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| Vers la purification (partie 3): La vendetta de l'inside man. | Rey Bolgarski♠ Valet de la révolution ♠
♦ Localisation : East blue
Feuille de personnage Dorikis: 2215 Popularité: 132 Intégrité: 31
| Ven 19 Juil 2019 - 1:29 | |
| **Au sein de confrérie**
Voila quelques jours déjà que j'avais quitté Mika et mes alliés locaux pour intégrer la confrérie des ombres. J'étais réduit à tout juste plus qu'un sbire lambda au vu de mes capacités et des attentes qu'avait le boss à mon égard mais cela ne m'empêchait pas d'être envoyé faire des tâches d'une atrocité que je ne pouvais décrire. Pour l'heure je faisais du recèle, de l’extorsion et parfois des assassina de sang froid. On me donnait juste l'adresse, j'attendais qu'on me donne ordre de partir et le travail était presque aussitôt fait. Je n'avais rien contre la purification en bonne et dû forme mais ce qui me pesait surtout c'était la nature des personnes, bien souvent de simples innocents qui avaient eu la malchance dans leurs désespoir de solliciter l'aide de la confrérie pour des problèmes souvent de nature pécuniaire. Mais ce que ces gens ne savait pas c'est que tout a un prix dans le milieux et parfois une vie aussi précieuse fut elle été en était le prix comme je l'appris à mes dépends. Je n'étais pas encore dans les petits papier du boss pour l'heure pour avoir assez d'information pour pouvoir faire quoi que ce soit de concret dans ma démarche, je n'était que la brute écervelée et injustement efficace dans ce que j'entreprenais malheureusement. Entre rentrer pleinement dans dans la peau de celui qu'ils voulaient que je sois et mon honneur de révolutionnaire justicier autoproclamé j'avais fait le choix de mettre mes idéaux à la trappe. J'étais envoyé presque tout les jour faire le « ménage » qu'il appelait cela , parfois jusqu'à plusieurs fois par jours, mon efficacité était à la fois ma plus grande qualité et mon plus grand pêché... **Pendant ce temps du coté de Mikaela** Rey était parti sans un mot mais il m'avait laissé un message avant de partir, et s'il avait eu recours à cela, lui qui me disait tout aussi ouvertement le plus naturellement du monde, cela en disait long sur le pétrin dans lequel il s'était mis. Il tentait d'infiltrer quelques chose, je ne savais pas ce que c'était au début mais une fois le message transmis à Veniton et Gustave comme demandé le nain semblait déjà savoir de quoi il en retournait. Ainsi je n'eus même pas à demander dans quoi s'était embarqué mon supérieur que j'eus déjà ma réponse. La confrérie des ombres qu'il appelait cela. Veniton compris qu'il s'était passé quelques chose avec eux et que le valet de la révolution ne pouvait juste pas revenir comme ça. En comblant les vides avec le message qu'il m'avait laissé j’assemblai déjà une bonne partie des pièces du puzzle. Faire tomber la confrérie de l'intérieur était donc son but et les hommes qui l'accompagnaient l'autre jour n'étaient visiblement pas des amis dans ce cas là. Toujours est il qu'une fois nos informations partagées , aussi maigres soient elles, Veniton envoya quelques un de ces hommes faire la collecte d'arme en tout genre au marché noir. Bien évidement tout a un prix à Noland et je commençait à le réaliser de plus en plus, aussi désagréable que cela puisse être. Mais le fait que Veniton puise dans ses propres fond pour aider Rey a s'en sortir, de lui même ou presque montrait à quel point la bonté du valet avait déteint sur le nain aigri qui nous avait presque attaqué à notre première arrivé sur l'île. Je n'avais pas reçu de nouvelle de Rey depuis plusieurs jour mais j'avais entendu des rumeurs sur la disparition plus que tragique de plusieurs des habitant. La rumeur parlait d'un homme en blanc, cela correspondait à Rey dans sa fantaisie de justicier dans laquelle il était depuis bientôt deux ans mais il ne pouvait pas tuer des innocents à la pelle comme ça, cela ne ressemblait pas au Rey que je connaissais mais je lui faisais confiance il avait un plan derrière la tête il ne pouvait pas avoir sombré dans la folie ou la dérive aussi facilement, du moins je l'espérais de tout mon cœur, le Rey que je connaissais était un homme bon et Justice, autant que je trouve ses méthode plus qu'extrême par moment, était quelqu'un avec des principes. Dans quel merdier tu t'es foutu bordel ?! |
