations, qui sortaient peu de l'ordinaire. Comme des maitres d'esclavages prenant le touriste pour un des nombreux prisonniers de l'île en culotte courte. Mais nan, ils se trompaient, l'homme venait tout juste d'arrivée en ville et cherchait un moyen de se faire un minimum d'argent pour s'acheter de quoi manger sur les sept prochains jours.

Marchant sur la place du marché, il scrutait le moindre faits et gestes de chaque personne. Parmi eux se trouvaient des personnes bonne à employé n'importe quel mec pour pouvoir se débarrassé des affaires qui le dérangeaient. Vous voyez c'que j'veux dire ? Un peu comme du travail au black mélangé à du marché noir et quelques autres idées illégales. Bref, un vrai job quoi.Il Marchait donc sur le marché, examinant clients et vendeur. Il pouvait remarquer toutes sortes de classe sociale comme des plus pauvres aux plus riches. Mais l'économie de cette île devait être bien misérable à en regarder les habitants. Les seuls riches du coin devaient être des clients, venu exprès sur cette île pour voir ce qui se faisait au niveau des esclaves, afin de pouvoir en achetés. Pitoyable ? ouais, ça devait être le mot. Vendre des hommes à d'autres hommes pour pouvoir encore plus les exploités, c'est tout simplement dégueulasse. Mais face au dégout dont faisait preuve Juusei, un homme le remarqua et l'approcha par derrière, lui chuchotant à l'oreille. L'homme capuchonné, n'était donc pas reconnaissable.


- " Tout ça vous dégoutes n'est ce pas ? "

- " Comment le savez vous ? "

- " J'étais devant vous tout à l'heure et je n'ai pu voir à quel vous étiez mécontent de la façons de faire ici. Alors écoutez moi bien, je suis du même bord que vous. Si vous voulez les aidés, partez de la ville et parcourez la plaine durant deux heures de suite. Ensuite, vous arriverez à un camp d'esclaves, il doit y en avoir une centaine. Mais faites attention c'est très bien gardés. Nous sommes une petite organisation sur cette pile ,et nous essayons de libérer les esclaves coute que coute. Car nous avons tous été esclaves ... "

- " Vous me payerez ?"

- " Oh mais nous n'avons pas tellement d'argent ici. "

- " Je n'ai juste besoin que de vivre pour continuer mon voyage. Alors si je vous rends ce service, me payerez vous ??? "

Sous l'insistance de Juusei, le vieille homme ne se résolu qu'à payé le pirate et à l'instant même. Il compta les berrys dans une petite bourse fait en cuir, 250 berrys. Il tourna la tête à gauche de façon à ce que l'homme voie son visage et lui ordonna de rester ici, il ne sera pas long. S'échappant du marché, l'argent en poche, il commença à s'éloigné tranquillement de la ville et partit à la recherche du camp d'esclaves.

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- C'est quoi encore, ça ?

- Un mec pas très chanceux. Clairement un mec doué ou pistonné, vu comment il a enchaîné les promotions, mais le fait est que ça a pas plu. Et qu'on te met sur le coup pour lui faire dire coucou aux vers de terre.

- Me raconte pas ta vie, Dena'.

- ... Casse toi p'tite conne.

L'île aux esclaves, une île dont je me souvenais clairement. Je chassais les mauvais souvenirs, me concentrais sur la tache. Heureusement, Dena' et ses petites mains avaient faits en sorte que mon implication dans l'affaire ne s'ébruite pas, si bien que je n'avais besoin d'aucun déguisement ou autre enjolivure pour me faufiler dans les lieux.
Naturellement, Dena' m'avait filé un sauf-conduit pour l'intérieur des terres, comme quoi j'étais une stagiaire venue de St Urea pour apprendre le métier de contre-maître et comment mater tout ces petits vermisseaux d'esclaves.

Oui, comme vous pouvez le remarquer, je n'ai aucune estime pour les esclaves.
Des êtres faibles et soumis, qui courbent l'échine pour rallonger leur ridicule espérance de vie. Bref, j'comprends pas comment ils font pour se regarder dans un miroir le matin.
P't'être qu'ils le font pas parce que ce sont des esclaves, en fait.
Hahaha ... Ahem, désolée, p'tit trait d'humour très déplacé.

Je décide de m'attarder toute la matinée en ville, pour ne pas attirer l'attention. Je fais les boutiques, admire les étalages, touche les soies et goûte les fruits gorgés de jus. Ici et là, des odeurs et des couleurs à ne plus savoir qu'en faire, au point de me faire presque oublier la raison de ma venue ici. Et c'est en inhalant la fragrance d'épice d'une petite fiole que les idées se remettent en place.

Je suis là pour un taf.
Enfin, voilà que mes pas me dirigent hors de la ville, sans que nul ne m'arrête ou ne m'adresse la parole.

L'intérieur de l'île est composé principalement de collines et de plaines, idéales pour l'exploitation agricole, mais pas très pratiques lorsque, comme moi, vous êtes une tireuse d'élite. M'installant contre un arbre, je décidais de monter mon instrument de mort, mon fusil à canon courbe. Les différentes pièces étaient logées dans mon sac en toile, et il me fallut une bonne dizaine de minutes avant de l'assembler entièrement.

Mais ce que je ne savais pas, c'était que quelqu'un en avait profité pour m'épier ...
Qu'importe, qu'est-ce qui pourrait aller mal, dites le moi ?
    I Want To Break Free ♪ [poste2]


    D'ici une heure et trente minute, Juusei arrivera à destination. Oui, il faut un peu plus de deux longues et pénibles heures pour pouvoir accéder au camp d'esclavages. Deux heures à grimper les collines et longer les plaines. Quelle perte de temps ... Pourquoi ne pas mettre ces campements à proximité de la ville ? Le pirate trouvait sa idiot. Mais des questions il en avait et il allait pouvoir s'en posée car la route et longue et elle est pas prête de s'terminée.
    Une seule chose manquait à l'appel d'une telle aventure. Une chose essentielle pour confectionner le meilleur des plats. La Marine. Juusei savait très bien qu'une île à esclave devait être gardé par cette bonne vieille Marine. Donc soit ils sont pas là ou soit ils ne l'ont pas vu ? Ça reste à confirmée. Mais où est ce qu'ils peuvent bien se cachés. Ces affreux jojos... Oui, Juusei est maintenant présent sur le tableau de chasse pour la modique somme de 15 millions de berrys. Ce n'est trois fois rien mais c’est déjà de l'argent et les chasseurs de primes et autres marines du coin ont bien l'intention de mettre fin à ses jours, en le condamnant, plutôt que de le voir s'épanouir sur la voie de la piraterie. Et Oui, beaucoup d'interrogation questionnent l'homme aux masses.

