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Une pirate et un agent gouvernemental

> Quelle galère !

C'est pas possible, je suis le plus malchanceux qui puisse exister. Récapitulons tranquillement.

Il y a quelques jours, alors que j'étais à Marie-joie, je me suis fais inviter dans le bureau du boss du CP5. Mr yakutsuki Rei, m'a convoqué. Je lâcha la paperasse que je traitais pour filer dans son antre. C'était avec un beau sourire qu'il m'accueillit et m'annonça que j'avais une permission. Une petite pénurie de mission et l'absence de formateur m'offrit le privilégie d'avoir des vacances. C'est vraiment rare alors il fallait que j'en profite. Rei me conseilla une petite île de North Blue qu'il avait déjà visité. J'écoutaalors  mon supérieur et prit le premier navire de marchandise en direction de la Blue en question. Je m'installa clandestinement dans la cale de bâtiment marchand sans me faire repérer. C'était partit pour une longue traversée mouvementée. On essuya une tempête assez violente. Enfin c'était plutôt pour les marins que c'était éprouvant car moi, bien protégé dans la cale je n'ai ressentit que les vagues qui ont fait tanguer le navire. Je parvint à trouver le garde manger sans trop de difficultés me maintenant aisément en vie.
Je sortais de temps en temps, toujours aussi discrètement pour savoir quand nous arriverions sur Hat Island. Bien sur, à un moment, en tendant bien l'oreille j'avais pu entendre que l'île n'était plus très loin. Seulement, un appel de dernier moment, le bateau commençait déjà à faire un détour. Les marchands avaient changé de cap et se dirigeaient autre part. S'en aucun remord je vola un des canots de sauvetages. J'était à longueur de perche quand ils s'en aperçurent. L'un deux tenta d'ailleurs à l'aide d'un long crochet de me rapatrier au bateau. Je coupa net la corde destiné à me ramener leur montrant bien que je n'étais pas un ange non plus.
Je m'étais embarqué dans une petite expédition rapide. L'affaire de quelques heures seulement. De la terre, c'était le bonheur. Je ramena ma barque sur le sable d'une plage et pris la direction de la première taverne. Après avoir descendu plusieurs quelques bouteilles de saké avec un touriste qui venait lui aussi d'arriver, le trou noir fit son apparition. De la fin de soirée je ne me souviens toujours de rien. Je sais juste que je me suis réveillé dont un cul de sac au fond d'une rue. Je n'avais plus vraiment la gueule de bois, ça par contre c'était parfait. Je repris la direction de la plage et là, ma barque avait disparut.

Donc que voici maintenant sans moyen de transport coincé sur l'île. Je décide alors de rejoindre mon ami d'un soir. Un certain jake. Seulement il est introuvable, d'ailleurs selon quelques sources plus ou moins fiables la quasi totalité des touristes arrivés hier ont disparut. C'est vraiment étrange, alors un réflexe d'agent du gouvernement me force à enquêter sur l'affaire. J'écume les bars pour obtenir un maximum d'informations. Je prend aussi le temps de consulter les vieux loups de mers ainsi que les taverniers. Ces gens voient tout ce qui se passe autour d'eux et son généralement au courant de tout. Les rumeurs passent toujours par ces mecs. Finalement ce qu'on apprend aux agents en formations c'est pas que des conneries. J'obtiens rapidement des indications importantes. Certains auraient aperçut des silhouettes emmener une multitude de personnes qui semblaient endormit. D'autres disent même les avoir vu se diriger vers une entreprise connu sur l'île, Corporation Entreprise comme ils l'appellent. C'est vraiment intriguant. Je décide alors d'infiltrer les locaux pour en apprendre plus. Seulement ce n'est pas si simple. Une sécurité trop importante pour la taille de l'entreprise me repère plusieurs fois. J'attire d'ailleurs l'attention des gardes car je me fait refouler trois fois dans la même journée. J'ai même du esquivé un tir destiné à me faire déguerpir. Bien que je ne sois pas le meilleur en infiltration de tout le CP5 mais bon, leur nombre m'empêche de me faufiler discrètement. Exceptionnellement j'aurais besoin d'une aide pour mener l'enquête. Je dois chercher quelqu'un mais comment?

Bien sur en retournant dans les bars, malheureusement tous les gens que je rencontre sont soit des grosses brutes soit loin de pouvoir accomplir une quelconque mission sans être un fardeau pour moi. Il me faudrait un acolyte discret et qui sache se battre. Un pirate ou une femme en faite .... Peut être même les deux en une seule personne. Alors je fais tourner la rumeur que je suis à la recherche de quelqu'un pour une mission anti-esclavagisme. Je mens en disant qu'une récompense sera à la clé.
Petit à petit la rumeur fait le tour des tavernes et plusieurs pirates me rejoignent. Je les examine tous un par un, seulement aucun n'a les capacités pour. Ce sont tous des idiots insignifiants. Je commence à désespérer de trouver la personne adéquate. C'est alors dépité que je m'assoie dans le coin d'un bar avec une bouteille de saké.
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Après un périple dans une ville où les vaches font la loi, Candy opta pour la vie sauvage et pour sauvage, elle l'était. Devant quitter cette ville de cow-boy sur la pointe des pieds, la jeune femme se retrouva à traverser un désert. Un désert. Du sable à perte de vue. Un soleil assommant. Un cheval moins rapide qu'un âne. Un calvaire quoi.

Comme qui dirait son père, tout vient à temps à qui sait attendre. En résumer, la jeune femme finie quand même à atteindre un semblant de civilisation. C'était une bonne chose de faite, elle n'allait plus devoir tirer son stupide canasson pour qu'il avance, car une grande partie de son trajet se passa ainsi. Ce Cheval capricieux lui fit la misère. Parfois la jeune femme se demandait même s'il n'avait pas été un escroc dans une autre vie, tant il inversait les rôles et voulait que ce soit la jeune femme qui soit le cheval et lui le cavalier.

Arrivé devant un imposant bâtiment industriel la jeune femme jeta un regard de tous les diables à sa monture. L'heure de la vengeance était arrivée. S'il pensait avoir abusé de la jeune femme de par son caractère, la jeune femme avait un avantage sur lui. En tant qu'être humain, Candy ne se faisait pas prier quand il faut manger de la viande et maintenant qu'elle n'avait plus besoin de monture, elle allait pouvoir s'en faire un bon steak.

Voyant les flammes et le désir dans les yeux de son ancien cavalier, le cheval se coucha au sol, cachant ses yeux à l'aide de ses sabots. Belle tentative pour gagner la pitié de la jeune femme, mais Candy n'était pas résigné à laisser son repas s'en tirer à si bon compte.


"Il est temps de payer la note."

Homme de Corporation Entreprise :"Tu penses fuir ou esclave ?"


L'affaire du steak de cheval allait devoir attendre. Si la jeune femme ne supportait pas une chose en ce moment, c'était bien l'énoncé du mot "esclave". Vestige de son court passé au royaume de Goa, la jeune femme s'était découvert une aberration concernant l'esclavagisme. Du coup quand un homme prononça le mot interdit, la jeune femme se focalisa sur lui.

