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[1622] Braise Town -> Une prise haute couture

Braise Town, une ville comme une autre, du moins en apparence, car depuis plus d'un mois cette ville qui semble paisible vie un véritable cauchemar. Qui aurait imaginé qu'un dangereux criminel s'amuserait à transformer la population de la ville en cadavre jonchant le sol. La police locale avait beau mettre en place plusieurs plans d'action afin de stopper le responsable de ces meurtres, ils n'y arrivaient pas. A croire que l'auteur de ces actes leur étaient supérieurs. Et pour cause, en 35 jours d'exercice, l'assassin avait fait 40 victimes. Un nombre qui serait en constante augmentation si personne ne décidait de prendre les choses en main afin de montrer à ce monstre que le crime ne paye pas dans ce monde.

Ce n'était pas pour s'occuper du criminel qu'Hiruzen se trouvait dans cette ville, non à la base il y était pour se reposer après une longue campagne de recherche d'information concernant un pirate des plus célèbre, mais tandis qu'il questionnait une jeune femme sur l'homme qui l'intéressait, des doigts métalliques transformèrent le torse de la jeune femme en passoire, laissant la vie s'échapper de son corps. Malgré son jeune âge, Hiruzen avait déjà vu la mort en face et savait quand il se retrouvait face à face avec un crime et quand la jeune femme se mit à cracher son précieux liquide rougeâtre sur son corps, il était déjà trop tard pour lui venir en aide. Seul la lune avait été témoin de son innocence et tandis que le corps sans vie de la jeune femme tombait, un visage lugubre et horrible fit son apparition.

Un corps complètement dénudé assez gras. Un masque effrayant sur son visage indiquait clairement les intentions néfastes de l'homme qui se trouvait derrière. Un sceau qui signifiait "mort" au sommet du masque former avec du sang encore frais. Un nez long, aussi long que le jeune Pinocchio, héros marionnette. Un dispositif métallique tout autour du corps qui finissait par deux énormes griffes aiguisé comme des couteaux. Voilà donc le visage du diable, l'homme dont la jeune femme mit en garde le jeune garçon. En stoppant la jeune femme pour lui poser quelques questions, Hiruzen venait de la condamné. S'il ne l'avait pas stoppé, alors qu'elle rentrait rapidement chez elle, le tueur ne l'aurait pas eu. C'était maintenant son devoir de se faire pardonner. Il devait livrer ce criminel à la justice avant qu'il ne recommence.

Alors même qu'il était en train de savourer sa prise, Hiruzen attrapa l'un de ses sabre et sauta par-dessus la défunte et tenta un coup frontale. Simple, rapide et parfois efficace, l'attaque du pirate avait pour objectif de trancher la partie haute du corps de son adversaire. Un coup qui devait séparer le cou du reste du corps du monstre, mais malgré cela, l'assassin interposa l'une de ses griffes et coinça le sabre du chasseur de prime avant de tenter à son tour de lui pourfendre le vendre de la même manière que la jeune femme. Sur de lui, car jamais stopper jusqu'à présent, l'assassin rigolait avant même d'avoir tué Hiruzen, mais quand le jeune garçon utilisa la griffe qui avait stoppé son arme comme appuie pour s'élever dans le ciel et éviter une mort certaine, le couturier n’eut d'autre solution que de prendre sa nouvelle proie au sérieux.

Virevoltant dans les airs jusqu'à atteindre le balcon d'une maison proche, Le jeune chasseur de prime regarda son adversaire. Maintenant qu'il l'avait désigné comme ennemi, il le regardait tel un faucon qui observait un lièvre en contre bas d'une falaise. Quoi qu'il fasse, son destin était déjà écrit. Il avait beau courir vite, sauter dans tous les sens, quand les serres de l'oiseau se fermeront sur lui, alors il n'aurait d'autre choix que de capituler. Retirant un autre sabre de son dos, Hiruzen lança un sourire narquois à l'assassin avant de lui lancer en pleine figure son âge. Hé oui, ça ne devait pas être tous les jours qu'un gamin encore en pleine adolescence devait lui résister. Et ce n'était pas tout, le jeune chasseur de prime savait y faire avec le langage. Il savait quoi dire et à quel moment dire les choses afin de provoquer son adversaire et faire en sorte qu'il agisse comme il le souhaite.

