Quelque part sur l'extérieur de la base.
Alors que le reste des troupes se battent encore dans le hangar, je fends l'air des couloirs de Navarone à la recherche d'hommes à abattre. Ouais, je suis d'humeur massacrante ce soir et je compte bien en profiter. Les premiers mètres sont bien vides de vies puis après un certain moment, des bruits de pas résonnent dans ls galeries de la base. Les proies se jettent directement dans la gueule du loup, intéressant. Même si à mon humble avis, aucun d'entre eux ne sait actuellement que je me trouve dans les couloirs. Le son de leurs empreintes résonne de plus en plus fort. D'ici quelques pieds, ils seront miens.
Mais c'est ???
D'un bref mouvement de crinière, arme en main, j'arme mes appuies au sol puis m'élance.
ガボット爆弾の前に - Gavotte Bomb Avant !
Mon corps se faufile alors entre ce petit groupe de cinq malheureux marins. Tous ont pu me reconnaitre ? Très bien. Ce sera donc le dernier visage qu'ils verront avant de rejoindre l'au-de-là. Mon acier les a tous transpercés autant qu'ils sont et sans me retourner continuant droit devant, j'entends leur âme s'évanouir. Désormais, je ne fais qu'avancer, les yeux brûlant de fureur.
Arrivant à terme de ce premier couloir, une porte indiquant un escalier montant s'offre à moi. Ou alors une porte situé niveau actuel. Que choisir ? Prendre un peu de hauteur ne serait pas de refus. Il faudrait au moins évaluer la taille de cette base ainsi que sa constitution. Mais se perdre ici ne m'étonnerait pas. L'endroit a l'air monstrueusement grand. Gravissant les marches, j'atteins donc le premier niveau. A moins que ce soit le deuxième ?
Dans ce deuxième couloir, je continue mon ascension puis ..
KOF ! ... KOF ! KOF ! ... KOF !
Je me prends d'une violente toux. Stoppant alors ma course, la main posée contre le mur, du sang s'échappe de ma bouche. A croire que mes blessures sont encore bien ancrés dans mon organisme. Repositionnant mon masque préalablement ramasser sur le sol du hangar, je prends une bouffée d'air, calmant petit à petit mes pulsions artérielles. Faut vraiment que j'aille me faire soigner ...
Alors que le reste des troupes se battent encore dans le hangar, je fends l'air des couloirs de Navarone à la recherche d'hommes à abattre. Ouais, je suis d'humeur massacrante ce soir et je compte bien en profiter. Les premiers mètres sont bien vides de vies puis après un certain moment, des bruits de pas résonnent dans ls galeries de la base. Les proies se jettent directement dans la gueule du loup, intéressant. Même si à mon humble avis, aucun d'entre eux ne sait actuellement que je me trouve dans les couloirs. Le son de leurs empreintes résonne de plus en plus fort. D'ici quelques pieds, ils seront miens.
Mais c'est ???
D'un bref mouvement de crinière, arme en main, j'arme mes appuies au sol puis m'élance.
ガボット爆弾の前に - Gavotte Bomb Avant !
Mon corps se faufile alors entre ce petit groupe de cinq malheureux marins. Tous ont pu me reconnaitre ? Très bien. Ce sera donc le dernier visage qu'ils verront avant de rejoindre l'au-de-là. Mon acier les a tous transpercés autant qu'ils sont et sans me retourner continuant droit devant, j'entends leur âme s'évanouir. Désormais, je ne fais qu'avancer, les yeux brûlant de fureur.
Arrivant à terme de ce premier couloir, une porte indiquant un escalier montant s'offre à moi. Ou alors une porte situé niveau actuel. Que choisir ? Prendre un peu de hauteur ne serait pas de refus. Il faudrait au moins évaluer la taille de cette base ainsi que sa constitution. Mais se perdre ici ne m'étonnerait pas. L'endroit a l'air monstrueusement grand. Gravissant les marches, j'atteins donc le premier niveau. A moins que ce soit le deuxième ?
Dans ce deuxième couloir, je continue mon ascension puis ..
KOF ! ... KOF ! KOF ! ... KOF !
Je me prends d'une violente toux. Stoppant alors ma course, la main posée contre le mur, du sang s'échappe de ma bouche. A croire que mes blessures sont encore bien ancrés dans mon organisme. Repositionnant mon masque préalablement ramasser sur le sol du hangar, je prends une bouffée d'air, calmant petit à petit mes pulsions artérielles. Faut vraiment que j'aille me faire soigner ...