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Qu'est-ce qu'un être humain ? [Arc Leviathan]

Musique d'Ambiance - Before the Tempest

Merde.
C'est tout ce que pensait Dylaï en remontant d'un pas vif le passage qui menait au pont du Leviathan. Merde. MERDE. Il tenait dans sa main le coffre qu'il possédait depuis pas mal de temps, déjà, qu'il avait gardé auprès de lui pendant si longtemps... et qui maintenant était ouvert. Vide.
Il n'avait plus le Suna Suna no Mi.

Lorsqu'il s'en était aperçu, Dylaï avait sentit son coeur se briser, comme si un magma brûlant l'avait inondé, ne voulant que déborder de ses veines, de ses muscles, de son coeur. Il était toujours stoïque, mais d'un stoïcisme beaucoup plus déroutant que d'habitude. N'importe qui aurait pu lire dans ses yeux une rage qui ne voulait que se défouler sur le premier venu. Il était devenu une bombe prêt à exploser dans une fureur impossible à calmer.
Suzuka l'avait poignardé dans le dos.
Il avait pris le fruit du démon, l'héritage précieux de Cortez, un cadeau de son ami. Il l'avait volé. Il s'était joué de Dylaï. L'avait trahi. Etait-il impossible de faire confiance aux gens ? L'espèce humaine était-elle condamnée à être constituée de menteurs hypocrites et sans aucune once d'honneur ? Et si Ryuuku faisait aussi partie de ce genre de personnes ? Avaient-ils montés un piège subtil pour briser le doute du combattant et lui voler le fruit ? Rien n'était à exclure. Surtout pas dans une telle situation.

Dylaï marchait sous la pluie vers l'intérieur du mastodonte mécanique. Il ouvra la porte d'un grand geste et se faufilait maintenant dans les couloirs. Ce cyborg, Zero, comme Suzuka étaient parti semblerait... qui était cet homme-machine d'ailleurs ? Il se posait toujours plein de question à son sujet... visiblement, il avait un lien profond avec le criminel. Mais lequel ? Il ne se souvenait nulle part d'un tel individu. Peut-être que lui et le contre-amiral étaient en fait des alliés ? Cela en fait était logique. Zero voulait qu'il s'énerve, qu'il laisse sa rage exploser... le vol du Fruit du Démon était sans doute un déclencheur ?
Mais il avait voulu détruire le fruit sous ses yeux... il y avait tant de choses qui collait pas.

Qu'importe. Le plus important était de savoir où se trouvait le Contre-Amiral. Il en eut l'occasion en voyant un soldat courir de manière haletante. Il n'avait pas du rejoindre ses compagnons lors des premiers signes de trouble.
Il fut immobilé sans vraiment comprendre ce qui se passait par Dylaï qui le regarda d'un oeil noir. Il lui dit d'une voix trop calme :


"Où est le Contre-Amiral Suzuka ?"

Le marine trembla de toutes ses forces, et se mit à balbutier.

"L-le contre-a-amiral S-suzuka ?"
"Oui."
"J-je ne comprends pas... il n'y a-aucun officier de ce nom sur le navire."

Je quoi.
Ces deux mots sortirent dans la tête de Dylaï. Je quoi. C'était les seuls mots pouvant résumer son incompréhension totale. Se reprenant, il plaqua son poing contre le mur, bouillonnant de rage.


"Qui sont les officiers ici ?"
"Je... les lieutenants-colonel Hiro Shima et Ryuuku Garen. Le colonel Toji... et le capitaine Henry Vargas... laissez-moi, je vous en supplie !"

Le fuyard se contenta de l'assommer et réfléchit plusieurs minutes en observant le marine dormant paisiblement. Ryuuku. Hiro. Toji. Henry. Il doutait sérieusement qu'un soldat ait pu se faire passer pour un contre-amiral, et en conclut que l'imposteur se trouvait ces quatre... il exclut Ryuuku. Il n'aurait pas eu le temps de se changer, de se déguiser, et de faire son cirque. Et puis, quel intérêt ? Il aurait pu simplement mentir sur le fait qu'il avait le fruit.
Restait alors les trois autres... il trouverait celui qui s'était moqué de lui sur tout les points.
Il entendait encore quelques bruits au loin. Il décida qu'au lieu de chercher les marines et de tenter de reconnaître les officiers, il allait les amener à lui. D'un bond, il se mit à courir vers là où se trouvait la soldatesque. Il les combattrait.

Il n'avait pas remarqué qu'au bout du couloir, derrière lui, Zero relevait ses lunettes en souriant de manière malsaine.


"Intéressant... serait-ce enfin le jour ?"
    Je me promenais dans les couloirs de ce bateau qu'on devait surveiller. La tache était difficile, il fallait vérifier chaque partie de ce navire, sans exception. La cale, la cuisine, les chambres, les salles de conférences, et les différentes composés des étages qui variaient les un les autres. Dans la froideur du temps, avec ses rafales de vent. J'étais comme un chasseur qui traquait sa proie. Je me battrais face à toutes les vermines au nom de la justice absolue. De la manière douce ou de la manière forte. D'une façon propre, ou d'une façon la plus répugnante qu'il soit. Ces pirates, ces brigands ont défié la loi et ils vont subir les conséquences de cet affront.

    Je m'apprêtais à vérifier toutes les chambres, rien à signaler à chaque fois, je vais donc voir le lieutenant colonel Ryuuku, mais après avoir longuement hésité, je me suis décider d'approfondir mes recherches au couloir B52. Quelques minutes plus tard, après avoir traversé en long et en large ce couloir, j'entend des bruits dans le couloir d'en haut, au prochain étage. Étrange, ce n'était pas un des officiers des wolf's ni les autres membres. J'avais trouvé encore un cafard, bon dieu combien étaient t-il ? Sans m'attarder, je cours tête baissé vers les escaliers, puis je monte les marches par trois. Arrivé au couloir qui faisait prêt de 2 mètre de large, j'avance doucement...

    J'aperçois un homme, avec mon écharpe, mais c'est bien lui, c'est dylai ruken. Celui à qui j'avais prit le logia. Oups, j'avais avec moi la clé du coffre, il fallait que je la cache. Pour l'instant je la laisse sur ma main gauche, le poing serré. Il devait surement être en rogne, fallait l'éviter...Un pas puis un autre sans faire de mouvements brusque. Encore oups...Le bois s'était mis à faire des crissements. Il m'a vu, j'avais pas son écharpe heureusement, la chance me sourit. Que devais-je faire ?
    Huhuhu...Un autre coup de bluff ? Non, j'alla
    is pas faire ça une deuxième fois. Mais pourquoi pas non...ça donnerait quoi si je faisais le patron...

    *Hé !! L'asticot bouge de là, tu t'es assis sur ma bouteille de rhum ! Poing !*

    Cela serait surement très marrant, mais il fallait affronter la réalité des choses, être un homme, une bonne fois pour toute et ce n'était pas un vulgaire petit cafard qui allait gêner la mission des Sea Wolf's. Comme un loup face à une proie. Globalement quand l'animal est seul, il abandonne ou se donne des airs. Je n'allais pas abandonner ni bluffer cette fois ci. Je vais leur montrer qu'est ce qu'un loup de mer, un vrai.

