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Shippû Kurushimi, c'est pas un nom de mec ça ?

Deux pas sur la gauche, un sur la droite, un coup de pied vertical, un horizontal, un coup de genoux dans la nuque et c'est fini. Sur cette île de fermier, ils organisaient des combats dans un bar géant. Satoshi gagnait tout le temps. Parfois c'était plus difficile mais il avait toujours gagné. Ca c'était du au fait qu'il n'y avait que des hommes qui se pointait dans cette arène. Le jour où une damoiselle au sang chaud montrerait le bout de son nez dans cette cage, il retournerait à la case départ. Il y avait 2000 berrys par combat gagné, il en avait gagné une bonne vingtaine, mais à chaque fois il dépensait tout dans le bar. Oui oui, ça faisait déjà plusieurs jours qu'il était là à ne rien foutre. Aucune action rien du tout. L’adrénaline était toujours au plus bas, les fermiers étant tous plus nuls que les autres. Bref, il n'y avait aucune action. Jusqu'au jour où, par miracle, il entendit que Shippû Kurushimi était sur l'île. Il l'avait rencontré sur le baratie. Pour éviter tout problème il lui avait filer quatre millions de berrys me semble-t-il. Ouais, c'était un bon gros sadique qui n'avait fait aucun survivant, homme ou femme. enfant ou enfante, rien. La seule chose qu'il restait c'était le gérant que j'avais rétamé et qui m'avait refait le portrait. Parait-il qu'il est encore pire qu'avant. Faudrait qu'il se pointe dans ce foutu bar si il est intéressé par trois billets à chaque victoire, jusqu'au jour où il atteindra le niveau de Satoshi, et là ils pourront enfin se fritter, qu'il y ai de l'action de dieu ! Quoi que de l'action, aujourd'hui y'en a, face à un mec bien rodé, seulement équipé de bandages sur les mains, il semblait être en mauvaise posture, mais voyons ça d'un peu plus près.

▬ Refait moi son portrait à c'jeunot Koler ! Dégomme lui sa sale tronche de cake !


En effet, ce cher Koler avait une bonne droite et du répondant avec ça.

▬ Z'vé t'fer bûfer lbitume 'spèce d'têt d'clou !

Ouais, mais non. Satoshi est un sale con.

▬ Et bien vient sale puceau d’illettré !

▬ T'a di k'jété ilétrer ?!

On comprend qu'il l'énerve pour qu'il soit plus fort mais quand même...On fait ça quand on est sur de le battre quoi qu'il arrive, alors que là, il s'en est déjà pris des belles, et il faut qu'il l’énerve encore plus ? Décidément c'est un homme bien compliqué....Mais revenons à ce combat. Ça commence à être intéressant. Koler s'avance, il contient la force des coups de savate donnés par Satoshi, et lui rend des contres phénoménales, le projetant à travers la cage ! Il est en très mauvaise posture, que va-t-il faire maintenant ? Pensez vous qu'il gagnera ou qu'il perdra ? La réponse après la //SBAFF//. Euh, donc. Voyez vous ça ? Satoshi s'est redressé et baisse sa garde. Il croise les bras et ferme les yeux. Qu'espère-t-il faire ? Koler s'avance vers lui en courant, recule son bras et lui envois un crochet du droit monstrueux, du jamais vu auparavant ! Le pirate murmure quelque chose !

▬ Take...Nami !

Il lui attrape le poignet à quelques centimètres de son visage, derrière lui la poussière se soulève et ses pieds s'enfoncent d'un cran dans le sol, dans cette arène, c'est surement le combat le plus intense qu'il nous a été donné de voir ! Voilà que maintenant il lui tord le poignet, assez fort pour le retourner et le plaquer au sol ! Ceci fait, Satoshi bondit dans les airs, se retournent, et retombe en frappant de toutes ses forces avec sa jambe, assez fort pour que le grand, le fort, le beau, le majestueux Koler crachouille une poignée de sang frais.

▬ 10 ! 9 ! 8 ! 7 ! 6 ! 5 ! 4 ! 3 ! 2 ! 1 !

Et là, coup surprenant, Koler se redresse et se lève, plus haut que jamais, il attrape les deux bras de Satoshi, et le plaque contre lui. Notre presque gagnant est totalement bloqué et sans défense, le crâne d'obus le broie littéralement contre lui, le faisant cracher plus de sang que celui qui a déjà coulé sur le ring aujourd'hui, il est en position de faiblesse, sa respiration est difficile, ses membres s'engourdissent, pourtant il lute, mais en vain. Il tombe dans les vapes...Et perd.


Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Dim 15 Juil 2012 - 17:23, édité 3 fois
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Un bar, un combat, de l’action. Enfin de l’action. Je souris en saisissant mon katana et en pénétrant dans la cage. Oui, j’allais m’amuser. Jetant mon sabre sur le sol, chose inutile d’après moi pour ce genre de chose, je posais la pointe de ma lame par terre de façon provocante. Je souriais tranquillement, comme si de rien était, comme si j’étais dans mon univers. Ce n’était pas le cas, il manquait le sang, les cries, la souffrance. La je ne m’amusais pas, ce n’était qu’un prélude. Je n’étais même pas la pour l’argent, simplement pour m’amuser. Il y avait le droit aux armes mais il n’y avait pas le droit de tuer. Dommage.

Je regardais mon adversaire, se battant simplement avec des bandage, se que je trouvais curieux, il ne semblait pas très intelligent et lorsqu’il me parla, il me donna mal a la tête. Déjà qu’avoir mal a la tête pour moi c’est normalement impossible, puisque je n’ai pas vraiment d’intelligence mais la. C’était un coup dur pour moi. Ma réponse fût rapide, direct et provoqua immédiatement le combat.

-Ta gueule sale porc. Tu sait même pas parler ta rien à faire ici dégage !

L’homme hurla de rage et me fonça dessus. Il ne semblait pas avoir peur de ma lame, dommage pour lui. Je plantais mon katana dans le bitume recouvrant le sol et dégainais ma dague. Oui, la soude allait lui faire de l’effet. Un vieux proverbe dit « qui criera le premier, criera le dernier » et avec moi, il c’était toujours révéler exacte, ou presque. Une fois de plus, j’allais démontrer qu’il était vrai et que l’on ne devait pas le prendre à la légère. J’esquivais plusieurs coups poing dirigeais vers mon visage avant d’en recevoir un en pleine mâchoire. Propulser contre les barres de métal, je m’accrochais à celle-ci tournant le dos à mon adversaire. J’éclatais de rire, du sang coulant sur mon visage. Oui, j’allais faire durer le plaisir. Moi aussi j’avais le droit de goûter à la souffrance, moi aussi j’avais le droit d’en profiter.

Une main m’attrapa par le col, soulevé de terre je fus écraser au sol. Le souffle coupé, mon rire s’arrêta. La douleur se propager lentement dans mon corps, un instant je fermais les yeux en souriant, c’était si bon. J’en profitais un maximum, après tout il n’y a qu’avec ce genre d’abrutis que l’on peut se permettre cela. Je repris ma respiration et il me bloqua au sol. L’arbitre commençait à compter lorsque je me décidais à agir. Moi voix retentis comme le glas annonçant la mort. Mes yeux s’enflammèrent de plaisir.

-A mon tour de te procurer la joie de la souffrance.

Mon bras tenant ma dague se leva brusquement et se planta dans l’avant bras de l’homme. Ramenant la lame vers moi, je l’ouvris de par en par et la soude commença à agir. L’homme hurla de douleurs, si fort que j’avais l’impression que mes tympan allait exploser. J’éclatais de rire avant d’utiliser mon fruit du démon.

Kossetsu

Pour une fois ce fût la nuque, plus précisément la colonne vertébrale. Ma vue se brouilla légèrement et mon crie de douleurs se mélangea à mon rire. Un crie que mon adversaire couvra facilement en portant ses mains à sa gorge. Il tomba à la renverse et je stoppais ma technique. Me relevant lentement, en même temps que mon adversaire, je me mis à attaquer. Rapidement, simplement. Tournoyant sur moi-même. Les blessures se multiplièrent sur le corps de l’homme tandis que j’esquivais ses attaques de plus en plus fébriles. Il paniquait au fur et à mesure que son sang s’écoulait sur le sol. Je continuais d’attaquer, ma lames ne s’enfonçais que très légèrement dans la chair de mon adversaire. Je dis d’une voix forte et surexcité.

-Plus, donne en moi plus, plus de plaisir !

Le sang giclait dans tout les sens, tâchant ma peau, tâchant mon visage et mes cheveux. J’adorais cela, je pouvais l’affirmer. Soudain l’homme s’effondra sur le sol en tremblant. Je m’approchais de lui afin de l’achever, oui il m’avait amusé, il méritait maintenant la mort. Plusieurs tendons coupés, il devait à peine avoir la force de bouger. Et à son réveil, il serait sans doute handicapé a vie. Qu’elle bonheur. Alors que je m’apprêtais à le tuer sous le regard horrifié des spectateurs, l’arbitre m’arrêta. Je grognais en pensant que l’on m’arrêtait en plein travail puis renonçais. La vie de cette homme n’en serait que plus douloureuse, sa m’allais parfaitement. Mon dos craqua et j’allais récupérer mon katana que je rengainais lentement dans un chuintement de métal. Je raccrochais mon sabre dans mon dos et me posais contre les barres de métal en attendant le prochain combat.