| | | | | Rey Bolgarski♠ Valet de la révolution ♠
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| Mer 31 Juil 2019 - 0:48 | |
| Du coté de Rey Bientôt un mois s'était écoulé depuis mon infiltration et j'avais commencé à me faire une place au soleil ou à l'ombre nauséabonde de la confrérie cela dépends des points de vue . Les « confrères » comme ils aimaient s'appeler ici ne m'avait pas accepté de prime abord, j'étais juste le marginal venant de les rejoindre et à peine plus haut gradé qu'un sbire c'est dire... Mais une fois mes preuves faîtes je dirigeais désormais les sbires et les nouveau arrivants, mais bien évidement j'étais encore loin du trio de tête. J'avais gagné la sympathie des confrères même si ce n'était pas réciproque, tout ce que je faisais n'était que jouer un rôle et je le jouais pas aussi bien que je l'espérais. Au début je les ignorais pour ne pas succomber à irrépressible envie de les tuer sur place, mas au fil de temps cette envie semblait s’apaiser quelque peu comme si je les « acceptais » et rien qu'à cette idée un profond mal-être me gagnais. Une contradiction dans les principes même que je voulais transmettre et dans lesquels j'aimais à croire. Était ce les meurtres de sang froid d'innocent qui m'avaient transformé ou était ce juste l’œuvre du temps ? Je ne le savais pas encore et je ne voulais pas vraiment le savoir à vrai dire. Désormais je passais un peu moins de temps sur « le terrain », c'était un des avantage à diriger des troupes et les opérations. Je m'occupais en entraînant les dix esclaves à mon service. Cette idée était contre ma nature même de révolutionnaire avant même d'être justicier, c'est pour cela que je les voyais comme mes égales bien que cela dérangeait pas mal de mes « confrères ». Un d'entre eux se dégageait du tas, non pas en terme d'habilité au combat loin de là, ils étaient tous mauvais à vrai dire, mais quel attente aurais je du avoir de personne quittant un royaume en guerre incapables de se défendre ? Aucune à vrai dire et je n'avais pas à en avoir, les aptitudes au combat ne définissaient pas notre valeur et encore moins notre droit universel à l'appartenance du genre humain. C'était un jeune homme dans la vingtaine, pale les regard vif d'un noir de jet, et comme ses camarades il avait le crane rasé comme la coutume chez les esclavagistes le voulais, je ne le savais que trop bien j'étais passé par là également. Il n'avait pas de nom juste un numéros de matricule comme beaucoup je dû alors me résoudre à participer à cette sombre mascarade que c'était que de le renommer, comme si j'avais un quelconque pouvoir sur ces choses là. Lui comme ses confrères avaient vécu tellement dans ce monde ignoble de la traite humaine, même bien avant de quitter leur royaume, qu'ils en avaient oublié leurs propres noms. Désormais il était Rokudo et comme ses camarades il ne protesta pas, même si au fond de mon être j'attendais une révolte aussi petite fut elle. Du coté de Mikaela. J'avais reçu depuis peu le premier message de Rey. Je l'avais suivi lui et sa troupe au abord d'une ruelle. À vrai dire je suivais ses déplacements depuis quelques temps déjà, le rythme des sorties était aléatoires mais un beau jour, habillée le plus négligemment possible je me fondais dans le tas de mendiants jonchant les rues. Il m'avait vu et je l'avais vu. Les jours suivants, squattant toujours le même coin de rue il passa à coté de moi, toujours accompagné, m'ignorant totalement, il lâcha alors un bout de papier froissé par terre à mes pieds discrètement. J'attendis alors leurs départ pour l'ouvrir sans précipitation pour ne pas attirer l'attention au cas ou il y aurait eu d'autre membres de la confrérie derrière. Dessus il y avait écrit un message court mais claire, « Le plus de monde possible ». Claire, après mure réflexion pas tellement... Le plus de monde