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A la recherche de mon précieux !

Quelques jours après la rencontre d'un certain chasseur de prime.

Cela fait un bon moment que Mizukawa Sutero avait prit le strict minimum et s'était paré pour l'aventure avec un plan ingénieux lui permettant d'atteindre son but ultime. Pour lui tuer le Dr Vegapunk est une chose primordiale donc c'est pour cela qu'il prend son temps avant d'agir. il faut bien savoir où le trouver ce scientifique et puis faut avoir les moyens de le tuer. On y va pas sans entraînements, ni monnaie. Sachez que notre cher pirate est un adepte du bras de fer avec par dessus des mises d'argents pour pimenter le jeu, malheureusement il perd souvent et je ne pense pas qu'il arrivera à amasser des masses de billets avec sa force actuel. Par chance, il y a quelque peu, il fît la rencontre d'un jeune chasseur de primes et lui sauva la vie, le jeune homme voulait payer sa dette et lui proposa une prime, à ce moment mizu comprit qu'il devait...Hein mais j'entend une voix, c'est bizarre ?! Attendez un moment je vous prie...

Hé toi là haut ! Du con !

Mais, quel langage très cher, veuillez me parlez sur un autre ton je vous prie.

Je fais ce que je veux, espèce de bourge éduqué ! Comment tu ose parlez de moi comme ça ! C'est vrai que j'ai perdu au bras de fer et alors ? Et oui que j'ai eut un plan de génie en proposant un bon pacte avec un chasseur de primes, mais ça n'empêche pas de dévoiler tout ça au monde entier !

Petit joueur...Je vais te montrer c'est qui le maître ici.

Reprenons le cours de l'histoire...Pendant ce temps, Mizukawa la fripouille dort tranquillement sur sa barque toute salace alors que le jour commence à se lever. Il rate un extraordinaire spectacle, le ciel est en feu ! Des centaines d'étoiles filantes et de somptueuses variations de couleurs. On se perd entre le rouge, le bleu et le vert. Tandis que la lune sourit pleinement au soleil qui se lève tranquillement, l'océan se calme...On entend les bruits de tambours ainsi que les chants des habitants d'un village. Oui il y'a une toute petite île à proximité, dommage que notre jeune pirate soit endormi, il aurait pu navigué vers elle et enfin mangé son premier repas depuis 3 jours. C'est ça ! De prendre la mer sans provision, rien que ses armes ! Passant des journées à lire le bouquin qu'il avait acheté dernièrement, il usa ses yeux et n'avait pratiquement plus de force parce qu'il tournait trop souvent les pages du livre. Quand il se réveillera, le soleil lui brûlera les rétines et sera plongé dans le noir pendant quelques bonnes minutes.

T'es vraiment un sale fis de **Bip** ! Si t'était réel je t'aurais vidé de ton sang ! Tout en te faisant sortir tes boyaux ! En**Bip** de ta **Biip** ! Je vais te **biiiip** de ta **bip** ! Mais t'arrête avec tes bips à la **Biiiiip** !

Je suis le maître narrateur ici, tu es dans mon monde alors tu te calme et tu suis l'histoire.

Comme si j'allais obéir à un petit **Bip** qui sait même pas faire des liens entre les phrases et qui s'embrouille avec son personnage principal ! Et je rajoute que même un rat, il sait blablablabla ! Non mais ! Tu me laisse finir.

Franchement toute mes excuse pour ce court arrêt, moi aussi je tremble d'impatience de savoir la suite...C'est étrange, c'est comme si ce n'était pas moi qui vous parlait, mais une personne invisible qui dicte donc ce petit conflit n'est qu'imaginaire ? [L'entité Invisible à utiliser la touche supp pour effacé ce qui allait suivre].

''Vous êtes perdu dans le rp ? Veuillez me suivre, je me présente je suis Hiro Nakamura, le maître du temps et de l'espace, co- narrateur.''

Le jeune dragon des mers, homme très vilain ! Oui méchant, très vilain ! Va se réveiller dans peu de temps. Et aura z'yeux brûlé par soleil ! Courant des mers emmené lui à plage ! Et après Mizukawa crier de douleur. Mais aura aussi mal aux bras où il a un tatouage qui est très jolie donc ensuite lui marcher dans le noir or pour pas très longtemps ni beaucoup de temps afin de vous raconter comment car moi, pas bien expliqué !

''Un homme très musclé envoyé par l'entité invisible braque une arme sur Hiro Nakamura, par mal chance, il réussit à s'enfuir grâce à son pouvoir. L'entité ne peut supprimer sa partie du message, car à chaque fois qu'il essaye de le faire, il revient automatiquement. Cela prouve bien qu'il a un pouvoir puissant ce hiro, dommage qu'il ne soit pas un bon narrateur, il aurait fait des merveilles.''

Le protagoniste se réveille soudainement sur une plage de West Blue, lorsqu'il ouvrit ses paupières, il eut la lumière du soleil en pleine face, ce qui amena le beau blond à une légère perte de la vision. Il marcha alors dans le noir total à l'inverse du son des vagues, il sentit le sable qui n'était pas encore chaud sous ses pieds. Il entendit des cris de mouettes et peu à peu, tous ses bruits et sons s'estompaient pour faire place à de nouveaux. Il sentit alors l'herbe sous ses pieds, c'était humide et doux, cela le chatouillait quelques peu. Il entendit au loin un petit bruit qu'il n'arriva pas à distinguer, soudain une nouvelle sensation ! Son odorat lui confia l'odeur merveilleuse du bon pain, lui qui n'avait pas mangé depuis trois jours ! Sa réaction fût telle !

Il s'empressa de courir comme un malade ! Il ne réagissait même pas sur le fait qu'il avait retrouvé la vue. C'était instinctif, il fallait qu'il mange à tout prix. Il se retrouva donc dans un village assez rudimentaires. Les routes étaient faites de pierre et les maison de terre avec des toits en pailles. Sauf pour la boulangerie qui était construite entièrement en pierre avec une énorme cheminée. On pouvait apercevoir une épaisse fumée qui s'élevait dans les cieux. Sur le moment, on dirait qu'elle grimpait la montagne...C'est beau l'effet d'optique.


Le pirate se trouvait face à la porte en bois, son état était encore bien pire que s'il avait vu une goutte de sang ! Hystérique était le mot. Il leva sa jambe et enfonça la porte comme si c'était le vent qu'il avait ouverte soudainement, il entra avec un bonjour et un sourire perturbant, puis il regarda la boulangère et lui demanda du bon pain au chocolat tout en salivant et en mettant partout sur son menton. Elle lui répondit qu'ils étaient fermés, c'est alors que par un excès de rage intense, il s'empressa de prendre une lame de sa ceinture pour l'envoyer vers elle ! Un conseil, ne jamais répondre négativement à un sourire perturbant. Si vous savez pas à quoi ça ressemble, attendez que je regarde sur mon album à sourire... Là ?!Vous ne voyez pas ? Alors on laisse tomber. La femme avait reçu le couteau sur la tête. Plus précisément la poignée, elle tomba par terre par la suite. On ne sait pas si c'est à cause de la force de mizu, ce que je doute très fort ou bien une paralysie de la jeune femme en peur. Bref, ce qu'on sait, c'est que le dragon des mers, il s'était fait plaisir à manger ! Jusqu'à que quelqu'un ne lui gâche ce plaisir...Mais qui est donc cette mystérieuse personne et qu'à t'elle dit pour qu'elle puisse stopper Mizu dans son élan ?

    I need dolar, dolar, dolar is what I need ! Hé hé ! ♫


    Cela faisait trois jours que Kana et Hotaru naviguaient sur les flots de West Blue. Ils avaient volé une petite barque de la marine où il y avait tout de même une cabinette. Non, je n'emploierais pas le mot cabine, ça semblerait trop grand pour ce que c'était réellement. Ils avaient été obligé de quitter précipitamment la précédente île où ils avaient logé faute d'argent, ils avaient des dettes à peu près partout dans la ville principale et cela commençait à s'étendre aux villages avoisinants. Ainsi, de nuit, comme l'aurait fait un voleur, ils avaient embarqué dans le petit rafiot de la marine et avait assommé son possesseur avant de le jeter sur le quai. Oui, cela avait été assez cocasse.

