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L'odeur de l'argent

Le fracas du tonnerre accompagnait mes pas, chaque pas me rapprochait de cette façade. Une simple taule posée sur le mur avant déguisait le simple bar. Mes vêtements détrempés par la pluie pesaient lourd sur moi. Je n’avais plus un sou en poche, j’étais passablement ruiné, après avoir utilisé nos derniers Berry pour s’acheter de nouveau vêtement. De plus, j’étais sobre. Cet état de sobriété me mettait mal à l’aise, j’étais alerte, sur mes gardes sans raisons évidentes. Sosu était déjà dans le bar, il était entré en premier pour ne pas attirer l’attention sur nous. La distance me séparant de la porte en monochrome rouillée fus après quelque minute anéantis, la porte était devant moi. Je tournai légèrement mon regard autour de moi, un quartier résidentiel, comparable à un bas-fond de la ville s’étalait. Un lieu sans aucun doute fréquenté par les mafias, ma foi trop puissante pour pouvoir ne serait-ce penser m’opposer à celle-ci. Je me décidai enfin à rentrer.

L’intérieur était aussi vide et rustique que l’extérieur. Seul une petites douzaines de tables en bois s’étalaient un peu partout, éclairé par de simples lampes à huile suspendu au plafond : plafond percé par de grandes poutres en bois. Prouvant que le bâtiment et donc l’extérieur avait été rénovée, mais que les revenus du bar n’avait pas été assez important pour le garder en bon état. Je raccrochais mon attention aux personnes dans le bar :

D’abord le barman, un homme d’une quarantaine d’année, habillé d’un simple maillot, un jean, un tablier. Celui-ci était en pleine discussion avec deux hommes, de simples ouvriers à en juger par leurs tenus. Avec ces trois-là, moi, Sosu, se trouvait  trois autres personnes, deux hommes bourrés à une table racontant des histoires grivoise. Et un dernier, son apparence tellement banale que j’aurais du mal à retranscrire comment il était.

Une fois cela terminé, je m’approche de la table ou est assis Sosu et lui dit d’une voix calme :

« J’peux m’asseoir ici gamin ? »

Sosu lève son regard vers moi, celui eu une demi-seconde un sourire de coin, sans doute à cause de ma nouvelle apparence. Je venais de me raser complètement le crâne, la barbe, les sourcils. Plus aucun poil n’étais sur mon visage. Mes habits se composaient d’un pantalon de toile bleu foncé. Des bottes, des gants noirs. Et pour finir, un gilet noir. Sosu me répond d’une voix d’où pointait un accent rebelle :

« Ouais, j’te permet. »

Je m’assois et observe mon frère, celui-ci portait une veste verte contre le froid et les intempéries, un maillot noir, des chaussures noirs et pour finir, un jean gris. Pour son visage, ce dernier avait teint ses cheveux en rouge comme sa barbe naissante. Mon sang prend un air sombre, baisse la voix et me demande de son ton habituel :

« On est complètement à sec, on a plus un sous, il faut qu’on se fasse de l’argent rapidement. »

J’acquiesçais en silence, il nous fallait de l’argent. Je remarquais alors que l’un des deux hommes à moitié bourrée tient en sa main une jolie liasse de billets. Je me levais donc devant le regard intrigué de Sosu. Je prenais une chaise et m’assois à la table des deux hommes. Puis, je leur annonçais d’une voix puissante :

« Eh, ça vous dit un bras de fer, le gagnant empoche 500 berry que l’autre à mit en jeu. »

Les deux hommes ne semblaient pas tellement chaud pour cela, mais j’avais l’avantage de savoir comment réagis un homme saoul, il suffisait juste de le toucher à l’égo, je surenchérissais en leur répondant d’une voix emplie de mépris :

« Ah, je vois, j’ai affaire à des faibles. »

Je fis mine de faire demi-tour, mais le plus riche, la personne que tenais la liasse me retenais et en se levant m’hurla à la gueule :

« Attends, tu m’as traité de nul, j’vais te démonter la gueule. »

