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[Mighty Island] Du Feu de Dieu [pv: Shiro]

~Mighty Island~

Petite descriptions du lieu de cette histoire. Mighty Island est comme son nom l'indique une île sacré où vivent une population de profond religieux, Il n'y a que des villes médiéval et tous sont d'honnête paysans où hommes d'églises, la violence et la débouche n'a pas lieux d'être ici, tout comme la marine.
Non ici les seuls à maintenir l'ordre son les valeureux chevaliers sacré qui protège la veuve et l'orphelin ainsi que l'église de Mighty Island.
En revanche il n'est pas question de contredire la parole de dieu et ceux qui s'écarte du droit chemin finisse sur le bouché ni plus ni moins, gare au pirate et hors la loi...


Par un si bon matin, notre pyroman préféré c'était réveillé en très charmante compagnie. En effet lors d'une soirée très arrosé de la veille, il s'était débrouillé pour charmer une jeune femme aussi séduisante qu'une petite oasis dans un désert du Sahara. Bien qu'il avait prit quelques années, Attila n'avait encore rien perdu de son savoir faire avec les femmes.
Installé dans une confortable chambre d'hôtel qu'il avait payé avec la bourse d'un pauvre glandut du coin qu'il avait détroussé la veille. Le pirate regardait paisiblement la femme qui dormait encore dans les bras de Morphée. Puis il fini par se lever en tirant la couette brusquement. Nue comme un vers il enfila son pantalon et s'en alla en laissant la belle dans son sommeil profond.
Attila tout sourire sortit dehors et s'étira de tout son long devant un soleil étincelant. Malheureusement quand il abaissa son regard du ciel jusqu'à ce qui s'étendait devant ses yeux, il ne vit qu'une pelleter de pécore et de soit-disant saint vêtu en toge de moine. Mouais autant dire des robes de pédales ouais, avec leur coupe de curé pédophile.

Une journée encore pénible dénudé d'un quelconque brin d'honnête pirate. Il soupira devant se spectacle mortellement décadent et pensa à se qu'il pouvait faire aujourd'hui. Il décida d'entreprendre une petite balade dans le coin histoire de trouver un site sympa à critiquer comme tout bonne artiste. Une aubaine qu'il ne décide pas de faire des siennes dans la ville car il ignorait que les habitants de cette île était de véritable fanatique devant la criminalité. Certainement pire qu'une altercation musclé avec la marine.
Alors qu'il se promenait tranquillement dans les environs en zieutant les différentes architectures des bâtiments autour de lui, il fini par arrivé dans un quartier plus sombre et bien moins côtoyer de la population.
Et pour sûr, il n'y avait pas un chat... enfin si y'en avait un enfaite, il était tout noir et il lui manquait une oreille apparemment, enfin bref y'avait pas un bédouin dans le coin quoi. Puis quand il allait faire demi tour il se fit violemment cogner par une batte qui percuta son front. Le choc le fit reculer de quelque pas. Du sang coulait lentement de son front malgré une main épaisse qui essayait tant bien que mal de retenir la coulé du liquide chaud.

Le sang obstruant sa vue, il cru percevoir un homme vêtu d'un grand manteau dans les tons marmonnés et au visage encapuchonné. Avant qu'il n'est le temps de glisser une seule parole, il reçut un seconde coup d'objet contondant au niveau de la nuque, et paf... le trou noir. Il s'écroula comme une mer... sur le sol, les types le ligotes et l'emmène comme si de rien n'était jusqu'à ce qui semblait être une église.
Quelque minutes plus tard notre bonhomme bodybuildé se réveil avec un mal de crâne horrible. Sa vision trouble revient peu à peu.
Attila pouvait voir sur son côté gauche une femme, celle avec qui il avait passer la nuit, ligoter à un buché sur une motte de bois, sur sa gauche le même schéma avec un gamin à peine pubère qui semble avoir les nerfs. La femme pousse des cries et des pleures digne d'un bébé.
Et Attila qui semble se trouver dans la même position, incapable de bougé, lié des pieds à la tête. Et pour couronner le tout son sang coule le long de son visage de la manière le plus désagréable qui soit. Et en face une foule de mecno en robe qui n'arrête pas de brailler avec des torche dans les mains...EUH.... MAIS WHAT'S THE FUCK!!!!
    Une ruelle sombre, un corps, moi, et de l’argent qui change de poche. Je venais d’assommer un homme grâce à mon boomerang. Un bon coup sur la nuque et le tour étaient joués. Il aurait simplement un magnifique mal de tête à son réveil et sa bourse était désormais allégée. Et pour cause, il n’avait plus de bourse. C’était la troisième personne que je volais aujourd’hui. Cette île était un paradis pour le vol. En effet, lieu plutôt ancien, il était dirigé par une église et malheureusement pour eux, se dissimuler dans les ombres de cette ville était un jeu d’enfant. Je souris tranquillement en m’esquivant. Un voleur ne reste jamais au même endroit plus de quelque minute. Surtout lorsqu’il est en train de faire quelque chose de mal. Enfin après tout dépend du point de vue. Je marchais tranquillement dans les ruelles lorsqu’un homme en armure me barra le passage. Un bruit retentit derrière moi, un choc de ferraille atterrissant brutalement sur le sol. Je me retournais et aperçus un deuxième homme en armure. Un choc a la base de ma nuque, le noir. Je m’écroulais lentement sur le sol, évanoui.

