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[FB] Derrière les barreaux . . .

Alucard ce trouvait sur l'île de Classic Edge, une petite île située non loin de la prison de Classic Town. L'île n'était composée que d'une petite ville d'une centaine d'habitants et de quelques commerces. Telle une ville de western, la population essayait de survivre dans un milieu désertique et très hostile. Il n'était pas rare de rencontrer des squelettes humains au milieu de l'étendue de sable jaune. De grandes dunes masquait le champ de vision et il n'était pas aisé de se repérer dans un tel lieu. Mais Al' n'était pas un amateur et ses facultés de navigateur lui était fort utile dans ce genre d'endroit. L'eau était une denrée rare de cette contrée, il ne fallait surtout pas la gâcher. Al' marcha plusieurs heures jusqu'à qu'il puisse enfin apercevoir la ville de Classic Edge. Quelle idée comme nom, il aurait mieux du la nommée Desertic Island ça sonne mieux puis c'est beaucoup plus en corrélation avec l'état des lieux. Arrivée à l'entrée de la ville, Al' se sentit mal à l'aise, il avait l'impression d'être observé. Chose toute à fait normale, car il portait sur sa tête l'une des plus grosses primes de Blues. Pourtant il avait eut vent d'une nouvelle mise à prix, s'était celle de son commandant de bords et elle excédait largement la sienne. Peut être que avec un peu de chance il pourrait enfin un peu souffler. Il n'y avait pas âme qui vive dans cette ville, tous les volets étaient fermés et la plus part des commerces étaient vides. Pourtant Al' entendait un léger bruit de musique dans les parages. Entendait-il des voix ? Ou êtes ce son imagination ? Il prit alors la direction de se léger son. Il arriva directement devant une épaisse porte d'un grand bâtiment. S'était surement le saloon de la ville, un endroit où il y ferait bon vivre à son entrée. Tu parles ! Dès qu'il eut mis un pied à l'intérieur des lieux, la musique s'arrête et toute la faune présente se mit à le dévisager. Il semblerait que les étrangers ne soient guère apprécier dans cette contrée. Pas de chance pour notre jeune pirate, lui qui avait si soif devrait surement attendre la pluie pour assouvir sa soif. Soudainement un homme gémit et la musique reprit son corps. L'atmosphère se détendit et tout le monde vagua à nouveau à ses occupations. Al' se dirigea vers le barman et entama la discussion:

Bonjour, es ce que vous aurez quelque chose de rafraichissent ?

Bien sûr, j'ai du lait ou de l'alcool, lequel tu vas prendre étranger ?


Euh, le lait. Le barman le servit. Merci, combien je vous dois ?

Oh, c'est cadeau de la maison avec ce qui va te tomber dessus dans pas longtemps.


Mon tomber dessus ! Al' était étonné, soudainement il sentit le sol se dérober sous ses pieds et il finit sa course sur la poussière du sol. Quatre hommes l'avait soulevé pour le jeter à l'extérieur du lieu de festivité. S'était quatre gros gaillards mal fringuer et surtout qui sentait fort l'alcool. En gros quatre pochetrons qui voulaient jouer les durs. Al' se releva rapidement, mais ne dégaina aucunement son épée. Une foule venait tout juste de se former autour des cinq hommes. Al' n'était pas à l'aise dans se bain de foule. Il craignait pour se vie surtout avec tous les pêchés qu'il avait déjà commis.

Allez étranger met en garde, on va te faire la peau et après on ira casser du saloon.


Les villageois n'étaient pas rassurer par cette bande d'imbécile. Il semblerait même qu'ils soient tous des tortionnaires du village. Al' allait à nouveau faire une bonne action, cela était devenue monnaie courante dans son quotidien. De toute façon il n'avait guère le choix, car s'était une clause de son contrat avec Nigawarai. Il remonta alors ses manches et sourit. Il était heureux, il pourrait enfin un peu se défouler.

Allez les gars c'est partit. Dit-il le sourire aux lèvres.