Un homme avec un fout venait de rattraper une jeune fille et lui donna un coup de fouet.


"Tu peux partir."

Le cheval ne se fit pas prier pour regagner sa liberté. Pendant ce temps Candy stoppa le fouet du bougre, alors qu'il allait frapper la petite fille une deuxième fois.

"Tu crois faire quoi ?"

D'un mouvement brutal, la jeune femme retira l'arme de torture des mains de l'agresseur.

"T'es qui ?"

En entendant parler l'homme qui se tenait devant elle, Candy ne put s'empêcher de se remémorer sa vente. Le jour où elle passa de libre à captif. C'était plus fort qu'elle, elle ne pouvait le supporter.

"Disparait vermine."

Une phrase et voilà que la jeune femme ne décide de l'avenir de son opposant. Un coup en plein visage. Violent, rapide, plein de haine. Un coup décisif qui jeta avec une brutalité tel l'homme contre la paroi de l'édifice qu'il s'y incrusta un peu.

"Tu vas bien petite ? Ou son tes parents ?"

"Ils sont à l'intérieur. Ils sont esclaves tout comme moi."

"Esclave tu dis ? Sache que personne n'est esclave sur cette terre."

Rien que d'entendre la résignation dans la voie de cette gamine énerva encore plus Candy. D'un mouvement léger sur la tête de la jeune fille, Candy lui demanda de monter sur son cheval, cheval qui s'était enfuie, mais qui en réalité n'avait que longer le mur et se trouvait près de leur position.

"Attends moi, j'ai quelques choses à régler, mais je te ramènerais tes parents."




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C'est alors que les effets de l'alcool commence à se faire ressentir que j'ai une idée folle (ah les méfaits de l'alcool). Je dois infiltré ce bâtiment seul. Sans aucun accompagnateur inutile comme j'en ai autant croisé. Je lâche ma bouteille de saké et m'échappe de la taverne en laissant quelques berrys sur le comptoir du bar. Je trottine au début pour me débarrasser de la sensation d'engourdissement lié à l'alcool puis cours définitivement. Je commence dans la rue et me rabat finalement sur les toit pour ne pas être gêné par les gens. Je vois rapidement ma cible. CE comme on l'appel.

Je dois m'y infiltrer mais ce n'est pas de tout repos. Il y a des gardes de partout, alors oui c'est louche mais le problème c'est que ça ne facilite pas du tout la tâche. Je m'approche tant bien que mal de la zone. Sans me faire remarquer par les gardes à l'extérieur je parvient à rentrer par une simple porte. Seulement à l'intérieur ça grouille de monde. Des types avec des armes à feu, ce que je hais le plus au monde. Je parvient à me glisser dans les zones d'ombres et à ne pas me faire voir. Mais c'était sans compter le spectacle sur lequel je viens de tomber.

Hommes, femmes et enfants se font fouetter en cadence. Tout ça pour réaliser des tâches diverses. Un spectacle désolant s'offre à mes yeux. Je suis alors abasourdis quand un garde me repère. J'ai à peine le temps de lui coller mon poing dans la figure qu'il à déjà alerté ses collègues. Malgré moi une horde de garde arrive rapidement. Je m'échappe temporairement par un escalier mais ce n'est qu'un bref instant de répit. C'est une dizaine d'homme qui avance vers moi. Je sors alors mon katana et les coupes un par un avec aisance et souplesse. Ma petite performance est rapidement stoppé nette. Mes poursuivants son arrivés et me mettent en joue. Hélas je ne peux lutter contre eux tous à la fois. Obligé de ravaler ma fierté et de me rendre fait très très mal. Surtout pour quelqu'un d'aussi fier qu'un samouraï.

C'est alors quelques instants plus tard qu'on me retrouve. Je suis attaché par les mains et les pieds avec de solides liens. De là où je suis je peux voir tous les esclaves à leur tâche de haut. Donc je suis en hauteur, je les surplombe. Me coupant de mes pensées un individu vient de rentré dans la pièce. Il est munit d'un fouet et d'un pistolet à silex banal.

le bourreau: alors comme ça on tue des gens ? Je vais t'en faire passer l'envie mon grand ! dit-il avec un grand sourire. C'est alors qu'il me donne un énorme coup de fouet qui me claque sur le torse. Une sensation de brûlure, de déchirement s'empare alors de moi.

" tu crois que ça m'impressionne ? " Un affront qui sera rapidement laver je pense par ce sadique.

Les vitres dont sont pourvus cette pièce permet à tous les forcenés de me voir. La plus part grimace en me voyant et se font alors fouetter de plus belle car ils se déconcentre. Un lourd sentiment s'empare de moi, serais ce la fin ? Non quand même pas maintenant.

En plus tu te crois fort ? Tu ne vois pas que tu es à ma merci ? C'est incroyable il faut reconnaître la défaite de temps à autre ! En même temps c'est un nouveau coup de fouet qui me touche. Une grimace de plus de ma part mais de celle des autres aussi.  Mais le pire est à venir. Le bourreau dégaine son pistolet et me colle une balle dans le bras gauche. C'est un sentiment d'effroi qui s'empare des esclaves. Pour moi ce n'est que de la souffrance.

Mon bras gauche est quasi inutilisable. Un soucis de plus alors que derrière mon dos j'essaie de me défaire de mes liens. J'y était presque avant de recevoir la balle. Tout est donc à refaire avant que je puisse me débarrasser de cette vermine et sortir d'ici.
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Les consignes de Candy étaient faciles à appliquer bien que la gamine ne savait pas encore si elle devait lui faire confiance ou pas. Elle devait l'attendre près de son cheval. Connaissant la monture et son tempérament, si jamais un garde venait à la retrouver, nul doute que le canasson utiliserait son coup de sabot légendaire pour au moins ralentir l'ennemi. Après tout c'était un cheval qui venait directement d'Exact Town aucune chance qu'il se laisse tuer facilement.

Le moment était venu pour Candy d'entrer en action et d'aller voir de plus près cette histoire. Marchant droit devant, la jeune femme se retourna très vite, approchant la jeune fille et lui demanda si elle était loin du lieu qu'elle venait d'utiliser pour s'enfuir, car il n'y avait aucune porte.

La petite fille lui expliqua qu'elle avait sauté d'une fenêtre située plus haut. En regardant dans la direction que lui montrait l'enfant, Candy lui demanda si elle était faite en fer ou avait dans sa famille quelques super héros. La fenêtre que désignait la petite ce trouvai à plus de cinq mètres. Rien d'impossible, mais quand on a moins d'une vingtaine d'année et encore, sauté d'un tel étage pouvait se révéler du suicide.

Se voir quelques membres brisés n'est pas impossible et pourtant la gamine n'avait pas eu peur de se jeter à l'eau. L'acte de la jeune fille démontre à quel point elle était déterminée à fuir cette vie, vie qui avait perdu tout gout depuis son emprisonnement.

