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Scab Tournebroche, à l'ancienne

>> Tournebroche Scab



Scab Tournebroche, à l'ancienne Scab_t11


Pseudonyme : La cloque
Age: 37 abordages
Sexe : Homme
Race : Homme
Rang : Ancien Contremaître
Métier :
Groupe : Pirate
Déjà un équipage :
But : La richesse
Fruit du démon ou Aptitude pour la suite :
Équipements :
Codes du règlement (2) :
Parrain :[/b


>> [b]Physique

Scab est un homme éjecté bien trop vite des cuisses de mère nature et esquinté bien trop fort par les bras du père de l’aventure. Il n’a jamais été de ces grands hommes à la musculature saillante et au sourire ravageur, il ne le sera d’ailleurs jamais au rythme où vont les choses. Un petit garçon, voilà ce qui venait après l’adjectif « ingrat » lorsque quelqu’un s’hasardait à le décrire. En effet, lorsque l’on ne mesure pas plus du mètre cinquante et que son reflet ne fait aucun cadeau, on ne peut pas prétendre aux grâces d’Apollon si tant est qu’il existe. Quatorze, c’est le nombre de doigts qu’il a su garder et c’est à cinq que se porte le nombre de membres encore rattachés à son tronc bedonnant. Par la sainte grâce des enfants de putains de la piraterie, le muscle viril n’est pas tombé en même temps que la guibolle droite. Les chicots, eux, ont sabordé le navire avant de déserter. Une barbe rousse dessine le contour de sa mâchoire carrée et une armada de poils courent sur son corps comme une flotte de radeaux sur Grand Line. Ce qui le sauve de la moquerie est sans nul doute son regard haineux de roquet que l’on n’ose approcher malgré sa petitesse. Il vous regarde de haut alors que son champ de vision s’arrête à vos bourses et c’est votre instinct de survie qui vous pousse à protéger vos couilles. La largeur de son cou et la robustesse de ses bras ne laissent pas de doutes sur la force qui réside dans un si petit être, le bougre n’est pas agile et encore moins rapide, mais peu se sont risqués à le négliger. Sa patte de bois frappant le bois usé du pont principal raisonne encore dans la tête de nombres de boucaniers à la retraite, sa démarche claudicante de vieil estropié hante l’âme des navires qu’il a abordé et le cul des chiens qu’il à botté. Un bel ange au final, non ? Non.


>> Psychologie

Un homme laid doit composer dès sa naissance avec les choses qui lui ont été imposé, mais il peut écrire d’autres partitions par la suite. Scab est un homme malin, bien plus que la plupart des engeances de putains qui servent à bord des bâtiments de ce monde, son apparence ingrate lui a toujours permise de se faire vite remarquer par ceux qui dirigent et craint par ceux qui suivent. Quand on est doué de ce type de physique, on est toujours celui qui riposte et jamais celui qui insulte. Beaucoup ne peuvent plus raconter de mauvaises blagues sur Tournebroche et beaucoup parmi ceux là n’auraient jamais envisagé qu’il répliquerait. Scab n’est pas une brute, juste un de ceux qui ont compris la seule loi qui vaut à bord d’un navire : frappe plus fort et parle plus fort mais toujours moins que le capitaine. Ne pas être au premier plan, mais juste en-dessous. Si un jour la situation tourne mal, c’est la tête du maître à bord qui saute, le second, lui, connait l’équipage sur le bout des orteils. Être le premier sur le pont adverse, voilà le rôle le plus important d’un quartier-maître et c’est un rôle de composition qu’il maîtrise avec aisance. Le latin, l’anglais et les argots des tavernes sont aussi des armes en soi, tout comme savoir lire et bien écrire, deux lames plus tranchantes qu’un coup de dague. Alors que reste-il à un homme malin et laid avec tout cela ? L’argent et rien d’autres. Les femmes sont justes bonnes à se faire glisser une queue ou enfanter et l’alcool est fait pour les imbéciles qui veulent oublier plus vite qu’ils ne comprennent. L’argent paye tout et c’est peut être ce « tout » qui est le seul mystère que Tournebroche souhaite percer. Que faire une fois devenu respectable ? Et même ce terme de respectabilité est une blague pour les gens qui le connaissent.


>> Biographie


A quoi bon narrer des moments de sa vie dont tout le monde se moque éperdument, un pirate est un pirate et même s’il est enfant de putes ou de bourgeois. Un homme naît à bord d’un navire.


La première fois, elle laisse un goût de pisse amer dans la bouche


L’île des esclaves est une petite île placée sous la coupelle du Royaume de Saint Urea et c’est aussi là que commence la véritable histoire d’un ingrat personnage de dix-sept printemps qui marche dans l’ombre des bâtiments imposants de la cité marchande.

Il ne savait pas vraiment ce qu’il foutait là si ce n’est qu’une rumeur de West Blue présentait l’île comme un embarcadère pour l’aventure. L’aventure, c’est justement la seule chose qui restait à un gosse mal né encensé par les aventures devenues mythiques d’anciens pirates, terribles forbans des mers. En effet, à l’époque où nous nous trouvions, la piraterie n’était pas loin de renaître, quelques têtes se faisaient connaitre et les mers s’agitaient de plus en plus. C’était donc avec ses trois pièces en poche que Scab cherchait un travail peu enclin sur le physique. Scab c’était ainsi qu’on l’avait toujours nommé, « on » devait être un prêtre ou un catholique au cul béni de l’orphelinat. Il avait appris bien plus tard d’un marchand anglais que son prénom signifiait « croûte », chose qui l’avait fait sourire.

