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Quand la Faim nous retourne l'estomac

...Nous arrivons au quinzième jour de nos péripéties...Enfin une île en vue, enfin nous allons pouvoir nous rassasier...15 jours dans ce foutu galion sans rien à manger à part quelques poissons, cet mer est bien différentes de celles que j'ai parcouru au cours de ma vie, pauvre en nourriture, la misère règne en maitresse absolue...Grrrouaah...[Gargouille de ventre].

Nous avons encouru la soif lors des évènements d'Hinu Town et voici que la faim s’est abattu sur nous. On a même attaqué un putin de bateau dans notre voyage, enfin bref...Ce calvaire arrive à sa fin, nous allons manger à notre faim sur cette île...

Je finis d'écrire mon carnet de bord et le pose dans mon bureau, je prends les deux katana's que j'ai et sors de mes quartiers, pas à pas je me dirige vers la cabine de Lula, disons que j'ai une expérience à mener et j'ai pas du tout envie de tâcher mon nouveau t-shirt...J'entre sans frapper...BAM ! Personne, dommage moi qui voulait voir la Doc...Je m'habille de ce vêtement qui me va plutôt bien...''I'm Sexy & I Know It''...

Je vais prendre un bon bol d'air frais, réfléchir soigneusement à ma prochaine invention..Grrrouaah...Oh ! ça attendra bien plus tard, pour l'instant, je vais appeler mes nakama's !

NAKAMA ! [Dis-je en haussant la voix avec un ton de papa qui appelle ses fils au soupé]

En ce jour, Notre estomac crie famine ! Je vous promets qu'il prendra fin ! Partons à la découverte de cette île, mangeons à notre faim comme les pirates le font, buvons à volonté et répendons notre soif d'aventure en ce lieu, décimez ceux qui vous empêcheront de vivre libre ! Voici quelque berry's pour vous achetez de quoi vous nourrir et de boire...

Séparons nous en un groupe de deux ! Lula et Bullu, vous allez avec Katsu faire les courses, car vous êtes les femmes de l'équipage et que vous êtes mieux placé pour amené à bien cette mission que je vous confie, tandis que je partirai avec Tôda et Lion au centre de la ville.

Retrouvons nous ici ! Avec le plein et on naviguera pour de meilleurs aventures...Dohaha.


Dernière édition par Mizukawa Sutero le Lun 12 Déc 2011 - 4:34, édité 1 fois
    Cette mer… cet air chaud… je connais cet océan, nous somme sur South blue. Je ne sais pas où est-ce que nous allons, mais j’ai comme l’impression que l’on retourne chez moi ! D’ailleurs quand j’y pense, que sont devenus mes amis sur Suna ? Sont-ils toujours là-bas ? Notre maison… est-elle habitée ? Détruite ? Notre atelier à mon père et moi ? Pfff… j’ai toujours voulus m’en aller de cette île un jour. Et maintenant que c’est fait, j’ai envie de la revoir.

    Cela fait pas mal de temps que nous sommes sur la mer avec les Shinos. Je ne saurais pas déterminer combien, mais plus d’une semaine et demi en tout cas. Je perds ma notion du temps en ce moment. Je devrais peut-être faire comme tous les grands pirates. Ecrire un journal intime. Ça me permettrait de me situer dans le temps et garder de bons souvenirs. Hmm… je verrais ça plus tard. Tiens ? Une île ! Je rêve ou bien c’est bien Suna ? Oui, c’est bien ça. Je reconnais bien les infrastructures du port. Aucun doute, c’est chez moi ! Ou devrais-je dire, c’était chez moi. Après quelques minutes, nous accostons l’île. Mizu sort sur le pont et appelle tout le monde. Toujours dans mes hauteurs du mat principal, dans mon coin à moi, mon squat, j’arrive le premier.

    - Séparons-nous en un groupe de deux ! Lula et Bullu, vous allez avec Katsu faire les courses, car vous êtes les femmes de l'équipage et que vous êtes mieux placé pour amener à bien cette mission que je vous confie, tandis que je partirai avec Tôda et Lion au centre de la ville....

    Le centre-ville ! Ce n’est pas très loin du port et de chez moi ça. Bon, là où on est, le navire est à l’abri. Je prends les berry’s qu’il me tend et retourne dans ma chambre me changer. Une fois prêt, je retourne sur le pont et m’aperçois que l’autre groupe est déjà partie. Mizu et Yoyo m’attendaient. Oui, Yoyo ou Tôda si vous préférez. C’est partie, nous descendons du navire et avançons en direction du centre. Tel un guide, je marche devant le petit groupe. Je connais l’île comme ma poche, du coup, je n’hésite pas à prendre des raccourcis. Nous croisons plusieurs groupes de vacanciers, certains constitué uniquement de ravissantes demoiselles, d’autres de mecs qui se la racontent comme jamais. Ahlala, j’en corrigé une trentaine des comme eux quand j’habitais ici. Des fils de bourges qui se ramène ici et se croient tout permis. Ou d’autres qui n’hésitent pas à importuner les filles à la plage. Bref, je m’en fou un peu de tout ça, il faut que je revois quelques personnes. Au loin, les silhouettes des bâtiments apparaissent.

