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[FB] La réputation de l'ingénieur.

C'était le 15 Juin 1624, West Blue archipel vert, Nakano était arrivé bon gré mal gré sur ces petits bouts d'îles paradisiaques il y avait quelques semaines de cela à court d'argent et de ressources ses pérégrinations l'avaient mené tout droit vers cet endroit qui semble il avait besoin de renaitre de ses cendres...

Après un début de voyage en solitaire plus ou moins tranquille, Nakano avait déjà eu l'occasion de rencontrer un ou deux pontes sur les blues et avait déjà bien rôder sur les mers. Il n'avait pas encore fait parler de lui ne commettant alors que de menus larcins par-ci par-là et de manière complètement spontanée, le voyage en solitaire commençait à ronger un peu son moral et ses ressources personnels fondaient comme neige au soleil... Il lui fallait donc trouver vite un point d'ancrage où il pourrait « Utiliser son génie pour se refaire» et croyez le ou non mais ce point d'ancrage s'avérait être l'archipel vert sur west blue... Choix judicieux? Je ne pense pas que ce soit vraiment le terme approprié, effectivement l'absence de force de la marine était sympa pour monter un business rentable ou pour mettre à sac quelques citoyens malchanceux, mais la vérité était que cette île semblait avoir souffert d'une sorte de cataclysme, le climat et la beauté des panoramas locaux donnait à cet endroit un air de paradis sans force d'oppression ,mais il semblait que les habitants avaient été profondément traumatisés, ils erraient tous dans une ville ou çà et là on pouvait encore voir des baraques en ruines ou réduit en gravats, on pouvait presque imaginer la fumée s'échapper des tas de gravats... Improductifs las et déprimés les habitants étaient semblables à des spectres plongés dans une dimension parallèle.

A la vue d'un tel chantier et d'une telle improductivité l'âme du jeune génie s'embrasa, cette ville...Tout ce potentiel gâché pour une raison qu'il ignorait ça le mettait dans un état de colère intense, lui avec son génie ses compétences et sa motivation redonnerai splendeur et mettrai la main sur cette ville ! C'était décidé il n'y avait pas à chipoter davantage il en était capable, mieux nul autre ne semblait être plus homme que lui à améliorer la situation de cette bourgade désolée. Ses premières actions consistèrent à aller vers la taverne du quartier, ou plutôt ce qu'il en restait, le bâtiment était mal reconstruit et bien que rempli par quelques péquenots aux regards vides, personne ne consommait, le barman lui-même faisait briller des verres inutilisés encore et encore, tous eurent de la méfiance pour Nakano dès son arrivée ; les habitants de cette île semblaient hostiles à tout contact extérieur ; et quand, dans le but de s'humecter le gosier, Nakano demanda un rafraîchissement alcoolisé le barman terrifié déclara à demi mot qu'il ne servait plus d'alcool que la machine à bière pression ne fonctionnait plus ainsi que la distillerie le jeune mécano explosa littéralement...Sautant sur le comptoir pour avoir une tribune publique et attirer l'attention il s'exclama de sa voix aigue:

« Bon ! Bande de chiffes molles dégénérées, mous du bulbe que vous êtes je n'sais pas ce qui vous arrive et je m'en balance ,mais là la monotonie de cette ville m'agace! Je vais vous botter l'arrière train si fort que vous allez enfin vous secouer les miches, comprenez c'que j'dis?!»

Les clients écoutaient d'un air hagard et las ce que pouvait débiter cet étrange nain moustachu qui faisait irruption dans leur quotidien morose, mais quand ils virent que ce dernier passa derrière le comptoir pour bricoler la machine a bière certains recouvrèrent l'espace d'un instant une lueur d'espoir dans le regard. Après une minute ou deux on put revoir surgir le petit bonhomme sur le comptoir qui déclarait fièrement alors que le barman semblait complètement soufflé:

«Bon ce n'est que de la bière mais y'a qu'ça d'consommable les gars, ceci est une tournée générale et après ça j'irai voir la distillerie derrière ce bouge et on relancera le commerce patron, faites passer le mot les glandus ! Je peux tout réparer ou construire contre services ou argent et j'ai du temps devant moi. Patron, j'revendique le fait de consommer gratuitement et de crécher dans une de vos piaule les gens pourront me trouver fastoche ici...»


