>> Albafica
Une image de 200*300 pixels. | Pseudonyme : Age: 17 Sexe : Homme Race : Humain Métier : Pratique le Enka Groupe :Pirate But : Devenir quelqu'un de connu et reconnu aussi bien par la maitrise du Enka que par ses frasques en mer. Guérir des maux qui le rongent. Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : - Équipement : Un fusil. Codes du règlement : Parrain : - Ce compte est-il un DC ? :Non Si oui, quel @ l'a autorisé ? : ... |
>> Physique
Un bar miteux et un public à l'image de ce même endroit. Une scène baignée dans la lumière blafarde de la lune qui pénètre par le toit troué. Et sur cette même scène se trouve celui sur qui tous les regards sont posés. Recouvert d’une sombre gabardine, il est à moitié assis sur un tabouret avec un faux micro en main. Le col relevé l’homme toise son auditoire de ses yeux d’un marron rouge et mordant. Son nez droit et aquilin semble quelque peu marqué par quelques rixes passées. Une barbe naissante lui mange le menton. Un menton fin qui souligne un visage aux proportions harmonieuses. Sa voix se lève et sa hargne et sa fougue naturelle enflamme les planches. Ses lèvres pleines débitent son Enka. Cet art aussi particulier qu’ancien qu’il tente de remettre au goût du jour. Sa crinière d'un blanc immaculé et bien fournie tient bien en place malgré qu’il ne cesse de bouger sa tête dans tous les sens. L’homme emporté dans son élan se lève et on s’aperçoit alors qu’il peine à atteindre le mètre quatre-vingt. Sans être une armoire à glace, on devine une solide musculature comme le laisse à penser ses épaules sur lesquelles reposent sa vieille gabardine. La lumière argenté souligne son teint blanchâtre malgré et ce malgré une exposition répété sous les feux de milles soleil, on doutera alors fortement qu'il s'agit là d'un homme de la mer.
La musique s’arrête et ses yeux s’ouvrent sur une salle entièrement vide ou presque. Sous les huées du maitre des lieux, il quitte la scène. Une démarche nonchalante vient accompagner chacun des pas de ce poids moyen. Ses épaules de loubard malmènent son long manteau. Quelques grimaces disgracieuses viennent souligner les traits de son visage et à la lumière plus chaude des bougies qui ornent le comptoir, on peut alors voir de terribles brulures hanter ici et là le visage de cet homme qui a retrouvé son côté habituel et taciturne.
La musique s’arrête et ses yeux s’ouvrent sur une salle entièrement vide ou presque. Sous les huées du maitre des lieux, il quitte la scène. Une démarche nonchalante vient accompagner chacun des pas de ce poids moyen. Ses épaules de loubard malmènent son long manteau. Quelques grimaces disgracieuses viennent souligner les traits de son visage et à la lumière plus chaude des bougies qui ornent le comptoir, on peut alors voir de terribles brulures hanter ici et là le visage de cet homme qui a retrouvé son côté habituel et taciturne.
