[FB]Règle numéro 69 : On touche pas aux bijoux de famille!

Une heure dix-huit minutes et quatorze secondes.

C'était le temps depuis lequel TnT attendais, appuyé à la fenètre de sa chambre. Cela faisait presque une heure vingt qu'il était enfermé dans le manoir de son frère, à attendre l'arrivée des ses tueuses. Hélas, en une heure vingt, il avait tout vu : des petites vieilles, des chèvres, des charpentiers, des enfants capricieux, et même un caporal de la marine complètement bourré, mais aucune tueuse de la mafia. Il fallait se faire une raison, Manuel avait découvert son plan.

Il était temps de faire ce que tout homme viril devait un jour apprendre à faire. Improviser pour faire croire qu'il gère parfaitement alors qu'il n'a aucun contrôle. Il se retourna brusquement, et s'avança dans la pièce. Attachée à ses épaules, sa veste flottait derrière lui, révèlant sa chemise particulièrement bien mise, de laquelle dépassait quelques bandages.

Il avait horreur d'être ainsi vétu. D'un il avait l'impression d'être déguiser, de deux, c'était absolument pas classe et viril de se promener avec des beaux habis bien mis et sans le moindre bijou ghotique et pointu, ni le moindre petit crâne. C'était la dure loi du marché, fallait toujours avoir l'air super classe si on voulait rentré chez Don Carbopizza, même quand on était son bras droit.

Tenez, les gardes du corps désignés de TnT par exemple. Ils étaient tous les huit aussi bien habillés que s'ils s'apprêtaient à partir à la messe. L'un d'eux avait même une petite croix tatouée juste derrière l'oreille !

TnT ne pu retenir un sourire quand il passa à côté des deux gardiens de sa chambre. Protecteur? Garde du corps? C'était bien un coup de son frangin ça. Il aimait beaucoup mettre des déjections dans les crèpes en vous soutenant que c'était du nutella. Si ces mecs étaient placés là, c'était surtout pour être sur que le frangin ferait pas de bétises durant son absence. Je vous jure, ce Manuel, une vrai mère juive. A moins qu'il soit juste un type assez futé pour se méfier de Tim...

En fait, à en jugé par les tatouages et l'équipement des différents gardes, comprenant des pistolets gravés de croix, des bibles, voire la photo d'un enfant de trois ans, chacun d'eux était un futur prêtre. un futur membre de la Main de Dieu, la redoutable famille qui protégeait Don Carbopizza.

Il y avait pas à dire, Manuel mettait le paquet. Et ce petit enfoiré avait même pas mit une fille dans le lot pour profité de l'immense lit à baldaquin recouvert de minces fils de soie dorée. Ca aussi, ça fichait notre adolescent hors de lui. Il disposait d'une suite complète dans le manoir de son frère, avec des meubles finements décorés et dorés, des tapisseries et des draps rouges sang, le tout éclairé par un lustre splendide de cristal, et il pouvait même pas en profiter pour ramener les plus jolies jeunes femmes de la ville.

C'était décidé, il allait passé à l'action. Fallait montrer à Don Carbopizza qui était le vrai parrain. Marre de jouer les faire valloir! Et pour ça, il y avait une arme magnifique : le premier gain de son frère, le bijou qui avait marqué son entrée dans la direction de la mafia, le Mother Fucking Diamond Of Extrem Virility! En fait, c'était son but depuis un moment, il avait prit ses quartiers ici pour ça. Mais avant tout, il fallait trouver un moyen de sortir de sa chambre sans avoir 43 chients de gardes...

Oui bien sur l'option charger dans le tas sans réfléchir était l'option numéro 1, mais bon, faut avouer que que se faire défoncer gratuitement par 8 combattants aguerri avant de sortir de sa chambre, niveau virilité, on faisait mieux. Comment? Non, TnT n'avait pas peur, si vous avez lut mes autres rps, vous devriez même savoir que quand il a peur, il chantonne niaisement un petit air complètement déformé et pourri parce qu'il entend que dalle.

Oh TnT, pourquoi tu as quitté mon histoire? Oui, bon promis, j'arrête de t'embêter, mais ne me tape pas.

Donc, appliquant le plan HUYTSR215.124 version Béta (quand je vous dit qu'il a toujours beaucoups de plans), TnT s'engagea dans le salon de sa suite. Au centre de celui-ci, il y avait sa toute dernière invention dans l'art de la fabrication de jouets : un plateau relativement grand, contenant 150 billes noires et une bille blanche. Le but du jeu était simple : à partir d'une position pré-établie, vous deviez faire parvenir la bille blanche jus'uà un point donné, et lui fasant traverser le labyrinthe de billes noires. Un vrai casse-tête prenant, avec un nombre de possibilités quasiment infinie, le genre de jeu de société que vous achetiez pour longtemps, et qui était très facile à adapter pour les enfants plus petits.

