Appartements de Victor Bahia, Saint Uréa, quelque part au beau milieu de la nuit.
- Mais enfin, vous avez vu l'heure ?!
- Je suis vraiment désolé monsieur Bahia. Mais il y a une urgence, un coup de den den pour vous !
- Quand je dors je ne suis pas disponible ! Je vous l'ai déjà dit !
- Mais monsieur Bahia. C'est le CAPITAINE RED !
- Oh. Le Capitaine Red ? Vraiment ?
- Il semblerait monsieur, il s'est montré très convaincant...
- Bon, amenez moi un café et passez le moi.
Victor s'extraie de son lit a baldaquin pour se trainer jusqu'au fauteuil de bureau sur lequel son majordome à posé un den den a l'air méchant. Hésite un instant à appeler des gardes, fais un signe de main impérieux quand on lui amène un plateau encas et café gourmand, et attrape le combiné de l'escargophone.
- Oui ?
- Salut Victor. Ici le Capitaine Red.
- Je suis le grand argentier de Saint Uréa ! Alors ce sera monsieur Bahia !
- Ce sera Victor, j'aime bien Victor. T'as cinq minutes Victor ?
- C'est le milieu de la nuit.!
- Et alors ? T'es réveillé non ?
- C'est vous qui m'avez qui m'avez réveillé !
- Vous qui ?
- ... Cap... Capitaine Red...
- Je préfère. Bon, tu devines pas pourquoi je t'appelle ?
- Non ! Je n'ai rien a faire avec des pirates ?
- Vraiment rien ? Parce que j'ai ici avec moi quelqu'un qui a un autre avis. Baker, met un coup de pied au monsieur.
- Aie ! Père ?! Père c'est moi ! Velasquo !
- Velasquo !? Mais je te croyais mort ![b]
- Mort ?! Je ne suis pas mort ! J'ai été capturé par des pirates ! Et je...
- Bon, le message est clair, il est pas mort, pas encore en tout cas. Mais c'est moi qui l'ait.
- Vous êtes odieux ! Infâme !
- Et imperméable à la flatterie. Alors inutile de m'envoyer des fleurs. J'ai ton fils Victor, et toi t'as du pognon, alors il me semble qu'on a tout ce qu'il faut pour nous entendre. Le môme est en forme, intact, et pour 200 millions de Berrys je le relâche dans la garnison de marine la plus proche et il peut redevenir la bonne petite carpette respectueuse et lâche qu'il était jusqu'ici. Alors ?
- Deux cent millions !
- Un prix raisonnable, on ne lui a même pas coupé de doigt comme le veut la coutume. Alors c'est presque bradé.
- Mais qui me dit qu'il va bien ? Peut être qu'il est gravement blessé... Ou handicapé ?
- Baker. Bâillon. Velasquo, dis a ton père qu'on te traite bien.
- Je vais bien père.
- Tu vois Victor il va bien.
- Il dit qu'il va bien ! Mais vous le menacez surement !
- Si tu ne payes pas je le balance aux requins. ça c'est une menace Victor.
- Je n'ai pas deux cent millions !
- Tu sais que c'est mal de mentir Victor ? Tes faucons te coutent plus cher tous les mois...
- Je n'ai aucune garantie que si je paie vous le libérerez !
- Moi je le garanti.
- ...
- Victor ?
- Je ne paierais pas !
- Vraiment ? Et les liens du sang et tout ça ? L'honneur familial ?
- L’honneur familial c’est de ne pas céder devant la menace !
- Et la préservation de la lignée, le fils unique ce genre de choses ?
- Un vrai Bahia aurait su mourir en héros plutôt que couvrir son père de honte en survivant ! Ce n’est plus mon fils ! Je lui ai même obtenu une décoration à titre posthume !
- Père !
- Je n’entends rien !
- Père ! J’ai toujours obéi à vos ordres ! J’ai utilisé mon grade pour couvrir vos trafics !
- Et c’est bien le moins que tu pouvais faire ! Je suis ton père et tu me dois tout ! Maintenant je compte sur toi pour disparaître en silence pendant que je trouve un autre de mes bâtards pour te remplacer !
- Vous êtes horrible !
- Et tu es un faible ! Je vous laisse le tuer Capitaine Red !
CLAP.
- Sympa ton paternel Velasquo…
- Tuez moi. Qu’on en finisse… Ma vie n’a plus de sens et Je n’ai plus rien à vous dire.
- Vraiment ? Je n’en suis pas si sûr…
- Mais enfin, vous avez vu l'heure ?!