>> Psychologie
De deux choses l’une. Soit on est quelqu’un sur cette terre, soit on est personne. Ce sont les affres de la vie qui l’ont façonné et poussé à penser ainsi. Opportuniste, égoïste et opiniâtre, il ne recule devant rien pour arriver à ses fins. Il n’est foncièrement pas mauvais, c’est juste qu’il passe ses intérêts au-dessus de tout et par conséquent, c’est très souvent aux dépens d’autrui. Tantôt taciturne et réservé, tantôt tout feu tout flamme, ses humeurs sont brusquement changeantes en fonction de la situation et de ceux qu’ils trouvent face à lui. Il ne recherche pas forcément le conflit et s’il peut gagner sans combattre, c’est ce qu’il fera. Intéressé, dénué de morale ou même d’éthique, il ne recherche que la facilité et à vivre dans le confort et le luxe le plus total. Il en rêve nuit et jour. Les forts vivent et les plus faible trépasse, voici la seule et unique vérité en ce bas monde. Un constat amer et ô combien douloureux, à l’image des maux qui le rongent de l’intérieur. Ce sont ces mêmes douleurs qui le rendent instable et qui le pousse parfois à être violent et sournois au-delà de sa raison. Aussi, l’amour qu’il porte aux gens de son passé est presque aussi grand que celui qu’il porte à la musique. À l’Enka plus précisément. Un art ancestral qui le conduit à se produire sur des scènes plus répugnantes les unes que les autres pour tenter de sensibiliser les ivrognes à sa noble quête d’une musique sans cesse plus parfaite et de rimes endiablés. Être connu, être reconnu et vivre au-dessus de ses moyens, sans peur du lendemain, sans réserve et ne pas seulement être une âme anonyme quelconque qui se laisse broyer par ce monde, c’est en définitive, tout ce à quoi il aspire. Ça et vivre sans douleur…
>> Biographie
Une enfance bercée par les voyages et l’amour inconditionnel d’un père pour son fils. D’aussi loin qu’il se souvienne, il avait toujours accompagné son paternel par monts et par vaux. Guidé par un sentiment toujours plus fort de découvrir les vastes iles qui s’offraient à lui, ce dernier les immortalisait sur des magnifiques toiles dont il prenait le plus grand soin. Cette existence comblait le jeune garçon au plus haut point. Certes, changer régulièrement d’amis et d’école n’était pas chose facile, mais il aimait découvrir toutes ses choses qui faisaient de la vie ce qu’elle était. Et plus que cela, il idolâtrait son père au-delà de tout. Ce n’était qu’un humble peintre, pas un pirate de renom ni même un fier marine. Non, rien qu’un peintre qui figeait ce qu’il voyait pour l’éternité en une peinture de toute beauté. Bien qu’il ait été doté d’un talent aussi géniale qu’unique, c’était toutefois un éternel insatisfait. Voilà pourquoi il continuait à sillonner les Blues. Et dans sa quête de perfection, il avait entrainé son fils qu’il ne pouvait décemment pas laisser derrière lui. Il représentait la seule chose qu’il lui restait de sa défunte femme partit trop tôt, morte en couche.
La vie s’écoulait comme un long fleuve tranquille. Une vie faite de petit rien et l’enfant grandit. Assez tout du moins pour faire de petits boulots. Livreur pour un journal local, garçon de course ou bien encore aide sur un chantier, ces petites rentrées d’argent facilitaient le quotidien surtout lorsque son père n’arrivait pas à vendre de toile. Et puis un jour les illusions s’envolent, le père que l’on pensait invincible se révèle être qu’un frêle vieil homme, bien loin des hommes fort et regorgeant de vie avec qui il travaillait. Cependant, rien ne pouvait nuire à cet amour qui liait le père et son fils, ils apprirent à développer une nouvelle complicité. Le père considérait un peu plus son fils comme un jeune adolescent et l’enfant l’aidait dans toutes les tâches au jour le jour.
Ces deux âmes en paix furent rattrapées par la dureté de la vie. Par l’envie et le désir qui rongent les hommes de la mer. Des hommes prêts à tout pour obtenir ce qu’ils veulent. Leurs ambitions démesurées écrasant tout sur leur passage et même un père et son fils. C’était durant une nuit d’été, un feu de camp crépitait sur la plage et commerçants et ouvriers s’étaient réunis pour partager un moment de joie. Les rires et les chants inondaient littéralement les lieux et c’est en voyant son fils sourire que le peintre eut l’idée de retranscrire cet instant magique sur une peinture. Tout était parfait, mais cela n’allait pas durer. En effet, la mort approchait. Elle était dessinée sous les traits d’un galion gigantesque. Au loin, on ne distinguait que quelques étincelles dans l’immensité des eaux. Puis, des bruits d’explosions nous parvenaient, des sons annonciateurs de malheur. C’est alors qu’il s’est mis à pleuvoir des boulets de canon. On ne comprit que trop tard qu’il s’agissait là d’une canonnade. Sur la plage, c’était la débandade, on courait de toutes parts pour tenter de fuir l’inéluctable. Les abris de fortune comme les renforts en bois le long de la côte explosaient en mille morceaux à l’impact. Très vite, tout était devenu silencieux. Des corps inertes sur le sable, de la fumée et des flammes et ce silence. Un silence de mort, un silence de cimetière qui résonnerait en lui à jamais. Les douleurs infligées à son corps par les flammes étaient tel qu’elles irradiaient tout son être et il ne lui fallut que quelques secondes pour tourner de l’œil. De précieuses secondes qu’il consacra à tenter vainement de chercher son père, mais il le savait, il était mort à présent comme tous les autres. En fermant les yeux il n’eut pas le temps d’être triste ou de maudire son sort. Tout ce qu’il voulait c’était rejoindre sa famille dans l’au-delà, dans un monde où la douleur qu’il ressentait à l’âme et au corps n’aurait alors plus de raison d’être.
