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Le concours de circonstance! [PV Robina]

Voyez-vous partir a l'aventure peut paraitre être la plus magique des choses! Le liberté, l’imprévisibilité de chaque jour peut se trouver être un véritable délice dans un moment complétement fou et obnubilé par une seule chose.... Les berrys..... Pourquoi me demanderait-vous? L'avarice? La cupidité? Que nenni malheureux! Simplement par soif d'aventure! Pourquoi? Parce qu'on a besoin d'argent pour voyager! Et comment je le sais? Parce que j'ai eu l'idée délirante de partir a l'aventure sans un rond en poche! Et que maintenant je passe plus de temps a essayer de gagner de l'argent pour me nourrir qu'a voyager, voila pourquoi!

.... Pourquoi me suis-je mis tout seul dans cette galère? Cela dis, je n'avais jamais autant usé de ma capacité de volé, et a voyager en temps que passager clandestin qu'avant tout ça! Cela avait quelque chose d’excitant, même si la plupart du temps je n'avais pas la moindre idée de ma destination et qu'a ce rythme j'étais loin de retrouver Ed'.... Une petite ironie, surtout qu'il était devenu assez célèbre dans le coin notre petit avare.

Toutefois, je devais bien avouer avoir souvent une bonne étoile scotcher au dessus de la tête, cette fois encore la chance semblait le sourire. J'avais été embaucher au hauteur de 10.000 berry, afin d'assuré le spectacle durant un concours de cuisine qui aurait lieu dans le coin d'ici quelques jours. C'est donc assez patiemment que je me payer mes quelques frais en faisant mes tours, profitant du toi et de la couche qu'une jeune femme du coin m'avais offert en échange de quelques cours particulier..... Ouais.... Je n'étais pas le plus malheureux des hommes et loin de la. Certainement que le côté inhabituel de mes yeux plaisait a certaines personne au final. Dommage que cela n'était pas l'avais de la plupart des gens.  

J'avais l'habitude qu'on me regarde comme une curiosité.... Mais bon, cela n'en rendais mon travail que plus facile au final. Je me levais, le grand jour été enfin arriver, la scène avait été préparé en amont, mes répétition s'était montré plutôt réussi..... Plus que passer quelques heures et j'aurais enfin un vrai salaire! Chose qui ne m'arriver pas tout les jours, et loin de la!

Il y avait pas mal de monde, pas mal de concurrent, tout était parfait dans la plus belle des journées! Je commencer a faire mon premier numéro de jonglage avec des couteaux, réussissant a en faire "apparaitre" puis "disparaitre" certain en cours de route, j'avais obtenu un plutôt bon accueil, il était maintenant temps de présenté les candidats a la foule, et surtout de commencé le concours de cuisine!

Je me demandais si je pourrais gouté certain plat.... OH OUI! J'allais passer une excellente journée, j'avais déjà hâte de voir le résultat. J'avais encore deux interlude a faire, du gâteau! surtout dans un concours de cuisine. Je n'avais vraiment aucune idée de ce qu'il pourrait mal se passer, même si je me doutais que la récompense de 100.000 berry avait tout de même de quoi attiré les convoitises.  
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Une nouvelle île pour Robina. Elle n’avait pas pris un poste de chef pour une fois, elle était venue sur celle du moment parce qu’elle avait entendu dire qu’il y avait des saunas, des sources chaudes, et en somme de quoi se détendre. Après sa dernière enquête, son combat et la prime qu’elle avait récupéré, elle s’était dit qu’elle méritait des vacances.

Elle s’était donc mise en tenue de vacance, une chemise légère, des tongs, des lunettes teintées, ses cheveux longs attachés, elle se baladait avec son sac sur le dos, ses casseroles tintinnabulant derrière elle, elle venait de prendre une chambre dans une auberge au centre de la ville. Un lit douillet l’attendrait donc ce soir. Ne voulant pas perdre ses affaires et ayant ses liquidités dans son sac, la lanière de cuir de son sac en travers du torse, elle visitait la ville en tournant le visage à gauche et à droite.

Un concours de cuisine qui allait bientôt commencer, elle allait se rapprocher quand elle s’éloigna, elle était en vacances. Pas de cuisine, pas de poêle, à part celles qui font du bruit, pas de couteaux, rien ! Mais vous connaissez le dicton, chassez le naturel, il revient au galop. Elle venait de faire le tour rapidement, un peu trop rapidement pour avoir marché normalement, seulement quinze minutes pour voir des dizaines de boutiques, restaurants et autres établissements de détentes, c’est court, trop court.

Elle se mentait un peu à elle-même, mais ça n’était pas grave, la passion brûlait en elle. C’est une bonne chose d’être passionné, vous ne pensez pas ? La voilà en train de se rapprocher, le concours allait commencer. Il semblait y avoir du chahut. Un des concurrents ne s’était pas présenté, il semblerait qu’il y avait eu un problème dans l’établissement où il cuisinait normalement et qu’il ne pouvait pas venir, on cherchait donc un remplaçant pour avoir le bon nombre.

Elle ne participerait pas, elle était en vacances, elle devait se détendre, alors pourquoi ses pieds la rapprochaient petit à petit du juge qui semblait être affolé ? Peut-être que parce qu’elle n’arrivait pas à s’en empêcher, même en étant en vacances, en voulant se reposer et se détendre, elle n’arrivait pas à oublier ce qu’était sa véritable passion. Enfin, elle en avait d’autres, heureusement, mais c’était celle qui la faisait vivre, celle qui la faisait rêver, de nouvelles recettes, de nouvelles façons de travailler, c’était infini.

Bonjour, il semblerait que vous cherchiez quelqu’un pour remplacer le concurrent manquant. Ça ne vous dérange pas si je participe à sa place ?

Quoi ?! Vous êtes cuisinière ? Parfait, alors ! Parfait ! Mettez-vous en place là-bas, je vais faire l’annonce et nous allons commencer dans quinze minutes, j’espère que vous savez improviser, les autres participants ont été prévenus du thème à l’avance, vous vous avez le temps que je viens de vous donner pour vous rappeler d’une recette à base de fraise.

Un membre de l’équipe organisant le concours la guida vers son coin où elle ferait la cuisine durant les prochaines heures. Le matériel de base, tout ce qu’elle avait dans son sac ne lui servirait à rien, à part sa mallette de couteau qu’elle détacha d’un geste rapide de son sac. Pas très loin d’elle, un jongleur, pourquoi un artiste de rue se trouvait là à amuser la galerie, elle ne le savait pas, mais il semblait plutôt adroit de ses mains.

Pour s’amuser, elle récupérer une de ses spatules en acier et la lança sur l’homme aux yeux noirs. Un peu étrange, mais elle avait vu des choses bizarres depuis qu’elle était partie de Sanderr, alors une de plus ou de moins, ça ne changerait pas grand-chose. Enfin, la spatule vola dans les airs et bien que surpris, le jongleur la récupéra au vol avant de l’incorporer à son numéro.