Tel une souris qui ce précipite sur un gros fromage, l'assassin se laissa facilement manipuler et sauta à son tour dans la direction d'Hiruzen. Manque de pot pour lui, ce dernier pris un nouveau sabre et quitta le balcon afin de l'affronter dans les airs. Dans un duel aérien, il avait beau avoir toutes les armes du monde, avec un sabre qui entrave l'une de ses griffes, il allait avoir beaucoup de mal à gagner le combat. Le match était déjà tout tracé. La victoire du jeune chasseur de prime et la défaite du grand méchant, mais alors que la fin approchait, une détonation se fit entendre. Manque de chance pour le faucon, la balle toucha son sabre qui coinçait la griffe de l'assassin et lui permit d'user de ses pleines ressources lors du duel au sommet. Ce qui devait être une fin rapide pour un criminel se transforma en courte victoire de sa part. Hiruzen quant à lui se retrouvait avec une blessure le long de la joue. Rien de très grave. Une blessure superficiel, mais qui permit à son adversaire d'avoir le dessus. Profitant de sa nouvelle position en hauteur il quitta rapidement les lieux, une fois de plus sans laisser de trace.


Dernière édition par Hiruzen Nobunaga le Dim 2 Sep 2012 - 17:03, édité 3 fois
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En voyant s'échapper sa proie, Hiruzen ne put cacher sa frustration ainsi que sa colère. A cause d'un imbécile, un criminel venait de prendre la fuite. Hors de lui, le jeune garçon lança un regard froid en direction de la personne qui avait fait irruption dans son combat, permettant ainsi au forban de rester en vie. Armé d'un fusil de précision, un homme quitta sa cachète et menaça le chasseur de prime à l'aide d'un petit colt. Quelques mouvements après, ce dernier montra une plaque d'agent de la police. L'homme ordonna à Hiruzen de jeter ses armes sur le sol et de bien vouloir coopérer avec lui sous peine d'être traité comme l'un des complices du meurtrier. Combattant pour la justice, depuis la fin de sa vie entraver en terre céleste, Hiruzen ne pouvait et ne voulait pas être considéré comme ces rébus de la société et c'est donc sans aucune résistance qu'il laissa tomber toutes ses armes au sol et accepta les conditions de celui qui avait le pistolet en main.

Quelques minutes plus tard, un groupe de cinq policiers arrivèrent à leur tour et prirent en charge le jeune homme et son équipement. L'interrogatoire dura toute la nuit et à la fin Hiruzen put quitter le poste de police. L'homme qui l'avait arrêté dans la rue lui expliqua que l'homme qu'il combattait avait une prime sur sa tête et qu'il était recherché comme tel, mort où vif et qu'une aide extérieure, comme celle d'un chasseur de prime serait la bienvenue. Le policier était malin, il savait que s'il continuait ainsi, alors jamais il n'arriverait à stopper le criminel et par la même occasion, il allait pouvoir utiliser le jeune Hiruzen pour appréhender le criminel.

Maintenant qu'il s'était impliqué dans un combat, Hiruzen ne pouvait baisser les bras et laisser cet assassin courir librement. Prime où non, il allait faire en sorte de rendre à cette ville sa tranquillité d'antan, mais maintenant qu'il avait appris que celui qui tuait avait une belle petite somme sur sa tête, alors sa motivation venait d'être doublé. Plus vite il se mettra sur cette affaire et plus vite il allait pouvoir clôturer le dossier, mais avant toute chose, il allait devoir récupérer ses biens.

Hiruzen passa toute l'après-midi avec l'officier de police afin d'en appréhender plus sur les dernières actions du bandit. Il devait être en possession d'un maximum d'information concernant sa cible s'il voulait être en mesure de la chasser. Un travail en amont était inévitable afin de débusquer une proie qui ce terre dans une ville aussi grande que celle-ci. Peu de personnes aurait passé plusieurs heures à lire encore et encore des rapports, mais Hiruzen était le genre de personne qui aimait lire. Dans sa jeunesse, il lisait tous les livres de son grand-père avec une telle joie de vivre qu'il ne s'en lassait jamais. Au bout du dernier rapport, le jeune homme se fit une petite idée de la manière dont il allait s'y prendre pour mettre un terme à la série de victime de sa cible et pour cela il allait avoir besoin de l'aide de la police locale.

