TÉMOIGNAGES & RÊVES.
MA SPIRITUALITÉ & MES RÊVES.
LUN. 25 OCT. 2021.J’ai regardé une vidéo de Q.D.H. sur Youtube hier soir aux alentours de 23h30. Le contenue a parlé des capitalistes étasuniens issus de la C.I.A. qui ont collaboré avec des dictateurs d’Amérique latine afin de massacrer secrètement des habitants d'Argentine, de Chili, de Bolivie, du Pérou et du Brésil soupçonnés d’être affiliés au régime communiste. Les opérations ont duré de 1947 jusqu'aux années 70’ / 80’. RÊVE LUCIDE 01Je rêve vers 9h. Je suis dans un pays latino avec comme paysage un environnement de type bayou. Je me retrouve avec des gens qui cherchent à fuir les régimes tyranniques mis en place dans leur propre nation. Une marée humaine désespérée essaye tant bien que mal de traverser les frontières où on aperçoit au loin l’Océan Atlantique, signe de la liberté. Les opposants politiques massacrent les immigrants sans états d’âme. Avec les malheureux, nous cherchons par tous les moyens de passer en force face à la menace évidente. Nous avons de l’eau vaseux jusqu’aux cuisses et nous peinons à marcher. La flore et la faune locale n’est pas à notre avantage. Des bestioles toxiques sont comme entrain de refermer l’étau. Je suis en compagnie d’un jeune garçon (autour de 15 ans) à la peau métissée. Oppressés, nous bravons comme nous le pouvons ce qui nous fait face, mais les créatures nous donnent un élan d’adrénaline à cause de leur toxicité que nous ne voulons pas recevoir.
D’un coup, j’ai l’angoisse de me faire piquer par une sorte de scorpion se cachant dans l’eau vaseux, ce qui me pousse à lever les pieds. Je perds de vue l’adolescent et je me focalise instinctivement sur ma propre survie.PRISE DE CONSCIENCE.
Dans mes draps, je ressens un poids particulier sur mes épaules, comme une force qui m’oppresse véritablement et qui cherche à m’ancrer les jambes vers le bas. Ce que je perçois à ce moment-là dans la réalité vient particulièrement faire le lien avec le rêve. Je constate que j’active vraiment mes pieds avec cette crainte d’être empoisonné. Toujours écrasé, je suis totalement immobilisé dans le fond de mon lit avec cette difficulté de lever mes jambes. Les yeux ouverts, toujours paralysé, je vois ma couverture bouger toute seule et m’enrouler petit à petit comme un boa constructeur. Avant de pouvoir totalement suffoquer, je parviens par je ne sais quelle miracle à me redresser, retrouvant ainsi ma quiétude.Ce rêve me fait rappeler un autre où je suis dans des pays subsahariens. Je traverse des frontières marquées par des murs barbelés et gardées par des patrouilles armées. Au-delà de cette démarcation, je m’enfonce ensuite dans des milieux arides. J’essaie d’aider des populations pauvres qui cherchent à fuir les régimes tyranniques et la famine. [J’apporte toujours de l’eau ou de la nourriture et je les exhorte par ma présence], mais je ne prends pas le risque d’en prendre un avec moi pour faire l'expatrier hors des dangers constants de son pays.***
MER. 27 OCT. 2021.Je me couche autour de 21h. La journée a été très longue. Le matin même, j'ai fais une étude biblique avec un ami et j'ai échange avec lui mes réflexions à ce sujet. On a terminé la conversation avec des prières d'exhortation et de prise de position. On a affirmé dans nos prières le souhait de vouloir faire confiance à Dieu et de le suivre. Lorsque j'ai commencé à m'endormir, mon cerveau n'a pas été en mesure de se mettre en off. Des pensés ont défilé, des souvenirs de ce que j'ai fait dans la journée ont été vu, ainsi que des questionnements sur tout et rien ont été posé. Au bout d'un moment, dans la continuité de ses réflexions, j'ai entamé alors un rêve lucide. RÊVE LUCIDE 01Je suis avec mon jeune frère et mon colocataire en pleine nature. Nous vivons sur une sorte d'îlot à l'intérieur d'un lac. Depuis notre habitation ressemblant à une grande cabane sur pilotis, nous voyons les rives. Depuis les berges, il y a des champs où se trouvent des fleurs et des animaux sauvages. De plus, une forêt de conifères nous encercle, apportant alors au décor une touche naturelle supplémentaire. Au-delà de cet environnement sauvage et harmonieux, il y a des montagnes qui se dressent en majesté, délimitant ainsi ce paysage en un endroit de tranquillité et de pureté. Tel dans un cocon ou dans un havre, nous vivons sainement et en paix. Tout se déroule pour le mieux, mais rapidement, d'autres gens commencent à venir s'installer également dans ce petit coin paradisiaque, ce qui marque le début d'une rupture.