Il parlait avec autorité, mais savait qu'un simple geste comme ça pouvait réellement lui permettre de remettre du baume au coeur à ces citoyens décrépis et usés qui semblaient attendre la mort minutes après minutes... Et si ça ne suffisait pas... Et bien gageons qu'au moins ils auront de quoi imbiber leurs foies jusqu'à la fin.


Ainsi donc le message était passé... Le quartier reprenait vie au fil des jours, sans cesse on apportait des babioles, on nécessitait l'aide du jeune artisan un peu partout, il retapa quelques maisons et commerces, cependant sans doutes avait-il vu les choses en trop grand, certes le quartier avait reprit un semblant de vie et les gens avaient perdu toutes traces de méfiance pour le moustachu ,mais dans son esprit il s'imaginait qu'au bout de quelques jours de travaux la ville serait resplendissante de beauté trop de travail pour un seul petit bout d'homme probablement. Bon il y avait du positif la réputation de l'ingénieur s'était rependue sur les îles avoisinantes « Un p'tit bonhomme atypique fait du neuf avec du vieux sur l'archipel vert!» Disait-on, «Ce petit gaillard a de l'or dans les mains il répare tout!» ainsi donc quelquefois la ville accueillait des visiteurs qui amenaient leurs biens les plus précieux en quête d'un réparateur qualifié qui quant à lui se faisait un bon paquet de monnaie pour tous ces services rendus... Désormais possesseur de son propre atelier «Chez Nakano» qu'il avait battit avec deux ou trois bénévoles il passait son temps libre à dessiner des plans pour des inventions, son fidèle faucon mécanique ne quittant jamais le toit de la bâtisse assurant une surveillance quasi-constante.

Cependant, en ce beau jour du 15 Juin 1624 un habitant vivant proches des quais se ramena en toute hâte au centre-ville, hurlant à s'en décrocher les poumons
:

« Pavillon pirate en approche fuyyyezz!!»


Nakano sortit sa tête de ses plans à l'écoute de ces hurlements et pressa un bouton sur ses lunettes pour avoir la vision vers l'extérieur via son faucon mécanique toujours posté sur le toit :

«ouhouuuouuhhh hmmmm intéressant...»
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Jeu: Rei Kimura

Milieu d'année, 1624

17h00
Cela devenait une habitude. Je passais assez régulièrement sur cette île sans Marines. Baignant dans une certaine tranquillité, les pirates pouvaient exercer leur commerce illégale à plein temps sans se souiller des autorités mondiales ou même locales. Je venais donc souvent ici pour mes petites affaires personnelles.

Cela allait être une de mes dernières étapes avant de recruter du monde et ainsi, pouvoir quitter les Blues. Disons que je souhaitais récupérer beaucoup de biens que j'avais entreposée, ici. Je me servais d'une boutique de commerce un peu comme je le désirais. Les civils étaient facilement manipulables, ici. J'entreposais depuis pas mal d'année sur l'Archipel Verte quelques produits dont j'estimais inutile sur mon navire pour le moment.

Mon navire accosta au port sous la panique des villageois. Je demandai à tout le monde de rester à bord, car j'en avais pas pour longtemps. Je me dirigeai alors dans la rue principale. J'avançais avec fierté. J'arrivai enfin jusqu'à destination. Il y avait un bar miteux juste en face de là où j'allais. J'avais l'impression d'être guettée... Je ne fuis pas plus attention et j'entrai sans dire bonjour. Le plancher grinçait sous mes pas. L'homme au comptoir me reconnait aussitôt. Il n'osa pas trop prendre la parole. Il attendait peut-être mes instructions.

- Je veux juste mes affaires et je repars comme je suis venue.

Seulement, je voyais que le mec était apeuré alors que je ne l'avais pas encore menacé. C'était anormal. Il voulait certainement me cacher quelques choses au sujet de mes biens. Je l'interrogeai donc.

- Ne me dis pas que tout ce que j'avais stockée chez toi ne sont plus là! Gare à toi si c'est le cas, car tu en payeras de ta vie.