    Hé toi ! Retourne toi ! petit Cafard, je t'écraserais et je te ferais sortir de ce navire !
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    Il écouta sans broncher la menace du marine qui se trouvait derrière lui. La même voix qui lui avait parlé en tant que Contre-Amiral Suzuka. L'imposteur. Celui qui lui avait pris le fruit... il était là. Ils étaient seuls.
    Il n'aurait pas longtemps à chercher au moins... il se retourna lentement, ses yeux animés d'une froideur glaciale, une détermination impossible à briser.
    Il restait totalement immobile et observa l'officier. Qui était-il ? Hiro ? Toji ? Henry ? Bah... ce n'était pas vraiment important. Ce qu'il savait est que cet homme était un obstacle sur le chemin qu'il s'était fixé, un mur qu'il se chargerait de briser avec ses propres mains.


    "Tu montres enfin ton vrai visage."

    Il avait dit ça d'un ton trop calme. Cela montrait définitivement qu'il retenait la fureur qui habitait son corps... pour le moment. Il s'avança de plusieurs pas, sans montrer le moindre signe d'agressivité. Ils entendirent tous deux le tonnerre au loin et la pluie redoubla d'intensité. Le ciel, comme répondant aux volontés qui allaient s'entrechoquer, avait décidé de fournir un climat propice à la confrontation.
    Dylaï hocha la tête et continua :


    "Je ne dirais que deux choses extrêmement simples, je ne m'attarderais pas en discours. La première est : je ne sortirais de ce vaisseau qu'avec le Fruit du Démon que tu m'as volé sans aucun honneur, ou mort."

    Il continua de s'avancer, et au fur et à mesure de ses pas la tension continua d'augmenter, prêt à se déchaîner au moindre instant. Dylaï le savait, le combat allait bientôt commencer... et il ne laisserait pas s'enfuir son adversaire. Pas cette fois.
    Il s'immobilisa, croisa les bras et lança d'un air de défi :


    "La seconde est : je ne mourrais pas."

    Il tendit son bras droit vers le sol en signe de garde, regardant son ennemi tandis que les flammes du combat brûlaient dans ses yeux. Il posa son ultimatum :

    "Tu as dix secondes pour abandonner."

    Au bout de dix secondes, l'un des combats les plus importants de sa vie allait débuter.
      "Tu montres enfin ton vrai visage."

      Je n'avais pas le souvenir de l'avoir entendu parler, c'est étrange. Une sensation qui me met en boule. C'était à ce moment là que j'avais eu l'idée d'une nouvelle technique que j'allais réservé pour bien plus tard face à un adversaire encore plus redoutable. La rage qu'il cachait au fond de ses yeux exprimait bien la haine qu'il avait envers moi bien qu'il avait l'air d'être calme.
      J'avais le chic pour voir ses choses, c'est comme prédire une tempête, il y a des signes qui ne trompent pas. Cet individus était bel et bien mon ennemie.
      M'avait-il reconnu ? Les grondements de tonnerres accentuais la place, comme si ils voulaient nous dire quelque chose. Comme battez vous, c'est l'heure du duel...Je devais avoir les idées clairs et précises sans quoi j'allais laisser la peur prendre le dessus.


      "Je ne dirais que deux choses extrêmement simples, je ne m'attarderais pas en discours. La première est : je ne sortirais de ce vaisseau qu'avec le Fruit du Démon que tu m'as volé sans aucun honneur, ou mort."

      Tout en hochant la tête, dylai continua de parler. Alors comme il n'allait pas sortir de ce vaisseau qu'avec le fruit du démon. Bon, je savais ce qu'il me restais à faire. Je pris la clé et l'avala devant ses yeux, l'a t-il vu ?
      Peu importe. la seconde chose qu'il m'avait dite était qu'il n'allait pas mourir. Bien évidement qu'il n'allait pas mourir. Il s'était cru dans un jeu ou quoi ? Certes c'était pas marrant, regardons la réalité en face, il n'y avait qu'une seule manière pour ne pas terminer mort, c'était de ne pas combattre. Ou bien de simplement mettre K.O. son adversaire. Donc ça fait deux.


      "Tu as dix secondes pour abandonner."

      *10/9/8/7/6/5/4....*

      J'abandonne !

      Je me retournais et j'allais retrouver Ryuuku Gakuen, mais une lumière scintilla dans mes yeux sans comprendre pourquoi, je m'arrêta puis je m'était retourné doucement.

      1 Seconde, tu veux du thé ?

      Il avait aussi un choix à faire, dire oui ou non. La réponse n'était pas simple à choisir...
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      "J'abandonne !"

      Pdour une réaction non prévue, c'était une réaction non prévue.
      Mais cela ne changeait absolument rien au problème. Lorsque son adversaire se retourna, il sentit tout de suite qu'un piège se cachait dessous. L'homme qui lui avait volé le fruit avait soudainement décidé de se rendre et de lui rendre ? Le prenait-il absolument pour un débile ? Il fronça les sourcils, il avait de plus en plus de mal à contenir sa fureur.


      "Une seconde, tu veux du thé ?"

      Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase.
      Cette crapule sans honneur qui lui avait pris l'objet qu'il chérissait le plus au monde, l'artefact qu'il tenait de l'homme qu'il respectait le plus, le père qu'il n'avait jamais eu, le frère qu'il n'aurait jamais, le mentor qu'il ne pourrait plus jamais avoir. Le point central de sa quête pour changer ce monde, le rendre plus juste, plus égalitaire, plus humain. Il lui avait volé par le mensonge, le vol, la trahison. Cette canaille lui disait maintenant lui demandait s'il voulait du thé ?
      L'énergie de Dylaï se répandit dans son corps tout entier, comme un flux continu. Il n'avait absolument plus besoin de se concentrer, c'était comme si ses muscles et sa volonté réagissaient de manière synchronisée pour fournir des performances de combat optimale. Il était devenu effrayant, son regard perçait l'esprit comme la lance pouvant briser n'importe quelle protection.


      "Tu ne t'enfuiras pas."

      Ses muscles se tendirent à l'extrême et son regard se fit plus intense qu'il ne l'avait jamais été. Le tonnerre tonna plusieurs fois de suite, comme pour saluer le début de ce duel de titans.

      Fight Theme ! Vs. Hiro Shima

      "Course Céleste."

      A l'instant même où il avait terminé la phrase, il fit un bond et courut à grande vitesse vers son ennemi, ses deux poings légèrement en arrière. Chacun de ses pas résonna avec force sur le sol de métal qui laissa des marques du passage du criminel.
      Dylaï recula son poing droit et le lança sur Hiro. Allait-il ressentir la puissance de sa rage ?
        J'avais abandonné et le voilà qu'il charge alors que je lui avait proposé un thé. Il se mit à froncer les sourcils et à canaliser sa rage. Il était bien décider de faire sortir toutes ses tripes. Qu'il en soit ainsi, certes j'avais prit son dû, mais c'était un trésor inestimable et c'était dans mon devoir de prendre un tel pouvoir. Car de grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités. J'allais lui montrer la voix de la raison. Il aurait du accepté mon thé. Et me montrer qu'il était un homme raisonnable. Un être humain comme il se doit

        "Tu ne t'enfuiras pas."

