C’est le matin, Healscare, profite du soleil levant assis sur un ponton de Freetown, la capital d’Amerzone, pour regarder les reflets lumineux sur le marais devant lui. Bunker, elle prend un bain matinal essayant de poursuivre les divers animaux marins qu'elle croise, que ce soit des poissons, des piranhas, ou même des crocodiles. Le plus étonnant, c’est que les animaux du coin fuyaient en voyant l’ours.
Scare - Mange rien la dedans ! Tu va finir malade
Évidemment, l'animal ignore son maître bien comme il faut et tente de croquer tout ce qui passe à portée de ses crocs. Scare souffle devant une telle indiscipline avant de lever les yeux vers un bruit qu’il connaît bien : celui du martin facteur. Curieux des nouvelles du monde, lève sa main en l’air pour lui faire signe et siffle pour l’appeler. L’oiseau baisse la tête, le remarque et amorce sa descente pour se poser à côté de lui. Le chasseur lui tend alors une liasse de billets contre un journal. Regardant le le nain de la tête au pied, l’oiseau léve une aile, plume en l’air comme pour lui demander de patienter. Avec son autre ailes l’animal fouille dans une petite sacoche avant de tendre une petite lettre
Scare - Une lettre pour moi ?
L’oiseau hochant la tête de manière affirmative, Healscare se saisit de l’enveloppe et de son couteau pour l’ouvrir immédiatement. De son côté, Bunker qui à repéré la belle volaille sur le pont commence à s'approcher en nageant doucement sans faire de bruit. Le nain, occupé à ouvrir et lire lettre ne fait pas du tout attention à la scène. L’oiseau, lui faisant assidûment son métier, attend imperturbable le potentiel réponse de l’homme devant lui quand tout à coup, L’ours donne une immense impulsion dans l’eau pour sauter et croqué le facteur. L’animal, étant tout de même un oiseau, réussit à esquiver l’attaque en sautant en avant laissant derrière lui un gros troue dans le ponton, exactement la ou Bunker avait croqué.
Martin facteur - Crii crii crii
Scare - Et Ho Bun ! tu touche pas au martin facteur !
Sans doute habitué au tentative d’agression, le volatile ne se dégonfle pas et, énervé, cria sur Bun, debout sur le bord du ponton croqué. Surpris par le bruit de craquement et le crie de l’oiseau, Healscare réprimanda sèchement son ours de compagnie qui, vexé, baissa la tête dans l’eau jusqu’au yeux et nagea tout doucement en soufflant pour faire des bulles. Soufflant en secouant la tête devant le comportement immature du grizzli, Scare sorti la lettre de l’enveloppe et d’un mouvement de main sec la déplia avant de se plonger dans la lecture.
Scare - Ho mais c’est une lettre de maman!
Lisant la lettre, l’expression de joie fit rapidement place à l’inquiétude. Relevant la tête tremblotant, Healscare chercha un peu de réconfort vers Bunker qui le fixait. Comprenant que quelque chose n’allait pas, l’animal remonta sur le pont et vint se coller, encore toute trempé, à son maître. Tout son corps se retrouvant comme engourdi. l’idée de son oncle décédé lui paraissait impossible et pourtant… il se secoua la tête pour se ressaisir.
* Non ! Bien sûr que non, c’est sûr qu’il va bien, il doit juste être coincé en montagne, c’est un grand guerrier, un chasseur hors pair, et surtout, le plus grand trappeur de l’archipel, rien ne pourrait lui arriver. *
Scare attrapa le stylo tendu par le piaf et gribouilla “J’arrive” sur le dos de la lettre qu’il rendit. Il paya évidemment les frais d'envoi avec quelques Berry et se leva.
Scare - Allez Bun! Neto à besoin de nous !