- Ne me tuez pas, je vais tous vous expliquer.

Je lui fis montrer mon impatience et mon autorité.

- Et bien parle!

- Je... C'est que... Ce sont des pirates qui ont fait ça... Ils ne m'avaient pas laissé le choix. Ils sont tout pris...

Il m'agaçait déjà. Je levai les yeux vers le haut d'un air de celle qui s'en foutait. Qu'on l'avait volé ou pas, j'en avais rien à faire.

- Je vous assure, madame. Ce sont les Saigneurs qui ont fait le coup. Ils sont très renommés, vous devez certainement les connaitre...

- Ça m'est complètement égale. Ce que je veux, c'est mon dû. Tu ne vas pas me dire qu'ils n'en sont pris qu'à mes affaires, car là je vais plus être furax. Je te découperais en morceaux pour montrer l'exemple.

Alors que j'élevais la voix, quelques courageux ou fous s’acculaient autour de la boutique pour ce que je faisais. Ils savaient que j'étais là. Parmi eux se trouvait un nain à mouchetasse. Il y avait trop curieux pour moi. Je prenais le propriétaire de la maison par le col et je le ramenais vers moi, faisant tomber les objets qui se trouvaient sur le bureau.

- Je t'écoute.

Le pauvre bonhomme n'osait pas trop. Il connaissait la sentence que je lui réservais s'il me mettait en pétard.

- C'est-à-dire... C'est...

Je lui donnai une claque pas trop méchante pour le défigurer, mais juste assez pour comprendre qu'il devait se presser. J'étais très impatience.

- Ils se sont pris seulement à vos affaires...

- Quoi?!

- Pitié!!

L'incompétent se tordait dans tous les sens, il ne voulait que je le lâche. J'en avais plus besoin. Vivant ou mort, il n'allait pas me faire retrouver mes effets personnels. Il était temps que je trouve une planque beaucoup plus secrète! Il pouvait y avoir des fuites, ici...

Je repris mon calme et d'un ai complètement posée, je lui dis sèchement.

- Tu es obsolète...

Je jetai ma victime à terre en direction de la porte. En se cognant, l'imbécile roula jusqu'à l'ouverture dans des cris de douleur. Les gens qui observaient tout autour reculèrent sous l'effet de l’inattendu sauf un. Je sortis de la boutique et donna un coup de pied sur le corps recroquevillé à moitié inerte. Il n'osait plus bouger, sûrement. Au moins, ça faisait du spectacle à la rue. Pour cette affront, je ne pouvais pas lui faire une mort rapide. Non, non, il devait subir une terrible agonie pour ça! Il avait la chance de se donner en public, ahahah. Je sortis ma gunblade et du bout de ma lame, je transperçais sans scrupule la pauvre chose dans le bas du dos. Il souffrait péniblement et il criait. Je m'adressais à la foule.

- Qu'est-ce que vous regardez, vous autres? Vous n'avez pas d'autres chats à fouetter?? Tu veux être le suivant, c'est ça?

Quelques personnes reculaient alors. D'autres, préféraient vivre encore en s'en allant.


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Sam 29 Sep 2012 - 18:25, édité 2 fois
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A la suite des hurlements horrifiés du jeune homme sus-mentionné, plusieurs autres personnes avaient pris paniques et nombreux furent ceux qui prirent la clé des champ pour aller se cloîtrer dans leurs demeures respectives

Nakano pouvait clairement discerner ce qui se passait du point de vue de son faucon, au beau milieu de la rue, seule, une femme marchait drapée d'un long manteau rouge et d'un air terrifiant. Elle se pavanait avec fierté et confiance, son total manque de prudence louait son courage même si tout était relatif car sur cette île pour un ou une pirate les menaces n'étaient pas bien nombreuses, cette dernière s'arrêta dans un commerce qui était dans un état pitoyable lorsque nakano eut pointé le bout de sa truffe et qu'il avait retapé contre un bon paquet d'argent . Un client apeuré avait fait irruption dans la bicoque qui appartenait au petit génie, complètement affolé ce pauvre type avait agis spontanément, Nakano entrepris donc de le questionner:

"OOOuuuhh mais qui voilà donc dans mon humble commerce, jeune homme si vous n'achetez rien je vais vous demander de quitter les lieux, quelle est la raison d'une telle frayeur ?"