Il avait donc fait ce que tout homme sans expériences avait fait et il était rentré dans la taverne la plus puante et la plus proche du port, La trinquante. Son physique de chien bossu encore trop fin pour prétendre briser une brindille n’avait pas manqué de soulever les babines de quelques moqueurs, l’établissement puait la merde et la bile encrassait le comptoir. De ses deux pieds toujours entiers à l’époque, il enjambait les débris de comptoirs et de verres brisés pour prendre place dans le coin le plus sombre de la pièce où il s’y terra jusque l’ivresse embrume l’esprit des plus rigolards. Bien vite, un homme était venu à lui, encapuchonné sous une cape noire et bâti comme trois hommes. Méfiant, Scab lui décocha un semblant de sourire et deux pièces vinrent percuter la table depuis les mains gantées du personnage. Elles furent avalées aussi sec par la main entrainée du serveur qui posa aussi sec deux rhums face aux hommes.

Après quelques lampés, la langue de Scab s’était emballée et il posa un flot intarissable de question à l’homme qui n’avait pas trouvé bon de donner son nom. La piraterie était-elle toujours présente ? Combien elle rapportait ? Et nombre d’autres questions qu’il aurait été impossible de poser à un ecclésiastique. A mesure que les verres descendaient, le nain semblait gagner la petite lueur des gens ivres au fond de ses yeux. Soudain, la porte s’était grande ouverte dans la taverne et une dizaine d’hommes aux plastrons de la Marine avaient envahis la pièce. Ils arrêtèrent ce jour là tous les marins ne justifiant pas d’un travail honnête par simple inspection de leurs mains. Le mystérieux individu en fut sauf, il s’était contenté de retirer ses gants pour montrer l’absence de marques sur ses paumes. Scab était bien sur moins cicatrisé qu’un nourrisson qui venait de déchirer la fente de sa mère. Il apprit ce jour là sa première leçon, protéger ses mains coûte que coûte. Suite à ça, il picola pour la première fois de sa vie et pour la dernière aussi.

Le réveil avait été houleux et son crâne menaçait de se fendre à chaque secousse incompréhensible de son organisme. Ses petits yeux entrouverts dévoilèrent la plus sinistre des saloperies, les lattes d’un pont appartenant à un navire gigantesque voguant sur la mer. Bien vite, il comprit seul la deuxième leçon de vie, celui qui boit signe et celui qui fait boire empoche.

La houle t’enfante au rythme de ses coups de reins

Barthuma le Sagittaire était négrier, pas un pirate, un négrier. Il était le capitaine de Destinata. De ces bateaux qui voguent à travers les mers en cachant sous leurs cales des esclaves en quantité déraisonnable pour les vendre à prix d’or partout où le commerce était florissant. Le petit Scab avait signé pour dix ans à bord pour un solde misérable de 10 pièces par mois et d’un baril de rhum par an, une arnaque dont il n’était pas seul à avoir fait les frais sur l’île des esclaves. Ils étaient huit comme lui, tous plus jeunes et plus abrutis que lui à l’époque. Il s’était dégoté une paire de gants en cuir qu’il se servait chaque fois qu’on lui demandait de bander le Foc. La première fois qu’il avait entendu le terme de « Foc », il avait cru à une mauvaise blague et cherché depuis le bastingage l’étrange animal à la surface de l’eau. Son attitude précieuse envers ses paumes de mains et son physique ingrat lui avaient valu le surnom de « La Cloque », surnom qui le suivait encore aujourd’hui. Celui de Tournebroche ne vint que bien plus tard. La Cloque n’était pas le meilleur marin à son bord, mais son intérêt pour la navigation et sa force lui permirent au bout de la première année d’assister de temps à autre le second à la barre. Sur de courtes distances bien sûr, mais derrière la grande roue du gouvernail, il respirait à plus de grandeur. Quand le navire allait à terre, il dépensait rarement son argent dans les tavernes à se gaver la trogne de liqueurs fortes. Il buvait toujours modérément, un verre silencieusement dans son coin et baisait une putain que de temps à autres. Sa laideur naturelle lui faisait casquer bien plus chère que n’importe lequel de ses compères, il se promettait chaque fois de ne pas retomber dans les bras d’une femme de joie le mois prochain afin d’économiser assez pour s’en payer une celui d’après. La Cloque vivat ainsi durant près de trois années jusqu’au jour où une mutinerie éclata à bord du Destinata. Les matelots s’étaient soulevaient comme un seul homme durant la nuit pour prendre possession du navire, Scab n’avait même pas été de la partie, trop proche du quartier-maître pour être mis au courant. On donna le choix au second de suivre l’équipage ou mourir, la décision fut simple pour lui, mais le capitaine ne put envisager autre peine que le carénage. Ce fut la première fois que Scab assista à un carénage, pratique très en vogue dans le monde de la piraterie et encore de nos jours. Cela consistait à accrocher un bout autour de l’homme et de le jeter depuis la proue du navire. Il passait alors sous la coque du navire, écrasé par les flots d’une part et le bois de l’embarcation lancée à toute allure d’autre part. Barthuma succomba avant que son corps ne soit remonté à bord, bien souvent c’est ainsi que cela se passait. Une fois arrivait dans un port, il fut donner aux membres de l’équipage le choix de quitter le navire ou de rester. Scab décida de partir, quinze autres hommes firent de même. Trente sous en poche, maigre capital qu’il gonfla de dix pièces en revendant ses trois tonneaux de Rhum même pas entamés.