Ainsi, d'autres individus partagent avec nous les ressources présentes et s'installent concrètement un peu partout sur les berges, formant alors une sorte de micro société. Avec mon frère et mon colocataire, nous sommes les seuls à vivre sur l'îlot, mais n'importe qui peut s'y aventurer. À côté de notre habitation, il y a un peu de verdure. Mon colocataire est absent. Encore un peu loin de la maison, je me dirige vers elle en compagnie de mon frère. Ce dernier prend plus de temps et je me retrouve quasiment seul sur quelques mètres. En m'approchant de notre demeure, je vois un jeune homme avec une chaîne de vélo. Il est habillé comme un punk et s'apprête à faire du vandalisme. Instinctivement, je cours à sa rencontre en lui criant dessus. Porté par le sens de la justice, j'aspire à ce que l'individu ne fasse pas plus de dégâts, mais il fait mine de ne pas s'intéresser à moi et saccage ce qu'il peut près de notre domicile. J'arrive à sa hauteur et il se tourne vers moi en répliquant qu'il est libre de faire ce qu'il veut. Il prend un air menaçant et sort un couteau. Il essaye de m'intimider, mais je suis tenace face à l'adversité. Même si je ne dispose d'aucune arme, je reste à distance et lui rappelant à l'ordre. Il refuse de m'écouter et n'hésite pas à prendre des shurikens également. Sachant que ces lames sont moins dangereuses que le poignard, je ne me laisse pas apeurer, même si je ressens en moi mon instinct de survie qui me dit de fuir. Tellement assoiffée de justice, mon insouciance me pousse à rester. J'esquive les jets des shurikens et je hurle le nom de mon frère pour qu'il puisse m'aider. À plusieurs reprises je l'appelle, mais il ne vient pas. À ce moment-là, un deuxième individu rejoint mon agresseur, lui aussi avec un couteau.
Aussitôt, je commence à me sentir mal, mais en même temps, je ne veux pas abandonné quitte à en mourir.PRISE DE CONSCIENCE.
Je prends alors conscience à cet instant précis que Satan cherche à m'effrayer et me faire renoncer à ma prise de position que j'ai prise le matin. Mon cœur bat fort et je suis un peu angoissé. Je comprends qu'il s'agit d'une attaque spirituelle. Je parviens à ouvrir les yeux et à ouvrir aussi la bouche. Aussitôt, je prie Dieu à haute voix et je fais l'effort de me rappeler sa grandeur, sa magnificence, sa générosité, sa souveraineté, son amour, sa paix, sa paternité et sa bonté. J'affirme que je suis inscris dans le Livre de Vie et que j'appartiens à Dieu et à lui seul. J'utilise un jargon militaire en indiquant que je suis à son service. Il veut m'utiliser et j'en ai le désir. Je dis que j'ai repéré un petite bataille et que je prends les armes. J'accepte de combattre l'adversaire avec la force de mon Dieu. Je fais comprendre que c'est avec Dieu que je veux vivre. Je me rappelle de la croix et du sacrifice ultime. Je lui demande pardon pour mes faiblesses, et en même temps, je lui remets mes fardeaux. Je lui précise particulièrement que je veux lui laisser toute la place dans mon cœur et que je désire absolument pouvoir être humble. Je me suis souvenu aussi d'un passage de la Bible où un roi mourant fait une requête à Dieu pour lui prolonger sa vie terrestre. Le prophète lui communique le message de Dieu où il doit prendre un arc et tirer des flèches. Il en tir seulement quelques unes. Dieu lui accorde alors seulement quelques années. Le prophète lui explique qu'il aurait dû insister et faire preuve de persévérance. Alors plusieurs fois, je répète ma demande. Je continue à prier encore un bon temps. Par moment, je me sens transporté et élevé, comme attiré par le haut. La paix s'installe alors dans mon être et je me laisse attendrir. Peu à peu, je retrouve la sérénité. Évidemment, tout ce que je dis, c'est grâce au nom de Jésus-Christ que je peux le faire. Une fois ma prière terminée, je referme les yeux pour dormir.RÊVE LUCIDE 01 - SECONDE PARTIEJe me mets instantanément à prendre le rêve là où il s'est arrêté. Je suis donc calme et serein. Mon frère n'étant toujours pas là, je relâche les poings. Mon attitude est diamétralement différent. Je leur dis, s'ils veulent prendre mes biens, qu'ils le fassent. S'ils veulent saccager mes affaires, qu'ils le fassent. S'ils veulent me faire du mal ou me tuer, qu'ils le fassent. Une paix rayonnement émane de moi, je n'ai plus de crainte, ce qui choquent mes agresseurs. En voyant ma réaction nouvelle, ils abandonnent malgré eux leur couteau et tombe à genoux. Ils me demandent pardon et je leur pardonne. Le rêve se vaporise à la seconde d'après.