- Je suis vraiment désolé monsieur Bahia. Mais il y a une urgence, un coup de den den pour vous !
- Quand je dors je ne suis pas disponible ! Je vous l'ai déjà dit !
- Mais monsieur Bahia. C'est le CAPITAINE RED !
- Oh. Le Capitaine Red ? Vraiment ?
- Il semblerait monsieur, il s'est montré très convaincant...
- Bon, amenez moi un café et passez le moi.
Victor s'extraie de son lit a baldaquin pour se trainer jusqu'au fauteuil de bureau sur lequel son majordome à posé un den den a l'air méchant. Hésite un instant à appeler des gardes, fais un signe de main impérieux quand on lui amène un plateau encas et café gourmand, et attrape le combiné de l'escargophone.
- Oui ?
- Salut Victor. Ici le Capitaine Red.
- Je suis le grand argentier de Saint Uréa ! Alors ce sera monsieur Bahia !
- Ce sera Victor, j'aime bien Victor. T'as cinq minutes Victor ?
- C'est le milieu de la nuit.!
- Et alors ? T'es réveillé non ?
- C'est vous qui m'avez qui m'avez réveillé !
- Vous qui ?
- ... Cap... Capitaine Red...
- Je préfère. Bon, tu devines pas pourquoi je t'appelle ?
- Non ! Je n'ai rien a faire avec des pirates ?
- Vraiment rien ? Parce que j'ai ici avec moi quelqu'un qui a un autre avis. Baker, met un coup de pied au monsieur.
- Aie ! Père ?! Père c'est moi ! Velasquo !
- Velasquo !? Mais je te croyais mort ![b]
- Mort ?! Je ne suis pas mort ! J'ai été capturé par des pirates ! Et je...
BAFF.
- Bon, le message est clair, il est pas mort, pas encore en tout cas. Mais c'est moi qui l'ait.
- Vous êtes odieux ! Infâme !
- Et imperméable à la flatterie. Alors inutile de m'envoyer des fleurs. J'ai ton fils Victor, et toi t'as du pognon, alors il me semble qu'on a tout ce qu'il faut pour nous entendre. Le môme est en forme, intact, et pour 200 millions de Berrys je le relâche dans la garnison de marine la plus proche et il peut redevenir la bonne petite carpette respectueuse et lâche qu'il était jusqu'ici. Alors ?
- Deux cent millions !
- Un prix raisonnable, on ne lui a même pas coupé de doigt comme le veut la coutume. Alors c'est presque bradé.
- Mais qui me dit qu'il va bien ? Peut être qu'il est gravement blessé... Ou handicapé ?
- Baker. Bâillon. Velasquo, dis a ton père qu'on te traite bien.
- Je vais bien père.
- Tu vois Victor il va bien.
- Il dit qu'il va bien ! Mais vous le menacez surement !
- Si tu ne payes pas je le balance aux requins. ça c'est une menace Victor.
- Je n'ai pas deux cent millions !
- Tu sais que c'est mal de mentir Victor ? Tes faucons te coutent plus cher tous les mois...
- Je n'ai aucune garantie que si je paie vous le libérerez !
- Moi je le garanti.
- ...
- Victor ?
- Je ne paierais pas !
- Vraiment ? Et les liens du sang et tout ça ? L'honneur familial ?
- L’honneur familial c’est de ne pas céder devant la menace !
- Et la préservation de la lignée, le fils unique ce genre de choses ?
- Un vrai Bahia aurait su mourir en héros plutôt que couvrir son père de honte en survivant ! Ce n’est plus mon fils ! Je lui ai même obtenu une décoration à titre posthume !
- Père !
- Je n’entends rien !
- Père ! J’ai toujours obéi à vos ordres ! J’ai utilisé mon grade pour couvrir vos trafics !
- Et c’est bien le moins que tu pouvais faire ! Je suis ton père et tu me dois tout ! Maintenant je compte sur toi pour disparaître en silence pendant que je trouve un autre de mes bâtards pour te remplacer !
- Vous êtes horrible !
- Et tu es un faible ! Je vous laisse le tuer Capitaine Red !
CLAP.
- Sympa ton paternel Velasquo…
- Tuez moi. Qu’on en finisse… Ma vie n’a plus de sens et Je n’ai plus rien à vous dire.
- Vraiment ? Je n’en suis pas si sûr…
Dernière édition par Red le Dim 1 Déc 2024 - 10:59, édité 3 fois