Les meurtres se passaient dans tous les cas à intervalle de deux jours. Étant donner que l'assassin avait tué la nuit dernière, cela laissait une nuit de plus au chasseur de prime pour essayer de peaufiner son plan d'action. Dans la plupart des attaques, l'assassin s'était attaqué à des femmes et les quelques autres dossier qui concernait des victimes hommes contenaient d'étrange signe d'irrégularité, comme s'il ne s'agissait pas de l’œuvre du même homme, mais d'une personne qui semble l'imité, mais pour ne pas divulguer ses informations à n'importe qui, Hiruzen garda pour lui ses conclusions. Dans une ville où deux criminels agissent en liberté, il est plus utile de garder pour soi certaines informations au risque de laisser une taupe laissé filtrer des éléments clés.

Afin de s'assurer de ses soupçons, le jeune garçon demanda l'autorisation à l'officier en charge de l'opération de le laisser prendre deux dossiers. L'un concernait selon lui le véritable assassin, quant à l'autre, son imitateur. Une fois en possession des dossiers Hiruzen se rendit sur les lieux où s'étaient déroulés les crimes et tenta de reconstituer la scène à l'aide d'enfants qui voulaient jouer avec ses sabres. Ce n'était pas très professionnel de laisser des enfants jouer avec de véritable sabre, mais il n'avait personne de plus innocent que des jeunes garçons et filles à peine capable de soulever l'objet de leur désire.

Après deux heures d'études, de reconstitution, Hiruzen en avait la certitude, certains crimes n'étaient pas l’œuvre de l'homme avec qui il avait croisé le fer la nuit dernière. Sa manière de combattre, sa rapidité, son agilité, rien ne correspondait. Certes les meurtres se ressemblaient, mais la manière dont ils ont été commis et les points frapper ne correspondent pas. Hiruzen était certain qu'une personne qui disposait des informations concernant le véritable tueur s'est servi de cela afin de servir ses propres dessins. Qui était cette personne, il ne le savait pas, mais pour ce faire, il devait forcement être de la police. Eux seul sont en possession d'assez d'élément pour imiter un tueur avec un tel niveau de précision. Maintenant qu'il savait cela, Hiruzen allait devoir faire très attention, car la partie devenait difficile. Dans l'ombre deux personnes prenaient cette ville comme terrain de chasse.
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Une fois prêt, Hiruzen n'avait plus qu'à attendre dans l'auberge où il se trouvait le jour J. Il n'avait pas le droit à l'erreur. C'était aujourd'hui où jamais où il arriverait à coincer le criminel. Mort où vif, mais avant de penser à s'en débarrasser, il devait s'entretenir avec lui sur quelque chose, cela ne concernait en rien la seconde enquête, mais uniquement sur le pourquoi de la chose. Hiruzen détestait par-dessus toute la violence gratuite et un assassin comme lui représentait par conséquent tout ce qu'il détestait en l'être humain. Un monstre qui ne pouvait vivre que par le crime et la violence, voilà ce qu'une personne qui habitait cette vile aurait pu vous dire, mais ce que voulait comprendre avant tout le chasseur de prime était la raison qui pouvait pousser un homme à franchir la barrière. Comment s'était-il lancer dans ce chemin qui mène vers les ténèbres et les abysses de l'âme.

Cela pourrait contradictoire pour un homme qui se dit prêt à ôter la vie d'une autre sans regret, mais s'il voyait qu'il n'était pas trop tard pour faire changer de voie à cette brebis égarer, Hiruzen pourrait faire preuve d'une certaine pitié envers son adversaire et ne pas le tuer. Cela ne voulait pas dire qu'il allait le laisser en liberté en échange d'une promesse de sa part de changer de conduite afin de ce racheter, non, il ne fallait pas se leurrer. Pour les crimes qu'il a commis la meilleure des solutions était qu'il termine sa vie comme un criminel ordinaire derrière les barreaux d'une prison, loin des âmes pures et innocentes de ce monde.

