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Aya, aux fils d'airain

>> Andréa Yellenn Amarra


Aya, aux fils d'airain Sanstitre3uw

Pseudonyme : Aya
Age: 22ans
Sexe : | Femme |
Race : Humain
Rang : ?

Métier : Musicienne
Groupe : Pirate ? sans conviction lol
But : Jouer, encore et toujours

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Maitrise des sentiments par sa musique
Équipements : Kerberos, une harpe classique

Codes du règlement (2) :

>> Physique

Voici un style de beauté dont on se souviendra.
Aya est en effet de ces femmes que l’on n’oublie pas, qui hante parfois votre esprit comme la lueur d’un flash que l’on prend en plein visage. Son visage angélique impressionne. Son regard bleu profond vous perce avec une douceur déconcertante. Sa peau pure, son petit nez ou ses fine lèvres s’efface pour appuyer ses yeux et donne l’effet d’une harmonie absolue et sereine.
Sa longue chevelure d’argent souligne encore la finesse de son physique au point d’en effacé les rares petits défauts de son corps. Peu d’homme, en effet, s’attarderons sur ces quelques marques qui contrastent avec la douceur de sa peau. On parle bien là de sa musculature tranchante plus que puissante.
Ajouter à ça ses petites mains et la dextérité de ses doigts fins, on devine vite l’instrument de prédilection de la belle. Il faut bien sûr à la fois pouvoir porter les cinquante kilogramme de sa harpe et pincer chaque corde avec précision.
Que l’on parle alors de son buste, sa taille ou ses hanches n’incitera que peu de curiosité et ne révèlera que trop peu de suspens (en un seul mot). Rien de choquant ni d’extravaguant, juste de la délicatesse. Ses longues jambes sont d’ailleurs fait du même bois allant de paire avec ses pieds.

Sa gestuelle relève également du champ lexical divin. De mouvements lents et amples camouflant souvent une rapidité d’exécution remarquable. Un œil attentif relèvera sans se tromper une minutie rare dans ces déplacements. Voilà qui trahit toutes les cordes qu’elle maitrise qu’elle soit faite pour la musique, ou pas ...
Nul besoin de force, lorsque la grâce est si grande !

Ses gout vestimentaire sont assez simple en apparence. Quelques draps blancs justement tenu par des lanières de cuirs et voilà une tunique qui lui siée parfaitement. Une certaine coquetterie lui donneront pourtant toujours envie de rajouter quelque bijoux dorées tel que des broches, des bracelets ou des colliers. Seule sa boucle d’oreille qui pend à gauche de son visage se montrera utile et réellement de valeur. De l’or vingt-quatre carats et une améthyste rose sont les dernier souvenir de son père, c’est en réalité la clé d’accord de sa harpes.
Ses talents ne s’arrêteront pourtant pas à caresser quarante sept cordes, aussi bien puisse-t-elle le faire. Elle accompagne souvent ses balades d’une voix douce et fluette. Parfois trop faible au gout de certain, tandis que d’autre lui reprocherons de pas réussir à couvrir le son des instruments avec son champs pourtant si mélodieux.
Pour finir par une petite note sucrée, un nez curieux devinera qu’Aya se plait à presser quelques citrons dans son bain ~



>> Psychologie

Entre l’impression qu’elle donne et le jeu qu’elle joue, il n’est parfois pas évident de cerner la demoiselle.
A première vue, elle est mélancolique. Douce et calme, elle traine avec elle une atmosphère posé qui détend facilement les esprits. Tant de grandeur et de sérénité à la fois, ceux qui la confonde avec une déesse n’ont pas tord.

Pourtant, dans les tréfonds de sa cervelle, tout ne fonctionne pas exactement comme ça. Elle se montrera rarement d’une grande intelligence et plein de naïveté, comme si elle avait refusé de grandir à un instant de sa vie. Elle agira parfois contre le bon sens parce qu’un gentil garçon au regard charmeur lui aura demandé de faire ainsi.
Influençable, elle répond encore mieux aux carottes, aussi banal soit elle. Ainsi, telle une souris gourmande, elle ira sous la cloche pour grignoter un morceau de gâteau, et ce n’est pas là une métaphore.
Avec la mémoire apparente d’un poisson rouge et la capacité de concentration de bob l’éponge, elle abandonnera le morceau de gâteau pour attraper la sucette qu’on lui tend avant même que la cloche ne l’emprisonne.