Les sabres fendent l’air plus vite que les balles.

Un gaillard de vingt ans au bras déjà bien formés et aux pieds marins ne se trouve pas avec facilité dans le port de Kage Berg. Ce n’est donc pas avec difficulté qu’il signa pour deux ans à bord du Fâcheuses Destiné, mais cette fois ci sans une goutte d’alcool dans le sang. La Cloque apprit cependant une nouvelle règle, les noms de navires présagent toujours de la nature de leur capitaine. Bylly Brandson, la lame sombre, était un pirate primé à trente millions le jour où Scab entra sous ses ordres. Bylly avait pour but de quitter West Blue à l’assaut de la route de tous les périls. La Cloque connaissait cet endroit de nom depuis son enfance, tant il en avait lu à son sujet, mais la première fois que le navire vint se frotter à l’immense montagne qui servait de porte d’entrée, il sentit un frisson proche de la sensation que l’on doit sentir quand la lame l’une épée vous fend le dos. Bylly était le pire enfant de démon que les mers pouvaient compter, dur et intraitable avec ses hommes ainsi qu’avec son bateau. Treize combats maritimes eurent raison de la Fâcheuse la première année. Ce furent à l’occasion des batailles que Scab arrêta de porter des gants, ses mains puissantes de jeune homme ne parvenaient pas à saisir les sabres d’abordages sans les faire tomber. Il tua durant cette première année beaucoup d’hommes, non pas par plaisir, mais pour ne pas perdre le peu de tête qui dépassait de son tronc.

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Ce fut le Fétiche qui remplaça l’ancien navire dans une île de Grand Line, c’est aussi à ce moment que Bylly rembaucha de force de nouvelles têtes fraiches et positionna La Cloque au rang de Barreur. Non pas que Scab savait bien tenir le manche, mais il n’avait pas son pareil pour anticiper les changements climatiques de cette insatiable mer. Les trois ans pour lesquelles Scab avait signé se transformèrent en cinq puis sept années. Bylly Brandson était primé pour la modique somme de 125 Millions à l’époque de sa fin.

Au bout de sept années de navigation, La Cloque était devenue Contremaître du plus terrible capitaine qu’un équipage puisse avoir, quarante carénages avaient eu lieu à bord et Scab en était devenu le metteur en scène. Le naïf personnage du début avait appris ses leçons, le terme même de Cloque n’était qu’à usage unique du capitaine sous peine de se vor arracher la langue par l’acier d’un grappin par le contremaitre lui-même. Au fur et à mesure des années, Scab avait prit en assurance et en force, il gueulait plus fort que tout le monde et frappait le premier et pourtant jamais son nom n’arriva aux oreilles du gouvernement. La place d’un contremaitre est de rester dans l’ombre, voilà ce qu’il se plaisait à répéter devant son verre de rhum à moitié rempli.

Tournebroche.

Les surnoms colle à la peau d’un homme, c’est à l’âge de vingt-sept ans qu’il gagna la sien. Scab Tournebroche, aussi appelé par ses supérieurs La Cloque. Peu savent d’où vient le second surnom qui lui avait été donné dans sa jeunesse quand il portait encore des gants, mais beaucoup savent d’où lui vient celui de Tournebroche.

C’était durant l’abordage d’un bateau de la Marine, le Colonel Subarbe devait être l’adversaire. Un marine imposant doué du pouvoir saugrenu de se recouvrir de piques, un autre de ces rigolos que Lucifer se moque et dont Davy Jones accueillerait bien. Alors que Scab s’apprêtait à saisir de ses mains épaisses un bout d’abordage, il reçut en pleine guibolle une balle. La petite salope s’était glissée depuis le mollet jusqu'à l’os. Lorsque la bataille toucha à sa fin, le médecin de bord n’avait pas eu d’autres choix que de sectionner la jamb à hauteur du genou avant que ne gagne la gangrène.

Scab s’était entiché d’un petit gamin fraîchement recruté dans une île de la troisième voie, pas sexuellement, bien que le corps d’une femme ne l’avait pas effleurée depuis fort longtemps, mais presque par affection. Le gamin lui raconta à son chevet que durant la bataille de la veille, il avait entraperçu le pistolet d’un des membres de l’équipage pointait vers son contremaître. L’homme en question était un Long-Bras qui n’avait jamais pu encadrer Scab depuis l’arrivée sur Grand Line. A l’époque, Scab n’y pouvait rien, mais aujourd’hui il pouvait tout.

Le navire fit cale le lendemain sur une petite île printanière, même pas pointée par le Log Pose, afin de faire pleines provisions. Les boucaniers avaient déjà chassé les quelques chèvres sauvages présentes à proximité de la plage pour les faire façon barbecue. Difficilement, la petite masse de muscle amputée descendit sur la plage sans montrer la moindre douleur. Le regard des hommes forçait le respect et seul el rire gras du capitaine perçait l’atmosphère. Bylly vint à la hauteur de son contremaitre et posa genoux à terre pour pouvoir mieux saisir la plaie encore ruisselante de sang de sa jambe. Scab serra les dents et aucuns sons ne sortirent de sa gueule, tout en se relevant Bylly ria largement et annonça que c’était à ça que l’on reconnaissait les vrais hommes. Puis, s’aidant de deux lattes de bois en guise de béquilles, Scab alla s’assoir prêt des chèvres fumantes et commença à manger silencieusement. Trop silencieusement pour ceux qui le connaissaient, si bien qu’à un moment La Cloque perça naturellement le silence. Ce sera les seuls répliques qui sortiront de ce récit.

