« Mon trésor ? Je vous le laisse si vous le voulez, trouvez-le ! Je l'ai caché quelque part dans ce monde ! »
Et tous se lancèrent sur la route de Grand Line, dans l’espoir de récupérer le fameux trésor. Le monde connut alors une grande vague de piraterie.
Et cent ans plus tard, on y était encore. Des pirates comme Sutero ou Tahgel naviguent encore sur les mers en quête de fortune, gloire, et pouvoir. Mais l'avidité des hommes étant ce qu'elle est, cette histoire n'était pas sur le point de se terminer.
Mais l’histoire que nous allons conter ici n’est pas la leur. Ce n’est pas la saga épique des pirates légendaires qui ont sillonnés et sillonnent les mers. Non. Ici nous allons parler de la vie d’un petit pirate, ou plus précisément d’une petite pirate sans renommée particulière. Un mètre soixante-cinq. Cheveux chataîns. Yeux verts. Habillée tout en noir avec des bijoux fait métaux peu nobles, de la pacotille en somme. Et, à la hanche, un petit pistolet à silex, seul signe d'appartenance à la classe des flibustiers.
Elle réajusta son masque à gaz sur son visage.
« Là. Parfait. »
Volesprit avait pris une douche chaude ce matin. Ses habits étaient propres. Le ciel était de ce gris caractéristique de la saison. Le vent frais caressait les hautes pommettes de la pirate, tandis qu’elle se dirigeait vers le lieu indiqué par Crapaud.
Logue Town avait bien vieilli. Restant LA dernière destination des pirates d’East Blue avant Grand Line, la ville connait un essor économique inégalé depuis presque un siècle ; cadeau posthume de Gol D. Roger. Volesprit évitait les grandes routes, préférant passer par les sentiers étroits et humides qui la protégeaient d’un éventuel contrôle : car si le délit de sale gueule existait, son masque ferait d’elle une criminelle.
Au rythme de la pluie clapotant sur sa capuche et le bruit de ses pas, elle finit par arriver là où elle voulait arriver : Au bureau du Cipher Pol.
Crapaud faisait partie du Cipher Pol. Crapaud lui avait dit d’aller chercher des réponses là-bas. Mais, tandis qu’elle était sur le bateau, elle avait réfléchi à une chose. Et si c’était un piège ? Flatpoint Island était peut être un dossier classé secret. De quoi aurait-elle eu l’air si jamais elle se pointait au bureau en demandant :
« Bonjour, puis-je lire tout ce que vous avez en rapport avec l’affaire Flatpoint Island ? ».
Elle traversa la rue, et entra dans le bureau. Un frisson parcourut l’échine tandis qu’elle tournait la poignée… Elle entrait en territoire ennemi.
Les gens discutaient, affairés. Volesprit s’avança donc au premier bureau libre. Elle réfléchit soigneusement à ce qu’elle devait dire. Puis, elle annonça à l’employé :
« Bonjour, puis-je lire tout ce que vous avez en rapport avec l’affaire Flatpoint Island ? »
Et tous se lancèrent sur la route de Grand Line, dans l’espoir de récupérer le fameux trésor. Le monde connut alors une grande vague de piraterie.
Et cent ans plus tard, on y était encore. Des pirates comme Sutero ou Tahgel naviguent encore sur les mers en quête de fortune, gloire, et pouvoir. Mais l'avidité des hommes étant ce qu'elle est, cette histoire n'était pas sur le point de se terminer.
Mais l’histoire que nous allons conter ici n’est pas la leur. Ce n’est pas la saga épique des pirates légendaires qui ont sillonnés et sillonnent les mers. Non. Ici nous allons parler de la vie d’un petit pirate, ou plus précisément d’une petite pirate sans renommée particulière. Un mètre soixante-cinq. Cheveux chataîns. Yeux verts. Habillée tout en noir avec des bijoux fait métaux peu nobles, de la pacotille en somme. Et, à la hanche, un petit pistolet à silex, seul signe d'appartenance à la classe des flibustiers.
Elle réajusta son masque à gaz sur son visage.
« Là. Parfait. »
Volesprit avait pris une douche chaude ce matin. Ses habits étaient propres. Le ciel était de ce gris caractéristique de la saison. Le vent frais caressait les hautes pommettes de la pirate, tandis qu’elle se dirigeait vers le lieu indiqué par Crapaud.
Logue Town avait bien vieilli. Restant LA dernière destination des pirates d’East Blue avant Grand Line, la ville connait un essor économique inégalé depuis presque un siècle ; cadeau posthume de Gol D. Roger. Volesprit évitait les grandes routes, préférant passer par les sentiers étroits et humides qui la protégeaient d’un éventuel contrôle : car si le délit de sale gueule existait, son masque ferait d’elle une criminelle.
Au rythme de la pluie clapotant sur sa capuche et le bruit de ses pas, elle finit par arriver là où elle voulait arriver : Au bureau du Cipher Pol.
Crapaud faisait partie du Cipher Pol. Crapaud lui avait dit d’aller chercher des réponses là-bas. Mais, tandis qu’elle était sur le bateau, elle avait réfléchi à une chose. Et si c’était un piège ? Flatpoint Island était peut être un dossier classé secret. De quoi aurait-elle eu l’air si jamais elle se pointait au bureau en demandant :
« Bonjour, puis-je lire tout ce que vous avez en rapport avec l’affaire Flatpoint Island ? ».
Elle traversa la rue, et entra dans le bureau. Un frisson parcourut l’échine tandis qu’elle tournait la poignée… Elle entrait en territoire ennemi.
Les gens discutaient, affairés. Volesprit s’avança donc au premier bureau libre. Elle réfléchit soigneusement à ce qu’elle devait dire. Puis, elle annonça à l’employé :
« Bonjour, puis-je lire tout ce que vous avez en rapport avec l’affaire Flatpoint Island ? »