    Le problème quand on prend le premier bateau qui vient, c'est qu'on en sait pas ce qu'il y a dedans et donc, quand on ne peut pratiquement rien emmener avec soi, ça peut rapidement devenir une réelle calamité. Dans la barque en question, les deux jeunes chapardeurs n'avaient que de quoi manger pour quatre jours, il faudrait donc faire escale au plus vite pour refaire le plein mais d'ici, encore fallait-il trouver de l'argent pour acheter les vivre en question, car oui, ils étaient fauchés, complètement à sec. Ah, non, il restait tout de même un berry qui traînait au fond de la poche de la médecin... Le début de la richesse si on pouvait le dire ainsi ! Ouais enfin ou pas... Mais bon, pour un pirate ce n'était pas si compliqué que ça de gagner de l'argent...

    A moins que... Si ? Pour Kana en tout cas oui, car elle restait en fin de compte relativement honnête. La piraterie a bien changé pourraient dire les anciens mais en fait c'était plus l'étique de la jeune femme qui la retenait. Voler des gens honnêtes, ce n'était pas dans ses gènes. La médecin n'avait pas été éduquée comme ça bien que elle n'ait pas réellement reçut d'éducation et c'était de manière général contre ses principes. Les exceptions ? Généralement elles concernaient les marines et les gens avides de pouvoirs. Ne pas faire fit de toute une population et agir contre sa culture en manipulant ses sentiments sans qu'elle puisse faire quoi que ce soit pour se défendre, oui c'était ceux qui étaient capables de ces choses là qui étaient les pires criminels de ce monde. Bien sûr, le Gouvernement mondial tenait la place de numéro un dans ce classement. Ce n'était même pas la peine de le préciser si ? L'albinos voyait les choses comme ça, il n'y avait aucun moyen de la faire changer d'avis.

    Les côtes de la Nouvelle Ohara se profilaient à l'horizon, île reconnaissable de part le grand arbre qui y poussait et abritait, selon les rumeurs, une bibliothèque des plus fantastiques ! Suu était pressée de découvrir ces montagnes de livres et de savoir qui s'empilaient ici depuis des décennies, de se plonger dans les bouquins, de parcourir les étagères, de s'emplir de la mémoire des anciens... Oui, c'était vraiment tout ce qu'aimait la pirate mais avant, elle devait régler le problème des berrys... Car c'était ce petit problème matériel était tout de même plus important que de satisfaire son besoin de lectures. Kana avait beau avoir souvent la tête dans les étoiles, elle n'en restait pas moins terre à terre.

    Une fois débarqués du petit rafiot en mauvais état qui les avait mené sur de nouveaux rivages, l'albinos et son frère décidèrent de visiter la ville. Oui, ça serait plus facile de se repérer et ils pourraient aussi chercher un moyen de gagner pas mal d'argent assez rapidement. Un bon plan, simple mais efficace. L'île était belle et on avait du mal à croire qu'elle avait subit les assauts du légendaire Buster Call. L'arbre géant était situé au centre de la ville mais aussi du bout de terre car cette dernière englobait la quasi totalité de l'espace, ne laissant pratiquement aucuns lieux non-utilisés. Son épais feuillage s'étendait vers les cieux telle une abondante toison verte, porteuse d'espoir et de renouveau.

    Un bruit fit sursauter la jeune femme aux banaux cheveux blancs dans ses profondes réflexions philosophiques (hum...). Il provenait d'une boulangerie, tout ce qu'il y avait de plus basique en fin de compte mais c'était plutôt la scène qui s'y déroulait qui semblait tendue. Suu aperçut un homme jeter ce qui semblait bien être un couteau vers la pauvre boulangère qui tomba comme une mouche.

    Euuh... Sa va pas bien de tuer les gens comme ça ? Franchement, elle vous avez fait quoi cette dame ?

    Ouais bon y'avait largement mieux comme entrée en matière mais en même temps, on faisait avec ce qu'on pouvait et personne ne pourrait affirmer que Kana avait été très inspirée sur le coup. Hotaru entra à son tour dans la petite boutique qui était maintenant quasiment pleine. L'inconvénient des espaces étroits...
      Zelles était enfin sur le chemin du retour et n'était plus très loin de East Blue et plus particulièrement de Logue Town, décidément il était passé par toutes les mers, North Blue pour la grande fête au Royaume de Luvneel, South Blue parce qu'il était perdu, sur laquelle il aida un marin, et pour finir il arrivait sur West Blue, encore une fois, car il était perdu. Qu'allait-il se passer cette fois ? En tout cas il avait de nouveau besoin de vivres, car il n'avait plus d'eau, plus de viande, et seulement quelques berry's, d'ailleurs le soleil tapait, se réfléchissait dans un berry qu'il tenait dans la main et sa gorge était de plus en plus sèche. Dorénavant il devait trouver une île, n'importe laquelle, du moment qu'il y trouverai de quoi boire et manger.

      Au bout de plusieurs heures que le soleil continuait de rayonner, la terre fut à l'horizon, elle était belle, luxuriante avec un immense arbre sortant du centre de l'île, Zelles réfléchissa et après quelques feuilletages de bouquins, il trouva quelle île possédait un tel arbre, qui lui rappelait tant de choses. C'était Ohara, la fameuse île où Robin avait vécu, c'était elle qui avait subit le très redouté et très puissant buster call, pourtant l'arbre paraissait intact depuis des millénaires, tout comme le reste de l'île d'ailleurs. Zelles se leva, main sur la voile, enfin ce qui servait de voile.

      Terre en vue, barre à bâbord moussaillons !! Hein ?!? Quoi ?!? Je suis tout seul ?!? Décidement il faut vite que je me rafraîchisse, parce que le soleil tape trop fort sur ma tête.

      Zelles mit donc « lui- même » la barre à bâbord, afin de se rapprocher de l'île, plus que quelques centaines de mètres et il pourrait toucher la terre ferme, déjà il pouvait sentir l'odeur délicieuse du bon bois et surtout l'odeur de la bouffe !! Fini la gorge sèche et le ventre qui gargouille, enfin un moment, et surtout un endroit, pour manger. Zelles alla au plus vite dans un endroit où ce réaprovisioner, il était près d'une fontaine en train de se désaltérer, lorsqu'il failli s'etouffer quand un bruit le fit sursauter.


      Zelles se retourna et alla à l'endroit d'où le bruit venait, c'était une petite boulangerie tout ce qu'on fait de plus banal, hormis le fait qu'a l'intérieur, la tenante du magasin était assommée à cause du manche d'un couteau qu'avait lancé un homme étrange, assez grand et plein de tatouages, il était en pleine discussion avec une jolie jeune fille qui n'avait pas l'air bien méchante, quoi que bien énervé que ce pirate est fait cela, elle était d'ailleurs accompagnée d'un autre homme, surement un ami, son frère ou quelqu'un qui lui était proche en tout cas. Zelles entra donc histoire de mettre son petit bazar, mais aussi, et surtout de prendre du pain, car on était quand même dans une boulangerie et qui plus est sans personne pour lui crier dessus de son vol sans importance.

      C'est où la bouffe siouplait ?!? Suivi d'un gros gargouillis lui arrachant presque le ventre !

        Les mots étaient clairs et précis pour le jeune pirate la jeune femme qui venait d'entrer l'avait accusé de meurtre et qui plus est, elle avait un ton particulier difficile à interpréter. Un rire de la part de notre protagoniste envahit la petite pièce. Cette dernière était assez particulière, les murs était d'un bleu azur et des tableaux de nuages étaient disposé n'importe comment, cela intriguait mizu qui n'arrêtait pas de philosopher là dessus puis répliqua vivement...

        *Ah un bleu doux...Mais que signifiait donc ces beaux nuages tout blanc ? Peut être que ça veut rien dire, mais j'ai la conviction qu'il y'a quelques chose derrière tout cela. Ah oui ! Il n'y pas de soleil ! La porte ! Elle qui est ouverte fait rentrer les rayons de soleil ! C'est ça ! C'est tellement beau !...Hein ! Mais qui vois je ? Deux silhouettes, un homme et une femme...Quoi ! Je rêve ou elle vient de m'accuser d'un crime !*

        Hahahahaha !