La mort est parfois une douce délivrance. La vie nous donne et parfois elle reprend pour finalement nous laisser seul et amer. Quand les rires et la chaleur humaine laisse place aux larmes et au froid glaciale de la solitude, elle façonne alors certains êtres. Des revanchards et des vengeurs. Albafica est de ceux-là. Revenu d’entre les morts par les seuls bons soins d’un médecin à la retraite, il a maudit son bienfaiteur et ce monde d’être toujours en vie. S’en suivi alors une adolescence trouble faites de bagarre, de vandalisme de vol et autres larcins d’un jeune brisé par le destin. Condamné à souffrir pour le restant de ses jours tant ses organes internes ont été touchés dans l’attaque. A de nombreuses reprises il tenta de mettre fin à sa vie et à chaque fois le vieux médecin arrivait à temps pour l’empêcher de basculer dans l’après vie. Les choses ne pouvaient décemment pas continuer de la sorte. Et une nuit, ils allèrent tous deux à une soirée ou un ancien groupe se produisait. L’Enka était à l’honneur, il s’agissait d’un art musical ancestral ou le contenu et les rimes étaient à l’honneur. Le leader du groupe donnait tout ce qu’il avait sur scène et mettait son âme à nu en confessant ses crimes les plus abjectes et ses regrets les plus sincères. Cette expérience marqua Albafica surtout lorsqu’après le concert, il apprit que le leader venait de perdre sa femme. C’était un choc de plus. Comment pouvait-il avoir une telle énergie et une telle fougue ? Pourquoi n’était-il pas comme lui : brisé par la vie.
- T’as rien écouté ce soir petit ? On peut tout te prendre en ce bas monde. On peut tout enlever, mais pas ta volonté, pas ton âme ni ton esprit. On ne peut pas tuer une idée. C’est à toi de te battre pour exister, pour subsister. Alors va de l’avant gamin, en bien ou en mal et c’est à toi qu’il appartient de montrer au monde qui tu es vraiment. La vie ne fait jamais de cadeau gamin, jamais.
Les années avaient passé. L’amertume, même si elle s’était dissipé, lui collait toujours à la peau. Mais la musique et les mots de cette nuit l’avaient marqué pour toujours. Après avoir enterré le vieux médecin près de l’endroit ou reposait son père, il prit place dans le premier bateau en partance pour ailleurs. Vers une destination où il pourrait crier au monde qui il est, vers un endroit où il pourrait s’élever et vivre sans inhibition. Vivre pleinement pour oublier la douleur qui le ronge le corps et l’âme.
>> Test RP
On s’en va !
Le Summum mouillait encore au port. Le soleil déclinait au loin. Les lumières de l’astre brulant mourraient peu à peu. On chargeait les caisses sur le pont depuis l’entrepôt devant lequel le tenancier comptait ses billets. A l’intérieur des lieux, tout était calme ou presque. Quelques brutes s’adonnaient à leur sport préféré en rouant de coup un ado qui, loin de se débiner, encaissait comme il pouvait tout en tentant de vaines représailles. Des coups de pieds au ventre, de bonnes droites à la mâchoire et le voilà qui avait son compte. S’appuyant contre l’un des murets de l’entrepôt, il faisait de la peine à voir. Il tremblait de toutes parts sous les spasmes et sa vision floue n’arrangeait rien à l’affaire. Mais ce qui lui faisait le plus mal restait encore le rire gras de ses loups de mer qui se moquait de lui.
