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Lorsque les montagne couvre les cieux .

Le soleil ce lève sur l'île de Bliss, la brise légère du matin apporte avec elle les senteurs d'iode de la mer. La ville est encore assoupie mais déjà un homme, d'une vingtaine d'année s'entraine sur la plage. Le jeune homme s'entrainait pour perfectionner son style de combat assez... spécial. C'est long cheveux blond ondulaient au grès du vent et sont corps musclé bougeait comme celui d'un patin désarticulé. Mais pourtant dans ce style on retrouvait la grâce des félins. Ameko s'entraina comme ça toute la matinée avant de relâcher ces efforts vers les midis. Il s'assit dans le sable et sortit ses sandwichs qu'il avait préparer et mangea en regardant l'étendue bleu qui s'étendait devant lui et là il ne pus s'empêcher de ce remémorer le temps ou il fut sur le bateau avec ces amis pirates.

Le rhum coulait à flot, et l'esprit bon enfant y était toujours présent. Et dire qu'il était encore qu'un jeune adolescent quand il prit cette route pleine de danger... Mais c'est ce que voulait Ameko, une vie pleine d'aventures en tous genres, malheureusement ses compagnons l'avait laissé derrière car encore trop jeune pour rejoindre grand line. Mais il lui avait promis qu'ils reviendraient et que ce jour là Ameko les rejoindrait. Mais voilà déjà plusieurs années qu'ils l'avaient laissé sur une petite île de South Blue et qu'entre temps Ameko avait fait quelques méfaits.

Mais en ce jour Ameko ne rêvait que d'une seule et unique chose: quitter cette île et rejoindre un équipage de pirates tous plus allumé les uns que les autres et ainsi vivre l'un de ces rêve le plus chère. Mais il remarqua alors qu'il avait déjà fini son repas sans s'en rendre compte. Il sortit alors une de ces douceurs favorites, il enleva le papier avec une délicatesse infinie et porta la sucrerie à sa bouche. Et la les saveurs éclatèrent dans sa bouche et sur ses papilles. Le mélange de l'acidité du citron avec la douceur de la pomme verte. Ameko ferma alors les yeux et s’allongea sur le sable chaud et commença à faire une petite sieste. Mais lorsqu'il commença à s'endormir, le blond faillit s'étouffer avec sa sucette. Après cet épisode malheureux vous auriez peu être pensé qu'il allait arrêter les sucrerie, à ceci Ameko vous dira qu'il est plus difficile de lui faire arrêter le sucre que de faire arrêter un fumeur. Ameko commençais de ce relever quand soudain le soleil disparut. Ameko se figea sur place et n'osa plus bouger a cause de ce changement brutal de la météo...
    Féééé Choooooooooooooooooooooo

    Voici comment commencera notre étude du jour : "survie d'un géant acéphalique en milieu semi-urbain par temps de canicule."

    Cela dit, avant de vous expliquer le pourquoi du comment, et d'arriver à l'observation en elle-même, je propose que nous faisions un rapide point sur la situation initiale, ainsi que les évènements qui ont précédés celle-ci.

    Tout avait commencé donc alors que lors de l'une de ses multiples errances, le sujet avait apperçut une mouette, que l'on appel plus communément Birdis Volantus Hurlantes Cassburnix venue nargé Kiki, son si respectable poux. Ni une ni deux, il avait décidé instinctivement d'aller corriger la demoiselle en lui courant derrière par monts et par vaux. Sa course en elle-même sera peut-être le fruit d'une autre étude, mais pour des contraintes de temps, nous passeront directement à l'arrivée.

    Ainsi, au bout d'un certain temps de course et de nage, le spécimen d'étude c'est retrouvé au royaume de Bliss, durant une periode de l'année où il faisait particulièrement chaud. Ayant oublié la raison de sa venue sur cette île (pour changer), Braff décida donc d'arpenter l'île pour rejoindre la ville qu'il pouvait voir au loin, parce qu'il avait un petit creux, et que dans une ville on trouvait à manger. Il arrivait même qu'il n'y ai pas besoin de massacrer les habitants pour ça!

    Voilà à peu prêt où en est le récit au moment de notre étude. Nous avons un Braff dans son armure complète, avec son casque sous le bras et sa tête trop haute pour décemment se permettre d'ignorer les rayons du soleil qui viennent vilement taper son pauvre crâne. Notons d'ailleurs que malgré l'extrème température qui s'élève de la plaque d'acier qu'il a sur le crâne sus-nommé, les capacités mentale du géant ne sont pas réduite. Nous avons donc une magnifique preuve que rien ne peu diminuer d'avantage le niveau intellectuel d'un géant acéphalique.

    Donc, comme vous pouvez le constater, Braff avance tranquillement jusqu'à la ville en suant comme un gros porc en anorak dans un four à 200 degrés, chaleur tournante. Et pour nos amis de la SPA au fond, ne vous inquiétez pas, le porc est bien entendu vivant !

    De son point de vue, nous pouvons clairement distinguer le phare placé à l'entrée du port, ainsi que les deux bases de la marine qui dominent la ville. En faisant attention, nous pouvons même entendre les multiples bruits provenants de la gigantesque cité, même si la distance et le manque d'acuité des oreilles de géants font que ces sons sont très faibles, et inidentifiables. Remarquez la beauté de la mer reflétant la lumière du soleil, portant quelques navires de pêcheurs, et encore plus loin, presque à l'horizon, voyez ces magnifiques silhouettes à multiples mâts. Ce sont les messager de la richesse, les navire de la flotte marchande de la flotte de Bliss, accompagnés par quelques navires de la marine lourdement armés. A droite, nous pouvons voir les fermiers rentré d'une matinée de labeur dans les champs, les bras chargés de blé.