Le seul problème était le nom, et les combinaisons les plus complexes. Et ces gardes allaient lui être utiles...

Attrapant une chaise, TnT configura la seule position dont il n'avait pas encore trouvé la solution, la seul qui utilisait la totalité des 150 billes noires et qui pouvait permettre de faire sortir la bille blanche. Il mis le temps, mais y arriva. Juste à temps pour sentir une main se poser sur son épaule.

D'un bon, il se retourna vers le garde qui s'était avancé vers lui. Ses lèvres bougeaient. C'était vrai que tout le monde ne savait pas encore qu'il était parfaitement sourd. Il devait lui avoir demander plusieurs fois ce qu'il faisait, sans succès. Derrière, il y avait deux autres mafieux qui s'étaient approchés. Ils n'avaient sortit aucune arme, mais chacun de leurs muscles étaient tendus.

Encore une fois, le sourire narquois de TnT apparu sur ses lèvres. Sa réputation commençait à prendre de l'ampleur si les futurs gardes d'élite de son frère se tendaient dès qu'il commençait à faire quelques manipulations avec des billes. Oh, il y en avait même un tout au fond de la chambre qui avait préparé un escargophone au cas où... C'était bien dissimulé ça. Décidément, ils étaient bon, mais hélas pas assez pour le sens de l'observation surdéveloppé du garçon.

Cela dit, aucun n'était réellement en danger de mort. Être viril à mort, c'était pas seulement agir comme un mâle décérébré, c'était aussi savoir chopper le Timing pour le faire.

Oups, vous allez rire... J'ai encore oublié de faire TnT lire sur les lèvres de son interlocuteur! C'est ballot, du coup, il ne connais absolument pas le contenu du message. Ah, comme c'est stupide! Et en plus, je vais pas revenir sur mon post, ça serait pas drôle. Il aura qu'à se démerder et...

Oh TnT...

Nonnon, je plaisantais, je t'en prit, pas la poupée russe XXL dans le...

Aï !

Ouille !

Ouch!

YAAA!

Houuu!

Mmmm!

Mwahahaha! (attention, ce dernier texte est copyrighté)

Gloups... Bon, donc, bien que n'ayant pas entendu ni vu ce que l'autre lui disait, TnT décida de s'en sortir par une pirouette oratoire dont il avait le secret, en proposant à son interlocuteur de tester son nouveau jeu.

Bien sûr, tout le monde dans la mafia savait qu'il était primordiale de savoir résoudre les casse-têtes de TnT, vu que c'était avec ça qu'il cryptait ses détonateurs. Ainsi certain de la présence de ses septs confrères, notre ami s'asseya et commença à chercher la solution du problème de son "protégé". Les règles données par TnT semblaient simple, il ne se doutait pas que même le QI incroyable de Tempiesta n'avait pas réussit à résoudre ce problème.

Notre héros, fier de son coup partit s'allonger un peu, laissant les garde se détendre et se laisser prendre au jeu.

En quelques minutes, sur ses 8 surveillants, 3 étaient pliés sur le plateau à essayer de trouver le bon trajet pour la bille blanche. Deux autres semblaient bien plus attentifs au jeu qu'au reste, et enfin, les trois derniers s'étaient retourné vers le bras droit de leur patron. C'était bien mieux que tout ce que le jeune homme avait put espérer...

Il se releva et s'approcha du trio de joueurs. L'un d'entre eux était assis. TnT s'appuya sur la chaise et regarda par-dessus lui pour observer le jeu lui-même. L'air vibrait autour de lui, les discussions et débats sur chacun des coups devaient faire rage. L'odeur de transpiration qui émanait des cheveux de l'homme en dessous de lui indiquait clairement que l'homme faisait un réel effort de réflexion. Un peu plus bas, on voyait un pistolet qui dépassait de son pantalon, pousser en hauteur par le fait de s'assoir. Nul doute que l'homme ne se rendrait pas compte de sa disparition.

Ah, un schéma commençait à se tracer pour faire sortir la bille blanche. Finalement, il suffisait de prendre un peu de temps pour y réfléchir. Un coup d'oeil discret à droite et à gauche. Parfait, personne n'était en mesure de voir ce que le bras gauche de TnT faisait. Son bras droit s'élança et, sous le regard ébahi de ses gardiens, il amena la bille blanche où il fallait. Personne ne se rendit compte qu'il récupérait tranquillement le pistolet avec sa main gauche et qu'il le cacha dans son dos.

Personne ne fut également assez attentif pour sentir le très légers déclic qui eu lieu lorsque que le garçon appuya la bille blanche sur sa position finale.

Ils interprétèrent son sourire comme étant lié à la joie d'avoir gagné. Ils n'avaient pas penser que l'agilité du garçon ne se résumait pas seulement à savoir manier des yoyos. Et pourtant, Timuthé était un très très bon pic-pocket. Le doigté nécessaire à la manipulation de mécanismes d'hologerie, de bombes et de yoyos était loin d'être inutile pour faire les poches de ceux qui nous entourent.