L’Enka c’est d’la merde ! On retirera rien de ce qu’on a dit, d’accord gamin ?!
Et un dernier revers du droit pour la route et le compte était bon ce coup-ci. Le tenancier avait tout vu de la scène, mais il était loin d’être bête, il n’allait pas s’interposer au risque que ces pirates lui tombent dessus et reprennent tous les Berrys qu’il venait d’encaisser. Après un temps, il repensait au médecin qui l’avait soigné. Le vieux bougre avait même pas prit la moitié de l’argent pour ses honoraires. Un type intègre et honnête, ça ne courait pas les rues et comme c’était choses rare, forcément ça marquait les esprits. S’approchant du jeune homme, il prit un nécessaire de soin et commençait à le bichonner ici et là tout en ayant une pensée pour le bon médecin. Loin de croire à tout ce qui n’était pas palpable, il en avait vu du pays avant de s’installer à son compte ici, à vendre tout et n’importe quoi. Et ce qu’il avait vu avait finir par lui faire croire en une force, en une chose au-delà de la compréhension du commun des mortels. On pouvait appeler ça le karma ou le destin. On l’avait soigné et à présent il rendait la pareille…
Après une heure, le jeunot revenait finalement à lui. Rassemblant ses forces et son courage, il s’était relevé en remerciant le tenancier de ses bons soins. Ce dernier était exaspéré, car il venait de voir l’orgueil et un brin de folie hanter le regard du gamin qui n’allait de toute évidence pas en rester là. Qu’importe, ce n’était plus son problème, il venait de payer sa dette au vieux médecin pour qui il eut une pensée en voyant le gamin sortir de son entrepôt par la porte de derrière. L’activité au port battait son plein. La lumière du jour n’était plus et on s’activait de toutes parts pour enflammer les torches disséminé sur le port. Le summum n’allait plus tarder à lever l’encre. Et dans la confusion des transactions et des allées et venus, Albafica avait sauté sur le dos de l’un de ses agresseurs. Une bonne gauche dans la gorge, un coup de pied dans les côtes ajouté à ça l’effet de surprise et ni une ni deux, le type était KO. On s’agglutinait autour du jeune fauve qui n’en démordait pas et sur le pont le rire du capitaine avait captivé l’ensemble des hommes en contre bas.
Qu’est-ce que tu veux petit ? Monter à bord ? Tu sais ce qu’il en coûte de toucher à un de mes hommes ?
Tes hommes sont des lâches sans cervelles ! Prends-moi à ton bord et je te servirais mieux qu’eux !
Le sourire du capitaine prit plus de place encore sur son visage alors qu’on venait de lui chuchoter quelques mots à l’oreille. Après avoir hoché de la tête vers son second, il reprit la parole.
C’est bizarre gamin. On vient de me dire que t’es le mouflet qui chante de l’Enka. T’es jeune pour connaitre ce genre de musique. Mais ça j’men fou. En revanche, dans tes paroles t’avais pas dit que des pirates, donc des gens comme nous, avait tué ton petit papa ? C’était du chiqué ?
Non, c’est vrai ! On ne ment pas avec l’Enka, on met son âme à nue sinon ça ne sert à rien d’en faire.
Et donc tu veux monter à mon bord et devenir pirate ? Sans déconner ? Eh, frère, tu disais pas que c'étaient des pirates qui avaient tué ton père et fait de ta vie un enfer ? Non, franchement, faut que tu m'expliques là. Sinon, jamais je te prends à mon bord. A tous les coups, t'es un chasseur de primes déguisé. Badant. Ouais, non. Tu gardes tes distances tant que tu m'as pas expliqué ! Et t'as intérêt à être crédible !"