D'une petite caresse sur la tête, Candy s'en alla une seconde fois. Elle n'allait pas sauter pour atteindre la porte de sortie de sa protéger, mais allait trouver un moyen d'entrer par la grande porte.

Dix minutes, voilà le temps demander à Candy pour quitter la petite fille et arriver au bout de cette longue plaque de fer sans porte, ni activité. Pas besoin de dire qu'une fois la porte principale trouver, la jeune femme sentie un poids en moins la quitter. Au début, la jeune femme était chargée à bloc, mais à force de marcher sans aboutir à quelque chose, elle perdit très vite l'énergie de la colère.

Se trouvant à quelques mètres de la porte principale, la jeune femme trouva très vite une planque derrière quelques caisses à l'intérieur d'un chariot de marchandise. La jeune femme se fit discrète et laissait son oreille se balader. Visiblement un homme venait d'être capturé après avoir tué plusieurs gardes.

Moins de garde à vaincre, c'était une bonne nouvelle, mais insatisfaite, la jeune fille lâche une insulte à l'encontre de cet homme qui à cause de ses agissements provoqua l'effervescence du système de sécurité. Maintenant que tous les gardes de l'usine étaient en alerte, son approche allait être ralentit. Bravo.


Inconnu : "Ont a de la route à faire nous."

La planque de Candy se faisait la malle, alors elle décida de passer à l'action. Quittant sa cachète, la jeune femme se retrouva devant deux gardes se trouvant de dos. Inutile d'en faire des tonnes. La jeune femme attrapa la tête des deux hommes et les cognèrent ensemble. La violence du choc ne les tua pas, mais les sonna si fort qu'ils tombèrent au sol. Ils étaient prêts à dormir pour un petit moment avec à la clé une migraine infernale au réveil.

Pas le temps de jouer les supers espions, de cacher les hommes dans une caisse, voir une motte de foin. Elle les laissa par terre et poursuivi son chemin. Candy pensait qu'elle venait de s'offrir le droit d'entrer à l'intérieur de la structure, mais un homme situé en retrait venait de la voir agir et sans une once d'hésitation utilisa son arme pour la menacer.


Garde :"Encore un intrus. Décidément."

Pointer à bout portant, la jeune femme leva les mains en l'air comme lui demanda son agresseur. Bouger serait trop risqué, si elle se ratait c'était une balle de fusil qui aurait raison d'elle. Inutile de tenter le diable.

Candy se constitua prisonnière et suivi les ordres que lui donna le garde. Laisser faire, laisser faire, jusqu'à attendre le bon moment. Elle devait attendre qu'une occasion s'offre à elle pour bouger.

Le garde conduit la jeune femme à l'intérieur de la structure. De ses propres yeux, la jeune femme put voir comment était traité ces gens forcés à travailler dans des conditions qui n'avaient rien d'humain. Le sang de la mafieuse bouillonnait, mais elle ne bougea pas le petit doigt. Le moment n'était pas encore arrivé.

Elle finie par atteindre une salle surélevé. Elle y entra de force et découvrir qu'un homme était en train de passer un mauvais moment.


Gardien "Chef, voilà un autre intrus."
Gardien chef "Il se passe quoi aujourd'hui avec ces curieux."


C'était peut-être sa chance, dans la salle il n'y avait qu'un seul garde et avec le sien, ils n'étaient que deux. Elle pouvait le faire, c'était maintenant ou jamais.


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Ce bourreau pouvait me frapper mais pas cette fille. Bien que je ne la connaisse pas c'est un enseignement simple de la vie que je vois là. On ne tape pas, pire, on ne torture pas une femme. C'est ignoble et dégradant pour l'homme qui le ferais. Cependant cette fille est ma chance de m'échapper. En effet, sa capture à suscité l'attention du tortionnaire qui n'à donc plus les yeux rivés sur moi. Quoi de plus beau que cette occasion. Bien entendu je vais aider cette fille en premier car c'est elle qui m'a aidé.

Depuis tout à l'heure j'essaie de défaire mes liens tout en encaissant les coups de fouets. Seulement avec une seule main ça n'a pas été facile. J'ai mis plus de temps que prévu mais maintenant c'est bon. Mes entraves défaites, d'un geste vif je me relève et colle mon poing dans la figure de ce sadique. C'est lui qui m'a saigner maintenant les rôles sont inversés. Je peux même entendre un des esclaves pousser un "ouf de soulagement. Le pauvre se fait fouetter deux fois plus fort rien que pour cela. Il est vraiment temps que j'intervienne. Le pire c'est que les gardes doivent surement être en train de marcher vers nous pour nous châtier. C'est alors que j'écrase le nez de celui qui à capturer la jeune femme de toute la force de mon poing. Je crois bien lui avoir brisé d'ailleurs.  

Je libère la jeune femme avant d'entamer une petite discussion:

> J'espère que vous n'avez pas eu mal demoiselle. Je vais désormais vous protéger jusqu'à ce qu'on ai libéré tous les esclaves ici. Je ne sais pas ce à quoi cette entreprise sert mais il n'en restera que des miettes au final.

J'alterne entre la regarder elle et les esclaves. J'en vois certain pleurer, pire d'autres saigne. Là ça ne va plus, je remarque quelqu'un dans le fond. Un visage familier mais ... c'est Jake. Mon ami du bar qui lui aussi était un touriste. Je me fais la promesse de libérer chaque captif ici dans ma tête. Seulement avec un bras en moins ça sera plus compliqué. J'arrache un bout de mon short et me le noue sur la blessure pour ne pas perdre trop de sang. Ensuite, je ramasse mon katana qui était dans le coin de la petite salle de torture. Je suis prêt à partir et prend alors la jeune fille par la main pour l'emmener en dehors de cette pièce sordide tapissé de sang.

> Allons y pendant que ces mecs ne réagissent pas ! Il va surement y avoir des gardes et là on aura des problèmes. Bien que maintenant que j'ai mon sabre ils ont intérêt à courir ! Dis-je sur un ton fier.

Seulement je ne me douterais pas que mon tortionnaire se serais relevé. Sans que je n'y fasse attention il se tenait maintenant debout derrière moi son pistolet à silex prêt à m'exploser la cervelle. Je suis dans un vrai merdier là. Comme pourrais-je réagir sans finir avec un plomb dans le corps. Je pense pas y arriver seul et là est le problème. Je ne pensais jamais le dire jusque là mais j'ai besoin de sauver ces gens. Je ne peux rester là à les regarder souffrir et pire mourir ici.
J'aurais au moins du mort digne et non un coup dans le dos comme il s'apprête à le faire. Je dois m'en sortir et cette fille est mon dernier recourt. De plus que les renforts ennemis arrivent car j'entend le chahut qu'ils font en courant dans les couloirs. Je glisse quelques mots à la fille devant moi:

> Pff je ne pensais pas avoir à le dire mais c'est une question de vie ou de mort. En plus mon honneur est mis en jeu alors je n'ai d'autres choix. Jeune fille, si tu m'aides ici à m'en sortir alors je te suivrais où que tu ailles. Je le jure sur mon honneur. C'est  gens ont besoin d'aide et moi je ne mourrais pas d'une manière aussi dégradante que dans ce cas là ! Choisis bien ta réponse. Ma parole ne tient qu'une fois alors fait attention. Sinon je te laisse fuir, tu devras passer par la gauche et courir le plus vite possible. Il y aura surement des portes et de quoi sortir d'ici. Pendant que je la laisse méditer sur la question j'espère quelle choisira d'avoir quelqu'un à ses cotés plutôt que de partir.