Là-dessus, il se redressa et se dirigea vers la sortie. Officiellement, il avait décidé qu'il devait discuté avec d'autres chefs des familles logés dans le manoir. Bien sûr, la moitié de ses gardes l'accompagnèrent. Tous se passait pour le mieux. L'un des accompagnateurs fit même demi-tour pour aller chercher son pistolet, malhencontreusement "oublié" dans la chambre. Si seulement il avait sut que son arme était entre les mains de celui qu'il accomgnait, cachée par la veste volant dans son dos.

C'est alors que TnT se rendit compte que le sol ne vibrait plus que sous ses pas à lui. Il s'arrêta et fit demi-tour. Les trois gardes du corps avec lui s'étaient immobilisés et le regardait méchemment. Au font, un autre de ses gardes se tenait devant la porte de sa chambre, agitant le dispositif d'explosion qu'il avait caché dans le plateau de son nouveau jeu. Foutu tic-tac des détonnateurs! Pourquoi il n'avait pas pensé que ce n'était pas parce qu'il n'entendait pas les sons qu'ils n'existaient pas?

Morale de l'histoire : au final, une poupée russe dans le fondement, ça fait mal au début, mais on finit par s'y habituer!

Trois combattants d'élite devant, deux autre un peu plus loin, et probablement un autre groupe qui allait bientôt arrivé en renfort. Il n'y avait pas à dire, la situation était très délicate pour le jeune mafieux. Il ne disposait que d'un avantage : il avait déjà compris tout ce qu'il se passait, contrairement aux autres qui étaient encore en train d'attendre sa réaction.

C'était à ça que l'on voyait qu'ils n'était pas des membres de la Main de Dieu à part entière : les autres auraient déjà fait feu, conscient de la dangerosité de laissé l'initiative à un garçon comme TnT.

Il fallait se la jouer ultimate machoman style. Agir vite, fort, et de manière à éviter que l'infériorité numérique lui pose problème. Et puis, il fallait aussi s'assurer qu'ils ne soient pas plus de deux à l'attaquer, sinon, il serait obligé de se battre.

Le pistolet, la bifurcation du couloir sur sa droite, la porte d'une des chambres, les gardes, les murs. En quelques dixièmes de secondes, son esprit avait repéré et analyser tout ces éléments. Un plan d'action s'était formé. Finie la patience, finie l'analyse, il était temps de passé aux actes et de montrer ce que c'était qu'être le dirigeant d'un groupe mafieux. Il était temps de s'imposer comme l'adversaire de Don Carbopizza, et de le faire avec virilité.

Pour le cerveau hyperactif de TnT, la scène se déroula au ralenti. Avec le temps, il se rendrait compte que ce fut sans doute l'enchainement le plus rapide qu'il avait jamais effectué jusqu'à ce jour, la preuve de l'expérience qu'il avait accumulé en un an, l'illustration de l'énergie qu'il pouvait fournir lorsqu'il n'était pas gravement blessé.

Son bras saisit le pistolet dans son dos. Il lança son corps sur sa droite. Les deux combattants les plus rapides dirigèrent leurs bras en direction de leurs armes.

C'était trop tard.

Un éclair jaillit quand TnT appuya une première fois sur la détente du pisolet. L'un des gardes s'effondra. Il avait le bras posé sur le coeur. Les deux soldats au fond chargèrent leur fusils. Les deux autres à bout portant tenaient un sabre et un pistolet.

Encore trop lent.

La main droite du jeune garçon se posa sur le sol. Ses pieds décollèrent. Un deuxième flash illumina le couloir. Une épée et un pistolet tombèrent au sol. Un des hommes se tenait le flanc gauche. Sa bouche était grande ouverte. Il devait hurler.

Le dernier sabre restant s'abattit.

Le tibia droit de l'albinos percuta l'arme. Elle dévia de sa trajectoire. La jambe gauche de Tempiesta atteint le visage de son adversaire. A cette distance, la vitesse comptait moins que l'initiative. Le troisième et dernier rayon lumineux éclaira les lieux. Les hommes du fond reculèrent. La chambre représentait une bonne couverture.

Le mouvement emmena TnT dans le couloir qui qui formait la bifuraction du bâtiment.

Des 5 hommes, il n'y en avait qu'un seul de visible et debout, et il était blessé.

Les pieds du mafieux touchèrent le sol. Il mit un pas en arrière. Un canon de pistolet apparut par le coin du mur. Timuthé se jeta en avant. Il vit un flash. Ce flash n'était pas de son fait. Son arme était au sol. Il sentit un projectile lui passé au ras du cou.

Il percuta la porte.