possible oui mais pourquoi faire. J'avais déjà une idée je suis blonde mais pas conne, je savais qu'il prévoirait une attaque sur les deux front, en interne, sûrement lui, et en externe sans aucun doute moi, mais je n'avait pas plus de détails ce qui n'aidait pas. Étrangement avec le temps j'avais trouvé du soutien auprès des sans domicile fixe de l'église abandonnée, ils avaient vu en moi une donzelle abandonnée par son compagnon, livrée à son sort. L’hostilité dont ils avaient fait preuve auparavant avait vite laissé place à de la bienveillance. On m'avait offert un lit de fortune et on partageaient même les maigres repas lorsqu'ils avaient la chance d'en trouver. Pour répondre à leur altruisme et leur compassion j'avais demandé à Gustav de me donner quelques restes dès que c'était possible. Enfin demander était pas le mot exacte, il me vénérait tel sa maîtresse et pour tout avouer j'y avais pris goût, mais je ne lui en demandait pas plus car j'avais un minimum de respect pour lui, la vie à Noland était dure pour tout le monde après tout. Bien qu'ils n'étaient pas motivé au départ je les « entraînait » du mieux que je pouvais au vu de mes relative compétence, mais je savais éperdument que j'avais une idée derrière la tête, je n'étais pas altruiste et Rey lui même ne l'était pas pleinement alors pourquoi me mentir, je les manipulais car la situation le voulait rien de plus. Rey me demandait des Hommes prêt à l'assaut le destin les a mis sur mon chemin, je n'allais pas cracher dessus. |
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| Dim 23 Fév 2020 - 21:10 | |
| Du coté de Rey.
Cela faisait très exactement six mois que j'avais rejoins les rang et j'avais fini par gagner la confiance du boss, Marcel Del Viero de son nom complet. J'avais été promu au rang de garde rapproché de Marcel, à l'image de ses deux seconds, Rivaldi et Tontino. Je ressentais une fierté d'être l'un des leur, comme si le personnage que je voulais laisser paraître avait pris le dessus sur celui que j'étais. Mais je n'étais pas l'un des leurs alors pourquoi ce sentiment d'appartenance était il si fort et si ancré en moi ?! Qui étais je vraiment au final ? Pourquoi je voyais en Marcel une figure paternelle ?! J'avais gravi les échelons au prix de plusieurs vie innocentes auxquelles j'avais dû mettre fin prématurément, que ce soit de ma main ou de celle des opérations que j'avais dirigé. Au début j'avais réussi à me convaincre que je faisais cela pour sauver des vies, celles de mes collaborateurs, mais je n'étais pas dupe je savais au fond de moi que mes actes étaient impardonnables, pour faire tomber un monstre et son empire j'étais devenu un monstre encore plus gros, un monstre à abattre ! Je me sentais souillé au plus profond de mon âme quel triste image de symbole de la justice j'étais devenu. Pour ne pas sombrer dans ce conflit existentiel, bien qu'il m'arrivait très souvent de m'isoler comme pour chercher à me rappeler qui j'étais, je me focalisais sur mes relations avec mes hommes de mains, les esclaves que j'avais « acquis »...Dieu que je n'aime pas ce terme...Mes relations avec Rikudo et les autres esclaves s'étaient amélioré, j'avais presque leur entière confiances et déjà leurs totale loyauté, mais cela je ne le mettais pas sur mon travail relationnel contrairement à la première, ils étaient naturellement formatés à obéir malheureusement... Je passais une grande partie de mon temps à les entraîner du mieux que je pouvais, je leurs partageais mes connaissances dans la maîtrise du sabre, itoryu pour l'instant, le nitoryu attendra encore un peu, et je partageais également ma routine d'entraînement quotidienne et les rudiments de la lecture et le bon parler à défaut d'avoir autre chose à offrir. Ils débordaient d'une innocence si pure que les faire agir pour une cause aussi salle était particulièrement lourd pour la moralité de toute personne normalement constituée, mais visiblement cela ne semblait pas déranger les autres et cela les empêchait encore moins de dormir sur leur deux oreilles. Du coté de Mikaela Le temps avait passé assez vite, et plus