En train de sourire, la chasseuse de primes oublia pendant un instant qu’elle faisait partie intégrante du concours maintenant et s’amusa à rajouter une louche, une poêle, une autre spatule. Elle allait rajouter d’autres ustensiles quand l’homme avec qui elle avait discuté un peu plus tôt lui dit d’arrêter, car le concours allait commencer, elle allait devoir récupérer ses instruments plus tard.

Pour l’instant, il était l’heure de cuisiner et de faire chanter les aliments. Elle passa son tablier autour de la taille, noua ses cheveux, remonta sa chemise au-dessus des coudes et se mit au travail.
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La démonstration allait en bon train, et a vrai dire j'étais plutôt satisfait de l’accueil de mes tours. C'est vrai que voir un artiste de rue se produire pendant un concours avait quelque chose d'assez inhabituel, mais je suppose que le côté spectacle avait quelque chose pour attiré l’œil du public. Je suppose que les parfums réussiront d'autant plus a capturé l'attention, une recette pour allié a la fois le visuel et l'odorat. D'un certain sens, l'organisateur avait fait preuve d'audace et j'aimais bien ça, j'appréciais d'autant plus faire mes tours, ne cessant jamais de sourire. Soudainement, voici qu'une participante se mis a jouer le jeu et a rajouté du matériel a elle dans mon tours de jonglage.

Elle en rajoutais de plus en plus, mais j'acceptais le challenge! Je m'en sortais pas si mal, même si jongler avec ce genre d'ustensile n'est pas forcement ma plus grande habitude. Un bon jongleur dois savoir jonglé avec tout ce qui lui passe par la main, puis ce fut une façon ludique de lier mon univers avec celui de la cuisine. Ceci dis, cela n'allait pas duré, l'organisateur recadra la jeune cheffe en lui disant de se reconcentré sur le concours. Au final il avait plutôt raison d'après moi, mais au moins on aurais bien rigoler. L'heure de mon premier salut, ce fut maintenant au chefs de ce mettre a l’œuvre et les parfums rendait la journée pour le moins agréable.

Tout allait en bon train, et je ne voyais que peu de chose qui pouvait venir et ruiné la journée, hormis peut-être une bande de malfrat qui en voulait a l'argent de la récompense.... Du style du groupe d'affreux jojo qui se mirent a débarquer quoi! La, on commencerais a avoir un problème dans le sens ou si l'argent était volé, je n'aurais certainement pas mon salaire non plus et ça c'était pour le moins hors de question! C'est vrai que je m'étais bien amusé, mais je n'avais pas fais du bénévolat pour le coup.

Ceux-ci commençais a réclamer l'argent alors que la foule commençais a s'éloigner, j'avais du mal a croire que la marine arriverais tout de suite. Je ne savais même pas si il y avait une base de la marine dans le coin. Ils étaient une dizaines de malfrats....  Bon, ca allait être serrer mais je suppose qu'il y avait moyen de s'en sortir tout de même non? Je prenais un couteau de lancer dans chaque main, je suppose qu'il allait être temps de montrer que je ne sais pas que jongler.
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Et voilà, les ennuis. À croire qu’elle les attirait, franchement, un concours de cuisine en pleine place de village sur une île avec des bains thermaux et un lieu de villégiature. Il y avait combien de chance pour que des pirates fassent irruption pour l’attaquer, surtout que le prix était ridicule, tout juste une centaine de milliers de berries. Un mois de salaire, il est vrai, mais avec ce qu’elle avait récupéré il y a peu de temps, elle n’était pas à cette somme prête.

Un fouet dans la main, alors qu’elle allait battre ses œufs, elle fusilla du regard les nouveaux arrivants. Même pas le temps de faire un concours tranquille, bon, elle n’y tenait pas tant que ça, mais au moins si elle faisait quelque chose, elle voulait aller jusqu’au bout. S’armant d’une poêle elle se planta devant une des fripouilles. Elle leur lança un regard noir avant d’armer son bras gauche, le principal, elle était gauchère, avant d’abattre violemment le cul en fonte de son appareil sur la mâchoire. L’homme vola dans les airs avant de rencontrer ses complices, qui se retrouvèrent le cul par-dessus tête. Bon, c’est vrai qu’elle n’y était pas aller avec le dos de la cuillère, après tout, c’était une poêle en fonte.

Avec cette attaque pas piquée des hannetons, elle se tourna vers celui qui semblait être le chef de la bande. Un homme fin, grand, environ trois mètres, il regardait tout le monde de haut, à cause de sa taille, mais aussi à cause de son orgueil. Les cheveux blonds, le regard vert, il toisa la petite de presque deux fois moins sa taille en se baissant.

Eh bien mademoiselle, vous ne vous laissez pas faire vous ! Vous savez à qui vous avez affaire au moins ? Je suis Archibald Du Rocher. Un pirate redouté sur tout South Blue, je ne prends que ce que je veux, et en ce moment, c’est le prix de ce concours qui me plaît à acquérir. Néanmoins, vous avez piqué ma curiosité. Je vous propose donc de régler cela dans les règles de la piraterie. Qu’en pensez-vous ? Cela vous laisse ainsi une solution pour me vaincre alors qu’il n’y a que peu, voir aucune force de la marine en ces eaux.

Et j’y gagne quoi moi exactement ? Je pourrais très bien vous vaincre avec ma poêle maintenant tout de suite sans me casser la tête. Et après, je fais la même chose avec vos hommes.

Parce que voyez-vous, il n’y a pas que les hommes que vous voyez ici sous mes ordres. Plusieurs ont pris des personnes, présentent en tant que spectateurs, en otage. Si vous ne suivez pas mes règles, vous ne ferez qu’avoir des victimes sur la conscience et du sang sur les mains. Chacune de vos victoires se verra libérer plusieurs otages, mais chacune de mes victoires me verra prendre une partie du prix du concours. Vous marchez ? Un grand sourire sur le visage, il tendit une main aussi grande que la tête de notre chasseuse de primes.

Pour sauver les otages et garder tout le monde en sécurité elle serra la main de notre pirate qui partit d’un grand rire.

Bien, maintenant à vous de trouver un ou deux équipiers, vous aurez ainsi trois compétitions qui vous feront affronter mon équipage. Vous avez deux minutes, sinon vous serez disqualifié, ne pouvant participer pour faute de candidats.

Une pointe de sadisme, le capitaine pirate regardait la cuisinière chercher quelqu’un ou plusieurs personnes pour l’aider.
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Alors que de mon côté, je me préparai au combat, je n'eus pas vraiment le temps d'agir lorsque je vis la fameuse candidate fan de jonglage se ruée armée d'une poêle sur l'un d'entre eux avant de lui mettre une attaque des plus dévastatrice. Pour le coup, je cessais de bouger, et bien, mine de rien c'étais qu'elle était plutôt costaud malgré son physique. Elle me semblait bien plus forte que moi, mais étant plutôt de son côté, c'est pas vraiment avec crainte que j'écoutais l'échange qui aller se déroulé.