« Belle victoire encore que celle d’hier ! Fier compagnons ! »

Un Yoho à l’unisson et es verres de rhums claquèrent dans l’air.

« Le diable a jugé bon de me séparer d’un de mes membres, heureusement pas le plus important ! ZAGAHA ! »

Un rire gras s’échappa des gentilshommes de fortunes.

« … Et pourtant… Je pense que le diable n’avait rien à voir dans cette histoire, mais plutôt sa pute ! Doc’, par où est rentrée la balle ? »

Replaçant ses lunettes dans un sursaut de craintes, le vieux docteur, qui craignait toujours le sabre de Scab pour lui avoir coupé la jambe, répliqua.

« La... Par le mollet »

« Camarades ! M’avez-vous déjà vu tourner le dos à l’ennemi ?! Que celui qui pense le contraire vienne se faire embrocher par ma lame par Dieu ! »

Personne ne broncha, car tous savait que le nain était toujours le premier au combat.

« C’est donc une pute de chez nous qui m’a volé ma jambe »

Un frisson parcouru le dos de tous et le regard haut de Scab se posa sur le Long-Bras qui boulotait sa viande en silence, le blanc lui montait déjà à la tronche. Bylly sifflait son rhum dans son coin et observait avec malice la situation.

« Doc’… Vous avez vos outils sur vous ? »

« Ou...Mes outils, oui… »

« Coupez sa jambe »

Dans un sursaut, le Long-Bras se leva mais deux hommes l’avaient déjà ceinturé. Dans un haut le cœur, le Doc’ coupa la jambe du bougre qui perdit aussitôt connaissance à peine la scie avait-elle entamé son pantalon. La Cloque prit le membre coupé qu’il embrocha sur un pic et fit tourner le tout au-dessus des braises. Une odeur de graillon piqua les narines des matelots et d’un coup sec de mâchoire, Scab s’envoya la rotule dans le palais. Bylly en alla de son rire gras et s’exclama.

« HAHAHA! Tournebroche ! En voilà un nom digne de ce foutu estropié ! »


Nouvelle ère.

L’aventure prit fin pour Bylly et es hommes aux portes de l’Archipel Shabaondy alors qu’ils venaient de torcher par tous les trous la troisième voie de Grand Line. Tournebroche était alors âgé de trente ans et ce ne fut pas la Mer qui emporta les matelots de Brandson mais une autre terreur de l’époque Jangoto Le Baffeur. Un vieux de South Blue qui rétama à l’ancienne et dans les règles l’équipage du Fétiche, la faut à son capitaine qui cuvait l’ivresse de ce démon de rhum qu’il aimait tant. Les hommes n’avaient même pas pu réagir à tant quand les premiers boulets percutèrent la coque du navire, Scab n’avait même pas été prévenu de l’arrivé du navire par sa vigie. Le contremaître s’était montré impuissant. La tête de Bylly roula sur le sol comme le voulait la coutume et l’équipage passa sous la coupole de Jangoto sauf Scab qui dû passer sous la quille. Un carénage qui n’eu pas raison de notre homme, la nature l’avait fait laid et l’aventure aggravait la situation. En effet, quand les hommes remontèrent le corps du contremaître, il ne lui manquait qu’un orteil bien qu’il soit inconscient. Selon la tradition, le Baffeur le garda à son bord, en bas de l’échelle. Mousse et de nouveau proie aux autres avec une réputation à refaire.

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Mutinerie.

Il fallut huit années pour Tournebroche afin de devenir contremaître de nouveau, non pas de Jangoto lui-même, le Baffeur n’était pas aussi fou que ça, mais il le mit second de sa seconde flotte. L’équipage avait arpenté Grand Line trois fois depuis la capture, Jangoto aimait particulièrement revenir sur South Blue pour y poser les bases d’une retraite tranquille. Scab avait prit son temps et couper des membres pour arriver à ce poste et il n’avait aucune raison d’être revanchard envers le Baffeur, bien plus humain que Bylly et plus reconnaissant en terme de partage du butin, un tiers pour le capitaine et le reste dispersé équitablement entre les membres de l’équipage. Tournebroche s’en tirait avec plusieurs milles par mois. Avec les années, il avait su mettre en sécurité près d’un million de Berrys, somme rondelette d’un quart de vie. Il ne savait pas quoi en faire, mais le petit haineux en voulait bien plus, sinon à quoi bon vivre ?

Puis vint le jour où Jangoto annonça l’heure de la retraite, annonce qui ne passa pas bien aux oreilles de La Cloque qui ne put que constater impuissant le manque de prétentions de son supérieur. Un seul choix pour ne pas rester à croupir dans South Blue, la mutinerie.
Trente hommes contre soixante, un rapport de force qui aurait dû mettre la puce à l’oreille quand à la l’issue de cette mutinerie. Une nuit de croissant de lune, les hommes montèrent sabres à la main vers la cabine de capitaine sans réveiller les fidèles à l’homme, hélas, il ya avait eu des fuites et c’est un nuage de poudre qui accueilli les assaillants et bien vite Tournebroche resta seul face à soixante. Le Baffeur lui laissa un choix que chaque contremaitre doit assumer un jour ou l’autre, la mort ou l’exil.