Un deuxième éclair jaillit. La balle traversa sa veste. Un centimètre de plus, et un de ses hochets à l'acide nitrique éclatait. La porte s'ouvrit avec fracas. L'élan du parrain l'avait fracassée. TnT fit une roulade. Il fit un pas. Il fit deux pas. Un saut et il pouvait sauter par la fenètre de la chambre située à quelques mètres de lui. A sa droite il y avait une femme....

*Criiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii*

Oubliant complètement qu'il était dans une course poursuite, TnT s'immobilisa. Le fond derrière lui passa du décor de la chambre à de nombreuses nuances de jaune et de rose. Des papillons, des petites fleurs et des coeurs volaient autour de lui. Ses yeux rouges démoniaques devinrent d'un noir profond. Sa voix descendit de 14 octaves. Son devoir en temps que viril man était de réussir à séduire cette jolie damoiselle au corps de rêve.

Ma foi j'ignorais que mon frère avait d'aussi magnifiques armes dans son armurerie!

C'est alors qu'un projectile non identifié lui passa à 0,2 du nez. Cela suffit à lui rappeler qu'il n'était pas ici pour séduire euh... Tient, on va l'appeler 90/60/90, ça sonne bien, et ça m'évite un passage de description qui nuiera à la rapidité de l'action.

Donc, TnT s'élança à nouveau, abandonnant là 90/60/90, qui bien sur s'évanouit, éprouvée qu'elle était par le charisme semi-divin du garçon. Ouais, c'est le moment du rp où je fais passé mon héros pour un dieu vivant, ça m'occupe.

C'est une pluie de verres brisés qui tomba sur les passant en contrebas, tandis que le parrain aux cheveux blancs s'élançait. Cela dit, il était évident qu'en se laissant tombé, il se ferait repéré puis vaincre par les tireurs de son frère, qui finiraient bien par le toucher. Faut pas déconner, c'est pas Star Wars.

Ainsi, profitant de son élan et de son extrème souplesse naturelle, TnT fit pivoter et tourner son corps en plein vol. C'était un genre de salto vrillé à 180° qui lui permit de faire demi-tour et de s'agripper d'une main au rebord de la fenètre de laquelle il venait de sauter. Il retint un cri très peu viril lorsqu'il sentit le verre brisé lui percer les mains.

Il regarda autour de lui pour se situer, et sourit de plus belle. S'il ne se trompait pas, il était juste en dessous du bureaux de son frère. Son objectif était à porter de main, le coffre fort personnel de Manuel était situé dans le bureau. Cela dit, vu que l'alerte été donnée, et qu'il était blessé, il faudrait faire vite. Le sang coulait déjà sur ses avant-bras, ça aurait été bête de salir sa belle chemise.

Dirigeant toute la force qu'il avait dans les bras, TnT s'élança en l'air, passant au-dessus de la fenètre juste à temps pour croiser le regard d'un de ses poursuivant, qui s'était approcher pour le localiser. Dès qu'il fut à portée, il attrapa le rebord de la fenètre du bureau à l'étage du dessus, puis poussa sur le mur de toute ses forces avec les jambes. Le but était de tournoyé autour du rebord pour passé au travers de la fenètre cible.

Encore une fois, le monde silencieux de l'ablinos ne lui donna pas d'indices sonors concernant son passage à travers du verre. Cela dit, au travers de son panatalon, il sentit la morsure de la centaine de petits éclats qui s'étaient accrochés au tissu. Il ne s'en souciait guère, les gardes postés à l'intérieur même du bureau, même quand Don Carbopizza n'était pas là devaient sans doute subir une véritable tempête tranchante.

Poussé par son élan, et un manque d'équilibre certain, le garçon ne put atterrir comme il faut. Il trébucha, roula et percuta les jambes d'un des gros bras de son frère. hélas, gros bras était dans ce cas compensé par des petites jambes, et le fait de recevoir un projectile de ce poids dans les pattes fit chuter le monsieur, qui s'explosa le nez au sol à cause de son propre poids.

Hélas pour le groupe, l'esprit de Tempiesta était vif. Alors que tout le monde ne faisait que pointer son arme en direction de l'intrus, TnT avait déjà filé sous le bureau.

NON il cherchait pas à avoir une promotion, il venait juste de trouver le moyen de se couvrir le dos et les côtés, afin de poussé ses ennemis à le charger de face, et ainsi lui donna un avantage stratégique certain. Enfin, ça c'est ce que j'aurait du dire. La vérité était que, poussé par son désir de prouver sa terrible mâlitude, le garçon avait mit les mains dans sa veste, et attrappé dans chacune deux Sonaglino di Tormento, c'est à dire quatre hochets bourrés d'acide nitrique, acide très fortement explosif au contact de la chaire.

Il se redressa pour voir 7 fusils braqués sur lui, et un au sol à ses pieds. Les hommes étaient à deux mètre les un des autres, dos au mur. Le démon aux yeux rouges sourit. Il allait y avoir du sport!

