Ajout à l'Ile de Cocoyashi

Réputée sur de l'île de Cocoyashi, cette boutique " Au dé à coudre " est tenue par Madame Ginerva ainsi que sa vendeuse, Akeha et se situe au centre de la ville. À peine passé, le pas de la porte, le client est accueilli chaleureusement avec le sourire et une bonne petite tasse de thé à la mandarine. À l'écoute et sachant choyer sa clientèle, le magasin propose plusieurs articles de haute couture, fabriqués par les deux vendeuses elles-mêmes. On peut également y acheter du tissu, de la laine et tous autres produits pouvant servir à la couture. Mais plus que de faire de bonnes affaires, ce que les clients aiment dans cette boutique, reste la bienveillance et la sympathie de ses employés.

La merveilleuse équipe de la boutique de vêtements et de couture. Deux vendeuses aussi bien réputées par leur talent que par leur gentillesse. N'hésitez pas à venir quérir leur savoir faire pour fabriquer votre plus beau costume. Ou bien votre plus somptueuse robe pour le jour de votre mariage.

Cette agréable femme d'âge mûr a toujours été passionné par la couture. Apprenant ce noble art de la main de sa grand-mère, Madame Ginerva d'ouvrir sa propre boutique. Alors qu'elle partait de rien, celle-ci, avec son talent, réussi à ouvrir sa propre boutique sur Cocoyashi. Depuis de nombreuses années, elle gère son magasin d'une main de maître. Celui-ci devenant très vite populaire, elle dut embaucher une vendeuse, pouvant l'aider. Après plusieurs candidatures, qui ne l'emballèrent pas, elle offrit sa chance à une jeune femme qui vint toquer à sa porte. Cette dernière belle comme cœur, affichant éternellement un chaleureux sourire, lui fit une excellente impression. Depuis ce jour, cela fait presque vingt ans que Yorha Akeha travail à ses côtés. La vieille dame lui avait tout enseigné et la considérait comme sa propre fille.

Possédant un grand cœur et un fort caractère, Akeha est l'unique vendeuse de la boutique. Fortement appréciée par sa bienveillance, cette femme à la grande beauté est aimée de tous. Que ce soient des clients, des habitants de l'île, mais également sa patronne qui lui avait tout apprit de ce métier. Cette douce mère de famille, ayant toujours un petit mot gentil, aime venir en aide à son prochain. Chose qu'elle a su inculqué à ses deux enfants, qu'elle a eu avec son tendre époux, Émile. Parmi ces deux trésors qu'elle aime plus que tout au monde, se trouve une jeune femme qui lui ressemble à s'y méprendre comme deux gouttes d'eau. Cette fille unique, n'est autre que Yorha Hayase.

Cet ouvrier de Belmer Corp, de plus de deux mètres de haut, est une véritable force de la nature. Forgé par des années à cultiver la terre, celui-ci est un homme à la carrure très impressionnante. Derrière ses gros muscles, se cache un grand cœur et un grand sens de l'humour qui ont su séduire la magnifique Akeha dont il fit sa femme. Vivants des années heureuses, aux côtés de la femme de sa vie et de ses deux magnifiques enfants, il se considère comme l'homme le plus chanceux du monde. Reconnu comme étant l'un des meilleurs employés de la fibre, il ne compte pas ses heures. Émile est le genre d'homme à aimer son métier. Ce qui lui permettait chaque jour de rapporter, gratuitement, de délicieuse mandarine à sa famille. Et surtout à sa petite princesse, devenue femme aujourd'hui, Yorha Hayase.  

Très mauvaise réputation auprès des femmes qu'il traite comme des moins-que-rien, cet homme est l'archétype du gros macho. Pour lui, elles n'ont rien à faire dans une caserne militaire, mise au part pour s'occuper du ménage et du dîner. Il ne se gênera d'ailleurs pas pour leur préciser. Ne mâchant pas ses mots, il n'a aucun scrupule à les rabaisser devant tout le monde. Il est même dit, qu'il est à l'origine de beaucoup d'abandons chez l'agente féminine. Rare sont celles qui osent lui tenir tête.

Très prometteur, Tamer était voué à un grand avenir dans la Marine. Seulement, tenant à sa patrie, il décida de reste sur Cocoyashi. Enfin, ça, c'est ce qu'il vous dira. Car à la vérité, ce qu'il n'avouera jamais à personne, c'est qu'aucune autre caserne ne voulut de lui en partie à cause de son sale caractère.