Bunker - Aaaowww
Cela faisait bien longtemps que Bunker n’avait pas entendu parler de Neto. Peut être que c’est seulement par empathie pour son maître, mais elle semblait elle aussi très inquiète du sort de tonton Thorring. Healscare se leva en trombe. Il lui fallait au plus vite un moyen de transport pour retourner sur l’Archipel. Heureusement pour lui, Freetown était un point de passage de plein de contrebandiers au bateau fin et rapide, en payant le prix nécessaire, il réussira bien à trouver quelqu’un prêt à faire le trajet. Comme tous les brigand de l’univers, les contrebandier serait à la tavernes, il y rentra en trombe et hurla
Scare - Je veux le bateau le plus rapide! 10 Millions de Berry à celui qui m'emmène à l’archipel de Sanders au plus vite
Son annonce suscita très vite l'intérêt de plusieurs bonhomme de la tavernes mais son allure prêt à massacrer n’importe qui ravisa la plupart. Un solide marin se leva, l’air très sur de lui et s’approcha d’Healscare
Capitaine - J’ai le bateau le plus rapide de l’île ! si j’arrive à t'emmener sur l’île en moins de 15 jours le prix double, sinon tu paye que la moitié ? alors?
Scare - C’est d'accord, mais on part tout de suite !
La capitaine siffla et fit un signe de la main pour faire lever deux hommes de la salle. Peut-être qu’il allait se faire emmener loin de la ville et qu’on allait tenter de la tabasser pour les extorquer son argent, Mais il n’avait pas le temps de se préoccuper de ça. Heureusement, il se fit amener sur deux grande barques chargées à rabord ou les quatre homme plus Bunker tenait à peine sur les embarcations. Très vite, ils se retrouvèrent au bord de mer après avoir descendu la rivière et devant un grand bateau composé de 3 coques très fines attachées entre elles. Scare ne fit même pas attention au bateau, il était inquiet et voulait simplement rentrer chez lui au plus vite. Une fois monté à bord le marin l’interpella.
Capitaine - C’est pas très confort, mais c’est le plus rapide que vous trouverez ! Par contre il faut payer la moitié maintenant
Scare - Tenez! mais levez l'ancre I-M-M-E-D-I-A-T-E-M-E-N-T!
Healscare sortit deux énormes liasses de billets de son sac et les donna au marin, 5 Millions c’était cher, mais c’était le prix à payer pour rentrer en urgence. Surtout que là, pas le temps de négocier ou d'essayer de se faire embaucher, il fallait être efficace. Après de rapides préparatifs, le navire prit la mer. Posté sur l’avant, le chasseur regardait l'horizon l’air inquiet. Pour une fois, il ne se sentait pas malade, son esprit beaucoup trop préoccupé le protégea de son mal de mer habituelle.
Scare - Mange rien la dedans ! Tu va finir malade
Évidemment, l'animal ignore son maître bien comme il faut et tente de croquer tout ce qui passe à portée de ses crocs. Scare souffle devant une telle indiscipline avant de lever les yeux vers un bruit qu’il connaît bien : celui du martin facteur. Curieux des nouvelles du monde, lève sa main en l’air pour lui faire signe et siffle pour l’appeler. L’oiseau baisse la tête, le remarque et amorce sa descente pour se poser à côté de lui. Le chasseur lui tend alors une liasse de billets contre un journal. Regardant le le nain de la tête au pied, l’oiseau léve une aile, plume en l’air comme pour lui demander de patienter. Avec son autre ailes l’animal fouille dans une petite sacoche avant de tendre une petite lettre
Scare - Une lettre pour moi ?
L’oiseau hochant la tête de manière affirmative, Healscare se saisit de l’enveloppe et de son couteau pour l’ouvrir immédiatement. De son côté, Bunker qui à repéré la belle volaille sur le pont commence à s'approcher en nageant doucement sans faire de bruit. Le nain, occupé à ouvrir et lire lettre ne fait pas du tout attention à la scène. L’oiseau, lui faisant assidûment son métier, attend imperturbable le potentiel réponse de l’homme devant lui quand tout à coup, L’ours donne une immense impulsion dans l’eau pour sauter et croqué le facteur. L’animal, étant tout de même un oiseau, réussit à esquiver l’attaque en sautant en avant laissant derrière lui un gros troue dans le ponton, exactement la ou Bunker avait croqué.