    Je me réveillais sur un tas de bois, attaché à un poteau de bois. En face de moi, des dizaines d’hommes encapuchonnés tenant des torches. J’avais les nerfs. En rogne contre moi-même puisque je venais de me faire attraper comme un débutant, je n’avais qu’une envie. Me venger. À ma gauche, se situer deux autres personnes. Un homme qui avait l’air plutôt costaud et qui saignait au visage. Lui aussi était attaché sur un tas de bois. Un peu plus loin, une jeune femme était présente elle aussi attaché. L’homme se réveilla et ne semblait pas vraiment content de ce qui lui arriver. Je réfléchis rapidement, mes armes étaient encore mémorisées dans mes mains, néanmoins, cela n’allait pas me permettre de m’échappe aussi facilement. Je touchais la corde qui me retenait avec la main qui avait mémorisé le boomerang et la mémorisée.

    Tous les hommes avancèrent en même temps et plongèrent les torches dans les tas de bois. Nous étions apparemment tous condamnés à mort. Je les insulté copieusement tendit que la chaleur montait en dessous de mes pieds. Les hommes reculèrent afin de regarder de loin et d’être à l’abri des flammes. Je fis semblant de hurler de douleur et murmurais entre deux hurlements.

    Misumisu

    La corde apparut devant moi et je me retrouvais libéré. La fumée venait de cacher tout sa. Elle me piquer les yeux et pourtant, je n’y fis pas attention. Je sautais sur le côté et grimper sur le tas de bois voisin. Tout aussi chaud, des flammes jaillissant déjà par en dessous, je touchais la corde retenant l’homme de la main gauche. Celle qui venait de mémoriser la corde, et répéter la même opération. De toutes mes forces, je le poussais sur le côté alors qu’il se retrouver libéré et nous tombâmes ensemble sur le sol à côté des flammes. Un véritable hurlement se fît entendre, la jeune femme était déjà en train de brûler et je ne pouvais plus grimper sur le feu de bois. Alors que les hommes fonçaient sur nous et que la chaleur des flammes me faisait transpirer. Je regardais bouche bée, l’estomac retourner, la jeune femme en train de brûler. Je ne me rendis pas compte qu’une partie de mon écharpe était en train de brûler.
      Spoiler:

      La chaleur sur son visage l'extirpa de sa léthargie passagère, en plus des cries injurieux du jeune insolant à côté d'Attila. Apparemment se sale gamin avait vraiment les nerfs, n'empêche que le pirate ne comprenait pas vraiment ce qui ce passait. Alors que le curée en chef où je ne sais trop qui, prit la parole pour les chefs d’accusations pendant que les bourreaux mettaient le feu au petit bois au pieds des prêcheurs.
      Il pointa Attila du doigt.

      "Vous, avez commit le péché ultime d'avoir déshonoré une vierge de l'église, votre crime sera payer par votre sacrifice!"


      Il dirigea son doigt vers la femme ensuite.

      "Pour toi, ce sera la mort pour avoir perdu ta virginité alors que tu avais fais vœux de chasteté envers Dieu!"


      Puis vers le petit homme.