Le chef de la bande de pirate disait être craint dans toute la South Blue, quelqu'un capable de s'emparer de tout ce qu'il désire sur cette terre. Eh bien, un sacré palmarès d'après ses dires, mais pour le coup je n'étais pas du genre à me débiner surtout que j'avais une femme armée d'une poêle pour m'aider, à moins que ça soit moi qui l'aide ? Qu'importe. Alors que le combat aurait pu débuter, le forban dénommé Archibald Du Rocher, fis une bien étrange proposition. Eh bien je devais avouer que je trouvais l'idée plutôt fun, pourtant pas né de la dernière pluie. J'avais de très sérieux doute sur le fais qu'il soit très réglo, je n'attendais pas vraiment longtemps avant de me porter volontaire.

Je faisais un pas, après tout, j'ai toujours été un joueur, parfois pour le meilleur, souvent pour le pire. Il fallait jouer, alors nous allions jouer. Je regardais la cuisinière en rangeant mes couteaux :


" - Tu veux faire équipe avec moi ? "


Je sentais le regard dédaigneux sur pirate sur moi, alors que de mon côté, je lui lançais mon plus beau sourire. J'avais tout de même un don, pourquoi tout ce que je fais fini toujours par tourné d'une manière inattendue? Pourquoi n'avais-je jamais un peu de calme entre deux tempêtes? Après tout, la monotonie d'une vie tranquille ne pouvait pas me faire mal. C'est vrai quoi...

Je lançais un léger rire, peut-être que j'étais né sur sous une belle étoile ? Après tout, quel serait l'intérêt d'une vie si pathétique ? Nous n'avons pas assez de temps sur terre pour en perdre comme des zombies. Je ne veux pas d'une vie calme, je n'en ai jamais voulu. Pourquoi serai-je devenu magicien si je ne souhaitai pas me confronter a l'impossible ? Je gardais mon sourire, un magicien s'en sort toujours et si c'était sur un jeu, alors je ne perdrais pas, pas avant de l'avoir surpassé lui.
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Le jongleur voulait faire parti de l’équipe, pas son premier choix, mais elle n’aurait pas à courir après quelqu’un pour en trouver un de plus. Cependant, ses connaissances en jonglage et sa dextérité lui offriraient un avantage si elle avait besoin de finesse. Elle l’accueillit avec un grand sourire et lui sera la main. Elle se retourna alors vers le capitaine.

Et combien de coéquipiers ai-je le droit d’avoir ? Parce que je suppose que je ne peux pas en avoir beaucoup.

Laissez-moi réfléchir. Le pirate se remit sur ses jambes et monta les yeux au ciel, un grand sourire sur le visage, il n’avait jamais perdu cette petite compétition. Il n’avait pas pensé que la petite cuisinière tomberait si vite dans ses filets. Eh bien, vu que vous avez déjà trouvé votre premier coéquipier, vous êtes déjà éligibles à notre petit spectacle. Vous avez encore de la place pour trois autres personnes, cependant il ne vous reste que dix minutes, tic-tac les enfants, tic-tac.

Un regard mesquin, malsain braqué sur les deux héros le chef des pirates partit d’un petit rire avant de préparer les épreuves auxquelles allaient participer nos deux compagnons de fortune. La première épreuve regroupait déjà une centaine de personnes dans un bâtiment, un signal et son équipage mettrait le feu. Pour se venger de l’attaque de Robina ou d’Alaaric qui pourraient avoir envie de se rebeller ou pour lancer le début de la première compétition.

Dans le temps imparti, notre chasseuse de primes put regrouper les trois autres personnes de son équipe. Un homme-anguille, et deux hommes qui voulaient mettre dehors ces pirates, ils auraient bien mis leur poing dans la figure du capitaine, mais ils allaient devoir jouer son jeu. Ainsi, ils se postèrent devant Archibald. La compétition allait pouvoir commencer.

Je vois que toute votre petite équipe est maintenant réunie. Bien, bien, bien ! Votre première épreuve est déjà prête ! Si vous réussissez, vous pourrez sauver les otages qui sont enfermés à l’intérieur, sinon, certains mourront ! Votre but est simple, vous devez éteindre les flammes que mes hommes vont allumer autour de ce hangar. Si vous ne réussissez pas à le faire, les otages à l’intérieur mourront et ça n’est pas ce que vous voulez ? N’est-ce pas ?

Très bien, que la partie commence !

C’est à ce signal que les pirates enflammèrent les tonneaux de naphtes autour du bâtiment. Les flammes partirent haut dans le ciel en quelqu’un instants, on pouvait déjà entendre les otages hurler à l’intérieur, la chaleur s’accumulant dans l’entrepôt. Ils sentaient leurs fins arriver. Sans même réfléchir, la Sanderrienne passa ses ordres, des seaux d’eau, de la terre, de quoi étouffer les flammes, en somme tout faire pour empêcher le feu de se propager.
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Sans trop d'hésitation, la cuisinière acceptais de m'intégrer a son équipe. Nous étions déjà deux, lorsque le capitaine pirate décréta que nous avions encore droit a trois partenaires supplémentaire. De mon côté, je restais plus ou moins silencieux, le choix revenait à la cuisinière et puis en toute honnêteté, je n'avais qu'assez peu à faire de qui rejoindrais l'équipe.

Nous n'étions pas dans une situation favorable, et j'acceptais de me plier aux règles par conscience que vraiment par volonté. J'aurais bien tenté ma chance afin de le combattre directement, mais cela aurait été bien trop dangereux. Même si j'aurais été capable de le battre, est je n'étais pas sûr de le pouvoir, combien d'otage aurait été tué par sa bande dans ce laps de temps ? Probablement tous. Nous n'avions d'autre choix que de nous plié aux règles, du moins pour le moment.

J'écoutais silencieusement comme un élevé studieux les consignes. Éteindre un incendie, génial ! J'en rêvais absolument tout les jours et toutes les nuits ! Décidément, Archibald ne prenait pas ses jeux a la rigolade et il y avait vraiment fort a parié qu'il n'en était pas à son coup d'essai. Bien, et bien je suppose que la meilleure stratégie, c'était d’éteindre très rapidement le feu avant qu'il n'ai le temps de se répandre. La cuisinière passait les sceaux d'eau, de quoi étouffé les flammes. De mon côté, c'est bien deux sceaux de terre a la main que je prenais la parole :


" Nous devons éteindre les foyers et faire en sorte de ne pas permettre les liaisons entre les flammes. "

Je dois bien avouer que je n'étais ni sapeur-pompier ni pyromane, mais je suppose que mon raisonnement se voulait être logique. C'est donc de cette façon, plutôt confiant sur le protocole que je venais de donner que je déversai les deux sceaux de terre directement sur le premier foyer. Si les autres avait suivi mon résonnement, des obstacles de terre devrait être en train de se former entre chaque foyer. Nous courions plutôt à un rythme soutenu, luttant contre les flammes. Assez rapidement, la transpiration se faisait sentir. La chaleur asséchant le visage et chauffant les sceaux dont nous étions affublés.