Martin facteur - Crii crii crii
Scare - Et Ho Bun ! tu touche pas au martin facteur !
Sans doute habitué au tentative d’agression, le volatile ne se dégonfle pas et, énervé, cria sur Bun, debout sur le bord du ponton croqué. Surpris par le bruit de craquement et le crie de l’oiseau, Healscare réprimanda sèchement son ours de compagnie qui, vexé, baissa la tête dans l’eau jusqu’au yeux et nagea tout doucement en soufflant pour faire des bulles. Soufflant en secouant la tête devant le comportement immature du grizzli, Scare sorti la lettre de l’enveloppe et d’un mouvement de main sec la déplia avant de se plonger dans la lecture.
Scare - Ho mais c’est une lettre de maman!
Mon petit Scare
J'espère que toi et Bunker vous portaient bien. Ici les affaires vont bien, ton père travail de moin et moin à cause de ses problèmes de dos mais ne t'inquiète pas pour lui, il se porte comme un charme.
Depuis quelque mois, les attaques de Yéti sur Asnia se sont multipliées et une prime à été offerte pour les têtes de ses monstres. Je te promet, Moi, ton père et Mathilda, on a tout fait pour le convaincre de rester, mais bon… Tu connais mieux que nous ton vieil oncle Neto, il n’a pas pu résister et il est parti chasser… et un beau matin, il était parti en nous laissant une lettre. Tous les deux jours, il nous envoyait de ses nouvelles depuis Asnia mais hier, pas de lettre et je te cache pas que j’ai un très mauvais pressentiment.
Je suis vraiment désolé de devoir t’apprendre la nouvelle par écrit, mais comme je tu n’a pas d‘escargophone, je ne savais pas comment te contacter autrement. Nous avons essayé de contacter les autorités d’Asnia, mais personne ne la vue depuis et ni les Givrelame ni les soldats ne peuvent intervenir, la montagne est beaucoup trop dangereuse et ils sont trop occupés à protéger les villages. Nous n’avons pas les moyens d’offrir une prime de recherche assez élevée pour motiver qui que ce soit à risquer sa vie…
Brann est sans doute trop fière pour te le dire un jour, mais il est aussi très inquiet pour son frêre, sans compter Mathilda… Je me doute que tu dois être très occupé, mais je t’en supplie… Rentre au plus vite, on a besoin de toi.
Ta maman qui t’aime
J'espère que toi et Bunker vous portaient bien. Ici les affaires vont bien, ton père travail de moin et moin à cause de ses problèmes de dos mais ne t'inquiète pas pour lui, il se porte comme un charme.
Depuis quelque mois, les attaques de Yéti sur Asnia se sont multipliées et une prime à été offerte pour les têtes de ses monstres. Je te promet, Moi, ton père et Mathilda, on a tout fait pour le convaincre de rester, mais bon… Tu connais mieux que nous ton vieil oncle Neto, il n’a pas pu résister et il est parti chasser… et un beau matin, il était parti en nous laissant une lettre. Tous les deux jours, il nous envoyait de ses nouvelles depuis Asnia mais hier, pas de lettre et je te cache pas que j’ai un très mauvais pressentiment.
Je suis vraiment désolé de devoir t’apprendre la nouvelle par écrit, mais comme je tu n’a pas d‘escargophone, je ne savais pas comment te contacter autrement. Nous avons essayé de contacter les autorités d’Asnia, mais personne ne la vue depuis et ni les Givrelame ni les soldats ne peuvent intervenir, la montagne est beaucoup trop dangereuse et ils sont trop occupés à protéger les villages. Nous n’avons pas les moyens d’offrir une prime de recherche assez élevée pour motiver qui que ce soit à risquer sa vie…
Brann est sans doute trop fière pour te le dire un jour, mais il est aussi très inquiet pour son frêre, sans compter Mathilda… Je me doute que tu dois être très occupé, mais je t’en supplie… Rentre au plus vite, on a besoin de toi.