Après un sursaut le citoyen entrepris d'expliquer entre deux gloussements qui était la pirate en question

"Il y a dehors une femme terrifiante qui vient parfois sur notre île,Rei kimura "la sanguinaire", mon dieu je hais les pirates, elle se sert de certains d'entre nous comme défouloir ou comme banque elle và et vient au gré de ses envies elle est vraiment terrifiante...Bon dieu les choses s'arrangeaient enfin et voilà que àça merde à nouveau! ARRGGHH on peut vraiment rien faire de..."

Nakano laissa s'abattre sur le crâne du paniqué un bon coup de clé à molette

*Bon dieu une petite sieste le calmera, j'ai en horreur les gars comme ça... S'il est faible au point de trembler comme une feuille à la moindre bougresse passant par là, il n' aura jamais finis de trembler, bon bon... Je vais aller voir de mes propres yeux cette fameuse pirate si terrifiante qui boulverse le semblant de calme que ma ville avait enfin recouvrer*

En réalité Nakano était piqué au vif, cela faisait déjà deux bonnes semaines qu'il séjournait dans cette petite ville et il lui avait rendu un petit peu de sa superbe, certaines personnes étaient presque souriantes et on venait le voir pour tout et pour rien, les citoyens le tenaient en haute estime...Et cette malvenue venait foutre le boxon dans SA VILLE, ça ne pouvait pas se passer comme ça.... Il enjoignit le pas donc à cette femme et s'arrêta devant le commerce en question d'où l'on pouvait parfaitement entendre les vociférations et le fracas que provoquait sa venue, quand alors le proprio fut projeter pour une histoire d'argent volé, tout ce remue ménage avait fait s'attrouper quelques courageux autour du point chaud, le proprio dérouillait sec et enfin Nakano pu l’apercevoir de vives yeux... Elle était grande et belle et fusillait d'un regard terrifiant le pauvre commerçant qui se tordait de douleur avant de l'achever à la vue de tous avant de proférer des menaces à la petite troupe qui observaient effarée ...Tous reculèrent en coeur sauf le petit Nakano qui souriait, sur un de ses verres de lunettes des variantes s'affichait calculant les mensuration de la dame sanguinaire lui faisant face, le sourire aux lèvres il déclara:

"OOOuuuhhh OOOuuhhh amusant, terrifié des pauvres hères sans défense ? Est ce là tout ce dont est capable la grande pirate sanguinaire que tu es? Voir tout ces pauvres gens complètement terrifiés face à une seule charmante femme voilà ce qui a le don de m'agacer... Je prévoyais de redonner à cette ville une belle allure et de me l'approprier entièrement mais être le berger de moutons aussi faibles n'as vraiment rien d’intéressant, ce qui m’intéresse c'est cette arme que tu porte... Ce bel alliage la formation de deux armes en une seule je serai ravis de rencontrer la personne qui à inventer une telle chose, même si il n'arrive surement pas à la hauteur du glorieux inventeur que je suis..."

Nakano aimait beaucoup entamer de long monologue il agitait ses petits bras à mesure qu'il parlait, tandis que son faucon volait au dessus de la scène. Las du train de vie monotone qu'il avait pris en venant ici il rajouta:

"Enchante je suis Nakano le mécano le plus réputé des environs, Rei Kimura c'est ça ? Une chose est sure tu m'as clairement fais comprendre une chose je m'y prenais mal avec cces citoyens ils sont irrécupérable j'aurai du prendre tous ce que je voulais et me barrer un peu comme tu le fais...Tu m’intéresse et je me demande si je dois tester ta force ou simplement revendiquer le fait que je vais servir temporairement une si magnifique et terrifiante femme ? Dans les deux cas mes compétences sont probablement largement suffisantes, alors qu'en dis tu belle créature?"