Avec un peu de chance, nous n'aurions pas affaire a une panique générale. Enfin, je suppose que cela serait légitime, mais tout de même. Notre lutte contre l'ardent brasier commencé de plus en plus à prendre forme. Pour le moment, mais capacité et ma dextérité n'était pas vraiment de mise. Nous devions agir en équipe, intelligemment et ceux, malgré les cris qui commencé à se faire entre. Mais, je suppose que le non-calme était à prévoir, même si ceux-ci devaient certainement évité de faire du zèle, s’ils ne voulaient pas prendre une balle perdue.

Décidément, nous étions dans un sacré concours de circonstance. Avec un peu de chance, nous nous en sortiront sans trop de mal, n'est-ce pas?
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Le premier qui s’était porté volontaire portait déjà des seaux de terre pour étouffer le feu, une bonne idée en soit. Pas forcément la plus judicieuse, mais il mettait du cœur à l’ouvrage, en tant que cuisinière, elle savait qu’étouffer les flammes était une excellente solution, mais éteindre les flammes et faire en sorte qu’ils s’éteignent au plus vite pour ne pas mettre en danger la vie des otages.

Pour ça, bien qu’ils eussent déjà stoppé quelques départs de feu, il leur restait plus de quatre-vingts pour-cent des foyers à juguler. Mais ça n’allait pas assez vite, le souci était que le bâtiment ainsi que les civils emprisonnés à l’intérieur allaient mourir avant qu’ils aient finis à ce rythme-là. Elle devait trouver une autre solution, plus rapide, plus efficace, leur permettant d’arriver à gagner cette épreuve, la perdre signifierait des morts et elle se refusait à ça.

Quelqu’un peut faire quelque chose ? Il nous faudrait plus d’eau, de terre, bref quelque chose pour stopper la propagation. Vous pouvez en transporter plus ?

En voyant la réaction de ses coéquipiers, elle perdit tout espoir, leur expression se fit plus sombre, ils savaient qu’ils n’arriveraient pas à gagner l’épreuve à ce rythme, mais ils tentaient tout de même, ils gardaient espoir. Elle se tourna alors l’homme-poisson du groupe.

Et vous, vous ne savez pas utiliser le karaté des hommes-poissons pour éteindre les flammes ?

Ah ! Oui ! Donc parce que je suis un homme-poisson, je fais du karaté et je maîtrise l’eau comme tout mes congénères, c’est ça ?

Vous ne savez pas ? Je ne voulais pas être méchante hein, c’est juste qu’on est dans une situation d’urgence et je ne vous connais pas alors je vous pose la question.

Oui, et bien je trouve que c’est un terrible préjugé. Mais vous avez raison, je sais utiliser le karaté pour faire bouger l’eau, je vais me mettre dans l’océan. Je ne vous en voudrais pas pour cette fois parce qu’avec votre idée, nous allons sauver les otages.

Un large sourire s’afficha sur le visage de la cuisinière. Elle avait eu du flair de demander à cette anguille anthropomorphe, d’un grand mouvement circulaire, il ramena une énorme sphère d’eau entre ses mains et se concentra.

EAUMEHAMEHA !

Un jet d’eau de mer à haute pression partit de la surface vers la direction que leur indiquaient les mains de l’artiste martial. En quelques secondes, un quart des flammes disparurent, étouffés par la pression ainsi que la quantité astronomique de liquide pour les éteindre. Il ne suffirait que de quelques attaques comme celle que l’être aquatique venait de faire pour gagner et sauver les otages.
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Et bien le moins que nous pussions dire, c'est que malgré le cœur que nous mettions à l'ouvrage, nous avions bien du mal. Le feu étais bien plus rapide que nous a priori et malgré les points tentant de le contenir, il été bien difficile de le contenir ou encore de l’empêcher de se propager assez rapidement. Plus ou moins par chance, il se trouve que l'homme poisson était capable apparemment de contrôler l'eau, alors qu'il se voyait utilisé une technique que l'on croirais tout droit sorti d'une autre histoire.

Enfin, cela semblait plus ou moins efficace, bien plus que nous puisons l'être avec nos malheureux sceaux. Et là, je dois avouer que ci celle-ci se voulait efficace et nous faciliter grandement la vie et bien étrangement.... Une partie de moi se voulait contrariée. Non pas, car nous pouvions sauver les otages assez facilement, mais plutôt, car malgré ma tentative, je m'étais monté plutôt l'inutile. La réussite plutôt foudroyante d'un autre me confrontait certains sens à ma propre impuissance. Était-ce de la jalousie ? De l'orgueil ? Aucune idée, toujours, est-il que j'avais perdu l'espace d'un instant mon sourire.

Devant mon inutilité, je me contentais de lâcher mes sceaux. J'observais l'homme poisson éteindre le feu, parce qu'il n'y avait plus rien d'autre à faire. La réussite de l'homme poisson si soudain, sonner à mes yeux comme une défaite personnelle et une chose et sure, c'est que je n'aime pas perdre. Les flammes finalement éteindre, je restais silencieux. Discret, puisque je supposais que nous n'en avions pas encore fini avec ses épreuves.

Je devais bien avouer que l'envie de juste attaquer ce pirate et juste en finir était plus que présente, cela dit, je devais rester maître de mes émotions et attendre le moment propice. Je croisais les bras, me sentant comme insulté par toute cette histoire, j'aurais néanmoins certainement l'occasion de me racheter et cette fois, je ne raterais pas mon coup.

Dans mon existence, j'ai toujours été le plus habile, le premier et ce triste retour à la réalité faisait mal. Non pas physiquement, mais a l'ego. J'attendais silencieusement, n'ayant absolument plus du tout envie de m’amuser. Les choses allaient enfin pouvoir commencer et cette fois, je ne me laisserais plus tourner en ridicule.
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Assez rapidement, l’homme anguille éteignit les départs de feu aussi vite qu’ils étaient apparus. Heureuse de lui avoir posé la question, Robina ouvrit la porte de l’entrepôt, aucun des hommes du capitaine pirate ne l’arrêtèrent, leurs ordres étaient simples, ils mettaient le feu et stoppaient les participants qui essayaient d’ouvrir les portes avant que les feux ne soient éteints. Si les règles étaient suivies par les joueurs, aucun souci, leur rôle s’arrêtait là.

Venez ! Vous pouvez sortir, l’incendie est maîtrisé, ils ne vous feront aucun mal, vous pouvez rentrer chez vous.

C’est ainsi que plusieurs dizaines d’otages partirent en courant pour se réfugier auprès de leur famille. La première manche était une réussite pour Robina ainsi que son équipe. Bien que ronchon et grognon, le frère Minaro avait su souder le groupe pour tenter de contenir les flammes. Le capitaine pirate Du Rocher éclata de rire en voyant ce petit tableau touchant, il n’avait jamais vu une équipe aller aussi vite, il allait devoir se débarrasser de ce souci et pour ça, rien de mieux que la deuxième épreuve.