Une fois la nuit tombée, le jeune chasseur de prime quitte sa planque afin d'arpenter les rues de la ville. Le couvre-feu était donné en ville et les habitants commençaient à regagner leur maison. Tant que l'assassin courrait il était déconseillé de sortir la nuit, ce qui était une aubaine pour le jeune chasseur. Moins il y avait de personne dehors et mieux son plan marcherait. Ce n'est que deux heures plus tard que le dessin d'Hiruzen se mit en route. Vêtu d'une longue robe et d'accessoire féminin le rendant complètement métamorphosé en jeune femme, le petit être marchait dans la rue feintant de courir en direction de sa maison. A croire qu'il avait déjà essayé cela dans une autre vie, Hiruzen imitait parfaitement la démarche d'une femme qui marchait en talon sur des pavés de béton, mais non d'un chien ça lui faisait mal.

Comment les femmes pouvaient-elles supporter une telle torture. Soit elles aimaient se faire souffrir, soit elle n'était pas humaine, en tout cas si certaine personne affirmait que les femmes étaient des chochottes, alors ces personnes n'avaient sans doute jamais couru avec des talons aux pieds. Après plusieurs minutes dans les rues de la ville, le jeune homme tomba sur une patrouille de policier et réussi à les berner affirmant avec une voix qu'il tentait de modifier du mieux qu'il pouvait afin de l'approcher au plus près de la voix d'une femme, qu'il se rendait à son domicile. Après quelques secondes de réflexion, les deux hommes proposèrent à la jeune femme de l'escorter chez elle pour plus de sécurité, mais Hiruzen déclina l'offre, affirmant qu'il habitait à même pas dix mètres de leur position et alla même jusqu'à expliquer aux policier qu'ils feraient mieux de proposer ce service à la jeune femme qu'il avait croisé une rue plus loin et qui semblait être perdu. Bien sûr il s'agissait d'un mensonge, mais le temps qu'il s'en aperçoive, il aurait déjà quitté les lieux.

Comme prévu une fois les deux hommes partis à la rescousse de la jeune femme en détresse, l'okama quitta sa position afin de s'enfoncer dans la vieille ville. D'après les différents rapports, les assassinats semblaient avoir un certain lien logique. L'assassin préféraient les jeunes femmes qui portaient des vêtements ample et qui avaient une certaine valeur. Toutes les victimes étaient vêtue de vêtement de marque qui était en vente dans les différents magasins de luxe de la ville. De plus tout le lieu où se passaient les crimes à proximité des quartier résidentiel assez côté de la ville. Saint Ux, Millona, le quartier des horlogers et bien d'autre. Au final tous ces quartiers avaient déjà connu un meurtre, à l'exception d'un seul, celui où se rendait Hiruzen, le quartier de la Rose. Le quartier de la Rose était la partie la plus huppé de la ville, on y comptait tous les plus grands notable de la ville et s'il ne se trompait pas dans sa déduction, alors cette section allait être à son tour le théâtre d'un tragique évènement.

Pour des raisons de sécurité évidente, entrer dans cette section de la ville n'était pas une chose facile. Il fallait montrer patte blanche à diverses positions et toujours avoir sur soit une certaine carte en cas de contrôle policier. Pour dire, il n'y avait aucun vol, ni aucune agression ici. Tout allait bien dans le meilleur des mondes pour les habitants de ce quartier. Il va s'en dire que ceux qui y résident avaient assez d'argent pour vivre sans devoir vraiment travailler. Encore des personnes qui vivent sur le dos des autres. Ces personnes ne connaissaient pas le goût du travail, mais Hiruzen n'était pas là pour leur jeter la pierre, ni pou les juger, mais bien pour stopper un dangereux criminel, alors dans le but d'accomplir sa mission, il se faufila tel une souris près d'un groupe de trois soldats et les frappa suffisamment fort pour les assommés tout en les laissant en vie. Il n'était pas fier de lui, attaquer des innocents n'était pas dans ses manières d'agir, mais cette fois la fin justifiait les moyens.
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Après un long moment à tourner dans la section la plus contrôlée de la ville, Hiruzen fini par ressentir une étrange présence. Il ne voyait personne aux alentours et pourtant il se sentait épié, comme si un regard vicieux et lugubre ne le lâchait pas. Ne pouvant trouver la source de cette sensation, le jeune homme sous couverture poursuivie son chemin à travers les rues éclairées avant de tomber sur un petit barrage de policier. Il avait beau savoir que la zone était quadrillé, une fois sur le territoire de tueur, il devait se comporter comme une citoyenne ordinaire et ne rien faire qui pouvait faire tomber sa couverture, c'était crucial pour lui d'attirer l'attention du tueur. Une seule faute et ce dernier pourrait jeter son dévolu sur une femme innocente.