Il avait dégainer une clé à molette d'une de ses poches au cas où et se tenait prêt, la scène était frappante, d'un côté une belle femme pirate connue et terrifiante se tenait droite avec lame fraîchement ensanglantée, de l'autre un petit gars d'un mètre trente avec afro et moustache clé à molette sortie en guise d'unique arme...Que pourrait bien donner la conclusion d'une telle situation ?



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Alors que j'enfonçais sauvagement ma lame dans le corps de ma victime, le nabot qui était resté m'adressa la parole dans une sorte d'affront, mais en même temps avec un air qui m'amusait. Il fallait oser pour me parler ainsi. Sur le coup, je voulais répliquer, mais il se remit à débiter un autre monologue. Je l'écoutais attentivement, c'était vrai qu'il était rigolo. J'avais presque envie de rire. Je lui répondis donc après avoir soigneusement fini mon travail. Le sang du marchand giclait de partout. J'entendais encore suffoquer le type. Je soulevai ma gunblade, toujours avec l'homme à moitié mort accroché dessus.

- Je devrais te tuer pour me parler de la sorte. Mais je te laisse une chance, car je sens que tu me vas être utile, toi qui revendique des savoir-faire. Quant à mon arme, je te l'interdis de la toucher. Du moins, pour le moment. J'ai tout de suite compris ton petit manège. Tu espères pouvoir intégrer mon équipage? Sais-tu au moins que je ne prends pas les minables et la vermines? Mais puisque tu me tiens tête, je vais considérer cela comme une qualité. Je fermerais donc les yeux pour cette fois.

J'invitai alors le petit homme à rentrer dans la boutique sinistré d'un mouvement de tête. Je fermais soigneusement la porte et je continuais à parler. Je me dirigeai derrière le comptoir.

- Tu as vraiment de la chance que j'ai besoin d'un mec de ta trempe, petit. Si tu rentres dans mon équipage, sache que je te donnerais beaucoup de boulot. Si j'ai bien compris, tu peux réparer pal mal de choses et en particulier les armes? Si c'est bien le cas, je vais t'engager sur le-champs. J'aime bien ton arrogance et je t'assure qu'il en faut pour me tutoyer comme ça.

Je fouillais la caisse et ramassai l'argent déposé. Sans regardai Nakamo, je m'exclamai.

- Regarde-moi! Il a été payé pour se taire ou quoi. Tu as vu tous les billets?

Je lui tendais les liasses. Je lui demandai ensuite de trouver un sac et de les foutres dedans. Je lui dictai après quelques ordres tels que de me prendre les objets de valeur et les armes possibles. À défaut de partir sans mes affaires, je comptais reprendre la mer avec les mains pleines. Et pour cela, je dévalisais ce qui pouvait être utiles pour mon navire.

- Si tu trouves des bricoles pour ton plaisir personnel, je t'autorise. Un génie se doit de tenir son activité permanente. Quant à moi, je vais faire un tour à l'arrière boutique.

Je savais maintenant, que ce n'était le genre d'individu à prendre la tangente une fois le dos tourné. Mine de rien, je lui faisais déjà confiance. De toute manière, s'il osait me faire faux bond, je lui ferais payer. Avoir un mécanicien dans un navire m'était très utile. Je me sentais comme un déesse qui réclamait son offrande pour apaiser sa colère...

J'entrai alors dans l'arrière boutique. Des cartons et des caisses étaient entreposées le long des murs. À première vu, il n'y avait rien d'intéressant. À part avoir de la thune, le propriétaire, n'avait rien de particulier qui m'était agréable. Peut-être ce mini canon portatif? Il n'y avait décidément rien. Je claquai la porte. Je regagnai la sortie et je demandai à mon nouveau nakama s'il avait des affaires à prendre. Certainement.