Un mouvement de bras lui suffit pour balancer le premier hochet dans le visage du plus proche des hommes encore debout. Le hurlement fut couvert par plusieurs coups de feu et l'explosion qui suivit l'éclatement de la boule de hochet, qui déversa le liquide destructeur de chaire sur son visage.

TnT avait déjà bondit dans la direction de sa malheureuse victime. Un changement brusque de direction et un homme peu prévoyant s'effondrait, le coude de Tempiesta lui ayant défoncer la pome d'adam. La fumée des tirs commençait à envahir la pièce. Une autre boule de hochet s'envola. Elle atteint la main d'un des gardes, qui sous la douleur, lâcha son arme. Le dernier à recharger son fusil était aussi tombé, les doigts du garçon lui avait écrasé les yeux dans les orbites.

C'est les pieds de TnT qui accueillirent les deux premières épées, les frappant de manière à ce qu'ils parent sur les côté, pendant que le poseur de bombe envoyait ses deux derniers hochets dans les visages respectifs des combatants.

Il fut propulsé par un violent coup de pied droit dans un des murs. Une ombre immense et très rapide lui fonçait dessus. Il sentit sa machoire craquée sous la violence du crochet que son assaillant lui mit. L'élan propulsa le garçon sur le bureau au centre de la pièce. En tombant le bureau écrasa les pieds d'un autre combatant. La main de TnT se posa sur une des épées. Il retrouva le sourire.

Deux mouvements après, le garçon contemplait les deux derniers gardiens du bureau s'effondrer. Le premier avait la tête tranché, le deuxième une épée en travers du torse. La retombée d'adrénaline indiqua au jeune homme qu'il n'était pas indemne non plus.

Il avait un mal au crâne formidable à cause du coup de massue. Plusieurs balles lui avait atteint les bras et le torse. Certe il n'était pas gravement blessé les coups n'ayant rencontrés que des os, mais la douleur était là, et il était évident que les renforts allaient arriver d'une seconde à l'autre. TnT attrapa la deuxième épée, et la plaça sous la gorge du seul garde encore dans un état respectable : celui qui s'était vu éclater la main par les hochets.

Tu as le choix, ouvre le coffre, ou je te jure que le mot torture sera doux par rapport à ce que je te réserve!

Evidemment, l'homme obéit sans trop de difficultés. Les histoires de loyautés, d'entrainement etc, c'était bien beau, mais face à la mort, peu de gens se permettaient réellement de protéger leur chef. Seuls des liens familiaux pouvaient être aussi forts. Il ouvrit le coffre, puis s'éloigna. TnT le laissa partir en courant. De toute façon, il était déjà repéré, et l'autre été blessé. Il n'y avait aucune virilité à l'achever.

En fait, il ne fit même plus attention à l'autre. Devant ses yeux, dans le coffre, il y avait le symbole de la suprématie de son frère sur la mafia. C'était là la seul faiblesse de Donc Carbopizza. Il était tellement arrogant qu'il ne pouvait mettre son trésor le plus précieux qu'à l'endroit où il passait le plus de temps. Et qui d'autre que son frère pourrait deviner qu'il planquait un diamant à 40 millions de berrys dans un simple coffre dont même ses gardes avaient le code?
Qui d'autre que son frère pouvait connaitre son diction préféré : "la meilleur cachette, c'est celle qui crève les yeux".

TnT avait ainsi devant lui le diamant. Il avait la taille de son poing, et de nombreuses facettes finement taillées. C'était lui, c'était LE Mother Fucking Diamond Of Extrem Virility! Ce bijou réputé conferrer classe et vigueur sexuelle à celui qui l'astiquait 3 fois par jour, avec de l'huile d'olive fabriquée par un soir de pleine lune! Il était là, sous ses yeux. Et pourtant, il avait un truc qui clochait. Un truc que TnT ne put s'empêcher d'énoncé à haute voix, de son traditionnel ton monocorde.

Il est... Rose!

La bouche grande ouverte, les yeux exorbités, une goutte derrière la tête, TnT assistait impuissant à ce qu'il jugeait être la plus totale déchéance de l'être humain. Le plus grand simbole de la virilité sur cette terre était rose bonbon. Le bijou qui était à l'origine de la réputation de son frère au sein de la mafia n'était qu'un vulgaire dont des femelles les plus chochottes et inutiles de la création!

Un moment, il fut presque tenté d'abandonné là le joyaux et de partir comme si de rien n'était. Cela dit, ce n'était pas classe. Il gagnerait bien plus à se revendiquer comme un voleur de talent. Il était le plus viril. Rien ne pourrait l'empêcher de montrer à tous son incroyable classe, même un objet assez Kawaï pour faire palir d'envie un chaton triste sur un lit de rose. Et puis le Mother Fucking Diamond of Extreme Virility était un des joyaux les plus connus sur les Blues, et un de ceux qui vallaient le plus cher.