      "Et pour toi, ce sera également la mort sur le buché pour avoir voler plusieurs habitants de cette île, ceux qui pèches et faillissent à la voie de dieu doivent périr par le feu!"

      Et oui, ce qu'Attila ne savait pas c'est qu'il avait passé ne nuit agité avec une jeune vierge de l'église qui succomba à son charme ravageur. Comme quoi parfois il vaut mieux garder sa braguette fermé sans quoi il peu être la cause de notre trépas.
      Non mais c'était quoi c'est gros psycopathe de la life, Attila n'avait qu'une envie c'était de leur faire la peau, bien que cela était rare, il n'arborait plus son sourire suffisant, mais un tout autre aspect. Alors que les flammes allaient bientôt le dévorer littéralement, bien que ce fussent une mort qu'il aurait apprécier dû à son culte du feu, le jeune garçon lui venu en aide. Il se débarrassa d'abord de ses liens par un simple geste de la main en les faisant disparaître comme par magie. Dans la seconde qui suivit la corde s'était retrouver dans sa main, Attila avait du mal à comprendre. Le jeune garçon venu d'abord en aide au pirate car il se trouvait juste à côté de lui. Il retira les cordes du forban par le même procédé que précédemment puis l'emmena dans sa chute sur le côté pour éviter qu'il ne se fasse brûler par les flammes de l'enfer.

      Le boucanier avait eut chaud, et c'était le cas de le dire, ses pompes commençait déjà à subir les effets corrosif du feu. Mais il n'avait rien, ils se relevèrent tout d'eux en subissant les cries de douleur de la jeune femme qui n'avait rien fait de mal au yeux du pyroman. Bien qu'il aimait le feu plus que tout en monde, voir une si jolie femme et qui plus est innocente le répugnait, il en éprouvait presque de la compassion, un sentiment qu'il n'avait pas ressentit depuis belle lurette. Malheureusement pour les hommes d'églises ils étaient entrée dans une colère noire devant la mort affreuse de la jeune femme. Et il allait prendre un pied d'enfer à les envoyés dans l'au-delà. Et surement avec l'aide du jeune garçon. Ce dernier vêtu d'une écharpe rouge, d'une veste en jean bleu turquoise, et qui arborait une coiffure et des yeux peut commun l'un comme l'autre portaient deux couleurs qui s'opposaient.

      "Je ne sais pas qui tu es petit mais merci, je t'en dois une, maintenant tu veux bien m'excuser j'ai un compte à réglé avec ces enfoirés!"


      Tout à coup un groupe de 10 chevaliers en armures et armées chacun d'un bouclier et d'une épée lourde, pour certains il ne portait qu'une claymore massif et d'autre des massues ou des hallebardes, s'interposa entre les moines et les deux individus. Attila était plutôt serein, et il avait une méchante envie de taper sur du pécore en robe. Malheureusement il allait d'abord devoir s'occuper de ces crevards de chevalier qui lui barrait la route. Les hommes d'églises rentrèrent donc dans l'église en question pour se réfugier et laisser le loisir au chevalier de s'en occupé. Un rude combat était sûr le point de débuter pour les deux hors la loi.

        Il me remercia alors que j’étais encore sous le choc. Cela me tira automatiquement de ma torpeur, ce n’est pas tout les jours que quelqu’un remercie un voleur. Apparemment lui aussi avait un compte à régler avec ce qui était apparemment l’église. Des souvenirs remontèrent à la surface de mon esprit. Je regardais quelque instant la cicatrice sur ma main, celle symbolisant le diable, celle qui ma était faite par mes propres parents. Je grognais de colère en pensant que j’avais failli cramer en entier et je me relever sans regarder la jeune femme en train de brûler. Il s’agissait là d’un spectacle trop difficile à supporter pour moi. Je m’approchais de l’homme me posant à côté de lui et je lâchais doucement.

        -J’me débarrasse d’leurs protec, t’prras les battre facil com’sa.