        Je n'avais pas l'intention de m'enfuir, j'allais juste prendre du thé. Des fois une petite pause ça faisait du bien. Le luxe du repos n'était pas à notre portée ce jour là. D'un coup il fit un saut sur ses pattes d'insecte et se mit à courir d'une vitesse assez impressionnante on va dire. A ce moment j'ai su que ce n'était pas un cafard de seconde zone. C'est qu'il avait des ailes cet arthropode. Je vis ses deux poings se mettre dans une position de combat lent, ça risquait de faire un peu mal. Heureusement que je sois en caoutchouc. Il lança son poing, et je fit face sans broncher. Je prit le coup en plein dans le thorax qui me plaqua par la suite contre le mur.

        Félicitation, arf...Tu es maintenant un criminel pour avoir frappé un officier de la marine.

        Je le laissais me frapper sans parler, le laissant se défouler. J'étais vraiment mal au point, mais au prix que ça allait donner, c'était pas le moment de me plaindre. Je lui montrais que n'importe quel être humain dans ce monde est avide de colère, de rage, de faire des choses ignobles. Certains ont un don pour résister à cette atroce tentation et d'autres acquière ce don à force de l'âge d'où le titre de sage. Donc s'il m'en voulait, il n y avait aucun problème.
        Qu'il me mette à bout, je n'allais pas résister physiquement. Mais mentalement je restais le maître de la situation. Serait il assez fort pour résister à mes attaques psychologiques ? Je lui disait des choses entre quelques coups.


        Tu vois à quel point l'être humain est incapable de laisser sa colère au fond de lui, effacer sa rancune et tourner la page.

        Nous somme tous pareil, nous avons nos Defaults et nous agissons de manière différentes.

        Nous avons des avis sur le monde qui varient, et le fait d'avoir un pouvoir peut changer le monde !

        En bien ou en mal, je ne laisserais jamais un criminel avec un tel pouvoir entre les mains !
        Au nom de la Justice Absolue !
        • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
        "Tu es maintenant un criminel pour avoir frappé un officier de la marine."

        Humpf. C'est ce que pensa Dylaï lorsqu'il entendit la constatation de son adversaire. Ils ne savaient même donc pas qu'il était déjà recherché pour son crime à Saint Urea, raison pour laquelle il a été emmené dans le Leviathan à la base ? Rien qu'en s'enfuyant du navire, il aurait de nouveaux avis de recherches sur sa figure. Alors, qu'il frappe un officier ou non, la solution n'aurait pas changé de ce côté là. Hiro ne tenta pas de riposter aux différents coups qui constituaient la Course Céleste... il comprit rapidement là où il voulait en venir lorsque le Commandant commença à lui sortir son discours sur l'être humain, incapable de contenir sa rage, étant destiné à être un animal... Dylaï se remit à froncer les sourcils tandis que le flux de sa colère continuait de bouillir dans son corps. On aurait dit ce cyborg, Zero...
        Il acheva son discours en disant qu'il ne laisserait jamais le criminel obtenir le pouvoir de changer le monde, incarné dans le Logia des Sables, au nom de la justice Absolue. Ce concept fit grandir l'énergie instable qui sortait du corps de Dylaï.

        Il prit Hiro par le col et l'envoya quelques mètres plus loin d'un lancer. Il croisa les bras et dit d'un ton plus effrayant que d'habitude :


        "Justice ?"

        Il sentait qu'il avait de plus en plus de mal à se contrôler. Mais étrangement, cela avait de moins en moins d'importance pour lui. D'un coup de pied, il défonça le mur voisin du Leviathan et ouvrit une brèche vers l'extérieur. Il s'était sérieusement abimée la jambe, mais il s'en foutait. Il voyait devant lui la tempête qui faisait rage au dehors, il fut même arrosé par la mer et la pluie. Il se retourna, le regard implacable sur le marine et commença sa réponse, d'une voix moins calme qu'à son habitude :

        "Si avoir le fruit qui m'a été légué par cet homme que je respecte me permettra de changer ce monde où des enfants d'à peine plus d'une dizaine années peuvent passer la moitié de leur vie dans un endroit obscur, sale et sans soins, tentant de lutter contre les ténèbres à cause d'une pseudo-Justice qui n'a jamais été aussi aveugle, alors je choisirais cette voie. Et si des obstacles comme toi se dressent sur ma route..."

        Ce fut les muscles de ses jambes qui se tendirent cette fois-ci. Il refit un bond, les bras croisés, en finissant sa phrase :

        "... je les briserais pour continuer à avancer vers l'horizon ! AURORE !"

        Il déplaca son pied vers l'arrière, prêt à frapper Hiro pour l'envoyer survoler dans les airs et l'enchaîner avec le Shoryuken. Il lui rendrait le fruit, coûte que coûte.
        Aucun des deux ne remarquait Zero qui observait leur duel au loin en souriant.
          "Si avoir le fruit qui m'a été légué par cet homme que je respecte me permettra de changer ce monde où des enfants d'à peine plus d'une dizaine années peuvent passer la moitié de leur vie dans un endroit obscur, sale et sans soins, tentant de lutter contre les ténèbres à cause d'une pseudo-Justice qui n'a jamais été aussi aveugle, alors je choisirais cette voie. Et si des obstacles comme toi se dressent sur ma route..."

          Des enfants esclaves, j'en avais aucune idée. Une pseudo-Justice ? Je ne laisserais personne insulté la justice. Des centaines de marins meurent dans le combat laissant derrières eux des femmes et des enfants. Je n'allais pas lui dire cela, il était têtu comme une mule et puis il allait préparer un autre coup, il ouvrit une brèche au dehors, la pluie rentrait, ça promettais de belles glissades. C'était à cet instant qu'il m'était venu une idée de genie, glisser sur le ventre avec mon corps élastique.

          Tandis que je réfléchissais à un bon plan, il vient vers moi et m'annonce qu'il brisera les obstacles qui seront devant lui, et qui lui permettrons d'avancer vers l'horizon, un point de repère de fou, en tant que navigateur, se fier à l'horizon sans regarder le ciel, c'était courir au suicide. Lorsqu'il s'apprêtait à me botter le derrière, façon de parler. Il eut une bonne surprise, je m'étais baissé, puissant coup mais lent. Une fois mes mains à terre formant une sorte de table avec mon corps, j'avançais ou je reculais mes pieds vers ma tête puis je me propulsais en passant entre ses jambes grâce à l'aide de mes muscles et de l'eau.


          Une fois sortis de la ligne de mire de mon agresseur, je continuais à lui parler de la vrai justice. Au fond de moi, j'étais persuader que la justice qu'on appliquait était pure quelque soit la manière dont elle était dirigé. Souvent induite en erreur par les révolutionnaires et pirates qui avait une dent contre le gouvernement.


          Un homme m'a dit un jour que la justice sans la force était impuissante et que la force sans la justice était tyrannique.