Son premier hypercut vint directement craquer la mâchoire d'une des quatre hommes qui s'effondra au sol sous la pression du choc. Al' se débrouillait pas mal avec ses poings, mais il n'allait pas utiliser son épée sur des hommes à moitié alcoolisés et surtout non armés. Puis les trois autres lui sautèrent dessus, Alucard n'eut pas beaucoup de mal à éviter les coups de ses adversaires. Mais soudainement il fut prit de vertige et plusieurs poings finirent dans son estomac. La chaleur et l'effort lui donnait le tournis, il n'était pas du tout habitué à ce genre de climat. Puis il répliqua à son tour envoyant deux nouveaux adversaires au tapis. S'était actuellement un face à face. Son ennemi n'était pas rassuré et il sortit de sa bouche un couteau. Al' n'allait guère faire de même, son épée resterai au fourreau quoi qu'il arrive. L'homme fonça tête baissée vers lui, il attrapa son poignet et d'un revers de main et d'une légère rotation, il envoya l'individu au sol. Puis en exerçant une grosse pression sur son articulation il lui cassa le poignet. L'homme lâcha prise dans un hurlement de douleur. La foule se mit alors à applaudir et certaines personnes vint carrément embrasser notre jeune héros. S'était peut être la première fois qu'ils voyaient ses êtres au tapis. Al' devint rapidement la petite idole du coin, mais cela n'arrangeait guère ses affaires. Les citoyens le prit avec eux et ils allèrent tous festoyer dans le saloon; Le barman lui confia entre deux verres que ses gars étaient des crapules engagés pour foutre la zizanie en ville. Quand voulut demander le nom de l'ordure qui les avaient engagé personne n'osa répondre. Il semblerait que cette ville soit au prise d'un gros poisson. Alucard devait rester sur ses gardes, il avait envoyé ses chiens de garde à la niche, le maitre ne tarderait donc pas à faire son apparition.

Al' passa la nuit dans une petite auberge en compagnie de plusieurs demoiselles l'es unes aussi charmantes que les autres; Il fallait bien se faire plaisir de temps à autre, alors Al' ne crachait jamais sur de la chaire fraiche ou autre proposition du même style. La nuit fut donc très courte et il avait très mal aux cheveux à son réveil. Plusieurs demoiselles à moitié dénudée se trouvaient à ses côtés, cela eut pour effet de mettre rapidement en évidence l'un des organismes de son corps d'homme. Soudainement, il entendit du bruit dehors. Il regarda directement par la fenêtre pour voir cinq hommes vêtus de noir, tabasser sauvagement plusieurs citoyens. L'un d'eux semblait donner des ordres aux autres, Al' avait donc déjà compris qu'il s'agissait du chef de la bande. Puis il repensa aux dires du barman, cet homme devait donc surement être le gros poisson qui régnait sur la ville. Al' sortit aussi vite qu'il put pour arrêter les dommages encourus par les citoyens. Le leader fut étonné lorsqu'il vit notre jeune pirate se dresser devant lui.


Voici donc l'homme qui a frappé mes gars ! Et vous bande de cloportes vous n'avez même pas bouger le petit doigt.

Normale on vous déteste !!! Salopard !!!


Un coup de feu partit rapidement. Le villageois fut rapidement abattu par le leader du groupe. Il avait un grand sang-froid, mais cet acte venait de lui coûter la vie même s'il ne le savait point encore.

Tu vas payer pour l'affront commis envers mes gars. Et une fois que tu sera mort, je m'occuperai personnellement de ses villageois. Enfin ne t'inquiète pas je ne vais pas le tuer bien au contraire.