    - Les gars… je vous laisse ici. J’ai grandi sur cette île et il y a des choses que je dois revoir ici. Le centre-ville est droit devant. Je vous retrouverais là-bas dès que possible. Allez-y et s’il vous plait, ne vous faite pas remarquer. La marine est très présente sur cette île. Faite attentions à vous.

    Sans attendre, je m’élance en direction de chez moi. J’espère que tout se passera bien pour eux. Oui, je l’espère du fond du cœur. Au bout de cinq minutes, j’arrive prêt de chez moi. Je regarde d’abord si des marines sont dans les parages et m’appuis sur la poignée de porte. Cette dernière est ouverte mais je m’arrête dans mon élan. Ma main tremble ainsi que mes jambes. Le cœur battant très fort, le ventre se resserrant, je pousse la porte mais n’entre pas. L’odeur des meubles, des murs mélangés à l’air chaud de la maison. Tout ça… je le ressens les yeux fermés. Les yeux d’ailleurs qui cette fois-ci ne laisse plus aucune larme tomber. J’entre finalement et me balade dans la maison et constate qu’aucun dégât n’a été causé. J’analyse chaque recoin, chaque objet et me remémore les instants passés. Le bas-étage fini, je monte aux chambres au second. En haut des marches, je me retrouve face à face avec une photo encadrée de mes parents et moi alors que j’avais encore 10 ans. Moi, posé sur les épaules à mon père. Ma mère, sous le bras droit de mon père en train de le câliner. Quelle belle photo ! Je la décroche du mur pour l’emporter avec moi quand je partirais.

    Me voilà face à ma chambre. J’y entre et sort une valise de mon placard sans attendre. En vidant mes vêtements du meuble, je retrouve une boite dans laquelle je mettais mon argent. Si mes souvenirs sont bons, j’avais environs cinq mille berry’s dedans. En l’ouvrant, l’argent est toujours dedans. Je mets le tout dans mes poches et referme ma valise. Il est temps de dire au revoir à cette maison. Je passe dans la chambre de mes parents un bref quand soudain, j’entends une voix venant d’en bas.

    - Y’a quelqu’un ? Qui est entré ici ? Montrez-vous !

    Merde ! Et si c’était un marine ? Olalaaa, je suis fait comme un rat, la maison est surveillée ! Je peux entendre le mec monter les marches. Discrètement, je me cache derrière un meuble et attends son arrivée. D’un coup, je saute sur lui alors qu’il passait sans me voir. Une fois plaqué au sol, le visage du type m’est familier.

    - Akashi ? Putain de merde ! Qu’est-ce que tu fais là ?
    - Kan ? T’es revenus ? La marine t’a cherché partout. Ils te cherchent toujours d’ailleurs ! Qu’est-ce que tu fais là ? Quand est-ce que tu es revenu ?
    - Je viens d’arriver. Aller attrape ma main et lève-toi. Je sais qu’ils me cherchent toujours. Je suis arrivé ici par hasard avec mon équipage pirate, alors j’en profite pour prendre avec moi mes dernières affaires et voir ce qu’il s’est passé ici après mon départ.

    Ensemble, nous redescendons les marches et sortons de mon ancien « chez moi ». Je lui demande de m’accompagner au port afin de revoir les gens que je connais. Ce dernier n’étant pas très loin, nous arriverons très rapidement. Je lui demande de me raconter ce qu’y a changé depuis mon départ, mais celui-ci préfère je rien dire pour le moment en attendant notre arriver au port. Nous y voilà, je reconnais quelques personnes au loin mais le port m’a l’air beaucoup plus vide qu’avant. Je sonne la cloche qui indique les moments de pauses afin d’appeler les travailleurs. Ces derniers, étonnés, arrivent tranquillement. Deux amis à moi apparaissent et accélèrent le pas.

    - Toi ? Ici ? Viens dans mes bras !
    - Mugen ! Shinji ! Comment ça va les gars ?
    - Mais qu’est-ce que tu fais là imbécile ? Viens rentre là-dedans !

    Ensemble, nous rentrons dans la cabine qui se trouvait à côté. Les autres charpentiers que je ne connais pas retournèrent à leurs occupations. Nous étions maintenant quatre dans la petite pièce. Akashi, le mec que j’ai plaqué au sol chez moi. Mugen, un ami d’enfance avec qui j’ai fait les pires conneries au monde, les pires bastons… Et Shinji, un autre ami d’enfance avec qui j’étais toujours en concurrence niveau drague de filles, niveau performance au beach-volley… Bref, ce sont mes deux meilleurs amis de Suna Land.

