Il était devenu mon meilleur ami surtout parce qu’il ne me brimait pas quand comme les autres enfants. Un peu comme s’il savait ce que je pouvais ressentir. Au début, vu que je ne pouvais pas sortir de la demeure de mon maitre sans sa présence, il venait et on discutait d’un peu de tout et de rien, on faisait connaissance quoi. On apprenait aussi doucement ce qu’on voulait faire dans un avenir proche... C’était des moments simple et paisible, mais c’était des moments agréables que je passais car ce n’était pas simplement mon meilleur ami, c’était mon seul ami et à cette époque c’était vraiment important pour moi...
Alors que je devais avoir 10 ans, je devenais assez grand et courageux pour une fois la nuit tombé faire le pont et quitter la demeure de mon maitre pour jouer des fois toute la nuit avec mon ami Kenichi. On s’amusait surtout à jouer au marine et au pirate, on s’entrainait donc surtout à se battre, mais pas pour devenir Pirate, mais bien pour devenir membre de la marine... Enfin, c’était surtout l’idée de Kenichi, mais je voulais avoir à ce moment-là le même rêve car je trouvais que ce qu’il disait était... Beau...
On était sur un toit en hauteur qui ne permettait de voir une grande partie de la ville et la mer à perte de vu quand il me disait ses quelques mots.
Ken : Tu sais Matsu, je veux devenir un puissant soldat et même devenir amiral. Car une fois amiral, je pourrais faire en sorte que le monde change, qu’il n’y a plus d’enfant orphelin qui souffre de la faim et aussi pour que des gamins comme toi ne soit plus esclave.
Yumi : Hey ! Je n’ai que trois ans de moins que toi... Mais tu as raison et tu sais quoi ? Je serais comme toi, je vais faire en sorte de me libéré de mes liens d’esclave et devenir un soldat de la marine, je ferais en sorte que des enfants comme nous n’existe plus. Que tout le monde soit sur un pied d’égalité.
C’était comme ça que notre envie de devenir Marine commençais, pendant environs trois ans on s’entrainait et on jouait pour devenir plus tard des soldats de la marine, mais quelques mois après mes 13 ans, des évènements s’enchainait et provoquait le drame de ma vie. Comme beaucoup de nuit je quittais en cachette la demeure pour rejoindre Kenichi, mais ce jour-là au lieu de faire ce que nous faisions habituellement, il m’expliquait qu’il avait découvert quelques choses.
Ken : J’ai découvert un groupe de criminel prêt des ports, je n’ai pas entendu tout ce qu’ils se disent, mais si on va là et qu’on les prend la main dans le sac on peut accélère notre entrer au sein de la marine. T’en pense quoi ?
Yumi : Je ne sais pas, si on apprend que je me trouve là-bas, je risque de passé un mauvais quarte heure.
Ken : Pas si on les arrête. La marine pourra te libéré de ses chaines et ta mère en aussi pour un aussi gros filet.
Yumi : Tu crois... Tu as raison, on va devenir des héros et maman et moi on sera libre... On y va.
Kenichi et moi on se trouvait sur le toit d’un hangar, on observait avec discrétion le déroulement des opérations de ses hommes. Moi j’étais un peu inquiète, mais Kenichi lui semblait bouillir d’impatience... Je pensais d’ailleurs qu’il voulait surtout qu’on apprenne les plans de ses criminels, mais en réalité, il voulait les arrêtes lui-même et passé pour un héros, de cette façon, il aurait droit à une place de choix au sein de la marine et moi une possibilité de ne plus être esclave et évidemment de libéré ma mère en même temps.
Ken : C’est le moment, on y va !
Yumi : Quoi !?
Ken : A l’attaque !!!