        Oh mais voilà des manières, même pas un bonjour en cette joyeuse journée. Dit il d'un ton sarcastique mais classe, calmement il dit autres choses...

        Cette jeune dame roupille juste un petit peu, sans doute la fatigue. Certes je suis un assassin, mais je tue que par contrat et y'a aucun plaisir à tuer si on ne peut pas faire souffrir son adversaire. Dit il ironiquement, on ne sait pas si on doit le prendre au sérieux ou bien prendre cela pour de l'humour, son sourire sadique était troublant.

        Puis Mizukawa Sutero regarda autour de lui et vit les quelques paniers à pain qu'il avait vidé ! C'est qu'il avait faim le petit ! Il ne restait qu'un petit plateau de croissants déposé sur le sol, ce dernier était recouvert par un doux tapis. D'ailleurs notre mangeur du matin semblait bien heureux de frotter inlassablement ses pieds contre ce tapis. Ensuite il se baissa lentement et prit avec de sa main gauche le plateau le mettant bien en évidence. Laissant paraître un doux sourire sur son visage, il vit un jeune garçon à l'air perdu et au ventre qui gargouillait demandant où était bien la bouffe...La bouffe ! Mais qu'est ce donc ? [Le narrateur est absent pour le moment, il recherche toujours le mot bouffe dans le dictionnaire, son remplaçant Mr Rap assurera la fin de l'histoire...ou pas.]

        Wesh le mec, il veut sa bouffe ! Alors il aura mon frère ! Mizukawa le sale blond aux yeux clairs lui offrit tout le plateau et demanda à la jeune madame et son petit copain si ils en voulaient ! Y a une chose qu'il remarqua je te jure ! Les deux guguss avaient les cheveux blanc ! Nan sur la vie de ma mère ! C'est pas une connerie ! Puis regarde, regarde ! Celui qui venait d'arriver Baaaah ! Il avait un sabre...Tout de suite, il mit ct'info dans sa tête, il en était sûr et certain, c'était un pirate ! Alors que la miss, c'était un peu hard à suivre. C'était peut être une civil...

        Arf, mon collègue, il vous a pas dit où était mizu, baaah il était derrière un comptoir à coté d'une caisse, Jt'i jure ! Sur la vie de ta mère, de ma mère, de mon frère, ma soeur et tout mes cousins ! Ensuite ce qu'il a fait mizu, baaah il a ouvert la caisse et prit les quelques dollars ! Quoi c'est pas des dollars ! Ah ok ok, Berry's alors...Pss la honte berry's. Chez nous ça veut dire guérir ! L'argent c'est la vie, ça aide à se sentir mieux un petit peu mais cette éphémère mon frère ! Wech t'as vu le pt'in de nom que je me suis trouvé, je le kiff trop ! J'espère que ça sera éphémère. Ah oui, tu veux connaître la suite hein ! ? Le pirate s'appuya avec ses mains sur le comptoir et sauta par dessus allant droit vers la porte...Avec une pt'in de phrase de fin !

        Je vais chercher un médecin, laissez moi passez s'il vous plait.

        Maintenant qu'il avait plus la dalle, c'était comme s'il s'était transformé ! Un vrai gentleman ! Jte jure quel frimeur ce type ! Mais faut avouer il roxxe ! [La société contre les fautes d'orthographes, La SFO est intervenu avec des manières radicaux. Ils sont apparu entre l'espace temps et ont tué le narrateur soit disant rappeur...Pour absence de narrateur, nous nous excusons en espérant que quelqu'un viendra rapidement, merci.]
          Ah ouais... Bah là, que dire ? Ce type était vraiment fou. Et encore, c'était un doux euphémisme quand on était en face de la réalité. Tout d'abord il avait assommé cette femme, ensuite il l'avait volé, ce qui n'était pas contre les principes de Kana étant donné le grand symbole de la marine qui trônait sur le comptoir. Bah oui, du coup le fait que le gars l'ait envoyé bouler à terre n'était pas non plus si dramatique. Mais il restait toujours et définitivement fou aux yeux de Suu. En même temps, balancer ainsi quelqu'un à terre et puis ensuite décider d'aller chercher un médecin... Où était la logique ? Oui, vraiment, ce type était lunatique.

          En plus de ça, il y avait aussi l'autre là qui avait débarqué. Oui, la petite pièce était vraiment très encombrée maintenant ! C'était à peine si on pouvait faire un pas ou se gratter le nez... Et oui ! Le nez de l'albinos la démangeait atrocement depuis un moment maintenant, comme si elle eut respiré du poivre et du coup elle n'arrêtait pas de faire d'étranges grimaces, ne pouvant pas lever le bras pour chatouiller ses narines. De toute façon ça n'aurait pas été très classe alors...

          Hep' ! Attends un peu toi ! Je suis médecin, pas besoin d'aller chercher plus loin !


          La jeune femme réussit l'exploit de passer devant le blond et de sauter par dessus le comptoir. Elle faillit causer une catastrophe en manquant de peu d'écraser le pif de la boulangère... Vraiment, c'était une histoire de nez ! D'ailleurs, la pirate profita de ce moment où elle était dos aux autres pour titiller élégamment son cap olfactif, c'était ni vue ni connu ! En même temps cela lui permettait de ne pas avoir à affronter le regard des gens, ce qu'elle détestait particulièrement étant donné sa particularité physique et toutes les brimades qu'elle avait subit étant gamine. Bon c'est vrai que ça n'avait rien à voir avec se gratter le nez et que c'était à une toute autre échelle mais tout de même !

          Tout en pensant à tout cela, Kana se retourna vers Hotaru en lui demandant sa sacoche qu'elle avait oublié malencontreusement par terre. En même temps, la jeune médecin s'était penché vers le corps de sa prochaine victime en évaluant les dommages. Oui, ça restait une pro-marine donc il ne fallait pas s'attendre à ce qu'elle soit particulièrement bien traitée, ainsi, la pirate sortit une allumette et entreprit de faire roussir les pieds de sa patiente qui s'éveilla en criant, mordue par la chaleur des flammes. D'un certain côté, il valait mieux ça que de froid non ? Les engelures c'était bien chiant à traiter tandis qu'une petite brulure... Après avoir éteint le petit bout de bois, Suu se décida enfin à désinfecter la plaie et à panser alors que son joujou sanglotait, les nerfs encore à vif à cause de la cuisson.

          La médecin se releva et repassa du coté «boutique de la pièce» en regardant les trois gars qui l'avaient observé faire. Oui, bon c'est vrai que c'était une façon un peu plus sadique que d'ordinaire de réveiller quelqu'un mais bon, de temps en temps... Et surtout avec les bons arguments ! Le truc qui était bizarre c'était que maintenant que l'autre s'était ramené avec ses cheveux blancs aussi, l'albinos se sentait un peu moins seule et pour le coup, ça valait bien un p'tit cadeau. Kana allongea la main derrière la vitrine en regardant la boulangère et en lançant un léger :

          C'est pour mes honoraires !


          Qui fut immédiatement suivie d'un petit hochement de la tête bien craintif. C'est ainsi que la jeune femme se servit largement de tout ce qui passait sous sa main en partant du pain le plus basique jusqu'aux pâtisseries les plus travaillées. Elle en balança quelques unes dans les bras de l'autre gars aux cheveux blancs et un peu aussi vers le blond avant de sortir avec Hotaru qu'elle considérait déjà comme son propre frère.
            Et bien quel toupet on ignore cte bon Zelles, c'est vraiment n'importe quoi, en plus l'autre qui se trouvait devant l'épéiste, la jeune fille et celui qui l'accompagnait, après avoir assommé la boulangère il demande un médecin ? Le mieux ça aurait était de pas l'assommé, bien qu'il aurait pu faire pareil, mais au moins il serait parti comme un vrai pirate, pas en demandant un médecin. En plus comme par hasard la jeune fille se trouvait être un médecin, non mais on marche vraiment sur la tête. Zelles regardait la scène sans trop comprendre d'ailleurs, il se demandait ce qu'ils étaient en train de faire, la médecin sauta par-dessus le comptoir et on entendit un gros boum, surement s'était-elle ramassé, bref passons elle se releva et regarda l'autre albinos comme elle lui demanda une sacoche, surement dans laquelle se trouvait de quoi soigner. Elle se rabaissa et soigna la vieille dame, enfin si l'on peut dire soigner, après tout elle était juste assommé rien de bien grave, surtout que ça devait être plus de la peur que de la douleur, le manche d'un couteau ça doit pas être très douloureux.