A cet instant, Alucard avait déjà dégainé sa lame et planter le premier corps qui se trouvait devant lui. Hélas manque de chance l'un des hommes de cette vermine s'était interposé entre Alucard et le leader du groupuscule. Al' avait directement visé le coeur, l'individu était donc mort sur le coup. Du sang imprégnait déjà le sol, mais celui-ci était rapidement aspirer par le sable et la terre morte. Al' retira sa lame et le corps de l'individu tomba lourdement sur le sol, inerte avec une grimace sur son visage du à la douleur éprouver. Le leader écarquilla les yeux et répliqua directement d'un grand coup de pied dans le visage du jeune pirate. Al' ne bougea point, mais du sang coula de sa tête. Le choc fut puissant, mais il lui fallait parfois se salir les mains pour impressionner l'ennemi. Sa tête tournait légèrement, le douleur du choc n'était pas comparable à celle de l'alcool accumulé lors de la soirée passée. L'adrénaline commençait à faire son effet, Al' était quasiment prêt pour combattre à 100%, hélas les citoyens aux alentours étaient en danger, il lui fallait rapidement rétablir l'ordre. Il dégaina rapidement ses armes et tira à tout va en direction de ses ennemis. Le bruit des détonations eut l'effet escompter, car par la suite les citoyens prirent rapidement leurs jambes à leur cou. Il n'y aurait bientôt plus beaucoup de personnes présentes dans les parages et Alucard pourrait enfin entamer le combat. Puis un cri resurgit dans son dos, un citoyen avait été touché par une balle perdue. Ceci eut pour effet de le mettre en colère et il se jeta directement sur l'homme qui avait commis cet affront. Il trancha la gorge et continua sa danse macabre. Il trancha rapidement le dernier individu de la bande. Le coup fut si puissant qu'il lui arracha la tête de son orbita lors du choc de sa lame avec sa carotide. Il ne restait plus que le leader de la bande.

Il arborait un costume noir avec un chapeau, une cicatrice sous l'œil droit, mal raser, trapus et les mains en poches. S'était pas un amateur, Al' restait donc sur ses gardes. L'homme sortit un espèce d'interrupteur de sa poche et appuya dessus. Une petite alarme résonna, s'était un signal d'alerte; Alucard devrait vite s'enfuir de cette ville s'il ne voulait pas finir ses jours derrière les barreaux. Mais cet homme, il ne pouvait pas le laisser vivre. Le risque était trop grand pour les villageois. Al' prit alors son courage à deux mains et partit combattre ce démon. L'individu fonça directement sur lui et lui occasionna plusieurs coups de pied bien placés. Al' avait du mal à suivre ses mouvements, il semblait utiliser une drôle de technique lui permettant de sauter sur l'air. Puis lorsqu'il lui avait occasionné un coup, il l'avait bloqué avec une technique du nom de Tekkei. Al' ne connaissait pas ses facultés, était-ce un utilisateur de fruit du démon ? Nan, impossible un fruit n'était pas si polyvalent. Il prit alors conscience de sa faute ! Il était actuellement en train de se battre contre un membre d'un Cipher Pôle. Quel bêtise de sa part, surement que les autres autres étaient également des agents de cette mystérieuse organisation. Puis un choc contre son abdomen le fit rapidement quitter ses pensées. L'homme se tenait toujours devant lui, les mains en poches, le regard noir prêt à le tuer. Al' serra lourdement le manche de son épée, l'individu fonça sur lui. Il fit un roulade sur le côté et s'élança en avant. Il était dos à son ennemi, une giclée de sang vola de son épaule gauche alors que son ennemi s'écroula sur le sol. Al' tomba à genoux, la douleur de ce coup était assez soutenue. Il semblerait que l'individu ai tranché l'air. Une alarme résonna au loin et Al' ne tarda pas à être encerclé par une foule de marine. Une paire de menotte et il fut directement conduit à la prison de Classic Town. Mais son aventure ne s'arrêtait guère ici, il trouverait le moyen de quitter cette prison.


Dernière édition par Yukiji Alucard le Dim 1 Mai 2011 - 21:29, édité 2 fois
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Yukiji Alucard vous êtes jugé coupable du meurtre de cinq membres du Cipher Pôle, ainsi que de toutes les autres affaires non résolut. Votre tête est mise à prix à 70,000,000 de berry's, vous serez donc placé dans le 3ème étages de Classic Town. Si vous tentez quoi que ce soit, vous serez immédiatement exécuté, voulez vous rajouter quelque chose ?

