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Un mois comme un autre, enfin presque. {Terminé}

Une autre journée où le soleil se lève sur cette partie de l'île, quelques part dans Est Blue. Cela faisait maintenant des mois que l'exilée de sa patrie avait trouvé un moyen de subsister au travers d'un travail régulier en louant une ancienne forge pour effectuer son boulot d’armurière. Maintenant chaque jour se ressemblait et jamais elle ne s'était dit qu'elle retournerait sur un navire pour explorer les océans. Petit à petit elle sentait son rêve se geler et la routine s'était déjà installer, mais au moins elle a un toit sur la tête et un repas dans l'assiette. Aujourd’hui encore Rei s'était levé et avait fait sa toilette pour se préparer et descendre par l'escalier en colimaçon en petite tenue, vers l'atelier au rez-de-chaussée. Les commandes étaient loin de se succéder dernièrement, mise à part une couleuvrine personnalisée et "originale" que le client tenait à appeler "bazooka". Quel drôle de nom. Quoique la dénomination importe peu en fait, le problème principal était plutôt de savoir comment elle pouvait créer une arme plus spéciale qu'une autre. Elle ne faisait que dans le standard elle, les créations uniques n'étaient pas le genre de sa boutique.Pour êtes plus précis sans aucun plans c'était presque de la création à l'aveuglette. Depuis quelques jours la jeune armurière a fait des nuits blanches sur plusieurs concepts sans trouver de résultat. Elle avait essayé de changer l'apparence, le nombre de canons, le pourcentage entre l'acier et le bois, testé diverses essences de bois et trois alliages mais rien à faire. Ainsi ces derniers jours son atelier a une nouvelle décoration constitué de multiples plans parfaitement alignés sur les murs. Petits, grand, différentes teintes, tailles de munitions. Mais qu'est-ce qu'il voulait dire par original ?
Ce qu'il fallait à la jeune femme c'est une bonne balade pour s'aérer l'esprit. Son père lui avait appris que le surmenage est l'ennemi de la précision et ainsi elle s'habilla de la tenue traditionnelle de son île aux allures atypiques de mère noël pour faire une balade. Errant sur les chemins mainte fois arpenté pour atteindre le rivage le plus proche pour écouter le bruit de l'océan. L'eau refoulée et le bruit des vagues lui donnent toujours une certaine sensation de bien être sans qu'il n'y ait de raison particulière. Peut-être l'impression de calme et l'air majestueux et implacable de la mer ? Allez savoir. Finalement pour une fois elle préféra s'en approcher plutôt que de l'observer du haut de la route y allant en se tordant te un serpent jusqu’à l'atteindre, elle n’aimait pas trop l'approcher d'habitude pour deux raisons évidentes. Déjà la plage et agencé n'importe comment et en plus le sable c'est une horreur dans les chaussures. Donc elle s'approcha de l'eau avec ses cuissardes à la main, laissant s'imprégner en elle l'odeur de sel des eaux et observant l'horizon froidement sans même décrocher le moindre sourire.
Pour rentrer elle se décida à faire un tour en ville pour prendre quelques produits ménager, pour nettoyer encore un peu son atelier qui ne brillait pas asses à son goût. Comme d'habitude elle n'avait pas fait attentions aux gens et leurs impressions sur sa tenue, elle n'avait rien à se reprocher de toute manière puisqu'elle est bien alignée et de toute manière le désordre de certaines échoppes occupa trop son esprit pour qu'elle puisse répondre. Une fois ses affaires réglées elle était tout de même passé par le port en espérant y voir des matières premières particulières pour son travail. Rien, rien d'inhabituel, toujours les même choses et surtout la crasses sur les marins... Les matelots n'ont aucunes hygiène ou quoi ? Hum... Ce n'était pas la raison première de sa venue en fait, tout de même en voyant tout cela elle y trouva un début de réponse en apparence. Tiens pourquoi les ouvriers du port portaient les planches sur l'épaules et non sous le bras ? Elle les observa un moment et pour ne pas mentir plus des neuf dixième du temps n'avait vu que les imperfections de leurs tenues et non la réponse à sa question. Alors elle était partie avec un début d'idée sans pensées profondes sur la question mise à par que les navires marchants sont un repère de pouilleux.
Une fois rentré, pris une douche supplémentaire et avoir changé de vêtements. Elle nettoya l'atelier de fond en comble jusqu’à l'après-midi et se changea encore. Elle avait remarqué une chose, toutes ses armes se tiens de manière classique comme un fusil sous le bras alors que pour viser précisément un tireur a ce qu'elle a vue place la crosse contre l'épaule. Ainsi avec une planche avec un lingot de fer lié ensemble par une corde elle commença quelques tests pour voir comment équilibrer le tout. En fait une arme d'épaule pourrait être pratique sans l'être et par rapport aux autres cela serait peut-être original.
Suite à trois semaines de plans, prototype foireux et de lavage jusqu’à avoir la peau rouge suite à des petites explosions pour tester le concept elle commença à sentir la lassitude la prendre comme si c'était trop. Pas que sont travail l'ennuie, mais cette impasse semblait la troublé de différentes manière. Dans le fond elle trouve ça amusant de devoir réfléchir et trouver des solutions. Mais cela est aussi frustrant de ne rien trouver en fin de compte. Et puis finalement ce matin la.

"Youpi..."

Malgré l'air détacher et mort de la phrase, en partie dû à sa nuit blanche précédente et elle d'avant. Mais elle avait trouvé un plan lui permettant enfin de réaliser son idée et aujourd'hui contrairement à tous les mercredis il n'est pas question qu'elle mette le nez dehors. Ainsi elle avait passé la journée à concevoir un autre prototype. Et à la fin de celle-ci il ne fonctionna pas comme les précèdent. Elle est sur la bonne voie puisqu'il n'a pas été à deux doigts de lui arracher l'épaule, d'ailleurs elle avait eu une chance de tous les diables pour ne pas avoir reçu de blessures graves. Sauf que la chance, ça tourne et ainsi un mois à un jour près depuis le début de ses tests le couperet tomba quand ce matin la une personne avait frappé à la porte avant d'entrer. C'était le fils du propriétaire qui lui annonça que son père était mort la veille et que le lieu qu'elle loué, plus particulièrement le terrain a un nouveau propriétaire. Avec une odeur de cigare la narguant elle avait dû faire son baluchon, le prototype dans une charette de courses qui contient quelques boulets destinée aux tests et surtout sans le moindre sous en poche puisque le dernier loyer était passé il y a peu. Le client n'avait plus donné signe de vie depuis trop longtemps donc il ne fallait pas espérait qu'elle vende l'arme surtout sans être sûre qu'elle n’explosera pas au visage de son propriétaire. Ainsi avec ses affaires dans un baluchon, un sac à dos et le petit machin à rouette elle tait partie de son ancien chez elle. Elle pourra protester ou essayer de squatter ? Non l'île à beaucoup trop de gens de la marine pour risquer de se faire jeter à coup de pied au derrière. Il faut qu'elle trouve autre chose pour vivre et pour le moment rien ne lui viens à l'esprit. C'est ainsi qu'elle prit la direction du port le plus proche. Une fois dans ce lieux, perdu et triste elle resta assise sur une caisse à se lamenter intérieurement et regarder sa dernière création le regard aussi vide que sa bourse.

PS: Pour voir à quoi ressemble l'arme, c'est celle que l'on voit sur les images d'Ussop du film Strong World (Que je n'ai malheureusement pas vu)
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Dernière édition par Rei Yanagiba le Sam 29 Oct 2011 - 20:41, édité 3 fois
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    J’faisais la tronche là. Parce que sur mon bureau, s’trouvait un millier de documents à revoir et à signer et que sais-je encore. La paperasse m’obstruait même la vue à un tel point que je ne pouvais même pas apercevoir la porte de mon vaste bureau. Soupirant de lassitude, je curais l’une de mes narines à l’aide d’un index, jetant quelques regards autour de moi. Je finis par grogner avant de me remettre à regarder le cauchemar de mon bureau. A mes côtés se trouvaient quelques un de mes hommes. Non pas qu’ils me bloquaient dans mon bureau, non. D’ailleurs, ils n’avaient ni la force ni le pouvoir de le faire. Seulement qu’ils attendaient des dossiers que je devais signer au plus vite, sans quoi, ils ne pouvaient continuer leurs travaux en bonne et due forme. Contraint de remplir mes fonctions que m’incombait mon poste de colonel, j’me résignais donc à effectuer ces nombreuses besognes. J’étais un peu ronchonneur sur le coup mais la vitesse à laquelle je commençais à exécuter mon travail bluffait même celle qui m’faisait office de secrétaire, soit ma lieutenante Ketsuno. Sa bouche était ouverte en forme de Ô à chaque fois que je passais rapidement à une autre feuille. Les autres soutenaient mon rythme en remuant leurs têtes de gauche à droite quand je passais d’un dossier à un autre. Avec un peu d’efforts et pendant trente minutes seulement, j’avais fini le quart de mon boulot, libérant ainsi ceux qui attendait les papiers qui les concernaient…

    • C’est pas trop tôt…

    Avais-je soufflé lorsque le dernier officier sortit enfin de mon bureau. M’affaissant complètement sur mon fauteuil dactylo, je soupirais et suspendait le travail qui m’attendait encore. Vu qu’il ne s’agissait que de vieux dossiers et parfois même d’archives à consulter, je pouvais remettre le tout plus tard. Il n’y avait pas d’urgence non plus et j’aimais bien ça moi, la procrastination. Passant une main lasse dans ma chevelure, je fermais les yeux un instant et je pensais à ce que je pourrais bien faire de cette journée. Elle avait l’air belle. Le soleil était présent sans pour autant cogner fort et dur. Une légère brise semblait souffler sur l’île, vu les volutes de poussières que je pouvais apercevoir de ma baie vitrée. Un petit tour dehors ne me ferait certainement pas de mal. Et puis ça me changerait un peu de ce train-train quotidien, moi qui n’avait pas mit pied en dehors de la base depuis plus d’une semaine maintenant. Faut dire qu’avec les mouvements de pirates et de révolutionnaires, j’étais moins enclin à faire la fête, préférant élaborer et renouveler les différentes stratégies que je mettais en place pour défendre la ville de l’île. C’était tout à mon honneur et je n’en étais pas peu fier. Sur les blues, Shell-Town était certainement l’une des villes les plus sécurisés. Mon nom était bien connu dans les blues et inspirait une certaine crainte. Sur les blues, il n’y avait que des pirates de pacotilles. La conclusion et le lien étaient alors vite faits…

    Aucun pirate n’osait accoster ici.

    Et c’était du tout bon pour moi. Parce que dans ma vie, des pirates, j’en avais trop vu, trop connus, trop tapés. Fallait parfois une trêve. Même si ce dernier vœu était un peu impossible à réaliser. J’étais marine et c’était presque irrémédiable. Souriant face à cette fatalité, je me lissais les cheveux et fermait mes yeux. J’avais envie en ce moment de câlins ou toute autre forme d’affection de la part d’une belle femme. Parce qu’une semaine sans relations sexuelle, c’était… Trop éprouvant. Le sexe était la nourriture des pauvres. Quand j’entendais ce dicton, j’avais envie de rire d’ironie ou de tuer la personne qui avait affirmé ce fait. Sans me vanter, j’étais issu de famille aisée et pourtant, c’était aussi ma nourriture. Nourriture que je variais. Parce que la fidélité, c’était certainement pas mon point fort. Pour sur. Et puis y’avait bien trop de jolies femmes pour s’en contenter d’une seule. Fait que je trouvais être une folie. Ils étaient forts ce qui réussissaient cet exploit. Être fidèle à leur femme. Moi ? C’était pas possible. L’mariage n’était certainement pas fait pour une personne de ma trempe. D’ailleurs, à trop penser aux femmes, j’eus l’envie d’en voir. J’me pointerais bien chez l’une de mes maitresses, moi. L’idée animait mon être, car quelques secondes plus tard, je me levais, accrochait mon manteau d’officier qui signifiait que j’étais colonel du coin avant de sortir enfin des quatre murs de mon bureau. L’extérieur n’attendait plus que moi !