Eh bien ! Eh bien ! Eh bien ! Vous avez réussi la première épreuve, je vous félicite de tout cœur. Il tapa lentement dans ses mains, mimant le fait d’applaudir. C’est bien la première fois que je vois une équipe réussir à sauver, ne serait-ce qu’une seule personne. Il se mit alors à sourire de toutes ses dents en fixant le petit groupe. Son équipage se mit à pouffer.

Cependant ça n’était que la première, il vous en reste deux. Et si vous ne voulez pas que de nouveaux otages meurent, il va falloir être intelligent pour celle-là. Enfin surtout avoir le sens de l’orientation, j’espère que vous êtes prêts. Voici votre prochaine épreuve !

En se tournant, il montra un navire marchand amarré au loin.

Voici « La Pagaille » un navire marchand que nous avons réquisitionné pour l’occasion. Ici pas de tour de force, d’otages en danger mortel imminent, non, le navire va être sapé par mes hommes au début du top départ de l’épreuve, votre but, réussir à sauver ce navire en colmatant les brèches à l’intérieur.

Si le navire coule, les otages que nous avons avec nous, se verront aussi finir comme ce pauvre bâtiment, par le fond, à nourrir les poissons. Et cette fois-ci, c’est moi qui fais les équipes.
Un sourire malsain se peignit sur le visage d’Archibald. Il passa les cinq personnes face à lui en revu, il savait déjà qui allait se la coller, simple le petit maigrichon et la jeune femme. Elle était cuisinière et lui, un jongleur, en sommes, aucune connaissance de charpenterie.

Les pirates relièrent les deux concurrents par les poignets avec une corde fine de deux mètres. Et voilà, maintenant que nos deux concurrents sont prêts, nous allons pouvoir jouer. Votre but, rentrer dans le bâtiment et colmater la ou les brèches que mes hommes feront depuis l’extérieur. Simple non ? Ah! Et si vous coupez la corde, nous tuons les otages. Nouveau sourire avant qu'il ne se redresse.

À vos marques. Prêt ? Partez !

Et ce fut ainsi que la course se lança. Robina et son binome plongèrent tous les deux dans l'eau pour partir à la nage vers le navire marchand.
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Comme je me doutais, la première épreuve n'était évidemment pas la dernière, alors qu'après son sourire, celui-ci proposait une épreuve encore plus dangereuse. Cela dit, celui-ci ne savait pas à qui il avait à faire, il est dans la nature d'un magicien d'aimer réaliser l'impossible. Peut-être croyait-il nous impressionner, mais c'est avec le sourire que j’accueillis l'annonce de la dernière épreuve. Le forban m'avait désigné pour faire équipe avec la cuisinière. Bien sûr, celui-ci n'était pas bête, il aurait bien moins stratégique pour lui de l'envoyer avec l'homme poisson, et j'avais dans l'idée que ma frustration l'avais plus ou moins motivé à me prendre moi.

Il pensait que la colère me ferait faire une erreur, c'était donc a moi de lui montrer que non. C'est de cette façon que nous étions maintenant enchaîner la marmitonne et moi. Une fine équipe, un magicien et une gastronome, afin de faire de la charpenterie. Nous n'étions pas sorties d'affaire, mais avons cœur vaillant, rien d'impossible n'est-ce pas ? Nous plongions dans l'eau, barbotant comme des enfants, direction un navire condamner a sombrer.

Nous dévions nager en rythme afin de ne pas nous gêner, et rien que ça était une épreuve, vous pouvez me croire. Tant bien que nous devions nous en sortit alors que je prenais la parole:

" On compte en rythme, de un à deux pour nager en tempo."

C'est donc de cette façon a la foi rudimentaire, mais bougrement efficace que nous parvenions à arriver jusqu'au bateau. Une fois arriver à bord, les acolytes se mirent a attaquer le navire à coup trou tel un fromage. Nous étendions les coups, alors que je prenais la parole encore une fois :


" Je suppose qu'attaquer ces types serait contre les règles, si tu as une idée, je suis tout ouïe. "

Comment empêcher un navire de couler sous les attaques ? Le réparé au fur et à mesure, cela me semblait une véritable folie. Que faire ? Le navire commencé sûrement à prendre l'eau doucement, quelle journée.... Réfléchissons... Nous devions bien avoir une meilleure solution.

Nous devions descendre a la cale afin d'observer les dégâts.... Des tonneaux à côté dans la cale avec un matériel de restauration basique, quelques outils.... Nous étions plutôt mal embarquées.
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Robina nageait comme elle le pouvait alors qu’elle était entravée par le lien avec son coéquipier. C’est que le capitaine pirate du nom de Du Rocher était un sacré tordu. Les vagues n’étaient pas puissantes, mais elle devait résister deux fois plus avec Alaaric, qui semblait avoir autant de mal qu’elle à résister à la force de la marée. Elle put voir des petites barques pour transporter les pirates qui allaient s’attaquer au navire marchand.

Ce margoulin de capitaine pirate n’a rien dis qui interdisait de s’en prendre à ses hommes pendant cette épreuve alors je ne vais pas me priver pour leur apprendre ma façon de penser !

Elle se dirigea vers les hommes qui voulaient s’en prendre à la coque du cargo marchand et sa première idée fut de leur envoyer celui qui était lié à elle comme un boulet de canon. Cependant, elle fit vite marche arrière en secouant la tête, elle ne se trouvait pas dans un de ses romans fantastique où le héros avait une force gigantesque juste pour sauver des gens. Elle était dans la réalité, elle devrait donc trouver une solution plus terre-à-terre.

Elle n’était pas mathématicienne de génie ou ingénieure, cependant elle pouvait voir que si elle déviait sa course légèrement vers la gauche, elle pourrait rencontrer la première embarcation avant qu’ils n’arrivent à portée pour causer des dégâts. Elle partit sans rien expliquer à son compagnon d’infortune qui semblait aussi perdu qu’un bébé ouvrant fraîchement les yeux. Elle devait le guider pour réussir, elle le guiderait vers la réussite.

Quelques brasses de plus et elle mit la main sur la rame gauche du premier forban, ainsi, il ne pouvait plus avancer, juste faire du sur place en tournant indéfiniment vers son bâbord. Il se dégagea pour dégainer son sabre, cependant la cuisinière l’assomma d’un coup de manche de rame. Elle enchaîna d’un revers sur le coin de la mâchoire qui se brisa et fit tomber le membre d’équipage de l’autre côté. Le deuxième réussit à sortir sa lame, mais la force centrifuge était si forte avec la résistance de l’eau pour se servir de l’objet comme d’une arme dont le revers partit plus loin. Le manche percuta la tempe du second qui s’assomma en retombant sur le coin de la barque.

Il fallut quelques battements à nos deux coéquipiers dans cette galère pour comprendre qu’ils avaient maintenant de quoi se déplacer plus rapidement. Surtout, ils pouvaient stopper les attaquants avant qu’ils n’arrivent à leur but. Cela changeait entièrement la situation, ils allaient contre-attraper.