Non, que l'on me conduise à ma cellule.

Parfais ! Gardes occupez vous de ce détritus.


Al' fut conduit jusqu'à sa nouvelle chambre. Il fut placé dans une cellule à part pour ne pas tuer ses codétenus, tant mieux pour une fois sa renommée lui aura au moins servit à quelque chose. Dommage que ce soit dans un tel endroit et surtout six pieds sous terre. Dans quelle galère s'était-il encore fourré ? Il ne serait pas aisé de quitter ses murs, sa seule chance serait une révolution interne des détenus. Mais pour cela il lui faudrait des clefs ! Hélas les gardes n'étaient pas présent dans cet étage. Il n'y avait qu'une espèce de bestiole qui s'occupait de nous surveiller. Habituellement elle s'amuse à frapper tout ce qui bouge et massacre les plus souvent les détenus les plus courageux. Et oui ce sont les seuls qui ose sortir de leur cellule ! Cette bête n'était qu'un simple humain ayant manger un zoan, s'était vraiment rien de spéciale surtout qu'il semblait être beaucoup moins fort que notre jeune pirate. Il avait eut vent de terrifiant guerrier démon dans une prison, s'était celle de Impel Down mais il semblerait que cette œuvre ne soit qu'une pâle copie non conforme de la plus prestigieuse des prisons de la Marine. Al' n'avait pour l'instant qu'une petite approche de son plan, hélas pour ce faire il lui faudrait de la main d'œuvre gratuite. Il espérait donc que sa renommée viendrait encore lui sauver la mise dans ses lieux. Les jours passèrent assez rapidement et Al' commençait à fomenter un petit plan avec d'autres détenus pour arriver à ses fins. Le nom de Yukiji Alucard avait fait le tour de la prison en un temps record et cela avait mis le feu aux poudres. Les autres détenus savaient d'avance qu'une prison aussi petite ne pourrait pas enfermé un tel démon très longtemps, cela eut donc pour effet de leur donner du courage afin qu'ils s'insurgeassent contre leurs tortionnaires.

Les journées étaient très longues dans ce milieu carcérale. On passait le gros du temps à frapper sur de la roche ou à fournir une aide supplémentaire pour les tâches quotidiennes. Al' ne prenait pas d'outil pour casser la pierre, il préférait largement ses poings. Cela avait pour effet d'impressionner la galerie et de terrifier les gardes. S'était leur premier grand criminel et ils ne savaient même pas comment le gérer. Al' ne se sentait pas dans son élément, mais il n'avait pas le choix s'il voulait quitter les lieux. La prison à vie, s'était vraiment pas son truc il préférait largement reprendre la mer et se faire tuer en duel. Mais bon d'un autre côté, ici il serait au moins tranquille pour un petit moment. La prime qui repose sur sa tête lui pèse tout de même sur les épaules. Au moins ici il est tranquille, la Marine ou les chasseurs de Primes ne viendraient pas l'ennuyer. Mais le gros hic était que ici il ne pouvait plus voguer sur les flots ou apercevoir la lumière du jour. Quelle galère ! Si seulement il n'avait pas prit tellement de temps pour massacrer ses cinq chiens de Cipher Pôle. Son acte était noble en débarrassant le village de ses tortionnaires, mais le prix pour une bonne action était tout de même lourd à payer.