        Naibu

        Ma dague apparue dans ma main droite, prête a être utilisée. Je ne réfléchis pas vraiment, il me suffisait de les toucher pour que ce soit fini pour eux. Néanmoins, me battre avec une dague n’allait pas être facile. Avant qu’il ne s’élance avant moi, je bondis en avant. Deux chevaliers arrivaient avant les autres, armes à la main. Je courus vers eux en regardant leurs larges épées. D’un geste rapide, je lançais ma dague sur l’homme de gauche qui se protégea d’un geste du bras. L’autre frappa dans ma direction. Je me baissais brusquement glissant sur le sol. Puis, arrivant contre lui, je me relevais et le poussais de toutes mes forces. Ma dague réapparue dans ma main droite, je mémoriser le haut de son armure de la main gauche au passage et reculais brusquement. L’homme recula d’un pas surpris, son compagnon m’attaqua du côté gauche, je tendis la main gauche et fît apparaître l’armure devant moi. La partie de l’armure apparut en l’air et dévia le puissant coup d’épée qui me rate de quelque cm. Elle tomba sur le sol dans un bruit fracassant tendit que je reculais rapidement. Les 8 autres arrivaient à toute vitesse et je devais maintenant survivre.

        Je continuais de reculer tendit que les coups pleuvaient sur moi. L’homme sans armure était devenu enragé et avait l’air particulièrement stupide. L’épée s’enfonça dans le sol passant à quelque millimètre de mon bras. Je me baissais rapidement et la mémoriser de la main gauche. En me relevant, je lançais ma dague sur l’homme. Je reculais en bondissant tendit que mon arme rebondissait sur l’armure. En souriant, je fis réapparaître les deux armes dans mes mains. Je me retrouvais à côté de l’homme que j’avais sauvé. Plantant l’épée dans le sol je dis.

        -Tien, s’t’veux t’pourra t’battre correct com’sa.

          Alors qu'il allait avançais d'un pas décidé vers les chevaliers en armures, le jeune voleur prit par au combat. Il se mit au niveau d'Attila et lui suggéra de commencer. Il parlait de leur retirer leur protection, mais par quel artifice pouvait-il réussir cela. C'est ce qui traversa la tête d'Attila, en y repensant il utiliserait peut être son drôle de subterfuge qu'il avait fait tout à l'heure en faisant disparaître les cordes. Est-ce de la magie ou bien un merveilleux tour de passe passe.
          Il n'avait pas tellement le temps de s'interroger sur la question mais dans le regard du garçon il pouvait lire une détermination tout aussi sérieuse que la sienne. Les deux rebuts de la société étaient belle et bien sur le point de commettre des meurtres effroyables. Et le destin avait voulu qu'un utilisateur de fruit du démon soit sur la route d'Attila.

          Shiro s'occupa donc des chevaliers, il fit apparaître comme par enchantement sa dague dans sa main. Puis il s'élança tel un chat sur sa proie. Il était plutôt doué dans son genre, rapide et réactif, on voyait qu'il avait un certain sens du combat. Il lança d'abord sa dague sur l'un des chevaliers pour l'occuper, pendant qu'un autre asséna son épée sur lui. Il réussi à éviter l'attaque quand il le poussa et fit disparaître son armure en même temps de rappeler sa dague dans sa main. Ce gamin détenait un pouvoir vraiment intéressant qui dans les mains d'un maître pourrait devenir extrêmement dangereux, comme c'était le cas ici présent.
          Dans l'instant qui suivit, un autre l'attaqua sur son côté gauche, sans jetez un œil à son assaillant il para le tranchant de l'épée en se servant de l'armure de l'autre chevalier. Il mit un peu de distance entre lui et ses opposants.

          "Oh oh pas mal pour un gamin!"

          Mais la situation devenu quelque peu dangereuse pour le Pick Pocket. Attila devait entrer en scène.
          Alors que huit hommes armés jusqu'aux dents fondait sur Shiro et Attila, le pirate saisit derrière lui le buché sur lequel il était ligoté alors que les flammes se propageaient dessus. Arrachant d'une traire le tronc de bois il se retourna rapidement pour l’exploser sur cinq chevalier qui l'avait prit pour cible. Ils s'écrasèrent violemment sur le sol en effectuant quelques roulades, et même les plus robustes. Bien que leurs armures aient étouffées une partie du choc ils étaient plutôt bien sonnés.
          Et se retrouvaient, pour certains, avec quelques brûlures où leurs peaux n'avaient pas été recouvertes. Néanmoins ils n’eurent pas grand mal à se relever. Le plus impressionnant de la bande se ramena à toute vitesse. Il était au moins plus grand que Attila, et sa masse corporelle était bien plus conséquente également. Bien que son charisme n’a rien à envier à celui du forban.
          A ce moment Shiro planta une de leur épée dans le sol à côté d'Attila, en lui disant qu'elle était pour lui. Il esquissa un sourire et rétorqua aussi sec.