Devant les policiers, le jeune homme feinta un léger mal de tête. Rien de bien méchant, mais avec un petit talent d'acteur, il réussi à berner les trois hommes. Le tour aurait été simple et rapide si l'un des hommes n'avait pas insisté sur l'importance de lui montrer le précieux passe-droit que tous les habitants du quartier devaient présenter, mais là encore, Hiruzen réussi à duper le soldat en montant un peu le ton de sa voix en prétextant être la fille du chef de la police, car oui il en avait une. Même si cela était un gros mensonge, Hiruzen venait de taper dans le mille.

Le chef de la police avait une fille qui avait la réputation d'être insupportable et qui ne respectait aucune autorité, mais comme elle était la seulle et unique fille de ce dernier, il la laissait faire ce qu'elle voulait et gare à celui où celle qui ne l'entravait. La jeune femme était d'ailleurs responsable de la rétrogration de trois officiers. Cette petite peste était devenu l'ennemi numéro un de tous les policiers. De peur de voir la jeune femme se plaindre auprès de son paternel, le message était passé au sein de la police, il fallait absolument l'éviter et la contrarier.

La chance était avec lui. Voyant que son petit manège fonctionnait, Hiruzen demanda aux officiers de la justice de le laisser passer, car il n'avait pas de temps à perdre et que son père l'attendait justement. Stopper la jeune femme alors qu'elle ne semblait pas prêt à écouter était la chose à ne pas faire, mais par mesure de précaution, l'un des hommes proposa à la jeune femme de l'escorter jusqu'à son domicile dans un but de prévention. Avec un criminel dans la ville, il n'était pas sage même pour la fille du chef de la police de se mouvoir de nuit seule. Le jeune homme était intelligent et attentionné, mais s'il l'accompagnait, il allait faire capoter le plan du chasseur de prime voilà pourquoi Hiruzen refusa catégoriquement avant de marcher droit devant, espérant que les trois hommes restent à leur place.

Les trois policiers regardèrent la jeune femme partir avant de laisser un léger "salope" s'échapper de leur bouche. L'injure avait été dit assez de force pour que cela arriva aux oreilles du chasseur de prime, mais pas assez pour savoir qui avait eu assez de cran pour le dire. Visiblement la jeune fille n'avait pas que des amis dans cette ville. Papa devait sans doute laisser passer tous les caprices de sa fille quitte à en oublier ses devoirs de justice, mais peut importe, grâce à cela il avait réussi à passer un premier barrage. Nul doute que si jamais il tombait de nouveau sur un autre groupe de policier il utiliserait la même supercherie.

Alors qu'il marchait à travers les rues en se demandant quand le regard qui le suivait allait se montrer, une petite voix lubrique se fit entendre ce qui força Hiruzen à se stopper. Le poisson avait mordu à l'hameçon. Maintenant il fallait agir avec beaucoup de prudence. Nul doute que cette voix provenait du criminel, mais étant donné qu'il se cachait, Hiruzen ne devait pas sortir les armes. Il fallait laisser le temps à sa proie de quitter sa planque et se montrer. Pour cela quoi de mieux qu'une jeune femme effrayée qui se met à parler à haute voix tout en tentant de menacer le tueur. Le simple fait de dire qu'il s'agissait de la fille du chef de la police réussie à accentuer les rires du tueur. Comme il l'avait pensé, le tueur n'avait pas l'intention de partir même si sa cible était la fille de X ou Y personne importante. Il était bien trop confiant sur ces capacités pour cela.

Voulant jouer le jeu de la jeune femme effrayée à fond, Hiruzen se mit à courir tous en regardant dans toutes les directions. L'excitation du tueur était monté d'un cran. Quoi de mieux qu'une cible qui tente de fuir, sans doute rien, voilà pourquoi l'assassin décida de quitter son point d'observation afin de fondre sur sa cible. La peur psychologique était fini, maintenant place à la peur physique, mais ce que le couturier pensa pour une simple partie de chasse se transforma en confrontation. Quand les griffes du couturier allaient déchirer la jeune femme en deux, celle-ci contra la mort à l'aide d'une lame qu'elle planta dans le sol avant de sauter et lui donner un puissant coup-de-pied en plein dans le visage.