Al' n'avait pas vraiment d'amis dans ses lieux, s'était plus des compagnons ou des êtres qui étaient animés par la même ambition: celle de s'enfuir. Il avait déjà communiquer ses plans aux autres, il fallait donc plus qu'être patient et attendre que les pions se mettent en marche. Ce soir allait donc être le grand soir, il espérait que les hommes confiés de la mission seraient à la hauteur de ses exigences. De toute façon il n'avait pas le choix, s'était leur unique billet de sortie. Al' n'avait pas fermé l'oeil de la nuit, il attendait patiemment que l'heure du crime résonne dans la prison. Du bruit se fit alors entendre dans l'étage supérieur, l'heure de l'escapade avait débuté. Un homme ensanglanté vint jusqu'à sa cage et lui remit une clef juste avant de mourir sous ses yeux. Al' savait que la mission qu'il leurs avait confié, était une passerelle sans retour. Il ouvrit la porte de sa cellule et transmit la clef aux autres détenus. Puis il partit vers les étages supérieur, il avait de nombreux morts sur le sol. La bataille était déjà terminée pour cela, les gardes les avaient anéanti en une fraction de seconde. Heureusement pour Al', il y eut un courageux qui a pu lui transmettre la clef, sinon il n'aurait jamais quitté ses lieux. Enfin façon de parler, car pour l'instant il était toujours coincer entre les quatre murs de la maison de détention.

Plusieurs prisonniers lui emboitèrent le pas, il était suivit d'une colonne de trente gars. Personne n'était armé, il nous fallait donc de quoi nous défendre. Hélas, l'armurie était bien trop gardée pour que l'on puisse en prendre possession avec nos simple poings. Un bruit d'alarme retentit et des cris de combats se firent entendre au loin. Les soldats approchaient rapidement de notre position. Il faudrait bientôt combattre, Al' devrait désarmer le plus d'individus pour fournir ses associés en armes. Il n'avait pas le choix, car seul il n'y arriverait jamais. Il sauta directement sur le premier soldat qu'il vit. D'un coup de poing, il craqua la mâchoire ce qui eut pour effet de le faire tomber au sol. Après un enchainement de coup, l'homme relâcha son attention et finit par tomber dans les pommes. Al' saisit un couteau et laissa le reste pour les autres prisonniers. Il fit cela avec de nombreux soldats, certes vu que maintenant il était armé, s'était plus facile de mettre à terre un individu. Avec ses coups chirurgicales, Alucard faisait tomber les ennemis les uns après les autres. Ses compagnons étaient encore debout et maintenant lourdement armé. Hélas il tomba nez à nez sur un être dont il avait oublié l'existence quelques minutes. La bête était devant eux, portant avec elle une énorme hache. Elle devait mesurer dans les deux mètres dix, pas plus, mais sa force était assez gargantuesque. Al' ne pourrait pas se mesurer à elle avec un simple canif ! Il lui faudrait la tuer d'un seul coup, pour se faire il demanda à ses acolytes de lui tirer dessus. L'effet produit était celui que attendait notre jeune pirate. La bête s'énerva et fonça tête la première dans le tas. Elle effectuait de grands moulinets à droite et à gauche, balançant sa hache comme un vulgaire cure-dent. Les hommes se faisait démembrer et disperser aux quatre coins de l'étage; Alucard devait réagir rapidement s'il voulait avoir une chance d'arrêter se massacre avant que tout ses compagnons d'infortune ne soient morts.

Il fonça droit sur la bête, s'était un hume mi-animale. Il ressembler plus à une chèvre qu'un homme. Sa tête était cornue et hurlait à tout va. Al' n'avait jamais vu un tel être et il n'avait qu'une envie, lui ôter la vie. La bête ne faisait guère attention à lui, elle se concentrait sur les hommes qui se trouvaient à ses pieds. Al' grimpa sur son dos et planta le couteau dans sa nuque. A cet instant le monstre fut prit d'une grande rage. Il commença à taper dans tous les sens et à se cogner la tête contre les murs. Al' avait du mal à tenir prise sur le haut de son crâne. Il tourna ensuite le canif pour agrandir le trou, puis il remonta la couteau jusqu'au milieu de son crâne. Le monstre mugit et tomba lourdement au sol dans un broua pas possible. L'ennemi numéro un venait d'être abattu, Al' avait surement quelques os brisé mais cela ne l'empêchait guère d'aller de l'avant. Ils partirent alors vers l'étage supérieur, plusieurs soldats les attendaient. S'était la dernière étape avant le grand hall et la porte muraille. Le doute persistait dans l'esprit de notre jeune héros, pour l'instant s'était bien trop simple.