          J'étais résolu à ne pas le toucher physiquement, c'est que j'en avais marre d'utiliser mes muscles, essayons de combattre l'adversaire moralement. Avec intelligence. Je l’appellerais par la suite ce style...Je vous le raconterais une autre fois. Sans trop tarder avant qu'il ne se prépare à m'attaquer, un coup que j'allais pas hésiter à prendre d'ailleurs. Je lui dit une dernière chose qui allait surement le bouleverser ou pas.


          -Un homme avec un coeur et qui agit de la sorte, était un homme déchus !


          -Le poisson ne voit pas l'hameçon, il ne voit que l'appât. L'homme ne voit pas le péril, il ne voit que le profit

          Comme dylai, il ne voit pas qu'il met sa vie en péril et son honneur pour un bas profit. Les hommes se bâtent pour des choses inutiles et matériels, ce qui fait que nous sommes une race faible mentalement. Nulle n'ai parfait. Qui a raison et qui a tord. Le gouvernement actuel était-il bon ? Peu importe, ce que je sait, c'est que la justice l'est et ma foi envers elle me permet de rester debout la tête haute quelque soit mes adversaires. Je suis Hiro Shima et celui qui m'explosera n'est pas encore né !

          Hrp: Le bateau est sur la terre ferme en exposition, donc l'eau de mer y'en a pas.

          • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
          -HJ- Mes excuses dans ce cas. J'éditerais. -HJ-

          Il avait esquivé ! Il s'était propulsé entre les jambes de Dylaï sur le couloir mouillé, lui permettant de se mettre hors de portée. Comptait-il esquiver le combat sans cesse ? Quel était son objectif ? Jouer le combat psychologique jusqu'au bout ? Comment un homme qui lui avait joué un mauvais coût en se faisant passer pour quelqu'un d'autre, en lui mentant, pouvait se targuer de donner des leçons d'intégrité ? Le culot, le sans-gêne de cet homme ne faisait qu'accentuer la colère du criminel. Il ne supporterait pas qu'il puisse bafouer l'idée d'intégrité comme il le chante !

          "La Justice sans la Force est impuissante et la Force sans Justice est tyrannique."
          "L'une s'appelle l'Humanité, l'autre s'appelle la Marine. J'ai décidé de dédier ma vie à réveiller l'une et à détruire l'autre !"

          Il prépara ses poings dans une nouvelle attaque, et cette fois il n'allait pas le rater. Ce type d'hommes dont le but était de mettre en place un idéal absolu le dégoutait. Justice ? Justice absolue ? Il avait passé la moitié de sa vie en prison. Il avait passé la moitié de sa vie sans connaître son propre visage, sans connaître son propre passé, essayant à chaque instant de ne pas oublier son propre nom. Tout ça pourquoi ? Car son père l'avait laissé et que sa mère était tombée dans la déchéance. Il avait du voler pour survivre. Il avait du voler pour ne pas mourir de faim. C'était ça la Justice ? Enfermer les gosses qui n'ont plus aucun espoir d'avoir une vie normale ?
          ET CET HOMME OSAIT EN FAIRE L'APOGEE DEVANT LUI ?!

          Une rage qu'il n'avait jamais ressentie auparavant se déchaînait. Il se foutait maintenant de tout. Ce qui lui importait était de le vaincre. Il voulait briser ce mythe de la Justice invincible. Pour lui, c'était la plus importante chose à faire... et il allait le faire, maintenant.


          "Un homme avec un coeur et qui agit de la sorte, était un homme déchus ! "
          "Et qui te dit que ce n'est pas à cause de vous que ce coeur n'a pas été touché par les ténèbres ?! As-tu déjà visité une prison, ne serait-ce qu'une fois dans ton aveugle existence ?!"

          Il bondit, cette fois-ci le corps un peu plus bas que d'habitude, les points en arrière. Il voulait éviter que Hiro lui fasse une nouvelle esquive... il voulait pour la première fois de sa vie, faire mal. Il voulait lui faire mal, lui faire comprendre à tel point il avait souffert à cause de cette foutue Justice. C'était tout ce qui lui importait...

          "COURSE CÉLESTE !"

          Son bras droit s'étira et se précipitera sur le Marine. Il voulait encore l'enchaîner... il voulait le frapper... encore...
            Il était sympa mon pouvoir, il avait beau me frapper, j'étais comme de la patte à modeler, n'exagérons pas. Certes je ne risquais rien de vital, mais la douleur était présente et ça faisait vachement mal. Il avait une grande force, sa rage au fond de lui qui était remonté à la surface ne faisant qu'accentuer ses coups qui me paralysaient de douleurs.

            "L'une s'appelle l'Humanité, l'autre s'appelle la Marine. J'ai décidé de dédier ma vie à réveiller l'une et à détruire l'autre !"


            Qu'il en soit ainsi, à mon humble avis, c'était donc un de ses révolutionnaires, un pirate qui pense comme ça, c'était rare. Il se mettait dans un état d'excitation absolue, une rage sans fin. Cette émotion n'apporte rien de meilleur et là il allait l'utiliser contre moi. C'est que j'avais un grain dans la tête, s'il apprenait que ma faiblesse était les choses tranchantes, j'étais destiné à la morgue. Mais oui, c'est ça. Après l'avoir poussé à bout, je devais lui donner ma faiblesse et comme ça il se sentira bouleverser, il se posera des questions. Soit il pensera que je suis quelqu'un de fou et d'idiot. Soit il pensera que c'est un piège. J'ai encore mieux même si je risque ma vie, j'allais lui dire une vérité mensongère qui va l'anéantir.

            "Et qui te dit que ce n'est pas à cause de vous que ce coeur n'a pas été touché par les ténèbres ?! As-tu déjà visité une prison, ne serait-ce qu'une fois dans ton aveugle existence ?!"

            Mon existence, tu ne la connais pas. La marine m'a donné un toit après avoir été maltraité par un criminel ! Alors ton opinion tu te la garde ! Et viens plutôt te battre.


            Le criminel fit à nouveau cette technique, qu'il avait utilisé pour la première fois sur moi. Cette fois ci, son coup était plus féroce, sa rage plus grande et la souffrance était présente.
            Il enchaîna et me frappa encore et encore avec sa rage, il avait réussit à m'affaiblir, je ne pouvais presque plus bouger pour l'instant. Mon corps devenait plus souple pour amortir les poings et diminuer les dégâts, puis au moment où il allait recommencer à me frapper...


            Et si on passait au choses sérieuse ? Lui disant avec un énorme sourire sur mes lèvres.

            Ton fruit du démon à été mangé par l'un de mes collègues. Dereshishishi...T'es dégouté ? Tu veux te soulager, c'est pas avec tes poings que tu va me tuer ! Utilise quelque chose de plus barb...ant !

            Laissons le mariner un peu plus, voyons sa réaction et agissons en conséquence.
            • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
            ...

            ...

            ...

            NEANT.
            Absolu.
            Total.
            Infini.