Un morceau de mur éclata juste à côté du coffre dans un nuage de poussière. Une odeur imonde et étouffante atteint le nez du jeune combattant. C'était un mélange de souffre, de plâtre et de poudre. Un mélange hautement acide et explosifs, et particulièrement utile pour déchiqueter n'importe quoi, comme le montrait l'impressionnant trou à quelques centimètres du visage de notre héros. Il n'avait pas besoin de tourner la tête pour connaitre le responsable de cela : Tenchi Nakadomura, le plus redoutable tireur des hommes de son frère.

Ses redoutables balles à hélices chargés d'acide et d'explosifs étaient craintes parmis tous les membres de la pègre.Elles ne laissait jamais un organe qu'elles avaient traversées fonctionnel.

Et s'il avait loupé TnT, c'était volontaire. Un tir de sommation, pour rappeler le tueur récalcitrant à l'ordre. Il n'y avait qu'une seule possibilité. Il ne devait pas être tout seul à le braquer, et le bureau ne contenait qu'une seule sortie à part la fenètre.

Lentement Timuthé leva les bras, non sans avoir récupéré quelque chose attaché à sa ceinture. Le seul jouet qui pourrait encore le sauver des redoutables tireurs. Personne n'avait vu à l'oeuvre le Sensi Distruttore, le destructeurs de sens. Personne ne savait que l'albinos savait vaincre sans tuer.

TnT baissa la tête, ses bras étaient juste au-dessus. Maintenant tout le monde pouvait voir la petite girafe blanche qu'il avait dans la main. Il imaginait que s'il n'avait pas été sourd, il aurait entendu les clics caractéristiques du chien des fusils. Qui ne se méfierait pas d'un homme réputer pour faire des jouets explosifs?

L'albinos ferma les yeux et sera la main.

La brulure qu'il ressentit dans la main lui indiqua que Sophia la giraffa explosait bel et bien. A travers ses yeux fermés, il put voir l'éclat lumineux provoqué par l'explosion du jouet, et pourtant, elle était derrière sa tête. Inutile d'être un génie pour se douter que pour les hommes qui avaient tous le visage tourné vers la dite poupée devait maintenant être aveuglés. Le flash de ce qui à l'origine était un jouet pour enfant avait été conçut faire perdre la vue, temporairement...

Agissant à toute vitesse, pour profiter de son avantage, TnT attrapa le bijou, avec un dégout certain. Il avait beau faire tous les efforts du monde, il ne pouvait empêcher son être de rejeter de toute son âme ce truc ignoble, qui allait contre toutes les lois de la virilité et de la classe. Il enchaina en se retournant et en s'élançant.

5 Mafieux se tenaient là, complètements paniqués par le fait de ne plus voir alors que leur ennemis était à quelques mètres. Leur bouche bougeait, manifestement, ils faisaient de leur mieux pour essayer de se repérer les uns les autres. Le garçon s'élança. Il était sur de gagner, aucun des hommes ne le voyait, et ils étaient regroupés, il allait tous les...

QUOIIIIII?

Non mais vous êtes fou! Je vais pas faire ça! Vous imaginez la déception de tous les fans! Attendez, c'est ignoble! J'ai un minimum de fierté!

500...600...700... bon d'accord.

Bousculant les hommes sans s'arrêter pour les tabasser, notre héro s'élança au travers du bureau, puis sortit. Il n'était pas malin de tous les vaincre à ce moment précis. Certes cela aurait été viril, mais il avait mieux en tête. Autant pour sa classe que pour sa survie, l'albinos devait temporiser. Dès qu'il n'eut plus de garde autre part que dans son dos, TnT bondit en l'air, et attrapa une des lattes de bois que son frère affectionnait tant sur les plafons. Se servant de son élan, il ramena tout son corps à l'horizontal, calla ses pieds sur une autre latte, rangea le diamant dans sa poche, et attendit.

Il n'avait pas besoin de son ouï pour deviner ce qu'il se passa ensuite. Les mafieux avaient retrouver la vue, et après s'être concertés avait forcément décidé que le garçon avait fuit dans les couloirs du Manoir. Il les avait bousculés, donc, même si leur cris avaient couvert le bruit de ses pas, il ne pouvait qu'être partit là-bas. Son but serait probablement l'étage du dessus, d'où il pourrait rejoindre les toits et s'échapper.

Des ombres passèrent sur les mur latéraux du couloir. Elles étaient la preuve que la plupart des hommes passaient en ce moment même sous TnT pour le poursuivre. Les idiots, ils avaient oubliés la règle numéro 2 : "Il ne sont que 40... C'est trop facile". Une fois assuré que les ombres ne se projetaient plus dans le couloir, et que le plafond vibrait au dessus de lui, indiquant que de nombreux hommes courraient au-dessus, TnT pencha la tête en arrière.