Je prépare aussi mon plan. Elle fera diversion pendant que je couperais ce type. Ensuite, j'affronterais les quelques gardes et on sauvera les esclaves. Rien de plus facile, si bien sur je ne meurs pas d'une balle dans le crâne.
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Il se passa beaucoup de choses en si peu de temps. Il avait beau y avoir un incendie, un crime à seulement quelques mètres d'elle, une violente tornade qui arrachait la toiture voir un tsunami, la jeune femme ne se remémorait qu'une seule chose dans sa petite tête. Plus bas, plus bas que sa poitrine, plus bas que son buste, l'inconnu venait de lui attraper les mains après avoir vaincu les deux esclavagistes.

Main dans la main. Peau contre peau. Rapprochement des corps. Première étape d'une tentative masquée de drague. C'était comme dans les romans qu'elle avait pour habitude de lire. Le héros tenait la jeune femme par la main avant de lui raconter une phrase destinée à faire fondre son coeur. Le genre de phrase qui ne peut découler que d'une situation dangereuse et qui conduit par la suite, à l'acte.

Candy n'était pas encore prête. Elle ne se sentait pas assez grande pour se jeter dans les bras d'un homme. Il était trop tôt pour ce genre de choses.

Pendant que la jeune femme se faisait un film à cause d'un simple geste de celui qui, il y a peu était également prisonnier, l'un des tortionnaires se releva et demanda réparation de l'agression à son encontre. C'est d'ailleurs à ce moment que l'homme qui lui tenait la main lança sa phrase dramatique.

La phrase de l'homme qui charmait Candy était la goutte d'eau en trop. Le bouchon venait d'être poussé trop loin. Ce n'était plus acceptable. Cet homme n'était qu'un pervers, qui comme les autres essayaient d'obtenir de la jeune femme quelques avantages en nature.

Pas la peine de dire que tel n'était pas le cas, que la jeune femme se trompait complètement quant aux intentions de son sauveur, car pour elle il n'en était pas autrement. Les pervers et les ordures, c'était du pareil au même, sauf que pour les personnes du premier groupe, la sentence de la jeune femme était tout sauf tendre.

C'est à cause de cette peur de l'amour, amour qu'elle recherche malgré tout, que Candy développa une super force, une force qui repousse les hommes un peu trop entreprenant. Une force de répression que sauveur ou pas l'homme qui lui tenait les mains allait faire les frais.

Par chance, l'homme qui tenait la main de Candy brisa le contact qu'il avait avec elle en lui libérant la main au moment d'esquiver le coup que celle-ci lui destinait. La main libre, une esquive latérale et voilà le jeune samouraï évitant le choc puissant, se laissant ainsi le luxe de vivre plus longtemps.

Si l'homme au sabre venait de voir son espérance de vie prolonger, ce ne fut pas le cas de l'homme qui se trouvait derrière lui et qui n'avait pas vu venir le coup de la jeune femme.

Un coup violent, un coup puissant. Une attaque qui venait de projeter le malheureux contre son mur et même de l'autre côté. Une brèche dans le mur, un garde en chef pas prêt à marcher, Candy venait de punir de sa force bestiale un innocent. Ce n'était pas lui le pervers, mais méritait quand même sa punition.


"Toi, ne me drague plus jamais, car je ne raterais pas mon coup la prochaine fois parole de Montana. Je te pardonne pour l'instant, mais que cela ne se reproduise plus."

Toujours dans sa petite bulle, Candy ne se rendait sans doute même pas compte que ce qui était pour elle un affront et une tentative de drague, n'était pour son interlocuteur qu'une manoeuvre d'entre aide. Bref la vie était ainsi et il allait devoir faire avec.

Reculant de deux pas, Candy se mit à courir en direction du trou dans le mur et s'y jeta. Faire face à autant de gardien à la fois était suicidaire, alors il était préférable d'être malin et de les avoir petit à petit.


"Saute si tu ne veux pas mourir."

Voilà que la jeune femme effectue un magnifique saut de l'ange avant de retomber dos le premier contre de nombreux sacs. En terme d'atterrissage, elle avait connu mieux, mais elle ne pouvait pas espérer retomber dans du foin.

Pas le temps de se plaindre, voilà que les gardes arrivent au niveau de la nouvelle fenêtre et tentent de faire feu sur le petit groupe.


"Bordel, ils sont vraiment en colère après toi. Tu as fais quoi."

Pas la peine de dire qu'elle ne se sentait absolument pas responsable de ce qui se passait.





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Ouf, je l'ai échappé bel. Le coup de poing surpuissant était exactement ce qu'il fallait. Après une bonne esquive, celui qui me menaçait venait de prendre un vol planer à travers un mur. Le problème c'est qu'elle est persuadé que je la drague. Je me fais donc sérieusement réprimander mais je dois honorer ma promesse. J'y ai mis mon honneur en jeu alors c'est décidé je vais la suivre coûte que coûte. C'est tout de suite vérifiable vu qu'elle fait un bond dans le vide pour arriver au niveau des esclaves pour éviter les gardes venu d'en haut.

J'ai le bras gauche complètement inutilisable, la balle à du se loger dans une articulation ou abîmer un nerf. Bref pas le temps de cogiter je saute à mon tour par le trou béant dans le mur. Atterrissant sans trop de problème sur des sacs je me remet au niveau de la demoiselle. Elle reste droite tandis que d'autres gardes les mettent en joue. Je me décide alors de passer à l'action pour respecter mon engagement.

D'un coup de sabre je tranche les gardes maladroits et pousse la jeune femme pour évité toute balle perdue. Une bonne opération de ma part car elle est saine et sauve. Seulement tout ne s'arrête pas là, il y a une multitudes d'homme armés ici et on doit survivre. Je me positionne de façon à faire protection devant celle à qui je dois la vie. Sans même tourner la tête je lui dit:

> Il faut libérer les esclaves demoiselle. Alors faites le pendant que j'occupe les gardes. Ceux ci on des épées alors il n'y a rien à craindre. Je vous remercie pour tout à l'heure bien que je ne veuille pas vous draguer.

Je commence à courir vers la porte d'où apparaissent les premiers gardes et lance un dernier mot:

> En faite, moi c'est Zirco !!

Quelques esquives de sabres puis un coup bien placé et le sang commence à couler. Je n'ai pas pris le temps d'écouter si elle m'avait fournit une réponse.