            Lorsque Hiro sortit cette phrase, cette simple et unique phrase, "Le Fruit a été mangé", les yeux de Dylaï s'agrandirent. C'était comme s'il n'avait jamais existé, tout sentiment présent dans lui avait disparu, laissant place à un grand vide, comme si son coeur avait transpercé par une épée. Mangé ? Le Fruit avait été mangé ?
            Vraiment ? C'était là où ça se terminait ? C'était tout... ? Il était arrivé trop tard ? Le cadeau de Cortez avait été mangé par un Marine, les gens par lesquels Cortez et Dylaï ont été martyrisés dans l'obscurité ? Non... c'était trop idiot... ça ne pouvait pas être vrai.

            La phrase fut répété dans sa tête comme une punition. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé.Le fruit a été mangé. Le fruit a été mangé. Tu ne pourras plus jamais l'avoir. Tu as failli à ton devoir.
            Le trou de son coeur fut soudainement empli d'un désespoir impossible à rassurer. L'énergie qui circulait dans son corps devint encore plus intense, si cela était seulement possible. Il était comme une entité d'énergie pure, une entité de haine et de malheur. Incapable de ressentir des sentiments heureux, plus jamais capable d'aimer ou d'être content...
            Il ne se souçiait même pas du rire tonitruant de Zero qui venait de faire son apparition dans le couloir en applaudissant de manière malsaine. Une seule chose ne lui importait maintenant : Hiro Shima.


            "Comme c'est triste, n'est-il pas, Dylaï ? Vois-tu ? Tu n'as absolument pas pu protéger l'objet que tu chérissais, cette fripouille t'a trahi et à cause de ça tu ne peux pas accomplir tes nobles idéaux. Eh oui, l'amour et le pardon sont deux choses impossible à mettre en place dans ce monde..."

            Il ne répondit rien. D'un coup de pied, il fracassa le sol du Leviathan et fit voler une planche dans les airs. D'un geste rapide de la tranche de sa main, il le coupa en deux dans le sens de la longueur et l'affûta. L'adrénaline dans son corps le faisait maintenant ignorer la douleur, aussi il ne remarqua pas le sang qui coulait de sa main. Il pouvait pousser les limites de sa force à l'extrême sans se soucier de quoi que ce soit.

            "Mais tu peux te venger, Dylaï ! Tu n'as juste qu'une chose à faire : tue cet homme ! C'est pour toi la seule méthode !"
            "Casse-toi."
            "... que ?"
            "Je t'ai dit de te casser."

            Zero fut instantanément jeté en arrière à une bonne distance : il venait de se prendre en pleine face un poing de Dylaï. Il se tint le visage, gémissant de douleur, le visage ruisselant de sang. Il avait un air indéniablement surpris sur le visage.
            Hiro n'eut pas le temps de réagir qu'il se prit une attaque du bout de bois affuté. Même son corps en caoutchouc pouvait souffrir des échardes du bois massif qui constituait le Leviathan. Mais l'enragé n'avait toujours pas capté la nature de son fruit du démon, il savait juste qu'il ferait plus mal avec son arme.
            Dylaï lui dit d'une voix tremblante, reflétant sa rage et sa douleur, reflétant le fait qu'il avait été poussé à bout se contenta de lui dire :


            "Alors dans ce cas, je ne vois qu'une seule solution..."

            Il voulait le tuer.
              J'avais réussit mon coup à quelque chose prêt, la prochaine fois que j'essaye de faire un combat psychologique, je réfléchirais à deux fois. Il avait donc fracasser le leviathan, il m'a aussi grièvement blessé et maintenant il voulait me tuer. Je réclamerais la légitime défense. Après avoir contempler la rage de dylai dans ces couloirs. Un cyborg était apparu du fond, il riait et applaudissait, c'était le foutu zero.

              "Comme c'est triste, n'est-il pas, Dylaï ? Vois-tu ? Tu n'as absolument pas pu protéger l'objet que tu chérissais, cette fripouille t'a trahi et à cause de ça tu ne peux pas accomplir tes nobles idéaux. Eh oui, l'amour et le pardon sont deux choses impossible à mettre en place dans ce monde..."


              Je rêve où il vient de me traiter de fripouille, insulte à un officier de la marine, de mon camp ou non, il allait prendre cher. Qu'est ce qu'il connait de l'amour ou du pardon, c'était un tas de ferraille ambulant. Le criminel avait saisit tout ce qu'il avait en lui et lui avait permit de se forger une arme dans le décor, impressionnant comme l'être humain peut augmenter sa force par la colère, mais était-ce le bon moyen. La colère n'engendre que des regrets par la suite. Trêve de philosophie, passons aux choses sérieuse, le cyborg fut propulser en arrière par la force aveuglante de mon adversaire. Je ne devais pas sous estimer ne serait-ce qu'un de ces mouvements.

              "Mais tu peux te venger, Dylaï ! Tu n'as juste qu'une chose à faire : tue cet homme ! C'est pour toi la seule méthode !"


              Avant que ce tas de ferraille soit mit au tapis, il avait dit un truc important, il a conseiller au criminel de me tuer ! Attendez, il veut ma mort et il voulait m'envoyer en cour martial, une raison de plus pour faire de ce cyborg des boites de conserves. Malheureusement je n'ai pu avoir l'honneur de lui faire ravaler sa parole. Je me chargerais de le mettre en pièce détachés par la suite. J'avais d'autres soucis, Dylai allait Pointer son bout de bois pointu sur mon corps. Cette fois ci je n'allais pas me laisser faire. Tout d'abord je procède par une technique qui va l'épuiser ensuite je l'attaque.


              Gomu Gomu no Boohhhh

              Je Vide mon esprit, ce qui me permet d'esquiver toutes les attaques de mon adversaire. Malheureusement, je ne pouvais contre attaquer pour l'instant. Mes pensés sont vides et tout résonne comme lorsqu'on est en haut d'un canyon. J'allais lui montrer la vrai puissance d'un marine. Et tout ça pour les beaux yeux de la justice absolue, la vrai ! La mienne.
              • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
              -HJ- Post un peu court, désolé. -HJ-

              Dylaï était effrayant.
              Il était devenu une entité pure de haine absolue. Il était la haine. Son absolu était devenue une horreur, une force impossible à arrêter. Il ne ressentait aucune douleur. Aucune fatigue. Il mettait toute son énergie dans ses coups, dans ses mouvements... il voulait tuer Hiro Shima. Il voulait l'arracher de ce monde. Et avant cela, il voulait qu'il ressente la douleur qu'il avait ressenti... au centuple.
              Il se moquait des esquives. Ce n'était pas si grave... il se foutait de gâcher des forces, car sa force était maintenant infinie. Sa rage, son désespoir portaient sa force vers les cieux.

              Ainsi, lorsque Hiro se contenta d'esquiver, espérant sans doute l'épuiser sur la longueur, Dylaï sourit. Inutile de fuir, lâche, pensait-il. Il n'y a plus aucune échappatoire, aucune sortie, aucun compromis, juste des marches qui te séparent de l'échafaud. Et ensemble, ils monteraient ces marches et seraient précipités dans les ténèbres... et tant qu'ils n'y seraient pas arrivés, il ne fatiguerait pas.

              Ainsi resta-t-il immobile devant le Marine, riant. Un rire horrible. Résonnant de douleur sur les parois du vaisseau. Il avait déjà une méthode pour le faire plier... Dylaï sauta dans les airs, restant une micro-seconde en suspension, les bras croisés. Il dit d'une voix triste :


              "Zenith."