particulièrement ici, à Noland, cette notion revêtait une dimensions nouvelles. Les jours passent et se ressemblent et le mélange de pollution et d'obscurité quasi permanente faisaient même qu'il était dur de distinguer le jour et la nuit. J'avais pris en main l'entraînement des squatteurs en prétextant les préparer à se défendre des éventuelles personnes voulant s'approprier l'église abandonnée, « leur » maison en soit. C'était bas mais peu importe je ne suis pas là pour faire ami ami malgré que je les appréciait de plus en plus. S'il fallait choisir entre la vie de Rey et celle d'inconnus, aussi appréciables soient ils, mon choix était vite fait... Leurs capacités étaient piètrement mauvaise malgré tout mes efforts, mais ça je m'en doutait. Apprendre à des fuyards à se battre ne se fait pas en quelques jours ou quelques mois. Ils feraient malgré tout de la bonne chair à canon dans une opération suicide, une petite bien évidement, il ne fallait pas attendre d'eux quoi que ce soit. Ahh Je les aimais presque bien à la longue, mais bon c'est là vie hein... Je suivais de temps en temps les mouvements de la confrérie et de Rey quand je pouvais mais il ne me laissait plus aucun message, il se contentait de m'ignorer sur son passage, laissant toujours plus de victime sur son sillage. Je ne savais pas si le Rey que je retrouverais était celui que je connaissais et à vrai dire j'avais de plus en plus de doute sur le sujet mais je voulais croire qu'il était le même, c'était forcément lui ! Et si c'était pas le cas j'étais prête à être celle qui ferait le nécessaire quand l'occasion se présentera, à contre cœur mais le cœur n'a pas son rôle dans justice à laquelle nous aspirions. Mais pour l'heure je continuais de faire ce qui était demandé. Jusqu'à quand ? Ça seul l'avenir nous le dira. |
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| Mar 21 Avr 2020 - 18:47 | |
| Du coté de Rey. Le voilà enfin, le jour J approchait à très grand pas, la date de la libération allait bientôt tomber. Avec des mois de préparatifs et de prise sur moi même j'avais fait le plus dur : jouer le jeu jusqu'au bout. Mais si la libération physique de l'emprise de la confrérie allait potentiellement se faire celle de mon âme déchue et de mon esprit corrompu, elle, devait encore attendre et seul le temps détenait la solution à cette énigme : resterais je celui que j'étais ou avais je radicalement changer ? Le boss avait convié tout les superviseurs dans le cadre d'un coup de filet sur un groupe rival se faisant de plus en plus menaçant. Menace à nuancer toutefois car toujours était il que La confrérie restait seule maîtresse de Noland. Que ce soit par son pouvoir, sa taille ou encore son effectif. Connais ton ennemi mieux que tu te connais toi même. J'appliquais cette devise à la lettre depuis beaucoup trop longtemps pour ma propre moralité. Je connaissais sur le bout des doigts les allers et venus de tout le monde, leur temps, le lieu et même l'heure de la pause de tout les membres de la confrérie. J'avais réussi a acquérir leur absolue confiance et réussi à dissiper tout les doutes sur mon double jeu. À leurs yeux, j'étais pleinement un des leurs, j'ai du commettre d’innombrable fois l'irréparable pour en arriver là mais c'est à moi de vivre avec car ni le temps ni une purification en bonne et due forme ne saurait m'apporter la rédemption pour mes crimes. J'étais fin prêt, l'opération allait bientôt pouvoir s'actionner dans les conditions optimales. Il ne me restait qu'à m'octroyer les derniers préparatifs auprès de mes alliés à l'extérieur de la confrérie. Le matériel auprès de Veniton et Gustav et la force de frappe après de Mikaela. D'ailleurs en parlant du loup on en voit la queue. Sur mon trajet de « récolte » comme on appelait ça dans le jargon de la confrérie j’aperçus une fois encore ma seconde. C'était même devenu une habitude à force. Grimée en mendiant , seul quelques mèches blondes et son regard azur perçant la trahissait. Cela tombait bien je comptais sur sa présence, j'avais un ultime message à transmettre et un des plus important. Du coté de Mikaela.