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La montée des escaliers dura de longues minutes, Al' n'en voyait pas le fin. De plus il ne voulait pas en voir le bout de toute façon. Il savait très bien ce qu'il l'attendrait lui et ses compagnons d'infortune à la débouché de cette embouchure: la mort ! Alucard aurait une chance de s'en sortir, mais eux par contre périrons tous sur ce sol pavé. Ils n'étaient que de la chaire à canon que Alucard avait enrôlé dans son idéal de liberté. Il leur avait tellement parlé de ses ambitions et du monde extérieur qu'ils n'avaient même pas prit le temps de réfléchir avant de le suivre. On voit donc toute la tristesse de l'âme dans des lieux aussi reculés. Al' n'avait pas le choix que de sacrifier ses pauvres hommes, mais d'un autre côté il ne pouvait pas les laisser repartir. Car certains d'entre eux étaient bien pire que notre jeune pirate, enfin c'est ce qu'il se disait pour se donner bonne conscience. Et puis il n'avait pas à justifier ses actes, la survie était prépondérante chez l'humain; personne ne devrait donc lui en vouloir. De la lumière émergea dans le couloir, ils étaient bientôt arrivé. Un homme prit alors ses jambes à son cou et fonça rapidement vers la sortie. Un bruit de détonation résonna dans tout l'escalier, puis l'homme retomba de quelques marches. Il était maculé de sang et plusieurs impactes de balles étaient visibles sur son corps. Une détonation et plusieurs blessures, les soldats formaient donc une colonne devant la porte de la prison.

Les hommes se placèrent à l'extrémité de la sortie du couloir. Ils étaient prêt à donné l'assaut pour conquérir leur rêve d'évasion. Al' les laissa passé devant et prit aussi part à la course la plus meurtrière qu'il est connue. Les derniers survivants de cette rébellion, partirent à grande enjambé sur la colonne d'assaut. Les tirs résonnaient aux quatre coins du hall, la fumée commençait quasiment à masquer la vue aux insurgés. Les corps et le sang jaugeaient déjà sur la cour pavé des lieux. Un seul homme réussit à avoir le courage nécessaire pour atteindre la colonne de soldats. Dans un dernier élan de bravoure, il saisit la goupille d'une grenade et fit imploser la colonne de défense. S'était notre dernière chance et nous n'allons pas la gâcher. Arrivé au corps à corps nous serions victorieux ou presque. Al' empoigna son petit canif et commença sa danse macabre. Il visait à chaque la gorge ou le cœur, il n'avait pas le choix s'il voulait terrasser ses ennemis avec une aussi petite lame. Les coups pleuvaient et Alucard ne tarda pas à être tâché de sang. Ce n'était guère le sien, mais celui de ses ennemis ! Puis la peur lui tirailla l'estomac et il reçu un coup dans la cuisse gauche. A cet instant, il comprit qu'il pouvait craindre pour sa santé physique mais également pour sa santé mentale. Il devait faire très attention à ne pas retomber dans sa folie sanguinaire qui lui avait coûté de nombreuses années de sa misérable vie. A ce moment, il planta son couteau dans la gorge de son ennemi et le fit tourner afin de lui broyer la carotide. Par la suite il fit un tour d'horizon et remarqua une petite porte sur sa droite; Il quitta discrètement le champ de bataille pour se rendre dans la pièce. Avant d'ouvrir la porte, il regarda très méticuleusement que personne ne se trouvait à l'intérieur. Une fois sûr, il entra à l'intérieur et prit position derrière la porte en bois.