    Le soleil était effectivement doux et j’aimais bien ce genre de temps. Les oiseaux gazouillaient ici et là dans les quelques armes qui entouraient le secteur de ma base. Il faisait bon vivre dans le secteur. Je traversais une ruelle qui donnait sur le centre-ville, clope au bec. D’une nonchalance étudiée mais avec le baume au cœur, je saluais les quelques habitants sur mon chemin. Ici, tout le monde m’aimait bien. J’étais un véritable symbole d’exemple. Ce qui m’facilitait le travail. Alors que je tirais ma quatrième taffe, mes pas m’emmenèrent devant la maisonnée d’une de mes charmantes donzelles qui serait très heureuse de me voir. Mais au dernier moment bizarrement, je rebroussais chemin. Finalement, une petite promenade de si belle journée ne me ferait certainement pas de mal. J’avais des résolutions bizarres parfois, mais bonnes dans le fond. Souriant de plus belle, je m’engageais alors dans une ruelle, un peu au hasard. Je haussais les épaules. On verrait bien où ça me mènerait. Bientôt et comme je m’en doutais un peu, j’avais débouché sur le port de la ville. La brise maritime, l’odeur de la mer… Des sensations qui me requinquèrent. Jetant au sol le mégot de ma cigarette que je me hâtais d’écrasait, je réajustais ma simple chemise blanche et fourrais ensuite mes mains dans les poches de mon jean quand j’entendis un gloussement. Hum ? C’était quoi ça ? Tournant un peu ma tête, je finis par voir une jeune fille, la vingtaine tout au plus, isolée et en pleurs…

    • Hohé hohé… Ça ne va pas mademoiselle ?

    C’est pas commun ça, une fille qui pleure au bord de la mer et en pleine journée et j’en venais à m’demander ce qui pouvait bien s’passer dans sa petite vie pour qu’elle soit aussi malheureuse. Peut être s’était-elle disputée avec ses parents… ? Ou peut être que son petit ami l’avait plaqué sèchement ? C’était courant tout ça. Même s’il ne fallait pas nier que les hypothèses pouvaient être multiples, nombreuses. N’ayant rien à faire sur le moment et ne pouvant pas laisser une si belle fille -D’après ce que je voyais d’où j’étais- j’entrepris de m’approcher d’elle tout en douceur et non en mec viril qui s’impose. Une fois près d’elle, je posais doucement ma main sur la première épaule que je pouvais atteindre avant de lui faire un gros sourire. Mais p’tain… ! Elle est canon (*-*) Une belle petite bouille. La poitrine parfaite, ni trop grosse et trop petite et de ce que je voyais, un gros cul joliment écrasée sur le bois de la caisse. J’aurais bien aimé être à la place du bois, moi. Hahem… M’enfin… Toujours est-il que de la poche de ma chemise blanche, j’en sortis un mouchoir blanc et le lui tendait en m’agenouillant un peu plus pour être proche d’elle. Tendresse était de mise hein. Histoire qu’elle comprenne que je ne lui voulais que du bien. Rien que du bien. Ca passait pas forcement par la case sexe mais c’était toujours plaisant pour moi d’apporter ne serait-ce qu’un petit réconfort à qui en avait besoin…

    • Allons bon ! Séchez moi ces larmes et faites un sourire à votre colonel en lui racontant ce qui s’passe. Quel est votre problème ? Lui demandais-je d’un ton emprunt d’une douceur inégalée et d’un savoir faire sans failles.
    Donc ce mois finissait par une banale situation en dent de scie si ont peut dire. Il y a toujours un moment dans la vie d'une jeune femme où le destin frappe, parfois d'une tape amicale dans le dos et d'autres d'une bonne grosse claque dans la figure. Rei se situe à mit chemins entre les deux. Ainsi dépriment seule dans son coin sans pour le moment avoir la moindre émotion, perdu tristement en elle-même au bout d'un long moment de solitude au bord de l'eau, une main l'avait touché subitement lui faisant faire un petit sursaut rapide. C'était plus de la surprise que de la peur et sans même avoir besoin de tourner la tête elle avait vu une tête qu'elle n'avait jamais vu. Comme toutes civile qui se doit, elle connaissait un minimum les grades de la marine et avait vu d'un coup d'œil qu'il n'était pas un simple matelot sans plus. Certains aurait vu en priorité la masse musculaire de l'homme, elle s'arrêté en premiers à certains détails. Elle s'était risqué une seconde sans un mot à un regard sur son épaule droite, la main de l'homme recouvrai facilement la surface de celle-ci au point de ne plus voir son tatouage, se contact doux et chaud n'était pas déplaisant en fait juste nouveau. D'ailleurs elle avait remarqué que sa peau à la teinte approchant de la pâleur de la neige n'avait pas réellement bronzée malgré le changement de climat juste un peu rougie.
    Le monsieur devant elle avait maintenant toute son attention, à le regarder une certaine aura de bien-être semblait la calmer, peut-être son sourire doux allier à sa forte carrure lui rappelant de bons souvenirs ? Suite à sa deuxième intervention le désignant clairement comme un officier de la marine ce qui frappa son esprit était simplement qu'elle était sûre d'avoir entendu sa voix un instant avant et de l'avoir ignoré, ce qui est très impolie. Elle venait à peine de comprendre pourquoi il lui tendait un mouchoir, elle venait de sentir couler des larmes de ses yeux bleus électrique. Prenant le mouchoir en esquissant un demi-sourire elle les sécha. D'habitude elle aurait certainement rien répondu, ou presque rien, mais cette atmosphère sereine qui montait en elle lui délia la langue. Suite à une bonne respiration pour être clair.

    "J'ai perdu mon emploi, mon logis, je n'ai nul par où aller et pire que tous, sans rien je vais finir par devenir... sale."

    Oui il est dans sa nature de s'inquiéter de son hygiène bien avant de se demander de quoi elle aller vivre par la suite. Enfin indirectement l'idée de se nourrir dans les poubelles et dormir dans un carton lui retournait le cœur, c'est peut-être pour ça qu'elle pleure en fait ? En tous cas la présence de l'officier l'avait calmé et ce de manière visible. Que ce soit son visage ou son regard, elle semblait bénéficier du soin que prenait l'homme à paraitre le plus doux possible, peut-être que c'était dans sa nature d'inspirer un bien être autours de lui. Elle était loin de s'imaginer que devant elle se tenait un homme connue et qui reçoit sa part de louages des civils. Enfin soit, elle lui avait révélé son problème et commença à l'observer de long en large, en fait cette impression de bien être a peut-être une deuxième origine, l'homme semblait en plus d'être adorable, bien propre sur lui ce qui pour la jeune femme était un critère que d'autres qualifierai de loufoque. Machinalement et de manière habituel elle réajusta ses vêtements, resserrant sa ceinture et remis sa robe en place pour qu'elle redevienne droite sur le haut de ses cuisses. D'ailleurs ça lui rappela une de ses anciennes interrogation qu'elle avait mentionné à son père: Pourquoi les gens d'un pays aussi froid que le leurs mettaient des vêtements aussi courts bien que chauds ? Apres tous une tenue s'arrêtant au bas des fesses et les découvrant légèrement une fois assis est loin de l'archétype du vêtement d'hivers tel qu'on peu se l'imaginer. Elle n'avait jamais eu la réponse et ce petit fait qui n'a rien à voir avec la discutions actuel tracer un sourire sur ses lèvres d'autant plus fort pendant ce moment de silence. Elle s'était rendu compte qu'elle vadrouillée dans son esprit alors qu'elle a un interlocuteur ce qui la fit rosir ses joues de honte et sembla légèrement nerveuse. Sans même y faire attention elle tira son prototype pour qu'il vienne sur les genoux et avec un chiffon imprégné d'huile commença à briquer lentement l'engin. Cela avait eu l'effet désiré inconsciemment, créer un certain calme intérieur. Suite à ce silence perdu en elle, pour le casser la jeune femme ne trouva rien de mieux que de se présenter, elle ne savait pas s'il fallait respecter un certain code en présence de ce genre de personne et dans le fond même si elle le savait le ferai elle ?

    "Je suis Yanagiba Rei, marchande de mort... Enfin armurière, en réalité chomeuse maintenant."

    Elle avait un air passif et pensif au moment d'annoncé son ancien emploie, cette manière de désigner son métier ne lui été pas venue à l'esprit depuis le début de son exil et lui avait valut bien des peines à trouver un travail. Se présenter comme un marchand de mort bien que ce soit la réalité, n'a rien de ragoutant. Pourtant Rei est consciente comme toute sa famille avant qu'un canon n'est pas fait pour envoyer de bonnes ondes. Une arme est fait pour prendre la vie, faire peur dans le meilleur des cas. Maintenant elle avait peut-être une raison suffisante pour se forcer à s'approcher de l'un de ses rêves, après tous il ne lui restait maintenant plus qu'a trouver un travail sur un navire, elle aurait peut-être la chance de voir une part du monde de ses propres yeux ?
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      Bon point pour moi. J’semblais avoir touché le cœur de la jeune dame avec ma gentillesse. De toutes les façons, elle semblait trop en émoi pour me repousser alors bon, j’avais pas de quoi être tellement fier. Je maintenais toujours mon sourire et l’observais alors sécher ses larmes en prenant la parole. Dires que j’écoutais d’une oreille attentive. Si j’avais compris le début de sa phrase, la fin me laissait plutôt… Perplexe. Sale ? Que voulait-elle dire par là ? Un truc sur lequel j réfléchissais longuement. Et puis bof ! Ca n’avait tellement pas d’important, le plus gros étant ce qu’elle avait dit au tout début. Pour moi, l’affaire était un peu bizarre. Je pensais que les maisons n’appartenaient qu’aux familles de marines sous ma responsabilité, mais apparemment, ce n’était toujours pas le cas. J’aurais même voulu la trainer derrière moi pour voir ce fameux locataire, mais on pouvait comprendre à l’intonation de sa voix qu’elle n’avait du tout pas de sous pour pouvoir payer son loyer. Et de ce fait, la raison n’était malheureusement pas la notre. Et je ne pouvais alors rien faire. D’ailleurs, je n’avais même pas d’idées pour l’aider. J’pouvais faire d’elle ma maitresse en lui achetant une maison. Nooon… Ca serait alors assez méchant de ma part, là parce que je savais que j’allais grandement abuser d’elle. J’pouvais essayer de la loger chez la vielle sorcière… Et puis non, finalement. Celle-ci me casserait les pieds, après. Mais alors que je pensais toujours à comment lui venir en aide, la jeune femme déclina alors son identité, subitement plus calme, plus mure. Comment qu’elle était craquante comme ça. Encore quelques secondes et je lui demandais sa main là… Hahem… Et puis, il y avait son arme. C’était un nouveau prototype ? En tout cas, ça avait une certaine classe et ça confirmait son métier qu’elle qualifiait de « marchande de mort »

      • Oh… Mais être armurier est un métier noble. Une arme ne sert pas qu’à tuer, mais aussi à se défendre. Ne soyez pas aussi péjorative envers ce que vous faites mademoiselle Yanagiba.

      Eh bah, fallait qu’elle le comprenne hein. Je trouvais que c’était un métier tout à fait noble. De toute façon, on peut ôter la vie à quelqu’un sans forcement passer par les armes. Les humains sont tellement de mauvaise nature qu’imaginer des stratèges pour détruire sont pour eux, chose relativement facile. J’me demandais parfois si les autres races qui existaient dans ce monde n’étaient pas mieux que nous. M’enfin bref. Dans tous les cas, être armurier, ça n’avait rien de négatif. Bien au contraire. C’était bien mieux qu’être brigand ou pillard, ou pire même… pirate ! Pis celle là, l’avait presque tout pour se relever, j’pense. Un bon métier, un beau caractère à première vue et une belle petite bouille qui me titillait depuis un bon moment maintenant. Je la voyais mal dormir dans la rue pendant longtemps. En attendant, j’pouvais bien lui offrir mon aide quand même. Il y avait mon bungalow à la sortie nord de la ville qu’elle pourrait squatter en attendant. P’être que j’aurais la chance de pouvoir faire quelques galipettes avec elle si je réussissais à la draguer comme il faut. Hum… A voir tout ça. Même si sur le moment, mes yeux étaient passés de son gros derrière bien beau -Pourquoi il aura fallu qu’elle réajuste ses vêtements alors que je me rinçais si bien l’œil ?!- à l’arme qu’elle avait sur elle et qu’elle semblait astiquer avec tout son amour, un peu comme une mère et son nouveau né. L’était superbe ce bolide. Et si je l’essayais ? Oh bien sur, j’pourrais même la payer hein. L’argent pour moi n’était pas un problème avec toute la tune que j’avais. Aussi m’étais-je un peu plus penché vers elle « Je peux vous l’emprunter ? » avant de le lui prendre sans même attendre son avis. L’arme n’était pas si lourde que ça et c’était déjà un bon point. Très bon point même. Il ne manquait plus que…

      • Et si j’actionne ces boutons, qu’est ce que ça fera ?