          "Non merci je n’ai pas besoin de ça pour me battre!"

          Il balança l'énorme bout de bois qui lui servait de masse pendant que les flammes le consumaient lentement mais surement. Et fut prit par surprise devant la charge bestiale du colossal chevalier. Il abattit sa grosse hache de haut en bas sur Attila qui saisit dans un même temps la claymore que son coéquipier venait de lui filer. Prit de court il se fit plaquer au sol par la force du coup lorsqu'il para.
          La force de l'opposant était telle qu'il devait y mettre ses deux mains ainsi qu'un pied sur la lame pour supporter le poids de la hache doublé de la force pesante de son adversaire. Il était dos au sol et dans une posture plus que désagréable.

          "Finalement je vais p'tète en avoir besoin!"

          Avec une impulsion directe sur la lame avec son pieds il réussi quand même à repousser son homologue. Bien qu'il n'était pas expert en la matière lorsqu'il s'agissait de manier une arme blanche, Attila de par son passer de garde du corps de roi possédait quelque notion dans l'art du maniement de l'épée. Alors que le combat allait reprendre par la seconde charge du chevalier, Attila planta sa lame dans un vieux lampadaire, le cierge était complètement fondu et dégoulina le long de l'épée, dans un même mouvement le pirate baissa sa lames en tournoyant sur lui même pour quel s'embrase au contacte de la motte de bois en flamme qui aurait du être son lieu de mort, puis il fit s’entrechoquer sa claymore flamboyante contre la hache du chevalier. Les deux adversaires s'étaient percutés de front. Alors que pendant ce temps le reste de la troupe rappliquait pour en finir avec les condamnés.


            Il refusa la lame, je lançais à nouveau la dague qui venait de surgir dans ma main afin de ralentir la course d’un chevalier. L’épée sortis brusquement du sol et je vis celui que j’avais sauvé des flammes être plaqué au sol par un homme immense armée d’une hache. D’un mouvement rapide, je mémoriser la hache de la main gauche. Mon compagnon parvint à se dégager d’un mouvement brusque. Je me retournais esquivant rapidement un chevalier. La dague apparut dans ma main droite et jaillit vers mon adversaire qui se protégea en relevant un bras. Il s’approcha de moi et donna un coup d’épée verticale. Je m’effaçais devant l’arme, saisit le poignet et tirer dessus tout en tendant mon pied. Le chevalier partit en avant, se prit dans mon pied et s’écroula brutalement lâchant son arme. D’un geste rapide, je levais les mains et fis réapparaître la hache dont je saisis le manche au vol. Me servant du poids de celle-ci et de la force que je possédais, je l’abattis sur les jambes du chevalier. Pile à la pliure du genou, l’endroit le moins protégé des jambes. Elle enfonça le fer, le sang coula, le chevalier hurla alors que j’entaillais l’os.

            Je souris et sans faire gaffe à ce qui se passait autour de moi, je sautais sur le dos de l’homme le planquant au sol. Touchant de la main gauche son casque que je mémoriser. Je le fis apparaître juste à côté de ma cible alors que dans le même temps, ma dague surgit dans ma main droite et s’abattit dans sa nuque. Il ne bougea plus, mort. Je relevais la tête et reçut un magnifique coup de bûches dans le torse. Volant plusieurs mètres en arrière je percuter le chevalier que Attila n’avait pas encore vaincu et m’écroulais au sol. Celui que j’avais désarmait au début avait saisi une buche enflammée et m’avais frappé avec. Je secouer la tête, je sentais des brûlures sur mon visage. Sans m’en rendre compte, j’avais lâché ma dague. De mon torse quelque étincelle s’échapper de ma veste. Me penchant sur le côté je toussais violemment avant de me relever. Ils étaient coriaces, la chose la plus compliquée étant de se débarrasser des armures.