Je me retournai un énorme sourire aux lèvres. Je m’assis à la table, mettant mon bras avec un fracas d’enfer sur cette dernière. Je souriais de toutes mes dents. Mon adversaire plaça son bras, mais semblait ridicule par rapport à l’énorme poteau qui me servait de membre. Il ne me fallut que quelque seconde pour démonter se bouffon. Je pris la liasse, mais le perdant attrapa mon bras, avant de cracher d’un ton de poltron :

« D’où tu emmènes mon argent ? Je suis sûr que tu as triché. Avoue ! »

Je souriais toujours et étant de bonne humeur par rapport à ma victoire, je lui répondis calmement :

« Lâche mon bras tout de suite si tu ne veux pas le sentir passer. »

L’ivrogne ne m’écoutai pas, avec un soupire, je sortis en un éclair mon couteau de chasse, le planta dans la main de l’ivrogne avant de les planter tous les deux sur la table. Le pauvre hurla et se mit à geindre. Plus aucun son ne sortait du bar à part les pleurs du pauvre bougre. Puis, approchant ma bouche de son oreille, lui susurrai doucement :

«Attrape moi encore une fois et ta gorge finira tranchée par mes soins. »

Puis, prenant dans ma poche un briquet, lui brûlai les billets sans ménagement. Puis, reprenant mon couteau et me retournant cria :

« Tu ferais mieux d’aller à l’hôpital, j’sais pas trop ce que cette lame à toucher. »

Avec un hurlement d’horreur, lui et son compère quittèrent la taverne. Puis, m’étirant et essuyant la lame du couteau sur mon pantalon repartit vers mon frère en sifflant.  Sosu me regarda m’asseoir avec un large sourire pendant que nous éclations de rire. Soudain, l’homme d’une banalité affligeante vint nous parler à notre table. Puis, se rapprochant de nous déclara :

« Si vous cherchez de l’argent, je fais partis d’une organisation qui offre de l’argent en échange de service rendu. »

Sosu et moi restâmes bouche bée quelque minute. Cela pouvait être un simple piège, ou réellement un moyen de se faire de l’argent facile. D’un regard, nous nous décidâmes, il nous fallait de l’argent impérativement, peu importe le moyen. Je répondis d’une voix calme à mon interlocuteur :

« Nous acceptons, filez nous l’adresse. »

L’homme traça une banane sur son visage avant de donner un bout de papier avec une adresse d’écrite. De plus, celui-ci termina la discussion en répondant :

« Tâchez d’être là à minuit ce soir. »

Je pris le papier qu’il me tendait et quand je remis mon regard sur lui, ce  dernier avait disparu, sans un bruit. Sosu me fit part de ses craintes :

« Volka, tu es sûr que c’est un bon plan. »

Je lui répondis posément :

«  Ce n'est pas comme la marine allait nous arrêter, au pire ils n'ont absolument aucune chance de trouver des preuves contre nous, si cela se trouve, peut-être même que ce sont des services légaux, bien que j'en doute. »

Nous terminâmes la soirée dans le bar, à discuter de tout et de rien. Mais quand il fut 23 heures, nous partîmes sans un bruit, laissant l’ambiance festive du bar, pour la pluie et la nuit sans un bruit.

Nous étions détrempée, l'eau dégoulinait sur mon crâne rasé, Sosu marchait à côté de moi, nous n'entendions rien, pas une âme qui vive, pas un son. Nous sourions, nous nous projetions déjà ce que nous allions faire avec l'argent. Peux être vendions nous la peau de l'ours avant de l'avoir tué ? Mais l'impatience grandissait en nous, les bâtiments défilaient au son de nos semelles sur le sol, au son du tonnerre grandissant. Aucune émotion n'habitait mon cœur en ce moment, nul autre émotion que l'excitation, faisant battre mon cœur, jouer mes muscles. Sosu semble moins excité que moi mais ayant confiance en moi me suit.