Je bloque l'arrivée des renforts en coupant ceux qui arrivent. Ensuite je ferme la porte et la bloque avec un meuble en bois assez imposant. Quelques instants de repos ne sont pas de trop surtout que je ne peux me battre qu'avec un bras. Mes mouvements sont un peu douloureux. Le problème c'est que j'ai encore plus de mal à défendre mon angle mort coté gauche. Heureusement ces gardes ne savent pas vraiment combattre avec un sabre.

Alors que la porte est sur le point de céder je regarde du coté de ma sauveuse pour voir où elle en est ....

HRP::
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Il faut libérer les esclaves. Oui, c'était l'objet de la présence de Candy ici bas, mais en voyant le dispositif de sécurité de l'infrastructure, ce n'était pas la première chose à faire. S'ils se libéraient maintenant de leurs oppresseurs, ces hommes et femmes se retrouveraient en proie au tir de gardien. Ce n'était pas parce qu'on ne les voyaient pas, qu'ils n'étaient pas encore arrivés jusqu'à cette zone que cela voulait dire qu'il n'y avait plus personne d'autre pour surveiller CE.

Il fallait agir en laissant de côté les muscles et favoriser l'approche stratégique. Utiliser son cerveau était d'autant plus important que l'enjeu était grand. S'ils pouvaient réussir à libérer un maximum de personnes sans la moindre perte, alors cette infiltration serait un succès.

Pour le moment ils étaient bien loin de la petite mission d'agent secret. Infiltration, prise d'information, neutralisation. Non, ils se retrouvaient plus en plein coeur d'une mission commando dont le but était de vaincre sans être vaincu.

Quittant le samouraï pour mettre en place un plan d'entrave aux forces ennemies, Candy loupa la moitié de ce qui lui était destiné et quant à l'autre moitié, elle était trop concentrée pour en comprendre l'importance et la signification. Tout n'était pas perdu malgré tout, son prénom, Zirco, elle l'avait compris et entendu. S'ils parvenaient à s'en sortir, alors elle lui donnerait le sien.

Forçant les esclaves à se mettre le long du mur, Candy fit en sorte que si jamais quelques gardiens arrivaient en renfort puisse facilement faire la distinction entre captif et fauteur de trouble. Une balle perdue est vite arrivé. Une fois la coopération des esclaves obtenus, elle leur demanda de s'allonger à plat ventre et de ne surtout pas se lever quoi qu'il arrive. Maintenant s'il y avait des blessés, ce serait un acte volontaire des hommes de cette administration.

Les esclaves de la salle ventre à terre se mirent alors à espérer. Espérer que leur calvaire pourrait prendre fin aujourd'hui, pourrait avec l'aide de ces deux individus appartenir au passé. Un coup de main n'aurait pas été de trop, mais leur mental semblait aussi rouillé qu'un vieux sabre. La vie d'esclave a de quoi briser une vie et parmi eux combien travaillaient depuis de nombreuses années. Sans doute beaucoup.


"Je pense que ça devrait faire l'affaire"

Si Zirco s'occupait de la partie visible de l'iceberg, Candy voulait aller plus loin et soigner le problème à la source. Il y avait d'autre pièce dans le bâtiment et combien d'autre personne encore prisonnière ? Bref, ce n'était que le début du travail.

Devant de grands objets métalliques servant à entreposer les précieux sacs de matières premières, Candy pensa à un joli cadeau de départ pour ces hommes et femmes captifs. Une douzaine de ces grandes armoires métalliques se trouvaient côté à côté et sans doute qu'en poussant l'un d'entre eux, les autres tomberaient à leur tour tel un effet domino.

Audacieux était le plan de la jeune femme, mais comment faire tomber d'aussi lourde armoire. Elle essaya en poussant, en tirant à main nue, en accrochant une chaine, puis en tirant de nouveau, mais toujours pas le moindre déplacement de l'armoire. La situation ne semblait pas avancer, du coup la jeune femme porta son attention sur les pieds de l'armoire métallique. Solide pilier de la stabilité de l'objet. Si elle arrivait à diminuer sa résistance, alors elle pourrait plus facilement les faire vaciller, voir tomber les uns contre les autres.


"Un, deux, trois."

C'est parti, voilà Candy qui frappe le premier pied de l'armoire à l'aide de sa force brutale. Elle venait de frapper si fort qu'elle dépassa l'effet souhaité. Au lieu de tomber dans la direction des autres armoires, elle tomba en oblique, manquant de peu de s'écraser sur celui qui lui voua sa vie il y a peu.

"Je suis désolé!"

Voyant qu'elle avait mal dosé sa force, la jeune femme recommença avec une seconde armoire. Cette fois-ci elle allait se retenir. Il fallait frapper fort, mais pas trop. Frapper d'un coup sec, mais sans viser la destruction du pied en lui-même.

"On recommence."

La seconde fois fut la bonne. Le pied de l'édifice se plia, mais l'armoire était restée debout. On pouvait voir qu'avec un autre pied dans le même état, l'armoire se pencherait et tomberait. Trois secondes plus voilà l'armoire qui tombe sur une autre armoire et voilà comment déclencher un effet domino parfait. Une à une tout tombait provoquant une panique encore plus grande.

Cette fois ce fut une alerte qui retentit et prouva au combien la situation ne pouvait plus être maîtrisé. Avec cette alarme, la partie sérieuse allait commencer.


"Je crois que j'en ai un petit peu trop fait."









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Maintenant que j'ai failli me faire écraser par ma nouvelle compère. Les armoires ont complètement scellé une des portes nous permettant de bloquer l'arrivée des gardes par cette entrée. Peut être du répit en plus. Malheureusement, pour l'instant ils forcent comme des bourrins pour défoncer la porte que j'essaie de condamner. Tellement fort qu'elle s'entrouvre. Une main passe et en moins de deux elle se fait couper. D'une main j'attrape un caisse remplit d'objet en tout genre. Je me retire promptement de la porte et fait donc trébucher les gardes. Une caisse remplit de matériel pour les déstabiliser et un coup de katana plus tard plus personne ne pousse la porte.

C'est vraiment compliqué de lutter contre leur nombre mais il faut tenir. Ces pauvres gens méritent de sortir d'ici et de retrouver goût à la vie. Alors je cale quelques caisse devant la porte pour qu'elle résiste mieux aux assauts des esclavagistes. Me dirigeant vers ma partenaire je lui glisse quelques mots.

> Je vais chercher une sortie avec les esclaves, pendant ce temps trouve une autres pièce où il y a des travailleurs et rejoins moi dehors. Une fois mis à l'écart on aura plus de marge de manœuvre contre cette organisation! dis-je en faisant se relever les esclaves.

Je vérifie que tout le monde me suit pour prendre la direction d'un couloir assez large. Heureusement jusqu'à maintenant il n'y a qu'un seul couloir. Des gardes arrivent en face. Ils sont deux et l'un est armé d'un mousquet.