Lorsqu’un joue de la musique, c’est encore une autre histoire, ou plutôt la première qui revient, comme un refrain. Elle ferme alors souvent les yeux et son don ce révèle. Elle peut alors transmettre n’importe quelle émotion et elles sont rarement joyeuses. Aya est capable de faire pleurer les plus insensibles par un simple requiem.
La musique prend alors une ampleur divine à ses yeux. Interrompre l’une de ses représentations et un réel sacrilège. Le cœur brisé, elle boudera pendant bien des semaines sans lâcher le moindre mot. Heureusement que la colère ne fait pas partie de son vocabulaire car elle serait capable de déclencher des cataclysmes.
Que ça se sache, la belle harpiste ne sait même pas hausser la voix. Elle boude, pleure ou s’enfuit, mais jamais elle ne se mettra en colère.

En revanche, elle sait ce battre. Parce que, pour elle, la vie est une illusion. Alors, où est là honte d’ouvrir les yeux d’autrui ? Mais la douleur reste la douleur. Elle ne frappe pas gratuitement et aura besoin d’une bonne raison pour le faire.
Les hostilités entamés, elle passe dans un état particulier : elle devient têtu, aussi incroyable que cela puisse paraitre. Et tant que personne ne reconnaitre sa défaite, elle frappera jusqu’à la mort. Pas moyen de lui faire changer d’objectif. Aya ne prend pas de plaisir dans ces cas là, c’est juste qu’il lui semblerait trop idiot de changer de position au milieu d’un duel.


>> Biographie

Andréa vit le jour d’un couple plutôt âgé et posé dans leur petite île. Lui était luthier, pas un grand artisan mais assez polyvalent. Elle était comédienne, aimant faire jouer des pièces aux enfants du village. Ni l’un, ni l’autre ne semblait porter plus d’attention à leur propre progéniture. Madame n’avait pas beaucoup d’estime à l’égard des enfants en réalité, elle se contentait de refouler ses grandes ambitions de metteur en scène car jamais elle ne put réunir la troupe d’artiste qu’elle attendait. Monsieur ne jurait que par ses instruments, en ermite, il avait fini par oublier la langue des hommes et termina sa vie muet.
C’est pourtant dans son atelier que la petite blondinette passé le plus clair de son temps, fasciner par le simple son du vent qui traverser toute les merveilles que renfermer l pièce. Elle eut d’autre part la chance de voir les clients de son père plus attentionnés à son égard. Ils lui apprirent le maniement de tous les instruments qu’on put lui faire découvrir. Andréa dévoilé d’ailleurs de belles dispositions à cet art.
Cependant, elle gardait toujours en tête ce gros instrument noir en tête. Kérberos, la grande harpe au fond de la boutique. Presque deux mètres de long et plus de cinquante kilogramme à en croire les troubadours. Il était fait d’ébène et au somment de la colonne, trois imposantes têtes de chien montrant les crocs. Le vieux Amarra ne laissé personne s’en approcher, il n’hésita pas à frapper sa propre fille lorsque cette dernière voulu effleurer ses cordes.
Ce fruit interdit hanté ses esprits et lui donné des cauchemars jusqu’à la frappé d’une phobie chronique des canidés quelqu’en soit la race. Elle s’imaginait un son magnifique, des mélodies envoutantes, des notes enchantées. Dans son sommeil, elle apprenait à jouer de la harpe comme par magie, ses doigts bouger instinctivement réalisant des accords parfaits alors que l’instrument n’était pas entre ses mains.

Dans son paisible village, il ne se passait jamais rien, qu’une routine implacable, de quoi en faire rêver certaine et en faire peur d’autre. Si peu de fait divers que la plupart des passants trouvaient ça plutôt glauque comme atmosphère, comme si, finalement, il traversait une ville fantôme. Il fallait attendre qu’Andréa ait suffisamment de confiance en elle pour se produire devant tout le monde. D’abords munie d’une lyre avant de diversifié les instruments. Ses mélodies, souvent mélancolique et rarement festive, était pourtant les seules notes de couleurs que l’on pouvait espérer croiser sur la place principale.
Le maire fit rapidement construire une scène exclusivement pour Aya aux fils d’airain, surnom cumulant à la fois ses initiales et son gout pour les instruments à cordes. Sa réputation grandissante faisait de la fin de semaine un évènement attendus par les villageois et bientôt même un rendez-vous pour tous les habitants de la petite île.

Forte de sa renommé, Aya osa demander de jouer de la harpe interdite à son père mais celui-ci de dit mot. Gonflé d’orgueil, elle considéra qu’il ne lui avait pas dit « non » alors elle s’empressa de s’assoir sur le tabouret derrière Kérberos et, l’inclinant sur son épaule, elle posa délicatement ses mains sur les cordes. Les première notes vinrent d’elle-même.