Ta maman qui t’aime
Lisant la lettre, l’expression de joie fit rapidement place à l’inquiétude. Relevant la tête tremblotant, Healscare chercha un peu de réconfort vers Bunker qui le fixait. Comprenant que quelque chose n’allait pas, l’animal remonta sur le pont et vint se coller, encore toute trempé, à son maître. Tout son corps se retrouvant comme engourdi. l’idée de son oncle décédé lui paraissait impossible et pourtant… il se secoua la tête pour se ressaisir.
* Non ! Bien sûr que non, c’est sûr qu’il va bien, il doit juste être coincé en montagne, c’est un grand guerrier, un chasseur hors pair, et surtout, le plus grand trappeur de l’archipel, rien ne pourrait lui arriver. *
Scare attrapa le stylo tendu par le piaf et gribouilla “J’arrive” sur le dos de la lettre qu’il rendit. Il paya évidemment les frais d'envoi avec quelques Berry et se leva.
Scare - Allez Bun! Neto à besoin de nous !
Bunker - Aaaowww
Cela faisait bien longtemps que Bunker n’avait pas entendu parler de Neto. Peut être que c’est seulement par empathie pour son maître, mais elle semblait elle aussi très inquiète du sort de tonton Thorring. Healscare se leva en trombe. Il lui fallait au plus vite un moyen de transport pour retourner sur l’Archipel. Heureusement pour lui, Freetown était un point de passage de plein de contrebandiers au bateau fin et rapide, en payant le prix nécessaire, il réussira bien à trouver quelqu’un prêt à faire le trajet. Comme tous les brigand de l’univers, les contrebandier serait à la tavernes, il y rentra en trombe et hurla
Scare - Je veux le bateau le plus rapide! 10 Millions de Berry à celui qui m'emmène à l’archipel de Sanders au plus vite
Son annonce suscita très vite l'intérêt de plusieurs bonhomme de la tavernes mais son allure prêt à massacrer n’importe qui ravisa la plupart. Un solide marin se leva, l’air très sur de lui et s’approcha d’Healscare
Capitaine - J’ai le bateau le plus rapide de l’île ! si j’arrive à t'emmener sur l’île en moins de 15 jours le prix double, sinon tu paye que la moitié ? alors?
Scare - C’est d'accord, mais on part tout de suite !
La capitaine siffla et fit un signe de la main pour faire lever deux hommes de la salle. Peut-être qu’il allait se faire emmener loin de la ville et qu’on allait tenter de la tabasser pour les extorquer son argent, Mais il n’avait pas le temps de se préoccuper de ça. Heureusement, il se fit amener sur deux grande barques chargées à rabord ou les quatre homme plus Bunker tenait à peine sur les embarcations. Très vite, ils se retrouvèrent au bord de mer après avoir descendu la rivière et devant un grand bateau composé de 3 coques très fines attachées entre elles. Scare ne fit même pas attention au bateau, il était inquiet et voulait simplement rentrer chez lui au plus vite. Une fois monté à bord le marin l’interpella.
Capitaine - C’est pas très confort, mais c’est le plus rapide que vous trouverez ! Par contre il faut payer la moitié maintenant
Scare - Tenez! mais levez l'ancre I-M-M-E-D-I-A-T-E-M-E-N-T!
Healscare sortit deux énormes liasses de billets de son sac et les donna au marin, 5 Millions c’était cher, mais c’était le prix à payer pour rentrer en urgence. Surtout que là, pas le temps de négocier ou d'essayer de se faire embaucher, il fallait être efficace. Après de rapides préparatifs, le navire prit la mer. Posté sur l’avant, le chasseur regardait l'horizon l’air inquiet. Pour une fois, il ne se sentait pas malade, son esprit beaucoup trop préoccupé le protégea de son mal de mer habituelle.