    L'idée de tout saccager sur place venait de lui effleurer l'esprit. Mais si il prend ce risque, la marine présente risque de rappliqué illico-presto et si jamais elle n'ést pas là, elle risque d'être appelée à tous moments pour une intervention. Et si jamais la marine tombe sur Juusei, on est pas rendu.
    Son plan commence à se mettre en place pour toutes éventualités. Si jamais les forces de l'ordre rapplique, il faut à tout prix avoir un plan de secours et vite. Tous laissés tombés ? Ou faire front à l'ennemie ? Cruel dilemme ... Car d'un côté Juusei viens d'être payé pas l'homme du marché et donc, il se doit d’honorer sa parole. Si seulement il y avait d'autres solutions ...
    Pendant son instant de réflexion, il leva la tête au ciel, les mains derrière la tête et une brindille de blé dans la bouche, tel les agriculteurs du coins. Passant en dessous un arbre toujours les yeux levés vers ce bleue azur, il s’empêcha de remarquer une demoiselle. Extrêmement bien faite au niveau des atouts féminins. Il observe également qu'elle tient une arme à la main. Un fusil possédant une lunette de visée. Il en déduit alors une sniper par défaut. Mais que peut elle bien visée à part des vaches et des champs ? En tout cas, ce n'est peut être pas le destin ou une de ces conneries, mais elle vise dans la direction où Juusei doit se rendre. S'approchant furtivement d'elle, il se pose au pied de l'arbre et la fixe d'un air curieux.


    - " Heu...... J'peux vous aidé mademoiselle ? Vous chassez la vache ou l'homme en culotte courte ? "

    Sur ces mots, Phoenix D. Juusei attend une réponse de la part de la jeune fille. En espérant qu'elle ne fasse pas partie du camp adverse et qu'elle ne lui tire pas dessus ... Car si tel est le cas, alors elle signe son arrêt de mort.

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    - " Heu...... J'peux vous aidé mademoiselle ? Vous chassez la vache ou l'homme en culotte courte ? "

    Oh god.
    Ça, ça ... C'était quelque qui ne m'arrangeait pas. Pire, maintenant, j'étais censée faire quoi ? Je suis pas stupide, j'ai de la jugeote. Cet homme, avec son brin d'herbe ridicule dans la bouche, n'était pas là par hasard. Et il me posait pas cette question innocemment. Et le fait est que je ne l'ai même pas vu arrivé voulait tout dire. Je pensais à toute vitesse, et il le fallait bien : La situation l'exigeait, j'étais sous pression, et je risquais bien de mourir si je lui donnais pas une réponse satisfaisante.

    Cet homme était soit un Marine, soit un garde des exploitations.
    Il était assez puissant, ou en tout cas assez confiant en sa puissance. Après tout, moi, si j'suis pas sûre de supprimer en deux secondes quelqu'un avec un fusil, bah j'm'approche pas de lui comme ça pour lui demander l'heure, surtout quand il a une arme dans un endroit comme celui-là et que ses intentions sont tout sauf claires.
    Et sa question était rhétorique. Il n'y avait rien à chasser ici. A part des humains.
    Il attendait le faux pas pour me sauter dessus. Sauf que. Moi.
    J'suis une demoiselle effrayée. Et j'réagis en conséquence.

    J'essaye de lui foutre un coup de crosse dans la gueule, comme ça, en toute gentillesse.
    Et, sans même chercher à savoir si c'est lui ou l'arbre que j'ai touché, j'me suis retournée et ait couru comme si ma vie en dépendait. Parce que c'est un peu le cas, ne nous voilons pas la face.
    Espérons juste, que ... Il ne soit pas aussi rapide que puissant.
    A moins qu'en fait, ce soit juste un débile passant par là, et qui n'avait strictement aucune idée à qui il s'adressait.

    Quoi qu'il en soit ... 'fallait que je trouve un endroit où me cacher, quelques jours.
    Le temps que ça se tasse.
    Me laissant tomber le long d'un rocher que j'avais atteint après ma folle course, je reprenais mon souffle, toute haletante que j'étais.

    - C'tait moins une, celle-là ...
      I Want To Break Free ♪ [poste3]


      La regardant avec des yeux à demi-ouvert, Juusei attendait une réponse de sa part. Mais elle, restait de glace et ne bougeait pas. Surement réfléchissait elle à la manière dont elle allait répondre ou même s'enfuir. Son front commence à suer de quelques gouttes. Que va t elle bien faire ? Elle cesse alors de visé avec son fusil. Se disant que c'est une bonne chose de faite, Juusei ne remarqua pas le coup qui suivit. Un coup de crosse en pleine face! Ça fait super mal étant donné que la crosse est en métal ... Il tombe alors par terre, après avoir reçu le coup et elle s'enfuit, courant de plus en plus vite dans les champs, arme porter à bout de bras. Quelques secondes plus tard, il revient à ses esprits, et se lève, se tenant à l'arbre. La voyant au loin, Juusei la prit en chasse.

      Galopant dans les champs, il la suit depuis maintenant cinq bonnes minutes. De temps en temps, elle jette un coup d’œil derrière l'épaule afin de vérifier qu'il ne soit pas là. Mais dommage pour elle, lui, il la contournait par les petites collines servit de forêt. Les minutes passaient, et au bout d'un certains temps elle s'arrêta derrière un gros rocher, pour dissimuler sa présence. Manque de bol Juusei est déjà là.
      /CLANK/ /CLANK/
      Le bruit de ses zori claquant sur la roche, annonce son arrivée. Il remarqua qu'elle jetait un regard dans tous les recoins mais ce qu'elle n'avait pas vu, c'est qu'il s'était posé juste au dessus d'elle. Elle le remarqua une fois l'ombre de l'homme affiché par le soleil.


      - " C'est comme ça que vous faites chez vous pour dire bonjour ? Et bah dis donc, c'est pas commun ... Mais écoute, je ne cherche pas à te faire du mal ou même à te tuer tu sais ? J'aurais juste aimé te demander quelque chose mais tu ne m'en as pas laissé le temps. Alors je vais te le dire maintenant.
      Saurais tu où se trouve le camp d'esclave à environ une bonne heure d'ici ? "


      Il n'attendait pas une réponse de sa part, ni même une information, mais si elle peut l'aidé ce serait géniale car ayant un peu de mal avec l'orientation, il risque de se perde au bout d'un moment. Mais si elle s'amuse à aller à l'encontre de Juusei, il n'aura pas d'autre choix de la faire taire. Elle reste figé entrain de le regarder. Le pirate lui, s'accroupit sur le cailloux et attend une réponse dans les plus bref délais. Il n'a pas que ça à faire, il doit encore acheter ses vivres et reprendre la route pour Grand Line. C'est qu'il lui reste tout un programme ... Alors elle se dépêche oui ou non ?

      - " C'est quand tu veux ma p'tite ... Ahahahah !" Lui dit Juusei tout en ayant les yeux à demi-ouvert et la brindille en bouche.

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      J'entends un bruit métallique raclant la roche. Et mon cœur arrête de battre l'espace d'un instant, cet instant où le temps ne semble plus avoir d'emprise sur moi. Et que je sens damoiselle mort s'abattre sur moi en sa dernière valse. Emballée, je regarde partout, à droite, à gauche, encore à droite et une autre fois à droite. Avant qu'une ombre sinistre m'enveloppe, et que je comprenne que la menace venait d'en haut.
      Je lève le regard, aperçoit le triste individu que j'avais "corrigé" d'un coup de crosse. Eu égard à la marque qu'il avait, j'avais fait mouche. Ce qui, dans cette situation bien précise, ne me réjouissait pas.