J’entendais les gémissements de l’homme, c’était je devais l’avouer, quelque chose de jouissif. Ce genre de combat était plaisant et si chaque adversaire était aussi nul, je n’aurais aucun problème à les battre et je pourrais profiter un maximum de leurs souffrance. Je léchais le sang sur ma dague puis essuyait l’humidité sur mon pantalon. Enfin je la rengainais toujours sans ouvrir les yeux. Je les rouvris uniquement au moment ou l’arbitre annonça mon prochain adversaire que j’espérais tout de même plus coriace.


Dernière édition par Shippû Kurushimi le Ven 5 Aoû 2011 - 18:35, édité 2 fois
    Tic Tac Tic Tac Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

    Satoshi se demandait ce qu'il pouvait bien se passer. En fait, c'était le Hiiiii du chrono. Ca décomptait le temps qu'on restait au sol. Ayant été face contre terre plus de dix secondes, la sonnerie retenti. Mais en fait, c'était pas le sien. Lui il avait perdu depuis une bonne heure déjà et il s'était évanouie, tel une grande tafiole d'un mètre quatre vingt pour soixante dix kilos. Il essaya bien de se relever, mais en vain. De djiou qu'il avait l'air de galérer le pauvre. Il se rendormi. Soir/Sombre, Nuit/Noir. Il se reveilla dehors, dans cette rue. Devant le bar arène dans lequel il avait tant brillé cette dernière semaine. Maintenant il est redescendu au plus bas niveau, tout ça pour quoi ? Quelques pauvres centaines de berries. Il n'avait même pas vu Shippû Kurushimi. Mais oui ! Il n'avait pas vu Shippû Kurushimi ! Voila une raison pour qu'il se bouge le derrière, qu'il rentre dans ce bar de looser, se fritte avec quelqu'un de fort sans le charier pour l'énerver et perdre comme il y a quelques heures, et retrouver sa réputation ici ! Il va vendre du rêve ce soir !

    (...)

    Il va vendre du rêve ce soir.... A peine arrivé au premier combat qu'il s'était déjà fait rétamer par le premier clampin venu avec son maquillage rose et ses tatouages de licornes et de poney rependus sur tout son corps. Satoshi ne lui en avait pas collé une seule et s'était déjà fait sortir. Le Koler l'avait décidément tellement amoché qu'il ne pouvait plus se battre, faudra qu'il revienne demain notre "héros".

    (...)

    ▬ Pipip pour Noriyaki ?! HOURAAAAAAAA

    Ça c'est ce qu'ils auraient fait si il ne s'était pas fait lyncher la tronche par Koler hier. Aujourd'hui ils sont tous pour quelqu'un d'autre, mais va savoir qui c'est. Et sans savoir ce qu'il se passe dans cet endroit, il rentre d'un air triomphant dans le lieu animé dès cette heure matinale. Ouvrant les deux grandes portes avec force, il s'avance maintenant devant tous ces gens, le regardant aujourd'hui d'un tout autre œil qu'hier. Fera-t-il trembler cette cage aujourd'hui ? Nous ne le serons que dans un avenir proche, car en ce jour, il remonte sur le ring plus fort que jamais, mais ne pourra pas monter aussi haut que la dernière fois en une journée. Son but ? Atteindre le niveau de Shippû Kurushimi, inscrit sur le tableau, pour lui offrir une dérouillée exemplaire.

    Son nom montait sur le mur. Il dérouillait tous ceux se dressant sur son passage. Jusqu'à cet homme qu'il avait croisé autre fois. Shippû...Kurushimi...
    Satoshi monta sur le ring, sourire aux lèvres, pour une fois il n'allait pas combattre pour l'argent ; mais bien pour tester son niveau. Il l'attendait. Viendra-t-il ? Quel sera le résultat de ce combat ? Nous verrons ça au prochain épisode qui s'annonce palpitant car une surprise de taille attend Satoshi. Comment s'en sortira-t-il ?


    Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Mer 3 Aoû 2011 - 22:50, édité 1 fois
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    J’ouvris les yeux, j’avais mal et j’adorais cela. Une chose parfaitement normale. Mon adversaire suivant pénétra à l’intérieur de l’arène. Un homme armée d’une chaîne de métal, au bout de cette chaine, un pic pouvant sans doute transpercé facilement la chair. Je souris, cela allait être amusant. Silencieux, il se déplacer avec grâce et agilité. Un homme a ma mesure. Peut-être. Ou pas. Le combat commença, je dégainais lentement mon katana un sourire aux lèvres. Oui, ce soir, le sang allait encore couler.