      Pas b’soin de réponses. Car lorsque je poussai ma curiosité à l’extrême, l’arme que je portais chargea brusquement et faillit m’faire tomber à la renverse. Alors que je titubais dangereusement, retentant de prendre un équilibre notable, j’entendis alors un gros « BOUM » droit devant moi. J’écarquillais mes yeux d’effroi et je regardais alors droit devant moi. Non pas j’avais tiré sur une maisonnée ou sur un bateau qui passait par là, non. C’est juste que la charge avait atteint la surface de l’eau, avant d’exploser de manière phénoménale. Les quelques passants sur le port s’arrêtèrent avant de contempler la scène comme moi. Ébahis de chez ébahis. C’était une véritable machine de guerre, ce joujou. Un peu déboussolé sur le coup, je lui rendais tranquillement son arme, tandis que plusieurs gouttes d’eau venaient jusqu’à nous mouiller sur le port. Pour une armurière, c’en était vraiment une. Je finis alors par poser mes fesses à même le sol, devant elle, sans vraiment me préoccuper des gens qui nous regardaient avec ébahissement. Non seulement –et je n’aurais de cesse de le dire hein !- elle était canon, mais en plus, elle constituait un bijou inestimable qui pourrait p’être aider ma faction à mieux lutter contre la piraterie et la révolution. D’ailleurs, n’avais-je pas besoin d’un armurier dans mes rangs, moi qui ne me contentait que des pistoleros et ingénieurs navals que j’avais ? Toussotant doucement pour faire forme et rejoignant ma main à ma bouche, je raclais alors ma gorge ; Tout juste avant de planter mes mirettes de jade sur ma nouvelle interlocutrice du jour. Elle était en quête de job et je ne comptais pas, après ce que j’ai vu, la laisser filer. Le hasard faisait bien les choses. Le vent du destin tournait en ma faveur ! Ce pourquoi…

      • « Mademoiselle Yanagiba… Que diriez-vous de travailler pour moi… Pour la marine ? Bien sur, vous pouvez toujours garder votre status de civil et travailler pour moi, cela ne me gêneras pas. Il va de soi que vous aurez un logement décent et je m’en assurerais ainsi que tout un atelier de travail… Sans compter un admirateur, sous le charme de votre beauté… » avais-je dis, en me mettant sur un genou, en prenant délicatement l’une de ses mains et en y appliquant un baisemain. Moi, rapide ? P’être bien. Parce que qu’en j’étais assis à même la dalle du port, j’eus le loisir de zyeuter la chair de ses cuisses. Longues et plantureuses. D’quoi me donner l’eau à la bouche quoi… (*-*)
      Et bien que dire de la personne devant moi ? Il est difficile de cerner une personne en si peux de temps, mais certains petits détails même s'ils peuvent tromper sont des petits indicateurs de si oui ou non celle-ci est dans un sens en harmonie avec vous. Toute rencontre est forcement suggestive alors pourquoi me priver de le jauger avec mes propres critères ? Physiquement il n'y a rien à redire et ce n'est pas vraiment intéressent par contre sa réflexion sur son métier lui porta ses fruit. Depuis combien de temps je n'avais pas souris bêtement devant un homme ? Non en fait devant quelqu'un tout simplement c'est une bonne question. Comme je n'arrive pas à contenir se sourire niais que je sens sur mon visage ma nervosité doit se fixer sur autre chose... Est-ce que mes vêtements sont ben en place ? Je devrais m'en assurer encore une fois et je le fi immédiatement.

      *C'est presque exactement ce que j'ai répondu à papa à la même chose, qu'est-ce que je vais répondre ? J'en sais rien...*

      Apres tout ça serait impolie de ne rien dire, alors... Je respire profondément pour prendre le temps de réfléchir un coup de toute manière j'ai toujours était longue à la détente ça ne changera pas aussi facilement. Ah finalement ? Le sourire encore un peu marqué sur mon visage malgré tous

      "C'est étrange, j'ai dit la même chose plus jeune et pourtant cette habitude est restée allez savoir pourquoi."

      En réalité je n'ai pas d'avis la dessus et cela viens plus de l'habitude de son paternelle à l'appeler comme cela qu'autre chose. Enfin soit je dois penser à d'autres choses. Noble ?

      *Noble ?*
      "Noble ?"

      Ca venait à peine de me monter au cerveau, lente comme d'habitude cette manière de l'interprété bien que je dois penser de travers me fais me sentir un peu ? Je ne saurais le dire, mais je sens un peu de chaleur à mes joue alors que celles-ci deviennent certainement légèrement rouge... Tiens pourquoi je serre mon collier de fourrure comme ça avec ma main droite ? Bon je le réajuste alors tant que j'y suis. D'ailleurs c'est à ce moment là que j'ai commencé à polir le canon pour me calmer. L'odeur de l'huile pour le bois ou les métaux a cette petite fragrance de pin qui me rend si nostalgique et m'aide à m'apaiser plus surement que beaucoup d'autres choses. Décidément je suis tombée sur une personne intéressante et certainement unique, il demande doucement d'emprunter mon prototype et n'attend pas la réponse et c'est complètement ahurie un sourcil relevé que je me suis rappelé qu'il avait une chance sur six de lui exploser dans les mains surtout que pour équilibré mes bagages il y en avait un léger dedans.

      *C'est trop dangereux n'appuie pas la !*

      Evidement je n'avais pas eu le temps de le dire que l'arme avait fait ce pourquoi je l'avais crée, mais pourquoi il y avait encore de la poudre dedans ? Je ne me rappel plus alors qu'en une seconde le boulet explosif atteins la surface de l'eau et explose sans toucher le moindre objet solide.

      *Boulet mal fait ou amélioration non voulu ?*

      Enfin ce n'était pas le moment de s'extasier devant la superbe explosion, bien qu'en fait je regarde quand même. Les explosions c'est mon dada comme tous ce qui brille voir flambe. Puis j'ai repris mon arme il a surement constaté que ce n'est pas un jouet bien qu'il ne semble pas souffrir plus que ça de l'épaule du au recul heureusement. Puis il se remit à mon niveau pour me dire autre chose dans le blanc des yeux... Avec de beaux yeux verts d'ailleurs. bon et bien je vais devoir réfléchir un peu pour assimiler tout ça. Dans l'ordre travailler pour lui, la marine, gardé ou non mon statut civil avec tous les avantages et inconvénients que cela implique. Donc ? Je ne sais pas quelques chose me gêne, je le sens sans savoir quoi.

      *Pourquoi je n'arrive pas à réfléchir sérieusement à une question aussi importante ?*

      Ah si peut-être, le baisemain ? non ce n'est pas ça bien que ce soit délicat de sa part... c'est parce que je me sens humide. Oui il est un peu mouiller c'est surement l'explosion. Mais alors ? Moi aussi ! Ah non l'eau et le meilleur moyens de se salir ça, pleins de truc tache un linge humide quel horreur ! Je reculer donc avec des sueurs froides naissantes pour farfouiller dans l'un de mes sacs.

      "Une minute si je ne me change pas mes vêtements vont facilement se salir avec l'eau."

      Donc j'enlève mes vêtements et m'assure de tous les mettre bien plier dans le sac: Serre cou en fourrure blanche, les deux manches seules rouges et fourrures, Robe courte, ceinture en cuir noir, cuissardes puis mes chaussettes pour maintenant me retrouver nue puisque je n’avais pas de sous vêtements. Oui je n'aime pas me sentir serrer et les vêtements de chez moi son doux alors ça ne demande rien de plus. Par contre ma tenue d'artisante elle ne l'est pas.

      *Tiens c'est la première fois que je n’entends pas hurler des mots comme dépravée ou perverses quand je me change.*

      En même temps à ma droite il y a un mur, devant et derrière moi des piles de caisses et a ma gauche un monsieur bien asses costaud pour me cacher. D'ailleurs en quoi aimer sentir l'air sur sa peau et se moquer d'être vu ainsi est un mal ? Peut-importe donc puisque j'adopte maintenant ces vêtements: Un tanga blanc un peu brut, il est la pour ne pas être gênée par ce qui viens par dessus, soit un pantalon en tissus rugueux bleue foncé conçu pour résister au feu des fourneaux que je remonte jusqu'en dessous des genoux pour laisser mes mollets à l'air. Des chaussettes fines blanc crème avec par dessus des bottines de la même teinte renforcé par une coque sur la moitié du pied recouvert de cuir. Pour le haut pas de soutien-gorge, non juste un simple débardeur gris foncé qui s'arête avant le nombril puisque quand je travaillerai avec cette tenue il y aura une très lourdes et épaisse veste par dessus qui sera déjà bien asses encombrante, celle-ci d'ailleurs restera dans mes bagages pour l'instant. Qu'est-ce qu'on se sent bien avec des vêtements frai propre et secs, surtout le sec dans ce cas oui. Je retrouvais donc mon demi-sourire sans la moindre différence. Le fait qu'il m'ai vu dans mon plus simple appareil devrai être dérangeant ? Absolument pas quand je faisais mes rang les casernes étaient mixtes alors être a poils devant des hommes, les mains aux fesses et autres j'y ai eu le droit autant que les autres bien que la surveillance soit asses stricte quand même pour éviter tous débordement. Le but après réflexion était certainement de réduire au maximum l'aspect misogyne de soldats pratiquement tous ouvriers ou artisans pour créer le genre de lien qui sauve la vie dans les escarmouches. Donc toujours levée et m'étirant de tout mon long ce petit temps m'avais permis aussi de réfléchir à une réponse, d'une pierre deux coup. A ce moment la bien qu'ayant le même aspect à moitié froid avec se demi sourire sans réelle chaleur j'étais bien et cela s'entendait dans ma voix devenue régulièrement de plus en plus douce.

      "Je ne sais pas pourquoi, mais vous avez ce petit quelque chose qui me donne envie de vous faire confiance, par contre je préfèrerai justement être avec vous que ce soit en tant que soldat de la marine ou civil puisque mon statut je m'en moque, j'espère par contre pouvoir voyager en continuant de travailler."

      Puis pour continuer dans mon monologue j'avance mon épaule vers lui en lui montrant mon tatouage qu'il a certainement déjà vu, mais c'est pour être sûre on ne sait jamais.

      "Je n’ai pas peur des ordres ni de la discipline comme vous pouvez le voir donc je vous rejoindrai de la manière la plus simple pour vous sur le long terme. Je ne me permettrai pas de poser des conditions, par contre je préfère dire tous de suite que j'ai certaines manies et donc entre autre quitte à le faire moi-même le navire sera briquée régulièrement et propre au point de presque pouvoir manger par terre... presque parce que ça sali quand même et l'intérieur ranger... en tous cas dans les partie communes ou je passerai. De plus si vous voulez une arme pour vous, votre équipage ou votre navire je le ferai sans problème."

      Et la j’avais marqué une pause pour respirer un peu et le laisser assimiler un peu ce que je viens de dire avant de continuer.

      "Par contre il y aura deux règles la dessus la première étant de ne PAS utiliser un prototype qui je n'ai pas certifié sans danger, la par exemple vous aviez une chance sur six qu'il explose dans vos mains. De deux je ne fais PAS d'arme génériques, je fais le plus possible du sur mesure, pour moi comme pour ma famille un travail fait à moitié est insultant pour la personne qui va l'utiliser autant que pour l'artisan, évidement si c'est un ordre je le ferai quand même, mais ça ne sera pas avec tout le cœur que la tâche mérite."
      *Je n'ai jamais parlé autant depuis au moins une douzaine d'années... Décidément il doit me faire bonne impression.*

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        Hein ? Quoi… ? Qu’est ce que j’ai fait ?! Pourquoi elle recule ? Qu’est ce qu’il y a de si méchant dans un baisemain ? Pouah ! Mais sur le coup, j’vous jure, j’étais complètement dégouté. A voir son air, j’avais l’impression d’avoir commis une gaffe irréparable. Pourquoi est-ce que les filles sont toutes aussi compliquées, hein ? Vous comprenez maintenant pourquoi un marine aussi respecté que moi s’amusait à partir dans les bordels ? Hé bah, c’est simple… Dans les bordels, t’as pas besoin d’faire semblant d’être galant quoi. Dans les bordels, t’as pas besoin de passer par un plan drague. Dans les bordels et tant que tu as d’l’argent, tu peux faire tout c’que tu veux. ‘Fin, tout un tas d’avantages vu que dans les bordels, tu prenais ton pied quoi qu’il en soit et à la mesure des billets de berrys que tu avançais. Pour un flemmard comme moi, c’était l’eldorado assuré. Et j’aurais p’être bien fait d’aller là bas, finalement. Tsss… Chienne de vie quand même ! Dire que j’pouvais l’avoir celle là. Parce que très franchement, fallait être malvoyant pour ne pas remarquer ses formes aux galbes parfaits et son petit minois qui finissait de renforcer mon pé… Mon cœur. Comment qu’elle était belle. Même dans son mouvement d’antipathie certaine, elle était fort attirante. Surtout que mes yeux glissèrent inexorablement et une nouvelle fois encore, vers ses cuisses plantureuses…

        • Hein ?!

