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Toujours pas Six Pieds sous Terre[Terminé même]

>> Pludbus Céldèborde



Toujours pas Six Pieds sous Terre[Terminé même] 61459210

Pseudonyme : Le viok, le chieur, Pludbus la chance
Age: approximativement 90 ans
Sexe : homme, enfin, ce qui en reste
Race : humain, sous-catégorie : ancêtre (voir vieux débris)
Rang : Inconnu.

Métier : Grosse Epine dans le pied de la Marine, Mascotte
Groupe : Marine
But : Survivre. S'occuper. Étaler son expérience à la bleusaille. Trouver l'âme sœur. Trouver un moyen de vivre plus longtemps afin de continuer à faire ce qu'il fait.

Fruit du démon ou Aptitude pour la suite : Moyen qui lui permettrait d'être immortel
Équipements : Un porte feuille pas trop vide, un canne solide et une trousse blindé d'anti-douleurs et de médocs.

Codes du règlement (2) :


>> Physique



Droit comme un piquet, il ferait une taille respectable. Les aléas de la vieillesse en ont décidé autrement. Courbé en avant, il ne dépasse pas le mètre dix ; en effet, il est bossu. Les membres fragiles, il lui arrive de trembloter, mais il ne veut jamais l'avouer. Sa peau est rêche et couverte de cicatrices ; souvenirs de batailles parfois gagnées, souvent perdues. Ses nombreuses rides en disent long sur son âge avancé et vous n'avez pas encore vu tous les effets secondaires de la vieillesse. C'est à en vous donner l'envie de vous flinguer avant le cap fatidique.
Pourtant, Pludbus le vit assez bien, malgré la tonne de médicaments qu'il doit prendre chaque jour.
Son visage est marqué par la vieillesse et semble mort. Seuls ses yeux, toujours aussi vifs, éclairent ce masque marqué par les âges. Il laisse pousser sa barbe et ses cheveux plus par flemme que par envie de ressembler à n'importe quoi. Il aime dire que ce sont les seules choses qu'il arrive encore à faire pousser chez lui.

Comme on peut s'en douter, Pludbus ne court pas très vite. C'est à peine si on peut dire qu'il marche moyennement lentement. Son rythme d'escargot est inversement proportionnel à son rythme de parole. Une vraie pipelette ! Avec le temps, il s'est mis à parler en mâchant les mots, utilisant nombre de juron et de bruits à la signification encore indéfinie.
Au cours d'une journée standard, Pludbus ne cessera de se plaindre de ses douleurs articulaires, de son lumbago et de ses hémorroïdes, mais ce n'est que la partie émergente ! Son foie fait des siennes. Son système gastrique le lâche souvent. Alzheimer s'accroit de jour en jour. Pludbus est comme un bateau en train de couler. Il a des fuites de tous les côtés et il se fait bouffer par les termites, mais même ainsi, il continue de rester fièrement à la barre, colmatant comme il peut à grand coup de suppositoires.





>> Psychologie



Avant toute chose, il faut éviter de croiser la route de Pludbus. Ce n'est pas qu'il est capable de vous mettre des bâtons dans les roues, c'est juste qu'il est chiant au-delà du possible. Il se croit utile, expérimenté et indispensable aux marines, alors que c'est tout le contraire. Sa seule utilité ? Faites le contraire de ce qu'il dit et vous survivrez. Pludbus est un vantard qui ne cesse de parler de ses faits d'armes un tantinet lamentables, mais qu'il ne cesse d'enjoliver après chaque récit. Il est impossible de discerner le vrai du faux, mais, à chaque fois où il est à son avantage, il est impossible que ce soit vrai.
Certes, il a fait de bonnes choses, mais c'est essentiellement dû à sa chance insolente qui semble le protéger à vie. Il ressort toujours vivant des pires situations et d'étranges concours de circonstances lui permettent d'obtenir ce qu'il veut. Pour lui, c'est le destin. Pour d'autres, c'est de la grosse malchance.

Même s'il n'est plus apte à combattre, Pludbus souhaite aider de tout son possible la marine. Il cherche à entrainer les jeunes marines, il donne des conseils aux officiers. Le plus souvent, on l'écoute d'une oreille discrète. Il ne s'en rend pas tout le temps compte, heureusement.