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J'ai la sensation d'avoir rêvé toute la nuit et je me lève naturellement à 7h pile.RÊVE LUCIDE 02C'est un soir d'été dans un paysage urbain près d'une rive aménagé pour être un espace vert. Je suis en compagnie de mon jeune frère Benjamin, de mon grand frère Maxime et de sa conjointe Anne, de mes amis Guillaume, Lydie, Mélina, Julie, Audrey. Nous sommes dans l'euphorie et nous déambulons presque sans but, sans doute à la suite d'un after. Audrey dispose d'un rétroprojecteur portable et à plusieurs reprises, nous projetons les images du film sur les immeubles. À un moment donné, je fais tremper mes pieds dans l'eau à côté de mes amis. Nous rions et nous semblons être insouciants.
Sans doute le matin, sans explication de comment nous sommes arrivés là, mais nous nous retrouvons dans une sorte d'école primaire abandonné. Nous sommes à l'aube d'une guerre, car des militaires utilisent leurs armes. Je n'arrive pas à déterminer s'il s'agit de l'ennemi ou de notre camp. Mes frères et mes amis sont comme subjugués par ce qu'il se déroule à l'extérieur, mais je ressens une vive crainte m'envahir. Par instinct de survie, je me mets à me cacher dans les toilettes. Je reste conscient que ma cache n'est pas la meilleure. J'entends des voix qui ne sont pas celles que je connaisse. Je vois au travers l'interstice de la porte et le sol des militaires. Je réalise qu'ils sont là pour moi. Je me fais prendre. Un soldat m'emmène à l'extérieur près d'un homme très spécial. La rue est un champ de bataille, mais le périmètre est sécurisé. Au loin, je vois mes amis et ma famille ensemble. Ils n'ont pas l'air d'avoir peur et ne me remarquent même pas. L'homme très spécial me fait traverser un bâtiment en ruine rempli de militaire en pleine activité. Je ne sais toujours pas si je suis un captif ou non. Au bout d'un moment, je suis conduis auprès d'un autre homme ayant une certaine prestance. Je mesure qu'il s'agit du plus haut gradé du coin. L'homme qui m'a amené jusqu'à cette personne de grande importance nous laisse tranquille. J'ai donc une conversation avec cet individu de l'état-major.
Je ne sais pas ce qu'on se dit, car je suis comme téléporté avec lui et l'homme spécial à l'orée d'une forêt en compagnie d'autres militaires. Des recrues sont avec des vétérans et ils m'attendent. Je prends conscience que je suis gradé général. Mon supérieur m'explique la situation en indiquant qu'il y a des otages encore captifs plus loin au cœur du bois. Il m'explique que j'ai les commandes aux mains et je prendre l'initiative de gérer l'opération de n'importe quelle façon, car il me dit qu'il assure derrière. Je me tourne ensuite vers mes hommes. Je fais former une paire de biome en respectant de garder un nouveau avec un ancien afin qu'il y ait une cohésion juste au sein de la troupe. J'envoie aussitôt par groupe de quatre mon équipe un peu partout dans la végétation et nous avançons progressivement. Nous débusquons nos ennemis en les neutralisant par surprise. Rapidement, nous nous dirigeons vers notre objectif et nous libérons les prisonniers. Je fais mon rapport de ma première mission : il est sans bavure. Le rêve s'arrête là.
ANALOGIE
Quand les militaires apparaissent, ce n'est pas une invasion de l'ennemi, mais une défense mise en place de ma faction. Le membre de l'état-major représente Dieu, ainsi que l'homme spécial fait écho à Jésus-Christ. D'ailleurs, quand il m'a conduit auprès de mon supérieur, j'ai eu une voix me dire "Je suis le chemin, la vérité et la vie". Dieu me prépare pour le combat. Et mon objectif est de libérer les captifs. Et je peux le faire seulement avec la force de Dieu, en suivant le projet qu'il a pour moi. Il me fait général, car il me forme pour que je puisse endurer ce rôle-là, il veut que je puisse avoir les épaules taillés pour participer à son plan fabuleux qui consiste à sauver le plus de gens.***