        Encore une fois, la phrase de la jeune Rei m’laissa véritablement perplexe. Qu’est ce que l’eau et les vêtements avaient à voir avec ma demande formulée avec toute la sincérité du monde ? C’est pas pour dire, mais elle était parfois déroutante cette fille. Et quand on ne s’y attendait pas du tout. Haussant un sourcil d’un air dubitatif, j’me résignais à me terrer dans un mutisme pour laisser place à l’observation. Hu… ? Mais putain ! Qu’est ce qu’elle me fait l… Oh que non ! Elle va pas oser ? J’étais peut être pervers, mais assez pudique quand même ! Je sais, c’est drôle et ça n’rime pas du tout, mais je puis vous assurer que tel était l’cas. Mais… C’est pas possible ça ! Elle se déshabillait ? Comme ça ? Devant moi ? En pleine rue ? Sans savoir que j’étais un pervers ? J’vous jure que si j’étais pas colonel… J’l’aurais sauté dans l’eau ! Mais putain… Comment qu’elle est belle… Et accessoirement trop bien foutue. Mais c’était un beau Bonnet C ça. Presque D même. Bien comme je les aime en plus… Et son bassin, OMG, son bassin… Son bassin ! Large. Qui donnait sans aucun doute sur un gros cul rond et bien rebondie comme il faut. Il me la faut ! Il me la faut absolument ! Au fond d’mon pieu, sous de chaudes couvertures. Pas plus tard que ce soir !

        • Hein ? Heu… Ah bon ? Ahem… Ravi de le savoir.

        Elle avait fini de s’habiller et j’étais tellement occupé à baver et à penser c’que je pourrais faire d’elle ce soir que je ne m’étais même pas rendu compte de la chose. Comble de la situation, l’grand pervers que je suis, saignait horriblement du nez. Comme si ça n’avait pas suffit de baver et de me perdre dans de multiples fantasmes. ‘Fin, comme l’essentiel était fait, je m’en foutais un peu. Pour le coup du voyage, j’y adhérais volontiers. Il n’y avait pas tellement de problème. Puis, elle pourrait bien m’accompagner dans mes déplacements et me réchauffer au fond de ma cabine, pendant la navigation. ‘Fin, si j’avais vraiment un brin de charme à ses yeux. Ce qui semblait être sur la bonne voie. Essuyant mon nez d’un coup d’mouchoir que j’avais rapidement sorti de ma poche, je la regardais me montrer une marque bizarre sur son épaule, tout en étant attentif à son discours. La marque, je ne l’avais jamais vu. Sans doute une preuve qu’elle appartenait à la dynastie des Yanagiba qui devait être de grands armuriers dans le temps. Un truc du genre quoi. Mais le monologue, je le suivais toujours d’une oreille attentive. A l’entendre parler, j’avais l’impression qu’elle était déjà passé par la marine ou une autre faction du genre. ‘Fin bref, quoi qu’il en soit…

        • C’est dit avec une telle conviction que je ne peux me que me plier à vos conditions. Mais bien avant d’intégrer véritablement la marine, j’aimerais vous soumettre à un test. Cela va de soi, n’est-ce pas ?

        Je prenais une nouvelle fois sa main et y appliquait un deuxième baiser. Un peu pour la rassurer parce que le test en soi, n’serait pas bien dur. Un peu pour me rassurer aussi, parce que j’voulais gagner des points, moi. Vu qu’on avait largement dépassé l’heure du déjeuner, fallait p’être que je pense à la caser. Mais bien avant, j’voulais qu’elle jette un coup d’œil à ce qui allait être son épreuve. Retenant toujours sa main dans la mienne « Tu veux bien me suivre s’il te plait ? Et… Je peux te tutoyer, non ? » Je l’entrainais alors sur le quai que nous commencions tranquillement à longer. Ses affaires ? Bof ! Je ne m’inquiétais pas pour. La ville n’grouillait pas de voleurs et on m’voyait clairement près de cette jeune femme. De toute façon, mes enquêtes trouvaient toujours le succès et donc quiconque volait, s’retrouvait toujours derrière les barreaux de la prison de ma base. Notre marche quelques minutes plus tard, nous amena devant un bateau standard. Le mien pour ainsi dire. La passerelle était déployée et les quelques marines qui se trouvaient là m’saluèrent respectueusement par le garde à vous que je fis rompre rapidement d’un signe de mains. Tranquillement donc, je faisais montrer mon invitée du jour sur le pont de mon navire, avant de lui désigner de la main, les multiples canons que je possédais…

        • Ce sont tous mes canons. Mon bateau n’est certainement pas le plus rapide du monde, mais niveau armement, on ne peut pas dire que je ne sois pas équipé. Mais voilà… Dernièrement, j’ai du affronter beaucoup de monde avec. Et tout ça commence malheureusement à s’rouiller. Les rendements ne sont plus du tout bons comme il y a plusieurs années et l’absence d’armurier pour palier à ce défaut rend notre armement complètement défaillant…

        Après mon petit speech, j’ordonnai à un de mes soldats présent prêt de moi de m’apporter le matériel de mécanique que nous avions à bord. J’allais dès à présent fatiguer mademoiselle. Hé bah quoi ? J’exagère ? Bien sur que non. Il fallait qu’elle me confirme les talents qu’elle avait en faisant ses preuves, là, maintenant. Et puis, ça m’éviterait d’avoir affaire à une usurpatrice ou à une armurière de seconde zone. Chassez le naturel et il revient au galop. J’avais beau avoir eu à embrasser sa main, à la complimenter et tout, mais voilà quoi, mon sang de marine réclamait preuves irréfutables. Et dans l’immédiat, je n’avais pas vu mieux que ça. Outre ce fait, j’allais p’être faire d’une pierre deux coups si elle ne me mentait pas : La recruter définitivement après avoir vu ses talents indéniables et réparer les canons de mon navire qui allaient redevenir complètement efficaces. Parfois, j’me trouve trop intelligent quoi ! M’enfin, bref… Bref. Mon soldat revint avec une lourde caisse chargée de matériels en bon état parce que nous les utilisions que peu. Pas d’armuriers et très peu d’ingénieurs entre nous. La survie d’mon navire se basait essentiellement sur la chance. Et force était d’avouer que j’en avais beaucoup. Je me tournais donc vers la demoiselle Rei et lui montrais la caisse pleine de matériels en tout genre.

        • « Voilà mon défi : Rendre opérationnels mes sept canons avant la tombée de la nuit. Je sais, j’abuse… mais je veux savoir si tu es vraiment prête à vouer allégeance à la marine et à t’investir corps et âme dans la lutte contre la piraterie. Partante pour le challenge ? » Lui demandais-je d’un air taquin en clignant malicieusement un œil. En vérité, un seul canon réparé suffisait à m’convaincre. Mais ça, je n’allais pas lui dire, et j’attendais dès à présent d’la voir à l’œuvre.
        Suite à mon petit... à mon monologue je devrai être honnête avec moi-même j'attendais la réponse du colonel tiens d'ailleurs maintenant que j’y repense pourquoi avait il saigné du nez tout à l'heure ? Enfin bref détail sans importance je dois l'écouter attentivement sinon je vais encore rater quelques choses d'important, comme d'habitude en fait. Tiens encore un baisé sur ma main, honnêtement cela ne me faisais pas grand chose, enfin presque rien et c'est alors que je réfléchie et me perdais dans le nombre incroyable de possibilité qu'apportait l'idée d'un test et s'il était à moitié aussi sadique que le sergent instructeur Heartless ça aller être dur. Enfin bref je l'écoute. Ah et oui autant répondre.

        "Effectivement."

        Forcement il est évident que n'importe quelle personne censée n’engagera pas la première venue pour s'occuper de ses bordés sans la moindre assurance qu'elle est bien ce qu'elle prétend être. Il serait si simple de saboter consciemment ou non un navire par ses canons que cela ne doit pas être prit à la légère et sur se point il est bien ce que j'imagine. Sous son air qui donne l'air détaché il est bien plus conscient de ses actions qu'il ne le laisse entendre... en même temps il n'est pas devenu officier en faisant des idioties je pense. Donc je le suis puisqu'il me la demandé vers ? Quelques chose surement un navire et il ma demandé si je peu le tutoyer, un petit oui de la tête et je le suis. Je prends tout de même la valise en toile noircie après avoir rapidement tendu la main pour l'attraper, je n'allais pas partir sans mes gants et un peu de matériel quand même. Le reste j'imagine qu'il a confiance en plus les habitants semblent honnêtes pour ce que j'en ai vu. Donc il me tire par la main comme ? Un grand frère bienveillant ou ? Je me sens un peu chaude au niveau des joues étranges tiens. Enfin soit les quelques minute de marche nous ont conduit à un navire avec des gens en bonne santé et en uniforme. Une fois à bord j'observe les canons, d'ici ça semblait être de bonnes pièces, mais une vu de près me dira certainement si c'est le cas ou non. A moins de vraiment faire n'importe quoi avec un canon ne peut pas être en aussi mauvais état que certains peuvent l'imaginer. Le matériel est la et avec ma valise en toile j'avais tous ce qu'il me faut en principe. Avant même qu'il n’a expliqué en quoi consisterai le travail je mets une bonne paire de gant épais car il faudra certainement décaper l'âme et je n'ai pas envie de voir mes mains fondre, c'est que ça brule ces machins la. D'un pas lent j'allais vers le premier canon pendant que le colonel m’expliqua la teneur de sa demande. Sept canons ? Ce n'est pas un peu léger pour un trois mats ? Enfin soit il n'est pas spécialement grand de toute manière donc pour sa taille c'est bien. A la fin de son explication je me tourné vers lui tout de même, je sentais presque mon sourire certainement parce que j'aime mon travail et que ça ne semblait pas impossible loin de la.

        *Autant demander à une petite fille de tester la solidité d'une poupée en s'amusant avec.*

        Donc doucement j'observais le pond du navire, tiens et je me permets même de retirer un gant pour sentir la chaleur du bois, ce navire semblait propre et de toute manière j'avais mieux à faire pour le moment que de vérifier ça, enfin je me le répète beaucoup dans ma tête pour ne pas faire autre chose que de m'occuper de ces pièces d'acier. Le premier semblait bien encrassé par la poudre et c'est avec soin que je commençais à passer l'âme à l'écouvillon celui-ci imprégné de produit décapant et le bronze extérieur avec. A bâbord les trois canons étaient simplement encrassés en plus le tube est de bonne facture la marine ne semble pas lésiner sur son armement en tous cas à l'époque de la création de ceux-là. A tribord le premier est aussi en bon état par contre les deux suivant... Le second encore c'est réparable par contre le suivant est foutu comme celui sur la proue. Entre le nettoyage et l'entretien des canon puis le diagnostique il s'est passé au moins quatre à cinq bonne heure et le soleil commence déjà à partir lascivement se coucher pour mieux revenir le lendemain. Avec tous ça je n'avais même pas remarqué à quel point je transpirai il aller falloir que je me change encore... mais je n'ai plus rien à me mettre et je n’aller pas passer la nuit en armure de combat. Enfin déjà je vais aller voir... au fait comment il s'appel déjà ? Hum... j'ai du oublier même si je ne suis même pas sûre qu'il me l’a dit en réalité. Enfin soit une fois devant lui.

        "Les canons à bâbord sont opérationnel, il n'y avait qu'un peu de nettoyage à faire comme pour le premier de tribord, bien que faire vérifier les soles, flasques et entretoise par un charpentier ne sera pas un luxe, le second de tribord est réparable avec un atelier et tiendra un bon nombre de combat, par contre le dernier et celui sur la proue sont à changer. Je ne parle pas d'un simple vent de boulet qui en lui même est déjà bien nocif, mais d'un vrai risque de blessures pour les servants des pièces d'artillerie par l'explosions de celles-ci, il me faudra certainement plus de temps pour être sûre de n'avoir rien oublié."

        Puis maintenant que j'en parle j'ai oublié quelques choses... à oui !

        "Même s'ils sont plus chers, je peux te conseiller des boulets en bronze ils sont de meilleur qualités et se déformes plus qu'ils n’éclatent ce qui est un grand plus... j'ai dit tu car tu... ma demander de se tutoyer... enfin tu vois."

        *Oui il me semble... d'ailleurs je suis sûre de ne pas connaitre son nom.*

        Bon il me répond... mais la tout de suite je ne l'écoute plus et il a du le remarquer, je me regarde, oui mes vêtements sont pleins de sueurs et c'est sale, c'est vraiment trop crade et pas seulement pour l'odeur... me changer et surtout me laver... Je m'en mordais la lèvre inférieure. Je me sens perdu.

        "il faut vraiment que je me change... Mais j'ai rien d'autre à me mettre... peut-être que rien vaudrai mieux que ça ?"