    - Dites-moi, où sont Chû et Taiji ?
    - Ch… euh… Ecoute Kan ! Ce jour… avant que la marine n’aille chez toi, elle est venue au port pour vous chercher ton père et toi.
    - Et ? Ne me dis pas que…
    - Merde, oui ! Pas mal de monde ont été tués ce jour-là. C’était un carnage. Mugen a failli y passer aussi, mais il a survécu à la balle qu’il a reçue. Il ne reste plus que nous de la bande. De notre bande de six potes !

    Choqué suite aux nouvelles, j’hoche la tête et reste silencieux. A cause de nous, beaucoup ont perdu la vie ! La marine… je la déteste plus que tout ! Si je le pouvais, je tuerais les gens qui en sont à la tête ! Je me lève alors en annonçant mon départ pour le centre-ville.

    - Les gars, j’ai besoins de votre aide à tous. Je fais partie d’un équipage pirate et nous utilisons mon galion pour naviguer. Cependant, il a reçu pas mal de dégâts durant tout ce temps. Je ne pense pas que l’on va rester longtemps sur l’île. Nous pourrions même repartir dès ce soir qui sait ! Mugen, Shinji, pourriez-vous commencer à vous en occuper ? Je vous rejoindrais tout à l’heure. Akashi ! J’ai faim comme jamais. Mon équipage et moi venons de West Blue et n’avons pas mangé correctement depuis des jours. Allons au restaurant que tien ton père s’il te plait !

    Etant donné que ce sont mes vrais amis, ces derniers acceptèrent sans hésiter.

    • https://www.onepiece-requiem.net/t2877-fiche-du-lion
    On est vraiment presque arrivé au centre ville, là Lion décide de partir de son coté, il a l'air joyeux et content d'être là...Tant mieux pour lui, je me pose sur une pierre et regarde mes deux katanas, la fausse hattori hanzo et un autre de pas grande valeur...Le ventre qui gargouille, j'ai préférer donner tout mon fric au reste de l'équipe et prendre sur moi..Sans argent pour me nourrir, je décide d'aller vendre mes armes. D'un geste de la tête, je fais signe à Tôda de me suivre...

    Nous voilà en ville et nous nous apercevons du regard des gens inquiété de notre présence. C'est surement dû à la hache de Yosuke. Dans notre parcours, nous voyons deux jeunes gens en train de braquer un noble vieillard qui se fait blessé au bras. D'un geste majestueux, je bloque l'agresseur qui a eut le malheur d'être passé à coté. Jeune homme, voler c'est bien, voler un vieillard sans défense c'est mal. Attaque toi à plus fort que toi !

    Je lui fous un croche patte, qui le fait tomber et ensuite je l’assomme d'un geste brusque avec la poigne de mon katana...Le deuxième homme tend son pistolet pour tirer...

    Little Mienai Of Wind Dragon !

    Je coordonne mes mouvements et arrive par chance à le devancer, j'arrive précisément juste en face de lui pour prendre de la main son flingue et sortir mon katana pour le frapper.
    Je n'utilise que le dos de ma lame, ce pauvre fou rejoins son confrère, par terre. Je me dirige alors vers le vieillard et lui demande s'il va bien...Il répond que non, c'est alors que je sors des bandages de ma poches, un fil et une aiguille et essaye de le coudre, sous l'oeil méfiant des passant, je leur dis...

    Ne vous inquiétez pas ! Je suis médecin !

    Ebahis, ils me laissent faire, ayant regardé le geste qu'il fallait faire avec lula, j'ai pu recoudre la plaie du vieil homme qui me remercie du fond de son coeur...Un peu de gentillesse dans ce monde de fou, ça ne fait pas de mal...Quoi ? Moi ironique, Dohahaha...Je sens la stupéfaction de tôda qui se demande pourquoi, j'ai fais ça...Je vais vers lui et lui dis...

    Tu vas être mon co-pilote, aujourd'hui on va emballer des jeunes lady's...Observe.

    Et oui, ça m'arrive souvent de jouer les héros pour draguer des filles, surtout qu'avec mon accoutrement, je vais en faire tomber plus d'une. Mais ce n'est pas tout...J'ai envie de me faufiler dans cette armurerie...

    Bonjour, je suis médecin et j'aimerais vous revendre ces deux armes...

    Je laisse cet expert analyser mes katana's...Pendant ce temps, je me dis que je fais bien de les vendre, ça me fera des sous en plus et j'attirerais moins l'attention...Surtout que j'ai pas envie qu'une tonne de marin interfère dans ce que je vais faire prochainement... Moult temps que je me suis pas saoulé ! Et ce soir, je vais finir complètement raid.