Pludbus est, malgré ses défauts, quelqu'un de sympathique. Il aime rire et raconter des blagues rarement marrantes. Soyez gentil, faites semblant de rire, ça lui fera plaisir. Même s'il est vieux, Pludbus n'a pas perdu espoir de trouver l'âme sœur pour le plus grand désespoir de toutes les gentes dames qu'il croise. Pour lui, entre faire la cour et faire le voyeur lubrique, il n'y a pas de différence. On peut comprendre alors son peu de réussite dans cet exercice de charmes. Les marines féminins ont pour habitude d'éviter le plus possible le « vieux schnock » comme on l'appelle afin d'éviter les mains baladeuses.

Enfin, Pludbus est lâche, mais il ne veut pas l'admettre. Pour survivre à cette âge, il faut bien faire avec quelques subtilités inavouables. Son honneur l'importe beaucoup, mais il le défend à coup de couteau dans le dos et de pièges en traitre. Toutefois, vous ne risquez pas grand chose contre lui. Il tient plus à sauver ce qu'il lui reste de corps plutôt que d'effectuer une action d'éclat. Quoique, avec sa malchance chanceuse, il est capable de se mettre dans le pétrin et d'en sortir grandi.
Heureusement, c'est rare.






>> Biographie



La vie de Pludbus, c'est ses compatriotes de l'hospice qui pourrait vous la raconter. Beaucoup y sont dans des états plus ou moins lamentables par sa faute, mais, cela, vous allez le découvrir. Pludbus s'est fait un nom chez les marines. Pas le genre de nom que l'on murmure avec crainte et respect, mais qu'on sort lors de soirée bien arrosé lorsque la discussion dérive vers les pires buses de la Marine.
Voici maintenant l'histoire de Pludbus, l'homme le plus chanceux au monde au détriment de ceux qui l'entourent, raconté comme aime faire les hommes ivres dans les bars.


La fabuleuse épopée commence il y a moins d'un siècle en arrière. Son père était marine, sa mère élevait les gosses. Avec six garçons pour s'occuper, madame Céldèborde avait beaucoup à faire, surtout que son honorable mari était rarement là. Comble de son bonheur, les six rejetons, dont les ressemblances troublantes avec leur père laissaient croire au clonage, voulaient tous devenir comme leur père.
Pludbus, dernier de la fratrie, put alors profiter de l'expérience de ses ainés ; quand il est né, son plus grand frère était déjà sous les drapeaux. Passons sur sa jeunesse, qui fut jalonnée d'entrainement et de cours théorique militaire payé par son père, suivant les traces de ses frères marines.

Reprenons l'histoire à ses vingt ans. Il entre enfin dans la marine. Ses frères sont soit morts, soit à des grades respectables. Obligation fraternelle oblige, ils font de nombreux sacrifices afin d'amener leur plus jeune frère au plus haut niveau en peu de temps. À cette époque, Pludbus était totalement aspiré par son travail. Sa vie sociale n'existait pas. Il ne faisait qu'accomplir des missions, grimper des échelons et s'entrainer.

Il n'était pas ce qu'on pouvait appeler un puissant soldat. Il perdait plus souvent qu'il ne gagnait, mais sa chance insolente le préservait, à la différence de ses collègues de travail qui commençaient à s'entasser dans les cimetières. Cela dura une trentaine d'années. Quelques jolis coups de filet dus à la chance lui valurent une certaine estime de ses supérieurs. Pendant ce temps, les rares frères qui lui restaient étaient devenus des pensionnaires à vie des différentes maisons de repos de la Marine. Désormais que Pludbus était son dernier fils encore entier, sa mère voulut lui trouver une place auprès d'une dame afin qu'il puisse mener une existence tranquille en donnant à sa mère les petits-enfants qu'elle méritait.
À l'inverse, ce qui restait de son père ne voulait pas qu'il s'arrête en si bon chemin. Il pesa de tout son poids pour qu'il ait l'opportunité de grimper dans les plus hautes strates de la hiérarchie.
Entre sa mère et son père, il choisit ce dernier. Les femmes ne l'intéressaient pas, ce qui n'était pas le cas de préservation de la paix.

Sa mère périt peu après de chagrin, tout comme son père, mais d'une balle un peu trop bien ajustée qui vint se loger dans sa caboche.

Il devint alors Amiral, une grande partie des marines étaient déjà choquées. Certes, il avait de la chance, il avait survécu, mais il était loin d'être puissant.
Sa chance de cocu ne s'arrêta pas là. À cause d'un certain concours de circonstances, on le nomma au poste le plus haut.

Amiral en chef.
Ce fut le choc chez tous les marines du monde.
Ce fut sans nul doute le pire Amiral en chef qu'ait connu la Marine. Les décisions qu'il prenait étaient irrémédiablement mauvaises et les bonnes n'étaient prises que grâce aux insistances de ses conseillers. Heureusement, il ne se passa rien de bien particulier pendant ses trois années au poste suprême. Après nombre de tractations, on trouva le moyen de le remplacer. Redevenu vice-amiral, il revint à sa tache première : combattre le mal sur les mers.
Il va sans dire que, depuis lors, son équipage était composé totalement de designer volontaire. Menacer les mauvais marines d'être muté sous les ordres du vice-amiral Céldèborde suffisait à les faire rentrer dans le rang. Pludbus n'en avait pas conscience, certains de ses qualités et de son expérience redoutable.

Passé la soixantaine, la vieillesse commença à se faire sentir, mais Pludbus ne voulait pas s'arrêter, même si l'ensemble des hauts gradés était pour une mise au placard. C'est à ce moment-là que sa soif de justice disparut petit à petit. Il se mit à rêver d'une donzelle à épouser, mais il se rendit compte que rares étaient les candidates à son bras.
Après avoir essayé de nombreuses fois, il finit par se consoler uniquement dans les bras de professionnelles d'un soir.

Il continua alors à servir, inlassablement. La marine était toute sa vie, il ne voulait pas la quitter. Désormais complètement inutile, il se contentait de commander, amassant un petit pactole du fait qu'il consommait rarement en dehors des bâtiments de la marine.
Approchant les quatre-vingts ans, l'Amiral en chef de l'époque, voyant qu'il ne pensait toujours pas à la retraite, lui intima de quitter la marine.
C'était sans compter l'envie de rester de Pludbus. Il le menaça de divulguer la totalité des informations qu'il possédait à la révolution si on l'obligeait à quitter la Marine. Il faut dire qu'en ayant voyagé sur toutes les mers, Pludbus connaissait beaucoup trop de secrets et d'informations confidentielles. Il pouvait vous raconter les effectifs complets de chaque base de la marine. De telles informations ne pouvaient être divulguées. À contrecœur, Pludbus fut autorisé à rester, sous certaines conditions.

Il n'était plus vice-amiral. Il était juste… là. Ayant suffisamment de pouvoir pour se faire respecter de la bleusaille, il n'en avait aucune sur le reste. Les capitaines de navires se le passaient l'un l'autre quand ils en avaient l'occasion. Il devenait la mascotte d'une mission pour les hommes qui faisait alors tout pour ne pas lui ressembler.
Il s'en contentait. Bien sûr, il faisait toujours le fier en prétextant être un grand officier, mais il n'était guère plus écouter qu'un sac de patates et encore moins utile que ce dernier.

Encore aujourd'hui, il vogue sur les océans. Vieillissant lentement comme un bon cru. Les rumeurs continuaient de circuler sur son compte. Il continue à être trimballé de navire en navire, souvent comme punition pour un capitaine.
Depuis quelque temps, il s'est mis en tête de devenir immortel. Pourquoi ça ? Tout simplement pour rester à jamais dans la marine. Il compte bien trouver ce qu'il cherche même si les officiers de la marine n'ont pas follement envie que cela arrive, comme on les comprend.




>> Test RP

Le Test rp est obligatoire, il vous sera donné par le modérateur responsable de la section présentation.
Faire un test rp avant l'intervention sera totalement inutile : il ne comptera pas.


NB : J'ai parfaitement conscience que je me suis permis certaines choses pour ce personnage. Tout cela a été fait pour le rendre intéressant sur son caractère et sur ce qu'il a dire.
Du fait de son grand âge, je demanderais un plafond maximum de 8 dorikis en terme de puissance effective, si possible.
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Informations IRL

    Prénom : Baptiste

    Age : Je vais sur mes 21 ans

    Aime : Le Rugby, geeker, lire, la musique

    N'aime pas : les trucs peoples, être malade

    Personnage préféré de One Piece : Akainu, Fukurou

    Caractère : (définissez vous en quelques mots) Calme, mais déconneur. Toujours prêt à dégainer en discussion, complexe d'infériorité, campeur de CB

    Fais du RP depuis : Plus de cinq ans

    Disponibilité : (en jours par semaine, c'est bien sur, approximatif)Tout le temps sauf trucs exceptionnelles

    Comment avez vous connu le forum ? Six mois que je pèse le pour et le contre après qu'on m'en a parlé.


Dernière édition par Pludbus Céldèborde le Ven 29 Juil 2011 - 13:20, édité 2 fois
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
  • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
Bienvenue sur OPR Very Happy
Veux-tu ton test rp ?
(et pour les 8 dorikis, pas de soucis)

Ah et ton pseudo est différent sur ta fiche, tu veux que je change celui de ton profil (dégager le Booby quoi !)
    Oui je veux bien du test rp et si j'ai de bonnes chances d'être validé, je vois pas de raison à m'opposer à un changement de nom !
    • https://www.onepiece-requiem.net/t2303-fiche-du-vieux-pludbus
    • https://www.onepiece-requiem.net/t2255-toujours-pas-six-pieds-sous-terretermine-meme
    C'est fait !
    Voici ton test rp :
    3 jeunes sots ignorent qui tu es et vu ton état d'extrême fatigue réussissent à te droguer et t'enfermer dans ... [à toi de choisir]. Explique-nous comment tu t'en sors et te venge !

    Bonne chance Very Happy
      Pludbus s'écroula sur un banc qui se trouva miraculeusement vide. La mauvaise odeur que dégageait le vioc avait fait fuir ces précédents occupants quand Pludbus s'était approché d'eux, l'oeil torve et la bouche ouverte, dévoilant les quelques dents qui lui restaient. Quelque chose craqua quand il s'assit, mais il était bien trop saoul pour chercher la provenance du bruit. De toute façon, si ça venait de lui, il souffrait déjà assez pour ne pas sentir une douleur de plus.
      Le marine grommela quelque chose dans sa barbe, pestant contre le barman qui avait refusé de lui servir la chope qu'il méritait. Plus aucun respect dans les débits de boissons de cette ville ! Il eut un haut-le-coeur, puis il gerba devant lui, s'en mettant plein les pompes.


      Foutre de Dieu ! Chié ! J'm’en suis mis plein les godasses… 'tin, s'chlingue.... j'du boire un truc pô frais. J'vais le sermonner, ce chieur de barman.

      Un couple passa devant lui. L'élégante dame se pinça le nez, lançant un regard courroucé en direction du déchet humain tandis que son mari l'emmenait en avant, loin de l'odeur nauséabonde. Pludbus n'hésita pas.

      Hé ! Ma minette ! T'veux pas plutôt d'un gars expérimenté comme moi ?! J'en ai vécu des guerres, moi ! J'suis connu ! J'vaux le coup ! Viens ici et plaque ce blanc-bec… J'étais bon tireur, je l'suis toujours… hé hé…

      La dame en question était déjà bien loin lorsque Pludbus s'aperçut qu'il parlait dans le vide. Résigné à passer une sale nuit, Il se remit à gerber devant lui, ne faisant plus attention à ce qu'il touchait. Plus personne ne semblait s'intéresser à lui.

      Il ne voyait pas trois paires d'yeux scintiller dans l'obscurité d'une ruelle. Lentement, trois silhouettes se dessinèrent, puis elles laissèrent place à trois gamins à la lumière des lampadaires. Ils devaient avoir dix-huit ans, et pas mal de temps à perdre pour s'intéresser à Pludbus, l'homme qui faisait rire beaucoup de marines. Des sourires facétieux se dessinèrent sur leur visage à peine sorti de l'adolescence. Ils s'arrêtèrent devant le vioc, à une distance suffisante pour éviter un nouveau tir de vomi, les mains derrière le dos, comme de merveilleux enfants sages. Le plus grand, celui qui semblait mener les deux autres s'adressa à Pludbus d'une voix mielleuse.


      Vous êtes un marine ? Vous avez l'air vieux ! Vous devez être très connu pour être Marine à votre âgé !

      Pludbus portait un uniforme de marine délavé qu'il avait piqué à un sous-officier avant de partir se bourrer la gueule en ville. Sot pour deux sous, il se mit à bomber le torse et à prendre une attitude de vieux briscard.

      Ça, c'est sur, les gosses ! J'en ai vu des batailles ! J'suis quelqu'un de respectable et de respecté !

      Pludbus péta bruyamment, puis reprit.


      J'suis p't'être vieux, mais j'ai encore d'la bouteille ! C'pas d'main qu'on mettra le vieux Pludbus au cimetière !

      Il finit sa phrase en lâchant une nouvelle couler de gerbe. Les gamins se regardèrent, souriant puis ils dirent ensemble de leur voix la plus attendrissante.


      Monsieur Pludbus ! Racontez-nous vos faits d'armes !



      Raconter, ça, Pludbus savait faire. Il aimait ça, épater la galerie en racontant ses voyages et ses combats. C'était le pied. Sauf qu'il avait soif, et parler quand on avait la langue sèche, c'était chiant.


      J'voudrais bien, gamins, mais c'est qu'papy Pludbus a soif !

      Une bouteille apparut mystérieusement dans les mains du plus grand. Il l'avait caché derrière son dos et il voulut la donner à Pludbus, un grand sourire aux lèvres. Agréablement surpris, Pludbus attrapa la bouteille comme si c'était la sienne. Il la déboucha, puis il l'a mis à la bouche, buvant quelques gorgées. Il s'étouffa à moitié et s'arrêta de boire afin de reprendre son souffle. Un des gamins l'aida à faire passer la mixture en lui tapant dans le dos.

      Merci Kuf, kuf... 'tin, c'est d'la bonne ce que t'as là ! T'as eu raison d'la passer à papy Pludbus. L'gachis si c'était quelqu'un d'autre qui l'aurait bu. Vous avez bien mérité votre histoire. Alors… pourquoi pas la bataille de… je sais plus ce trou paumé… M'enfin … on était à deux cents contre deux milles, mais on leur a mis une de ces roustes à ses pirates de pacotilles. J'm'en suis bien fait un centaine de ses pecnots ! Ils ont fui parce que des amis venaient m'aider, mais si on avait continué, je les aurais envoyer rejoindre leur créateur ! Ah ah ! Une autre ? Allez ! Alors cette fois…

      ***

      Pludbus se réveilla dans le noir complet, se cognant au passage contre une surface dure. Il se sentit recroquevillé sur lui même, les fesses posaient sur le sol et les genoux remontant vers sa tête. Sa position lui tirait le dos ; ça faisait un mal de chien. Puis, il se rendit compte que son pantalon était humide.


      Fichtre et profiteroles ! Je me suis encore fait d'ssus ! Et pas qu'un peu !

      Pludbus baignait dans une petite marre de liquide nauséabond qui sentait le poisson. L'information mit du temps à monter au cerveau, mais le marine devina qu'il n'était pas l'auteur de la fuite. Touchant un objet à côté de lui, il devina une carcasse de poisson.
      Ce n’était pas lui ! Quel soulagement ! Pludbus aurait dansé de joie s'il en avait eu la possibilité.
      Il tâta tout autour de lui, mais il ne rencontra que de la surface dure. En haut, en bas, sur les côtés, il n'y avait aucun espace de liberté. Il était enfermé. Le doute fut rapidement dissipé sur la nature de sa prison ; il était dans un tonneau !


      Au s'cours ! Sortez-moi d'ici ! Ça pue trop ! J'suis pas un s'tané de poisson !


      Puis, une femme cria.

      Revenons quelques instants en arrière. Un tonneau tremblotait sur lui même, comme agité de l'intérieur. La femme du poissonnier à qui appartenait le tonneau en question l'aperçut et s'en approcha. Elle était à un mètre quand une voix désespérée en sortit. Prise de panique, elle cria et donna un violent coup de pied dans le tonneau qui bascula, puis se mit à rouler dans la rue en pente.
      Quelques enfants rirent de la scène.


      Pludbus, lui, ne riait pas du tout. Le tonneau prenait de plus en plus de vitesse. Il était agité dans tous les sens et il ne pouvait rien faire. Sa tête se cognait contre les parois, le laissant groggy.
      Dehors, on s'exclamait de surprise en voyant le tonneau rouler. Pludbus entendit, malgré la situation tumultueuse dans laquelle il se trouvait, une voix qu'il reconnut. Il s'agissait du vieux Terry Vald, un ancien comme lui qui passait son temps à boire à la terrasse d'un bar de la grande route. L'entendre inquiéta soudainement Pludbus. Le bar favori de Vald se trouvait dans une rue qui descendait vers le port. L'entendre signifiait qu'il se trouvait dans la rue en question.
      Et la rue se finissait sur un quai. Quai qui délimitait la terre ferme de la mer.
      Ça fit « ding » dans la tête de Pludbus. S'il ne faisait rien, il allait directement dans la mer !

      Naaaaannn ! J'sais pas nager !

      Le fait qu'il allait mourir noyer dans son tonneau ne lui était pas encore venu.
      Personne ne pouvait l'entendre. Voyant la mort arriver à grands pas, il se mit à agir de façon désespérée. Pesant de tout son poids sur le fond du tonneau, ce denier se mit à légèrement dévier de sa trajectoire à force de mouvement désordonné, le tonneau finit par changer radicalement de trajectoire. Soudainement, il s'arrêta net. Pludbus fut envoyé en avant et un craquement se fit entendre. Encore.

      Des passants eurent la bonté d'âme d'ouvrir le tonneau et de l'en sortir. Un muret l'avait empêché de prendre un bain d'eau salée. Souffrant comme un martyr, Pludbus resta prostré contre le sol, demandant à boire et à manger. Le prestige de l'uniforme était entaché par l'odeur de poisson, mais les insignes suffirent à faire obéir les présents.
      Des marines qui passèrent par là le reconnurent, à leur plus grand regret. Pludbus leur ordonna de s'occuper de lui, ce qu'ils firent malgré l'odeur de poisson.

      ***


      Quelques heures plus tard, Pludbus se trainait sur les quais, maudissant ses tourmenteurs de la nuit. Un bon bain avait suffi à laver son corps, mais son honneur était toujours sali. Derrière lui, trois marines le suivaient. Leur supérieur les avaient chargés de surveiller Pludbus afin qu'il ne lui arrive rien d'autre de fâcheux, mais aussi qu'il ne commette rien de fâcheux à son tour.
      C'était le bagne pour cette brochette de bleus qui aurait rêvé d'une perm' divertissante avec d'autres fesses à regarder que celle du vieillard fripé.
      Comble du hasard, Pludbus, qui ne se savait pas suivi, trouva les garnements de la nuit en entrant dans une ruelle. Il n'hésita pas et il sortit son pistolet en beuglant comme un babouin.


      Vous voilà ! Bandes de mollusques ! J'vais vous faire payer votre tour de la nuit ! Batracien !

      Les jeunes avaient d'abord souri, puis ce dernier s'était changé en grimace à la vue du pistolet. Pludbus, plus déterminé que jamais, s'approcha des garnements, le canon pointé vers le bide du plus proche.

      Prends ça ! Sauvage !

      En un éclair, il tourna le pistolet vers lui et tira un coup. La balle lui passa au dessus de la tête. Les gamins la regardèrent, stupéfaits, se figer dans le mur de derrière. Pludbus en avait profité pour lancer le pistolet dans leur direction ; un des gosses l'attrapa par réflexe. Dernier détail à la scène, Pludbus explosa à main nue l'une des poches de sang qu'il avait dans sa sacoche à médoc. Le liquide rouge s'éparpilla sur son côté. En bon comédien, il cria de douleur et il s'écroula par terre. Puis il resta immobile.