      Il devait être encore plus en pétard, et avait une raison très légitime de me faire passer un sale quart d'heure.
      Mais face à la mort, j'me vendrai cher, très cher. Alors j'met en joue mon fusil, et prend quelques pas de distance, essayant de profiter le plus possible du répit qu'il me laissait.
      Même si, là c'lui le loup, et moi l'agneau. Et quoi que je puisse dire y ferait rien, le loup il me dévorera parce que j'ai l'air délicieux.
      Sauf que, coup du destin, il m'adresse la parole plutôt que me frapper. Et là, là, j'pense que je remercie l'Unique (si il y en a un), les Dieux Anciens (si c'pas des conneries) et toute autre divinité qui pourrait exister.

      V'là que je me mets à rire, d'un rire presque hystérique, alors que des larmes commencent à poindre le bout d'leur nez au coin d'mes yeux.
      J'suis vivante, j'vais rester vivante, et je vais pouvoir continuer à vivre ma vie comme je l'entends pour un bon petit moment ! Ou en tout cas, jusqu'à la prochaine rencontre hostile.
      Reprenant mon souffle, essuyant les larmes, je me décidais enfin à répondre.

      - Désolée ... Le camp qu'vous cherchez ? Bah, il se trouve au Nord, juste après cette colline. Je pointais du doigt l'endroit, pour qu'il n'y ait aucune confusion. Mais j'peux savoir pourquoi vous y allez ? J'ai bien compris que vous n'êtes pas un natif, alors ... Enfin, j'dis ça parce que, moi aussi j'y vais, et que, même, si ça se trouve on a des intérêts communs, vous voyez ce que je veux dire ?

      Je charge mon fusil, pour qu'il comprenne où je veux en venir, un petit sourire en coin.
      Et, tout un coup, la culpabilité m'assaille. Un coup de crosse, ça devait faire 'achement mal quand même ...
      Mais bon, le sentiment me prend pas trop longtemps. Après tout, c'était de sa faute tout ça.
        I Want To Break Free ♪ [poste4]


        Elle riait mais riait, lorsque Juusei lui adressa la parole. Soit parce qu'elle était complétement débile ou soit parce que ... parce que quoi ? Le pirate n'avait aucune autre solution plausible sur le moment, que la débilité profonde de cette fille, très mignonne soit elle. Elle venait de reculer, arme toujours en main prête à tirer. Mais que pouvait elle bien pensée sur l'homme qu'elle avait en face d'elle ? Surement qu'il devait être un de ses psychopathe prêt à tuer n'importe qui pour n'importe qu'elle raison sans doute. Mais bon, là n'était pas la question. Juusei attendait avec impatience sa réponse et vite. Jusqu'au moment où ...

        - " Désolée ... Le camp qu'vous cherchez ? Bah, il se trouve au Nord, juste après cette colline. Elle montra la direction où aller, en pointant du doigt. Mais j'peux savoir pourquoi vous y allez ? J'ai bien compris que vous n'êtes pas un natif, alors ... Enfin, j'dis ça parce que, moi aussi j'y vais, et que, même, si ça se trouve on a des intérêts communs, vous voyez ce que je veux dire ? "

        Le camp se trouve donc dans la direction par laquelle elle s'était empressée de fuir face à Juusei. Mais le plus intéressant dans tout ça, c'est qu'elle doit s'y rendre elle aussi. Dit elle avoir des intérêts communs avec le pirate ? Peut être bien, mais dans ce cas, ils devront faire voyage ensemble et si elle prétend avoir le même objectif que son interlocuteur, alors elle doit connaitre le même type que Juusei, celui qui l'a engagé au début de la journée.

        - " Et bien comme tu dois t'y rendre également, je suppose que tu dois connaitre l'homme qui nous engage, nan ? "

        Elle avait l'air surprise mais en même temps inquiète. Si elle le connaissait pas c'était pas bien grave, ça veut juste dire qu'elle appartient à une autre organisation du genre c'est tout.

        - " Phoenix D. Juusei, une tête à 15 millions de Berrys. Vous êtes en état d'arrestation ! La marine vous condamne à perpétuité pour vos crimes envers elle ! "

        Ohoh...En fin de compte, ça ne présageait rien de bon. Un officier supérieur de la marine et une vingtaine de sous officier l'accompagnant, dont un visage semble familier au pirate, venaient de débarquer derrière lui. Oui l'homme du marché l'avait surement reconnu et donc avait élaborer un plan. L'envoyer dans ces plaines et le coincé avec une escouade toute entière. C'était la merde ! Sortant les armes, Juusei se retourna vers eux puis adressa un message à la jeune demoiselle.

        - " Joins toi à moi et éliminons les. Si non, reste ici et attends moi là, je risque de me perdre en chemin si je vais sauvé ses esclaves tout seul... "


        Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Lun 5 Nov 2012 - 16:57, édité 1 fois
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        Je hausse un sourcil, confuse.

        Dena' l'aurait engagé lui aussi ? Nan, aucune chance. Si ça avait été le cas, il me l'aurait dit, ce genre de détails est trop important pour passer à coté ... Alors, de quel bonhomme il parle ? Y avait-il quelqu'un d'autre qui voulait la mort de ma cible ? Nan, c'tait pas possible ... 'fin, j'pourrai comprendre la démarche, mais quel intérêt d'engager deux personnes différentes et de ne pas les mettre en contact ? Nan, c'tait stupide comme démarche ... On avait failli s'entretuer là, les mecs sont assez futés pour comprendre qu'on risquerait de foutre plus de bordel qu'autre chose.

        Puis, même, la collaboration a que du bon quoi !
        La preuve, moi, quand je peux, je m'associe avec les gens qui ont les mêmes objectifs que moi ! Enfin, on va plutôt dire que je profite des gens qui s'associent avec moi pour pouvoir aller de l'avant plus facilement (i.e en faisant moins d'efforts) et en prime pouvoir les pourrir et les balancer aux autorités !
        Et ce bonhomme avec moi, bah, c'est ce qui allait lui arriver. Sauf qu'il avait pas besoin de le savoir, pas avant la toute fin. Bah oui, c'tait pas marrant sinan !

        Et là, là, comme par hasard (même si j'y crois pas, hein); bah y'a un connard de Marine qui se ramène avec toute sa clique, comme ça ! Mais pas pour moi, pour mon compagnon répondant au doux nom de Juusei. Bon, son nom, c'pas qu'il a beaucoup d'importance, mais quand même, c'est mieux d'avoir un nom sur sa tête, 'fin voilà merde ! J'ai pas à me justifier ! Hein hein hein ?! Enfin ! Il me dit qu'il peut s'en occuper. Après tout, quand on a une prime de quinze millions de berries ... Bah, voilà quoi ! On doit avoir une certaine puissance ! Et merde quoi ! Quinze millions ! Ca me donne de très mauvaises idées, vraiment, vraiment mauvaises ...

        Mais la priorité, là, c'est ma cible et le contrat qui va avec.
        J'fais quoi, donc ? Je reste pour l'épauler, ou je me tiens à l'écart ? Hmm ... Choix difficile.
        Cela dit, si effectivement ce gars a une prime de quinze millions sur sa tête, ces Marines là qui vont l'affronter doivent être d'un certain niveau. Un certain niveau que je pourrais ne pas avoir, et que si on ne l'a pas tous les deux, pourrait amener à ma mort ou ma capture.
        Et la capture dans mon cas revient à ma mort, donc c'est à proscrire.
        Je m'écarte, lui laissant champ libre. Si il avait l'ascendant, bah, je faciliterai sa victoire totale.