    Ceci est une réplique de Hattori Hanzo...Le fameux meitou qui fait parti des douze sabres de premier rang...ça n'a pas vraiment de valeur, mise à part sa beauté et sa capacité à couper, ce n'est qu'un sabre comme les autres...Je vous en donne 720.000 Berry's

    M'annonce t-il avec un gros sourire. C'est sans doute un collectionneur, ma foi je sais que c'est la fausse vu que normalement seul les protecteur de dragon peuvent l'utiliser, or que j'ai vu avec mes propres yeux, un ennemi l'utiliser...Bref je lui montre le deuxième et est moins content...Il m'en propose 140.000 Berry's... Susceptible, j'essaie de le persuader d'augmenter le prix, après lui avoir sortis mon baratin sur la qualité de cette lame et le semblant d'histoire que j'avais en tête...Je réussis difficilement à faire monter le prix et en bon acheteur, il me propose 920.000 pour les deux sabres...Il me semble que c'est une affaire conclu...J'accepte et prends l'argent. Nous sommes tous deux content de cette affaire, je sors de la boutique en lui disant avec un grand au revoir, argent en main, je rejoigne mon fidèle ami, mécano.

    Hey, Tôda ! ça te dit d'aller manger un bon coup dans le restau d'à coté et puis boire un coup...J'ai vendu mes armes pour une poignée de berry's.


    On rentre dans le restaurant et un serveur nous accoste...Puis je vous renseigner dit-il...Je lui montre les liasses de billets et lui dit de nous réserver la plus belle table et de nous préparer le meilleur repas qu'ils proposent en ce lieu...Je souris à Tôda et lui dit de passer devant s'installer...


    Dernière édition par Mizukawa Sutero le Lun 12 Déc 2011 - 9:41, édité 1 fois
      Les deux charpentiers navals se dirigèrent sans attendre vers le navire. J’aurais pu réparer seul le Blue Moon, mais ça m’aurais pris plusieurs jours à le rénover entièrement. Je les rejoindrais dès que possible. En attendant, je dois retrouver les autres pour les emmenées manger. Accompagné d’Akashi, je marche en direction du restaurant à son père au centre-ville. J’ai toujours aimé manger là-bas, son père est un excellent chef cuisinier et son restaurant est l’un des meilleurs de l’île. Je ne sais pas pourquoi, mais le fait de savoir ce qu’il s’est passé ici ne me rends pas plus triste que ça ! Je viens d’apprendre que j’ai également perdus des amis le même jour que mes parents aient été tués et je ne ressens pas plus de tristesse qu’avant. C’est comme si j’avais pris l’habitude de perdre des proches. Ça ne me ressemble vraiment pas.

      - Ça va toi ? Tu m’as l’air ailleurs.
      - Unh ?! Euh… oui, un peu. Je réfléchis au déroulement des choses et aux impactes qu’ils ont sur moi. Ne t’en fait pas !
      - D’accord ! Sache qu’on est là pour toi avec les autres au cas où. Tu n’as peut être plus de famille, mais il te reste des amis...
      - Détrompe-toi ! J’ai trouvé ma nouvelle famille en partant d’ici. Je fais partie d’un équipage nommé Shinoryu. Il est composé d’hommes et de femmes...
      - En parlant de femme… Riya travaille dans notre restaurant en ce moment. Elle est serveuse.
      - Vraiment ? Riya… je l’avais oublié avec tous ces évènements. Ne va pas lui répéter surtout. Bon nous y voilà enfin. Je meurs de faim et je n’ai toujours pas croisé mes amis. Tant pis, ils ont déjà dû aller manger.

      Nous entrons dans le restaurant d’Akashi par derrière pour que je puisse revoir son père. Apparemment, les restaurant à l’air de marché tout autant qu’avant. Nous passons d’abord au lavabo afin que je puisse me laver les mains. Puis, toujours accompagner de mon ami, j’arrive en cuisine. Olala, quel bordel ! Ils sont à fond là-dedans. Akashi me fait signe d’attendre pendant qu’il va chercher son père. J’aperçois au loin Riya, ma copine ou ex-copine. Je ne sais pas ce qu’il en ait enfaite. Pour moi, ce n’étais pas vraiment une relation sérieuse avec elle, mais enfin bon. Ce n’est pas pour autant que je ne passais pas de très bons moments avec elle. Bref, je n’ai pas envie qu’elle vienne me voir maintenant alors je me cache un peu derrière un petit bout de mur histoire d’être tranquille. Arrivent alors, Akashi et son père.