      Les marines qui suivaient Pludbus, en ayant entendu le coup de feu, s'étaient précipitées vers la ruelle. Ils découvrirent le corps immobile de Pludbus, le sang coulant sur le sol tandis que les gamins le regardait, abasourdi, le pistolet que l'un tenait braquer en direction de Pludbus.

      La suite fut assez chaotique. Les gamins furent capturés pas les marines tendis que l'un des trois appela de l'aide. Les gosses étaient emmenés vers la prison la plus proche lorsque Pludbus ressuscita miraculeusement sous les yeux choqués de l'équipe de secours.

      Euh ? Ils sont partis ? Les sales gosses… vouloir me tuer… 'sont dingues, nan ! Mais j'vais bien, la balle n'a fait que m'effleurer…

      Un marine fixa l'énorme flaque de sang sous ses pieds. Pludbus le remarqua et bredouilla.

      Ça…, c'est… j'ai du sang, moi ! Beaucoup… hé hé… un guerrier de ma trempe !

      Sur ces maigres explications, il se remit à sa marche. Les gosses allaient suffisamment en baver avant d'être libérés. Son honneur était sauf.
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      Yop, juste avant de te donner ma voix il faudrait que tu te trouves un avatar ;)
        Voilà. Même si celui-ci est pas assez vieux à mon gout, j'ai déjà chercher suffisamment longtemps et c'est pas comme si ça importait beaucoup.
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        Alors les descriptions nous permettent de nous faire une bonne idée du personnage et par conséquent, remplissent bien leur rôle. Elles sont agréables à lire et ton personnage à l'air assez comique (ou tragique, tout dépend du point de vue ^^') donc c'est intéressant.
        Le fait de l'avoir fait ancien amiral en chef est sympathique et le fait d'être parvenu à le faire entrer dans le contexte du forum est pas mal, seul hic, dans ce genre de cas, (à savoir la menace de divulguer des informations), le gouvernement mondial t'aurais vraisemblablement éliminé (il suffit de voir l'attaque de Moria pour s'en convaincre), donc c'est une petite incohérence.
        Les fautes d'orthographes ne sont pas rendez-vous, good !En ce qui concerne ton test rp : le contrat est rempli, on sent que tu maîtrises ton personnage (en six mois à peser le pour et le contre tu as du avoir le temps d'y penser XD).
        Donc c'est bien (faudra qu'on fasse un rp ensemble, Jezal tombe en poussière aussi !).

        Je te donne ma voix pour, oh suspens... 8 dorikis Very Happy

          Quelques ajouts pour la description afin de renforcer l'aspect "perso en morceaux" et c'est pas pour avoir une bonne raison de uper.
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          Moi je up même si je sais que certains staffiens sont occupés par des nouveautés ^^'
            Héhé, il est maladroit mais ne fait pas exprès, ça donne un graaand sourire aux lèvres tout ça hihi, j'aime beaucoup ton ptit vieux.

            Certains font des vieux bien golé mais toi tu joues la carte de celui qu'à pas été gâté par la nature, c'est un bon point (:

            Enfin, 8 Dorikis ( C'est ce que tu voulais non ? )
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            • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
            J'suis pour aussi le 8 dorikis, GM a bien détaillé. Sinon y'a pas vraiment moyen d'être immortel... Ou alors s'adresser à Vegapunk.
            Sinon, oui, du très bon. Tout simplement. Avoir été Amiral en Chef comme ça, du passe vraiment du tac au tac, en tout cas tes objectifs vont bien avec ce que ton personnage a vécu. Tu écris bien, c'est chouette à lire, vraiment. Enfin bon, je ne vais pas répéter le reste qui a été dit par Game Master. Donc je valide le tout à 8 dorikis ! Si tu veux un grade spécial en-dessous de ton nom envoie moi un mp !Smile

            EDITPS : Pour l'instant tu as "Rang Inconnu" comme demandé, car juste "Inconnu", ça voulait dire autre chose, dis-moi si ça te va par mp ou si tu veux autre chose donc !;)
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