Il m’attrapait par le poignet et sautait du toit dans un cri de courage et aussi de folie qui lui ressemblait bien d’ailleurs. Il arrivait à atterrir avec une certaine classe alors que moi j’avais eu du mal à ne pas littéralement me casser la figure. Je me contentais d’un léger trébuchage plus ou moins évité. Les criminels étaient assez surpris, mais je me demandais si c’était dut à notre arrivé ou plutôt parce qu’on faisait la moitié de leur taille. En tout cas, Ken lui était toujours aussi motivé et armée d’un simple bâton, il le défiait sans retenu :
Ken : Pirate et criminel, je vous conseille de vous rendre. Sinon, je ne réponds plus de rien.
Evidemment, la réponse était des rires gras et moqueur. Que pouvait faire deux gamins à peine à adolescent ? Cela ne décourageait pas Kenichi qui d’un mouvement de la main m’expliquait que l’heure était venu de se battre... Je n’avais pas le choix et un combat, le premier vrai combat de toute ma vie débutait...
Je pouvais vous dire que c’était un sacré massacre... Mon ami se débrouillait pas encore trop mal et arrivait à tenir à quelques-uns... Non pas sans prendre quelques coups. Il fallait dire qu’il était plus fort que moi et de loin. Moi j’avais bien du mal à tenir tête à juste deux de ses types... Au fait, je me contentais surtout d’esquiver leurs attaques en glissant sous les tables, les échelles et tout ce qui pouvait gêner leurs attaques.
Mais chaque choses à une fin, un de ses pirates, m’attrapais par le col et me soulevant, m’infligeait un violent coup de poing dans le ventre. Kenichi bien que déjà bien occupé, voyait que j’étais sur le point de me faire massacrer, mais malgré cela, il avait réussi à trouver une ouverture pour me rejoindre et frapper assez fort l’homme qui me tenait pour que celui-ci tombe et me lâche.
Grace à une table ma chute était amortit, mais il y avait une lanterne posé là, elle tombait sur un morceau de tissus qui s’enflammait aussitôt. En l’espace de quelques instants l’entrepôt était complètement en flamme. Les bandits ne voulaient pas que la marine les approches et donc rapidement ils préfèrent la fuite. Moi j’étais totalement sonné et c’était grâce à Kenichi encore que je me réveillais à temps pour sortir de ce qui était sur le point de devenir une fournaise.
Mais à peine sorti la marine arrivait avec d’autre hommes pour arrêter l’incendie. Un homme qui faisait partie de la marine et qui devait à peine avoir un ou deux an de plus que Kenichi s’approchait de nous, il répondait au nom de :
Dan : Je suis le lieutenant Dan Milo, tout va bien maintenant, dites-moi ce qui s’est passé ?
Ken : Oui, des criminels étaient pour fomenter un plan... Nous sommes intervenu pour les arrêtes.
Dan : Donc, vous êtes aussi responsable de cet incendie si je comprends bien... Bon je vais vous ramenez à vos familles respective.
Alors là, je pouvais vous dire que j’étais mal... Ken lui était orphelin et vivait seul, moi j’avais ma mère et surtout mon maitre... Qui réveillé au milieu de la nuit pour me voir et apprendre ce que j’avais fait... Je pouvais vous dire que je me voyais passé à sale moment... Pourtant j’allais être celui-qui allait le moins souffrir. L’homme, mon maitre fou de rage décidé que comme punition et pour commencer, il allait moi et ma mère, nous faire dormir dehors. Dans toute cette agitation, l’un de ses hommes de main retournait mon lit et ma pierre précieuse que je cachais là, tombait pour glisse prêt de mon maitre... Il prenait la pierre et disais que maintenant elle lui appartenait, je ne pouvais pas accepter ça et donc pour la première fois en 13 ans, je me rebellais contre mon maitre, j’essayais de la lui reprendre, mais ses hommes m’attrapais bien vite.