      - Kan ! Quand es-tu arrivé ? Je me suis fait beaucoup de soucis pour toi mon garçon. Où étais-tu passé tout ce temps ?
      - Bonjour monsieur Jin. Je viens d’arriver sur l’île. Ne vous inquiétez pas je vais bien…
      - Papa, Kan n’a pas mangé depuis des jours !
      - C’est vrai ? Oh mon dieu, aller vous installer à une table, je vous apporte de quoi manger les garçons.

      D’un signe de la tête, je montre combien je suis reconnaissant à monsieur Jin. Nous entrons alors dans la salle principale, là où tous les clients s’installent. Mais ?! C’est Mizu et Tôda là-bas ? Oui c’est bien eux ! Je fais signe à Akashi de venir avec moi à la table où sont assis ces deux bras cassés. Je présente Akashi puis fait de même avec mes compagnons. Au moment où je m’apprête à m’installer, je sens quelqu’un me tirer le bras. En me retournant, je reconnais Riya. Cette dernière me regarde comme si elle m’avait cherché partout pendant des heures. Comme si tout ce temps elle n’attendait que mon retour. Je peux apercevoir ses yeux briller du fait des larmes qui n’allaient pas tardées à couler. Tout le monde à la table nous fixe. Ne sachant quoi faire, je décide que la meilleure solution est de m’isoler avec elle. Après un court moment d’analyse de la salle, un coin sombre et vide attire mon attention. Je lui attrape la main et l’emmène dans ce coin tranquille. En arrivant, je me rends compte qu’elle avait déjà commencé à pleurer.

      - Où est-ce que tu étais passé ? Pourquoi est-ce que t’es parti sans venir me voir ? Je t’ai cherché partout sur l’île !
      - J’ai dû m’enfuir, je n’avais pas le choix ! Tu sais très bien ce qu’il s’est passé ce jour-là. Si je restais, ils m’auront retrouvé.
      - Tu vas rester ? Unh ? Dis-moi que tu vas rester Kan.
      - Non Riya ! Ecoute. Je suis pirate maintenant. Je ne vivrais plus jamais sur la terre ferme. Je n’ai plus de famille, plus d’habitat nulle part. Ma maison, ma famille, ce sont mon équipage et mon navire. Je ne vivrais plus que sur les mers à présent.
      - Mais nan... ne dis pas n’importe-quoi. Tu ne peux pas partir et me laisser ici. Et même si ce n’est pas pour moi, tu as grandi ici, tu ne peux pas t’en aller sans plus jamais revenir.
      - Chuut ! Calme-toi. Je n’ai rien d’autre à dire. Tu sais tout et rien ne me fera changer d’avis. J’ai toujours rêvé d’être pirate souviens-toi.

      Je dois avouer que ce genre de scène me soule grave. Devoir me justifier comme ça face à Riya. Mais bon, c’est une fille assez intelligente, elle devrait comprendre pourquoi notre relation a pris fin. C’est évident en même temps. Si je reste, je crève. Si je m’en vais, je vis ma vie et découvre les plus beaux endroits du monde. Et puis, des femmes, y’en a partout j’ai envie de dire. Bref, revenons-en au moment présent. Riya à l’air de s’être calmée. Elle essuie ses larmes puis me regarde avec un petit sourire forcé.

      - Je repasserais te voir ce soir. Promis !

      Après l’avoir embrassé et câliné un petit peu, je me redirige à ma table où le repas venait d’être servi. Oh mon dieu, mais qu’est-ce que c’est que cette table ? C’est rempli de bouffes toutes aussi attirantes les unes que les autres. Je sens qu’on va se ré-ga-ler.


      Dernière édition par The Sea Lion le Mer 7 Déc 2011 - 0:35, édité 2 fois
      • https://www.onepiece-requiem.net/t2877-fiche-du-lion
      On s'installe tranquillement à la plus belle table de la salle, je regarde avec attention les mains de la serveuse qui enlève discrètement le carton réservé de la table, puis je reluque son jolie derrière...Grrr, mon identité de médecin va en faire bouillir plus d'une...Plongé dans les méandres de mes pensées perverses, je suis soudainement surpris par le visage de Tôda, on dirait qu'il pâlit de plus en plus...Regardant son visage, j'entraperçois celui de Lion...Mais comment diable a t-il bien fait pour nous retrouver, ou bien serait-ce un bon vieux coup du destin ?

      Je le vois perturbé, tandis que j'analyse les crispations dessinés sur son minois, je demande à Yosuke s'il va bien. Non convaincu par son léger hochement de tête qui voulait dire oui, je lui tapote l'épaule et suis le jeune charpentier qui se faufile escorté d'une jolie fille qui semble triste.