- On va mettre ça dans le sac. Dis-moi, toi qui prétend avoir une grande réputation sur cette île, j'imagine que tu as dû accumuler pas mal d'argent, non? Aller hop! Emmène-moi là où tu logé.
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Ainsi donc les petites provocations du jeune mécano avaient fais mouche... Bien qu'aux premiers abords passablement agacée, prenant même la peine de finir le pauvre marchand sans piper mot. Elle sembla raviser son jugement invitant le moustachu a entrer un moment tout en lui faisant comprendre qu'il ne fallait pas pousser trop loin l'arrogance avec elle. Semblable à un vrai zébulon elle fouillait partout, semblable à une chipie en pleine période de solde Nakano lui restait silencieux c'était à la jeune femme de parler et il ne contait pas l’interrompre... Qui plus est cette dernière affirmai que Nakano avait l'air d'être l'homme qu'il lui fallait pour son équipage, là c'était quitte ou double si jamais les compétences du mécano ne la satisfaisait pas alors on pouvait supposer qu'elle lui ferait ravaler ses paroles. Elle lui tendait des broutilles par ci par là l'invitant à les stocker et à trouver de quoi satisfaire ses envies:

"Je te remercie mais 'jai absolument tout ce que je désire il n'y a rien dans ce tas de babioles qui ait de la valeur à mes yeux"

A mesure qu'il l'observait, plus il mesurait le pour et le contre de sa proposition cette femme semblait insouciante au possible mais aussi terriblement confiante en elle, probablement était-elle impulsive mais au moins elle semblait partagé avec Nakano tous ce qu'elle veut elle semble faire en sorte de l'obtenir, était-ce là une mentalité partagé par tous les pirates?Une chose tracassait cependant l'ingénieur

*Cette femme est comme moi, soumise à rien et à personne et encore moins aux stupides lois de ce monde mais, elle pouvait facilement piller cet endroit sans tuer le proprio et simplement le corriger, est ce là la démonstration de la puissance brute et animale il me faut étudier et comprendre çà*


Après avoir fait le tour du propriétaire et visiblement déçu elle demanda au p'tit bout d'homme de la conduire dans son chez lui pour rassembler ses affaires et argent:

"Oui j'ai pas mal d'argent que j'ai accumulé très rapidement ici grâce à mes géniales compétences ma chère, allons-y! Je vais cependant laisser certains plan et inventions ici ça me fera un point de chute."

Tous deux allèrent "Chez Nakano", le faucon qui n'avait eut de cesse de planer au dessus du binôme se posa sur le toit à son coin habituel. En cet endroit régnait une atmosphère particulière étrange qu'appréciait particulièrement Nakano, les murs étaient saturés de plan terminés ou non, partout des inventions excentrique étaient éventrées, on entendait sans arrêt le bruit des engrenages en activités avec un sourire emprunt de fierté Nakano ouvrit les bras en grand en déclarant :

"Voilà! L'ensemble de mon oeuvre en une semaine d’activité. Bien entendu je laisse la plupart de ses bidules je ne vais prendre que ce que j'estime nécessaire, les matières premières l'argent et quelques plan qui m’intéresse, je suis heureux de repartir en mer à dire vrai le voyage en solitaire me pesait et cette fois ci c'est accompagné d'une charmante femme que je reprend la mer,Nakano glissa un petit regard discret vers la dame en rouge, j'ai simplement une demande certaines de mes créations rencontre un soucis logistique car elles sont trop ambitieuses vis à vis des moyen énergetique dont j'ai à ma disposition...J'en parlerai plus une fois à bord, j'ai fais le plein alors, si vous le voulez bien capitaine, fichons le camp d'ici sans plus tarder..."




Dernière édition par Nakano le Ven 10 Aoû 2012 - 2:27, édité 1 fois
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J'étais très impressionnée par la qualité et la manière dont l'ouvre qui faisait la fierté de Nakamo était faite. C'était très intéressant. Mais qui pourrait habiter là? Je ne pourrais jamais dormir dans un endroit pareil. Les pistons qui faisaient du chahut tous les quinze secondes et les engrenages qui grinçaient continuellement me donnaient mal à la tête. Bref, j’admirais seulement. Je réfléchissais où je pourrais installer ce petit génie. Tout le navire était plein. Peut-être la dernière cale... Il fallait à tout prix un deuxième navire et j'avais déjà ma petite idée pour un trouver un. Je craignais que mon chère nakama puisse trouver le bonheur pour l'instant. Mais une fois qu'on sera sur Grande Line, je pourrais affirmer avec certitude que le plaisir de mes hommes seront garantis...