    La chaîne fut propulsée vers moi, attaque malhabile et plutôt stupide. Je l’esquivais, l’attraper d’une main et tirer dessus de toute mes force. L’homme fut emporté par cette attraction et s’étala lourdement au sol. Alors qu’il se relevait, mon pied frappa son visage à pleine puissance. Son nez craqua, le sang gicla sur le sol, un hurlement retentit. Si doux, si bon. Alors qu’il roulait sur le sol, je fis un arc de cercle avec mon katana et lui tranchait la peau sur tout son flanc. Le sang coula de plus en plus rapidement sur le sol, l’homme ne bougea plus. Si faible alors que tout se présentait si bien. L’arbitre compta avant de me donner ma victoire. Une victoire si évidente que je me demandais pourquoi il ne me l’avait pas donnée plus tôt. Je sortis de l’arène en soupirant, cette fois-ci, je m’étais ennuyé. Prenant une chambre avec l’argent gagné pendant les combats, je passais une nuit tranquille. Et le lendemain, tout recommença.

    Oui, je continuais à me battre, et lorsque tout le monde serait mort ou définitivement hors jeu, je partirais de cet endroit. Je sentais que j’avais le temps, ne regardant jamais le tableau montrant mes prochains adversaires. Je faisais partie des meilleurs et cela, je le savais depuis longtemps. Les combats s’enchaînèrent, je m’ennuyais. Ces personnes étaient toutes plus inintéressantes que les autres et d’après ce que je savais, j’étais en tête de classement. Soupirant, j’attendais patiemment un adversaire à ma mesure.

    Je baillais à m’en décrocher la mâchoire, j’avais failli m’endormir lors du précédent combat tellement l’homme était nul. Personne ne m’avait amoché depuis que j’étais arrivé, en dehors du premier combattant que j’avais laissé faire pour m’amuser. Mon prochain adversaire fut annoncé, un certain Satoshi. Mon esprit se réveilla brusquement, j’avais déjà entendu ce nom quelque part. Malheureusement, je ne savais plus où. Je regardais l’homme pénétrer dans l’arène. De taille moyenne, il portait un costar et un chapeau. Étrange accoutrement pour le combat. Mais ce fut son visage qui me rappela enfin qui il était. Excellent combattant, je l’avais rencontré sur un navire-restaurant. Ce même restaurant qui s’était transformé en bain de sang, des cadavres jonchant le sol de tous les côtés. Je souris, celui-ci était fort, j’allais enfin m’amuser.

    -Si j’avais su que je te reverrais dans un endroit comme ça.

    De simple parole, des paroles qui montraient que je l’avais reconnu. Cette fois-ci, j’allais me battre avec toute ma puissance. Oui, il faudrait bien sa pour pouvoir le battre. De plus, j’allais le tuer, lentement. Oui, je lui devais bien sa pour le remercier de m’avoir laissé autant d’argent la dernière fois. Une façon un peu abrupte de le remercier, mais approprié d’après moi. Dommage pour lui, il aurait dû me tuer la dernière fois que l’on se fût croisé.
      ▬ Si j’avais su que je te reverrais dans un endroit comme ça.

      Quand je vous disais que Satoshi allait être étonné, je ne mentais pas du tout. D'ailleurs je ne ment jamais. Après tout, dans le nord, on ne ment pas. N'est ce pas ? Enfin bref, après avoir écarquillé les yeux devant cette chose. Oui, cette chose, parce qu'en aucun cas cette chose avait le regard doux et chaleureux d'une damoiselle en détresse prête à être sauvée par son chevalier servant. Et quand c'est pas comme j'vous l'ai décrit, pour Satoshi c'est pas une femme. Donc c'est un fôme. Faut pas chercher plus loin. Y'a qu'à voir son regard, sombre, ténébreux, agressif. Tout c'qu'on trouve chez un crétin de pirate suicidaire ça ! Enfin, l'homme euh...le fôme qui lui faisait désormais face affichait une mine des plus sinistres. Ainsi, Satoshi découvrait enfin le visage des femmes folles qui ont sombré dans la dépendance du sang. Mais, à quand qu'on parle du combat ?