Comme un seul homme, nous nous arrêtions, devant nous s’étalait un petit parc d’une cinquantaine de mètre de large, avec de grands pins planté dans le sol. Au milieu du parc, se dressait un kiosque en bois de bouleau. Je fis signe à Sosu de rester en arrière pendant que j’allais y aller. Mon petit frère s’éloigne et se cacha derrière un des multiples arbres. J’avançai tranquillement et finis par monter à l’intérieur du petit bâtiment en bois. Une douce odeur de sapin règne dans l’air, très agréable. Je m’assis sur un banc et attendis tranquillement mon futur employeur. Celui-ci arriva…
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Cette soirée pourrie qui ne cessait d'aller de mal en pi. De la pluie à Boréa, Nox aura tout vu. Maugréant et maudissant le jeux du sort et le pari inconsidéré qui l'avait conduit là, le chef militaire de Shadow Law se réfugia dans la petite cabane puis secoua sa longue crinière grise, sans cure d'éclabousser d'eau le type aux longs favoris qui y était assis.

- Bon... marmonna-t-il en après s'être séché comme il pouvait. Parait que tu veux du travail ?

Purement rhétorique comme question, mais mêlée d'un peu d'inquiétude aussi. Ce type n'inspirait pas grand enthousiasme au tueur à gage. Les missions que Shadow Law confiaient étaient de haut vol et ce type... Était-il capable de tuer ne serait-ce qu'un chat ? Trop de petites nature de nos jours dans le business, pensa Nox en hochant la tête. Trop d'amateurs aussi.
Malgré la pluie, des bruits de pas filtrèrent et une dizaine de ses hommes arrivèrent avec un autre type solidement ligoté. « Chef, on a trouvé c'lui là derrière un arbre. »
Le barbu éructa un "Sosu !" en bondissant. Nox lui fit un croche-pied et il s'étala de tout son long sur le parquet moisi déclenchant les rires des hommes de Shadow Law.

- Bon, assez d'plaisant'ries. Même pour les gens d'votre calibre, j'saurai dégoter quelque chose, susurra Nox. Un sous-fifre lui tendit une photo plastifiée. On va commencer par un truc très facile. Une info d'dernière minute que j'viens d'recevoir. Tiens et zieute. C'lui-ci, s'fait surnommer "l'Bâtard d'Uranus". Plus bâtard et qu'Uranus, à mon avis.  

 
- Plus anus qu'Uranus aussi.
- La ferme John.
- Bien chef.
- Donc, j'disais. Mes hommes l'ont repéré rue des Stalactites, ici à Lavallière. Son truc, c'est l’extorsion. Il taf pour la famille Tempiesta. Et nous les Tempiesta, on les saque pas trop. N'est-ce pas, John ?
- On les bouffe au p'tit dej mais on les digère pas chef. De satanés cancers.
- La rue des Stalactites est une rue commerçante et les Tempiesta financent leurs business en taxant les petits commerçants sous des motifs d'protection, aidés d'quelques couteaux sous la gorge. Tu piges ?

Il acquiesça du chef.

- J'd'vrai m'en occuper moi-même mais il pleut trop pour s'farcir des noobs. Donc, c'votre jour d'chance à tous les deux. Si vous faites un bon taf', vous aurez des rev'nus conséquents et de bons amis. Si vous vous viandez, et ben... Reposez en paix.
- Parce qu'on s'attaque pas impunément aux Tempiestas !
- La ferme John.  
- Bien chef.
- Si vous m'ramenez la tête de c'type, ce sera deux millions d'Berry. J's'rai toute la soirée au bar "la Cour des Grands" à l'est des docks. Demandez "Taipan" et on vous conduira à moi. T'nez, réchauffez-vous, cadeau d'la maison, finit-il en déposant une bouteille de rhum à côté du cliché du mis à prix.

Nox s'en alla de sa démarche de canard et disparut dans les gouttelettes pendant qu'un éclair zébrait le ciel d'est en ouest. Il n'avait même pas demandé leurs noms, preuve qu'il n'accordait que peu d'importance à leurs vies. Il avait vu trop de bouffons défiler et se faire zigouiller par leurs ennemis. Mais en même temps, c'était ça la raison d'être de ces missions. Perdre le minimum d'hommes de Shadow Law dans cette guerre entre mafieux en sous-traitant avec des types jetables. Mais en ce faisant, ils multipliaient les risques. Ces types pourraient être de la Marine, sous les ordres d'un concurrent ou même des Tempiesta. Rien n'était exclu mais comme le dirait Loth, c'est ce qui rendait le Game intéressant. En attendant, direction la taverne, sous ce temps de chien.
    Cette entrevue laissait un goût amer au fond de la bouche, j’aurais tellement voulu lui faire regretter ses actes, mais quelque chose se voyais, il était sûr que cette homme étais un pro de l’assassinat, vu avec laquelle facilité il m’avait étalé par terre, joué les gros bras avec lui étais un très mauvais coup. Je ne pouvais cesser de me ressasse cette scène :

