Une pluie battante tombait sur le crâne de l’animal au pelage déjà mouillé. America sentait une tristesse ambiante se lever de l'assemblée regroupée autour d’un très grand trou. Il ne savait pas pourquoi, mais lui aussi avait la mine abattue. À côté de lui, Cassandre était droite, le regard bas. Elle resserrait ses doigts autour du manche du parapluie noir alors que de son autre main, elle remettait sa veste en place. America relevait la tête pour voir la mine larmoyante de la révolutionnaire. Et il n’avait pas besoin d’observer tous les autres membres de l’AR pour savoir que l’ensemble des visages étaient dans le même état d’esprit. Aujourd’hui, la révolution enterrée une sommité : Daryl Machin-chouette.
La famille Machin-chouette était dans la révolution depuis si longtemps qu’on racontait qu’elle était une descendante directe de Sabo, le frère de Luffy. Des agents actifs de la cause, progressant avec sérieux et implication au sein de l’Armée révolutionnaire depuis des générations. Cependant, les années de conflit avec la marine et le Cipher Pol avaient arraché beaucoup de membres de la famille Machin-chouette et Daryl, dernier représentant de sa lignée, venait de s’éteindre plusieurs jours auparavant.
Tout semblait s’être passé si vite. Instructeur pour les jeunes recrus passant Cavalier, il avait accompagné une vingtaine d’entre eux à un séminaire sur l’île maléfique dans le but de converser avec un certain Peter et d’apprendre aux révolutionnaires à bien se faire écouter des marchands véreux. Pourtant, des agents du gouvernement, ou de vils pirates assoiffés de sang les avaient interrompu et Daryl avait été exécuté, ne laissant derrière lui que sa collection de tables, son poulet Bernard et sa prime de 60 millions de Berries.
Encadrant le trou devenu boueux sous la pluie, les plus beaux meubles de sa collection devaient être enterrés avec lui. Une table en marbre, que ses amis révolutionnaires avaient eu du mal à déplacer, était sa pièce préférée. On racontait même qu’une caresse sur sa surface donnait aux hommes le même courage que la légendaire famille Machin-Chouette. Une terrible perte pour la révolution.
- “Avant tout, je vous remercie d’être tous venus pour l’enterrement de notre ami.” Dit une homme en noir, Roger, droit derrière la table en marbre et tenant dans ses bras le poulet Bernard du défunt. “J’aimerai maintenant, si vous le voulez bien, vous laisser, pour qui le souhaite, venir dire quelques mots sur notre ami à tous : Daryl.”
La famille Machin-chouette était dans la révolution depuis si longtemps qu’on racontait qu’elle était une descendante directe de Sabo, le frère de Luffy. Des agents actifs de la cause, progressant avec sérieux et implication au sein de l’Armée révolutionnaire depuis des générations. Cependant, les années de conflit avec la marine et le Cipher Pol avaient arraché beaucoup de membres de la famille Machin-chouette et Daryl, dernier représentant de sa lignée, venait de s’éteindre plusieurs jours auparavant.
Tout semblait s’être passé si vite. Instructeur pour les jeunes recrus passant Cavalier, il avait accompagné une vingtaine d’entre eux à un séminaire sur l’île maléfique dans le but de converser avec un certain Peter et d’apprendre aux révolutionnaires à bien se faire écouter des marchands véreux. Pourtant, des agents du gouvernement, ou de vils pirates assoiffés de sang les avaient interrompu et Daryl avait été exécuté, ne laissant derrière lui que sa collection de tables, son poulet Bernard et sa prime de 60 millions de Berries.
Encadrant le trou devenu boueux sous la pluie, les plus beaux meubles de sa collection devaient être enterrés avec lui. Une table en marbre, que ses amis révolutionnaires avaient eu du mal à déplacer, était sa pièce préférée. On racontait même qu’une caresse sur sa surface donnait aux hommes le même courage que la légendaire famille Machin-Chouette. Une terrible perte pour la révolution.
- “Avant tout, je vous remercie d’être tous venus pour l’enterrement de notre ami.” Dit une homme en noir, Roger, droit derrière la table en marbre et tenant dans ses bras le poulet Bernard du défunt. “J’aimerai maintenant, si vous le voulez bien, vous laisser, pour qui le souhaite, venir dire quelques mots sur notre ami à tous : Daryl.”