      Sur le terrain, la tension était palpable, les deux opposants se fixaient. Les spectateurs, mû par l'atmosphère extrêmement tendue, regardaient la scène fixement, on entendait bien quelques chuchotements, mais aucuns cris. Donc, l'homme, le vrai, s'avança d'un pas lent et assuré pour s'arrêter à quelques mètres devant son adversaire puis il se tourna vers le public... D'une voix claire, assez sérieuse, quoi qu'un peu prétentieuse, notre "héros" du jour s'exprima :


      ▬ Vous autres, que vous soyez femme, enfant, alcoolique, drogué ou fermier, ne voulez vous donc pas entendre les palpitantes histoires de celui qui vous a tant déjà fait vibré cette semaine plutôt que d'encore une fois le regarder se battre ? Ne voulez vous donc pas entendre les histoires de celui qui vient de l'ouest ? Tout là bas, par delà l'horizon, derrière le couché du soleil. Le Far... West. Comme je vous le dis mesdames et messieurs, là d'où je viens, on descend un gringo avant le petit dej', rien que pour s'ouvrir l’appétit. On le sale, on le pimente un poil, on le beurre, on le cuit à l'étouffé, et ensuite, on le graille. Vous l'aurez deviné je ne suis pas d'ici, mais il se dit que là si je passe, c'est qu'il y a du grabuge et que l'apocalypse se prépare. On dit même que je suis l'apocalypse. Mon nom est...Satoshi. Satoshi Noriyaki. Et toi, Shippû Kurushimi. Ce n'est que partie remise, mais un jour tu me remercieras de ne pas t'avoir mis sur ma liste de victime.

      Après ce magnifique discours et les whaa des villageois, il ajusta son chapeau, plongea sa main dans une poche intérieur de sa veste et sortit une cigarette pour l'apporter à sa bouche, puis il fit signe au gardien d'ouvrir la porte. Malheureusement, le discours du Gentleman l'avait tellement étonné qu'il en était pétrifié, il n'ouvrit pas cette putain de porte et Satoshi allait resté coincé avec cette démone. Derrière tous criaient "Tesla, Tesla" comme ci il s'était fait une dure réputation de tueur né. Un mec à qui rien ne fait peur. Mais là, il était contre une femme, il ne pourra pas la frapper de toute ses forces. Il fallait qu'il la batte sans la toucher. Pour ça, il allait utiliser d'entrée de jeu sa nouvelle technique. Celle qu'il ne maitrisait pas encore très bien, mais qu'il arrivait quand même à exécuter. Donc il se tourna à nouveau vers Shippû, l'air plus déterminé que jamais, et il chuchota quelque chose, à savoir :Berrys...

      Il commença à tourner sur lui même, de plus en plus vite. Il ne pouvait plus voir Shippû, enfin si, mais pas comme avant, il ne voyait qu'une légère silhouette floutée. Ne sachant pas si le curieux personnage se déplaçait ou pas, il allait devoir vite boucler ça. Il finit donc la technique en s'arrêtant net. Libérant diverses courant d'air très rapide. De quoi couper quelques broutilles et projeter quelqu'un.


      Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Lun 8 Aoû 2011 - 18:54, édité 1 fois
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      Il était étonné, sans doute était-ce par mon apparence. Il est vrai que la dernière fois que je l’avais croisée je n’avais pas encore subi cette transformation. Je souris. Ce combat allait être amusant. J’observais mon adversaire pendant qu’il parler. Un discours assommant que je n’écoutais qu’à moitié. Peut-être aurais-je dû l’écouter entièrement d’ailleurs puisqu’à la fin il s’adressa à moi. J’éclatais de rire lorsqu’il fit signe que l’on ouvre la porte pour qu’il puisse sortir, mais que le gardien ne le vit pas. Scotché par ce discours que je n’avais pas vraiment écouté il ne réagit même pas. J’éclatais de rire, un rire froid, sans joie. Alors qu’il rajuster son chapeau et qu’il mettait une clope dans sa bouche, j’écoutais le public l’acclamer. Il venait de se faire une réputation, néanmoins, il parler trop.

      -C’est sa de trop parler, après on te regarde même plus correctement.

      À ma grande surprise il se mit à tourner sur lui-même, sans doute préparer t-il une technique sans aucun doute puissante. Mais je n’allais pas le laisser faire. Sans dégainer mes armes, préférant le faire au dernier moment, je le contournais rapidement. Longeant le bord de l’arène, je m’approcher progressivement. En tournant à cette vitesse, il ne pouvait certainement pas voire ce qui se passer autour de lui. Soudain. Il s’arrêta de tourner. Une sorte d’onde de choc se déclencha et me repoussa contre les barres de métal. Des tissus volèrent, un choc sourd retentit. Puis tout s’arrêta. Je me trouvais désormais à plusieurs mètres de haut et tomber souplement sur le sol. Faisant une roulade, je constatais mes vêtements déchiquetés. Mon tee-shirt tombait en lambeau, simplement retenus par le col, légèrement plus résistant, les manches encore accrochés grâce a des fils survivants, et enfin, le baudrier de mon sabre. Mon pantalon, bien que plus résistant avait lui aussi souffert. Déchirer en grande partie, il était bon à jeter à la poubelle. Ainsi, après cette attaque, plus de la moitié de mon corps était visible aux publiques et quelques sifflement retentir.