> Couché vous tout de suite ! d'un ton sec et brutal je donne mon ordre. Tout le monde s'exécute par peur de mourir.

Je cours vers l'adversaire au mousquet et par peur et surprise il perd ses moyens. Une balle mal ajustée qui se loge dans un mur et je plante ma lame dans son thorax. Le second avec l'épée tente un coup de bas en haut désespéré. Je bloque sa lame avec la protection que j'ai sur mon avant bras gauche. Celui meurtrit par une balle. Il s'abaisse sous la force du coup mais ne se fait pas trancher. Par réflexe je lui assène un coup de pied dans le ventre alors qu'il se pli c'est ça tête qui se fait trancher.

Horrifiant certains esclaves je leur demande de se relever et de continuer notre route. Je crois que tout à l'heure j'ai parler trop vite. Il y a maintenant un carrefour à 4 sorties. Mais un seul d'où provient une petite brise. C'est celui ci que l'on empreinte.
Je ferme la marche pour les protéger des gardes et heureusement. Un petit groupe nous suit de près.

> Courez jusqu'en dehors et attendez moi dans un lieux sûr ! Braves gens, ils s'exécute presque automatiquement en accélérant leur allure.

Moi je me cache d'en un petit recoin du couloir. Dans le noir ils ne me voient pas et dès qu'ils m'ont dépassé je leur tombe dessus. De tout mon poids et lame en avant j'en assomme deux et en coupe un. Je termine les deux autres avec ma lame.

D'un coup, soudainement, je me dis que j'ai fait un bain de sang depuis quelques temps. J'ai tué bon nombre de garde, mais ça ne m'attriste pas vraiment car une autre pensée surgit dans ma tête. "Celle qui m'a sauvé la vie" .... Voilà, il faut que je la retrouve pour lui porter secours. Retraçant tout le chemin à l'envers je ne rencontre que deux gardes que j'assomme automatiquement avec un coup de point bien placé puis un coup de coude dans la tempe. De quoi les laisser dormir quelques temps.

J'accélère encore une fois pour retrouver celle à qui je dois ma vie.
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L'accès à leur salle venait d'être condamné par l'action de Candy, puis ce fut une autre porte qui se retrouva sceller par l'action de Zirco. C'était une bonne chose de faite. Maintenant, les gardiens n'allaient pas pouvoir leur tomber dessus en masse, du moins, il ne pouvait plus le faire de tous les côtés, car des accès il en restait pas mal.

Il ne fallait pas s'attarder plus longtemps ici. La sécurité des civils était une priorité et en tant que bon leader, le samouraï blesser se proposa. La tâche n'allait pas être facile, mais s'il était volontaire, c'était qu'il se sentait capable de réussir cette mission. Pas besoins d'être nombreux pour faire évacuer les esclaves, voilà pourquoi Candy resta en arrière afin de trouver un autre moyen d'atteindre l'autre côté de ses portes maintenant fermer.

La jeune femme scruta les lieux. Elle devait faire vite, car d'autres gardiens pouvaient lui tomber dessus. Après un rapide tour, elle ne constata que deux points possibles d'infiltration. Le premier était une porte ouverte qui menait vers un couloir à l'est. Le second était une bouche d'aération qui conduisait de l'autre côté de la porte qu'elle réussi à condamner.

Friand de l'action, la jeune femme ne choisi pas la facilité, donc l'option de la porte fut très vite laisse de côté pour aller ramper dans des conduits d'aération.

Utilisant ses bras, elle ne fit qu'une bouchée de la plaque de fer qui obstruait le passage. Accroupi, puis à genou, elle se glissa à l'intérieur et commença à évoluer tel une chenille qui se fraye un chemin à travers le gazon d'un jardin. Merci la métaphore.

Allonger dans le conduit, Candy passa tout près d'un groupe de gardien essayant en vain d'atteindre la salle qu'elle venait de quitter. Se faire tout petit n'était pas une option dans le cas présent. Elle se retrouverait dans une situation très délicate si elle venait à se faire repérer. Une balle pouvait vite avoir raison d'elle dans cette position.

L'obstacle franchi avec succès, la jeune femme se retrouva à descendre à l'intérieur du conduit, comme si elle franchissait un mur pour atteindre le sol, voir même se retrouver juste en dessous du sol. Deux minutes plus tard elle arriva à une nouvelle plaque qui se trouvait dans une nouvelle pièce.


"Je pense que je peux sortir maintenant."

Candy se retrouva dans une pièce avec très peu de lumière. Il ne semblait y avoir personne, du moins jusqu'au moment ou un bruit, puis deux, puis trois se mirent à chanter ensemble. Ses ennemis n'étaient pas discret. Cela jouait en sa faveur, elle allait pouvoir les défaire facilement avec l'effet de surprise.

Mais très vite la réalité changea. Ceux qu'elle avait prit pour des ennemis n'étaient que des esclaves enchainer au sol, la faim au ventre. D'ailleurs en voyant la jeune femme arriver, l'un d'entre eux se mit à pleurer et à supplier la jeune femme de lui donner de quoi manger, qu'il avait compris la leçon et qu'il n'allait plus jamais se plaindre du traitement que lui inflige les gardiens.

La vue de ces prisonniers et ces paroles d'un homme brisé énerva au plus au point la jeune femme, qui d'un simple mouvement décrocha facilement les entraves des prisonniers du mur. Elle n'avait pas de clé pour complètement les libérer, mais maintenant au moins ils pouvaient de nouveau se mouvoir et prendre la fuite comme beaucoup d'autres venaient de le faire.


"Prenez ce passage. Faites-vous discret, vous atteindrez une grande salle, avec de la chance vous trouverez une sortie. Battez-vous pour votre liberté."

Prisonnier : "Mer..Merci, mais qui êtes-vous ?"

"Une personne qui ne supporte pas l'esclavage."


Le conduit l'avait dirigé vers cette salle et à l'intérieur de ce réseau sous-terrain, il n'y avait qu'une seule direction, ce qui ne laissait qu'un seul choix à Candy, passer par la porte d'entrer pour sortir de cette pièce et continuer sa mission de libération.

Voilà comment la jeune femme fini par frapper à la porte. Un gardien poster de l'autre côté lui répondit. Surpris d'entendre un prisonnier capable d'atteindre la porte étant donné qu'ils étaient censé être enchaîné, l'homme tenta d'ouvrir la porte arme la première, mais le coup de poing violent de l'infiltrer fit voler en éclat la pauvre porte de bois et l'homme qui se trouvait derrière.


"Gauche ou droite ? Humm, allez a gauche."

Choix cornélien pour la jeune femme, mais qui fini par trancher rapidement de la direction à suivre. Sans doute aurait-elle du opter pour l'autre direction, car à peine venait-elle de marcher une dizaine de mètre qu'elle tomba nez-à-nez sur deux hommes armés.

La rage au ventre, elle distribua une série de coup à ses opposants assez nombreux pour faire passer une partie de la colère qu'elle emmagasina en voyant les pauvres hommes torturé par le manque de nourriture.