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Décidément, cette cuisinière avait de la suite dans les idées et avait visiblement moins de crainte que moi. En effet, celle-ci précisait quelque chose de vrai, on ne nous avait jamais interdit de combattre les pirates de manière explicite, mais j'avais de sérieux doutes sur le fais qu'il ne dise rien. Nous aurions mieux fais de mettre le capitaine hors d'état de nuire immédiatement a ce compte-là. Enfin, je laissais faire mon acolyte de fortune.

Celle-ci guidait clairement la danse, alors que je me contentais pratiquement de suivre. Elle mit hors de combat deux personnes assez vite au final. Nous avions maintenant une embarcation, alors que je suppose que c'était maintenant à moi d'agir, alors que je lançais des couteaux afin d'attaquer les pirates a porté d'arme. Ma porté de lame était a peut près de cent mètres, passer cette limite, je commençais à perdre en précision. C'est donc de cette façon que j'attaquais les pirates à notre portée.

S'il suffisait simplement de les mettre hors combat avant qu'ils ne coulent le navire, je suppose que nous avions tout intérêt a nous dépêcher, mes attaques a longue distance était donc d'un plus grand secours que le corps-à-corps. Bien que nous faisons au plus vite, certains pirates avaient déjà attaqué la coque.

À cause de la corde, nous n'étions pas non plus dans une bonne position. Notre proximité en devenait gênante, ses mouvements m’empêchant d'être aussi précis qu'a l'habitude, et les miens la gênant forcément. Nous étions dans une situation loin d'être facile, mais puisse-ce qu'avais visiblement sonné l'heure de la contre-attaque, je préférais me concentrer sur ce que j'avais à faire. Faire tomber les pirates, avant qu'ils ne nous fassent tomber.

Je ne savais pas vraiment comment réagirais le capitaine, mais je suppose que le fais qu'il n'ai rien préciser nous donnais un avantage. La vraie question était surtout, quand est-ce qu'il prendrait la décision de nous tuer malgré tout? Avant ou après que nous finissions par trahir les règles ? La vie des otages n'était pas un jeu, et il ne finirais bien par regretter son geste, d'une manière ou d'une autre.

Nous avions pratiquement tué tous les pirates attaquant le navire, je jetais un regard sur Archibald Du Rocher... Archibald Du Rocher... Quel nom a coucher dehors pour un pirate tout de même.


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Elle ne savait pas combien de couteau de lancer se trouvait sur le jongleur en ce moment, il semblait en avoir en illimité vu le nombre qu’il avait déjà envoyé pour stopper les pirates. Robina aurait voulu arrêter le lanceur de couteau, cependant elle était attachée à lui par une corde qu’elle n’avait pas le droit de rompre, sa seule arme était les remous de l’océan. Elle s’efforça d'accentuer les mouvements du radeau, bien que les hommes en face étaient des pirates, elle ne voulait pas que son collègue les tue.

Eux aussi avaient une vie, une famille, des amis, des collègues, des enfants peut-être, ils méritaient de passer du temps en prison pour payer pour leurs crimes, pas de finir six pieds sous terre pour tenter de faire couler un navire marchand, vide de prime abord. Grace à cela, les couteaux volaient sur les côtés ou manquaient les points vitaux, faisant tomber les pirates à l’eau sans les blesser mortellement. Le bâtiment prenait cependant l’eau, il allait falloir faire quelque chose alors que le restant de l’équipage d’Archibald se retranchait sur la terre ferme pour ne pas se faire attaquer par le jongleur, il n’y avait plus qu’à réussir à faire garder la tête hors de l’eau à « La Pagaille ».

Pour ce dernier point rien ne valait mieux que de rentrer sur le navire pour réparer de l’intérieur, comme l’avait annoncé Du Rocher dans les règles, elle joua de la rame qu’elle avait dans les mains pour se positionner au niveau de l’échelle en bois fixée sur la coque du bateau, en forçant à moitié le joueur de couteaux à monter au même rythme qu’elle, elle grimpa un à un les barreaux.

Il fallait faire vite, l’eau grimpait lentement, mais inexorablement à l’intérieur et si le niveau où se trouvaient les fuites se retrouvaient submerger, ils auraient d’énormes difficultés à continuer les réparations. Il allait donc non seulement aller vite, mais en plus devoir être organisé, le point positif était qu’en tant que cuisinière, la Sanderrienne avait l’habitude de l’organisation, le seul souci était la promiscuité avec son coéquipier, ils allaient sûrement se gêner souvent, néanmoins, ils allaient devoir jouer le jeu et le temps.

Pour ça, elle prit une planche, une grosse poignée de clous ainsi que son courage à deux mains et s’engouffra dans le fond de la cale pour trouver les avaries. Trainant son binôme à moitié avec elle tellement elle allait vite dans la précipitation, elle attrapa un marteau et vérifia que son coéquipier faisait de même avant d’affermir sa poigne et de frapper sur les clous pour stopper la première fuite qu’elle avait trouvé.

En tournant la tête pour détailler son compagnon, elle remarqua quelque chose, ils n’avaient pas échangé énormément de mots depuis le début de tous ces événements, à peine de quoi faire équipe. Il l’avait aidé à éteindre les flammes, à combattre les pirates, en sommes, il était un allié et pourtant, elle ne connaissait même pas son prénom, un manque et une faute grave de son point de vue, elle allait donc rattraper ce manquement.

Je peux savoir son nom ? Tu ne me l’as pas encore dit. Moi, c’est Robina Erwolf, je suis du Royaume-Archipel de Sanderr, comme tu as pu le deviner, je suis cuisinière.

Pas le temps, on est un peu occupé là.

Oui, c’est sûr, mais vu qu’en ce moment, on doit surtout taper sur des clous, tu pourrais au moins me donner ton prénom, non ?

Soufflant du nez, l’homme aux yeux noirs plongea son regard dans celui de la cheffe d’équipe. Je m’apelle Alaaric Minaro. Contente ?

Je ne dirais pas contente, mais au moins, je sais avec qui je parle. Heureuse de te rencontrer en tout cas et merci de t’être porté volontaire.

Les deux marteaux frappaient indépendamment l’un de l’autre et plusieurs planches furent fixés pour stopper les différentes arrivées d’eau. Des dizaines de minutes filèrent sans que les deux apprentis charpentiers ne voient le temps passer. Ils vérifièrent chaque pièce une à une, regardant s’il ne manquait pas une réparation, néanmoins tout semblait en règle, quelques marchandises avaient pris l’eau, absorbant une petite quantité de ce qui avait envahis la cale, cependant, c’était mieux que de voir le navire coulé au fond de la baie.

Le plus long fut d’écoper pour sortir l’eau qui s’était infiltrée dans le navire, arrivant au-dessus de la taille de la Sanderrienne, ils avaient dégagé des centaines de seaux d’eau avant que cela ne devienne vraiment une corvée et n’arrêtent en voyant qu’il restait tout juste une vingtaine de centimètres d’eau. Ils étaient restés tendus tout le temps de cette dernière phase, les forces du capitaine Du Rocher pouvait revenir à tout moment, toutefois, il n’y eut pas de mauvaises surprises. Quand ils revinrent dans le sens inverse avec la barque qu’ils avaient emprunté aux deux pirates plus tôt, ils constatèrent que les hommes du pirate se faisaient soigner par l’équipe.