      Nullement gêner par un corps qui ne m’appartenait pas, je passais à la contre-attaque. Bondissant en avant, je courus vers mon adversaire. Saisissant la garde de ma dague je la projeté vers Satoshi. Je ne savais pas viser, mais c’était simplement pour l’occuper. Ne représentant aucun danger pour lui. Je bondis sur mon adversaire et murmurais.

      jin'soku

      Mes mains volèrent vers la garde de mes armes. La gauche saisit mon katana, la droite saisissant mon sabre. Je dégainais à la vitesse de l’éclair, six fois plus rapidement qu’un homme normal en aurait été capable. Mon katana passa en premier remontant brusquement suivi de très près par mon sabre qui lui descendait. Une attaque en croix dévastatrice destinée à tuer sur le coup.
        Satoshi n'aurait pas du utiliser cette technique, maintenant, toutes les parties les plus généreuses d'une femme s'était mise à découvert devant lui. Vêtements déchirés, ses formes se montraient, une trainée de sang sortie du nez du gentleman. Mais, sans qu'il ne puisse se remettre de toute cette pagaille, elle bondit pour attaquer. Saisissant un katana et un sabre, elle dégaina à une vitesse folle. L'oeil de Noriyaki ne pouvait surement pas suivre, quoi qu'un peu. Elle fonçait sur lui, sabres croisés, une attaque flippante accouplée à son regard de tarée, un truc qui donne des frissons !

        Donc, au moment ou le coup va s'abattre, notre héros se rend compte qu'elle est déjà si proche de lui, il essaye tant bien que mal de se défaire de son champs de vision, mais il ne parvient pas à l'éviter totalement, se faisant entailler lourdement un bras, mais au moins, cette attaque avait ouvert maintes et maintes possibilités de fuite. Son attaque ayant découpé les barres en métal, c'est le moment de se casser. Se tenant un bras et étant moins rapide, il mit quelques secondes avant de profiter du court laps de temps entre chaque attaques habituellement utilisé pour souffler, il se précipita dans ce trou, et pour ne pas passer pour une lopette de dernier cri, il donna une rapide explication à tout ce public.


        ▬ On poursuit dehors, c'est plus drôle !

        ▬ C'est le pire pirate dont j'ai entendu parlé...

        Se retournant, même si il n'en avait pas le temps, il ne pouvait laisser passer ça, il lui répondit donc, avec un air fier et hautain :

        ▬ Au moins, on vous a parlé de moi mes amis !

        Et il se précipita vers la sortie, se retournant à chaque secondes passées. Il poussait les spectateurs pour pouvoir se défaire de cette horrible Shippû, pourtant il l’apercevait quand même. Il défonça les portes d'un coup de pieds toujours en se tenant le bras. Il sorti du bar accompagné de lourdes goutes de sueur et d'importants coups de froids, de chauds, et autre sensation logique après s'être fait entaillé de quelques centimètres un membre supérieur. Arrivé dehors, la seule solution qu'il trouva fut d'escalader et d'atteindre les toits. Regardant autour de lui il trouva enfin le bon truc. Un cagot, une barre servant d'éclairage au bout, et une plateforme de bois. Il saisit l'occasion et grimpa, grimpa. Et à l'occaz', il se retournait, mais elle était toujours là, et ils allaient continuer à se torgnoler la tronche dans la joie et la bonne humeur sur un toit. Et d'ailleurs, je ne vous ai pas dit, mais les spectateurs ont tous suivis, et sont maintenant sur le toits d'en face. Et le choc des titans continue.


        Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Mar 9 Aoû 2011 - 17:58, édité 1 fois
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        Mon attaque le toucha, pas entièrement mais cela suffit à faire gicler le sang. Par la même occasion, je venais de crée une sortis. Je rencontrais un peu de résistance mais ma lame trancha plusieurs barres de métal qui s’effondrèrent dans un grand bruit. Je continuais d’attaquer sans relâche, prenant de temps en temps une mini pause afin de pouvoir respirer. Il ne faisait qu’esquiver et profita d’un petit temps de repos pour emprunter la sortis. D’après ses dire, il voulait continuer dehors et je devais dire que cela me convenais parfaitement. Je lui courus après, bousculant les spectateurs, l’un deux reçus une belle entaille sur le ventre et l’on me laissa le passage. Je poursuivais mon adversaire de toute mes force avec pour unique but, l’exterminé. Oui, ce soir un cadavre serait présent dans cette ville, celui du pirate Satoshi.

