Chevalier / Samourai
Un énième vestige du défunt rayonnement de Luvneel dans le monde entier, et plus précisément de la rivalité d’honneur qu’entretenaient les ordres de la chevalerie du royaume avec les samourais des castes guerrières du pays de Wano. En cette époque où le pays de North Blue multipliait les expéditions vers l’équateur et le nouveau monde, plusieurs échanges se sont opérés entre ces deux groupes de combattants d’élite. A force de rencontres, de coups d’éclats et de quelques confrontations, ils se sont finalement pris d’intérêt pour les techniques martiales utilisées par leurs homologues, que ce soit pour en déterminer l’efficacité, leur trouver des points faibles, ou se les accaparer. Au plus haut des relations entre les deux pays, ces échanges relevaient pratiquement du jumelage entre factions guerrières qui se voulaient aussi honorables que possible. Mais de tout ça, l’histoire n’a retenu que la supériorité de l’art des samourais du nouveau monde, tandis que les ordres Luvneelois tombèrent dans l’anonymat le plus complet parce que eh, z'ont perdu donc sont nuls.
Et depuis ce jour, les gens trouvent juste que les katanas ont la classe.
Loin de s’en offusquer, pourtant, plusieurs membres des ordres de Luvneelgraad ont continué à perpétuer la tradition apprise des samourais, certainement mutée à leur sauce au fil des siècles. On estime qu’un peu moins d’un dixième des chevaliers du royaume choisissent d’épouser ce style au début de leur apprentissage. Et de ceux-là, PRENOM A TROUVER est incontestablement le plus flambloyant d’entre tous… beau gosse, beau parleur, sûr de lui, d’une médisance caustique mariée à une autocritique de tous les instants, combattant émérite, travailleur assidu, fêtard invétéré, le trentenaire avancé jouit depuis des années d’un culte d’admirateurs dans le pays, dont les franges les plus stéréotypées rassemblent des dizaines de milliers de fangirls qui débatent avec véhémence sur laquelle de ses qualités mérite le plus d’attention (étonnamment, ça va souvent plus loin que « OMG CES PEEECS ♥ ! »). Mais au-delà de ça, on trouve matière à l’admirer dans toutes les strates de la population, et pour de très bonnes raisons.
[INSERER NOM AAAARGH] a beau être un combattant aux pratiques extrêmement agressives, typiques de l’école Uradachi, c’est son arme, ou plus exactement le fourreau de son arme, qui constitue le point le plus spectaculaire lorsqu’il fait usage de techniques de Iaido. Le Iai, c’est l’art de la coupe extrême en dégainé du sabre. L’OSOK par excellence, One Shot, One Kill. A ceci près que [SONPRENOOOOM] range son sabre dans un fourreau un brin particulier, conçu en remerciement par un prothésiste de Zaun à l’occasion d’un de ses exploits passés.
En effet, [PRENOMPRENOMPRENOM] est l’un des quelques chevaliers itinérants à s’illustrer régulièrement en dehors du royaume et de sa sphère d’influence naturelle. Et c’est pour cela qu’on l’a missionné, lui et sa troupe minimaliste d'une vingtaine de soldats, pour contribuer à assurer la protection des intérêts de la translinéenne sur North Blue, à l’occasion du rapprochement entre les chantiers navals de Luvneel et la firme de Reverse prise d’assaut par les pirates d’Armada. Ce qui peut aussi bien le conduire à être présent sur Reverse, sur Boréa que dans le pays même… ou sur n’importe quel port ou navire de Mark Trans.
Mais qu’à cela ne tienne : il n’a pas spécialement l’intention de s’établir pour fonder quoi que ce soit. Et son train de vie, son rythme de vie absolument pas posé, en témoigne aisément. Un style que tout le monde ne partage pas dans sa troupe, même si eh, [PRENOOOOOM] est un type bien dont la morale, bien que trop imprégnée de la loi du plus fort, est assez tordue pour se mettre au service des plus faibles.
Niveau évalué :
Dorikis : 3216
PP : 209 – très réputé sur North Blue, réputé sur plusieurs îles de GL
PI : 209
Localisation : Itinérant – Luvneel, Boréa, Reverse, GL
Créateur du PNJ : Le plus gros Cachalion de Luvneel
Habiletés/Pouvoirs :
Iai-Tech : regardez bien l’image ; le katana de [NOMDEFAMILLE] est transporté dans un fourreau modifié pour permettre les tranches dégainées les plus dévastatrices qui soient. Il s’agit en effet d’un lanceur fonctionnant avec des cartouches sur mesure qui propulse le sabre hors de son fourreau sur simple pression d’une gâchette, à hauteur de la garde, comme un fusil. Le vacarme de la détonation évoque systématiquement le bruit d’un tir de canon à quiconque l’entend, ce qui donne une idée de la puissance monstrueuse de l’attaque : si on appuie juste sur la gâchette, le katana est éjecté avec assez de force pour que le simple impact de son pommeau renverse un homme sur une dizaine de mètres. Si au lieu de ça, on guide l’arme pour trancher devant soi…
Ca demande beaucoup de force ainsi que du doigté, mais explique pourquoi [PRENOM], qui n’utilise pourtant que des katanas d’excellente facture, garde des lames en réserve. Parfois, ses armes craquent à l’impact. Idem pour ses victimes. Il garde espoir d’un jour trouver un sabre, peut-être même un meitou, qui serait à la fois adapté au style Uradachi et capable d’encaisser à coup sûr.
Bloodlust : le samouraï dispose du haki de l’armement, dans une version exclusivement offensive. A chaque usage, son aura d’un rouge flamboyant irradie en grandes giclées volatiles et imprègne jusqu’à la lame de ses sabres. Ces déchaînements d’énergie sont bien trop explosifs pour être maintenus, et ne tiennent que par à-coups d’une dizaine de secondes maximum, espacés du double au minimum. Il devient ridiculement vif et dangereux pendant ces fenêtres d’action, mais pas plus résistant… heureusement.
Et oui, il peut cumuler ça à son art du fourreau explosif pour faire des trucs franchement impossibles. Ses sabres meurent instantanément, mais les structures aussi.
Anti-pool Peut combattre avec la gueule de bois à presque cent pourcents de ses capacités, ce qui est très utile quand on est très souvent dans un état de lendemain de soirée.