            Tout à coup on entendit un cri puissant de douleur, plus encore que le précédent, notre ami se demanda alors ce qu'elle avait bien pu faire pour que la vieille boulangère hurle à ce point juste en se faisait réanimer, la médecin se releva éteignis une allumette et retourna vers le bas. Zelles compris vite ce qu'elle avait dû faire, en même temps bien qu'elle est crié, ça a marché, se dit-il. La boulangère continuait de pleurer comme si son commerce avait fait faillite et qu'elle allait mourir, ce qui n'était pas encore le cas bien qu'au moins une des deux allait se réaliser. La jeune fille avait donc fini et rejoignis les trois hommes qui attendaient, tout en regardant la scène. La situation était plutôt comique, car pour la première fois de sa vie Zelles se trouvait en compagnie de personne ayant les cheveux blancs comme lui et pour une fois, si quelqu'un devait se sentir mal à l'aise c'était le blond.

            C'est pour mes honoraires !

            La jeune fille tendit un papier à la dame, qui voyant le prix avait faillit se retrouver encore une fois dans les pommes, mais qui hocha la tête de peur qu'il se passe un drame. La jeune fille se servi donc elle-même, car la dame n'était pas en mesure de le faire, alors elle commença à prendre l'argent de la caisse et comme-ci ce n'était pas suffisant elle se mit à prendre toutes les viénoiseries, les gâteaux qui pouvaient s'emporter et toutes les sortes de pain. Bref elle avait vraiment mis fin au commerce de la dame, bien que si elle ne l'avait pas fait Zelles ou l'homme blond l'aurait surement fait après. Elle se retourna donc les bras ensevelis sous la nourriture et en lança vers Zelles, l'autre pirate puis pour finir sur la personne qu'elle connaissait déjà.

            Zelles n'attenda pas une seconde et attaqua les provisions, car il avait vraiment très faim, une fois une bonne partie englouti il les rangea et remercia la jeune fille, d'ailleurs au moment ou il allait partir, un attroupement se vit à l'extérieur, il se retourna et dit en chuchotant.

            Je crois qu'on est dans la merde, il doit y avoir cinquante révolutionnaires qui nous attendent dehors et ils sont armés jusqu'aux dents, donc on fait quoi ? On peut toujours rentrer dans le tas, mais on n'a aucun moyen de savoir si on a nos chances.

            Zelles attendit donc la réponse de ses compagnons de galère, car ils étaient vraiment dans une merde noire si on peut dire ça comme ça. De plus Zelles ne pouvait pas partir maintenant de l'île, car c'est pas avec des p'tit pains qu'il va aller loin, il avait besoin d'argent, d'ailleurs Ohara bien qu'elle avait souffert était connu pour ses objets de grandes valeurs et ses connaissances inestimables et en tant que personnes aimant l'histoire Zelles ne pouvait pas partir comme il était venu de cette magnifique île.


              Après que la demoiselle albinos fît ce qu'elle avait à faire, elle lança aux deux autres de quoi manger. Mais notre jeune Mizu avait déjà l'estomac complètement rempli. Lui le blond qui avait échoué sur cette île à cause d'éléments perturbateur ou d'une entité non existentiel qui pouvait dicter ses pas. Il en était resté muet car il croyait aux signes de la vie. Après tout, ce n'est pas par hasard qu'il s'était retrouvé ici, non ! Il en avait la preuve formel que le hasard n'était que le fruit de l'imagination des hommes pour ne point croire au destin. Il en était persuadé ! Il était sur un chemin avec plusieurs voies, chaque décision lui coutant une conséquence particulière. Se remémorant les entraînements spirituels de son maître, il alluma une de ces cigarettes mentholés et pensa a ce vaste monde.

              Toujours aussi pensif, il marcha vers la porte et vit une petite fille avec des habits laissant croire à sa pauvreté. Il tendit alors ses bras et lui offrit tout ce qu'il avait. A quoi bon jeter cette nourriture lorsqu'on a plus faim ? Autant en faire profiter autrui. C'est alors qu'une forme de compassion s'était installé en lui. Malgré un cœur complètement vidé d'émotions et un corps sans âme, un animal proprement dit ! Il lui restait sa tête. Sa morale et ses principes !
              Il n'entendit point un merci, c'est alors que brusquement le jeune pirate s'assit au près de la fille, une larme au yeux. Pourquoi le monde en était ainsi ! Alors qu'on peut vivre unis sans querelle...Pourquoi les gens se chamaillaient ? Pourquoi jouer au chat et a la souris ? Le monde est une jungle ! Les carnivores dévorant les herbivores et ces derniers tailladant la matière première qu'est l'herbe, la nature proprement dit. Pourquoi cette dernière ne se défendait elle pas d'ailleurs ? Pleins de questions se mit dans sa tête et réfléchit à la moindre, contemplant le grand arbre devant lui et la fille en train de savourer chaque bouchée.

              La brise venant se frotter à la joue droite de Mizukawa, il entendit les brèves paroles de l'épéiste. Des révolutionnaires, c'était le seul mot qu'analysa le jeune blond. Ceux là qui se battait pour accéder au pouvoir, croyant à leurs idéaux, croyant qu'avec eux au pouvoir, le monde serait plus juste ! Mais ils ne comprennent donc pas que le monde est régi par quelque chose de plus puissant qui relie chacun d'entre nous. Oui, le destin. Nous sommes tous le centre du monde de notre propre monde. Marchant vers notre précieux !


              Je crois qu'on est dans la merde, il doit y avoir cinquante révolutionnaires qui nous attendent dehors et ils sont armés jusqu'aux dents, donc on fait quoi ? On peut toujours rentrer dans le tas, mais on n'a aucun moyen de savoir si on a nos chances.

              Si tu veux te tuer, tel est ton destin. Le miens est d'aider cette jeune fille... C'est là qu'un large sourire venait se tracer sur son visage...

              La jeune fille au visage salit par la terre, rayonnait d'un sourire. Enfin elle se souvenu de son impolitesse et remercia le jeune pirate. Puis elle lui dit qu'elle s'était perdu et n'arrive plus a retrouver sa maison. Mizukawa regardant a travers elle, la souffrance qu'il avait subi, seul pendant trop longtemps. Il eut la chance d'avoir un maître à ses cotés pour lui apprendre a se débrouiller seul et si tout ceci n'était pas arrivé et si il était à la place de Hina. Oui, elle s'appelait comme ça, les brefs présentations terminé, il se retourna vers les trois autres et dit...

              Moi, je vais vers le grand arbre... Un grand sourire au lèvres, il dit autres chose à ses nouveaux camarades dans cette boutique avant de rencontré les révolutionnaires qui n'attendaient qu'une chose. Que les comptes soit réglé ! Une nouvelle personnalité pour nous, un choc pour d'autres ! Qui aurait cru que ce sadique aimant le sang pouvait avoir un restant d'âme en lui. Ou bien cachait il quelque chose derrière ce coté mère Thérèsa ? Pauvre fille qui eut le malheur de rentrer à la boulangerie...

              Il y'a une seule manière d'échapper à des révolutionnaires...C'est de leur faire mal au cœur...

              D'un brusque geste, il s'approcha de la petite fille, puis l'a prit dans ses bras fermement, enfin dehors il regarda les révolutionnaires braquant leurs armes...Le jeune mizu sortit alors un de ses couteaux et murmura à la jeune fille...