J'avais enfin réussi ! J'avais enfin fait de ses bras cassés des soldats un minimum compétents. Ils connaissaient au terme de ces mois passés à les entraîner les rudiments du combat. Gustav apportait l'énergie nécessaire pour des résultats efficaces par la nourriture et les soins qu'il apportait, même si cela avait un coup sur la gestion de son affaire à l'auberge. Et honnêtement, si je m'en serais fichu il y a encore quelque temps aujourd'hui je lui en était reconnaissante, mais ça je ne le lui dirais pas, plutôt crever...Veniton et ses Hommes avaient fourni assez d'arme pour la centaine de personne vivant dans l'église. Des armes en tout genre, allant du simple revolver de secondes mains rafistolés aux épée de presque bonne facture, en passant par des lances et des arbalètes. Nos alliés les plus anciens et les plus fiables, Veniton et Gustav, m'avaient informé qu'ils avaient réussi à se procurer assez des dynamite, cela avait pris quelques semaines, le temps de faire jouer leurs contactes mais cela était enfin fait. Et à vrai dire il n'y avait plus rien à faire de plus que de se tenir prêt pour le début des opérations. Je venais de plus en plus dans le quartier de la confrérie , toujours grimée bien évidement, je savais que ma tête ne leur était pas inconnue, mais rien du coté de Rey pendant plusieurs jours alors que de notre coté tout était déjà prêt. Ah..Attendre, c'était pas mon point fort et je commençais peu à peu à perdre patience si ce n'était pour ce simple tout petit détail que la vie Rey était sûrement en jeu, alors bien que j'aimais pas ça, j'attendais. Il est la personne à laquelle j'ai juré fidélité, même si parfois sa vision de la justice était trop extrême à mon goût par moment, mais c'est paradoxalement aussi pour ça que j'appréciais ce marginal, il était entier allait au bout de ces objectifs, assumant pleinement les conséquences de ses actes, reconnaissant ouvertement ses erreurs dans les cas où il partait un peu trop loin. Un chic type en soit. J'avais reçu les instruction pour l'opération, la date, les lieux et l'heure exacte, le tout fraîchement tombé. Par souci de sécurité je transmis une missive à chacun des acteurs de l'opération par le biais de personnes de confiance au seins de mes « fidèles » à l'église abandonnée, tandis que je m'occupait personnellement d'expliquer au reste de mes Hommes le plan à suivre. Il s'agissait d'agir sur trois endroit différents, Rey et ses Hommes de ce que j'ai compris s'occupait de ceux du quartier nord, Roosvelt Avenu. De mon coté je devais m'occuper du quartier sud, Washington Place, quant à Veniton et ses Hommes, auxquelles s'ajouterait une partie des miens, s'occuperaient de la zone west, Bush sidewest. Chaque groupe étant dirigé par un superviseurs, Rey désertant sa positon à l'est pour prendre d'assaut un des groupe. Début de l'opération de la confrérie : vingt et une heure tapante. Initialement les groupes étaient supposer faire le ménage et converger vers le quartier général du groupe rival et les prendre au dépourvu, mais si tout se passait bien c'était eux qui allaient se faire prendre et c'était la confrérie qui allait être pris d'assaut de toute part. |
| | | | | Rey Bolgarski♠ Valet de la révolution ♠
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Feuille de personnage Dorikis: 2215 Popularité: 132 Intégrité: 31
| Mer 20 Jan 2021 - 17:42 | |
| Rey.
quelques jours auparavant.
J'avais réussi à placer mes pions sur l’échiquier, mes personnes de confiances étaient au courant du déroulement de l'opération mais j'avais encore un dernier pion à placer. Un coup de poker en quelques sortes, si je réussissais j'avais une victoire écrasante au bout du tunnel mais à la moindre erreur j'empirais ma situation au point où je n'aurais plus aucune échappatoire, et cette fois ci pour de bon. Je venais d'arriver devant le quartier général du groupe adverse, toujours avec ce sentiment d'urgence qui ne demandait qu'à transparaître sur mon visage, mais je faisais au mieux pour le cacher et affichait à la place l'allure la plus confiante, un Homme qui dégageait de l'assurance en valait deux. Toquer ? À quoi bon. Je forçais l'entrée à grand coup de pied ce qui alerta aussitôt les personnes à l'intérieur et en guise d'accueil j'avais droit à une dizaine de revolvers braqué en ma direction. Tous debout et en alerte. À vrai dire après juste un peu de réflexion je réalisais que ce n'était pas vraiment la meilleur entrée possible et que j'avais eu beaucoup de chance qu'ils ne tirent pas aussitôt....Mais bon le mal est fait autant assumer ses erreurs. Je tentais aussitôt de calmer le jeu tout en gardant cette image d'assurance factice.