Le maitre attrapait ensuite un bâton et d’une rage folle s’apprêtait à me frappe avec, mais c’était à ce moment-là que ma mère s’interposait pour me protéger. Un coup, deux coups, trois coups... Cela ne semblait pas s’arrêter et à chaque fois que notre maitre croyait en avoir fini avec ma mère et qu’il s’apprêtait à commencer sur moi, elle revenait de plus belle pour me protéger... Au final mon maitre s’atterrait d’épuisement et se contentait de dire :
Maitre : Que cela vous serves de leçon... Vous enchainez le petit pour qu’il ne s’échappe pas à nouveau, ensuite vérifier si elle est encore en vie et enchainer là aussi... Sinon, jeté là quelques parts que je ne la vois plus.
Je criais, criais, je tentais bien de me débattre, mais je ne pouvais rien faire, je finissais alors enchaîner et sans jamais avoir la possibilité de revoir ma mère... je restais plusieurs jours enchainer et presque pas nourrir, jusqu’au jour à mon maitre arrivait avec un collier et un souris satisfait :
Maitre : Maintenant que je vois que tu es assez grand pour voyager seul, je vais t’offrir ton collier d’esclave... Comme ça la prochaine fois que tu tenteras de quitte ma demeure, je te ferrais explosé la cervelle... Compris !?
Yumi:... Oui... Maitre...
Je me retrouvais libéré de mes chaines, mais avec un collier autour du coup... J’avais maintenant la parfait panoplie de l’esclave. Je ne pouvais plus fuir, mais étrangement, ce n’était pas mon intention, je voulais surtout me venger...
Durant cette période, je recevais encore régulièrement la visite de Kenichi, il venait presque tous les jours et pénétrait dans la demeure pour discuter avec moi, il répétait souvent d’ailleurs ses quelques mots :
Kenichi : Ecoute, je suis vraiment désolé, mon plan à complétement foiré, tu es maintenant affublé de se collier et moi comme punition, je risque d’avoir un dossier qui m’interdit de devenir soldat de la marine. Tout est de ma faute, vraiment.
Yumi :... Ce n’est pas grave... Mais je n’ai pas l’intention de rester ici... J’en ai marre de cet homme et de cette vie... De cette justice à deux balles ou ce qu’on fait n’est jamais vu à sa juste valeur ou des gens meurs sans qu’on ne puisse rien y faire... Sans que la marine ou même le gouvernement ne réagisse...
Kenichi : Je comprends Matsu, mais que veux-tu faire ? Faire comme ses revos te battre prou que le gouvernement change ?
Yumi : Non, je veux juste vivre libre... Et pour ça j’aurais besoin d’aide... Kenichi, tu veux bien m’aidé ?
Kenichi : Bien sur tu as un plan ?
Yumi : Pas encore, mais quand j’en aurais un, j’aurais besoin ensuite d’un bateau pour quitte cet ile de malheur, j’aimerais donc que tu me trouve un bateau pour que je puisse partir une fois libre.
Kenichi : Tu peux compter sur moi.
Deux ans plus tard, je mettais un plan en marche, un plan qui me permettait de récupéré ma pierre, prendre la clé de mon collier, voler un sabre et assassiné mon maitre. Ensuite, je devais juste retrouver Kenichi au port la nuit tombé. Celui-ci m’avait trouvé une petite barque somme toute assez basique, mais qui allait me permettre de voyager assez loin.
Ken : Voilà, ce n’est pas extra, mais tu devrais pouvoir voyager quelques temps avec je pense.
Yumi : Merci Kenichi, un jour je te revaudrais ça...
Ken : C’est moi qui te le devais... On est ami après tout.
Yumi : C’est vrai.
Alors que je prenais le large, je pouvais voir des lumières se diriger vers Kenichi, je ne savais pas ce que c’était exactement car j’étais déjà trop loin... Je ne me pouvais pas instant que Kenichi faisait tout ce qui était en son pouvoir pour retenir la marine aussi longtemps que possible au prit de sa possibilité de devenir un jour soldat de la marine.