        Toujours perplexe, perdu et nerveuse je n'ai plus que ça à faire et c'est pourquoi je venais d'enlever mes bottines.
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          Inspirée la donzelle ! Car à peine venais-je de lui parler de son job, qu’elle enfilait déjà ses gants. Que du bon ! Que du bon ! Je souriais au constat de son engouement pour le boulot qu’elle allait maintenant effectuer et partait poser mon cul sur le transat du pont qui se trouvait sous un parasol, à l’abri des rayons du soleil. Confortablement installé donc, j’fis appel à l’un de mes hommes que je chargeais d’aller récupérer les affaires de notre nouvelle invitée. Automatiquement donc, celui-ci s’exécuta et j’eus alors tout le loisir de récupérer l’un de mes romans posé sur une table à côté. Fallait bien que je m’occupe pendant qu’elle s’attelait à faire ses premières preuves. Toujours sourire aux lèvres, je me délectais alors de la lecture de mon roman -Érotique- lunettes de soleil sur le nez. Il m’arrivait de temps en temps d’en profiter un peu pour lancer des coups d’œil lubrique à la jeune demoiselle, lorsqu’elle se cambrait ou se penchait vers moi. Une belle croupe bien rebondie. J’sentais que si je loupais cette beauté d’la nature, j’allais déprimer grave. Parce oui, il me la fallait, c’était indispensable à mon bien être, essentiel même. ‘Fin, j’allais m’donner les moyens pour. Même si j’me disais que ça allait être un poil dur. Très dur. Mais voilà, on verrait bien. Pour l’heure, la réparation des canons était à l’ordre du jour. Puisque si elle échouait, j’me verrais tout en essayant de l’aider à trouver un logis, obligé d’me séparer d’elle. Et l’idée de sauter une très belle armurière s’envolerait comme ça, d’un coup… Ce qui ne me charmait du tout pas et ce pourquoi j’avais foi en ses capacités. Tout ça pour m’envoyer en l’air une belle femme. Je m’étonne quelques fois. Mais bon, comme je m’assumais, j’m’en foutais un peu…

          Quelques heures plus tard…

          Au bout d’un moment, j’avais fini par prendre du matériel artistique pour représenter le crépuscule d’une beauté époustouflante. L’héritière des Yanagiba était toujours à l’œuvre et il m’avait alors fallu un autre passe temps que ce livre que j’avais lu pendant un bon moment. J’allais même finir mon chef d’œuvre sous deux trois coups de pinceaux quand elle se pointa devant moi en m’affirmant qu’elle avait terminé son boulot. Épatant ! Moi qui avais cru qu’elle se bloquerait ou abandonnerait au quatrième canon… C’est bien la première fois que je voyais une personne autant dévouée à son boulot. Même moi, j’étais loin de lui arriver à la cheville quoi. C’est dire qu’elle méritait vraiment la confiance que je lui avais accordé et qu’elle serait par le futur, l’un des éléments indispensables dans la lutte contre la piraterie. J’aurais voulu lui dire un mot, mais je la laissais finir, vu que je sentais en elle, l’envie de renchérir. Elle me conseilla sur l’entretien, mais bientôt, je n’aurais certainement plus à m’en occuper vu qu’elle ferait prochainement partie de mon groupe. Contournant tranquillement mon tableau que j’avais peint avec tout le professionnalisme du monde, j’ordonnais à un soldat de sortir quelques boules de canons pour des essais vers la mer, histoire de voir la performance nouvelle de mes joujous. Les marines sur place s’exécutèrent rapidement. Une minute après ma demande, ils revenaient avec quatre ou cinq boulets. Ils se hâtèrent alors de viser une grosse roche au milieu de la mer qu’ils bousillèrent d’un seul coup impressionnant. La détonation, le bateau qui vibra, l’odeur de la poudre… Des sensations qui me rappelèrent le bon vieux temps de l’Old Timer. Également impressionnés, mes hommes essayèrent deux ou trois autres canons, avant de me faire un bref signe de la tête : Rei avait grave assuré !

          • Je t’engage Rei ! Félicitations et bienvenue au sein de la marine ! Je suis ton colonel Alheïri. Alheïri Salem Fenyang. Je pensais aller directement faire ton dossier, mais vu que tu veux te rendre propre, nous n’avons plus qu’à rejoindre la salle d’eau de ma cabine.

          L’occasion était trop belle quoi. Maintenant qu’elle était avec nous, j’pouvais passer au deuxième plan et étaler mes tactiques de drague ou tout simplement, « mon rentre dedans ». Je m’approchais alors d’elle et passait un bras lascif autour de ses reins, ma deuxième main s’occupant de saisir son autre main. « Et ne t’en fais pas, je pense avoir deux trois bricoles qui pourront t’aller à merveille. » Comment avais-je fait pour me procurer des vêtements féminins, vous allez m’demander ? Étais-je un Okama ? Non non, je vous rassure. C’est juste que je me faisais plaisir ici, avec quelques une de mes maitresses qui oubliaient leurs parfois leurs vêtements ici. Ça avait même failli m’trahir un jour auprès d’une, mais bon, j’avais réussir à lui mentir… Bref, à me démerder. J’entrainais une nouvelle fois la jeune Rei dans un couloir qui donnait sur ma cabine avant de l’ouvrir et de nous engouffrer dedans. Je fermais alors la porte derrière nous, avant de me retourner vers une chambre un peu plus spacieuse qu’une cabine normale et avec tout le luxe qui allait avec. La devançant, je sortis alors de mon placard un peignoir et une tenue affreusement sexy –Rhoooo- que j’allais volontiers lui passer. Je déposais le tout sur une partie de mon lit avant de lui passer le peignoir tout en lui souriant franchement : « Voilà la douche. Prends ton temps. » Tout en lui désignant la pièce d'une main, je me retournais alors tranquillement vers le hublot de ma cabine et contemplait l’horizon. Pas de faux pas. J’n’allais quand même pas lui proposer d’emblée d’me doucher avec elle. Ça serait passer pour un gros pervers à ses yeux, là ! J’allais prendre mon temps pour la draguer et puis on allait bien voir c’qui allait se passer. Pour faire passer le temps sans plus m’occuper d’elle, je me débarrassais de mon manteau ma veste, restant torse nu devant le hublot, clope nouvelle aux lèvres…

          Spoiler:

          Donc j'avais fait mon travail de toute évidence puisqu'il avait immédiatement donnée l'ordre de tester les canons sains sur un rocher et de toute évidence ils semblaient apprécier comme elle les belles explosions. Cela ma permit aussi de voir comment ils chargent un canon ce qui était presque parfait, presque, mais pour améliorer le peu de secondes perdu il faudra juste un peu de temps et d'entrainement. Enfin soit, une fois les tests terminés j'ai tout de même effectué le dernier coup d'écouvillon pour la forme même s'ils le font très bien. Je me sentais bien, peut-être l'air ioder ? La chaleur du bois par rapport à d'autres matériaux ? Non je ne vais pas me mentir, c'est cette petite par de moi qui aime son métier et qui se sent en sécurité au sein de cette équipage. Peut-être que je suis naïve ? Ou bien c'est la simplicité d'obéir sagement aux ordres sans trop avoir peur des répercutions, la simplicité d'avoir une hiérarchie franche. Dans tous les cas il y a plus important à gérer dans l'immédiat.

          *Je pue la transpiration et je suis noire de crasse... bref je suis dégelasse.*

          J'avais à peine regardé le tableau de mon potentiel futur supérieur, entre les détonations et mon état d'hygiène actuel j'ai mieux à faire, même si c'est un peu égoïste. Puis il avait pris la parole, je ne l'ai presque pas écouté d'ailleurs... arg mon bras, de la graisse dessus.

          *Rendre propre ?! Ca c'est le sens des priorités d'un colonel !*
          "Merci Colonel."

          Je sens son bras autour de mes reins, mais peu importe ! Salle d'eau, lavage, propreté ! Sur un navire de quoi se laver c'est presque trop beau pour être vrai. C'est un gâchis d'eau tout à fait justifié. En plus il a des vêtements propres que demande le peuple, heu moi ? Rien de plus en plus en marchant dans les couloirs je peux voir que tous est propre il n'y à pas à dire, l'organisation et l'encadrement de la marine vaut bien de brider un chouia sa liberté. Peut importe d'où ils viennent et comment il les a eu, si c'est vrai je ne vais pas cracher dans la soupe surtout que sans vêtements on se salit si facilement. Une fois dans la cabine luxueuse je l'observe, elle est coquète donc en plus il a du goût maintenant c'est sûr il doit être marié. J'avais donc risqué un petit regard vers sa main un quart de seconde et je n'y avais rien vu il me semble.

          *S'il venait sur l'île il ne serait pas seul longtemps.*

          Enfin soit j'avais à peine regardé la tenue qu'il me prête et une fois posé délicatement ou presque en prenant le peignoir quand même pour pas salir ça serait égoïste, j'avais presque battu mon record d'effeuillage pour partir à la douche et une fois dans la salle d'eau je l'observe un petit moment. Une fois presque entièrement propre j'ai eu un petit doute. pas de brosse longue...

          *Mon dos ne vas pas se laver tout seul quand même ?*

          Oui, mais il n'y a rien pour le faire... finalement tant pis alors je n'avais pas quelqu'un sous la main à qui demander et même si ça ne serait pas le premier homme que j'ai vu nue je ne vais pas demander à mon supérieur officieux et bientôt officiel de venir me frotter le dos quand même. Bon j'avoue c'est tres tentant, mais pour une fois je serai un peu moins propre. Je sors donc avec le peignoir pour me sécher et une serviette pour mes cheveux, donc qu'est-ce que sont ses vêtements.

          *Une robe ?*

          Cela en a tout l'air *cliquez* Mais comment es-ce que l'on met une chose pareil, j'en ai jamais vu à moins de dix mètres de mois jusqu’à présent. Bon pour la culotte rouge avec de la dentelle aucun soucis, encore moins pour les talons haut bien que je n'en ai jamais mis, par contre la robe elle-même... Bon soyons logique, au vu de la couture et des forme elle est à dos ouvert avec un jolie frou-frou au niveau du fessier en voile rose translucide qui va à merveille avec la teinte général rouge pourpre. Apparemment les manches à plis pourpres se détachent au niveau des épaulières. La longue robe souple rouge foncé s'ouvre en deux pour laisser un tissus plissé plus foncé du même pourpre que les manches descendre au même niveau qu'une jupe suivie de voiles roses qui cache à peine les cuisse, plus pour les montrer discrètement et attirer le regard. Aucunes attaches, aucuns boutons ou autre, il faut donc l'enfiler simplement ? J'essaye donc de la mettre, cette chose bien que jolie est traitre surtout qu'elle est un peu trop petite au niveau des hanche et est trop large au niveau de la poitrine e qui donne que je suis à deux doigt d'embrasser le sol de tout mon long. Une fois enfin revêtue du vêtement et les manches attachées c'est au tour des escarpins. Assise je les mets, la forme est vraiment étrange et je ne parlerai pas de l'intérêt de se surélever en plus le talon ne donne aucun équilibre c'est totalement inutilisable au travail ces choses là.

          *Le Colonel me regarde je ne vais pas encore le faire attendre, aller hop debout*

          Rapidement sur mes jambes après lui avoir fait un grand sourire j'expérimente l'expression "comme dans un jeu de quille" à moins que ce soit "comme un monstre marin dans un magasin de porcelaine" ? Malédiction je vais tomber. C'est une fois l'action résolut que je ne trouve rien d'autre à dire que:

          "Celui ou celle qui à inventé les talons hauts doit profondément haïr les femmes..."

          HRP:
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            Fermeture de la salle d’eau de ma cabine. Silence complet. Elle avait par me quitter en partant se rendre plus propre. Brave bout de femme. Pour ma part je fumais toujours et je dois bien avouer que cela me détendait un peu. Mes yeux se perdaient à l’horizon que je visionnais à travers le hublot de la cabine. Il faisait beau ce soir. Je m’amusais à engendrer des petites volutes de fumées en expirant la nicotine de la cigarette. Que faire maintenant ? Bonne question. Pour m’amuser un peu vu que je sentais l’ennui vite venir à moi, je me dirigeais alors vers la porte de la douche et profitait de son entrebâillement pour contempler une nouvelle fois la beauté de cette femme. Comme un beau demeuré, je commençais à sourire bêtement en sentant une bosse grandir sous mon pantalon. Pouah ! Si vous aviez vu ce fessier… Divin de chez divin ! J’aurais bien voulu la rejoindre, mais je lui laissais le loisir de prendre ses aises tout d’abord. Elle serait encore plus affriolante une fois débarrassée des impuretés. Me retournant vers le lit, j’entendis toquer à ma porte et soupirait. Qu’est ce qu’on me voulait actuellement ? Haussant les épaules en soupirant, j’me résolus à aller ouvrir la porte avant de voir un gigantesque plateau plein de victuailles. Prenant un air dubitatif en voyant ce repas, je relevais ma tête vers mon soldat qui m’expliqua que la plupart des gens de la base avait pris le week-end, ce que j’avais complètement oublié. Celle-ci devait être vide maintenant, mis à part les quelques vigies obligés de rester. Lui aussi se mit à rougir en m’expliquant qu’il allait faire de même avec tous les soldats sur le bateau. J’lui fis un sourire en lui souhaitant un bon week-end et je fermais la porte après son départ. L’bateau devait être vide du coup. Mais c’était pas plus mal dans un sens. Souriant, je déposais alors le plateau sur une table, avant que la demoiselle ne sorte enfin. Je me plaçais dans un coin du lit et la regardait s’habiller avant de lui dire…

            • Je vais retirer les escapins pour toi. Il n’y a personne à la base et je préfère qu’on s’y rende demain à l’aube. Pour le moment, je pense bien qu’on passera la nuit ici, sur mon navire.