Devant la porte, il y avait encore un homme armé qui montait la garde. Les mouvement d'ombre à l'intérieur du bureau indiquait qu'un deuxième s'y trouvait, probablement à la fenètre. Il devait s'assurer que le mafieux rusé ne s'étaient pas échappé par la fenètre.

Lentement mais surement, TnT utilisa les lattes pour avancer au plafond. Il se rapprocha de l'entrée du bureau, jusqu'à être au-dessus du premier des deux gardes. Un mouvement de pieds et il quittait son horizontalité pour basculer sur l'autre. Ses mains s'ouvrirent. Une fois assit sur les épaules de son ennemis, il n'eut qu'à donner un coup de hanche pour lui briser la nuque. Il toucha le sol, et attrapa le fusil de sa victime.

A la périphérie de son champs de vision, une ombre apparut. Le deuxième garde avait dut être alerté par le bruit. La crosse qui lui percuta la gorge le réduisit au silence. Le poing qui lui percuta la machoire et lui fit se mordre la langue veilla à ce qu'il ne donne pas l'alerte avant longtemps.

Le jeune parrain s'avança le long du couloir à présent vide...



Dans les sous-sols du manoir, juste à côté de la trappe qui permettait de déposer le ravitaillement pour le bâtiment, deux soldats discutaient. Ils étaient plutôt tendus. Depuis deux heures, on disait que TnT Tempiesta avait disparu complètement, avec le Mother Fucking Diamond of Extrem Virility. Bien sur Don Carbopizza avait déjà été avertit, et avait donné ses instructions pour réussir à piéger le voleur, mais malgré tout ses plans, et mes opérations de traque lancées par la Main de Dieu dans le bâtiment, rien ni personne ne semblait avoir réussit à localiser le garçon.

Enfin, disparu n'était pas tout à fait vrai. Plusieurs fois, le jeune homme avait faillit se faire prendre.

La première fois avait été au niveau des chambres, lorsqu'il avait croisé dix soldats armés dans les escaliers. Ils avaient assistés à tout le combat via l'escargophone. L'albinos avait d'abord essayé de chargé, mais avait perdu l'équilibre et avait dévalé les escaliers. Le roulé boulé lui avait, par un grand coup de chance, permis de faire tomber une partie des assassin, assez pour qu'il arrive à battre les autres en utilisant des mystérieux hochets explosifs.

Peu de temps après, il avait encore été une fois repéré. Il était en train d'embrasser une des invités de Don Carbopizza alors que deux gardes se rendaient dans chaque chambre pour protéger les invités. Il avait utilisé la traitresse comme bouclier humain pour se protéger des tirs, puis avait disparu après un monstrueux éclat de lumière.

Il avait été ensuite repéré dans l'armurerie, comme l'avait indiqués les nombreux coup de feux qu'on avait entendu dans tout le bâtiment. Les renforts étaient arrivés trop tard, et on avait trouvé les 4 soldats assignés à la défense de l'armurerie couverts d'impacts de balles. Il manquait un fusils et 3 pistolets... Cependant, On était sûr que TnT avait été blessé pendant ce combat, des morceaux de chemise tachés de sang trainaient dans la pièce.

Sa quatrième apparition avait été plus un indice qu'autre chose. On avait en effet retrouvé dans le dojo d'entrainement le corps sans vie du seul homme aux autres de Don Carbopizza qui était l'égal de TnT : le lieutenant retraité Marco De Camé. Il aurait surement put vaincre Timuthé en combat à la loyale, mais on s'était vite rendu compte grâce à l'impact de balle à l'arrière du crâne du viel homme qu'il ne s'était sans doute jamais rendu compte de la présence de son ennemi.

C'est à partir de ce moment que les comunications escargophoniques entre tous s'étaient faites permanentes. On disait qu'ils affrontaient un démon capable de voyager entre les dimensions. On soupsonnait TnT de vouloir renverser le Don pour prendre sa place, ou d'être un agent du cipher pol. Certains avaient même suggéré qu'il avait un fruit du démon, malgré l'aversion que tout le monde lui connaissait pour tout ce qui pouvait le rendre artificiellement plus fort.

Pour nos deux amis discutant à la cave, la réponse était plus simple. En tuant son seul égal et en volant le simbole de l'autorité de Don Carbopizza, TnT cherchait juste à rompre avec la pègre actuelle et à lancer sa propre famille. Il avait un équipage de pirates pour lesquels il travaillait, et on l'avait vu avec de nombreuses personnes réputées pour s'opposer au pouvoir de Don Carbopizza. Le retour de Grichkof Russianovsky aux côté de Timuthé était, depuis le temps, un fait avéré...

Quand à ses multiples disparitions et apparition, la raison était simple : depuis plus d'un an, il se rendait régulièrement dans le manoir, il le connaissait par coeur.