    Dès lorsqu’il était entré dans le petit kiosque, une impression, un sentiment de malaise se fit sentir, ce mec puait la mort à plein nez. Je ne tolérais pas la manière dont celui-ci nous avait traités comme des moins que rien. Celui-ci n’en a rien à faire nous, nous ne sommes que de la chair à canon, des abrutis payés pour faire le sale travail à leur place. Ceux-ci devaient préserver  leur hommes pour des missions plus importantes que de buter de vulgaires transporteurs de fond d’une des familles les plus dangereuses de North Blue. Il est vrai que quand j’y repense, ce n’est pas vraiment un bon plan, mais nous sommes absolument fauchés et nous ne pouvons pas faire les fines bouches.  

    J’avais attendus patiemment que celui dégage pour détacher Sosu, entravé par des cordes par l’autre bande de mafieux. Tandis que je sortais mon couteau de chasse, je sentais une haie grandir en moi, si un jour j’en avais les moyens, je leur ferait regretter, on ne s’attaque pas à moi impunément, je n’ai certes pas la force physique et moral, mais je sais, je sens que ce jour arrivera et quand ce jour arriveras, ils peuvent être sûr que je serais celui qui dansera sur leur tombes.
    La corde coupé, j’aide Sosu à se relevé, puis murmure :

    « Putain de merde, dans quoi on s’est encore emprisonner ? »

    Sosu me regarde, puis déclare d’une voix posée :

    « On n’a pas vraiment le choix, tu sais on est fauché. »

    Je sais qu’il a raisons, je ne peux m’empêcher de trouver cela injuste dans un certain sens, mais je ne peux pas avoir de prise de tête pour cela, nous travaillons cette fois en tant que mercenaire. Nous ne sommes que les pions de l’histoire, les pions d’une querelle entre mafia. Je crache par terre pour montrer ma colère. Nous sortons calmement du kiosque, directions la Rue des Stalactite.
    Nous marchons l’air déterminé, nous n’avons qu’a tuer une seul personne, même si se serais notre premier meurtre. J’ai beau me dire que c’est un membre de la mafia qui terrorise la totalité de la ville, j’ai du mal à m’empêcher de pensé que ce que nous faisons est mal.

    Sosu et moi nous arrêtons au milieu de la rue, les façades sont assez jolie, leur mur de pierre sont assez attractifs. Je sors la photo plastifié de la personne que nous cherchons, un homme, les yeux bridés, plutôt grand. Sosu jette un coup d’œil sur la photo. Nous regardons autour de nous, mais ne trouvons aucune personne dans la rue. Un peu même beaucoup déçus, nous continuons à avancer. Mais le pluie devenant trop forte, nous allons nous réfugier dans une petite ruelle. Puis nous nous mettons à souffler. Derrière nous, une voix calme retentis :

    « Il pleut beaucoup n’est-ce pas ? »

    Je me retourne pour répondre à la personne ayant posé la question. Mais je reste bouche bée en le voyant. Il fait 1 mètre 85, les cheveux noirs cours, les yeux bridés. Ce mec est le batârd d’Uranus, la personne que nous devons tuer. Sosu c’est retourner en même temps que moi et à compris. Mais, j’arbore un sourire, non pas que j’ai envie de le tuer, le faire en pensant que j’ai des intentions pacifique serais plus gentils. Je lui réponds donc :
    « Ouais, il pleut à mort. On s’est perdus, ne sauriez-vous pas  ou serai le port ? »

    Simple question rhétorique, je savais déjà ou étais le port. Il était derrière la cible. Celui-ci, se retourne et nous indique devant nous. Il ouvre la bouche et déclare :