            Youhou ! Pas d’échappatoires pour la jeune femme ! Enfin si… Mais j’espérais qu’elle ne penserait pas à ça quoi. Parce que je sentais que je n’avais pas tout vu avec elle. Je me relevais et vint devant la jeune femme, avant de m’accroupir. Délicatement, je me saisissais de ses jambes et lui enlevais tranquillement les escarpins, un à un. C’était bien la première fois de ma vie que je rencontrais une femme qui ne savait pas marcher avec ce genre de chaussures, ce qui m’étonna un peu. Faut dire qu’elle me surprenait du tout au tout celle là. Sa phrase avait failli me faire éclater de rire, mais bien heureux étais-je d’avoir laissé place à de la sérénité pour pouvoir lui ôter ces belles chaussures avec lesquelles elle ne pouvait pas marcher. Je finis par les ranger à leur place précédente dans un placard avant de le refermer et de me retourner vers elle. De un, je voulais éviter qu’elle se foule les pieds avec. Ca ne m’arrangerait pas dans mon affaire, ça je puis vous l’assurer. De deux, il était aussi hors de questions qu’elle abime ces chaussures en marchant maladroitement. La propriétaire, l’une de mes maitresses, était une grosse mijaurée qui profiterait de l’occasion pour me mettre à sac, bien que je vous accorde le fait qu’elle demeurait très bonne au lit… M’enfin bref. De trois la base était vide. Même si nous y allions, nous finirions certainement par nous coucher dans une chambre, ce qui revenait au même si nous restions ici. Je n’avais pas non plus l’envie de me taper tout un chemin, alors que nous pouvions certainement rester là. De plus, il y avait un plateau plein de nourritures si jamais elle avait faim. Mais pour ma part, j’avais faim de tout autre chose. Subtilement, je la poussais un peu sur le lit avant de la rejoindre dessus et passais une main sur l’une de ses jambes, avant de la remonter vers sa plantureuse cuisse. Je me penchais un peu vers elle et lui offrit un sourire doux, tendre, craquant ou tout ce que vous voulez, avant de renchérir…

            • Tu m’enivres…

            Suite à quoi, je capturais ses lèvres pour l’embrasser langoureusement.

            Cette robe est du beau pourpre dont j'ai eu l'occasion de porter alors c'est une premier fois dans un sens, pour les outils de tortures à talons également. Une fois reposé il m'a aidé en bon... quel est ce terme qu'utilisaient les dames ? Enfin ce n'est pas grave il l'a fait donc et ? Plus personne à la base ? Où pouvaient-ils bien être alors ? Tous cela est bien étrange peut-être que.

            *Ce n'est pas une légende alors ces jours de repos obligatoires ?*
            "Ah ?"

            Décidément il y a partout sur les mers bien des choses que je ne sais pas et que j'adorerai apprendre à connaitre si j'en ai l'occasion, peut-être des calendriers différents ou toutes autres sortes d'artisanats fascinant ? Et peut-être même des couleurs éclatantes dans le ciel lui-même reflété par des mers infinies. Dans tous les cas s'il n'y a personne à la base ça veux dire qu'il ne sera pas possible dy faire quoi que ce soit avant qu'ils reviennent si l'administration est la même ici. Donc ont se retrouvent à deux, seuls ? Dans une cabine faisant chambre à couché et sur le lit. C'est étrange je suis sûre que mon père m'a déjà mise en garde contre ce genre de situation sans vraiment savoir pourquoi a moins que ce soit ma mère quand elle me parlait du bonheur de former une famille ? Bof le colonel est un homme de valeur qui ne profitera pas de l'incrédulité et du manque de finesse d'une demoiselle enfin je pense. La première chose qui met venu à l'esprit avant qu'il ne m'approche est de savoir ou j'allais dormir, rapidement changé par le fait que le meuble du fond a ses décorations désordonnés surement à cause du roulis du navire et qui n'a pas eu le droit à un petit rangement par la suite. Il faut dire que dans ce coin de la pièce il est un peu perdu au milieu du reste un peu comme moi au milieu des autres. Dans tous les cas il faut que j'aille le ranger un peu bien qu'il me pousse un peu sur le lit. Bon à trois... mais que fait il ? Ce n'est pas que c'est désagréable mais quand même. Que ?

            *Comment ça je l'enivre je ne l'ai pas fait boire. Mais ?*

            Ce n’est pas une idée il m'embrasse ?! Tous de suite je recule presque instinctivement au contact de ses lèvres, je me sens toute chose et légèrement affolée à la fois sans savoir pourquoi. En m'éloignant de lui je me rends compte que mon cœur bat à tous rompre a bien y réfléchir c'est le premier à me... Mais pourquoi en plus on vient de se rencontrer et c'est mon futur supérieur, en plus le meuble zut ! Une fois de nouveau debout a coté du lit légèrement tremblante encore, à cause de la surprise ? Autre chose ? En tous cas je vais au plus urgent et suite à quelques petites secondes ce meuble à ses bibelots en place ouf ! Bon maintenant tournée vers lui qu'est-ce que je vais dire, en réalité plus j'essaye d'articuler une phrase et moins mes lèvres accepte de s'ouvrir. Mon cœur bat si fort et je peux voir mon reflet sur l'un des hublots, j'ai les joue si rouge qu'elles ont l'air marqués au fer rouge.

            *Aller ce n'est pas dur: Je ne ressens pas ce genre de chose pour vous désolé*
            "Je... je... "

            Ce n’est pas gagné, en plus sans même savoir pourquoi je viens de commencer à courir pour m'enfermer dans la salle d'eau comme si mes jambes agissaient d'elles-mêmes.
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              J’vous jure que j’avais cru qu’elle se prêterait au jeu. Il n’y avait pas de signes qui pouvaient un tant soit peu me montrer le contraire : Petite mijaurée qui n’aimait pas être mouillé ou avoir une trace de saleté sur elle, grosse impudique capable de se déshabiller devant un inconnu… Des faits qui me poussaient à croire que comme d’habitude, c’était dans la poche. Sauf que voilà, madame, elle avait décidé de faire sa prude. D’abord par le sursaut de surprise un peu théâtral. Sur le coup, j’eus à froncer mes sourcils, l’air presque blasé. Là encore, j’avais cru qu’elle reviendrait vers moi et continuerait ce que j’avais commencé, mais j’me foutais complètement le doigt dans l’œil. Parce que oui, mademoiselle non sans balbutier quelques mots qui ne m’amenaient nulle part, se mit à rougir violemment… Très violemment à un tel point que c’en était flagrant. Un peu comme une petite fille et son premier rencart. Je fronçais encore plus les sourcils suite à ses mimiques. Pourquoi tant de gêne pour un baiser de rien du tout ? Serait-ce parce que je suis encore un inconnu ? Ou bien parce que j’étais son nouveau supérieur ? Sur le coup, je ne captais pas tellement. Et pour clore le spectacle, l’héritière des Yanagiba se précipita automatiquement dans la salle d’eau en s’enfermant à double tour. Comme si je l’acculais… Tssss… Croyait-elle qu’une simple porte comme celle qui nous séparait pouvait m’arrêter ? J’avais la force de mes poings, le tranchant de ma lame. Et puis, même sans tout ça, j’me finissais par me dire que si j’insistais un peu, j’finirais par la foutre dans mon lit. Comme toutes ces autres bonnes femmes qui font leur intéressante au tout début… C’est tout vous dire. Mais voilà, ce comportement qu’elle avait m’ennuyait beaucoup. Du tout au tout. J’aimais mieux les femmes qui ne tergiversaient pas et qui ne perdaient pas inutilement leur temps à jouer à cache-cache. Elle faisait presque sa sainte nitouche. Se déshabiller entièrement devant moi, ça pose pas de problème hein, mais m’embrasser, ça l’fait pas… Pour moi, Rei jouait tout simplement. Elle voulait me faire languir. Mais comme j’aimais pas trop faire des efforts pour avoir à tremper mon biscuit -Ce qui expliquait naturellement mes multiples visites en catimini dans les bordels d’la ville- j’lâchais l’affaire. Je contournais alors le lit et tapais sur la porte de la douche pour lui faire entendre raison…

              • C’est bon, tu peux sortir sans crainte…

              J’remuais ma tête d’un air résigné. J’ai une tête à poursuivre une fille moi ? Mis à part Lilou pour qui j’avais vraiment eu un coup de foudre et feu Aisling, les filles, c’était plus un coup d’soir qu’autre chose quoi. Aucun sentiment quoi. J’haussais mes épaules et me retournait vers la pièce, sans attendre qu’elle saigne sortir de sa cachette. Je n’allais pas la forcer ni la poursuivre. Hors de questions ! Je grattais ma chevelure en me demandant ce que je pourrais bien faire. Sortir en ville en la laissant seul ici ? C’était bien possible. Mais la ville devait grouiller de marines, mes hommes qui avaient pris congés. Je n’avais pas non plus l’envie qu’ils croient en m’voyant que je les surveillais, un truc du genre. Donc j’abandonnais un peu le plan. J’pouvais partir à ma base, mais voilà, elle était aussi vide que ce bateau dans lequel nous étions. Peine perdue. Pis, ça m’ferait marcher inutilement. Me rendre chez une de mes maitresses par contre était l’option la plus intéressante. J’pourrais prendre du bon temps tranquillement et rapidement… Mwouais… Et puis non ! La plus proche du port me ferait marcher pendant au moins dix bonnes minutes, ce qui ne me charmait du tout pas. Et puis faut s’rendre à l’évidence. Ce serait d’une grosse méchanceté de laisser Rei seule ici, dans le bateau. Pis, elle pourrait en avoir marre et vouloir nous quitter, ce que je ne voulais absolument pas vu ses capacités qui pourraient nous être fort utiles. Grattant ma tête d’un air agacé, j’finis par mettre le plateau de victuailles bien en évidence sur le lit et me rhabillait à grande vitesse. Le zippo et le paquet de cigarettes en poche, je sortais de la chambre. Une fois dans le couloir des différentes cabines, j’allumais une cigarette avant d’en tirer une bouffée exceptionnelle. C’était pour moi comme les fruits du démon, mais en contraire : J’a - do - rais les premières taffes que je savourais toujours comme il se doit. Le reste, boof. Une fois un peu satisfait, je me dirigeais tranquillement vers le pont de mon navire où seul le clair de l’astre lunaire, faisait office d’éclairage ; le port étant absolument obscur, mis à part la zone que couvraient l’unique phare. Je m’approchais alors d’un bastingage auquel je m’accoudais, avant de fumer tranquillement et dans la solitude. A défaut de faire l’amour à une belle femme, il y avait ça quoi. Et c’était pas plus mal dans le fond.
              Bon et bien la situation est clair, non en fait pas du tout qu'est-ce que je fais prostré derrière cette porte complètement perdu ? Faut dire que j'ai était très surprise de son attitude. Pas que ce fut désagréable, mais que je ne m'attendais pas du tout à ce genre de chose. Aussi froide que l'ont me dit j'ai des sentiments aussi et une respiration tout aussi anarchique que n'importe qui et je défis n'importe qu'elle demoiselle de ne pas avoir une réaction exagérée face à lui. Il me fallait réfléchir et c'est en réorganisant le porte serviette et les peignoirs. Bon et bien c'est fait deux fois d'ailleurs et j’entends des bruits de pas, bon et bien je vais sortir et lui dire calmement ce qui ce passe et m'excuser. Alheïri viens de me dire l'évidence, je peux sortir tous va bien, bon une bonne respiration et je lui réponds.

              "C'est mon premier baisé..."
              *MAIS NON!*

              Heureusement que ça a été presque inaudible. Bon et bien maintenant plus sérieusement.

              "Je suis désolée."