    Ya pas à dire, pour les paysages, c'est génial d'être un géant.

    Cela dit, il est bon de souligner que l'attention du sujet d'étude n'est pas attirée, pour une fois, par la nourriture qui déambulait partout, mais par l'immense quantité d'eau qui se trouvait sur sa gauche, juste au bout de l'étendue de sable. Oui monsieur on appelle ça la mer, ou bien Bleutasse Gigantescus Monotonis. Et pour répondre à votre question madame, si le sujet accorde autant d'importance à cette eau, c'est qu'ignorant le fait que l'eau salée ne déshaltère absolument pas, il pense qu'il a là un excellent moyen d'atténuer sa soif grandissante.

    Admirez d'ailleurs la manière dont il s'élance en hurlant de joie! On dirais un enfant à qui on propose une sucette. Et au fur et à mesure qu'il s'approche en courant de la cité, remarquez tout ces cris de paniques de la part de la population qui en plus de sentir une odeur nauséabonde voit le sol trembler. Pour un peu on pourrait même distingué les hurlements de mystérieux prêcheurs annonçant la fin du monde. C'est mignon, si on fait attention il y en a un là-bas qui est en train de distribué des formulaire d'inscription à sa secte!

    Ahah, mais vous remarquez quelque chose de très interressant monsieur ! Braff a en effet le pieds qui s'approche dangereusement d'un pauvre homo sapiens pas si sapiens que ça qui somnole docilement sur le rivage avec une sucette à la bouche. Vu le poids d'un tel peton, il serait très étonnant qu'il survive à cela, mais bon, considérant le fait que l'odeur et le tremblement du sol ne l'ont pas alerté, on peut se dire que cela ne serait que la sélection naturelle. Et pour la demoiselle qui est en train de protester dans le fond, sachez que Braff est un géant, et qu'il est trop bête pour avoir une idée telle que baisser la tête pour regarder où il marche, et ça m'étonnerais que vous le fassiez pour vérifier si vous ne piétinez pas les fourmis.

    Heureusement pour notre jeune homme là bas en bas, voilà que le pied s'arrête à mi-parcours, ce qui plonge le garçon dans la pénombre. L'attention du sujet d'étude vient en effet d'être attirée par un objet volant non identifié. Non mademoiselle, ce n'est pas un avion, non monsieur ce n'est pas un boulet de canon, non, ce n'est pas non plus un homme de l'espace vétu de collant venu pour sauver le monde. C'est juste un vol de perdrix ayant décidé que l'heure était venue d'effectuer leurs traditionnelles voyages initiatiques ayant pour but de rejoindre une île chaude ou passé les vacances.

    Ouazoooooooooo

    Nous pouvons voir d'ailleurs que sa contemplation a monopolisé l'intégralité de ses facultés mentales puisqu'il se retrouve à contempler les créatures migratoires avec la jambe levée, et sans se dire qu'il serait plus stable de poser le pied sus-nommé. Comment monsieur? Oui oui, c'est bien de la fiente qu'il a au bout du nez. Et il ne serait sans doute pas étonnant qu'il garde cette tâche jusqu'à son prochain voyage en milieu aquatique.

    Ah voici qu'il ramène son pieds vers le sol, un peu sur le côté par rapport à la position initialement prévue. Comme nous pouvons le constater par le nuage de sable soulevé au moment de ce contact, le poids d'un géant acéphalique doit être particulièrement important. Cela dit nous avons une bien plus grande curiosité au niveau du niveau de réflexion actuelle du spécimen. Et oui mon respectable confrère ne soyez pas si choqué, Braff peut utiliser son cerveau, donc, si vous pouviez réveiller la dame évanouit un peu plus loin, je vais continuer mon explication.

    Donc par un mystérieux enchainement d'idées qui lui ont fait perdre de vue sa soif, le sujet d'étude à pensé à des rotis divers et variés qui lui ont donné faim. Le voilà d'ailleurs qui baisse le regard vers le malheureux humains qui a manqué d'être transformé en Big Mac sans épaisseur. Ah, je vois que l'image a été parlante pour la demoiselle qui vomit au troisième rang!

    Voyez cette immobilité caractéristique de l'être acéphalique, avec la tête légèrement inclinée, la bave coulant doucement sur ses lèvres puis son menton, pour finalement tomber au sol et former une formidable flaque d'eau! Pour ceux qui sont les plus attentifs, vous remarquerez que le sujet d'étude à le regard fixé sur le petit bonhomme devant lui, et qu'il le regarde un peu comme un lion regarde un steak haché, ou comme un chat regarde amoureusement l'assiette que vous venez inocement de sortir de votre four.

    Au bout de quelques longues minutes à saliver assez pour remplir d'eau la baignoire de la salle de bain des préfets d'Harry Potter (vive la culture de haut niveau), nous pouvons remarquer qu'il y a enfin une réaction de la part de notre sujet d'expérience. Vous pourrez en effet constater comme moi la vitesse rivalisant avec celle d'une tortue tricentenaire rumatisante, à laquelle Braff lève le bras pour pointer son gros doigt vers l'humain. Et non monsieur le pervers du fond de la salle, je parle de son index!

    Voilà, maintenant qu'il montre le valheureux garçon, je propose que nous écoutions avec attention ce qu'il va dire au garçon devant lui.

    Menjéééééééééééééééé?


    Comme vous pouvez le voir, le jeune être humain là-bas en bas, se retrouve face à une véritable question existencielle : comprendre ce que le géant lui dit et trouver au plus vite un moyen de le sustenter, ou bien ne pas comprendre et être le moyen de sustentation du géant. Il parait que la deuxième option est douloureuse et mortelle, mais bon, je ne voudrais absolument pas influencer le choix du cobaye par de telle réflexions!