        Je le regardais grimper rapidement sur un toit. Bondissant sur plusieurs caisses, j’atteignis le même toit que lui presque au même moment et le dévisageais. Une bonne distance nous séparer et désormais, le combat allait véritablement commencer. Autours de nous, sur les autres toits, tout les spectateurs était présent, d’autre affluer encore sur le sol regardant ce qui se passait. Nous étions chacun d’un côté le toit était légèrement penché ce qui m’empêcher de voir ce qui se passer au niveau des pieds de mon adversaire. Recouvert de tuile, cela allait être un massacre. Tenant toujours mes armes tranquillement, je le regardais en passant mon pied sous une tuile.

        Brusquement, je levais mon pied, la tuile monta à la verticale et je donnais un coup de pied dedans la projetant vers mon adversaire. Enfin, poussant sur mes pieds je me projetais vers lui les deux bras tendus derrière moi. Alors que je m’approchais à toute vitesse, je dérapais d’un seul coup en tournant sur moi-même. Je frappais brutalement du tranchant de mes lames plantant mon katana dans le toit tendit que mon sabre faisait un arc de cercle afin de trancher mon adversaire. Je souriais, l’appel du sang faisant rage en moi.
          Usé, essoufflé, Satoshi venait d'effectuer la fuite la plus rapide de sa vie, et sans savoir le pourquoi du comment, il était monté sur ce toit. Un toit bourré de tuile, quelque chose n'étant pas forcément à son avantage. Mais tant pis. Se regardant, les deux bêtes de scènes savaient tous deux que le moindre mouvement trop brusque engendrerait la riposte brutale de l'autre. Le silence pesant qui s'était infiltré là était presque irréel. On n'entendait ni leur respiration, ni les cris des spectateurs. Même le vent s'était tu. Comme ci les dieux s'étaient arrêté de vaquer à leurs occupations pour contempler ce combat, qui se poursuivit. Ce fût l'adversaire de Noriyaki qui brisa ce silence. A vrai dire, on attendait ce coup avec patience, c'était logique de faire ça après tout. Bref, avec une discretion et une rapidité assomante, Shippû Kurushimi envoya vers Satoshi une tuile. Une tuile bien grosse hein, le genre de tuile qui vous pose problème ! Bon, c'était pas plus rapide que le coup d'épée, notre héros pu donc l'éviter sans trop de mal, mais, l'enchaînement se faisant en deux temps.

          Oui oui, notre bon vieux richoux s'était fait baisé en beauté, troquant une tuile contre un sabre bien aiguisé, bon, si ça n'avait pas été une métaphore, il ne se serait pas fait arnaquer, c'est quand même Satoshi Noriyaki, l'Avare en puissance avec un grand A, le mec le plus proche de celui qu'on surnommait Greed dans la contrebande. Ouip, celui là même qui tire bien des ficelles. Mais revenons à nos moutons, nous avons donc Satoshi qui évite une tuile, et derrière, Shippû qui arrive à toute vitesse, avec un beauuuuu sabre. Donc, toujours avec un air froid et un regard vide, il se préparait à trancher le beau gosse gentleman qui n'osait en aucun cas lui casser la gueule parce que ce n'était qu'une damoiselle après tout. Donc, dois je vraiment vous dire ce qui s'en suivit ? Non pas parce que si vous avez moins de *Non mais c'est pas bientôt fini oui !* bon d'accord. Bref, la Shippette arrivait droit sur Satoshi, mais il ne le remarqua qu'au dernier moment, la tension était palpable, c'était comme ci l'image se ralentissait, le choc allait surement être terrible. Mais en fait, que dis je, il n'y pas de choc, juste le bruit d'une lame tranchant un bras.

          Une trainée de sang longue comme les couilles pendantes d'un vieux comme Pludbus Céldèborde, ex amiral en chef éclaboussa le visage de l'assaillant tout comme celui du martyrisé. Un cri retentit, puis un silence, et enfin une retraite. Il se recula de bien des mètres, tenant son bras avec force. Il avait froid, il avait chaud, il avait des bouffées de chaleur. Le sang continuait à couler, sa qualité de vue diminuait, il ne tenait quasiment plus debout, de plus, il était devant le gouffre, un pas de plus et il s'élancerait dans une chute pénible et douloureuse sur la fin, bon, il avait surement perdu n'est ce pas ? Attendons la suite avant de se précipiter...Noriyaki se retourne légèrement et penche la tête vers la rue, alors là, si il fait ça je le respecterais pour le restant de mes jours, parce que ça, ou c'est de la folie, ou c'est du génie. Mais finalement, ce qui est étonnant, c'est que souvent ces deux qualités vont ensemble. Bref, il continue de regarder, il souris et là, il s'exprime, mais le silence qui s'en suivi, encore une fois, fût moins lourd que précédemment. On entendait encore des chuchotements. Donc bref, avec un grand sourire - quoi qu'un sourire légèrement forcé, la douleur étant toujours très présente - le Noriyaki jete son chapeau de sorte à ce qu'il se prolonge dans la ruelle, et là, contre toute attente :


          ▬ Personne ne bouge, j’ai perdu ma cervelle !