              Et bien il est déjà aller un peu plus loin à en croire les bruits de pas qui s'éloigne donc il n'a certainement pas entendu. Finalement je me relève et je sors de ma cachette pour voir ce qu'il fait. Le plateau est sur le lit et lui n'est plus dans la chambre et c'est avec un calme retrouvé que je respire un bon coup et m'assoit sur le lit. A bien y réfléchir non seulement je ne sais rien sur les relations entre hommes et femmes et... En fait je n'y vois aucun intérêt et je ne compte pas fonder de famille donc en fait je m'en fiche. Pendant que je réfléchis, j'en profite pour manger un peu, c'est bon d'ailleurs dans un autre genre que ma propre cuisine. Maintenant je suis... seule, je n'ai jamais particulièrement apprécié de n'avoir personne dans les alentours et ce n’est pas la simili habitude prise à la forge qui va changer ça. J'ai envie et besoin d'une présence, surtout que le colonel a ce petit air rassurant, enfin quand il n'est pas sur un lit à m'embrasser en tout cas. Je n'ai pas le moindre moyen de savoir où il est, la cale ? Une autre cabine ? Le pond ou même ailleurs que le navire, je me mets donc en quête pour le retrouver quitte à juste l'observer de loin discrètement. Commençons par le bas et ainsi je me dirige vers la cale ou il ne doit pas y avoir grand chose à par l'eau, des provision voir du matériel pour le navire. Bon et bien une chose est sûr, c'est sombre... en même temps il fait nuit aussi et je n'ai pas la moindre torche ou autre pour me procurer la moindre lumière. Donc je tâtonne la main au mur pour éviter de finir blesser au bas d'un escalier et cela me permet aussi de trouver les portes. Au plus bas du bâtiment naval, de toute évidence il n'est pas la, à moins qu'il a des yeux de chat et puisse voir dans le noir. Ni dans la soute à nourriture ou l'entrepôt où les barils de poudre sont à l'abri de l'humidité. Ainsi je continue mes recherche, heureusement que je sais un peu à quoi ressemble l'intérieur de ce genre d'endroit déjà que j'ai du mettre au moins un bon quarts d'heure pour arriver à la première cale et maintenant ? Je ne compte plus le temps. Tiens une pièce que je n'ai pas regardé il me semble, alors ? La réserve de cordage, ils appellent ça la fosse aux lions je crois ce qui me fait une belle jambe de le savoir, ce n'est pas ça qui va m'aider à trouver Alheïri. Bon et bien je vais regarder dans les cabines puisque l'équipage est en permission tant que je ne fais qu'entrouvrir les porte ça ne devrai pas être grave. C'est par où déjà ? Tiens je ne suis pas passé devant cette porte il y a quelques minutes ? Bon et bien je crois que je n'arrive pas à retrouver par où je suis venue. Le pont du navire, mais comment j'ai fais pour remonter si haut à l'aveuglette ? Enfin, bien que j’aie été un peu longue, enfin il n'y a aucune honte à se perdre sur un navire comme une gamine de dix balais... En fait un peu quand même. Ainsi enfin arrivé dans une autre partie du bateau après de long moment je vais peut-être enfin le retrouver. J’entends un bruit, je ne sais pas si cela fait peu ou longtemps que je déambule dans le noir, mais maintenant je ne suis pus seule il me semble. Je vois une ombre et un petit point rouge, peut-être que le second est une lumière qui viens de la ville. Je pourrai m'excuser de ma réaction disproportionné, lui dire que je ne supporte pas bien la solitude ou que j'ai réagit aussi mal par peur de l'inconnue ayant aucune expérience dans ce domaine, finalement je préfère rien dire et je m'approche doucement avant de me placer près de lui sans un mot. Autour de lui même le plus grand calme donne une petite impression de sécurité et la lune se reflétant sur la mer, c'est si jolie, pas autant qu'une belle explosion, mais quand même et puis dans le noir on ne voit aucune saletés ce qui est aussi un grand plus. Bon et bien ce n'est pas que le calme me gêne bien au contraire, mais ce silence est un peu lourd.

              "Hum... Merci de m'avoir prêté des vêtements propres et la douche... Surtout la douche."
              *Il faut trouver une question intelligente.*
              "Ça t'arrive souvent d'embrasser une fille que tu ne connait que depuis quelques heures ?"
              *Loupé...*


              Dernière édition par Rei Yanagiba le Lun 24 Oct 2011 - 23:19, édité 1 fois
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                Il est bien vrai que le reflet de la pleine lune sur la surface de la mer donnait une très belle image. C’était quelque chose que je ne remarquais pas trop souvent. Ladite image me fit un peu penser à mon enfance joyeuse tellement loin en arrière. Mes soirées insouciantes avec mon père et ma mère, lorsque nous contemplions à trois la beauté d’un ciel sublimement étoilé, étaient ces petites choses qui me manquaient cruellement. J’aurais bien voulu aller les revoir à MarineFord mais il y avait tant à faire sur cette île que m’absenter toute une semaine n’était pas éventualité à penser. Après le rejet d’une femme, place maintenant à la nostalgie. J’étais trop chanceux ce soir. Tout en soupirant, j’entendis tout à coup des pas, quand bien même ils étaient feutrés. Je soupirai et finit par tirer une nouvelle taffe de ma clope sans trop me soucier de la jeune femme qui m’avait finalement retrouvé et qui semblait vouloir me rejoindre. Peut être était-elle un peu frustrée parce que je n’avais pas poussé la drague plus loin. C’était en tout cas des choses qui arrivaient souvent. Alors que je recommençais à me reperdre dans mes pensées, la jeune femme qui était maintenant à mes côtés, brisa le silence en commençant par me remercier pour mon hospitalité. Je hochais la tête d’un air vague et voulut lui dire que c’était mon boulot de bien m’occuper de mes hommes, mais il prit les devants en me posant une question assez rigolote quand même. Pour peu, j’aurais presque éclaté de rire, mais je retenais convenablement en ne faisant que sourire. Elle ne finirait pas de m’étonner celle-là. Je me tournais vers elle en tirant une autre taffe de ma cigarette. Pourquoi m’avait-elle l’air si sincère et si naïve dans ses dires ? Ne l’avait-on jamais courtisé ou quoi ? A première vue, elle semblait ne pas être de ses filles aux mœurs légères, mais pourtant, elle s’était bien dénudée devant moi…

                • Si ça m’arrive souvent ? Ooh… Bien plus que tu ne peux te l’imaginer tu sais… Mais si tu veux parler de toi, j’pense bien que je te connais depuis plus de sept ou huit heures maintenant…

                J’me permettais de penser que sept ou huit heures de connaissance pouvait largement donner l’opportunité à quiconque d’amorcer un plan drague ; osé ou pas. Pourquoi avais-je aussi dis que cela m’arrivait bien souvent ? Parce que je fréquentais tout simplement quelques maisons closes en catimini. Dans ce genre d’endroits, l’on ne négociait que les prix et ça s’arrêtait là niveau discussion. En moins d’une heure donc, j’pouvais faire plus qu’embrasser une très belle femme que je ne connaissais qu’à peine. Si les dragons célestes avaient le vice d’acheter les pirates et les hommes poissons pour les réduire à l’esclavage, moi j’avais la luxure comme vice, ce qui était non comparable en termes de gravité. Je prenais et je donnais du plaisir tout en déboursant en plus, des sommes astronomiques de Berrys. Y’avait rien d’mal à ça quoi. Mais ces escapades, c’était un peu mon petit secret et certainement qu’elle ne devrait pas trop comprendre ma phrase, à moins qu’elle ne soit vraiment perspicace. Je levais doucement ma main droite pour aller caresser sa joue avec beaucoup de tendresse, beaucoup de délicatesse. Avec la lune au dessus de nous, l’ambiance était un peu romantique d’autant plus qu’elle était assez bien habillée, la jeune demoiselle. J’finissais par jeter ma cigarette à la mer, avant de la prendre délicatement dans mes bras. Au lieu de revenir à la charge ce que je n’avais plus envie de faire parce que courir derrière les femmes c’est pas mon fort, je lui prouvais plutôt ma bonne foi et mon affection. Mes yeux rivés derrière elle, vers le port, j’me mettais tranquillement à caresser sa belle chevelure brune. On était bien comme ça… mais on aurait été encore mieux, au fond d’un lit, pépères. Je soupirai en essayant de chasser ses idées, sinon j’sentais que madame allait encore me faire languir. D’ailleurs, je fis vite de me décoller d’elle pour ne pas me remettre à galoper derrière elle comme un âne en rut… C’était assez loin d’me mettre en valeur surtout quand on sait que le monde est plein d’belles femmes…

                • Et puis saches que tout ce que je voulais c’était une nuit, pas ton cœur. Ça m’ennuierait que tu crois que j’ai des sentiments pour toi. J’suis pas fait pour l’mariage, moi…

                Mon premier et dernier mariage avait été d’une manière un échec. Il ne s’agit pas d’un divorce, mais bien de la mort qui vint faucher la défunte Aisling. Elle était tout pour moi. Sa mort brutale me dégouta. Pour une fois que j’avais sincèrement aimé une femme… Il y avait eu l’histoire avec la jeune Lilou, mais la jeune fille n’avait pas les mêmes sentiments que moi et l’histoire était resté sans suites… Depuis cet événement, je me suis promis de ne plus jamais laisser mes sentiments -Notamment d’amour- dicter mes actes. Tout ce qui comptait pour moi maintenant, c’était prôner la justice à ma manière et m’amuser quand je le pouvais. Je finis par sortir une autre cigarette que j’allumais vite fait, avant de recommencer à fumer. L’coin était plutôt calme ce soir. Il devait y avoir de l’animation en ville vu que mes hommes avaient le week-end à eux. C’était un peu audacieux de ma part, puisqu’il pouvait y avoir une attaque pirate ou l’arrivée d’inspecteurs sur mes terres, mais j’prenais quand même le risque. Les pirates n’étaient pas un problème en soit puisque mes hommes n’avaient pas véritablement quittés l’île. Il suffisait simplement de déclencher une alarme et tous revenaient au pas de course. ‘Toute façon, avec moi au port, la ville ne craignait rien. Et j’voyais mal des inspecteurs chargés par le gouvernement débarquer en pleine nuit, bien que c’était faisable. J’finis même un moment par bailler avant de me rappeler que j’étais en belle compagnie tout de même. Aussi tournais-je ma tête vers Rei : « C’est tout ce que tu avais à me demander ou à me dire ? » Parce que je trouvais ça un peu bizarre qu’elle vienne simplement me demander ça comme ça après m’avoir fui comme ces mijaurées -En grande partie les dragonnes célestes- qu’on pouvait rencontrer en masse à Marijoa. Je la regardai un peu bizarrement avant de finir par reporter mon attention à l’eau…

                • Tu devrais aller te coucher vu les efforts que tu avais fourni tout à l’heure. Tu peux occuper ma chambre tranquille. Je prendrai celle de mon second et viendrai te réveiller demain matin de bonne heure.
                J'avais donc posé l'une de mes question les plus stupides de ma vie et donc j'écoute la réponse qui est pour moi des plus surprenante, je pensais que c'était le genre de question sans réponse ou un bon rire. Finalement pourquoi ? Oui il ne me connait que depuis sept ou huit heures comme il la dit. Sur mon île une demi journée et moins c'est le temps de faire une connaissance, de boire une boisson chaude et de faire connaissance et dans de rare cas lié une amitié et là ? Je ne comprends pas et même en y réfléchissant encore et encore je ne vois pas qu'elle logique est derrière tout cela, il y en a t'il une en fait ? Alors que je me perds dans mes pensées je sens quelques chose de chaud sur ma joue, sa main, si douce ce qui est agréable. Je me perds encore plus, va-t-il encore essayer de m'embrasser ou alors c'est juste un peu de tendresse pour me rassurer au contraire comme un bon ami ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Puis dans ses bras, comme il y a très longtemps avec mes parents, la même différence de taille que papa et carrure ce qui me plonge légèrement dans la nostalgie. Je ne comprends toujours pas pourquoi et me laisse faire car honnêtement ce moment est agréable pour moi et je l'espère pour lui aussi. Alors qu'il me relâche hâtivement comme s'il faisait une erreur il ajoute une phrase.

                *Une nuit ? Cœur ? Sentiments ? Mariage ?*
                "Je ne comprends pas..."

                Je ne sais pas où il voulait en venir, peut-être qu'en réalité ce n'est pas lui qui est en cause et non moi, suis je si bizarre pour qu'une chose qui parait normal pour les uns me soit totalement inconnue comme si je sortais de ma grotte, enfin plutôt de mon île. Encore une fois je me sens si... demeuré, comme quand certaines phrase pleuvaient pendant mon service et que je n'y ai jamais rien compris, en même temps je n'ai jamais réellement cherché à comprendre. Si la curiosité ne commençait pas à me titiller je pense que je ferai l'impasse, mais pour une fois une petite voix en moi me demande de comprendre ce qui n'est pas vraiment normal, je deviens folle ? Ces dernières parole me sorte de mon petit nuage, je retourne dans le cadre normal d'une conversation normal entre deux personnes... normales... Enfin soit une partie de moi me dicter de faire ce que je suis en train de faire, un petit hochement de la tête pour répondre par la positive puis partir. Je me retourne et suite à trois pas me tourne de nouveau vers lui. Il est si beau quand il regarde l'océan avec cet air, c'est la première fois de la journée que je le regarde comme un beau mâle et non une opportunité d'emploie en plus il est très propre. J'observe le bois laqué qui constitue le sol sous moi, j'ai envie de savoir et en même temps pas du tout, le meilleur moyens serait de lui demander, mais en même temps ça ne serait pas une invitation à faire quelques chose dont je ne sais rien ? J'ai le choix entre rester inculte ou apprendre et le regretter et je ne pense pas que l'un soit meilleur que l'autre, statistiquement j'ai plus de chance même si c'est infime de ne pas le regretter alors que si je reste dans le noir il n'y a aucune alternative. Cela fait au moins six bonne minutes que je réfléchie et pourtant ce n'est pas si compliquer que cela, je ne sais rien de ce que fait un couple, je sais juste que quand il ma prit dans ses bras, avant qu'il m'a embrassé. Alors je respire fort, je n'arrive pas à le regarder alors j'observe le plancher et essaye de balbutier le moins possible.