      Ah lourde conversation que fait notre lover en herbe, il a pas trouvé mieux que de la laisser patienter comme de la vulgaire chair sans âme ni compassion. Quel cruauté ! Envers une lady aussi belle. Pris d'émotion par le chagrin de la jeune femme, je décide de hausser le pas en direction des toilettes avant que Lion n'en finisse. Attendant le moment fatidique ''Où Lion en finit et va vers le salon, je m'interpose face à cette loretta, ah non comment elle s'appelle déjà...Arf, comment oublier une pareille futilité alors que je peux faire des calculs complexe, sans doute parce que je sature. Bref !

      Excusez-moi Lady, je ne vous ai pas vu sur mon chemin, est-ce que ça va ?

      L'air gêné, elle répond que oui...euh, dur de l'avoir bousculé, une femme si fragile. Soudain, j'aperçois son prénom sur son blason...Riya ! Oui, qu'elle répond, puis elle me demande comment j'ai su...je lui dis que c'est marqué sur sa tenue. Elle veut pas rigoler...Je la questionne sur le pourquoi, elle semble si triste, d'un sourire joviale, je m’apprête à effleurer une partie sensible...Mais elle ne veut rien me dire. Je lui dis alors :

      Si c'est à cause d'un homme, il faut pas s'en faire, un jolie sourire et le tour est joué...Surprenant comme la psychologie féminine est si complexe que simple. L'air de rien, elle sourit.

      Si j'avais continuer, elle serait surement dans mon lit, mais mon attente se fait trop tardé, je dois vite retourner à table. Et puis, je le vois à ses yeux qui brillent qu'elle a le crush...Normal un toubib qui a de la classe, ça donne un coup de boost au niveau des hormones. Bon, du coup je retourne à table festoyer...

      Excusez mon absence les gars, affaire familiale aux toilettes.

      Soudain Tôda sort de table avant le plat de résistance disant qu'il ne se sent pas bien et qu'il n'est pas d'humeur à festoyer...Comprenant cela aux grimaces de son visage, je lui dis de bien faire attention en chemin s'il veut retourner au Blue Moon, je lui donne aussi une modique somme pour qu'il se paye un massage de luxe.

      Riant des exploits communs, nous illuminons le restaurant et même un peu trop, car suite à cela un homme à la table annexe me fait signe du doigt de venir près de lui...Il porte une capuche et à l'air mystérieux, par curiosité je m'excuse auprès de Lion et va vers lui...Surpris par ses paroles, je lance un QUOI qui se fait entendre des quatre coins de l'établissement.

      Comment cela tu connais mon nom ? D'où tu connais Ando !

      Alors les rumeurs sont fondés, tu as été élevé par ce grand homme, enfin du moins de ce qu'il était. Maintenant ce n'est qu'un misérable vieillard qui ère sur cette blue pour rien.

      Je t'interdis de parler de lui sur ce ton !

      Sinon quoi ? Tu vas me tuer devant tous ces gens ? Sache une chose, j'en sais beaucoup plus sur toi que ta propre personne. Souviens-tu de cet évènement qui a ravagé Inu Town...Je fais parti des rescapés et oui petit ! Je sais même de source sûr que c'est ton fameux Ando qui y est pour quelque chose...

      Tu mens !

      Cet homme travaille pour le gouvernement, il est chasseur de prime ! Dois-je te le rappeler ?

      Essayant de mettre en place ce puzzle, 3 agents en costards-cravates débarque objectant le fait qu'ils sont en mission et qu'il y'a en ce lieu un révolutionnaire dangereux ici même...Proclamant la mise à mort immédiate d'un mec qui en connait long sur mon passé...

      De 1 ! Je déteste qu'on interrompe mon festin. De 2 ! Je me réserve ce révolutionnaire dont vous parlez tant, après l'avoir torturé et tué, je vous l'enverrais par Kin Kin Daicho.

      La brutalité de mes mots fait vomir certaines personnes dans la salle et merde ! ça a du appeuré cette riya...Bon, bah tampis. Je regarde Lion et lui fait signe d'un hochement de tête....Quand tu veux, vieux frère.

      Spoiler:
        Aaahh !!!! Non non, ne vous inquiétez pas je suis juste entrain de bailler, je me suis endormi dans mon vieux rafiot après une petite virée nocturne bien arrosé, d’ailleurs j’avais fais la rencontre de deux créatures qui voulaient me revoir aujourd’hui … oui deux belles femmes ! Une brune et une blonde ! Le rêve de tous les hommes ! Malheureusement je n’avais pas l’heure sur moi donc si j’étais en retard, je ne pourrais certainement pas me rattraper par la suite.