En fait, les gardes ne savait pas que ce manoir appartenait, à l'origine aux parents de TnT et qu'il y avait passé une bonne partie de son enfance et de sa pré-adolescence. En fait, de 13 à 15 ans, il avait passé tout le temps qu'il ne perdait pas à fabriquer des bombes à apprendre comment voyager discrètement dans le manoir.

Non, il était pas si prévoyant que ça, mais quand vous êtes un ado bourré d'hormones, très mature, et que vous avec 14 frères et soeurs ayant tous plus de 16 ans, avec tout ce que ça implique niveau petites copines etc, ben vous apprenez vite comment vous faire discret. Et puis vous imaginez pas comment c'est utile de pouvoir faire chanter sa soeur sur ses 2 petits amis quand vous avez besoin d'un coup de main, ou de rappeler à son frère que papa lui avait interdit d'inviter des amis à la maison et qu'on a besoin de lui pour exploser un mec pas gentil.

Bon revenons à nos gardes.

A leur actuelle leur sujet de discussion portait sur la dernière information qu'ils avaient eu via l'escargophone. Depuis que l'alerte avait été donnée, Il était une chose qui ressortait : TnT descendait petit à petit. C'était mauvais signe, vu que cela le raprochait de nos deux malheureux. Cela faisait 5 minutes que l'escargophone avait sonné pour la dernière fois. Un des hommes de la Main de Dieu avait réunit 40 mafieux et réussit à piégé Timuthé dans les cuisines, à l'étage juste au-dessus.

Le dernier rapport avait signaler l'entrée du combattant d'élite dans la dernière des salles de la cuisine. On avait barricadé les portes derrière lui. Encore une fois, la violence du combats c'était faite percevoir jusque dans la cave. Le plafond avait tremblé, il y avait même eu des fissures par endroits. On avait entendu quelques coups de feux. Les deux hommes étaient du même niveau, il était évident que le combat avait été titanesque.

Cependant, depuis 5 minutes, il n'y avait plus un son, ni plus aucune nouvelle. Les 40 soldats au-dessus attendaient encore derrière la porte que quelqu'un force la porte ou leur demande d'ouvrir, mais rien. Côté descente, c'était impossible. SUivant les instructions, nos deux gardes avaient scellé tous les monte-charge depuis la cave. Il ne pouvait pas sortir.

C'est alors qu'il se rendirent compte tous les deux en même temps de leur boulette. Pressé et tendus par la panique des divers combattants, ils avaient oublié le vide ordure !

C'est alors qu'un sifflement terrifiant se fit entendre dans la cave. Les deux gardes se bouchèrent les oreilles et hurlèrent. La douleur était monstrueuse. Ils avaient mal au crâne, envie de vomir, et l'impression que leur tympans allaient exploser. Le Urlo di Walkyries était un attaque monstrueusement redoutable de TnT.

Malgré la douleur, leur regard fut attiré par un mouvement au niveau de la porte de la salle qu'ils gardaient. Dans la pénombre, ils pouvaient voir un corps torse nu et couvert de sang. Il avait quelques plaies, mais manifestement, le sang qui le couvrait n'était pas que le sien. Cependant, ce n'était pas ce qui était le plus effrayant. Le plus effrayant dans cette silhouette, c'était son sourire qui apparraissaient à peine dans la pénombre. Son sourire, et ses deux yeux rouges luisants...

Le tir au fusil de TnT abbatit le premier des deux garde, et un coup de crosse sur le crâne mis au sol le second. Balançant son arme, il ramassa ensuite l'escargophone au sol et ouvrit la trappe de la cave. Son attaque sonique devait avoir alerté tous les mafieux des environs, il ne fallait pas trainé. Tandis qu'il montait les marches le menant à l'extérieur, il vérifia la présence du diamant dans sa poche, et examina ses blessures.

L'autre n'y était pas aller de main morte, avec ses Wakisashi, heureusement que TnT avait put lui envoyer sa veste remplie de Hochet dans les yeux. Les dégâts qu'il avait prit avait été assez important pour le mettre hors course. Il ne sous-estimerait plus jamais cette idée de juste attaché sa veste sur ses épaules. D'un c'était super-viril, de deux c'était vachement utile au combat.

Tranquillement, il composa un numéro sur l'escargophone, sans ce soucier de la foule qui l'entourait et le regardait avec des yeux ronds. Le changement de visage de l'animal lui indiqua que Grichkof avait décroché.

Retrouve-moi où tu sais, j'ai le diamant. Et fait passé le message que maintenant, c'est TnT Tempiesta qui dirige la mafia!

Il balança ensuite l'escargophone, de toute façon, il ne pourrait pas entendre la réponse. Autour de lui de nombreux visages apeurés apparurent. La déclaration de guerre à Don Carbopizza venait d'être lancée, et l'officialisation de sa rebellion se répendrait partout vu le nombre de témoins. Mais après tout, en quoi s'étaient important. Le temps que la marine le retrouve, il serait déjà partit au QG de North Blue...