              Je vais abrégé tes souffrances, tu verras de l'autre conté, il y'a un monde meilleur. Maintenant tout dépend de ces gentils messieurs devant.

              Lâchez vos armes et la petite fille s'en sortira vivante !


                Que faire ? Dans ce genre de situation, ce n'était jamais évident de choisir mais d'un autre côté cela paraissait plus qu'étrange que des révolutionnaires s'en prennent aux trois protagonistes pour quelques pâtisseries volées... Ah non ! Ce n'était même pas un larcin puisque cela constituait les honoraires de Kana... Et puis de toute façon chaque médecin avait sa propre façon de faire non ? Bon c'est vrai que sur le coup la jeune femme n'avait pas été très délicate mais que venaient faire ces hommes alors que Suu avait juste martyrisé une pro-marine dont la boutique semblait décrépir. Là encore ce n'était pas logique, à moins qu'ils n'aiment tout simplement pas voir des pirates débarquer sur leur île.

                Bizarrement, le rêve que l'albinos avait fait la nuit précédente lui revint en mémoire. Il y avait un poney blanc à la crinière rose bonbon et aux sabots dorés auquel était attaché une grosse carotte orange fluorescente. Au niveau de l'endroit où auraient dues être les feuilles du légume, il y avait un mini arc-en-ciel. C'était après cette étrange animal que Kana avait courut, dans des prairies pour le moins étranges. Une était suspendue dans les airs, l'autre sous l'eau... C'était parti un peu dans tous les sens. Après un moment de course, la médecin s'était mise à voler dans les divers milieux qu'elle rencontrait en pratiquant... La brasse... Super quoi ! Et puis ensuite, le tout s'était assombrit et l'équidé avait disparu, mangé par des cannibales. La carotte aussi avait été digérée, ce qui avait beaucoup fait pleurer Suu...

                C'était vraiment un rêve étrange et le plus étonnant là dedans, c'était que ce n'était que maintenant que la pirate s'en souvenait... Pourtant, dans le contexte, c'était plutôt déplacé, rien n'avait de rapport. Enfin, du coup, comme elle était perdue dans ses pensées, la médecin n'avait rien pût suivre de la conversation. C'était comme si elle venait de débarquer... Ou comme si elle avait été blonde, ce qui au final revenait au même résultat. Hum... Elle n'avait qu'à suivre Hotaru ! Ah non, lui aussi avait les cheveux couleur blé. Quoi ? Cette règle ne s'applique qu'aux femmes ?! Comment ça ? Mais j'étais pas au courant ! Bah ! Le problème ne se posait pas alors, Kana n'aurait qu'à faire comme son jeune frère.

                Après avoir jeté un coup d'œil à notre jeune albinos, Ayami se décida à parler en leur nom à tous les deux. Il avait vraiment le chic pour deviner les choses, même quand les situations paraissaient compliquées. Le grand type qui était là avait qu'ils arrivent semblait avoir eu une idée de génie sur le coup, qui était d'ailleurs bien des combats. Une prise d'otage simple et efficace réglerait le problème mais malheureusement, cela ne serait que temporaire. Il faudrait trouver ensuite un autre moyen pour que les révolutionnaires ne se lancent pas à leur trousse à moins que le groupe décide de garder la gamine avec eux – il employait le mot gamine mais on pouvait pas dire que lui était mieux...

                Nous on préfère pas combattre pour le moment, on vient juste d'arriver sur l'île et on a plutôt envie de repartir avec des berrys dans les poches qu'avec des trous dans le crâne... Enfin, il faudrait d'abord trouver une solution plus durable ! La prise d'otage, ça ne dure qu'un temps, une fois que tu relâche ne serais-ce qu'une seule seconde ta vigilance, tu es cuit ! Par contre, tabasser tout le monde réduit considérablement le temps qu'on pourra passer que ce bout de terre, ce qui n'est pas avantageux... Pourquoi ne pas demander ce que ces révolutionnaires nous veulent plutôt ?
                  -Capitaine ! Capitaine ! Un appel du boss ! Tenez voici le Denden Muchi !
                  -Mushimush ? Ah boss ! Oui. Nous les tenons en effet. Comme prévue oui. Quoi ? Lui ? Quand ? Pour ... Ok j'arrête avec mes questions. On arrête tout donc ? Ah ... Je vois. A vos ordres. Kucha.

                  Le capitaine des révolutionnaires d'Ohara, Mr Grimashi, se retourna pour annoncer à ses hommes l'arrêt de l'attaque. Il saisit un porte voix.

                  -1, 2, ok ça marche bien ce truc. Je m'adresse aux brigands, aux gueux de pirates sans hein ? Ouai ... Bref, à vous là qui ne sortez pas. Nous ne vous attaquerons pas. Nous ne vous attaquerons pas. Nous partons de ce pas même. Vous n'entendrez plus parler de nous d'ailleurs. Adieu !

                  Un homme le rejoint en lui demandant ce qui lui passait par la tête. Il dit à son collègue la vérité en aillant oublié de débrancher le porte voix si bien que tout le monde put entendre avec quelques grésillements :

                  -Un Shichibukai arrive.

                  Il se rendit compte que sa voix avait été entendu de tous et éteignit précipitamment l'outil.

                  -Allé les gars on remballe, ce fichu chien risque de passer par ici. On n'a pas de munitions et encore moins d'hommes en trop pour lutter face à ça. laissez ces moins que rien tranquilles et préparez un bastion défensif. Ce blaireau à la botte du Gouvernement se dirige vers West Blue sans autorisation, il n'a pas reçut d'ordres et n'en ferait qu'à sa tête d'après nos renseignements. La rumeur dit qu'il veut plonger West Blue dans le chaos, mais vous connaissez les parleurs, ils sous estiment toujours les pirates donc il doit être en route pour détruire les 4 Blues. C'est celui qui se fait appeler Wrath, une petite prime de 150.000.000 était sur sa jolie petite pomme quand il était encore un enfant de coeur. Toilà; transmet au Q.G de South Blue qu'il nous faudra des renforts s'il se pointe ici, Ohara va subir un mini Buster Call ... Il ne nous reste plus qu'à espérer qu'il oubliera cette île.

                  Les gens attroupés autour commencèrent à paniquer. "Il faut fuir !" disaient certains "Mais où ça ?" Répondaient d'autres plus lucides. En effet, la poignée de Révolutionnaires présents ici ne pouvait rien face à l'un de ces 7 Corsaires si puissants. Une guerre sans précédent allait être déclenchée sur West Blue dans peu de temps.
                    Le jeune blond avait bougé pour se rapprocher de la porte quand il fut tombé nez à nez avec une petite fille, ses habits était tout miteux et on avait pu imaginer facilement qu’elle ne devait pas être bien riche, voir très pauvre. Ainsi il lui avait donné tout ce qu’il avait à la jeune fille, surement parce qu’il n’avait pas faim et qu’il avait ne serait-ce qu’un peu de peine pour elle. Elle s’’était assit et commençait son festin directement, et le jeune homme était allé la rejoindre une larme à l’œil, c’était étrange pour un de cte sale pirate, sans cœur ni âme. D’ailleurs notre héro n’aimait pas du tout mais alors pas du tout ce genre de type, pas plus que le gouvernement ou la marine, mais il trouva que c’était un geste emplit de gentillesse et se ravisa un peu sur ce qu’il pensait de l’autre pirate. Ainsi pour cette raison l’homme lui répondit qu’a présent il devait s’occuper de cette petite fille jusqu’au bout, surement l’avait elle touché, mais le probléme n’était pas réglé, car les révolutionnaires étaient toujours dehors.

                    Moi, je vais vers le grand arbre...

                    Le pirate partit accompagné de la petite fille, mais finalement il l’attrapa brusquement et lui mit un couteau sous la gorge, comme si nos héros n’étaient pas assez mal barré, alors il cria aux révolutionnaires de lacher leurs armes. Cette fois Zelles ne savait que penser de se pirate il était vraiment contradictoire dans ses gestes. Pendant ce temps la médecin était perdu dans ses pensées, décidement Zelles avait le chic pour tomber dans des situation incompréhensible et particuliérement compliqué, c’est alors que l’autre albinos s’avança un peu et parla au nom de lui et de la médecin.