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Plus personne...

Enfin presque, il reste quelques esclaves oubliés dans un recoin de la grande pièce. En tapant d'un coup sec avec mon katana je réussi à les défaire de leurs entraves. Toujours par terre ils s'approchent de moi pour me remercier.

> Pas besoin de me remercier, il suffit de suivre ce chemin jusqu'au bout, il y aura un carrefour à un moment. Là, vous irez vers le chemin où vous sentez une petite brise. Les autres ex-esclaves vous y attendent. leur dis-je en leur montrant le chemin à suivre du doigt.

Donc celle à qui je dois la vie, ma sauveuse en quelque sorte n'est plus là. Je n'ai même pas demander aux esclaves s'ils l'avaient vu partir ou même ce faire enlever. Quel idiot j'ai fait sur le coup. Je dois alors partir à ça recherche, mais les esclaves doivent aussi être libéré. C'est peut être bien la priorité d'ailleurs. Il ne restait que deux chemins par lesquels ont pouvaient partir. Une bouche d'aération et une porte donnant sur un couloir à l'est. Mon choix fut sans nul doute d'utiliser la porte. Je traverse alors maintenant un long couloir peu large. De temps à autre il y a une porte sur l'un des cotés. Cependant des pièces vides c'est tout ce qu'il y a.

Partout pareil quoi que. Je découvre peut être ce que je n'aurais pas dû. Il y a une grande salle sur la droite du couloir. Elle est remplit de monde, d'esclaves ainsi que de garde. En observant de l'extérieur je dirais 100 esclaves pour environ 20 gardes. Les prisonniers sont enchaînés et conditionné pour leur futur tâche tandis que les tortionnaires ne font pas tous la même chose.

Sur les 20 gardes, 5 jouent aux cartes en misant de l'argent. Je suppose que si un supérieur venait à passer par là alors ils déchanteraient bien vite. C'est pas tout, 5 gardes semble faire ce pourquoi ils sont payé, c'est à dire surveiller les lieux. Il y en à 3 autres qui tentent d'abuser d'une des esclaves. Puis pour finir les 7 derniers rêves dans leur coin. Je dois intervenir mais ce n'est pas facile. Il y à tant de monde que ça peut tourner en bain de sang d'un moment à un autre. Je penche alors pour une approche beaucoup plus stratégique.

Je me baisse pour pas que l'on me voit par la porte et toque très violemment. Comme un enfant je cours pour ne pas être repéré et me cache près d'une porte dans la pénombre. L'un des gardes qui fait son travail sort pour voir ce qui ce passe. Il sort sa tête, puis ne voyant personne il sort complètement. Cherchant de droite à gauche il s'avance à l'opposé de ma position. Rien de mieux qu'un esclavagiste qui me tourne le dos. Je fond sur lui telle un rapace et bien qu'il se soit retourné , lui coupe la tête. Je ramasse alors son arme pour me défendre à distance. Ne voyant pas leur pote revenir les autres gardes qui travaillent viennent alors de mon coté. Je ne suis malheureusement pas un tireur d'élite, beaucoup de balles ont été utilisés, trop même mais au final ils sont morts.

Les autres s'alertent alors et sortent alors de la pièce laissant les esclaves sans surveillance. Le point négatif c'est que je suis alors tout seul contre 15 types armés de pistolet. Je n'ai plus de balle et mon katana ne me permet pas d'attaquer ou de me défendre à cette distance. Cette fois c'est peut être bien la dernière pour moi.

Quoi que des bruits fracassants sortent de la pièce des esclaves. En fait c'est un soulèvement, certains ont réussit à enlever leur lien et donc ont rapidement libéré les autres. Alors l'attention des gardes est divisée. Ne sachant plus qui regarder leur temps de réaction n'est que trop lente.

> NOOOON !!! Dis-je de toute ma voix !

Les esclaves s'étant eux même délivré se ruent sur les gardes et bien que certain meurt, parviennent à les submerger et à les écraser.

Déplorant quelques morts de notre coté je les emmène tout de même dehors par le chemin que je connais bien. Je remarque que nous avons déjà libéré un bon paquet d'esclave mais il doit en rester alors la mission n'est pas terminée. Encore une fois j'ai une petite pensées pour la demoiselle qui m'a sauvé et me demande si elle va bien. D'ailleurs je retourne encore une fois dans cette sordide entreprise, le bras gauche inutilisable pour tenter de la sauver à mon tour.
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Plus elle progressait dans les couloirs et plus Candy entendait des voix hargneuses et colérique. La libération des prisonniers et les dégâts causés à l'installation n'était pas du gout de tous. La jeune femme agissait tel que son père l'avait élevé, mais aussi parce que sa conscience lui disait que c'était la bonne marche à suivre. C'était dans ce genre de moment que la jeune femme aurait aimé que son père soit présent pour lui dire au combien il était fier d'elle et non dans ses combats de rue où il se déplaçait exclusivement pour lui faire la morale.

La jeune femme se laissait aller à quelques rêves, mais très vite elle retourna sur terre et à la situation présente en entendant une multitude de personnes se diriger vers elle. Pas la peine de faire le fou. Son travail ici était encore loin d'être terminé, alors évitons si possible l'affrontement et jouons discrètement. Quand le moment de combattre arrivera, elle sera la première à y aller, mais pour le moment il faut se faire petit. De ses agissements découleront des vies sauvées.

Se cachant à l'intérieur d'une pièce et laissant la porte ouverte de quelques millimètres, Candy observa la course folle d'une dizaine de gardiens se dirigeant vers son ancienne position. Visiblement sa cacher avait été la bonne décision, car les gardiens étaient très bien équipé.

Filet de capture, fusil à l'épaule. Masque à gaz. Sans doute avaient-ils eut la permission d'utiliser des grenades moutardes ou lacrymogène. Maintenant c'était plus que du sérieux. La situation échappait aux gardiens et ils étaient prêts à tout pour ramener le calmer et punir les tortionnaire rebelles.


"Je vais devoir faire vite!"

Faire vite, oui, mais pas n'importe comment. Candy devait continuer d'avancer et aller de l'avant, mais en faisant attention à ne pas provoquer la mort d'innocent. D'ailleurs elle n'avait toujours pas trouvé les parents de la petite fille. Peut-être faisaient-ils parti de ceux déjà libérer plus tôt, mais une boule dans son estomac lui disait qu'elle n'aurait confirmation qu'une fois l'ensemble des esclaves libérer, s'il y en avait encore.

C'est donc l'énergie du combattant en elle que la jeune femme quitta sa planque. Elle poursuivi sa marche. Monta des escaliers, arriva devant une porte, la poussa et vit qu'en contre-bas un soulèvement d'esclave provoqua les tirs de gardiens.

La jeune femme se trouvaient trop haut pour sauter, elle ne pouvait espérer que la hargne des esclaves surpassent la peur de la mort de ces gardiens armés.