Plus je restais en compagnie du nain, plus j'en apprenais sur lui. C'était mon côté Aoi qui faisait que je l’analysais en silence. Il semblait être le genre de type lèche-botte. Je me demandais s'il s’entendrait bien avec mon fils... Au final, j'avais gagnée un matelot à la place de mes affaires personnelles. Alors que j'observais le tout d'un air curieux, il me demanda une sorte de requête. Je n'étais pas contre, mais cela m'en fit venir à lui questionner, car je devenais de plus intéressée. Je cherchais à produit des choses qui m'étais bien au de-là de mes compétences. Mon père m'avait certes, appris beaucoup de choses dans bien des domaines différents, mais il fallait dire que tout ce qui était mécanique m'étaient assez méconnu. On ne pouvait pas tout apprendre. J'avais quelque notion, mais sans plus.

- Mais dis-moi. Quel genre d'énergie as-tu besoin pour faire marcher tes machines? Car si t'en viens à en manquer et que tu veux que je te fasses le plein, faudra m'en dire plus.

Il m'invita à sortir, ce qui était pas plus mal. J'avais un léger mal de crane. Ça me faisait du bien. Mes courses étaient finies, je n'avais plus qu'à rentrer avec mon mécanicien. Plus le temps passait, plus je me sentais plus naturelle. De toute manière, après quelques heures à bord de l'Inferno, il connaîtra ma véritable identité.

On se dirigea alors vers le port. Je laissai Nakamo avec l'équipage après lui avoir indiquée où mettre ses affaires et on prit le large. C"était une rencontre rapide et efficace. J'étais sûr de ma marchandise. Mes enfants me demandèrent si la chasse était bonne. C'était le cas, héhéhé. Mes nakamas, quant à eux, regardèrent de loin le nouveau-venu, mais au bout d'un certain temps ils l’acceptèrent parmi eux. On avait posé les bricoles du mécno dans la deuxième cale provisoirement. J'indiquai une dernière chose au nouveau camarade.

- Il y a quelques règles à tenir, ici. Elles ne sont pas méchantes, mais elles sont importes et primordiales. Je pense que tu seras capable de tenir cet engagement en échange de ma bienveillance, n'est-ce pas?

J'allais rentrer dans la cabine. Je repris alors.

- Et autre chose. Sais-tu réellement qui je suis?


Dernière édition par Aoi D. Nakajima le Ven 10 Aoû 2012 - 13:00, édité 2 fois
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La petite démonstration avait sans doute fait mouche la jolie capitaine semblait se détendre à mesure que le temps s'écoulait, paraissant même prendre à coeur la petite demande de l'ingénieur:


"Je parle là de source d'énergie énorme, pour tout ce qui est énergie primaire j'ai toutes les astuces nécessaires pour <> pas d’inquiétude."

Ils prirent tous deux la porte et se dirigèrent de concert vers le port où le moustachu pourrait voir son nouveau moyen de locomotions ainsi que ses nouveaux camarades. Il ne pipait pas mot mais éprouvait une grande excitation de pouvoir se confronter à eux de rencontrer de nouvelles personnes tout cela stimulait son esprit fécond pour de nouvelles inventions excentriques au possible,. Les regards discrets des habitants vers le petits binôme était tout aussi appeurés qu'intrigués, après tout Nakano avait gagné leur confiance et le voilà qui s'en allait bras dessous bras dessus avec un parangon de terreur sans doute se sentaient-ils profondément trahis, mais Nakano espérait qu'ils pourraient comprendre que le pire était passé et qu'ils retiendraient le meilleurs de ce qu'il leur avait offert... Et au pire il leur avait laissé sa maison avec un bon nombre de plans authentique signés Nakano, peut être un jour vaudront-ils une petite fortune ?

La présentation face au reste de l'équipage qui était plus que mitigé à la vue de ce pittoresque nabot fut extrêmement brève, on installa l'inventeur dans un coin de la cale où il dispersa ses affaires dans un bazar monstrueux en Vingts secondes, un sourire aux lèvres l'aventure pouvait continuer, voilà que pouvait commencer l'épopée de Nakano l'inventeur pirate.
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