                    Nous on préfère pas combattre pour le moment, on vient juste d'arriver sur l'île et on a plutôt envie de repartir avec des berrys dans les poches qu'avec des trous dans le crâne... Enfin, il faudrait d'abord trouver une solution plus durable ! La prise d'otage, ça ne dure qu'un temps, une fois que tu relâche ne serais-ce qu'une seule seconde ta vigilance, tu es cuit ! Par contre, tabasser tout le monde réduit considérablement le temps qu'on pourra passer que ce bout de terre, ce qui n'est pas avantageux... Pourquoi ne pas demander ce que ces révolutionnaires nous veulent plutôt ?

                    Mais au même moment du côté révolutionnaire, tout le monde commençait à s’affoler, que se passait il ? Le chef prit donc un porte voix afin de s’adresser à notre groupe de héros.

                    1, 2, ok ça marche bien ce truc. Je m'adresse aux brigands, aux gueux de pirates sans hein ? Ouai ... Bref, à vous là qui ne sortez pas. Nous ne vous attaquerons pas. Nous ne vous attaquerons pas. Nous partons de ce pas même. Vous n'entendrez plus parler de nous d'ailleurs. Adieu !

                    Mais après son intervention, un autre lui demanda ce qui lui arrivait et sans attendre il lui dis en ayant oublié d’éteindre son porte voix.

                    Un Shichibukai arrive.


                    C’est alors qu’une grande vague de panique se sentit dans toute l’île. Un shishibukai était donc sur le chemin, mais pourquoi ? En tout cas pour Zelles c’était pire que tout, un pirate sans cœur et sans âme à la solde du gouvernement c’était le ponpon. Bref d’après les voix qu’il avait entendu c’était le fameux Wrath, mais cela ne changeait rien, car ils étaient tous identique pour Zelles. Tout à coup, un éclair de génie lui vint, il dis alors aux personnes qui étaient à peu près de son côté que lui il partait également pour le grand arbre. En effet c’était là-bas qu’il pourrait trouver ce qu’il cherchait, de l’argent, des livres et des objets rares. Ainsi il leur dis que s’ils voulait s’en mettre plein les poches de le rejoindre à la tombée de la nuit, puis il partit en direction d’un endroit pour se reposer un peu du voyage en attendant l’heure où il aurait rendez-vous.


                    [HRP: Encore désolé pour le temps d'attente, j'avais perdu l'envi de rp pendant un moment]
                      Un Shichibukai arrive.


                      Heiiiiiin ? Quowaaaa ? Oui, si Kana avait pu parler, ce serait sans doute ce qu'elle aurait dit. Un Shichibukai ? C'était quoi ça déjà ? Un marine apparemment mais Suu n'arrivait plus à se rappeler précisément leur rôle. Un mouvement général poussa tout le monde à quitter la place, révolutionnaires compris. La jeune femme ne savait pas vraiment si il fallait s'en réjouir et demeurait pensive. Elle se fit soudain emporter par les bousculades de la foule en délire. Un concert de chanteurs très populaires ? Pas vraiment non... La frayeur se lisait sur tous les visages. L'albinos qui était tombée à terre se releva prestement pour ne pas être piétinée lorsqu'elle vit un gamin qui semblait être en difficultés, en train de pleurer au milieu de l'endroit surpeuplé de personnes. Il ne faudrait que très peu de temps pour qu'il se fasse écraser.

                      La médecin se fraya tant bien que mal un chemin vers le petit et pu enfin le prendre dans ses bras après de nombreux coups de coudes. Le pauvre gosse avait du perdre ses parents au milieu de la panique ambiante. Que faire de lui ? Kana releva la tête et vit que la place était désormais vide. Enfin non, il restait encore les deux types de la boulangerie, la gamine aux vêtements crades et Hotaru qui s'était accroché à un lampadaire pour ne pas être emporté par la marée humaine. Une vielle femme déboula sur la place. Un air catastrophé s'affichait sur son visage. Ce dernier s'illumina quand elle aperçut Suu qui recula avec un air interloqué.

                      Jean-Charles !

                      L'albinos se retourna, de plus en plus étonnée puis sentit le petit qu'elle tenait dans ses bras glisser. D'un geste ample elle le rattrapa. C'est alors que la pirate se rendit compte qu'il avait arrêté de pleurer. La vieille s'approchait de plus en plus et Kana décida de lui tendre le bambin. Elle ne le portait plus que du bout des doigts étant donné qu'il semblait avoir fait dans sa couche, vu l'odeur pestilentielle qu'il dégageait. Cela faisait longtemps que la jeune femme n'avait pas été en contact avec cette... substance. Du talc, des excréments et l'odeur sale d'un gamin encore incapable de subvenir à ses besoins, nécessitant toujours une protection. C'était le genre de truc que Suu ne se voyait plus faire avant des années et des années. Il faudrait au moins attendre qu'elle ait ses premières rides.

                      L'albinos regarda le petit Jean-Charles partir avec sa mamie puis se retourna vers Hotaru qui ne semblait pas décidé à lâcher son réverbère.

                      Dis, les Shichibukais c'est qui eux déjà ?

                      Des brutes. Les Capitaines Corsaires c'est les anciens pirates qui on changé de camp.

                      Ah ! Ouais, ils sont tous super balèzes non ?

                      C'est bien ça.

                      Vaut mieux se barrer alors ?

                      Ayami esquissa un petit sourire en guise de réponse. La médecin observa la place. Un p'tit papier roulait dans un coin et le vent soulevait des volutes de poussière. Tous les volets avaient été fermé. On entendait des bruits rapides et précis autour des portes. Une barricade efficace, comme si un gigantesque cataclysme allait s'abattre sur La nouvelle Ohara toute entière.

                      Dites... Faudrait p'têtre qu'on se casse nous aussi maintenant, non ? lança Kana qui commençait à avoir (très légèrement) la chair de poule devant cette place désertée en si peu de temps par la simple prononciation d'une phrase.

                      Oui, c'est ce qu'a proposé ce gars là tout à l'heure, d'aller vers le grand arbre !
                      répondit Hotaru.
                        *Un Shichibukai ? Ces révolutionnaires ont peur d'un pauvre titre ? En plus c'était sérieux ! Le point positif, c'est qu'on était libre de nos actes, le point négatif, c'est qu'on ne sait pas encore dans combien de temps ce capitaine corsaire allait arriver*

                        Le petit homme blanc voulait s'en mettre plein les poches au grand arbre ? Pathétique de penser à l'argent dans ses moments. N'avait il pas peur de la catastrophe qui allait s'abattre d'ici peu ? Ah, encore un pirate inconscient comme on en voyait tous les jours. Un sourire idiot se dessina sur ma face. Puis je vis la panique tout autour, j'attrapai la jeune fille qui avait toujours un croissant dans la main, ensuite j'écartais les gens qui fonçait dans ma direction. Enfin, le calme revint et j'observais attentivement l'albinos. Je voyais dans ses yeux de la peur...

                        Maintenant que le passage était libéré, j'allais en direction du grand arbre pour raccompagner cette petite fille qui avait l'air troublé par les évènements. Je lui parlais en chemin et elle me disait que ses parents n'étaient pas là et qu'on l'avait abandonné à une vieille dame. Cette dernière la faisait travaillé de force et l'obligeait à apprendre tout ce qu'il avait dans de gros tas de livres. Mili...Elle s'appelait Mili et rêvait de voyager et de parcourir le monde, découvrir la liberté.

                        Je compatissais entièrement et comprenait ce qu'elle pouvait ressentir. J'avais subit la même pression. Il était dans mon devoir et dans mes principes de la libérer de cette prison. Je ne pouvais supporter l'idée qu'elle finisse comme moi.

                        Une fois arrivé au pied de l'arbre, j'apercevais comme une porte qui donnait accès à l'intérieur. Je tournais la poignée, et je vis une peau ridée ? Aaaaaaah ! *C'est qui cette vielle mégère !.

                        Cette vielle mégère, c'est la gérante de la grande bibliothèque d'Ohara.