          Tout le monde se tut, cela dura quelques secondes, puis les commentaires commençaient à fuser, il leur avait bien dit de pas bouger. Il se retourna donc vers Shippû Kurushimi, et lui adressa ces dernières paroles, regardant toujours l'endroit vers lequel se dirigeait son chapeau.

          ▬ Que cette journée reste à jamais celle où vous avez failli abattre le Capitaine Noriyaki.

          Et il se laissa tomber, tenant toujours et encore fermement son bras, pissant le sang. Il avait la vue floue, et sa tête devait être un peu Sat'urée, vu les bêtises qu'il se permet en ce moment... Il devrait s'abonner à Canal Sat' pour voir des films d'actions lui, ça lui donnera des idées plus organisés et moins suicidaires, parce que là, tout le monde s'est écarté et il s'est éclaté la face par terre. Du coup, il a lâché son bras et le sang à juté un peu, quelques secondes de plus lui auraient été fatale. Néanmoins il parvient à se lever, regardant au loin en se concentrant pour obtenir une vision de qualité, il aperçu son chapeau. Là, direct, il se leva, et commença à marcher, le costard couvert de poussière, la cravate desserrée, rien de bien sérieux et élégant. Mais, au moins, il avait survécu. Le mythe dit que personne ne l'a revu prendre son bateau ensuite. Comment ? Les mythes ne prendraient pas forme si personne ne voit personne ? Ha oui, bon ben quelqu'un l'a vu. On se demanderait bien qui s'est d'ailleurs...
          • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
          • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
          Je le touchais à nouveaux. Encore une fois au bras. Le sang coulait rapidement sur le sol et mon adversaire était obligé de le tenir afin de ne pas perdre trop de son liquide de vie. Je souris en le regardant, je décoinçais ma lame du toit afin de pouvoir m’en servir à nouveaux et m’approchais de lui. Posé près du bord, il ne pouvait plus fuir. Sauter équivaudrait a une mini tentative de suicide. Cela ne me dérangeais pas de le voir mourir en s’écrasant en bas mais bon, je préférais de loin le découper en petit morceau. Du sang s’écoulait doucement sur mon visage. Ce n’était pas le mien mais celui de mon adversaire qui devait sans doute se préparer à mourir. Alors que je m’approchais de lui, il jeta son chapeau dans la rue. Peut-être un signe pour montrer qu’il abandonner. Néanmoins, je n’allais pas le laisser faire. Ce qui me surpris le plus fût ses paroles.

          Perdre sa cervelle, quelque chose d’impossible tant que l’on ne c’est pas fait trancher le crâne. Ce qui n’était pas le cas ici sinon il serait mort. J’arrêtais d’avancer en me demandant s’il était devenu fou. C’était toujours amusant à regarder quelqu’un de fou, ils font toujours quelque chose d’étrange. Que l’on pourrait qualifier d’extraordinaire. Il se tourna vers moi et fis une déclaration pour le moins surprenante. En effet, je doutais qu’il puisse s’échapper si facilement. Néanmoins, il se laissa tomber en arrière. Souriant, je me poser au bord du toit et le vis avancer lentement dans la rue. J’éclatais de rire, un rire clair qui le suivis le long de sa marche. Ma proie m’avais échappée. J’aurais pu le poursuivre mais je n’en avais pas envie. Il ne voulait pas se battre et l’éliminer serait encore moins amusant que de tuer un civil. Je murmurais doucement d'une voix chantante.

          -La prochaine fois Satoshi ♫♪♥

          Je fis demi tour et descendit tranquillement du toit. J’empruntais les mêmes caisses qu’à la monté et me faufiler à travers la foule. Je ne pris même pas ma récompense pour le combat. Je soupirais en pensant que je m’étais tout de même bien amusé. Un homme me toucha l’épaule pour me féliciter. Ma tête partis sur le côté et mon front frappa son menton. Il recula de plusieurs pas et je continuais à avancer comme si rien ne c’était passé. Une douleur sourde au niveau de la tête due à ce dernier choc. Le message passa immédiatement dans la foule et les personnes s’écartèrent devant moi afin que je puisse avancer tranquillement. Plus personne ne me toucha et rapidement je m’enfonçais dans la nuit et y disparue. Dans cette ville, personne ne me revis. J’avais néanmoins marquer quelque corps et peut être des esprits. J’allais en garder un bon souvenir, cela j’en étais certain. Pas d’ennuie, que de l’amusement, tout pour me contenter.