            Un était mort, il en restait neuf. Celui qui m’avait presque neutralisé fonça sur moi. Tenant sa buche enflammée il me frappa de toutes ses forces. Un coup horizontal légèrement penché vers le bas. Je ne peux pas l’éviter néanmoins j’entrevoyais une solution. J’avançais brusquement vers lui et tendit la main gauche sur le morceau de bois enflammé. Ma main s’enfonça dans les flammes me brûlant la peau. Touchant le morceau de bois, je le mémoriser juste au moment de l’impact. Mon bras se plia brusquement sous le choc, une douleur fulgurante dans mon petit doigt. Et je fis réapparaître le morceau de bois devant moi. Le chevalier, emporter par son élan, le percuta de plein fouet et je plongeais sur le côté en hurlant de douleur. Je venais de me brûler la main et apparemment, mon petit doigt était cassé. Je rouler sur le sol sachant parfaitement que plusieurs autres adversaires allaient arriver.
              Alors que les deux brutes s'étaient lancés dans un combat de force c'est le pouvoir de Shiro qui mit fin à la confrontation. En effet il venait de faire disparaître la hache du chevalier pour se l'approprier. Ainsi Attila en profita pour frapper de toute ses forces le colosse désarmer.
              Seulement son armure était bien plus épaisse et résistante qu'il ne l'aurait cru, il n'avait donc aucune chance d'en venir à bout avec une épée, lui qui n'était pas un véritable épéiste. A chacun de ses impactes le chevalier reculait peu à peu, mais le pirate n'arriverait à rien de cette manière il devait changer de tactique pour l'avoir. Le chevalier saisit à pleine poigne la lame enflammé du forban et se servit de sa force colossale pour le faire reculer à son tour.
              Au même instant le corps de Shiro percuta l'opposant d'Attila qui fut stoppé dans son élan. Sans faire attention à son équipier, le flibustier saisit le heaume de son adversaire et l'enleva brusquement pour lui flanquer un coup dans sa mâchoire avec son casque. Le choc lui fit perdre une molaire et quelque goute de salive au passage. Attila attrapa alors l'arrière de la tête de son ennemi et lui foutu le visage dans les flammes du buché. Le pyroman se délectait des cries horrifiant de sa victime qui se consumait lentement dans les flammes du purgatoire.

              Malheureusement son éclat de rire ne fut que de courte durée puis que le reste de la troupe rappliquait pour lui faire la peau. Deux des chevaliers foncèrent sur le pirates, il para leur lame avec le tranchant de la sienne après qu'il est lâché la tête de l'autre qui était entrain d'agoniser.
              Mais ce fut juste à quelque seconde près et il se serait retrouver empalé vif. Mais un troisième surgit de nul par et enfonça froidement sa lance dans le flanc gauche du forban. Son sourire disparu aussitôt et il contracta ses muscles par réflexe. Il était crisper et serrait ses dents. Mais ce ne fut pas assez pour empêcher une gerbe de sang de s'écouler entre ses dents.

              "Merde!"

              De son côté Shiro n'était pas dans une très bonne posture non plus. Il était affala sur le sol et n'allait pas tarder à essuyer une charge de plusieurs soldat. Attila devait réagir, bien que ce n'était pas son genre dans tout autre circonstance, il devait venir en aide à Shiro. Pour la bonne raison que seul il n'y arriverait surement pas.
              Dans un élan de rage il poussa avec sa lame les deux chevaliers qui lui tenait tête. Dans un même temps il tourna son épée dans sa paume et brisa le bois de la lance pour se dégager. Il saisit la pointe de la lance et la planta dans le pieds du chevalier. Puis effectua une rotation sur lui même pour faire trébucher les deux autres.
              Il profita donc du fait que l'un d'eux soit tomber pour enfoncer à son tour son épée dans la visière d'un chevalier. Il gigota quelques secondes à cause des nerfs. Puis il devenu aussi rigide qu'un mort... normal il l'était. Du sang dégoulinait en abondance de son casque de fer.

              Attila lui était partit s'interposer entre les chevaliers et Shiro. Ces derniers étaient tous parfaitement alignés. Il leur fonça dessus comme une brute pour les repousser. Les chevaliers n'avaient rien de grave eut grâce à leur armure, mais ce fut suffisant pour gagner un peu de temps.

              "Hé petit ça ira?!"