Rares sont les étrangers dans le coin. Faut avouer que la nature est sans doute plus forte et plus cruelle que de vulgaire pirate. La montagne est froide et les tempêtes de neige sont mortelles. D’ailleurs elle a encore frappé et cette fois elle veut en finir avec eux, le fier peuple de la montagne. Une épidémie se répand, une maladie qui était endormie depuis plusieurs siècles. Il fallait chercher dans les archives pour réussir à trouver le remède. C’est donc la famille de médecins qui se met à chercher les ingrédients pendants que Feng prend les choses en main. Suite à une discussion avec le maire, ce dernier fait une annonce pendant que les hommes de Feng (qui est responsable de la garde) placardent des affiches un peu partout
-Je décrète l’état de quarantaine. Que toutes personnes malades soient rassemblé dans les maisons six, sept et huit.
Notre commandant n’avait pas grand-chose à faire, ses hommes faisaient obéir les consignes aux habitants tandis que lui s’installe comme à son habitude sur le toit de sa maison et s’allonge. Les yeux levée vers le ciel, les nuages sont épais aujourd’hui ce qui ne présage rien de bon. Le vent souffle légèrement ce qui permet à l’aigle de Feng de planer et faire du surplace à quelque mètre au-dessus du sol. Suite à ça on entend le cheval bien noir de notre homme hennir. Deux montagnards trapus s’approchent de la maison.
-Commandant Feng, nous avons de nouvelles informations.
Notre homme ne bouge pas d’un poil, toujours allongé.
-Continue ton rapport.
-Bien. D’après les médecins Ghenryu, il leur faut la fleur des glaces. C’est l’ingrédient principal et elle n’a pas de substitue.
Après quelques secondes de silence et comme bruit de fond le vent qui se promène dans la vaste montagne, le leader se redresse puis se lève. Un grand monsieur de plus de trois mètres avec un regard terrifiant. Il saute pour atterrir devant les gars et avec son poids, lorsqu’il touche le sol de la neige gicle sur les côtés. Très calme il donne ses instructions.
-Je veux Zev, Bolor, Oyu avec moi. Nous partons dans une heure, prévenez-les.
-Mon commandant, si je puis me permettre il est préférable d’y aller plus nombreux en cas de confrontation avec des animaux sauvages.
Lao qui fait presque de fois la taille de son interlocuteur place sa grande main derrière la nuque de son sbire. Toujours aussi calme et froid il lui répond.
-Tu penses que les lapins des neiges sont terrifiants ? Non, tu ne connais rien de cette montagne. Dit toi qu’un seul ours oroukay est suffisant fort pour vaincre. Plus on est nombreux plus on risque de se faire repérer. N’émet plus le moindre son de contradiction dans ma direction.
Le soldat tremble devant la présence terrifiante de son chef. Il baisse le regard et n’ose plus rien dire. Il se prend une claque par le chef qui l’envoie dans la neige.
- Comportes-toi en homme petit. Tu manques de courage et d’amour propre…
Lao entre dans sa maison pour se préparer.
-Je décrète l’état de quarantaine. Que toutes personnes malades soient rassemblé dans les maisons six, sept et huit.
Notre commandant n’avait pas grand-chose à faire, ses hommes faisaient obéir les consignes aux habitants tandis que lui s’installe comme à son habitude sur le toit de sa maison et s’allonge. Les yeux levée vers le ciel, les nuages sont épais aujourd’hui ce qui ne présage rien de bon. Le vent souffle légèrement ce qui permet à l’aigle de Feng de planer et faire du surplace à quelque mètre au-dessus du sol. Suite à ça on entend le cheval bien noir de notre homme hennir. Deux montagnards trapus s’approchent de la maison.
-Commandant Feng, nous avons de nouvelles informations.
Notre homme ne bouge pas d’un poil, toujours allongé.
-Continue ton rapport.
-Bien. D’après les médecins Ghenryu, il leur faut la fleur des glaces. C’est l’ingrédient principal et elle n’a pas de substitue.
Après quelques secondes de silence et comme bruit de fond le vent qui se promène dans la vaste montagne, le leader se redresse puis se lève. Un grand monsieur de plus de trois mètres avec un regard terrifiant. Il saute pour atterrir devant les gars et avec son poids, lorsqu’il touche le sol de la neige gicle sur les côtés. Très calme il donne ses instructions.
-Je veux Zev, Bolor, Oyu avec moi. Nous partons dans une heure, prévenez-les.
-Mon commandant, si je puis me permettre il est préférable d’y aller plus nombreux en cas de confrontation avec des animaux sauvages.
Lao qui fait presque de fois la taille de son interlocuteur place sa grande main derrière la nuque de son sbire. Toujours aussi calme et froid il lui répond.
-Tu penses que les lapins des neiges sont terrifiants ? Non, tu ne connais rien de cette montagne. Dit toi qu’un seul ours oroukay est suffisant fort pour vaincre. Plus on est nombreux plus on risque de se faire repérer. N’émet plus le moindre son de contradiction dans ma direction.
Le soldat tremble devant la présence terrifiante de son chef. Il baisse le regard et n’ose plus rien dire. Il se prend une claque par le chef qui l’envoie dans la neige.
- Comportes-toi en homme petit. Tu manques de courage et d’amour propre…
Lao entre dans sa maison pour se préparer.