C’est alors comme si le temps perdait toute son emprise. Comme si la mémoire elle-même n’avait plus lieu d’être. D’ailleurs, où était la réalité à présent ? Le temps de son court concerto avait eut le même effet que la brise balayant sans prévenir les feuilles morte aux pieds d’arbres qui n’imageait plus que la mort. Est-ce elle ? L’esprit malade. Ou est-ce Kerberos ? La harpe maudite.
Lorsque ses yeux se rouvrirent, elle était assise au bord d’une falaise, le pied de sa harpe à quelques millimètres à peine d’une chute vertigineuse avec des rocs aiguisé par la mer comme seul matelas d’atterrissage. Aya ne saura raconter ce qu’il s’est passé à l’instant où elle composé de manière innée son premier concerto comme elle ne saura dire ce qu’il advenu de ses amis et sa famille si tant est qu’il ait réellement existait. Pourtant, elle n’en était ni choqué, ni triste. Prenant une dernière bouffée de cet air pure et salé, elle promit de ne plus improviser sur cette harpe et de ne jamais rejouer cette mélodie « Aude à Léthé »




Informations IRL

  • Prénom : Alex’

  • Age : 21 ans

  • Aime : boire

  • N'aime pas : vomir

  • Personnage préféré de One Piece : Tony Tony chopper _o/

  • Caractère : (définissez vous en quelques mots) abrutie ? =3

  • Fais du RP depuis : un bout de temps

  • Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif) entre 1 et 7 jour par semaine !

  • Comment avez vous connu le forum ? annuaire forum actif


Dernière édition par Aya le Lun 31 Jan 2011 - 15:19, édité 2 fois
    Bienvenue à toi ^^ Et ouais tu ne rêve pas, le staff est présent 24h/24 Cool comme forum, non ?
    Il te faudra un nom de famille avec ton pseudo.
    Voici ton test rp:

    Des brigands te cherchent des ennuies, pour une bouteille de rhum. Ils te disent de rejoindre leur équipage et de danser pour eux. Ils sont ivres mort, mais l'un deux est sobre. Raconte les évènements au clair de lune.

    Bon courage.
    • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
    ~ Do You Want Me ? ~


    La musique résonne sans vraiment se faire une place dans le brouhaha ambiant. Ici, personne ne se soucis de ces quelques notes qui volettent à travers la petite pièce. Peu importe la porté de son œuvre dans ce bouiboui puant, les oreilles de la musicienne sont juste là, collé à la caisse de résonance. Aya ne porte aucune attention à son environnement, trop concentrée pour ne pas faire de mauvais accords, inquiète et curieuse de la réaction même de sa harpe. Elle a en effet peur du pouvoir de ces cordes noires. Pourtant, elle en joue et elle sourit du son pur qu’elle arrive à produire.

    Le tavernier, lui, sourit de sa belle clientèle qui ne compte pas les verres engloutit. Il aura de quoi payer la harpiste malgré son faible effet sur le public. Le temps passe et l’ébriété s’accumule chez chacun. Aya dépasse ses heures, elle sait qu’elle ne sera pas payée mais, en cette période d’émancipation, difficile pour elle, jouer lui donne le sourire.
    Le soleil aussi à passé son heure depuis un bout de temps quand le serveur cesse son activités pour inciter les dernier poivrots à quitter les lieux. Ce n’est pas que ça déplaise au gérant de vendre un peu plus d’alcool, mais le maire n’aime pas savoir ces piliers de bars plus bourrée qu’ils ne le sont à cette heure. Il espère ainsi réduire les vandalismes.

    Un groupe de joyeux lurons semblent de passage ici et ne comprennent pas ce couvre feu. Il se revendique bien vite être des pirates et clame leur gout de la liberté et surtout du rhum. Il ne veule pas finir la soirée si vite ! Le tavernier leurs concède une dernière bouteille de liqueur pour le faire au moins sortir de son établissement. L’un d’eux s’empare de la bouteille après trois tentatives hasardeuses. Rechignant à partir si vite, il s’approche de la belle musicienne pour lui remettre une petite pièce et espérer un bisou. Le pauvre homme ayant perdu tous ses moyens s’emmêle les doigts et laisse s’échapper le précieux flacon qui s’écrase et s’éventre à terre tandis quel la belle rate sa dernière corde et joue une fausse note.
    Aya n’a pas fait attention à la scène et ne sais pas trop ce qu’il s’est passé. Elle a juste le temps de remarquer l’ambiance pesante qui vient de s’installer dans le bar avant que la poignée de pirate s’énervent.
    « Mon rhum ! » S’écrit le fautif avant de lancer un regard assassin à la musicienne déconcerté. « Pourquoi t’as fait ça ? » relance-t-il. La pauvre fille ne sait plus quoi dire, elle n’a pas fait exprès de renverser la carafe de ce pauvre homme, pensait-elle. Il l’attrapa alors par le bras en la tirant dehors et beugla qu’elle payera l’alcool avec son corps et sa sueur.
    D’un geste facile, elle se libéra de l’emprise de l’homme en voulant récupérer son précieux instrument. Elle fut rapidement reprise par les deux suivants avant d’abandonner en voyant qu’un plus jeune garçon en file de troupe se démenait à porter Kerberos. Soulagée, elle se laissa alors mener par les forbans jusqu’à leur navire.