Il était temps de faire tomber le masque. Hiruzen déchira ses vêtements de femmes et montra son véritable visage. Son périple à travers la ville en tant que femme était fini. Cette fois-ci il ne laisserait pas l'assassin filer.
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Afin de pouvoir réagir au plus vite, Hiruzen avait dû planquer deux sabres au plus près de son ventre, ainsi d'un simple mouvement brutal de son genou, il pouvait faire s'élever ses armes de sa fausse poitrine. C'est d'ailleurs ce qui lui permit de ne pas essuyer une première attaque mortel de la part de son adversaire. Adversaire qui jonchait le sol avant de se relever et de se frotter la joue qui avait reçu le pied du chasseur de pleins fouets. Le couturier, nom donné à l'assassin par les habitants de la ville, n'était pas content. Sa réaction était tout à fait compréhensible, qui aimait tomber dans un piège et se voir infliger un coup de pied, mais ce qui énervait encore plus le bonhomme était que la personne en question était celui-la même qui l'avait défier quelques jours auparavant. Hé oui, Hiruzen était un petit être coriace et tel un chien de combat quand il mordait, il avait du mal à lâcher prise.

Le couturier compris qu'il ne pourrait pas se débarrasser du chasseur de prime aussi facilement que la police. Il allait devoir l'éliminer. Ce n'était pas dans ses habitudes d'attaquer des garçons, mais parfois il n'hésitait pas à se faire quelques extras. Il avait déjà tué quelques animaux avant de tomber dans un addiction aux femmes et puis si voir la chair et le sang d'un adolescent couler lui ferait le même effet, alors peut-être allait-il prendre la décision de varier ses victimes histoire ne plus faire de discrimination.

Cette fois-ci le combat entre les deux protagonistes commença. Hiruzen n'avait que deux sabres, mais c'était assez pour venir à bout d'un microbe. Du côté du couturier, ses griffes acérée avaient déjà fait leur preuve. Un coup pouvait entaillé le corps humain et y laisser des traces à vie. Mais malgré cela, Hiruzen gardait son calme. Il avait déjà combattu de nombreux criminels et pirate, il n'était pas à son premier coup d'essai. Son nom n'était pas aussi connu que d'autre chasseur de prime dont il évite de citer le nom afin de leur faire de la publicité gratuite, mais ce n'était qu'une question de temps avant que son tour ne vienne. De plus il avait un certain avantage vis-à-vis du couturier. La zone où il se battait était relativement étroite, ce qui était idéal pour un combattant qui avait la capacité de se mouvoir très rapidement et combattait en utilisant tout son environnement. Pour un homme qui combat avec de très longue lame, le lieu où allait se dérouler le combat n'était pas vraiment un avantage, s'il faisait trop de bruit, il ne ferait qu'ameuter les forces de l'ordre ce qui reviendrait à se mettre la corde au cou.

Prenant les devant, Hiruzen s'élança sur le couturier, sa première approche consistait à lui voler son espace vital. Avec des griffes aussi longues l'assassin ne devait pas être très fort au corps-à-corps. En même temps avec deux sabres Hiruzen n'était pas aussi armé pour un combat rapproché, mais il devait prendre l'ascendant psychologique sur son adversaire. C'était une manière de le forcer à agir comme il le désire. S'il arrive à forcer le Couturier à faire ce qu'il veut, alors il aura un pied déjà dans la case "victoire". Un, deux, trois pas puis un léger saut en direction de sa cible et voilà Hiruzen à porté de son adversaire, mais voilà approcher un homme qui compte vous tuer n'est pas aussi facile à faire. En voyant le petit homme approcher, le Couturier tandis l'un de ses bras afin de l'embrocher. Comme il l'avait calculé, l'assassin de Braise Town n'avait jamais combattu de véritable adversaire, des personnes qui avaient un lourd bagage du combat à mort, voilà pourquoi ses coups étaient prévisibles.