              Ses pieds se mirent soudainement à fracasser les planches du Leviathan qui volèrent dans les airs, une par une. Utilisant les chocs de la rencontre entre son corps et le bois solide, Dylaï réussit à se maintenir dans le vide, et même à avancer petit à petit. Le sol en dessous de lui était peu à peu réduit en miettes, les planches propulsés vers le plafond et commençaient à subir la loi de la gravité.
              Puis le criminel les envoya vers le Marine avec ses propres poings à grande vitesse. Il avait réussi à récupérer un certain nombre de planches, ce qui forcerait sans doute Hiro à les esquiver en pagaille pour ne pas se faire toucher par les échardes.
              Puis Dylaï apparut juste devant lui, sa planche affutée en main, prêt à frapper en profitant de sa probable panique.. Il se contenta de dire :


              "Tu es à moi."
                Il n'avait pas l'air de se fatigué, à force c'était effrayant, il avait fracassés quelques planches du sol. Les morceaux de bois se projetèrent au plafond pour ensuite tombé sur les mains de dylai. Il les avait balancé sur moi à toute vitesse. J'avais hésité à les éviter mais je l'ai fait. Une par une puis je pris une planche à ce moment là dylai était venu devant moi avec sa planche pointue puis sortit de sa bouche quatre mots bien clairs.

                Tu es à moi.

                Il riait tout le temps, ça y est, il avait péter un câble. Il allait me tuer ! Je pris la planche que j'avais en main puis je la tournoyais et en même temps mes bras tournait accroché l'un à l'autre pour ensuite créer un mouvement circulaire à la planche comme une hélice, me projetant légèrement en arrière pour pouvoir paré son coup.

                Surpris ? Ah oui ton fruit, je t'ai menti, il est bien caché à toi de le trouver.

                Rien de mieux que de désorienter l'adversaire et le plonger dans une eau trouble. Son esprit allait il résister à ces nombreux chocs psychologique. Allait t-il sombrer dans la folie et dissimuler le vrai du faux ? J'avais activé mon bouclier de défense pour quelques secondes, je devais par la suite attaquer sans plus attendre. Un coup par derrière serait des plus favorable. Lorsqu'il s'y attendra le moins, je propulserais mon poing vers l'avant et je le ferais revenir comme un boomerang vers dylai ou bien je m'accrocherais à la porte et je ferais ma technique rocket en l'emmenant avec moi grâce à mes pieds. Peut être que je ne ferais rien de cela. Voyons ce que va faire l'adversaire et ensuite on agit en conséquence.

                Un combat psychologique était risqué selon l'adversaire soit on gagne et on enferme le criminel à impel down, soit on perd et là il nous faut impérativement un plan B. Dans ces cas là je pense à ce que je fera Ryuuku. Un fin stratège dans l'âme. Mon deuxième plan était donc d'aller là où il y a du monde. Pourquoi pas sur le pont où je pourrais utilisé tout l'espace en conséquences. Il serait bien surpris de ce que je peux faire avec mon fruit du démon. J'étais presque à bout de force, finalement ce combat était épuisant, mais j'avais encore la volonté de me battre et je n'allais surement pas lacher. Il va falloir me tuer !

                C'est un combat au sommet ! Qui vient tout juste de commencer !
                • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
                Tsk. Il avait réussi à parer... mais Dylaï gagnait peu à peu l'avantage. Contrairement à lui, son adversaire n'avait pas des ressources illimitées. Il avait déchaîné chez l'homme au visage caché un nouvel état du corps. Il sentait que rien ne pouvait l'arrêter, qu'il pouvait faire tout ce qu'il voulait. Et au bout d'un moment, Hiro ne pourrait plus se battre, il n'aurait qu'à observer la Faucheuse trancher son âme en deux et quitter le monde dans la douleur.
                C'était l'objectif que poursuivait Dylaï en ce moment.
                Rien d'autre ne lui importait. Il ne se concentrait que sur le possible cadavre du Marine. Lorsque celui-ci se mit à parler, il du être probablement surpris de ne voir absolument aucune réaction.
                Pour la simple et bonne raison que Dylaï ne l'entendait plus.
                Il n'entendait plus sa voix, ou alors ne l'écoutait-il pas. Dans le cas inverse, peut-être aurait-il su que le Suna Suna no Mi était intact et qu'il avait une chance de le recupérer et d'accomplir ses rêves... et le soulagement aurait reveillé ses plaies et le combat aurait été arrêté en faveur de l'officier.

                Mais Dylaï resta debout, inflexible, la fureur coulant dans chaque veine. Il grogna et ses deux mains se rejoignirent. Comme s'il était en position de prière. Mais il ne croyait en aucune entité surnaturelle de quelque nature que ce soit.
                Il leva ses deux mains vers le plafond et de sa bouche sortit un râle. Râle qui commença à se transformer en hurlement incroyablement effrayant. Son humanité, son amour de la vie qui le caractérisait, avait laissé place à un prédateur sauvage incapable de ressentiment, uniquement animé par la soif du sang et la vengeance. Et Hiro pouvait voir cette aura animale en lui.


                "CREPUSCULE !"

                Il abattit ses deux poings sur le sol du Leviathan qui fut secoué d'une onde de choc se déplaçant vers l'avant, propulsant les planches qui restaient sur son passage. Instantanément, Dylaï commença à prendre le bois dans ses mains et les lança avec force sur le marine à toute vitesse en hurlant.
                Il reprit les planches affutées et fit un bond sur Hiro, ses pieds ne restant qu'une micro-seconde sur le sol, comme un Lion qui court sur sa proie sans défense.


                "Mange ça !"

                Ses deux bras commencèrent à dessiner une attaque en croix pour empêcher des possibilités d'esquive vers le côté ou la hauteur. Les planches qu'il avait lancé, espérait-il, auraient salement amochés sa défense et lui permettraient de le toucher, de lui faire mal. Et même si cela ne fonctionnait pas, il réussirait toujours à l'épuiser.
                C'était le combat entre le Savant Fou et le Monstre qu'il avait crée. Le scientifique avait voulu fabriquer une créature qui n'avait plus rien d'humaine, dont il aurait détruit le psyche. Sa chose, devenue folle, voulait maintenant se venger de celui qui était responsable de son existence. Son objectif n'était rien d'autre que celui-ci, il se foutait des conséquences, de ce qu'il ferait par la suite, de tout ce que croit il avait cru, ce qui lui importait était de faire mal, de tuer. Et il n'abandonnerait jamais avant d'avoir réussi.
                Qui gagnerait ce combat de titans ?
                  Il était une fois l'histoire des Shima, une lignée de pirates impitoyablez dont la rage et la dextérité témoignaient des horreurs qu'ils laissaient derrière eux. Un beau jour naquit Hiro qui alerta la marine de la position de son père redoutable. Il lui dit un jour que les Shima était l'obscurité, celle qui faisait face à la lumière et sans cette ombre la vie ne serait point. Tout cela pour dire que le jeune homme n'allait pas s'avouer vaincu et qu'il allait enfin montrer son vrai visage. L'image d'un loup ténébreux qui n'a peur de rien même pas de la mort. La volonté de cette lignée de guerriers allait refaire surface sous les traits d'un marin qui l'eut cru.