Félicitations ! Archibald Du Rocher applaudissait joyeusement. Vous avez encore réussi un petit miracle en empêchant ce navire de couler, il ne vous aura fallu que deux heures. Je libère donc de nouveau une centaine de spectateurs, j’espère que vous êtes fier de vous !
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J'avoue pas mal de difficulté a visé avec précisément les adversaires a faire tomber, surtout pour ne pas les blesser mortellement.... Et a vrai dire, j'ai bien cru en tuer quelques-uns, notamment a cause de la bondissante humaine derrière moi. Enfin, au final malgré la distance, j'avais quand même réussi a faire preuve d'adresse. Nous devions ensuite réussir a colmaté une a une toutes les brèches du navire et a vrai dire nous avions du pain sur la planche.

Le niveau de l'eau monté lentement, alors que lorsque nous avions enfin fini de combler les failles, nous devions maintenant vider le navire seaux par seaux. Celle-ci avait visiblement l'envie de parler, de mon côté, j'avoue que j'avais d'autres préoccupations. Nous finissions enfin par échanger nos noms. Par nature, je suis plus souvent social, mais je suppose que cette situation avait réussi a réveiller mon côté taciturne.

Vidé le navire fut une véritable bataille, une bataille contre l'eau, mais aussi contre nous-même. Se déplacer dans l'eau aussi longtemps fatigue énormément, porté seau après seau encore plus. Au final, c'est plus d'une centaine d'aller-retour que nous étions poussées a faire. Physiquement, cela fut plus qu'éprouvant, un véritable entraînement forcé. Lorsqu'il ne resta plus qu'une vingtaine de centimètres d'eau et que nous avions compris que le bateau ne prendrais pas plus d'eau, nous rentrions enfin au rivage en reprenant un navire emprunter au pirate. De mon côté, j'étais épuisé par toute cette histoire, a la foi physiquement et psychologiquement.

Nous étions enfin sur le rivage, alors que nous étions félicités par Archibald et je devais bien avouer que l'envie de lui mettre mon poing dans la figure afin d'en finir avec toute cette histoire était plus présente que jamais, le seul problème était que j'étais épuisé, bien trop pour avoir envie de tenir un combat. De plus, quand bien même je l'attaquerais, il serait sûrement aidé par son équipage, et tout ça tournerais au massacre.

Celui-ci prenait enfin la parole, certainement pour proposer sa troisième épreuve qui ne tarderait pas à m'abasourdir:


" Et maintenant, pour la troisième épreuve, vous devrez m'affronter sur un concours de Karaoké ! "

Karaoké ? Qu'est-ce que c'était que cette blague ? Grand bien fasse aux autres, je n'avais aucune envie de chanté, surtout si c'était lors d'un face-à-face avec ce type. J'étais certes un homme de spectacles, et j'avais donc sûrement plus de talent pour la mise en scène que les autres membres de l'équipe... Et certainement une approche plus professionnelle du spectacle en général...

Bon, j'étais prêt a parié que ça serait un défi pour moi, même si je ne comprenais pas le sens de tout ça. Des épreuves impossibles, pour finir sur ça? Quel intérêt ? Étais-il en train de se moquer de nous ? Je m'avançais de quelques pas, avant de prendre la parole :


" Je suis ton homme, si je gagne, on en aura fini avec tout ce jeu et tu quitteras cette île pour ne plus jamais y revenir. "
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Le pirate s’inclina bien bas en entendant la rebuffade du civil qui lui faisait, il était sûr de lui, jamais personne n’était arrivé juste là, il chantait chaque jour dans sa cabine pendant des heures, il était un un maitre au sommet de son art. Il releva le bras gauche et claqua des doigts, des mousses se précipitèrent à ses côtés pour y déposer une table ainsi qu’un carré de tissu pour plaire aux délires de leur capitaine.
Archibald défit la ceinture de son sabre et le déposa à sa gauche, le posant avec attention sur le tissu, il sortit aussi ses deux pistolets à silex de leurs holsters, prenant une petite pose théâtrale, marquant le moment où il n’était plus armé.

Je suis peut-être désarmé, mais mes hommes seront sans pitié. Apportez les escargophones !

Dans une chorégraphie réglée comme du papier à musique, une nouvelle paire de pirate s’avança en soulevant délicatement un petit escargot, qu’ils ne réveillèrent pas en l’installant devant leur capitaine. Un homme à l’air patibulaire grognant dans sa barbe en tenait un autre dans sa main salie et le plongea dans la poitrine du futur agent du gouvernement pour qu’il le récupère, avec les adversaires, ils ne faisaient pas de cérémonies.

Pourtant, malgré l’air sûr de lui de Du Rocher, l’atmosphère était délétère, les boucaniers ne semblaient pas très à l’aise, ils jetaient des regards à droite et à gauche, la place du village était devenue pour eux un véritable guêpier. Ils avaient joué selon les règles tout du long, et les voilà entourés par les anciennes personnes qu’ils retenaient en otage, une situation loin d’être enviable, ils appréhendaient aussi la suite.

Pour ne pas faire d’esclandre, et que la foule garde son calme, on dirigea Robina dans le groupe de civils, derrière le cordon de sécurité pirate, il ne restait plus que le jongleur dans le centre, un escargophone amplificateur de voix dans les mains. C’était un peu ironique, ceux qui étaient les attaquants se retrouvaient maintenant dans la situation où si les attaqués créaient une émeute, ils finiraient à l’état de pulpe sous les coups de la foule. Pourtant, la situation était sous contrôle, le monde retenait son souffle pour cette dernière épreuve, le karaoké.

Chacun d’eux savaient déjà ce qui allait se passer, ils ne faisaient que croiser les doigts pour que le candidat face à leur capitaine était encore pire que lui, ce qui n’était pas humainement possible à ce qu’ils avaient pu constater durant leurs courtes vies. Dans l’équipage Du Rocher, il y avait un accord tacite entre tous, le capitaine pouvait créer ce semblant de Davy Back Fight pour ne pas faire couler le sang, cela permettait de ne pas avoir à se battre pour se remplir les poches, mais on ne devait en aucun cas faire en sorte que ceux qui participaient n’arrivent à la dernière épreuve.

Archibald était un grand amateur d’opéra et de chansons, malheureusement pour lui, il était la pire des casseroles du monde, son cas était perdu depuis des années, il avait beau faire vivre un enfer auditif tous les jours depuis des années à ses compagnons d’armes, il n’avait fait que stagner, voir empirer dans le pire des cas. Cependant, personne n’osait lui dire la vérité en face, le dernier qui avait fait cette erreur s’était retrouvé à devoir sauter au milieu d’un banc de requin en pleine mer, un sort loin d’être enviable. Pour le commandant Du Rocher, il était le meilleur chanteur qui existait et aucun cas, quelqu’un pouvait dire le contraire.