    « Il faut continuer tout droit, c’est to… »

    Celui-ci ne termine pas sa phrase, je viens de lui planter mon couteau dans le dos. Je pense avoir touché un point vital, celui-ci devrait décéder rapidement. Mais, c’est une erreur de ma part, celui-ci me donne un grand coup de coude dans le nez. Je recule et Sosu aussi. Le visage du Mafieux n’est plus le même, c’est désormais un masque de violence. Il crache donc ces mots :

    « Tain, pourquoi t’a fait ça ? T’es du Shadow Law ? »

    Prenant un regard triste, je lui réponds tous simplement :

    « Non, je suis juste le pion de leur manœuvre »

    Le membre de la famille Tempiesta, regarda autour de lui, il voit qu’il n’y a personne à proximité de lui. Celui-ci crache par terre, puis m’adressant un regard noir, celui-ci déclare avec un semblant de rictus de peur :

    « Si tu veux de l’argent, je peux t’en donner, je peux te rendre riche. Mais tu peux me laisser la vie ! »

    Son offre est très intéressante, je préférais ne pas devoir tuer. Je suis un homme d’honneur, je ne vais pas renier l’offre que le Shadow Law m’a donné. Je dois avoir l’argent de la récompense. Je réponds :

    « Désolé, mais tu es l’argent qui va me permettre de devenir riche. Paix à ton paix. »

    Le mafieux se met à rire, puis sortant une batte de base-ball en acier avec lame d’une vingtaine de centimètre dépassant. Ma proie hurle alors :

    « Tu crois que tu vas réussir à ma buter ? Je vais te niquer ta sale race de batârd. Je vais vous dépecer et jeter vos cadavres a des porcs. Vous allez crever ! »

    Je me mets en garde avec mon couteau. Sosu derrière l’autre sortis une épée. Le pauvre se retourna, l’air ébahis, et dans ses yeux, je lus la peur, la peur de crever, la peur de se faire buter par deux ploucs venant de la campagne.  En un regards, je me met d’accord avec Sosu, la meilleurs chose à faire est simplement de le liquider, me tuer rapidement avec violence. Sosu commence et l’attaque par derrière avec l’épée, bien sûr, notre ennemis n’est pas un abrutis et réussis à esquiver le coup, mais je me trouve derrière lui et lui plante la lampe de mon couteau dans la clavicule, ce dernier se retourne de douleur et s’apprête à ma démonter la gueule à coup de sa batte. Je vois son arme arrivé vers moi avec vitesse et rapidité, je lâche mon arme et attrape la lame de la batte au prix d’un coup dans la poitrine, j’exerce mon pression sur celle-ci, son arme est inutilisable, je la tiens bloqué contre moi et mon torse. Ce dernier tente de la reprendre mais est obligé de lâcher prise pour éviter l’arme de Sosu qui faillit lui décoller la tête du tronc. Je prends sa batte sur le sol et tandis que le pauvre roule sur le sol, je lui assène un énorme coup sur la cuisse. Un râle de douleur sort de la gorge du mafieux, il se traîne sur le sol, Sosu lui plante la lame de l’épée dans le ventre, le clouant sur le sol. Il crache du sang mélangé avec de la salive, son visage montre une douleur énorme, je ressens un pincement au cœur, il me fait pitié. Je prends la batte de baseball côté lame et décapite le pauvre, ne laissant que ce corps meurtris.

    « Tout va bien gros ? »

    Cette voix me fendis le cœur, des personnes arrivait, je vis débouler dans la rue, 3 hommes habillé de la même manière que celui que je venais de buter. Ceux-ci virent que je tenais à la main la batte de leur camarade et la tête poisseuse de ce dernier. Sosu et moi nous mettons à courir, courir de peur, nous partons au bar ou Nox nous avait donné rendez-vous. nous arrivons essoufflé, quasiment sûr que nous n’avions pas été suivis, mais nous n’en étions pas sûr, j’arrive devant le barman et déclare :

    « J’voudrais bien parler à Taipan et d’urgence ! »

    J’attendis que quelqu’un vienne me voir, la peur au ventre de m’être mis à dos, un réseau de mafieux ultra dangereux.
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