                  Les éclairs s'abattait sur la place, de plus en plus forts. C'était assourdissant. Lorsqu'un loup a faim et qu'il se fait surprendre par l'orage. Il ne peut que se battre face à la nature. Hiro avait faim de victoire et il comptait bien terrassé son adversaire à coup de pied dans le derrière. D'un coup il jeta ses bouts de bois sur le commandant, c'était un coup difficile à parer. Il eut le réflexe de se mettre à terre comme une vulgaire crêpe. Il avait réussit à parer son coup tant bien que mal. Le jeune homme allongea ses bras et reprit les planches. Il s'affiche maintenant comme un réel détenteur de fruit du démon et montre sa force au sommet et ça allait faire mal. Qu'allait être la réaction de dylai face à son pouvoir. Un être humain était il capable de battre un surhomme ?

                  Il se releva et lança les planches. Devant lui, il y'avait son adversaire qui était à une distance d'environ cinq mètres, des escaliers qui menait à l'autre étage se trouvaient derrière Hiro. Il s'empressa de les prendre et pour cela il prit une longue avance dans ce couloir d'une soixantaine de mètres. Très long, mais où avait donc la tête ces charpentier.

                  Gomu Gomu no Rocket

                  Il allongea ses bras jusqu'à atteindre les escaliers, puis décolla laissant son adversaire sur place.

                  NA na Na ! Attrape moi si tu peux !

                  Le commandant shima rusé comme il est se dirigea sur le pont, après avoir vu ruken dans son état, il s'empressa de rejoindre une place bien plus grande pour profiter un maximum de son pouvoir. Son adversaire allait être aussi rapide pour l'empêcher d'atteindre son but. Ou allait t-il pensé qu'il avait fuit. Pour éviter toutes les incertitudes, shima cria du haut des escaliers.

                  -Rejoins moi en haut ! Dylai Ruuken misérable cafard !

                  -Je te montrerais ce que c'est qu'un Sea Wolf ! Ce que c'est qu'un homme !
                  • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
                  Un détenteur du Fruit du Démon, hein...
                  Dylaï poussa un grognement lorsqu'il vit son ennemi allonger ses bras pour réduire la distance qui le séparait, lui et les escaliers. Le Gomu Gomu no Mi... selon ses anciennes recherches, il permettait à l'utilisateur d'avoir un corps entièrement fait de caoutchouc, le rendant plus flexible que n'importe quel individu. Et aujourd'hui, celui qui l'avait mangé était l'homme dont il voulait la peau.
                  Hiro Shima se dirigeait vers le pont. L'animal fit un autre bond et se déplaça à une vitesse extrême vers les escaliers, tentant son possible pour le rattraper. Il ne le laisserait pas s'enfuir comme un lâche. Il avait encore des comptes à lui rendre.

                  Il le poursuivrait jusqu'aux confins du globe terrestre. Il n'aurait aucun repos, aucun répit avant de l'avoir retrouvé ! Aucun des deux ne pourrait dormir avant que ce conflit ne se soit réglé par le sang ! C'était ce que Dylaï Ruken se chargerait de faire... et maintenant. Bien sûr, il ignorait que son ennemi voulait déplacer le lieu du combat pour mieux profiter du Fruit du Caoutchoutier et il s'en foutait totalement.
                  Aussi, quand Hiro Shima lui lança sa provocation, il n'avait pas exactement saisi que le Monstre montait déjà les escaliers d'un pas svelte. Ses lames en bois affutées, il se retrouvait sur le pont, le regard marqué par sa haine.

                  La pluie était plus forte que toutes les pluies qu'ils avaient vus. C'était comme si le temps lui-même avait été horrifié par ce combat et montrait son malheur au monde. Le lieu du duel était régulièrement illuminé par la Foudre et par conséquent les sons du combat étaient souvent masqués par le bruit du Tonnerre. Dylaï et Hiro s'observaient, prêts à frapper.

                  Le criminel regarda ses mains qui saignaient. Il leur avait fait faire des efforts horribles lors du combat dans le couloir et se doutait bien que ses jambes avaient du morfler aussi. Bah... qu'importe. Ce serait bientôt fini. Les souffrances que subissaient son corps sans qu'il les ressente seraient bientôt achevés... et le Marine les aurait subi au centuple.


                  "Crépuscule."

                  Après avoir dit ça, Dylaï fit un sprint sur le sol mouillé, accroupi, afin de réduire les distances entre lui et son adversaire. Sa main droite armée était légèrement en arrière. Avec la main gauche, il lança un coup en ligne droite vers la tête de Hiro tandis qu'il se préparait avec la main droite à frapper au bon moment... et ce coup-là serait beaucoup plus meurtrier que le premier.
                  Un éclair illumina le ciel, répondant à la tristesse de ce duel.
                    Je commençais à fatigué sur le point psychique mon énergie se dispersait, ce n'était pas à cause de la pluie qui tombait sur nous à grande vitesse. Après une inspection général de ce bateau, après avoir combattu contre Akira Grey, j'étais extenué, normal que je ne pouvais que me défendre ou bien éviter les coups de mon adversaires. Si j'avais attaquer, j'allais surement perdre à coup sur. Quoi que la victoire était bien loin. Et voilà que j'étais face à un coriace, il m'a bien suivit, et bah dit donc, il était tenace et tenait réellement à son fruit du démon. Dommage, j'ai la clé, je suis sur le pont, tout se déroulait comme prévu.

                    Il se lança vers moi d'un coup bref, il arma sa main droite et me lança un coup sur la tête. Je l'avais bien éviter en rabaissant mon corps. J'allais cette fois tout donné, toute mon énergie, toute ma force pour une technique ultime. Un coup de bazooka en plein ventre.

                    Gomu Gomu no bazooka

                    Il était enfin proche de moi, de face, c'était une attaque dure à éviter d'autant plus qu'il attaquait en même temps. Deux coups échangé qui allait se frotter l'un à l'autre. Comme deux épées qui s’effleuraient pour créer des étincelles. Le combat était à son maximum. Une immense tension sur les deux regards qui s'échangèrent. Qui allait s'en sortir des deux.

                    Quoi qu'il advienne du résultat, Hiro Shima avait épuisé sa source d"energie et allait se mettre en mode recharge avec une technique qu'il avait déjà montré. Le gomu gomu no boohh. Cette fois ci il ferma les yeux et se laissa aller, espérant au plus profond de lui que des renforts interviennent, notamment les hommes de mains des sea wolfs. Ses soldats entraînés pour des coups à la douce.