De cette position, il pouvait voir les derniers prisonniers se faire massacrer à coup d'épées et de haches. Il n'était pas très fier, mais parfois la fuite était bien plus raisonnable que la mort. Puis il remarqua où es ce qu'il avait mit les pieds. Il ce trouvait actuellement dans l'armurie de la prison, qu'elle ironie du sort lui qui voulait tant entré à l'intérieur n'avait plus qu'une hâte la quittée. Car quand les gardes auront fini de tuer les derniers fuyards, ils reviendront placer leurs armes dans cette pièce afin de les stocker. Et si Al' se trouve encore à l'intérieur à cet instant, il pourra juste prier pour sa survie qui résulterait plus du miracle que de la chance. Pris de panique, il commença à faire les cents pas dans l'étroite pièce. Après réflexion, il remarqua plusieurs barils de poudre entre poser et quelques bâtons de tnt. Il n'avait donc plus qu'une seule solution: tout faire exploser. La déflagration devrait être assez grande pour faire une brèche dans le mur de l'enceinte. Il saisit une ficelle et commença à accrocher le tout pour coordonner la poudre et les bâtons. Du bruit ce fit entendre à proximité de la porte. Al' alluma le tout et enfonça la porte d'un grand coup de pied. Al' tomba directement sur deux soldats, un troisième se trouvait sur sa gauche et le mit en joug. Al' lui lança son couteau en pleine poitrine et partit à grande enjambé derrière un bâtiment qui faisait office de bureau. L'explosion retentit dans toute la prison et fit trembler tout l'édifice. Le hall était remplit de fumée et de poussière. On n'y voyait quasiment plus rien, mais Al' prit tout de même le risque de s'aventurer en territoire hostile. De la lumière émergeait de l'ouverture faite par l'implosion des explosifs. Le trou était assez grand pour qu'il puisse passer à travers. Al' se faufila par l'ouverture et tomba directement de plusieurs mètres sur le sol. Par chance, il fut rattrapé par les branches d'un arbre sinon il serait surement mort sur le coup. Un peu ouvert de partout, il prit droit devant marchant vers une direction qui lui était inconnue.

Après de nombreuses heures de marche et à la tomber de la nuit, il arriva à nouveau à l'entrée du village de Classic Edge. A cet instant, épuisé par tous ses efforts il tomba à genoux. Le barman qui regardait par la fenêtre à cet instant, vint directement à son secours et l'emmena avec lui à l'intérieur de son commerce. Après une bonne nuit de sommeil et plusieurs verres de lait notre jeune héros était quasiment de nouveau sur pied. Hélas il ne pouvait rester plus longtemps dans la ville, au risque d'attirer les soldats de la prison et par la suite de causer encore plus d'ennuis à la citée. Mais les villageois ne voulaient pas le laisser partir aussi facilement et ils lui demandèrent de rester au moins encore une journée. Al' accepta, de toute façon il n'avait pas le choix; il l'aurait sinon enfermé. Le lendemain Al' prit une pioche et alla à la recherche de la matière première la plus importante pour ce village: l'or bleu. Il n'arriva pas à ses fins, car le désert était bien trop dense pour trouver des traces d'eau. Puis le sable compliquerait la tâche pour la fabrication d'un puits. La cause n'était pourtant pas perdue, il fallait juste un peu de patience. Il partit donc à la recherche d'information sur leurs anciens tortionnaires. Il semblerait que ceux-ci venaient chaque début du mois pour prendre leur cotisation mensuel, afin de fournir le village en eau. Ceci était tout de même louche, car s'il se remémore bien il n'y avait pas d'utilisateur de fruit du démon capable de faire tomber la pluie en un claquement de doigt. Il partit donc en quête de trouver leur camp de base avec quelques citoyens qui les avaient déjà suivit sur quelques kilomètres. Bien sûr Al' ne tomba que sur du sable et encore du sable. Il n'y avait aucun repaire de bandits dans le coin, la chance n'était donc pas avec lui pour l'instant. Il décida tout de même de rester sur place la nuit. Les villageois rentrèrent, il était préférable ainsi. Durant la nuit, Alucard commençait à piquer du nez, au vue de la température s'il s'endormait il ne se réveillerait plus jamais dans ce monde. Soudainement une légère flamme s'éleva de la pénombre; une trappe s'ouvrit sous un léger tas de sable. Ces enfoirés se dissimulaient sous la terre. Al' partit en direction de la lumière.