Rusukana sur Calm belt fut la réponse, sans rien d’autre qu’un pistolet avec une balle. La Cloque était de nouveau retombé en bas, les mauvais choix entrainent toujours les mêmes conséquences.





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Dernière édition par Scab Tournebroche le Dim 6 Jan 2013 - 2:52, édité 1 fois
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Nyop Scab, bienvenue parmi nous !

Bon alors pour ton test, j'ai pas mal hésité, mais au final, j'vais m'en tenir à ma première idée :
...
Enfaite, en écrivant ça, j'viens d'avoir une autre idée !

Racontes nous le jour de la mort de Bylly et de ton carénage...

J'espère que ça te va !

Et si tu as des questions, problèmes ou autres, n'hésites pas à demander !

Bon courage ~


Scab Tournebroche, à l'ancienne 1425067977-izya-sflagopr Scab Tournebroche, à l'ancienne 1465207581-signizya Scab Tournebroche, à l'ancienne 1lmh
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Une légère brise planait sur les flots tumultueux de Grand Line. C’est rare une brise, en général c’est souvent une tornade ou un enchaînement de bourrasques à intervalle irrégulier. Les narines du nez écrasé de Scab frétillaient à mesure qu’il humait le fond de l’air marin. Une mouette ou deux s’étaient hasardées à se poser près de lui alors qu’il était accoudé au bastingage, à un petit endroit où le bois de la rambarde avait été arraché par un boulet une semaine plutôt. Du haut de sa petitesse, La Cloque pouvait enfin jouir du paysage sans se tenir sur al pointe des pieds, chose qu’il ne faisait jamais devant l’équipage. Cette équipe de rats des mers était déjà assez moqueuse en temps normal qu’il n’allait pas leur fournir matière à baver dans son dos. Il en était donc là, le Fétiche voguait à bon train en direction de l’Archipel Shabondy, dernière étape de cette foutue troisième voie. Plusieurs années avaient déjà coulé depuis que Scab avait signé l’ordre d’enrôlement et nombres cicatrices avaient marquées la chair de son corps. D’un coup sec, il resserra un peu plus le bandana qui cachait sa misérable touffe rousse et, après un dernier coup d’œil au soleil couchant, il tourna le talon en direction de ses quartiers. Sa patte de bois frappait les lattes crasseuses du navire, les quelques matelots qui dormaient dessous, lovaient dans des hamacs de jute, auraient certainement vendu mères et enfants pour ne plus entendre le martellement incessant de sa démarche jusqu’au plus profond de leurs rêves. Son regard de chien fou s’attardait sur les hommes qui s’activaient à maintenir le cap, ceux qui croisaient son regard ne pouvaient s’empêcher de faire un signe de tête vers le bas pour le saluer et cela même s’il l’avait croisé trente fois dans le quart d’heure. Soudain, l’un deux arriva vers lui en lui emmenant un livre rouge.


« Monsieur ! Le capitaine vous demande de tenir le livre de bord à jour pour lui ce soir ! »

« Donne-moi ça »


Scab prit le livre en main et grommela dans sa barbe rousse en feuilletant les pages, la dernière notamment lui fit lâcher un juron qui fit caquer des fesses celui qui passait la serpillière. Le page était raturé et l’écriture était des plus étirées, la signature des écrivains bourrés. Bylly avait encore forcé sur la bouteille ce soir, trop d’alcool coulait en cet homme et trop peu de présence sur le pont. Les hommes perdaient confiance et avaient le sabre facile ces derniers temps. La semaine dernière, l’un deux était mort d’un coup de sabre dans la hanche parce qu’il avait perdu aux cartes face à un autre et il refusait de le payer. Scab avait dû interdire les jeux d’argents et passer l’homme à la grande cale, le contremaître s’en serait bien passé pour ne pas perdre un homme de plus. Il en était certain, Bylly ne ferait pas de vieux os s’il continuait sur ce rythme. Seulement voilà, le démon de l’ivresse était fourbe et le seul plaisir de porter un goulot à ses lèvres valait pour le capitaine dix catins réunies.

La porte de son quartier claqua et la Cloque s’enferma dans ses parties, une chambre simple avec un bureau en bois noir et un hamac accroché si bas que son derche devait toucher terre quand il y prenait place. Il s’installa dans sa chaise et trempa une longue plume d’albatros dans une flasque d’encre noire. La pointe s’écrasa contre le papier et il commença à griffonner le récit journalier dans une écriture mille fois plus agréable qu’un centimètre de sa peau.


« Jour 2378, troisième voie
Voguons toujours en direction de l’Archi__________ »



Un bruit bien trop commun pour être anodin venait de faire vibrer la table de sa cabine. Scab se dressa debout, la pointe de sa guibolle de bois raisonna avec force. Il se hâta à l’unique lucarne de verre de la pièce, ses yeux tentaient de percer le brouillard de la nuit tombante. Soudain, il aperçut une gerbe de flammes à moins de dix brasses du navire aussitôt suivit d’une secousse violente. Une canonnade, bougre de dieu.

La Cloque fendit la pièce en maintenant son genou droit, d’un coup d’épaule il fit voler la porte battante et déboula sur le pont le regard noir. C’était la grande débandade, les hommes couraient de tribord à bâbord, certains prenaient les armes, d’autres armaient les canons de boulets tandis que certains pensaient déjà aux canots de sauvetages. D’un mouvement de bras, il agrippa par le fond du pantalon un mousse haletant.