"Nooon"

Si les esclaves réussirent à surpasser leur agresseurs, il n'en resta pas moins qu'équipé d'arme en feu, certain perdirent la vie. Devant un tel spectacle, Candy ne put retenir sa voix.

Arrivant sur les lieux où se trouvait la jeune femme un gardien lui donna un coup de crosse en pleine tête. Un coup direct en plein visage et voilà la jeune femme à terre. Si elle venait d'être la victime d'une attaque par surprise, elle n'était pas moins disposée à rendre le coup qu'elle venait de recevoir.

D'un mouvement de pied, elle fit tomber son assaillant. D'un autre mouvement, elle le désarma. Maintenant il n'avait plus d'arme et le reste du combat allait se dérouler à mains nues. Au corps-à-corps, la jeune femme était en position et force.

Plus rapide et agile, Candy se releva la première, suivi du gardien. Premier mouvement d'esquive, second mouvement et le gardien venait de voir ses deux attaques ne donner aucune suite. Par contre profitant des largesses de celui-ci, Candy n'eut aucun mal à attraper son bras droit et à le briser net.


"Toi! Dis-moi où se trouve ton chef."

Plus rapide et agile, Candy se releva la première, suivi du gardien. Premier mouvement d'esquive, second mouvement et le gardien venait de voir ses deux attaques ne donner aucune suite. Par contre profitant des largesses de celui-ci, Candy n'eut aucun mal à attraper son bras droit et à le briser net.

La douleur d'un bras qui vient d'être brisé ajouter à cela une prise de soumission et voilà comment rendre un homme aussi serviable et docile qu'un chien. Se rendre au chef, en voilà une bonne idée. Pour faire en sorte que tous se stoppe d'un coup, il fallait vaincre celle qui se trouve à la tête de cette entreprise.

Vaincre le chef pour mettre fin à la guerre. Une stratégie vieille comme le monde.


"Pas de mensonge ou je te brise l'autre bras."



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Pour attendre ce qui est perdu il faut sois même se perdre.

Voici mon idée génial pour retrouver la jeune femme qui m'a sauvé la vie. Je ne saurais dire si cette tactique marchera mais en tout cas je l'espère. Alors pour cela je déambule dans les couloirs. Prenant une fois à gauche, une fois à droite. Tous les moyens sont bon. En tout cas c'est un gros travail de se perdre. Parfois j'emprunte le chemin d'une porte en faisant attention de n'alerter personne puis je ressort de l'autre coté. Je ne veux plus me battre inutilement. Mon bras gauche quasi inerte est une sorte de sonnette d'alarme. De plus j'ai été sauvé par une femme. Ce n'est pas que ça me dérange mais mon honneur à été mis à l'épreuve. Je comprend maintenant qu'il faut limiter les combats plutôt que de foncer tête baissé dedans. Bien sur s'il s'impose je ferais honneur à mon appartenance. Je ne me défilerais pas et me battrais vaillamment. Pour l'heure je suis enfin perdu.

J'ai réussi à me perdre mais aucune trace de la jeune fille aux cheveux roses. C'est encore trop tôt. Il suffit que je me perde un peu plus et je la trouverai j'en suis sur. Alors je continue à vagabonder lorsque j'entend un vacarme pas possible. Je regarde par la vitre de la porte et c'est un soulèvement que j'aperçois. En fait, les esclaves se soulèvent contre les gardes. Certain meurt mais leur nombre les avantages. Il faut cependant que je limite la casse chez les esclaves. Pour cela je rentre discrètement en faisant attention à ne pas me faire repérer. Ensuite je me glisse dans le dos d'un garde que j'assomme alors qu'il s'apprêtait à tuer un groupe de résistant. Ensuite je coupe deux gardes par surprise et je rassure quelques captifs.

Je marque une pause car mon bras gauche me fait souffrir. Il saigne beaucoup et est ballant. Je prend alors le temps de regarder autour de moi et par miracle aperçois ma sauveuse. Je cours vers elle. Mais elle était en hauteur, alors avec un seul bras c'est quasiment impossible de grimper. Impossible sauf pour un homme dont l'honneur est mis en jeu. Contre toute attente j'y suis parvenu et je suis maintenant en face d'elle. La jeune femme en train de soutirer des informations à un malheureux garde qui d'ailleurs semble avoir le bras cassé vu la courbure qu'il a. Je m'approche donc doucement vers elle et lui tapote l'épaule.

> Je vous ai enfin retrouvé. Cela a été long mais maintenant nous sommes réunis. Allons voir le maître des lieux ensembles pour lui expliquer notre vision des choses. Un peu de rage peut être perceptible dans ma voix.

Comme quoi lorsqu'on se perd on finit par retrouver ce qui était perdu.
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Avec un guide qui connaissait très bien les lieux, la jeune femme ne perdit pas de temps et alla directement à l'essentiel. Plus le temps de prendre des chemins hasardeux pour tomber sur des culs de sac où devoir se cacher afin d'éviter une ou deux patrouilles. Grâce à son otage, elle réussit à se frayer un chemin en moins d'une dizaine de minutes jusqu'à un carrefour qui la conduit directement au niveau d'une grande salle où il n'y avait plus que quelques mètres à parcourir selon son informateur.

S'il fallait les parcourir afin d'arriver à la personne qui se trouvait à la tête du réseau, alors ils allaient les franchir ces mètres. Plus rien n'allait stopper la jeune femme.

Marchant vers son destin, la jeune pirate fut surpris par l'apparition du samouraï. L'homme avait eu pour mission de faire évacuer les esclaves de l'usine et de les conduire en lieux sûr. S'il était arrivé jusqu'à elle, cela voulait dire qu'il devait avoir réussi la tâche qui lui avait été confiée où qu'il avait dû y renoncer pour quelques raisons que ce soit.

Mais au vue de l'enthousiaste de celui-ci à mettre un terme aux activités de la personne qui contrôlaient cette usine, Candy opta pour la première option. Il devait avoir réussi, mais à quel prix ? D'un regard dans sa direction la jeune femme remarqua son état de santé. L'un de ses bras semblait inutilisable, pour ne pas dire qu'il l'était.

Continuer à bouger malgré la douleur ne devait pas être facile, sa détermination devait être grande pour supporter une telle douleur et garder son calme comme s'il n'y paraissait rien. Cet homme devait avoir enduré un entraînement des plus extrêmes.


"Toi ton bras ! Tu es certain de pouvoir continuer ?"

Il ne fallait pas se mentir, avec un bras dans un tel état, le samouraï perdait une grande partie de ses capacités. Ne le connaissant pas, la jeune femme ne pouvait savoir si même diminué, il était encore capable de lui venir en aide.

L'entêtement n'est pas un signe de force, même quand la cause est juste et louable. S'il n'était pas en état, il lui était préférable de rester en arrière et d'attendre le dénouement de cette histoire. Devait-elle être aussi franche et lui jeter à la figure qu'avec un bras en moins, elle n'avait pas besoin de lui ? Candy n'en fit rien. Elle ravala ses paroles et se mit à avancer.


"Ne meurt pas inutilement !"


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