Arrivé au niveau de la trappe, il entra à l'intérieur et dégaina bas rien ! Il n'avait que sa pauvre pioche ce qui était déjà pas mal comparé au petit couteau de la prison. Cette grotte était un vrai labyrinthe, tout ce ressemblait et Alucard avait du mal à se repérer. De plus la lumière commençait à décroitre comme si quelqu'un se baladait avec. C'était ça la clef de sa sortie, il lui fallait rapidement rejoindre le point lumineux afin de le suivre. La tâche ne fut pas aisé, mais il réussit tout de même à rattraper l'individu qui tenait la torche. Il déboucha ensuite sur une petite salle où se trouvait trois hommes assis autour d'une table. Il y avait un espèce levier dans le coin de la pièce, surement la manivelle qui privait le village d'eau. Quel bande de chien ! Laissé mourir tout un village juste pour trois sous. S'était l'image de la cupidité humaine dans toute ça splendeur. Al' commençait à sentir la haine et la rage l'animer. Il se concentra sur son objectif et regarda les trois hommes durant quelques temps. Ils n'étaient pas lourdement armé, Al' n'allait en faire qu'une bouchée.


Tu as entendu la nouvelle.

Ouai paraît qui a un gars qui à refroidit les cinq agents. Comment on va faire maintenant ?

Suffit de trouver des nouveaux aussi avare que les anciens !

Pas facile mec. Et si on ce fait prendre ?

C'est mieux que de creuver, nan !!!


Dit Al' juste avant de transpercer un des trois individus avec sa pioche. L'homme mourut sur le coup. Sa colonne vertébrale et ses poumons avaient été touchés lors de l'impact. Alucard prit alors la dague qu'il portait à la ceinture et l'envoya rapidement dans l'estomac du second. L'homme gémit et s'écroula au sol. Il haletait et se vidait de son sang. Dans quelques minutes il serait mort, Alucard n'avait pas envie d'abréger ses souffrances. Il fonça alors sur le dernier survivant qui essayait de dégainer sa lame de son fourreau, mais sous la pression de la peur il n'y arriva point. Al' saisit alors son crâne et le fracassa plusieurs fois contre le pan d'un mur de la pièce. Le bruit des os brisés lui signifiait que l'individu était décédé. Par la suite, il remarqua quelques bâtons d'explosifs, il ouvrit la vanne et positionna plusieurs explosifs. Mais cette fois-ci il ne fera pas l'erreur de quasiment implosé avec son œuvre. Il prit un long rouleau de ficelle et attendit de trouver la sortie de se labyrinthe pour tout faire exploser. Arrivé quasiment à une bonne centaine de mètres, le tout implosa dans un magnifique géser de sable. Plus personne ne pourrait utiliser cet instrument de torture, car celui-ci demeurait actuellement six pieds sous terre.

Il partit alors en direction du village, arrivé à l'entrée de celui-ci il cria haut et fort que l'eau était revenue. Les villageois ouvrirent leurs vannes et n'en croyaient pas leurs yeux. La plus part pleuraient de joie, alors que d'autre accompagnaient notre jeune héros dans le saloon afin de fêter l'événement. Les festivités durèrent plusieurs jours et plusieurs nuits, Al' commençait même à se sentir chez lui. Mais la réalité le rattrapa rapidement et plusieurs soldats arrivèrent aux portes de la ville munit de bulletin de recherche. Les villageois ne connaissaient pas le passée de leur sauveur, mais ce qui était sûr c'est qu'ils ne l'on jamais jugés sur son passé. Al' quitta alors la ville à contre cœur et partit à nouveau sur son chemin de rédemption. Les citoyens le saluèrent une dernière fois de loin, ils n'oublieraient surement jamais l'homme qui leur à redonner espoir.
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