Il avait donc fallu ruser pendant longtemps et pour ça, on lui avait proposé de laisser libre cours à l’imagination de l’équipage, ils laisseraient le couperet tomber sur le cou de leurs ennemis s'ils ne réussissaient pas les deux premières épreuves, enfin dans l’esprit tordu du capitaine. La réalité avait été toute autre, des mois à chercher toujours des idées plus difficiles, plus compliqués, pour ne laisser aucune chance aux adversaires, ainsi à la place de la troisième épreuve, ils pouvaient s’enfuir avec le butin au complet, en échange de la vie des prisonniers, cela faisait des mois que le plan se déroulait sans accroc, dommage qu’ils tombent sur ce jongleur et cette cuisinière.

Quartier-maitre ? C’est pour savoir, monsieur, on fait quoi maintenant ?

On croise les doigts, Luc, parce que si le petit jongleur sait chanter, et d’après moi, un artiste de rue ça sait un minimum chanter, on est foutu.

Mais on pourrait pas s’enfuir ?

Tu connais le capitaine, il préférera se rendre que de s’enfuir alors qu’il a donné sa parole.

Ouais, mais j’ai pas vraiment envie de finir en taule, et les autres non plus.

Moi, non plus, mais on suit les ordres, et tu penses vraiment qu’on va pouvoir se faufiler avec autant d’yeux sur nous ?

Le manœuvre se tourna vers la horde autour de lui et remarqua les dizaines de paires d’yeux sur son cou, on l’épiait pour savoir ce qui se passait, on cherchait la moindre excuse pour intervenir. Ils n’étaient pas armés, mais le nombre leur donnait du courage, ils étaient loin d’être les plus forts, mais à un contre dix, le gagnant était vite choisi.

Ouais, c’est râpé là. On fait quoi, on tente de suriner le petiot pour qu’il arrive pas à chanter ?

Si on tente quoi que ce soit, la foule passe à l’action et on sera aussi sûrement mort que si on passait à l’échafaud. Alors tu restes ici et tu la fermes, on va croiser les doigts pour qu’il soit pas meilleur que le commandant.

Ils prièrent ainsi pour un miracle pendant que les deux se faisaient face comme dans un western spaghetti.

Je vais commencer par ma chanson, si ça ne te gènes pas.

Peu importe, je te l’ai dit, finissons-en.

Archibald, d’un geste maîtrisé, attrapa le combiné et le porta à ses lèvres.

Je vais vous chanter, une de mes chansons préférées, Amazing Grace !



Les réactions de l’audience ne se font pas attendre, certains se mirent à saigner des oreilles, d’autres perdirent conscience, les flibustiers, eux entraîner par des heures de souffrance et l’habitude, applaudirent le spectacle de celui qui les commandait, malgré le spectacle effroyable qu’il venait d’offrir à tout le monde. Ils se devaient de le soutenir, malgré son horrible prestation. Le reste de l’audience garda le silence, glacé, le souffle de vent pouvait être entendu alors qu’il passait au milieu des duellistes.

C’est tout ? Pas d’applaudissements en plus ? Me voilà un peu déçu, je pensais vous faire exploser en délire ! C’est à toi, vas-y montre nous toute l’étendue de ton chant !

Je devrais gagner haut la main. Vu ce que tu viens de nous proposer.

Je ne t’ai pas insulté, alors faisons ça dans les règles et chantes maintenant ! Que tous sachent qui est le meilleur de nous deux !

Oh, ils vont vite le savoir.



Le jeune jongleur n’était pas le meilleur chanteur, pourtant, la différence était si grande entre les deux personnes qui se faisaient face qu’il n’y avait pas de débats, la foule explosa en Viva, ils applaudirent, sifflèrent le jeune garçon, l’acclamèrent, il était le héros du village pour avoir réussis à bien mieux chanter qu’Archibald du Rocher. Un maigre exploit, mais un exploit tout de même.

Je me vois donc, à devoir plier le genou devant vous, je n’ai qu’une seule parole, je me rends, que vous me livriez, vous et cette jeune cuisinière à la marine qui je suis sûr est déjà en route.

Avec dignité, il se posta devant le jeune homme et tendit les mains devant lui, les poignets en avant pour qu’on lui passe les menottes, néanmoins, le prestidigitateur n’en avait pas, la chasseuse de primes en profita de ce moment pour attraper une corde qui passait près d’elle et se précipita au centre de la scène.

Capitaine Archibald du Rocher, en tant que chasseuse de primes du baroque Works, je vous arrête vous ainsi que votre équipage.

Une chasseuse de primes ? Moi qui vous prenais pour seulement une cuisinière… Je suis donc une nouvelle tête à votre tableau de chasse !

Vous êtes un des premiers, je ne suis que nouvelle dans le métier, mais je vous remercie de vous laisser faire.

Je n’ai qu’une seule parole, et elle est sacrée, vous avez réussis à me vaincre pendant toutes ces épreuves, je ne suis donc plus bon à être un capitaine pirate. Je rends les armes.

L’équipage de du Rocher se laissa faire, tandis que les habitants du village les ligotaient avec de la corde, chacun s’assied sur les pavés, en attendant de se faire emmener par la marine, ils ne tentent même pas de résister, ils ont pu voir la puissance qu’ont montrée le lanceur de couteau et la Sanderrienne, ils n’ont pas envie de finir à l’hôpital avant de finir leur vie en cellule. Pendant une heure ou deux, l’attente se mit en place, les renforts appelés par les habitants pour que la marine vienne les aider, se présentèrent au port et prirent la situation en main.

Merci à vous deux pour l’aide que vous avez apporté à cette petite île. Nous allons prendre les pirates et les amener à notre quartier général pour qu’ils soient mis sous les verrous. Je vous remercie d’avoir fait votre travail, madame, messieurs.

Pardon, mais je suis chasseuse de primes, et même si j’ai fait ça pour sauver ces personnes, j’estime que j’ai le droit de récupérer la prime de cet Archibald, après tout, sans nous, vous ne l’auriez pas eu.

Une chasseuse de primes ? Le responsable de la marine fit une légère grimace de dégoût. Vous devriez quitter cette profession, ça ne vous va pas du tout. Versez la prime à cette demoiselle et allons-nous-en.

Un adjudant se glissa derrière son supérieur et rentra dans le navire de la marine, il revint quelques minutes plus tard avec la somme qui revenait à Robina pour la capture du capitaine pirate. Il s’inclina légèrement.

Désolé pour la réaction de mon supérieur, merci d’avoir attrapé Archibald du Rocher et d’avoir sauvé les habitants de ce village. Il n’est pas violent, mais il est une épine en moins dans cette blue.

De rien, ça m’a fait plaisir.

Elle récupéra la prime qu’elle divisa en deux entre Alaaric et elle, les autres participants aux épreuves avaient refusé poliment, avec ça en plus, elle se rapprochait encore un peu de son but d’avoir son restaurant quand elle serait la meilleure cuisinière du monde. Il était maintenant temps de prendre des vacances bien méritées dans un bon sauna, il fallait se débarrasser de toute cette crasse accumulée avec les différentes épreuves maintenant !
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