        Si jamais ce n'était pas le cas, bah ... Bah, c'est bête pour lui, mais les Marines auraient une précieuse alliée.

        Enfin, précieuse, tout dépend du point de vue. Je brille pas comme un rubis moi !
          I Want To Break Free ♪ [poste5]


          Seul contre tous c'est comme ça que va se passer le combat qui va suivre. Car oui, le jeune femme ne bougea pas de sa place, le pirate se résolu à combattre seul. Mais allait il se décourager pour autant ? Nan du tout. C'est même encourageant d'avoir la chance de pouvoir se battre contre plus nombreux que soit. C'est de là qu'on compare la force d'un homme.
          En face à face l'armada de marines était prête à sauter sur le pirate, au moindre petit geste qu'il s'autoriserait à faire. Les armes en mains, il décida d'y aller, ne voyant aucune autre solution.Mais à peine le corps en mouvement, ils faisaient déjà feu. les balles fusaient laissant le bruit des détonations crier dans la vallée. Les herbes hautes présentes allaient pouvoir aidés le pirate sur cette situation peu favorable ... Les balles fusaient donc, mais Juusei fit semblant d'être touché pour pouvoir se fondre dans les hautes herbes. Discret et sournois tels les serpents, il rampait de façon à contourner le convoi. Les marins s'étaient avancés à l'endroit où il s'était allonger, mais à l’heure arrivé, il n'y avait personne pour leur donné satisfaction. Quelques secondes plus tard, jailli des pousses, l'homme aux masses prêt à tout massacré. Les coups de massues s’enchaînaient, mettant aux tapis déjà 5 hommes. Les plus proches se retournaient aussi tôt, tirant à bout portant sur le pirate.
          Tenant l'un des corps qu'il venait d'abattre juste avant, il s'en servit comme bouclier humain afin de se protéger des balles.


          - " Stop arrêtez de tirés bande de crétins, vous venez d'abattre l'un des votre !!! "

          Quelle bande d'idiot ... C'était bien des hommes de la marine. Tant qu'on leur dit pas stop, ils continuent ... Aucune activité mentale chez ces hommes. Agissez avant de réfléchir ! Même si Juusei était de se bord là, lui n'était qu'en bas de l'échelle par rapport à ses macaques.

          Il leur lança le corps percé de balles et avança en même temps vers eux. De nouvelles victimes étaient à déplorées. Le sang giclait et les cris de douleur ne s'estompaient. Tandis que dix d'entre eux, armés en fusil, venaient de se faire dépouillé, les autres brandissant des lames formaient un mur de protection devant leur supérieur. Lui à l'abris, ne se préoccupait que des ordres.


          - " Mais sortez vous les doigts du cul, bande de larve et abbatez moi c'guignol ! Celui qui le colle une balle entre les deux yeux, j'lui offre la récompense, est ce que j'me suis bien fait comprendre ??? "

          - " Oui Sergent ! "

          Regardez moi ces chiens ... PFFF, pathétique. Ils avançaient vers lui arme en main et lui adressa des coups. Certains étaient facilement parable mais d'autres le toucha laissant pas mal de griffure de chats sur sa peau. Les armes volaient ainsi que pas mal des dents des marins, Juusei était déchaîné. Les vingts hommes à terre il avança vers leur leader. Replaçant ses armes dans son dos. Le regard haineux envers lui, il resta le fixer. L'homme en face de Juusei n'en revenait pas. Le pirate ramassa un fusil prêt de lui et adressa la parole au dernier survivant.

          - " Quel est ton nom Marines ? "

          - " Jo...John. Mais si tu crois m'impressionné alors t ute trompes, pirate !!! "

          - " Très bien John. Alors tu m'excuseras auprès de tes hommes dans l'autre monde... mais j'avais pas le choix."

          L'homme armé que de deux sabres, se ramassa une balle en pleine poitrine, le plongeant par terre le sang s'échappant du corps. Juusei se tourna vers la fille, lâchant l'arme à feu et se dirigea vers elle. Mais un homme, qui venait de survivre, se leva derrière lui, fusil en main. Le pirate de retourna pour essayer de voir cet homme mais c'était trop tard ....

          /PAN !/



          Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Lun 5 Nov 2012 - 17:46, édité 1 fois
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          Au fond, pour moi, tout cela n'était qu'une pièce de théâtre.

          J'étais la spectatrice d'un massacre grandeur nature orchestré par un oiseau légendaire sur une troupe de play-mobiles. Le coté poétique de ce drame était entaché grandement par celui pathétique.
          Le Juusei, et bah j'tais contente qu'il m'ait pas sauté à la gorge ... Là tout de suite, j'avais l'impression d'avoir lâché un renard à l'intérieur d'un poulailler. Et c'est pour ça qu'il me le fallait définitivement.
          Et que ça serait un plaisir ensuite de le balancer, tout orgueilleux qu'il pouvait l'être, sur un régiment encore plus gros de Marines !
          Mais en attendant, on se cache derrière le rocher : Une balle perdue est si vite arrivée. On se cache, on observe, et, définitivement, on attend le bon moment pour le geste qui fera la différence, mon regard plongé dans la lunette de précision.

          J'observe l'action, la réaction, la perception. Un véritable déluge de balles s'abat sur l'inconscient, et voilà que l'incapable s'écroule entre les hautes herbes ! Mais nan, parce qu'il faut bien un nan ! A force de tirer sur des gens, on sait comment un corps inerte il tombe, et c'lui là c'pas le cas ! La chute est intentionnelle ... Pourquoi ? La confusion à n'en pas douter, et je n'en doute pas vu la formation de Marines s'avançant, inconsciente du danger !
          L'apparition foudroyante du Phénix se fit en éclat, et dans une volée de coups aussi rapides que brutaux, abattant à droite et à gauche cuir, fer et os en quantité inégale. Mais bon, la Marine, à défaut d'être connue pour son intelligence, l'était pour sa persévérance.

          La mort de quelques compagnons ? Très peu pour eux ! Vérifier qu'il y avait des survivants ? Futile ! Nan, c'tait tellement mieux de tirer dans le tas, sans considération aucune pour le camarade tombé ! Et si on tirait sur ce Marine brandit comme bouclier tiens ? Après tout, il serait tellement mieux avec un peu de carmin un peu partout dans son corps ! Bon okay, je suis médisante, ils finissent par se rendre compte de la méprise mais quand même ... Vu leur incompétence, c'était quand même étonnant que les Blues ne soient pas parsemées de crimes ... A moins que, justement, leur incompétence soit généralisée à tous les autres brigands, pirates et autres bandits de grands chemins ... Ce qui n'était pas à exclure.

          Bref, lorsqu'il lâcha le corps, l'escouade n'avait d'escouade que le nom, vu le triste effectif qu'il en restait. Le dernier carré tenta une percée, mais creva dans l'essai, laissant le supérieur face à un Juusei qui était tout sauf content. Après tout, on avait essayé de le tuer une bonne cinquantaine de fois en l'espace de dix minutes. Mais bon, si vous voulez mon avis, je le trouve un peu susceptible ... Quoi qu'il en soit, il abattit le dénommé John d'une unique balle de fusil, et se retourna vers moi, le sourire clinquant digne d'une publicité colgate ...