    Là, les pirates formèrent un cercle autour d’elle en lui lançant « Montres nous tous tes charmes ma belle ! » Elle tendit alors sa main au jeune homme sobre et s’empara de sa harpe pour en jouer. Aya n’eut pourtant pas le temps de commencer à jouer la moindre note qu’un grand homme très musclé, le ventre gonflé par la bière et au pelage proche de l’ours, lance un coup de pied dans la colonne noire envoyant valser l’instrument. Les larmes aux yeux, elle se jeta sur son irremplaçable outil, décrochant sa boucle d’oreille pour le réaccorder et en prendre soin. Le même ours revint à la charge en la frappant violemment et à plusieurs reprises. La clé glissa jusqu’au pied du garçon qui avait le visage inquiet. Aya croisa son regard tandis qu’il ramasser le bijou. Elle cru alors entendre sa voix lui dictant « Ne te laisse pas faire, défends toi ! Protèges moi …. »
    Avant qu’il ne porte le prochain coup sous les éclats de rire de ses compagnons, il sentit soudain un poids sur ses épaules, comme si l’atmosphère avait soudainement changé. Aya avait changé de mode de fonctionnement. Du doux menuet, elle entrait dans un boléro enflammé. Elle se releva soudain comme une fée déploie ses ailes, en tournant sur elle-même. Ouvrant ses bras et ses mains, l’animal qui lui faisait face se fit saucissonner comme un rôti de porc. En quelques amples mouvements gracieux, la bête se souleva dans les airs pour passer par-dessus bords.
    Devant cet impressionnant spectacle, les saoulards virent la frêle victime se transformer en une sorcière capricieuse. Tel un bataillon de zombies alcoolisés, ils se jetèrent armes en mains sur la femme. Elle eut bien le temps de se baisser pour prendre son arme, la harpe. Elle s’en servait comme d’un gros gourdin pour assommer tous ceux qui l’approchaient. Au bout de quelques instants, la bataille avait trouvé son vainqueur. Certain avait prit de plein fouet l’une des têtes de Kerberos, d’autre s’était endormis avant le début des hostilités et les derniers finissait de se battre … entre eux. La chance souriait à Aya, comme quoi l’alcool peut tuer, mais pas toujours de la manière qu’on croit.

    Oubliant le jeune garçon qui l’avait aidée, la belle voulut retourner sur le port, mais on ne sait par quel miracle ou quel étourderie, le bateau avait quitté la berge depuis longtemps déjà. Voulant alors fuir l’odeur d’alcool et de vomi qui régnait ici, craignant également l’étrange libido des pirates, elle s’empara du seul canoë de sauvetage encore propre pour leur fausser compagnie.
    Insouciante des dangers de la mer, elle rama toujours plus loin de son île de naissance jusqu’à entendre l’appel de Morphée.
      Bienvenue ! Un très bon vocabulaire, j'aime beaucoup. Quelques petites fautes d'accord pas méchantes. Pas beaucoup dans la longueur par contre, et l'originalité est sympa sans être exceptionnelle.

      Alors pour moi un 520 dorikis. Pour ton pouvoir il faudra le soumettre à validation.
      • https://www.onepiece-requiem.net/t146-ryuuku-no-fiche
      • https://www.onepiece-requiem.net/t99-rp-donwload-100-100-ryuuku-gakuen
      D'accord avec ryuuku: 520 Dorikis, plus qu'une voix.
      • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
      Eh bien pour moi, ça vaut bien 650 Dorikis. Je sais pas si vous vous rendez compte que vous donnez 20 Dorikis de plus que quelqu'un ayant fait le minimum syndical, de plus, elle a un style facile à lire et pas lourd pour les yeux =)
      • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
      • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
      J'ai re relu et j'accorde 600, ça sera mon dernier mot. Mais faut qu'elle change de pseudo.
        Pourquoi changer le pseudo ? Aya est l’acronyme de son nom complet qui tombe en désuétude dans l'histoire. Ca apporte une note mystérieuse et incite la curiosité des autres personnage. Ca joue aussi sur son propre comportement de douter de son vraie non. Et puis, c'est un nom de scène, c'est comme si 50cent se faisait appeler Curtis James Jackson depuis le début, sa casse un peu le mythe, si je peut dire ...
        Enfin, je fait que plaider ma cause Razz
          Le pseudo ça me dérange pas trop, après faut voir.

          Mais pour le plus important, alors je suis pour aussi 600 dorikis.
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          Aya ça fait un peu des mots que prononcent les bébés :d

          Enfin bref, parenthèses kikoo ^^'

          600 Dorik, je laisse à quelqu'un d'autre
          • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
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          Je m'en occupe.
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