                        Excusez moi madame, je ne voulais pas vous vexer, c'est que cela m'a surpris.

                        Oh je vois que vous avez trouvé Mili, merci de me l'avoir ramené. Viens par ici Mili, tu n'as pas fini d'apprendre la botanique pour les nulles.

                        Vous savez qu'un Shichibukai arrive ?

                        Oui et alors qu'il aille se faire voir !

                        *Son caractère était bien trempé*

                        Il vous détruira vous et toute cette île si personne n'intervient.

                        C'est vrai, je n'y avais pas penser.

                        *Difficile à la cerner, était elle sarcastique ou bien trop étourdi ?*

                        Je peux faire disparaître cette île de la carte ! *Impressionnant ! J'avais pas vu les autres visages qui étaient plongés sur leurs livres. Pourquoi me regardait il avec haine ?*

                        Est ce bien de l'Acarasiaz que vous avez autour de cette arbre ? Vous savez cette plante aux...

                        Aux 1000 remèdes. L'une des rares espèces qui existe dans ce monde, qui peut avoir plusieurs effets. La légende raconte qu'elle peut réalisé les miracles les plus fou.

                        Hein mais qui vois je ? L'albinos ?....


                          Zelles était donc dans une auberge, rien d’extraordinaire, une petite auberge pouvant acceuillir une dizaine de personnes histoire que la proprietaire puisse vivre sa vie, bref notre ami était là un verre à la main, sa fameuse boisson préféré, vous savez celle qu’il boit depuis longtemps dans le bar à Logue Town, ou une fois cette histoire finit il rentrerait surement avec de l’argent plein les poches qui lui permettrait d’en boire encore plus.

                          Non ce n’est pas un alcolo, il passe juste du bon temps en attendant de trouver un véritable équipage dans lequel il mériterait d’entrer et dont l’équipage mériterait de le voir venir, et qu’une fois trouvé il pourrait enfin vivre sa vie avec une nouvelle famille qu’il n’avait plus. De plus il avait une ambition, détruire le gouvernement ou en tout cas autant qu’il pourrait afin de venger ses parents, ses origines, son ancienne vie qu’il aurait préféré quitter de lui-même, et non en être obligé. Ainsi Zelles réfléchit à tout ça et tout en finnissant son verre il se leva et le posa violemment sur le comptoir.

                          Combien je vous doit ?

                          Rien, rien je vous l’offre.

                          Ce n’est pas parce que je suis un pirate et que je suis un peu enérvé qu’il faut avoir peur de moi.

                          Mais non ne vous en faites pas, ce n’est pas pour ça.

                          Dans ce cas je m’en vais, mais ne faites pas ça avec tout les pirates qui viendront sinon vous fermerez.

                          Oui, oui je sais, mais vous n’avez pas l’air d’être comme les autres.

                          Zelles commença donc à sortir et au moment où il allait fermer la porte, ce genre de portes qui font la classe de tout les hommes s’ils l’ouvrent correctement, et qui apparaît dans tout les saloon de western, la porte séparée en deux qui s’ouvre dans les deux sens et que beaucoups d’hommes traversent en volant une biére à la main. Bref le charpentier se retourna et dit à la gentille proprietaire.

                          Merci, vous êtes quelqu’un de grand, ne croyez ni en la marine, ni le gouvernement, ils feront sombrer le monde. Que Dieu garde les gens comme vous et moi. J’espère vous revoir un jour.

                          Adieu jeune pirate, et vivez votre vie comme vous la sentez.

                          Zelles partit donc sur des adieux douloureux, bien que les deux personnes n’est échangé que quelques heures de leur courte vie. Mais Zelles devait partir, la nuit venait et le moment de repartir approchait vite, le shishibukai n’était surement plus très loin, et les révolutionnaires surement prêt à combattre à tout moment. Zelles se dirigea donc vers le grand arbre la nuit était belle, mais allait elle le rester, le grand arbre se trouvait maintenant devant lui, il avança légérement, l’arbre était plein de lumiére malgré l’heure très tardive. Zelles fit le tour de l’arbre, une porte se trouvait là également, la porte de derriére et aucune lumiére n’apparaissait de ce côté-là, la porte était fermée avec des chaines et plusieurs cadenas.

                          Zelles sortit son sabre et commença à trancher petit à petit les chaines, car celles-ci étaient en partit rouillés, mais elles résistaient et Zelles ne pouvait forcer, sans quoi toutes les personnes se trouvant à l’intérieur le repéreraient. Zelles devait pourtant entrer, il chercha sur les chaines un endroit plus fragile que les autres, ce qu’il finit par trouver, alors sans plus attendre il tapa le plus fort qu’il pouvait et dont le coup resterait à peu près silencieux. La chaine se brisa, il l’enleva de la porte et celle-ci s’ouvrit, Zelles entra dans le grand arbre.

                          Il se trouvait dans une piéce dans laquelle personne ne devait venir souvent, car elle était pleine de poussiére et rempli de caisse en tout genre. La salle d’armement ? En effet les caisses étaient pleine d’armes, de munitions, et d’explosifs, un véritable entrepot. Zelles prit donc plusieurs explosifs sur lui, car il en aurait peut être besoin si batailles il y a, une fois prêt il allait sortir, mais de l’autre côté le monde faisait d’un coup beaucoup de bruit. Que se passait il ?

                          Zelles sentait au plus profond de son âme que le destin ferait de cette nuit, une nuit que nombre de personnes n’oublieraient pas.

                            Hotaru et Kana étaient un peu pommés. Se retrouver seuls sur une île qu'ils ne connaissaient pas était vraiment une épreuve pour eux. A vrai dire, ce n'était pas la première fois mais là c'était différent. Un Shichibukai allait arriver et personne ne savait quand ni comment. Enfin, comment ça serait sans doute par bateau mais tout de même. Les indications avaient été assez vagues en fait. Ce qui était logique puisqu'elles n'avaient pas été données intentionnellement. M'enfin, tant qu'à faire le mystérieux blablateur du Den Den Muchi aurait quand même pu donner plus d'information. Cela aurait été tellement plus pratique ! Mais de toute évidence, son rôle n'était pas de faciliter la vie de Suu. Quelle grave erreur !

                            La pirate ne savait pas que faire. En même temps, n'étant pas primée, le Shichibukai n'était pas réellement un problème pour elle. A part peut être si il se décidait de s'en prendre à toute la population de Saint Ohara. Quoi que, non, dans ce cas l'albinos ne serait sans doute pas en danger non plus puisqu'elle ne résidait pas ici. Après tout, elle n'avait qu'à reprendre sa barque et se tirer d'ici avec son frère vers une île plus accueillante. Hum... C'était pas le bon plan non plus étant donné qu'elle l'avait volé ce rafiot et que ça en était un de la marine... De simples civils voguant à bord d'un bateau du Gouvernement seraient surement répertoriés comme étant des forbans. Ce qui n'était pas du tout le cas voyons ! Il n'y avait plus qu'à emprunter une autre coque de bois.

                            Mais même comme cela il était hors de question de repartir sans nourriture et puis, il y avait aussi ce grand arbre... Selon les légendes et histoires que Kana avait entendues, il contenait le plus grand savoir réunit sur toutes les mers Blue. Il était impensable de ne pas aller y faire un tour. Peut être qu'en revenant vers le port en fin de journée et si le Capitaine Corsaire n'avait toujours pas débarqué, les deux protagonistes pourraient repasser par la boulangerie qu'ils avaient pillés le matin même. Oui c'était une bonne idée. Comme ça, la jeune femme avait toute la journée pour se planquer parmi les bouquins et faire son rat de bibliothèque. Ses lectures se révèleraient sans nul doute possible très instructives.

                            Le plan conçut par la médecin fut donc adopté à la majorité des voix, c'est à dire deux. Un sentiment de solitude ? Meuh non voyons ! Kana et Hotaru partirent donc en direction du grand arbre qui était installé au centre de la ville. Il était impossible de le louper de par sa taille plus qu'imposante. Là-bas il y avait déjà l'un des types que les deux amis avaient rencontré. Celui aux cheveux jaunes. Ah bon ? On dit blond ? Zut alors ! Il semblait en pleine conversation avec ce qui devait être la bibliothécaire. Bon... Que faire ?