-Bien le bonjour le peuple ! Vous pouvez ranger vos petits joujoux je suis pas là pour ça.
-On sait qui tu es et pour qui tu travailles. Alors on t'envoie s'occuper de nous ?! Ne crois pas qu'on va se laisser avoir par ce genre de ruse !
-Si vous savez qui je suis et de quoi je suis capable, ne crois tu pas que j'aurais pu vous éliminer en usant d'un peu plus de stratégie que de juste défoncer la porte et me tenir immobile devant vous sans rien faire ?
-Comme ci j'allais gober tout ça ! Où sont les autres ?! Si tu tentes quoi que ce soit t'es...
Une voix roque venait du fond de la pièce et calma aussitôt le groupe armé, prêt à tirer, ou du moins cela me donnait un sursis.
-Il a raison, il aurait pu faire bien mieux pour nous tuer s'il était venu pour ça. Rangez vos armes, il est là pour discuter . Corriges moi si je me trompe Spectre Blanc.
Un homme assis sur une table au fond, seul, une bouteille de scotch posée et sirotant son verre le plus calmement du monde. Il avait dans la quarantaine, une longue chevelure blonde et modestement vêtu, svelte le regard perçant d'un vert aussi claire que les feuilles au printemps. Seul quelques première rides par ci par là trahissaient son age mais il n'en restait pas moins dans la force de l'age. Pendant que ses subordonnés baissaient leurs armes lentement avec méfiance il m'invitait à le rejoindre d'un signe de la main, me regardant avec une curiosité dénoué d'animosité apparente. Je passais donc entre ses hommes de mains sans me soucier d'avantage d'une attaque en traître, je ne saurait pas l'expliquer mais je savais que mon interlocuteur était quelqu'un digne de confiance jusqu'à certaines mesures. Une fois installé il lui suffit d'un regard envers l'un de ses subordonnés pour que celui ci s'empresse d'apporter un ver à la table. Le quadragénaire servit lui même le nectar dans ce qui était à l'évidence mon ver. Le tout dans un silence pesant, qu'il fut le premier à briser au sons de sa voix calme et grave.
-J'espère que tu apprécie le scotch, c'est une bonne année tu m'en diras des nouvelles. Je suis suis Archibald mais je présume que tu le savais déjà.
-En effet je le savais déjà et il est inutile de me présenter également de toute évidence. J'apprécie l'invitation mais je crains que je manque de temps. J'ai une information de la plus haute importance à vous communiquer.
-Je présume, si on a pas le temps d'apprécier un bon alcool c'est que ça doit être important en effet. Parles donc, et vite.
-La personne pour qui je travail prévoit de, mettre un terme à la concurrence dirons nous. Je suis chargé de m'occuper de vous à vrai dire.
-Je vois, c'est bien ce qui me semblait mais tu n'es pas là pour ça. Tu cherches quelque chose d'autre en ce lieu.
- J'ai besoin de votre aide pour renverser mon supérieur. Mettre fin à son règne et faire de toi le nouveau dirigeant ici.
- Qui me dit que tu ne veux pas le pouvoir pour toi ?
-Rien mais n'est ce pas ce qui est le plus excitant dans l''histoire ? Et puis de toute façon nous pourrons en parler en temps voulu non ?
Il pris quelques secondes de réflexion dans un silence que seuls les glaçons dans son verre brisaient périodiquement en s'entrechoquant au rythme du mouvement de son poignet. Les yeux fixés dans le liquide ambré, comme en recherche d'une plénitude ou d'une réponse qui viendrait à lui. Il reprit donc toujours avec quiétude et calme, affichant un sourire annonciateur de tromperies à venir, mais peu importe pour l'heure nous étions alliés.
-J'accepte. |
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