        Je plonge brièvement ma tête dans l’eau, puis je prends le chemin du centre ville sans trop me poser de question. Mes jambes pèsent des tonnes tout comme mes bras, j’ai l’impression que je marche plus lentement qu’un éléphant portant un sumo. La ville était toujours active comme la veille, d’ailleurs cela faisait déjà deux jours que mon rafiot avait dérivés ici. Il serait temps que je lève l’ancre, mais pas avant d’avoir squatté le lit de ces deux jeunes créatures qui m’avaient abordé la veille ! En passant devant un stand, je pris le temps de m’acheter une petite pomme histoire de manger un petit truc et en passant devant une vitrine d’un magasin, j’ai vu quelque chose d’horrible… le reflet de mon apparence actuel ! J’étais affreux ! Ma tenue vestimentaire était assez déplorable. Une chemise ouverte de couleur noir avec une ceinture qui contient tout mes petits gadgets et bien évidemment Tenshi et pour finir un simple jean. Je ne parle même pas de mes bottes … aller, rien de mieux qu’une petite clope pour oublier mon apparence actuel.

        Je suis enfin arrivé devant le lieu du rendez-vous, comment j’ai fais ? Eh bien tout simplement je me rappel du petit bar en fasse ! Hihihi, je sais ce n’est pas glorieux, hein ? Mais je m’en fiche complètement. Mon visage vient de s’illuminer d’un seul coup en voyant les deux créatures. Elles sont vraiment venues ! Moi qui pensais qu’elles allaient me poser un lapin, je suis l’homme le plus heureux du monde !

        - Ah vous voilà les filles ! Vous vous êtes donné la peine de venir.

        - Bah oui, pourquoi ? On ne devait pas venir ?

        - Si si si ! Au contraire ! Je suis content de vous voir.

        - Ah quand même ! On a décidé de manger dans ce petit restaurant, ça te dit ?

        - Pourquoi pas, allons-y.


        Nous prenons donc la direction du fameux restaurant qui avait l’air de bien marcher. A notre arrivé, l’un des serveurs nous attribut une table pour trois, juste derrière nous, des types qui ressemblaient à des médecins, surtout l’un d’entre eux qui avait vraiment la tenue du toubib. Ils faisaient énormément de bruit, mais bon … heureusement que je n’ais pas beaucoup de sujet de conversation, car on s’entendrait plus les filles et moi. Le serveur se rapproche de notre table pour prendre notre commande. Je n’avais qu’une seule envie à ce moment-là outre le faite que je voulais être dans le lit de mes déesses … des fruits … des fruits en tout genre ! Je demande un panier de fruit sous le regard choqué des deux filles. Je m’ennuyais terriblement, elles étaient juste belle, mais le cerveau ne suivait pas trop, je me contentais d’inspirer et d’expirer toutes les toxines de ma clope. Une fois mon panier de fruit devant moi, je me jette lamentablement dessus en commençant par les grappes de raisin, je les déguste une par une. « QUOI ! » il est complètement fou ce type, il vient de me faire avaler un raisin entier avec sa façon de crier ! En tournant ma tête, j’aperçois des types en costard qui n’avaient pas l’air d’être des bons samaritains … apparemment il allait avoir de l’action ! Mais les hommes en noir sont plus nombreux, pourquoi je ne vais pas me joindre à la fête ? C’est se que j’allais faire, je déteste lorsque ce n’est pas équitable. Je me tourne avec ma chaise pour être en face de l’action, pour l’instant je ne fais rien. J’analyse et j’agirais en fonction de la situation.
          Ce cher monsieur Jin. Il n’a pas perdu la main. Vraiment, c’était un festin ! Je crois que jamais je n’ai dégusté à ce point un repas. Et puis, je dois avouer que ce repas m’a vraiment fait plaisir. Mizu est vraiment quelqu’un de marrant enfaite. Il nous a raconté des anecdotes assez drôles. Bien évidemment, il n’était pas le seul. Akashi et moi aussi avons partagé nos grands souvenirs, nos histoires avec notre bonne vielle band. Les bastons, les fêtes, les filles,… bref pas mal de trucs quoi. J’ai remarqué que Riya avait quitté le restaurant après que je sois arrivé. La pauvre a dû subir un choc en me revoyant comme ça. Et puis, faut dire que mon estomac n’a pas arrêté d’en demander, alors j’ai été directe avec elle. Hmm, ce n’est pas grave, j’irais consoler son petit cœur ce soir après le boulot. Oui, je dormirais avec elle histoire de me détendre un petit peu… ou pas !