                            Dites euh... Madame ? Je pourrais consulter les livres de cette bibliothèque s'il vous plait ?


                            Oui bien sûr petite ! Vas-y !

                            Petite ? Suu tiqua mais passa tout de même avec un léger remerciement. Ça ne servait à rien de s'embrouiller pour ça et puis de toute façon, la jeune femme était là pour les écrits conservés ici, rien d'autre ne comptait pour le moment. La pirate se fia aux rayonnages pour trouver le coin de livres de médecine. Il n'y en avait pas énormément mais ils semblaient tous aussi instructif les uns que les autres. Hotaru quand à lui était partit du côté des bouquins de recettes. La jeune femme espérait qu'il y trouverait son bonheur.

                            Le premier livre que Kana choisit de lire traitait des maladies rares. Elle prit quelques notes qu'elle rangea soigneusement puis s'attaqua à un second volume, et un troisième... en fin de compte, quand elle sortit de sa transe littéraire, la doctoresse était entourée de livres. Il faisait nuit également. La logique voulait surement qu'elle y avait passé toute la journée. Après avoir rangé les derniers bouquins, l'albinos se mit à la recherche de son frère qu'elle trouva affalé sur un table, en train de dormir. Il n'était pas raisonnable de reprendre la mer de nuit, et puis le Shichibukai n'était pas encore là alors autant partir à l'aube et le laisser roupiller tranquille.
                              J'avais assisté à un manque de politesse les plus complets. J'espère qu'il y a une minorité d'albinos qui sont comme ça. Même pas un petit coucou ou un sourire, j'étais vexé...Ah vous aviez cru ! Non, en réalité je m'en foutais complètement des deux gugusse que j'avais rencontré en chemin, tout ce qui m’intéressait était l'Acarasiaz.

                              La légende disait faux, ce n'était pas une plante qui accomplissait les miracles les plus fous, d'après tout les livres et recueils que j'avais pu lire étant plus jeune. Cette magnifique plantule pouvait vous rendre la force que vous aviez après sa perte immédiate. Soit une maladie très grave, un vieillissement instantané ce qui était très peu probable ou bien un dur combat...Comme si vous aviez un corps de rechange. Malheureusement, très peu de scientifiques avaient pu synthétisé la matière provoquant ce changement radical sur le corps humain.

                              Je regardais d'un air très curieux la vieille femme en lui demandant bien consciemment et avec le plus grand de mes sourires, si je pouvais prendre toute l'acarasiaz qui entourait le grand arbre. Bien sur elle me répondit en agitant un bras puis en pointant son bâton sur moi qu'elle préférerait mourir que de me laisser faire. Ah, elle était coriace. Je n'avais pas envie de m'attirer des ennuies, non pas que j'avais peur des binoclards qui lisait à l’intérieur, mais je me méfiais...Je sentais comme une force en eux.

                              Passons au plan B ! Le marchandage...

                              Vous allez me laisser prendre ces plantes contre les vies qui sont à l'intérieur.

                              Lui disais-je en lui montrant les lames de ma ceinture. Une menace, ça l'était. Je posais ma main sur la tête de la jeune Mili.

                              Une dernière chose vieille mégère. Prenez bien soin de cette petite fille. Je reviendrais et si elle venait à dire quelque chose de négatif sur vous, je vous promet que je détruirais cette île !


                              Elle ne fît plus aucun geste, plus aucun bruit, elle comprit que je ne plaisantais pas et le réel danger qui était face à elle. Cette vieille personne me laissa prendre tout ce que je voulais. Je remarquai un léger sourire de sa part, je compris qu'elle croyait m'avoir berné. Comme si je n'allais pas voir les vrais acarasiaz. Cette plante était classé en deux types, d'un même phénotype, mais d'un génotype différent. Il était très difficile de connaître le vrai du faux.

                              Je n'avais regardé que des illustrations et lu des écrits qui m'était donné par mon maître Ando Nagasaki. Je n'avais aucun moyen de connaître l'Acarasiaz d'origine...Je n'avais pas le choix, j'avais tout prit et je suis parti sans me retourner jusqu'à ma barque.

                              J'espérais qu'après mes tests, j'aurais au moins quelques Acarasiaz. Je ressentais une légère peine envers Mili, je ressentais de la haine et j'avais une envie de meurtre envers cette vieille femme, mais plus je m'éloignait de l'arbre et me rapprochais de ma barque, tout ses sentiments s'évaporaient. En route vers une autre île de North Blue. La seule chose dont je me préoccupais était de récolter le précieux de cette plante.
                                Finalement, Kana s'était également endormie. Elle avait laissé derrière elle ses problèmes et tout ce qui allait avec, c'est à dire ses projets et ses idées. La jeune femme flottait dans une espèce de torpeur, un sommeil sans rêve, simplement peuplée de nuages. C'était là une chose bien étrange mais de toute façon, en se réveillant, elle ne s'en souviendrait sans doute pas. Le monde des songes était au moins un truc qui nous appartenait exclusivement, que rien ni personne ne pouvait voler. Il était à la fois universel et personnel, un tel paradoxe était tellement évident mais pourtant il n'y avait pas grand monde pour s'en rendre compte, sans doute parce que ce n'était pas primordial. Dans la vie de tous les jours, les citoyens classiques s'enquerraient de ce qu'ils allaient manger, de comment ils allaient gagner des berrys pour assurer leur survie et de tout ce bazar là tournant principalement autour de la nourriture. Bouffe-boulot-dodo. Enfin, la vie de notre protagoniste était un minimum intéressante, ou originale d'ailleurs, pour qu'on s'y attarde.

                                Suu entrouvrit les yeux. Une lumière un peu trop forte pour ses pupilles dilatées la fit cligner des yeux plusieurs fois dans une grimace inédite. C'était un mélange entre un froncement de sourcil, un tirage de langue exemplaire et une pincée de quelques autres éléments. Épic en tout cas. La déformation cellulaire fut suivi d'un bon bâillement bien assumé et ce fut ensuite l'heure de se frotter la figure pour remettre bien ses idées en place. Voilà. Tout avait été fait, la journée pourrait commencer après quelques étirements, ce qui fut d'ailleurs bien vite expédié. La médecin se leva, froissant au passage quelques pages du livre sur lequel elle s'était assoupie, et regarda les alentours. Il n'y avait que des livres. Partout. Il fallut un moment pour que les évènements de la veille lui reviennent en mémoire mais un mot fit rapidement tilt dans sa tête «Shichibukai»... Il fallait partir d'ici ! Ça commençait à urger même. L'albinos chercha son frère parmi les rayons de l'immense bibliothèque sans véritable succès lorsqu'elle tomba sur une vieille femme qui semblait bien être la gérante de l'arbre.

                                Euh madame, dites c'est très important ! Vous n'auriez pas vu mon frère ? C'est un petit blond, je ne le retrouve plus !

                                Ah, oui oui, il est partit il y a une heure ou deux visiter un peu l'île...

                                Qwoooooaaaaaaaaa ? Mais... Mais... C'est super dangereux !


                                Ah, si vous voulez parler du Capitaine Corsaire, il me semble qu'il n'en à fait qu'à sa tête et que finalement il n'a pas accosté sur l'île pendant la nuit comme c'était prévu par les autorités à la base.

                                Fiiiouuuu d'accord, c'est super ! Merci madame !

                                Ah et au fait, vous avez de l'encre sur la joue...

                                La pirate effaça de façon très sommaire les traces d'écriture qui s'étaient imprimées sur sa peau avant de sortir prendre le petit déjeuner. Une boisson bien chaude qui lui était inconnue acheva de la réveiller. Pourquoi ne pas rester sur cette île quelques temps supplémentaires ? Après tout, il y avait ici plein de savoirs à recueillir et Kana avait aussi vu un ou deux livres parlant de botanique. C'était un domaine auquel la jeune femme ne s'était jamais intéressée pourtant il était vrai que cela l'aiderait. Oui, c'était ça, le précieux de l'albinos, les connaissances.