« Qui était de vigie ? »

« Lui monsieur ! »


Il pointait un gars qui se démenait avec les bouts d’un des trois canots de sauvetage, Tournebroche traversa le pont malgré les boulets qui roulaient dangereusement de-ci de-là et chopa sa cible par la gorge. D’un mouvement sec, il lui décala la trachée vers l’avant dans un bruit de gorge sinistre. Les hommes s’arrêtèrent net.


« Qu’un seul d’entre vous manque encore à ses fonctions et je vous fais tous pendre par vos bourses »


Le navire ennemi envoyait ses traits sur le Fétiche comem l’enfer envoyait ses démons sur terre. Le drapeau noir était hissé haut et le dessin d’une bouteille marquée de trois traits témoignait de Jangoto le Baffeur, Scab l’avait déjà vu dans un journal.


« Laissez tomber les canons et préparez les sabres, nous allons nous faire aborder »


Ce qui ne manqua pas de se produire, le premier grappin venait déjà d’arracher une partie du bastingage, et dix hommes jouaient déjà les pirates volant accrochés à leurs bouts. D’un coup de poing en pleine trogne, Tournebroche renvoya l’un deux compter les monstres de mers et d’un coup de genou il fit cracher les boules d’un second. Il héla un mousse de sa voix rauque.


« Va prévenir le capitaine ! »


D’un signe de la tête, le gamin lâcha son fusil et prit son sabre en main en courant vers la cabine de capitaine. Roulant boulant, la main de Scab vint saisir l’arme à feu et il décocha un balle dans la jambe d’un assaillant qu’il vint finir d’un coup de crosse dans l’arcade. Soudain, une pression dans son dos lui fit mordre les lattes du bateau. Il se releva vivement et fit face à la barbe brune et aux traits tirés du Baffeur.


« En voilà une drôle de bestiole »

« Nous pensons donc bien pareil »


La lame de Jangoto fendit l’air et se vit stopper contre le bracelet d’argent au poignet de Scab. Le poing du petit homme frappa le bide du Baffeur qui répliqua aussi sec d’un coup de coude sur le haut de crâne. Des coups à l’ancienne, loin des absurdités habituelles des bouffeurs de fruits.


« Qui ose m’aborder ? Qui ? »

S’accoudant au mur de son navire, Bylly tenait une bouteille de rhum en main. Malgré l’odeur de sand et de sueur qui planait sur le pont principal, on distinguait sans mal la puanteur de sa bile qui tapissait encore ses vêtements.

« Bel exemple de vulgaires pilleurs qui se font passer pour pirates, un équipage qui ne réplique d’aucun coup de canon, un contremaître aussi laid qu’un poux et un capitaine qui cuve tout son saoul »

Claquant sa bouteille au sol, Bylly dégaina sa lame blanchâtre qu’il pointa vers Jangoto.


« Viens te faire violer par ma lame fils de chienne »


La fine épée fendit l’air et rencontra le sabre du baffeur, des gerbes d’étincelles naissaient à chaque nouvelle rencontre des deux tiges d’aciers. Scab était relégué au rang de spectateurs tout comme le reste des hommes qui ne se battaient plus que pour faire de l’activité. Il aurait été imbécile pour quiconque de crever maintenant alors que l’issu du combat des capitaines déciderait de leur vie à la place de leur lame. Malgré la quantité d’alcool que le capitaine du Fétiche s’était envoyé derrière la cravate, il ne semblait pas peiner à parer les coups de lames de son adversaire. Cependant, Tournebroche avait déjà saisit l’issu du combat dès le premier échange, le pas de son capitaine était incertain et une parade sur le flanc gauche le rendit incapable de riposter. Jangoto ne manqua pas de saisir l’occasion pour sortir agilement son mousquet et décocher une balle en plein bide de son adversaire. Bylly tomba à genoux et la lame fendit son cou, la tête sauta et Scab sentit presque la sienne faire de même.

Tout en essuyant sa lame sur les linges crades de la dépouille de son rival éphémère, le Baffeur interpella l’équipage.


« Bien messieurs, selon les lois de la piraterie, je réquisitionne les hommes qui opéraient à ce bord et envois par le fond cette coque de noix puante… »


Se tournant vers Scab, il enchaîna.

«… Quant à vous contremaître, la vie ou… »

« Le carénage foutre de bois ! »

« Oh ! Voyez-vous ça ! Que l’on prépare les bouts et que l’on fasse cracher les nœuds au Fusilleurs ! »

Le Fusilleurs était surement le plus rapide des navires de sa Majesté la Marine, à l’époque cela avait fait grand bruit quand le Baffeur avait réussi à mette en déroute le Colonel qui opérait à son bord et réquisitionner l’embarcation. Aujourd’hui, la quille de ce bateau allait surement devenir le tombeau du plus insignifiant des contremaîtres de l’histoire.

Les muscles de Scab étaient comprimés par les entrelacements de cordages qui lui sciaient les membres. Il ne pouvait presque plus bouger un doigt et seul son gros regard noir pouvait encore impressionner. Les flots agressifs de Grand Line heurtaient avec puissance la coque du bateau à mesure qu’il gagnait en vitesse, un mille marin avait déjà été avalé depuis que le Fétiche avait rejoins les abysses.