Devant la riposte de son adversaire, Hiruzen s'abaissa simplement. En effectuant une flexion suivie d'une vive extension en direction du torse de ce dernier le jeune homme réussi à le frapper d'u coup de tête en plein dans le ventre. Ne pesant pas beaucoup de kilos, Hiruzen avait réussi à bouger vite, privant ainsi son adversaire de pouvoir éviter la torpille humaine qui allait s'écraser contre son ventre, mais d'une certaine manière le poids du chasseur de prime était un point positif pour le tueur. Le choc entre les deux hommes étaient suffisant pour faire reculer d'un pas en arrière l'assassin et lui causer une petite douleur, mais pas assez pour le contraindre à déposer les armes.

Profitant de son léger avantage, Hiruzen sauta tout en effectuant un salto avant afin d'infliger un second coup au couturier. Un salto qui termine par un coup de pied au niveau du masque de son adversaire, voilà ce que cherchait le jeune homme. Pour le moment il se battait sans donner son maximum. Il fallait donner à son adversaire l'impression qu'il pouvait en finir quand il voulait. Tout était fait pour provoquer la colère de son adversaire et le forcer à commettre des erreurs, erreurs qui le conduiront dans une situation de stress, de colère et de panique et une fois tombé dans le filet de l'araignée celui-ci ne pourrait plus faire demi-tour et ne pourrait que perdre.

Tout allait pour le mieux pour Hiruzen puisque son coup réussi une fois de plus à repousser son adversaire et même à faire tomber son masque au sol, mais contrairement à ce qu'il avait espéré ce dernier ne sombrait pas dans le stress où même la colère. L'expression de son visage affichait plus une humeur de joie, comme s'il appréciait de tomber sur une personne capable de le résister. De tous les adversaires qu'il avait affrontés, Hiruzen n'était jamais tombé sur un tel psychopathes. Rien qu'en le regardant il se dit qu'il était déjà trop tard pour tenter de sauver cette personne. Une bête sauvage, voilà ce qu'était réellement le Couturier. Un fauve avide de combat et de sang.
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Plus question de raisonner où de tenter de sauver son âme, Hiruzen allait devoir se donner à 100% s'il voulait stopper le monde de cette ville. C'était son devoir de protéger la veuve et l'orphelin, voilà pourquoi il recula, récupéra ses deux sabres et s'élança de nouveau sur sa cible. Cette fois, le Couturier ne resta pas sur place, il n'était plus question de laisser le jeune homme le frapper sans réagir. Il fondit également sur lui et s'en suit un combat épique entre les deux combattant. Chacun se donnait à fond dans le but de faire tomber l'autre, mais rien n'y faisait, ils étaient de même niveau et chacune des attaques qu'ils se lançaient ne touchait que le vent où l'environnement avoisinant, à tel point qu'au bout de cinq minutes d'échange intensif, les deux hommes étaient encore au même point. Ni l'un, ni l'autre n'arrivait à prendre l'ascendant.

Si les deux hommes étaient encore au même point, Hiruzen sentait que plus le combat continuerait ainsi et plus il allait laisser son adversaire prendre l'avantage sur lui. Son corps était plus petit et lui permettait de mieux bouger. Il était plus rapide et agile, mais possédait une endurance bien moindre que son adversaire, ce qui signifiait que si le combat perdurait dans le temps, alors il serait le grand perdant de la soirée. Il devait arriver à porter un coup mortel à son adversaire où trouver un moyen de le désarmé, ainsi il mettrait un terme à l'affrontement.

En y regardant de plus près, à chaque fois que ses sabres entraient en collision avec les griffes de son adversaire, Hiruzen avait remarqué un petit dispositif semblable à des suspensions. Les attaques du chasseur de prime n'avaient aucun effet sur son adversaire et même ses attaques les plus puissantes ne causaient aucun dégât aux griffes. Si son raisonnement était le bon, alors il allait devoir prendre son adversaire de dos avant de pouvoir lui infliger la moindre attaque direct, car s'il continuait ainsi, il n'allait faire que s'épuiser tandis que son adversaire n'aurait qu'à attendre que celui-ci n'ait plus d'énergie pour en finir. Une fois son plan d'attaque élaborer, Hiruzen lâcha un petit sourire narquois à son adversaire dans le but de le faire venir à lui. Rien de mieux qu'une petite provocation pour forcer l'ennemi à aller de l'avant et à lancer une attaque.





U.C
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