                "Je ne comprend pas... peut-être a cause de... parce que je ne sais pas... enfin... j'ai jamais... c'était mon premier baisé et... je ne sais pas si c'est normal ou non de savoir ou ne pas savoir... c'est peut-être trop tôt pour que je sache, ou trop tard... enfin ce que je veux dire c'est... je vais laisser la porte ouverte, si je dois savoir alors je t'attend, sinon passe une bonne nuit, j'attendrai le jour ou je serais sensé savoir, sauf si c'est trop tard, enfin tu a compris... je crois ?"

                Mon cœur bat fort, plus que mon premier jour de classe, mon premier canon, le premier feu d'artifice ou même son baisé de tout à l'heure, j'ai si chaud. Suis encore plus stupide de dire cela ? Ou juste étrange ? Normal ? Anormal ? Je ne sais pas encore une fois, je tourne alors les tallons et je vais dans la cabine ou je dois dormir ou ? Aucune idée, mais ça arrivera et à ce moment un pensé me submerge.

                *Mais ?! Et si c'est sale ! Non aucune chance... il est propre, je le suis, la chambre est également propre et ranger et au pire il y a la douche... c'est si pratique une salle d'eau sur un navire... j'aime déjà ce navire... Aïe je viens de me prendre un mur*

                Oui celui juste à coté de la porte, bon finalement je vais vraiment à la cabine, doucement j'ouvre la porte aussi nerveuse que le jour ou j'ai foirée un canon et que j'ai été convoqué par le sergent-chef Heartless et une fois dedans je suis prit d'un doute encore.

                "Entrouverte ou fermer mais pas avec le loquet ?..."
                *Excellente question...*
                "Entrouverte et je la fermerai dans une heure ?"
                *Bon compromit*
                "Heu... en fait c'est dans un lit que ça se fait ?"
                *Il me semble puisqu'il m'a embrassé dedans...*
                "Je parle toute seule... aucune importance."

                Finalement je me suis décidé, je laisse la lumière, très exactement deux centimètres d'ouverture et je suis maintenant dans le lit après avoir rangé la robe dans le meuble dédier, j’ai même vérifié l'axe des meubles rien ne me perturbera... plus que maintenant. Et ainsi sans rien sur moi à par le drap j’attends, peut-être que je m'endormirai avant de fermer la porte s'il ne vient pas et ferai certainement un cauchemar comme le jour ou je suis rentré dans le dortoir des hommes après un entrainement pour communiquer un ordre, deux heures d'inconscience si je me rappel bien et sinon je ne sais pas.

                "Bon si c’est sale, je penserai au feu d’artifice de la nouvelle année… si j’ai le temps de réfléchir bien entendu… "
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                  Bon... Donc si je récapitulais un peu, cette fille, elle était pucelle quoi… Cette même personne qui s’était déshabillée devant moi comme si de rien n’était… J’avais imaginé presque tous les scénarios possibles sauf ce cas là… Putain… Dire que je faisais fausse route depuis le début, croyant qu’elle faisait malheureusement partie de ces salopes qui aimaient faire attendre ou s’amuser avec les hommes, avant de se foutre de leur gueule... J’suis bien beau sur ce coup. Alors qu’elle était partie se recoucher, j’m’étais accroupi dans mon coin comme un gamin de maternelle, en m’disant malgré l’évidence que c’était pas possible. Cette femme n’pouvait pas être encore fermée… Minimum, j’lui donnerais 24 années… Et avec tout ça… Elle est encore toute pure… Je froissais mon visage et curais mon nez en regardant l’eau comme si j’avais envie d’y plonger et de m’y noyer comme un utilisateur de fruit du démon. Non mais dans quoi j’me suis foutu encore ? J’aimais faire l’amour, d’accord, mais l’idée de jouer au décapsuleur, très franchement… C’était un peu hard. D’autant plus qu’elle voyait le truc comme un apprentissage et non un moment de plaisir ; sans même compter qu’elle sollicitait mon aide comme on solliciterait celle d’un professeur…

                  Maintenant… J’étais un peu coincé là… La roue semblait tourner… Et j’n’aimais pas la tournure que ça prenait, très franchement. Si je l’avais voulu en premier, c’était sans savoir qu’elle était vierge. Maintenant que je le savais et qu’elle voulait perde sa virginité, j’me défilais… Ce qui ne m’honorait pas d’une façon… Et puis si un jour, il advenait qu’elle soit enfin ouverte, celle-ci n’allait plus vouloir que je la touche… Alors que si elle reste effectivement dans ma faction, j’aurai toujours l’envie de vouloir la… Vous voyez quoi… C’qui ne m’arrangeait pas… Suite à ces réflexions folles et inutiles qui, à mes yeux, restaient quand même très importantes, je pris enfin une décision avant de me redresser tranquillement un petit sourire aux lèvres. Dans un sens, c’était honorable d’être son premier homme. Dans un sens… Et puis, ça n’allait pas être si mal. Quand on regarde bien, j’n’allais que prendre mon pied, avec une jolie femme. Faut savoir relativiser dans la vie. Aussi l’avais-je rapidement rejoint dans ma cabine, prenant le soin de bien fermer la porte à mon arrivée. Je devinais son corps dénudé sous le drap qui moulait ses belles formes. Après quelques brèves secondes d’hésitations, j’me résolus enfin à glisser sous la couette avec elle, tout juste avant de…

                  Le lendemain matin…

                  On était dans les environs de six heures du matin. Le soleil était encore très loin vu l’effectivité du brouillard matinal sur toute l’île et principalement sur le port. Il caillait beaucoup, mais bien trop peu pour moi, puisque j’étais torse nu et installé sur le transat placé sur mon pont. Je fumais en toute tranquillité. La soirée d’hier n’avait finalement pas été si mal que ça. Bien au contraire même. Elle avait tellement été agréable que je souriais seul, en me remémorant des meilleurs moments de nos ébats. Moi qui avais peur des pucelles… C’était maintenant une expérience de plus. Intérieurement, j’me promettais d’ne plus passer à côté d’une fille que je savais vierge et prête à se donner à moi… Parce que mine de rien, des comme ça, j’en avais raté plein plein plein. J’me rallumais paisiblement une autre clope, quand soudain j’entendis des voix et des bruits. Sans doute les pêcheurs qui revenaient en ville pour vendre leurs prises du jour. L’idée m’donnait l’envie de bouffer, j’vous jure. Mais comme j’étais loin d’être un cordon bleu, j’me contentais simplement de fumer ma clope en entendant le pitoyable gargouillis de mon ventre. C’est p’être dans ces moments là que je déplorais l’absence d’hommes ou d’une femme à mes côtés… Mais qu’importe…

                  L’tout maintenant et quand j’consultais ma montre, c’était de ramener la jeune fille à la base pour que j’officialise son entrée à la marine en faisant ses papiers et tout ce qui devait s’en suivre. Il m’fallait aussi faire un saut au Léviathan voir si tout s’passait comme il faut. Y’en avais un peu marre d’voir la division scientifique squatter impunément mon île, moi. Un des trucs que je détestais dans ma vie, c’était qu’on empiète sur mes plates bandes. Mais ils avaient une veine pas croyable, ces cons. J’étais de trop bonne humeur ce matin pour aller engueuler le colonel qui était maintenant en charge de l’affaire. N’me demandez pas pourquoi parce que vous le saviez très bien. Donc, j’finissais par me lever d’mon confortable siège, avant de revêtir ma chemise blanche que j’avais laissé sur la table, tout juste à côté. Fourrant mes mains dans les poches d’mon jean, j’me dirigeais vers ma cabine à pas feutrés. Et puis une fois devant, j’caressais ma tête en m’demandant si elle allait bien ou si elle dormait encore, ou si elle… M’enfin bref… Que de futilités quoi ? De toute façon, j’lui avais dis après nos galipettes que j’la réveillerais pour qu’on parte à ma base. Ce pourquoi je toquais alors deux ou trois fois sur la porte avant d’attendre qu’elle daigne se lever et se préparer rapidement…
                  Suite à une nuit agité...

                  Ce matin, enfin cette nuit vu l'heure de mon réveil j'ai pris une longues douches, en plus d'avoir pensée à de grands feux d'artifices sentimentaux comme physiques, enfin c'est un autre sujet. Depuis toute petite je me suis toujours lever de sorte à être prête et alerte à cinq heures du matin et aujourd'hui aller légèrement déloger cette habitude. Car oui c'est ma première grasse matinée depuis toute petite, je me suis lever à cinq heure du matin c'est vraiment tard, une heure de plus comparer aux dernières années. Enfin bref comme le disait un rat blanc à longues oreilles dans un compte pour mouflets, je suis en retard ! C'est donc suite à mon lavage corporel que je commence à me préparer en remettant mes vêtements secs maintenant, je ne vais quand même pas réquisitionner les vêtements de mon colonel alors que les miens sont sans une goute maintenant. Je commence d'ailleurs plutôt par une petite série d'exercices pour me remettre en forme, suite à quoi je vais me rafraichir à cause de la sueur. C'est donc dans la tenue de mon pays natal rouge à fourrure blanche que je m'étire pour enfin commencer une bonne séance de rangement dans la chambre, surtout le lit qui à été mit à rude épreuve. C'est donc pile au moment de remettre le dernier bibelot en ordre que quelqu'un toque à la porte et vu l'heure ça doit être le colonel. Je vais à la porte immédiatement pour le rejoindre, il ne doit pas avoir de temps à perdre vu son rang alors je ne serais pas un facteur de retard pour lui comme je l'ai été pour moi. Je vais donc ouvrir la porte et effectivement c'est lui et immédiatement une bouffé de chaleur m’envahis alors que j'observe le sol, c'est la première fois que je récent ce genre de chose mais je suppose que c'est normal dans ce genre ce cas et sinon je ne voie pas quoi faire pour changer les choses. Enfin bref suite à un petit instant de silence et après avoir vérifié que personne ne regarde je dépose un simple baisé sur ses lèvres en lui murmurant à l'oreille un léger "merci" à moitié bafouiller. Je reste à coté de lui pour partir vers la base.
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                    Pile à l’heure, c’est très bien. Et j’suppose aussi que ce rougissement devait être assez normal, après tout ce qu’on avait fait ce soir là… J’espérais seulement qu’elle soit assez discrète pour ne pas aller cafter à ses futurs nouveaux coéquipiers. Même si on savait que j’étais pervers, je n’avais aucune envie que cela s’bruite de façon trop… ‘Fin, vous voyez le genre. Le bisou qui s’en aussi m’inquiéta un peu. J’avais usé à mort de son corps de rêve, mais j’ne voulais pas non plus qu’elle tombe amoureuse de moi. C’était le truc à chier. Mais je relativisais en m’disant que ça aussi c’était normal. Un peu d’affection, ça f’sait jamais de mal, moi j’dis. Et puis, j’me résolus à prendre son bras avant d’essayer de quitter ce navire, seul témoin de nos ébats assez torrides dont j’me passerais de vous raconter les commentaires les plus croustillants. Nous arrivâmes rapidement sur Terre, où j’pris le soin de lâcher sa main pour ne pas qu’on se méprenne quoi. Les gens ici avaient tellement l’art de déformer les choses que j’avais peur de ce qui pouvait circuler dans la ville comme rumeur. J’me rappelle encore que plusieurs nobles venaient régulièrement me présenter leurs filles à marier ; vielle tradition de la haute noblesse.

                    ‘Fin bref… Ceci n’avait tellement pas d’importance puisque nous profitions du brouillard et du froid pour se faufiler vite fait vers la base perché au sommet d’une colline assez haute. Base que nous rejoignîmes une demi-heure plus tard tant bien que mal. Quelques soldats revenaient à leurs postes ce qui m’étonna un peu, mais qui m’ravit beaucoup. Avec une personne comme moi à la tête du coin, le travail était loin d’être harassant et bien au contraire même. Il était relaxe et attirant à un tel point que je recrutais ces temps-ci beaucoup de personnes. Rei n’était pas le seul cas, mais la nuit que nous avions eu à passer ensemble était le gros point qui faisait la différence entre elle et ceux que j’avais engagé. De plus, le poste que je voulais lui remettre était inoccupé depuis belle lurette. Quand au grade, nous allions en parler un peu plus tard… Une fois qu’elle aurait fait ses preuves pendant un certain moment en tout cas. Nous arrivions enfin dans mon bureau et les procédures s’en suivirent. J’pris sa carte d’identité et sortit une fiche qui allait bientôt attester de son identité, de sa dévotion et de son appartenance à la marine. Elle allait être officiellement sous ma tutelle, mon commandement. Et c'était de bon augure…

                    Fin