« Monsieur Tournebroche c’est cela ? Désirez-vous une dernière lampée ? »

« Je ne bois pas ou très peu »

« Habitude que votre capitaine aurait dû suivre »


D’un coup de pied, le Baffeur envoya la carcasse de la Cloque par-dessus bord et il disparut instantanément sous l’eau.

Compressé, c’est le premier mot qui lui vint à l’esprit alors que l’eau le plaquait contre le bois du navire et que les cordages l’empêchaient de se sortir de cette situation. Il n’était plus qu’un morceau de chair qu’on tenait d’écraser entre deux forces plus grandes que lui. Dans son esprit, il sentait sa peau glisser lentement de son corps comme si les flots désiraient le mettre à nu. Une belle catin qui le pompait jusqu’à voir le sang perler de chacun des pores de sa on anatomie. Sa guibolle encore entière percutait la quille avec force à chaque vague qui soulevait la coque à la surface. Ses orteils menaçaient de s’arracher tant la vitesse et les lames d’eaux se montraient haineuses, Scab sentit avec certitude l’un d’eux se désolidariser lentement puis lâcher. La douleur fut-elle qu’il se vie instantanément de tout son air. Son expérience lui avait fait supposer que les hommes carénés mourraient par suffocation. Maintenant qu’il était prêt à passer chez Davy Jones, il en était sur, s’ils mourraient, c’était de la faute à la douleur et rien d’autres.

Puis, ses yeux se fermèrent petit à petit. Tandis que la corde le ramenait vers le haut, il s’imaginait partir dans les cieux. Son supplice prit fin trois minutes après qu’il soit passé par-dessus bord et bientôt le pont du bâtiment accueillit de nouveau le molosse roux à son bord.

« Il semblerait que certaines plantes soit plus tenaces que d’autres… Mettez le à la cale avec les autres »

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Nyop Scab ! Parce que c'est ton jour de chance, parce que j'ai lu ta présentation hier pour te donner ton test et que ton test, il est déjà terminé et parce que je profite que je me souviens de ce que j'ai lu hier pendant que c'est encore frais, je te file ton avis avant tout le monde !

Ma conscience professionnel me dit que c'est mal ! Alors pour me rattraper, je compte bien me mettre à jour niveau présentation d'ici demain soir ! Oui oui oui.

Bref, du coup, attaquons le vif du sujet : c'est du très bon que tu nous sors là. Vraiment. J'ai pris beaucoup de plaisir à la lecture. Bon, y'a quand même eu deux trois endroits ou j'ai eu du mal à accrocher dans la bio, mais c'est surement plus dû à ma fatigue d'hier soir qu'à ton écriture vu que sur ton test, j'n'ai pas du tout eu ce problème.

Bref, j'te fais un point forme rapide, dans l'ensemble c'est propre, tip top, même, ou presque. Oui, presque parce que j'ai vu un "arrivait" dans ta bio à la place de "arrivé" et dans ton test j'ai retrouvée une même faute du style, et c'est moche. Et puis, aussi, y'a des lettres qui s'inverses, des fautes de frappes... Fin je pense que tout ça, tu aurais pu le corriger avec une relecture... Tu l'as peut être fait d'ailleurs, vu que je vois que tu as édité cette nuit. Sinon, ton phrasé est cool, tes descriptions chouettes, bref, j'ai pas grand chose à dire de plus.

Point fond maintenant : Tu nous sors un bon pirate digne des livres et autres et pas spécialement de One Piece. Attention, ce n'est pas une critique ! C'est juste que je me pose la question, par simple curiosité, si tu as lu One Piece justement ? J'répète, c'est de la curiosité. En tout cas, j'ai bien apprécier le fais que tu utilises les noms d'îles du forum, ça insère bien ton perso dans notre univers, et c'est cool.

J'aurai bien fait plus long, mais je trouve plus mes mots et je vais être en retard. J'passe rapidement sur le Test qui est très bien mené et que j'ai dévoré à la lecture.

En clair, on a un bon pirate bien... pirate, et pour la note, je suis sur du 1000 par principe que je mets pas de 1500 et que y'a quand même deux trois fautes. Mais je suis peut être trop généreuse et si mes collègues sont pas d'accord, ce sera de 800.

Voili, voilou, bonne attente des autres avis jeune chanceux qui passe avant tout le monde pour mon commentaire.


Scab Tournebroche, à l'ancienne 1425067977-izya-sflagopr Scab Tournebroche, à l'ancienne 1465207581-signizya Scab Tournebroche, à l'ancienne 1lmh
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Salut Scab, petite question préalable à tout avis de ma part...

Normal que ton IP copine avec celle de Jinx ?

Et si oui, et si c'est normal parce, eh, Jinx, c'est toi, pourquoi te cacher et n'en toucher mot nulle part, c'est ton côté rebelle et gauchiste qui t'a fait virer la partie IRL du formulaire ? Enfin ce serait cool d'en causer et de dire si tu lâches Jinx ou Santaboy, le cas échéant... Tu connais la maison si c'est le cas, on est assez rigoristes sur le nombre de comptes.


Scab Tournebroche, à l'ancienne 661875SignTahar
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Héhéhé Bien joué l'ami. Evidemment que j'truandais pas, Santaman a déjà vu ses posts supprimés et j'viens de tenter la fiche technique mais j'peux pas.