          Sauf que derrière lui, revenu de l'Enfer, un Marine avec son fusil se leva, la gueule en sang et le regard haineux, et tenta l'ultime sacrifice !

          Sauf qu'il s'est pris une balle en pleine tête. Et oui, pendant tout ce temps, moi, j'ai tenu mon fusil en joue. Juusei était passé près de la mort, mais était toujours avec moi : Après tout, j'avais besoin de lui pour la suite, aillant un magnifique plan en tête. D'un pas lent, presque insolent, je m'approchais de mon compagnon par défaut. Je lui lançais un petit regard en biais, presque indécent, alors que je passais à coté de lui pour observer des corps qui, un jour, ont été vivants.
          Je détourne rapidement le regard, saisie par quand même pas mal de remords (j'aurai pu tué l'autre naze d'un unique coup de fusil, et éviter ce massacre ! Mais ! Mais ! C'tait pas ma faute, je les ai pas forcé à faire ça !), et prend sur les corps deux pistolets trois-coups, les place sur ma ceinture et décide de me diriger vers l'exploitation esclavagiste, m'arrêtant uniquement pour lâcher un :

          - Bon, tu te bouges ? Le camp viendra pas à nous !


          Dernière édition par Tao Song le Lun 5 Nov 2012 - 16:51, édité 1 fois
            I Want To Break Free ♪ [poste6]

            [changement de style, je passe de la troisième personne du singulier à la première du sing. je pense être plus à l'aise.]

            Le son de la détonation retentit et la mort venait de se montrer. Oui, un peu plus et s'était pour moi. Je me retourne alors vers le lieu de mon massacre, l'homme à terre, une balle en pleine tête. Cette fille vient de me sauvé la vie. Heureusement pour moi, elle est de mon côté. Sinon, cette balle aurait très bien pu m'être destiné et cette petite peste aurait prix la récompense qui trône au dessus de ma tête. Mais même si il vient de me sauver, elle reste pour moi une inconnue ou du moins un ennemi potentiel. Ne sachant encore rien d'elle et elle presque tout de moi, je ne peux me montrer ouvert à son égard. Elle commence à s'en aller puis stop son élan pour m'adresser quelques mots.

            - " Bon, tu te bouges ? Le camp viendra pas à nous ! "

            Sur ce point, elle a raison. Mieux vaut y aller sans perdre de temps, le chemin reste encore long. Car même si le missionnaire m'ayant avertit des esclaves potentiels était un marine, si il disait vraiment vrai, je me doit de les sauvés. ET de toute les façons, celle qui m'accompagne s'y rend également. Mais, et si elle fait aussi partie de la marine ? Ou même pire, appartient au gouvernement directement ? Ou alors est elle une chasseuse de prime ? Je me doit de rester sur mes gardes, on ne sait jamais. Ce genre de personne, presque anonyme, ne sont pas tellement joviale...
            [...]
            Nous y sommes enfin, le camp d'esclave. Ce qui était sûr, c'est que le marine n'avait pas mentit. Mais il s'était servit d'eux comme argument pour pouvoir mieux m'avoir entre la ville et les montagnes. Ils ne lâcheront donc jamais ... Le camp se trouve un peu plus dans le creux de la vallée. Nous, nous sommes un peu plus haut, sur une petite bute de terre parsemer d'herbes. Allonger pour une meilleure discrétion, je la regarde l'air enthousiaste.


            - " Et maintenant ? "

            Moi j'avais une idée. Elle pourrait abattre les gardes un par un jusque l'arrivée du chef et moi je pourrait très bien contourner le camp. C'est une idée mais je ne sais pas si elle sera d'accord avec moi. Donc qu'une seule façon de le savoir.


            - " Hum dis moi, avant de commencer tout ce foutoir j'aurais aimé connaitre ton nom. Car c’est bien beau de travailler ensemble mais si on s'connait pas ça vaut pas la peine. Et j'ai un plan, moi je contourne le camp et toi tu élimine un par un les gardes. Ok ? "


            Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Lun 5 Nov 2012 - 17:45, édité 1 fois
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            J'essayais de croire que j'avais un avantage psychologique sur ce Juusei, à défaut de l'avoir en terme de puissance brute. Après tout, je connaissais un peu tout de lui, alors que lui ne connaissait rien de moi. Il ne savait pas qui j'étais, ce que j'étais, et pourquoi j'étais là. Il savait juste que j'allais au même camp que lui, mais ne savait pas pourquoi. Alors, il n'appartenait qu'à moi d'en profiter.
            Là, dans la situation actuelle, il était obligé de me faire confiance et de se méfier de moi. Ce qui m'assurait qu'il me ferait pas un coup tordu ... Un coup tordu que moi, j'allais lui mettre, qu'il le veuille ou non.
            Mais pas tout de suite, on se recentre sur son objectif et après on verra, dépendant de comment tout cela se déroule ...

            Je jette un regard en arrière, observe mon comparse me suivre à une distance de sécurité. Il doit se demander si je vais le supprimer ou non, et ça, ça, ça n'a pas de prix. Le moment venu, il ne verrait pas d'où le coup viendra. Et lorsqu'enfin, nous arrivons au camp, voilà que nous avons plusieurs avantages. Le premier, l'avantage de la hauteur : le camp se trouve en contrebas, et en observant les alentours, je vois d'innombrables positions de tir. Allongée, mon plan se concrétise, surtout lorsque je vois les enclos, où je devine les esclaves enfermés ...
            Mais bon, il a fallu que mon compagnon ait un plan. Foireux. Foireux parce qu'il n'était pas mien, naturellement.
            Je secoue la tête, dépitée, avant de répliquer.

            - Oui, oui, on a compris qu'ils sont teubés et qu'ils se laisseraient tuer un par un. Mais dans la réalité, tu vois, lorsqu'ils verront un mort, ils chercheront pas à comprendre : Ils vont prévenir la Marine, et en moins de temps qu'il faudra pour dire "ouf" ils nous sauteront dessus en nombre écrasant. Alors, on va plutôt suivre mon plan : Tu fonces droit devant en faisant autant de bruit, massacre et destruction que tu le peux, et pendant qu'ils s'occuperont de toi, moi je m'occupe du reste. Tu me fais confiance ? Nan ? Pas grave.

            Ah oui, mon nom c'est Camille au passage !


            Et sans lui laisser le temps de répliquer, protester, geindre ou quoi que ce soit d'autre, voilà que je me redressais et contournais le camp, pour un dessein que seule moi connaissait ...
              I Want To Break Free ♪ [poste7]


              Camille, ouais c'est ça. Que tu t’appelles camille, gertrude ou encore ginette pour moi c'est la même chose en fin de compte. Au bout du fil on ne se reverra plus alors autant se dire des conneries. Et en plus d'me dire son prénom à la va vite comme si elle avait oublier, elle me prend comme appât pour attirer tous les hommes du camp. J'ai beau être un homme sans cervelle et abus de ma force, je sais reconnaître ceux qui me la fasse à l'envers. Et cette fois ci, ça sera l'arroseur arrosé.
              Sautant dans la vide tel un kamikaze, je m'arme de mes massues et commence le massacre. Les premières dents commencent à volés et le sang à gicler. Plusieurs hommes stop leur activité et se ramène sur moi, laissant les esclaves comme seuls spectateurs. Mais tous ces hommes n'était que des sous-fifres, ils sont facile à vaincre. A vue d'oeil, ils doivent être une dizaine à combattre contre moi. Les autres, restant au niveau des cages à esclaves, regardent comme les prisonniers la scène. Trouvent ils ça amusant ? Si c'est le cas, qu'ils commencent à s'échauffer car c'est à leur tour dès que j'ai fini avec ceux là. Un homme, trop prêt de moi, est armé d'un fusil. il décide de me cogner avec, ce que j'esquive simplement. Mon poing dans ses dents, il ne lui reste que les yeux pour pleurer. Armé à mon tour d'un fusil, je vise un homme mais un des sbires me frappe par derrière. Je m'agenouille, puis me retour tout en donnant un coup de crosse par derrière. L'homme que je visais se ramène et ça part en plan à trois. Un homme de chaque côté et moi au milieu. Ne laissant aucun d'eux me touché, je me baisse puis tourne sur moi même , la jambe droite en l'air. Talon au menton, ils sont K.O. D'autres arrivent, quelques balles viennent de m'éraflés la peau, ils sont trop nombreux. L'un des types à côté de moi, venant juste d'être vaincu, porte deux grenade fumigène à ça ceinture. Je les récupère et en balance une à mes pieds. Affichant un écran de fumer au milieu de la zone de combat, ma visibilité comme celle des autres, n'était plus en une fraction de seconde. Les masses en mains, je me suis juste positionner devant deux serrures de cages avant de lancer la grenade. Lançant mes deux armes, je ne pouvait espérer que deux "bing", rappelant le bruit du fer de mes armes sur les serrures des portes. Manque de bol un seul "bing" résonna. Au moins, il y avait déjà un groupe d'esclave de libre. Je crie donc à leur égard.

              - " Allez y, défendez et prenez des armes !!! "

              La rébellion pouvait enfin commencer. Sortant de la fumée toujours présente, je me cache derrière de grosse caisses sans que personnes ne me voient. Armé du fusil, j'élimine alors la menace présente sur les toits. Au bout de cinq tires, les balles manques. Pas grave, j'avais l'autre pucelle pour me couvrir, enfin, si elle ne changeait pas de bord ... Faisant le tour de la fumée restant, je récupère mes armes et casse la deuxième serrures. Une vingtaine d'esclaves étaient libre et le nuage commence à disparaître laissant tous les sbires se retournés contre moi. Seul face à une trentaine de types armés jusqu'aux dents. Je suis dans la merde. Même si les esclaves sont libre, il est préférable pour eux de fuir que de combattre, la faiblesse physique étant surement présente. Mais je ne devais rien lâché et veiller à la réussite de ma mission.L'un d'entre eux, caché dans le groupe, en profite pour me tirer dans l'épaule droite. Le sang gicle une nouvelle fois mais je ne me laisse pas abattre. Cette fois, ils sont foutus. Leur faisant mon regarde le plus terrifiant, je rangea mes armes derrière mon dos et escalada les cages derrière moi. Une fois sur les toits du camp, je me dirige sur le bâtiment principale, situé juste à côté et monte sur la tour de guet. Et c'est là, où ma grenade allait me servir. La faisant explosée tout comme l'autre à mes pieds. j'en profite alors pour partir par derrière et récupérer les esclaves déjà présent. L'un d'eux me bande l'épaule me dit qu'une réserve d'arme est présente. Je le fixe avec un regard d'espoir mais il me précise qu'elle se trouve de l'autre côté de la cour, la on se trouve tout les hommes de mains. Et le seul moyen d'y arriver est de traverser.

              - " Bien, allons y ! "

              Une décision suicidaire ? Peut être. mais au faite, où elle est l'autre ??



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              Les détonations résonnaient dehors, ainsi que des cris et autres bruits peu ragoutants.

              Et moi dans tout ça ? Bah, j'étais assise sur une chaise. Dans un bureau. Un bureau dans lequel se trouvait ma cible, les bras levés, tremblant. Un peu parce que je braque mon trois coups sur lui, ça doit aider. Comment j'ai fait pour me retrouver là, sans embuches ? Bah les sbires de ce bonhomme sont aussi malins que les Marins qui ont essayé de stopper Juusei, à savoir pas beaucoup. Ils ont laissé leur chef sans protection, et moi, parce que j'aime bien dévaler dans les maisons grandes ouvertes, bah j'ai pas hésité.
              J'ai marché dans la maison, lentement. J'ai observé la déco', pas mal soi-disant passant, alors que mes doigts glissaient le long des meubles en bois exotique.

              J'ai monté les marches, une par une, sans changer mon rythme. J'ai tapé à cette porte, et on m'a gueulé : J'suis occupé, cassez vous. Sauf qu'on n'est jamais occupé pour Tao. Alors j'ai quand même ouvert la porte, et ait vu Cuatro Rath, l'homme malingre qu'on m'avait demandé (aimablement) de supprimer pour le bien du précaire système économique basé sur l'esclavagisme.
              Bref, il tremblait, mais gardait son calme. Même dans la mort, il ne voulait pas donner le plaisir à son agresseur de mourir comme une petite fille, c'était tout à son honneur.
              Alors, moi, j'me sens un peu obligée de lui dire.

              - On n'est pas obligés d'en arriver là, tu sais ? On peut s'arranger, t'es pas d'accord ?

              Et c'est comme ça que, maintenant, j'attendais qu'il accomplisse mes exigences, qui étaient au nombre de deux.
              La première ? Il l'avait accomplie, et un bon paquet de berries (inconnu, mais que je supposais important) était logé dans mon sac en toile, si bien que maintenant, j'attendais la suite ...

              - Oui, oui ... Comme je vous le dis, le terrible pirate, Juusei Phoenix, est en pleine attaque du camp ! Quelles sont ses motivations ?! Je n'en ai aucune idée moi ! Je vous dis juste ce qu'il se passe ! Mais sachez que, je suis en route. Seul ? Non, non, ma stagiaire m'accompagne, Camille ... Vous nous attendez ? D'accord, nous faisons au plus vite ...

              Des perles de sueur roulaient le long de sa joue, alors qu'il coupait la communication. Et qu'il me donnait le Den Den Mushi, quand je le lui réclamais d'un signe de la main.
              Caressant mon arme du bout du doigt, je sentais la tension montait à son paroxysme. Je savais que mon otage voulait dire quelque chose, mais la peur tenait ses entrailles.
              Mais moi je suis une fille bien, alors je me contente de dire :

              - Bon bah on est cools maintenant ! Merci beaucoup m'sieur, vous avez été d'une grande coopération !

              Et sous son regard ébahi, voilà que je quittais la pièce, lui adressant un magnifique sourire alors que je fermais avec un peu trop de délicatesse la porte.
              C'est toute joviale que je descendais au rez de chaussée, avant d'ouvrir la porte d'entrée et partir comme j'étais venue.
              Enfin, presque. Après tout, je crois que j'ai oublié de vous parler de la canalisation de gaz ... Celle là même sur laquelle j'ai tiré, alors que le conduit était fermé. Et que j'ai ouvert juste après, bah oui.

              Et bon, comme mon bonhomme, on m'a dit qu'il aimait bien fumé, bah ...
              Ca m'a presque pas étonné, quand j'ai entendu le gros kaboum résonner, et un pan entier du bâtiment s'écrouler sur une cour.
              Bon, okay, j'aurai peut-être dû prévenir Juusei à ce sujet, mais bon ... C'était mieux de lui faire une petite surprise, vous pensez pas ?

              Après tout, il ne peut pas m'en vouloir !
              Moi, avec mon sourire de princesse et mon visage de poupée !
                I Want To Break Free ♪ [poste8]


                - " Chargeeeeez ! "

                Accompagné d'une vingtaine d'esclaves, je me lance dans ce qui peut s'appeler, une mission suicide. Les fusils chargés, ces enflures n'hésitent pas une seconde, et nous canarde sur tous les fronts. Les balles fusent de nouveaux, les blessés tombent au sol et moi je reçois quelques balles perdus. Essayant d'en éviter un maximum, ce qui n'est pas si facile que ça. Arrivé au niveau des truands, je sors une fois encore les armes afin de dégager un passage. j'en écarte quatre ou cinq, mais le reste persiste et nous bloque le passage. Quelle bande de con, ils ne lâchent donc rien ! Tout comme ces imbéciles de marines. Le monde est vraiment fait d'abruti.
                L'un d'entre eux tire sur les esclaves, les prenant tous autant qu'ils sont pour des lapins. C'est misérable. Par chance, je réussis à la désarmer et là, un homme de montre à la fenêtre du gros bâtiment. Par simple réflexe je lui tire dessus, faisant de l'actuelle structure un futur tas de cendre ...
                /KABOUM !!/
                Je regarde mon fusil, en me disant "What the Fuck ?". Mais un instant, y'vait qu'une seule personne capable de faire ça étant donné qu'on était tous là. Camille ! Où elle était bien fourré celle la encore ???Ce qui est sûr, c'est que l'explosion tout comme l'embrasement venaient de tués pas mal d'ennemi. Mais il n'y avait pas que des côtés positif à ça, et un quart des esclaves périrent également. Des enfants, des maris, des mères. A cause de cette salope, des familles sont détruites à jamais ... Je me relève, des traces de fumée sur le visage et sur le corps, les ennemis à terre. J'en profite alors pour en éliminer quelques uns. Ils ne sont plus que dix. Mais alors que je commence à partir, les derniers hommes se relève. et me pointent du doigt comme le seul responsable de ce qui vient de se passer. Mais j'y suis pour rien bordel !!!! Les fusils émettent le bruit d'un chargement et les détonations fusent encore. Cette fois ci, ce n'était pas les truands, mais les esclaves venant de ramassés les armes se trouvant à terre. Une fois encore, c'était moins une. Mais mes blessures sont quand même nombreuses. Pas très dangereuses, mais nombreuses.

                Les esclaves sauvés, les ennemis tués, il ne manque plus qu'une chose. Retrouvé l'auteur de l'explosion, Camille. Cette sale garce ne mérite qu'une seule chose, c'est de mourir. Après le coup qu'elle vient de me faire, je n'aurais plus aucune pitié d'elle. Je prends les esclaves avec et j'la poursuis. Elle ne devrait pas être loin, étant donné que l'île ne possède qu'une entrée et qu'une sortie. Le chemin du retour allait s'annoncer pire que l'aller.
                Quelques temps plus tard, après le départ du camp.
                Les esclaves deviennent de plus en plus faible et mes blessures se ré-ouvre petit à petit. C'est la merde ... Mais alors que je perds tout espoir, je vois au loin une silhouette que je juge féminine de par ses courbes. Ce doit être elle. Je fais signe aux esclaves de s'arrêter puis de s’asseoir. Contournant la silhouette, tout en ayant un oeil sur elle, je constate au bout du compte qu'il s'agit bien de camille. Elle semble essouffler, c'est le moment ou jamais.


                - " Alors on part sans son baisé d'adieux ??? "

                Sortant de nul part, je tandis la jambe et lui balança mon pied en pleine face.



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                Pour quitter l'île, il n'y avait qu'une issue : La ville.

                Alors, je n'avais qu'à m'y diriger, pour intercepter Juusei et accomplir la dernière partie de mon plan. Alors, c'est tout naturellement que je finissais par croiser sa route. Et, j'observais avec un certain dédain qu'il était accompagné par de nombreuses personnes en loque. Des esclaves, les faibles qui avaient préféré la servitude misérable plutôt qu'une mort prompte. Et un peu plus noble. Mais bon, à ce qu'il paraît, la mort c'est la toute fin, donc ça doit pas être si mal ... Enfin, bref, j'ai rien à dire là dessus. C'est avec un petit sourire que j'observe la pause ordonnée par le Phénix, et que je m'avance vers lui, le pas léger et le sourire en coin.
                Juste pour me faire accueillir par un magnifique :

                - Alors on part sans son baiser d'adieu ?


                Et un coup de pied dans la gueule.

                Réflexe voulant, je réussis à me décaler un peu sur le coté, si bien que j'me prends le coup sur la joue plutôt que sur le nez et la machoire. Mais n'empêche que, ça suffit à me foutre au sol, comme une poupée de chiffon. Mais bon, une est Tao, et une a déjà reçu des coups (même si pas beaucoup, et bien heureusement !).
                Et là, je me déchaine.

                - Putain d'attardé ! Qu'est-ce qui te prend de me faire ça sale pute ?! Moi j'reviens pour voir comment ça va et tout, tu m'accueilles comme ça, alors que moi, moi, j'm'inquiétais pour toi ! Tu mérites de crever tiens, même que je crache sur tous tes morts et que j'me casse d'ici ! Toi et les autres connards vous pouvez bien crever que j'en ai rien à FOU-TRE.

                Et enjoy de passer le barrage de la Marine sans mon aide, hein.
                Parce qu'ils sont au courant de ce qui s'est passé, et ils vont tirer à vue.


                Joignant le geste à la parole, je crachais à ses pieds avant de faire volte-face et de me casser, la joue rouge et endolorie, la haine brûlant mes lèvres.
                Sérieux quoi ! Il avait aucune raison de m'en vouloir ! Après il en aurait plus que nécessaire, mais là tout de suite ?! Ça pouvait pas être à cause de mon explosion ! Après tout, il est toujours en vie et en un seul morceau quoi !
                  I Want To Break Free ♪ [poste9]


                  La chance est avec elle visiblement. Elle réussit à esquiver de peu le coup mais de mon côté, je réussis à la mettre à terre quand même. Se relevant, la joue rouge et les larmes aux yeux, cette donzelle s'énerve contre moi, comme si je suis la cause de tous ces problèmes. Mais elle a ses règles ou quoi celle la ??

                  - " Putain d'attardé ! Qu'est-ce qui te prend de me faire ça sale pute ?! Moi j'reviens pour voir comment ça va et tout, tu m'accueilles comme ça, alors que moi, moi, j'm'inquiétais pour toi ! Tu mérites de crever tiens, même que je crache sur tous tes morts et que j'me casse d'ici ! Toi et les autres connards vous pouvez bien crever que j'en ai rien à FOU-TRE.

                  Et enjoy de passer le barrage de la Marine sans mon aide, hein.
                  Parce qu'ils sont au courant de ce qui s'est passé, et ils vont tirer à vue. "


                  (Ouais elle doit surement avoir ses règles) Mais elle se fout de ma gueule nan ? SI jamais elle s'inquiétait pour ces esclaves, alors elle aurait été avec moi pour les sauvés. Car c'est bien beau de parler mais elle, je sais qu'elle n'est pas honnête. Et son petit cinéma ne prendra pas deux fois avec moi. Toujours armé de mon fusil, je la met en joue, lui disant de mettre les mains en l'air.

                  - " Écoute moi bien maintenant. Tu vas me dire ton vrai prénom et me dire pourquoi tu es ici et qu'elle est ta mission. Au moindre mouvement, je te descendrais sans scrupule. Et me prends pas pour un con. Car si tu étais vraiment inquiète pour moi et ces esclaves, tu ne serais jamais partis en douce et tu nous aurais aidés. Et l'explosion, ça ne peut être que toi. Alors me ment pas ! "

                  Elle a maintenant le choix: être honnête ou mourir. Pendant ce temps là, les esclaves m'ont rejoins. Le chef du groupe m'approcha et me demande ce qu'ils doivent faire maintenant. Lui expliquant, la situation en lui chuchotant à l'oreille, je n'avais pas d'autres choix de lui dire qu'ils étaient condamnés. La seule chose à faire est maintenant de retourné au camp, s'en emparer et espérer que la marine n'ira pas fouiner dans les parages. Sinon, aller vivre dans les bois aux alentours. Pour ma part, j'allais retourner en ville, et mettre les choses au clair ...

                  - " Et toi j'te préviens, joue pas à la plus maline avec moi... "
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                  J'aurai dû être plus prudente.
                  J'aurai dû me méfier après qu'il m'ait foutu son coup de pied.
                  J'auraî dû prévoir que se prendre une explosion avec tous les débris qui allaient avec n'allait pas arranger son animosité à mon égard.

                  Alors, quand j'ai parcouru quelques mètres et que j'ai entendu le déclic caractéristique d'une arme à feu, je me suis stoppée nette, paralysée par la peur rampante. Et lorsque sa voix où la colère perce résonne, bah je comprends ma situation. C'est moi qui me suis faite piégée, par un stratagème des plus simplistes. Indigne du génie me caractérisant quoi.
                  Et il veut la vérité sur moi. Sauf que, moi, j'peux pas la lui donner. Si il avait un brin de jugeote, il comprendrait pourquoi.
                  Mais il avait libéré des esclaves, qu'est-ce que je pouvais attendre de sa part ?
                  Je me contente de lui dire ce que je suis censée lui dire, dans ce genre de situations.

                  - Pour des raisons que t'auras AUCUN mal à deviner, te dire qui je suis et pourquoi je le suis, c'est suffisant pour signer mon arrêt de mort. Et toi comme moi on sait à quel point la vie est précieuse.

                  Dommage que l'explosion l'ait pas emporté, mais je devais faire avec le temps de gagner du temps. De trouver une opportunité de fuite.
                  Et elle prit la forme d'un esclave s'approchant de mon tortionnaire. Naturellement, dans ce genre de situations, il gardait le fusil braqué sur moi. Mais, car il y a toujours un mais, bah son attention n'est plus tellement focalisée sur moi.
                  C'qui me permet, lorsqu'il détourne le regard pour s'adresser directement à son interlocuteur ...

                  ... De ne rien faire.
                  Parce que j'ai quand même sacrément peur.

                  Si je bouge, je meurs. Si je crie, je meurs. Si je dégaine mes armes, bah j'meurs.
                  Et si je réponds à ces questions, il serait capable de me balancer à la Marine avant de s'enfuir lui même, et de me foutre dans des ennuis pas possibles ...
                  Mais ça, c'était sans compter sur un tir de sniper. Abattant un des esclaves derrière moi.
                  Et qui me permet, l'air de rien, de me barrer en courant, profitant de la confusion engendrée. D'où il vient ? Aucune idée, mais je m'en moque. J'allais pas être regardante quand à sa provenance, vu comment il me désert !

                  Marine, Esclavagistes, autres ...
                  Quoi qu'il en soit, ils n'en voulaient pas à ma vie, pour sur !
                  Et si ils pouvaient tuer le petit con, bah moi ça m'arrangeait, nah !

                  Ca lui apprendra, alors que moi, moi, j'avais juste de bonnes intentions !
                  L'aider et tout ! Ou presque.


                  Dernière édition par Tao Song le Mar 6 Nov 2012 - 18:40, édité 1 fois
                    I Want To Break Free ♪ [poste10]


                    Immobiliser par la peur, elle prit la parole avec hésitation de peur de se prendre une balle.

                    - " Pour des raisons que t'auras AUCUN mal à deviner, te dire qui je suis et pourquoi je le suis, c'est suffisant pour signer mon arrêt de mort. Et toi comme moi on sait à quel point la vie est précieuse. "

                    Elle était donc engager par quelqu'un. C'est ce que j'en déduis par rapport à sa bonne parole. Et si elle nuit à la réussite de sa mission alors elle se fait tuer. Mouais, ça doit être un chasseur de prime ou un mec du style sans importance. Ce qui compte pour moi c’est la vérité sur c'te femme. Elle ne me laisse pas indifférente pour tout avouer ... Mais elle ne bouge pas, ne se permet aucun geste. Pourquoi je n'sais pas mais c'qui est sûr c'est que je dois lui faire assez peur pour qu'elle ne se permette une telle folie. Et entre nous, face à la mort, on ne peut rien.
                    Un silence se créa rapidement mais fût rapidement brisé. La détonation d'un fusil à lunette retentit sur la plaine, couchant un esclave à terre, un oeil en moins.
                    Putain, il se cache où c't'enfoiré ! La misse en profite donc pour fuir mais ce n'est plus mes affaires. Ce que j'espère, c’est la recroisé rapidement.
                    Accompagnés des esclaves, je me cache dans la forêt la plus proche, à l'abri des regards. Si ce mec veut nous avoir, qu'il vienne. Avançant tout en restant sur nos gardes, on traversa la forêt rapidement pour atteindre la ville. Elle n'est plus très loin et la liberté sera bientôt à eux. Mais les coups de fusils reprennent de plus beau, et abattent cinq des esclaves. Fait chier ! Je leur donne pour ordre de repartir au camp, leur sécurité n'étant plus présente. Durant cette ordre, une balle perdu en profite pour me retrouvé l'épaule. Tombant par terre, l'homme au fusil se rapprochant doucement. Mais alors qu'il s'était empressé de descendre de son point de vue, j'en avais profiter pour me mettre en position avec l'aide des corps, arme en main. Il approcha et dit.


                    - " Phoenix D. Juusei, 15 millions de berries. Je t'arrête en tant que chasseur de prime. Allez debout. "

                    - " Nan à ton tour d'être allonger !"

                    Le fusil enjoue, la balle lui troua la tête.
                    Les esclaves sauvés, je pouvais reprendre la route, malgré mes blessures.



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