                    * Félicitation Dylai, tu m'a eut à l'usure, je t'auais la prochaine fois, je serais prêt et je serais en pleine forme*

                    C'était la vrai nature d'un être humain, interprété différemment par deux personnages ayant une vision des choses qui n'était pas la même. On peut dire que l'être humain n'existe pas, et en disant cela, c'est en précisant l'humanisme, le fait de pardonner, d'aider et autres. La justice est différentes de chaque et quand elles s'affrontent ça donne le combat précédent, maintenant la question est: Hiro va t-il pouvoir avoir la volonté de continuer ou bien tout simplement se laisser aller par le destin ? Celui qui nous jouent des tours en nous montrant au fil de la vie ce qu'on est vraiment et ce que l'on peut être.
                    • http://oprannexe.onepiece-forum.com/t296-
                    Il y eut un grand bruit.
                    Le résultat du choc entre le Gomu Gomu no Bazooka et le Crépuscule. L'onde qui en résultat détruit une bonne partie du pont du Leviathan. Dylaï fut projeté en arrière, grognant. Il réussit tant bien que mal à se rattraper et atterit sans trop de dommages sur le sol glissant. Il voyait devant lui, Hiro qui avait fermé les yeux... il était épuisé.
                    Enfin.

                    Il avait gagné. Il avait réussi à avoir cette enflure. Et maintenant, ils étaient tous les deux sur l'échafaud. Dylaï était le Bourreau et Hiro le condamné.
                    Il se mit à rire, un rire suraigu en signe de victoire. Il leva les mains au ciel, les yeux fous, en marchant lentement vers son adversaire. Le choc avait du lui fracturer quelques os, mais il s'en foutait ! Il allait enfin venger Cortez... il allait enfin venger la perte du Suna Suna.
                    Il prit Hiro par le col et, riant, le plaqua au sol. Il mit son pied sur son ventre afin d'empêcher toute fuite gênante et prépara sa main droite qui avait toujours le bois tranchant.

                    Cela ne serait pas long, non, il allait juste lui transpercer le coeur. La mort était maintenant sa seule et unique destinée.


                    "C'EST FINI !"

                    Il leva bien haut la planche affutée et se prépara... puis, soudainement, avec pour seul témoin Zero, caché dans les escaliers, un rictus sur le visage, il abattit son arme droit sur le coeur du Marine, pour une attaque mortelle.
                    ...
                    Puis il se rendit compte.
                    Il eut soudainement un air choqué sur le visage. Il voyait. Il voyait le décor apocalyptique, le pont détruit, le jeune homme à terre épuisé. Il ressentit la douleur de ses os fracturés, de ses mains pissant le sang... et surtout, surtout il comprit qu'il était en train de faire un geste pour tuer quelqu'un.


                    "Mais qu'est-ce que..."

                    Il arrêta son action pile-poil au dessus du corps du Marine. C'était lui qui faisait ça ? Lui, l'homme qui s'était juré qu'il changerait le monde par amour ? L'homme qui voulait créer un monde meilleur, sans barbarie, sans cruauté, plus égalitaire ? Il faisait un geste de violence pure envers un autre homme, comme le plus sauvage des animaux.
                    Hiro put sentir couler sur lui un liquide chaud, différent des gouttes de pluie. Ce n'était pas exactement sûr qu'il soit conscient, mais s'il était, il aurait compris que Dylaï était en train de pleurer.
                    L'écharpe tomba du visage du criminel. Si Hiro avait les yeux ouverts, il aurait pu voir son corps calciné, qui ne possédait plus aucune peau en train de pleurer d'un air choqué.


                    "Mais qu'est-ce que je suis en train de faire... ?"

                    Horrifié soudainement par sa propre monstruosité, par sa propre haine, Dylaï fit plusieurs pas en arrière, lâchant le bout de bois qui tomba sur le sol. Il tremblait. Il tremblait de tout son corps. La rage avait laissé place à la peur. La peur de soi-même, de ce qu'on était en train de devenir.
                    Puis Dylaï courut. Il quitta immédiatement le Leviathan et se dirigea d'un pas forcené vers le port. Zero poussa un cri de rage et décida de disparaître du coin pour le moment, ses actions l'ayant définitivement grillé ici.

                    Le criminel courut. Il ne savait pas si quelqu'un le suivait ou l'observait. Et il s'en foutait. Il comprenait maintenant qu'il n'était pas digne de combattre ce en quoi il croyait.
                    Si n'importe qui était présent sur le Port en cette nuit, il aurait pu voir un étrange individu courir vers l'eau et se jeter à la mer.

                    Dylaï Ruken avait été avalé par la tempête.
                      Au moment où le jeune homme perdit à peine conscience, il sentit le choc causé sur son dos. Le pont avait été presque ravagé et l’intérieur encore plus. L'être humain était complexe, il n'était certes pas parfait mais était parfois rempli de bonté, il fallait juste savoir ouvrir son coeur. Savoir pardonner et ravaler sa rancune, comprendre l'autre. Soudain il ouvrit les yeux, le destin était plein de mystère et aimait joué de l'homme. Il aperçu Dylai qui s'apprêtait à plonger. Un acte désespérer, que le commandant allait arrêter. Et pendant un court moment il se mit à la place de son adversaire et comprit les enjeux.

                      Il vit le tas de ferraille debout entrain de crier de rage, peu importe il allait s'occuper de lui et comme fut sa promesse à soit même, il allait le transformer en boite de conserve. Il sortit l'écharpe de sa poche et courut épuisé puis sortit du léviathan, il suiva le jeune homme et il le regarda s'apprêter à sauter en mer, tentant un coup de folie, hiro essaya de le rattraper en allongeant au maximum ses bras d'environs une cinquantaine de mètres...C'était au dernier moment qu'il saisit dylai et le retira des mains de la mort.

                      Il s’essaya prêt de son ex adversaire et lui parlant d'un ton calme en le regardant sincèrement dans les yeux et en lui donnant son écharpe. Un geste symbolique en signe de pardon.

                      -Bon je sais pas ce que t'a contre la marine ou le gouvernement et cette histoire d'enfants emprisonné, j'y suis contre ! Après je peux être qu'un petit pion, mais lorsque j'atteindrais le rang d'amiral tout changera. Maintenant voilà je t'offre une chance de te racheter et de me faire pardonner.

                      -Sans rancune. Que dit tu de bosser ensemble, croit moi pour changer les choses, il faut être à l’intérieur et non à l’extérieur.

                      -Je vois tous les jours des innocents se faire tuer par des pirates et ma justice à moi, c'est une justice altruiste. En ne tuant aucun pirates, aucun criminel et en fondant une justice avec un procès pour tous et une enquête et le droit de se défendre, ce rêve là, c'est la première fois que je le dis devant quelqu'un et ce ne sont pas des balivernes.

                      -Va falloir de solides preuves pour détruire toute la pourriture qui oeuvre pour le mal, c'est un travail dure, maintenant je te tend ma main, libre à toi de la serrer ou non. Pour ton fruit, il est bien gardé et sera archivé. Maintenant c'est à toi de choisir entre la manière facile ou la difficile...

                      Les mots du jeune commandant se termina avec un sourire de sympathie, comme quoi l'être humain peut montrer diverses facette et celle qu'il affiche n'est pas forcément la vrai. Un conseil, ne vous fiez pas aux apparences. Dylai avait le choix, continuez à être un criminel et faire bouger les choses de l’extérieur ou bien oeuvrer pour le bien et faire dégager la pourriture qui se trouve dans la marine et ainsi agir à l’intérieur.
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