T'imagine bien qu'avec mon passé dans le staff j'ai aucun intérêt à la foutre à l'envers, mais au bout du 5eme perso, j'ai tenté le coup du peau neuve pour voir la différence de note. Yavais déjà des paris sur mon identité avant même le test rp, j'sais pas qui empoche le pactole de ce coup là héhé
  • https://www.onepiece-requiem.net/t1772-fiche-de-dettes
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Yep bonhomme, chose pas promise mais quand même, occasion, tout ça, l'avis qui suit.

Bon, d'abord, avant que j'oublie, pas forcément utile de supprimer les messages de Santapépé, c'est toujours cool de garder une trace des anciens posts même si y en a pas masse, ça fait joli, ça mange pas de pain, puis le jour où y en a besoin on sait où les chercher... C'est aussi pour ça que tu changes de compte à chaque fois, mh ?

Bref.

L'avis, je vais faire rapide, à part que y a des fautes j'ai pas grand-chose à dire. Assez de fautes pour que je sois pas à 1000, mais le contenu et le style rattrapent assez pour que je me pose sur du 800. 800 bon et pas 800 excellent, chez moi l'excellent c'est 1000 mais pour l'excellent faut la forme en plus du reste... Et 800 c'est la note sur laquelle j'étais avant que tu ne tombes le masque, vil anarchiste, que je t'entende pas crier à la non-objectivité...

T'y peux rien, t'as cette touche dans le texte qui fait que ben c'est quand même bon à lire, c'est con non ?

Allez, je développe un poil pour faire genre, suis gentil.

T'as ptet été un peu généreux sur les enfants/engeance de putains dans les descriptions ? Si tu veux du constructif et détaillé. Mais c'est plus le côté redondant que le côté hors-cadre, je pense. Sinon, une bio un peu longue et à la construction temporelle un peu chelou avec des zooms sur des éléments pas forcément transcendants même si la première fois c'est important à cause du goût amer de pisse... Me suis pas forcément senti imprégné dès les premières phrases de la bio, l'a fallu que je plonge de quelques paragraphes pour que vraiment ça vienne comme il faut...

Et le côté gestion des PNJ est toujours top, avec du parler bien comme il faut quand il faut, de l'absurde et de l'humain à la fois. La grande histoire des désespérés faite et refaite avec la manière et la fin du Bylly posée comme elle devait l'être. Là c'était bon, j'y étais, et je t'ai vu passer sous la quille et c'était cool. Euh, non, c'est pas ce que tu crois, j'ai rien contre toi spécialement... Héhé.

Pis, en vrac parce que ça a sa place nulle part, un moment au moins tu cases le mot "anglais"... c'est le genre de trucs hors OP qui fait un peu zarb dans un texte. Jsuis pas fan. Ca se fait. C'est subjectif.

Ptet du mal à bien voir l'attrait pour la richesse de ton gars, aussi, pour finir ? Tu mets Satoshi à côté, bon... Non seulement il a des costards plus chers et tous ses doigts de pied, le bougre, mais en plus niveau "je vends deux fois ma mère pour deux écus" il est plus dans le créneau, quoi. Alors bon.

Voilà.


Scab Tournebroche, à l'ancienne 661875SignTahar
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Merci pour la lecture l'ami, je prend tout pour de la bien bonne critique. Le coup de l'anglais, je suis resté sur le fait que one pièce est publié partout alors disons que c'est un hommage héhé le coup des enfants de putains n'est quasi plus dans mon rôle play que je gratte en ce moment meme et ça prouve bien qu'on se rejoins sur la non utilité de cette syntaxe! La richesse, c'est fait exprès, des le premier rp on comprend bien vite le pourquoi du comment, confiance donc. Les fautes, rien a dire, je ne me relis pas.

Au final, je suis bien d'accord sur l'aspect encore non maitrisé du personnage mais je peux vous asSUrer qu'il sera le gros méchant du fofo, oui toji tu as bien entendu ! Merci à voUs 2 en tous les cas. Validé à 1000 donc ? Héhé fourbe, on se refait pas, allez va pour 960
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Pwet Scab, v'là le dernier avis que tu réclames tant.

Point forme.

une armada de poils courent=> court
les choses qui lui ont été imposéS
son apparence ingrate lui a toujours permise=> permis
A quoi bon narrer des moment=>À
Après quelques lampéEs
une dizaine d’hommes aux plastrons de la Marine avaient envahis la pièce. => envahi
de temps à autres=>autre
La Cloque vivat ainsi durant près de trois années=> vécut !!
Les matelots s’étaient soulevaient=> soulevés
sous peine de se vor arracher la langue => voir
Les surnoms colleNT à la peau d’un homme
la jambE à hauteur
le respect et seul el rire gras du capitaine => le
aucuns sons ne sortirent de sa gueule => aucun son
les seulEs répliques
Un carénage qui n’euT pas raison
Scab avait prit son temps=> pris
quand à la l’issue de cette mutinerie. => quant à l'issue


Comme d'hab', t'as du mal à te relire, d'où les fautes de frappes. Deux/trois horreurs. Quelques petites fautes.

Pour le reste. C'est juste nickel.

Excellent style.
Excellement personnage et très bien maitrisé.

Seul petit bémol, les références au latin, à l'anglais. C'pas vraiment dans l'univers.

Sinon, le test rp suinte la vraie piraterie comme on les aime. Un régal.

Le même genre de qualité que j'ai vu pour Santaman. C'est dans la continuité. Comme pour les fautes. Soyons dans la continuité. J'avais mis 1000. Tu as le 1000 pour moi. Haut la main. Mais bon. ça sera que 800. Chienne de vie.

Bon Rp !
Pluche !
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  • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme