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Jax Buchanan

BUCHANAN JAX
_one_piece__chopper_icons_01_by_xlaura_chanx-d5oaoba.pngPseudonyme : Mamène.
Age : 29 ans.
Sexe : Homme..
Race : Humain.

Métier : Gardien de la Galaxie.
Groupe : Révolution.

But : Offrir à sa fille le plus féérique des royaumes enchantés.

Équipement : Un masque orange en spirale et un long manteau. Hinhinhin.
Parrain : Peeter G. Dicross.

Ce compte est-il un DC ou un "reroll" ? DC de Peeter.
Si oui, quel @ l'a autorisé ? Azerios.

Codes du règlement :


Description Physique


Jax ne passe jamais inaperçu, il en est incapable. D’ailleurs, il déteste ne pas attirer l’attention, sentir le poids des regards braqués sur sa personne. Il a ce besoin constant d’attention, de reconnaissance, qui ont fait de lui un personnage bruyant et extravagant. Il parle fort, se tape des fous rires souvent irraisonnés et sa voix rocailleuse et qui porte loin ne manque pas de couvrir les salles et les discussions environnantes.
Ayant souvent tendance à gesticuler, on le qualifie souvent de hyperactif, ou simplement qu’il les vers aux fesses. Il ne tient pas en place le bonhomme, le calme et la relaxation n’étant pas trop son truc, il aura toujours quelque chose entre les doigts à manipuler, à secouer, avec lequel casser un éventuel mutisme environnant fort déplaisant à son goût. Même dans son sommeil il s’agite, vivant ses rêves comme en plein éveil, les coups de pieds et de poings volent régulièrement…

Avec sa taille relativement grande, il dépasse le mètre quatre-vingt-dix de quelques centimètres, il a tendance à s’approprier l’espace autour de lui. Sur une chaise, pas foutu de rester immobile plus de dix secondes, il se balance sur les pieds arrière ou s’affale totalement dessus, déployant ses longues jambes et posant ses panards sur la table. Mange comme un sauvage, avec les doigts et à vitesse grand V, en fout partout et d’un appétit sans limites. Beaucoup de boissons pour aider à faire passer les kilos de boustifaille qu’il s’enfile, l’alcool joyeux, festif.
Jamais le dernier à pousser la chansonnette, qu’importe le lieu où il se trouve. Si un petit détail lui inspire quelques paroles, il donne de la voix. Il ne sait pas chanter, mais la justesse des notes est son dernier souci. Jamais le dernier pour déconner, c’est ce qui occupe le plus gros de ses journées, il cherche toujours un moyen pour se marrer. Des vannes, des expériences inédites, des défis extrêmes, tout y passe. C’est qu’il veut bien remplir sa vie en souvenirs pour pouvoir raconter de merveilleuses histoires cent pour cent véridiques à sa petite beauté d’amourette, Aniès !

Jacter, il aime ça. Un peu trop selon les gens et leur capacité à encaisser un moulin à paroles qui ne semble jamais avoir besoin de respirer entre deux phrases. C’est qu’il a toujours son mot à dire sur tout, qu’il ne se fait jamais prier pour exprimer son avis et que si on le laisse faire, il meuble une conversation avec tout le mobilier nécessaire pour remplir un manoir de luxe. Il n’aime pas le silence gênant. Ce qui peut entraîner des situations gênantes, comme quand il vient vous braquer son masque orangé en spirale sous le nez, pour produire de petits sons de bouches aussi irritables que malaisants.
Et cet œil à l’iris rouge sanguin et à la petite pupille obsidienne qui se pointe sur vous et en fait le tour comme un scanner à laser devant une porte blindée… Seule et unique chose visible au travers ce masque intrigant, l’on ne sait rien d’autre de ce qui se cache derrière. Au-dessus est visible une chevelure coupée hirsute, brune, dont les pointes se dressent face aux cieux comme une armée de révolutionnaires face au Gouvernement.

De grande taille, d’une musculature sèche bien que rien ne soit réellement visible sous ce long manteau sombre sous lequel il se trimbale quotidiennement. Un manteau à motifs, des nuages rouges, qui selon lui auraient une signification. Une signification que seuls les personnes dignes de confiance peuvent connaître, soit très peu de monde. En revanche, il adore raconter des conneries dessus, bricoler des histoires insensées à partir de ces petits nuages.


Description Psychologique


Que faut-il attendre d’un homme qui est parti en guerre contre le monde pour bâtir un royaume à une fille qui n’est même pas encore dans le ventre de sa mère ? Du grand n’importe quoi, c’est un peu ce qui se trame dans sa tête. Bordel ambiant saupoudré de paillettes enchantées, voilà comment se déroulent ses journées. Chaque jour est un nouveau jour, entraînant son lot de conneries et de dingueries. Déjà papa dans sa tête, il est encore resté enfant à l’intérieur.
Il adore les monstres imaginaires, les créatures féeriques, les contes merveilleux. Il se passionne pour les choses colorées, stylisées, déjantées. Il faut que ça sorte du lot de l’ordinaire, que ça casse les codes établis par les adultes coincés et un Gouvernement autoritaire. Faire comme tout le monde et se contenter de suivre le mouvement, c’est ennuyeux. Surtout quand le règlement est établi par une bande d'égoïstes, hypocrites et élitistes.

Un monde haut en couleurs dont les teintes sont délavées depuis bien longtemps, voilà sa manière de voir le monde. Son grand projet de la Lessive Cosmique, c’est dans ce sens, pour redonner son bel éclat au monde entier. Et pour cela, il faut passer au lavage tous les esprits matricés, les cerveaux délavés et les fortes têtes influenceuses. Influenceur, véritable fléau de l’humanité. Quand à savoir qui mérite de passer un tour dans la Lessive Cosmique, c’est évidemment au cas par cas, totalement arbitrairement, au choix du masqué. Mais eh, rassurez-vous, c’est pour le bien commun comme ils disent.
Un individu qui pense par lui-même est dangereux, Jax est un individu qui pense dangereusement, ce qui fait de lui une personne doublement dangereuse. Pourtant, on ne sait jamais vraiment s’il est capable de mettre de l’ordre dans ses pensées tant elles dégueulent dans tous les coins sans qu’on parvienne à y trouver un sens. Un manque total de concentration, incapable de tenir une conversation sérieuse de bout en bout sans être distrait par une mouche qui vole pas droit ou à se souvenir qu’il a oublié de tirer le chasse la dernière fois qu’il est allé aux toilettes.

Il a pris pour habitude de mettre ça sur le compte de l’amour, son amour inconditionnel pour la belle, la magnifique, la sublime et incroyablement magique, Mamourette. Enfin, Mamourette de son surnom, Lolitta de la Blanche Colombe de son petit nom. Un amour d’enfance qui ne s’est jamais essoufflé, bien au contraire. Il a pris de l’ampleur au fil des années s’écoulant et a explosé avec le drame qu’ils ont vécu, ensemble. Frôler la mort vous retourne le cerveau, mais vous fait fondre le cœur. Et ce coulant d’amour et de passion qu’ils éprouvent l’un pour l’autre se mélange et se consolide en une relation torride, totalement folle et profondément sincère. L’amour avec un grand A et plusieurs petites lettres à côté.
C’est pour elle et leur futur enfant, leur petite fille merveilleusement sucrée doux pralinée, qu’il a pris la mer et lancé le programme de la Lessive Cosmique. Il refuse qu’elle grandisse dans un monde comme celui-là, ou les inégalités et les pourritures pullulent, prolifèrent, s’étendent et rongent la beauté d’un univers enchanteur. Et il n’hésite pas à prendre les armes pour y parvenir, à tout faire péter pour reconstruire, à faire couler le sang en se poilant et en chantant.

Parce que chanter c’est très important, ça réchauffe les cœurs.
Il n’est pas foncièrement mauvais, pourtant il tue sans hésitation quand il renifle un fruit pourri. Il ne fait pas de distinction de race, de camp, mais si la nature d’une personne ne lui convient pas, il l’envoie faire un tour à la machine à laver.
Imprévisible et désaxé psychologiquement depuis qu’on lui a tapé dessus si fort qu’il en a développé un traumatisme profond, il n’en parle jamais. Invente des histoires improbables sur un accident qui lui a coûté cher, mais ne parle jamais réellement de ce qu’il s’est passé. Il n’est jamais vraiment revenu en seul morceau cette nuit-là, ni même après son exil sur une île sauvage pendant plusieurs années.
Un projet révolutionnaire mais des méthodes qui fâchent, la plupart de ses frères à la cause lui tournent le dos car ils n’adhèrent pas à ses façon de faire. Trop de sang versé inutilement, des risques inconsidérés pour les innocents, c’est qu’il ne se soucie pas vraiment de savoir qui sera pris dans l’explosion d’un bâtiment ou d’une bombe artisanale qui explose en pleine rue pour emporter une cible.

Après tout, personne n’est venue à leur secours quand ils se faisaient tabasser à mort.


Biographie


Il y a des personnes sur lesquelles le sort décide de s’acharner, d’autres qui semblent toucher par la grâce divine et à qui tout réussi, et puis il y a Jax. Le petit Jax est né sur une île de South à la tendance royaliste, classes sociales bien distinctes, mépris du petit peuple et toutes ces joyeusetés allant avec. Pas de bol, le petit Jax était considéré comme un paysan par les nobles. Son père, un ancien soldat de la garde royale aujourd’hui à la retraite forcée des suites d’une blessure à la jambe, sa mère une simple fleuriste en ville,, rien ne destinait l’enfant à connaître les hautes sphères. Il serait un de ces peignes-culs dont les grands se moquent autour d’un repas copieux et plusieurs pichets de vignasse.

Loin de l’attrister ou de provoquer un sentiment de révolte au fond de son cœur d’enfant, le futur révolutionnaire timbré à vécu sa vie comme si ce serait la dernière, avec joie et insouciance. L’éducation classique reçue et la bonté de ses parents, un cercle d’amis de son rang, une ville à priori paisible et surtout, elle.
Elle, c’est cette petite fille à la tignasse blonde et au sourire angélique. Lolita. Ce qu’il aimait prononcer son prénom à haute voix. Son premier et son seul amour, coup de foudre qui jamais n’a quitté son coeur depuis. Ni sa tête, lui qui n’avait de cesse de penser à elle nuits et jours, éveillé comme en plein rêve. Un monde les séparait, lui étant un pauvre misérable et elle venant d’une richissime famille. Ce qui au départ ne posait pas trop de problèmes, deux gamins jouant ensemble, ce n’était rien.

Pourtant, Jax ne tarda pas à déclarer sa flamme à sa belle en lui dessinant une magnifique licorne, l’animal préféré de sa princesse, dans le sable d’un terrain vague. C’est parce que je t’aime, Lolinette… Avec une telle méthode de séducteur haute tension, forcément qu’il emballa sa belle. Un petit bisou sur les lèvres, le premier d’une longue série, certains avec la langue, d’autres sur des parties plus intimes, mais des bisous par la suite, il y en a eu autant que de litre d’eau dans la mer du Sud... Ils grandirent amoureux et jamais ne se séparèrent, à tel point qu’ils semblaient destinés à finir leurs jours ensemble.
Malgré l’opposition ferme des parents de la jeune fille à leur relation, ils restèrent ensemble envers et contre tous. Ils filèrent le parfait amour durant une pelleté d’années, huit ans à vivre dans un rêve éveillé, les papillons au ventre et les étoiles dans les yeux. A se sentir invincible, indestructible, heureux. Depuis les douze ans de Jax, ils avaient déjà établis qu’ils auraient une fille et qu’elle s’appelerait Aniès.

Jusqu’à ce que la véritable cruauté de ce monde ne les frappe en plein vol, faisant éclater le cocon d’amour dans lequel ils s’étaient réfugiés.

Une nuit, une de sa vingtième année, il devait retrouver son amoureuse pour y passer une soirée romantique comme ils aimaient en faire. Le lieu de rendez-vous est le même à chaque fois, le terrain vague sablonneux sur lequel il lui a dessiné sa toute première licorne. Un lieu empli d’émotions et de souvenirs depuis maintenant vingt ans, leur petit refuge à tous les deux. Dans sa main, un magnifique bouquet de fleurs qu’il a confectionné à la boutique de sa mère. Resplendissantes, elles lui rappellent sa petite Lolita, sa future femme. Oui, il prévoit déjà de l’épouser et n’a aucun doute quant à sa réponse, elle qui n’a de cesse de lui répéter qu’elle fera de lui son prince charmant, qu’ils se marieront et vivront heureux pour le restant de leurs jours.
Dans sa bulle de bonheur, bouille rêveuse, il déboule au terrain d’une démarche pressée, elle lui manque trop pour prendre le temps de marcher. Du bruit casse le mutisme habituel du coin, des voix masculines, agressives. De furieuses invectives qui s’échappent des bouches d’un groupe de mecs dans la vingtaine, eux aussi, en cercle autour de quelque chose allongé à leurs pieds. Ralentissant sa progression, il se fige bien rapidement quand il aperçoit un morceau de robe de la victime. C’est bien une personne qu’ils sont en train de passer à tabac et la robe qu’il aperçoit de sa position le paralyse, horrifié. Lolita.

Rouée de coups de poings et de pieds, incapable de se défendre, ensanglantée et souillée par la poussière du sol, sa belle robe qu’il aime tant déchirée, saccagée. Ses doigts laissent s’écraser le bouquet de fleur, ses yeux s’écarquillent, sa bouche s’ouvre en grand, mais aucun son ne parvient à sortir. Un déchaînement de sentiments contraires dans son estomac, retourne ses tripes et enflamme son être. Colère et peur, la haine de voir sa moitié secouer comme un vulgaire sac de frappes, l’effroi de l’imaginer en mourir.
Hors de question !
Il se rue sur le premier venu, cogne avec ce qu’il a, comme il peut. Qu’ils laissent sa Lolinette tranquille, qu’ils arrêtent de lui faire du mal, qu’ils foutent le camp d’ici et que ce cauchemar cesse, voilà ce qu’il souhaite. Alors il griffe, mord, tape, hurle, pleure, pourvu qu’ils dégagent. Mais faible comme il l’est et face à cinq âmes profondément mauvaises, souillées par le vice et la noirceur, il ne représente rien. Ce qu’il cogne lui revient plein face puissance dix, triple volume, si bien que sa tête ne tarde pas à heurter le sol à son tour. Sévèrement marqué, le sang envahit sa bouche, la douleur l’assaille mais une seule pensée envahit son esprit, Lolita.

Elle est allongée à quelques mètres de lui, inconsciente. Il se souvient avoir remercié le ciel qu’elle n’ai plus à ressentir toute cette douleur, cette haine. La main de Jax tente difficilement d’atteindre sa belle, mais un pied vient sauvagement écraser ses doigts, coupé court à tout espoir. Un dernier coup de pied percute le crâne de la bourgeoise blonde, durement. Son agresseur regrette son geste dans la foulée et paniqué, alerte les autres. “Son crâne a craqué.“, “Je crois que je l’ai tué.”,  “‘faut qu’on foute le camp putain !” Les dernières paroles résonnent encore dans sa tête, provoque un sentiment de panique chez le jeune Buchanan qui s’imagine le pire.
Les agresseurs ont fui, s’évaporant dans la nuit noire, laissant derrière eux une présumée morte et un homme brisé, qui rampe jusqu’à celle qui représente tout dans sa vie. Il adresse toutes les prières possibles à tous les dieux du ciel et de la terre pour qu’ils épargnent sa vie, qu’ils la sauvent. Parvenant à se relever, il la prend délicatement dans ses bras, craignant de la casser d’un mouvement trop brusque. Ensuite, c’est un bras de fer entre ses blessures et son mental qui s’enclenche. Il doit tenir suffisamment longtemps pour atteindre le centre de soins le plus proche, le reste on verra plus tard… Ne pas tomber, ne pas céder. Pour elle, pour qu’elle assiste encore une fois au lever du soleil comme elle aime tant le faire…

Ce soir-là, il ne lui a pas vraiment sauvé la vie. Oui, il est parvenu à tant jusqu’à ce centre de soins où les médecins l’ont opéré en urgence, lui évitant de succomber à des blessures mortelles. Mais non, il ne lui a pas épargné une semaine de coma, une semaine en soins intensifs durant laquelle il s’est torturé l’esprit avec sa propre culpabilité. Les parents de Lolita n'ont pas arrangé les choses, le blâmant pour ce qui est arrivé. Incapable de se regarder en face, il décide de quitter l’île et de changer les choses.
Si Lolita survie, il lui faudra pouvoir compter sur lui la prochaine fois qu’un tel drame se produit. Il ne doit plus être le petit gars fragile et faible qui regarde sa copine se faire massacrer, celui qui encaisse les frappes et tombe, brisé. Alors il part, sur une île hostile, déserte, loin d’ici. Isolé du reste du monde, livré à lui-même et seulement armé d’une machette, sa survie dépend de sa propre volonté et de ses capacités. L’objectif est simple, il restera ici tant qu’il n’aura pas acquis la force nécessaire pour devenir ce rempart inébranlable capable de se dresser entre le danger et sa moitié. Pour que plus jamais on ne lui arrache cette fameuse moitié de son cœur, auquel cas si cela devait se reproduire, il ne le supporterait pas.

Durant ses trois années, il développera ses capacités mentales et physiques, se découvrira lui-même, apprendra à repousser ses limites, à se surpasser. La faune et la flore locales, dangereuses et imprévisibles, ne manqueront pas de lui faire frôler la mort à de nombreuses reprises, mais c’était tout ce dont il avait besoin. Sur cette fameuse île qu’il pensait déserte, il y fera une surprenante rencontre. Un homme dans la trentaine, vêtu de vert et encapuchonné, un dénommé Olivert. Un combattant d’exception, survivant à un tout autre niveau, doté de capacités martiales et psychologiques bien au-delà de la masse. Cet homme le prendra sous son aile et fera de Jax quelqu’un d’autre, quelque chose d’autre.
Il reviendra à la civilisation au bout de ces trois ans, totalement changé. Tant physiquement que mentalement, l’ancien Jax est resté sur l’île, bien enterré sous des mètres de terre. Le traumatisme de cette fameuse nuit n’est pas parti, au contraire, il a grignoté son cerveau depuis et même si Jax n’est plus le petit être fragile et naïf qu’il était, il semble avoir développé une certaine déviance qu’il n’explique pas. Il est évidemment allé retrouver immédiatement sa petite colombe en sucre, explosant de joie en la découvrant en pleine forme, totalement remise de ses blessures. Physiquement du moins, Lolita aussi ayant abandonné son ancienne elle sur ce terrain vague.

Un renouveau total pour le couple, les retrouvailles furent aussi explosives que torrides, ils filèrent loin du manoir des parents de la bourgeoise sous les hurlements de ces derniers, furieux et désemparés à la vue de leur fille filant avec ce minable une fois de plus. Cette fois fut cependant la dernière, puisque les deux amoureux ne revinrent jamais. Ils se firent une promesse, ne plus jamais se quitter. Jax en fit une seconde, de ne plus jamais faire pleurer sa globinours en miel, dévastée en sortant de son coma en apprenant que son amoureux avait quitté la ville.
Des promesses scellaient dans le plus beau des engagements, le mariage. Mari et femme, pour la vie, enfin. Ils partirent dans la plus magique, déjantée et inoubliable des lunes de miel. Une année de miel, comme ils la surnommèrent, puisqu’elle durerait un an. Entièrement financée par la bourse des pourris qu’ils croisaient, des nobliaux et des fortunés qui les méprisaient tant. Durant ce voyage sous le thème de l’amour, du sexe et de la connerie, un projet émergea. Bâtir pour leur fille un royaume.

Le plus coloré, le plus beau, le plus grand de tous les royaumes. Du rose partout, il pleuvra des paillettes, des licornes toutes douces en liberté de partout, chaque mois sera l’anniversaire de la petite Aniès. Nul méchant, nul vilain ne viendra souiller ce beau royaume, seulement des gens gentils, honnêtes, joyeux et colorés. Paix, amour, joie et fun seront les maîtres mots de ce royaume enchanté. Un merveilleux projet auquel sa moitié adhéra immédiatement, follement emballée à l’idée de construire un monde féerique à sa future princesse.
Mais avant cela, il allait falloir faire un grand ménage, débarrasser de ce monde toute la pourriture susceptible de faire du mal à leur joyau. Leur mission était simple, ramasser tout le linge sale et le foutre à laver. Nettoyer les villes, les îles pour les faire briller et les rendre toutes douces. Le gouvernement en place, les différences de classes séparant les populations, tout cela n'existerait pas dans leur royaume. Et partout où ils passeraient, ils lanceraient le programme de grand nettoyage.

Des idées révolutionnaires, des envies de changements, mais un binôme opérant principalement de leur côté, sans se mélanger aux autres esprits révolutionnaires. Avec des manières extrémistes qui leur valut d’être rapidement rangés dans la case Dissidents, sans trop qu’on leur demande leur avis. L’Armée Révolutionnaire leur tourna bien rapidement le dos et même si les mariés n’ont jamais demandé son aide, ils furent approchés par un des leurs à quelques reprises, afin de calmer le jeu, tenter de les arrêter aussi.
Ainsi ils commencèrent sur les blues, pour ensuite prendre la direction de Grand Line, mer où ils souhaitaient installer leur royaume. C’est sur cette mer que le gros du travail les attendait…



   
Informations IRL

• Prénom : Guillaume
• Age : 26 ans
• Aime : Moi
• N'aime pas : Moi
• Personnage préféré de One Piece : Moi
• Caractère : non.
• Fait du RP depuis : jamais
• Disponibilité approximative : toujours et jamais
• Comment avez-vous connu le forum ? Moi


ONE PIECE REQUIEM ©

  • https://www.onepiece-requiem.net/t23462-jax-no-jutsus
  • https://www.onepiece-requiem.net/t23402-jax-buchanan
À que coucou Mamène,

Me voici me voila pour ta présentation.

Je ne vais pas m’étendre et comme d’hab je vais tâcher d’être concis, ça m’a bien plu. J’aime ton écriture, c’est fluide, pas ou peu (je crois pas en avoir vu) de fautes, les descriptions sont suffisante, on ne se perd pas dans des détails beaucoup trop développés.

Concernant la description Physique on arrive plutôt bien à visualiser le bonhomme, c’est détaillé et c’est plus qu’appréciable dans le sens où une description physique d’un personnage au style épuré comme Tobi n’est probablement pas l’exercice le plus facile, (mention spéciale pour « comme quand il vient vous braquer son masque orangé en spirale sous le nez, pour produire de petits sons de bouches aussi irritables que malaisants. » j’ai imaginé le truc et j’étais moi même dans le malaise ahah), bref ça fait bien le taff.

Concernant la description psychologique, on est en présence d’un personnage haut en couleur, j’aime le style un peu délirant. Le côté méthodes un peu trop extrêmes ça colle plutôt bien au reste d’ailleurs. On imagine déjà le genre de situations loufoques dans lesquelles ce cher Jax va probablement se retrouver IRP et rien que ça, ça donne envie d’en lire plus, en quelques mots, ça fait le taff aussi !

Côté biographie (merde encore un fils de fleuriste…), les décors est posé, personnage issue d’un milieu modeste, on sent que petit le bonhomme était déjà un peu décalé (bordel mais qui est-ce qui dessine une licorne pour déclarer sa flamme ?). Tout est beau tout est rose, on en arrive même à redouter le moment où tout va basculer pour Jax et Lolita… Et voilà que ça bascule… Bon sang, un mauvais coup de poing dans la mâchoire pour nous ramener à nos moutons, c’est plutôt horrible ce qui arrive d’ailleurs.
On arrive à entrevoir les sentiments par lesquels passe notre pauvre Jax, peur, colère, impuissance pour finir par la tristesse et le remord. La seconde partie nous dépeint deux êtres brisés, leur «moi» d’antan laissé pour mort derrière eux, avec une ferme volonté de changer les choses, je visualise une sorte de Bonny and Clide 2.0 qui vont retourner Grand Line et ça me plait !

Bref pour résumer, honnêtement j’ai beaucoup apprécié ta prez, je ne m’étendrais pas plus que ça, je partirais pour une validation à 750 Dorikis et une jolie couleur grise bien entendu ;)

Si besoin d’un développement quelconque sur un point, si questions ou quoique ce soit, mes mps sont ouverts.

Au plaisir !