Des pirates ont tué la seule famille qu’il me restait. C’est vrai. La faim, la soif, la maladie… En définitive tout fout le camp. On perd tous un jour quelqu’un ou quelque chose, faut l’accepter et continuer de vivre avec, ou de vivre sans. C’est une des leçons que j’ai apprise. A travers l’Enka ou la vie tout simplement. Et on court tous après quelque chose, un trésor pour certain, en quête de bonheur pour d’autres. Dans ce bas monde la vie fait pas de cadeau, on ne nous donne rien, si on veut quelque chose, c’est à nous de prendre. Comme ces pirates qui m’ont tout pris, tu sais pourquoi ? Parce qu’ils le pouvaient ! Parce qu’ils le voulaient, parce qu’ils étaient fort. J’aurais beau me dire que je pourrais les retrouver et leur faire la peau, au bout du compte, c’est moi qui n’ai pas pu sauver les miens. J’étais faible. Mon père aussi était faible. Les faibles partent les premiers, c’est dégelasse, mais c’est comme ça ! Je ne peux pas revenir sur ce qu’il s’est passé, mais compte pas non plus sur moi pour m’arrêter à ça. J’ai faim et j’ai soif, je veux voyager, je veux découvrir des choses pour m’enrichir aussi bien en Berry que dans ma musique et dans ma vie. Je veux des femmes ! Je veux du pouvoir et devenir quelqu’un tu piges ? Je veux faire ce dont j’ai envie, quand j’en ai envie ! On est tous des pirates dans nos cœurs. On convoite tous des choses qui ne sont pas à nous, la seule différence c’est que certains l’affichent clairement et d’autres pas. Alors laisse-moi hisser le pavillon noir Capitaine ! Laisse-moi embarquer à ton bord et me déchainer sur les eaux sous tes couleurs, pour un temps.
… Allez-vous autres, monter à bord ! On se casse !
Et pour le garçon cap’tain, on le prend ou bien… ?
- Hum… On va s’enrichir sur son dos ouai. Et puis il détendra les gars en tant que sac de frappe. T’es prêt à être à la hauteur de tes belles paroles gamin ? Allez embarque !
Informations IRL
Prénom :Bram's
Age : Très vieux
Aime : Manger et boire. Les vieux films. Lire. Sortir faire le con avec ma bande. Ma famille. Le FC Barcelone
N'aime pas : Mon boulot en ce moment et tout pleins de choses encore dont le Real de Madrid!
Personnage préféré de One Piece : Ussop
Caractère : Fidèle. Sympa. Réservé parfois et d'autres fois à fond dans la connerie.
Fait du RP depuis : Depuis quelques temps déjà. Je donne pas de date sinon ça me rappellera mon âge
Disponibilité approximative : En soirée au moins une fois sur deux. Le week end je passe aussi
Comment avez-vous connu le forum ? Quelqu'un m'en a parlé, s'tout ce que vous devez savoir!
Quand vous estimez avoir terminé vos descriptions et votre biographie, signalez-le par un nouveau message et demandez votre test RP. Pour plus de lisibilité vous pouvez aussi l'indiquer dans le sous-titre de votre présentation par la mention [En attente de Test RP]. Plus ce sera visible, moins vous avez de chance que les modérateurs ne vous loupent (ce qui n’arrive pas très souvent).
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Aime : Manger et boire. Les vieux films. Lire. Sortir faire le con avec ma bande. Ma famille. Le FC Barcelone
N'aime pas : Mon boulot en ce moment et tout pleins de choses encore dont le Real de Madrid!
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Caractère : Fidèle. Sympa. Réservé parfois et d'autres fois à fond dans la connerie.
Fait du RP depuis : Depuis quelques temps déjà. Je donne pas de date sinon ça me rappellera mon âge
Disponibilité approximative : En soirée au moins une fois sur deux. Le week end je passe aussi
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Dernière édition par Albafica le Jeu 5 Fév 2015 - 17:46, édité 5 fois