          Ah ? Tôda n’a pas l’air très bien. Il se lève de table et nous quitte pour aller au Blue Moon je présume. Enfin, personnellement, j’aurais été là-bas si je n’étais pas bien, surtout si je ne connais pas l’île. Un type bien mystérieux en tout cas ce Yosuke. Sans vraiment y porter plus d’attention, nous reprenons nos occupations et continuons à bambocher. Je peux apercevoir les gens autour qui nous écoutent et rient de nos histoires. Quel moment de paix, je suis content que tout se déroule ainsi. Soudain, Mizu est attiré par quelque chose derrière moi. Il se lève en s’excusant et s’avance vers une table où se trouve un type à capuche. Une connaissance à lui ? Ah non, ça n’en a pas l’air. Je dirais même pas du tout, car mon capitaine à l’air d’avoir changé d’expression au visage. Akashi m’interpelle alors étant donné que nous sommes dans le restaurant à son père. Je lui fais signe de patienter. Si jamais, j’interviendrais, car en aucun cas le restaurant doit être saccagé. Mais qui c’est ces types ? Jamais je n’ai vu d’homme habiller ainsi sur Suna. On dirait des agents secret de je ne sais où. Trois qu’ils sont et ont l’air d’en vouloir à Mizu. A en entendre ce dernier, nous allons une fois de plus devoir nous battre. Nan mais ce type est hyperactif ou je ne sais quoi. A peine sommes-nous arrivez qu’il doit s’attirer des ennuis. Je me retourne vers Akashi et lui dis.

          - Ecoute, je vais faire de mon possible pour éloigner ces types du restaurant. Je vous payerais tout à l’heure une fois que tout serait calme.
          - D’accord, je compte sur toi Kan. Ah oui et pour le repas, tiens prends ça. Apparemment c’est à ton capitaine. C’est mon père qui m’a dit de vous rendre votre argent tout à l’heure. Le repas vous est offert.
          - Vraiment ? Hmm, merci beaucoup. Dis à ton père que je vais repasser le voir plus tard.

          Je me retourne à nouveau vers Mizu et vois celui-ci me faire signe que c’est le moment de régler le compte à ces messieurs. Tout le monde nous regarde dans le restaurant. Les clients, les serveurs, même monsieur Jin est sorti de sa cuisine et attend de voir ce qui va se passer. D’un signe de la main je montre à tous d’attendre et hausse la voix.

          - Attendez ! Pour qui est-ce que vous vous prenez vous ? Vous arrivez comme ça dans un restaurant et vous permettez de dérangez tout le monde. Monsieur Jin, merci pour le repas, c’était délicieux ! Maintenant messieurs, même toi l’homme à capuche. Je vous prie de bien avoir l’obligation de me suivre loin de ce lieu pour régler nos problèmes. Mizu, ne fait pas le con s’il te plait, pas ici !

          Suite à mes propos, un grand silence s’installa dans la salle. Monsieur Jin hocha la tête en guise de remercîment et attendait de nous voir sortir. Je dois avouer que lorsque je m’énerve, j’ai l’impression de dégager une grande aura qui interpelle les gens autour de moi. Les hommes en costumes noir se regardent et jugent mes propos juste. Ils décident alors de me suivre. Par contre, il y en a un qui n’a pas l’air de vouloir coopérer.

          - Eh toi là. Tu te prends pour un chef ou quoi ? Je ne te connais pas alors pourquoi est-ce que je te suivrais ?

          Là, il n’a pas tort. Je m’approche lentement de ce dernier et lui chuchote sans le montrer aux trois gorilles derrière moi.

          - T’inquiète, suis-moi !

          Suivi d’un petit clin d’œil et le tour est jouer. Il décide lui aussi de nous suivre sans un mot. Nous sortons du restaurant quand je m’aperçois qu’il y a d’autres gorilles qui attendent dehors. Un, deux, tr… six. Plus les trois autres, ça nous fait 9 bonhommes. Je ne sais pas quoi faire, mais j’ai intérêt à les éloigner d’ici. Suivis par Mizu, le type à capuche qui apparemment est un révolutionnaire et les neuf hommes, j’avance en direction d’un coin vide de la ville. Je ne sais vraiment pas ce qu’il va se passer, mais il va falloir faire vite pour élaborer un plan.
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          Putin je rêve, Lion qui donne des ordres. Dohahahaha...Laissons le faire pour voir ce qui s'en suit. Ah pas mal, il a quand même réussit à faire sortir les agents perturbateurs ainsi que ce satané rêvo...Dernier à sortir, je salue le teneur de ce restaurant.

          Soudain, j'aperçois plusieurs autres agents qui nous attendaient préparant à une embuscade...Par la mousse de la purée de patate ! Fuyons l'ami, fuyons. Nous courons loin du restaurant et ses hommes habillés en noir continuent de nous suivre sans relâche...

          Mais que leur as tu fais, satané rêvo !

          Arrête de me regarder avec ses yeux de tueur de pacotille, tu veux savoir la vérité, va falloir te joindre à notre cause et te battre avec nous.

          Nous ? Tu veux dire vous ? Vous êtes plusieurs ? Combien ?

          Pan ! Voilà qu'un des agents tir pour nous ralentir...Je m'arrête et regarde Lion dans les yeux...

          Ne me demande plus de faire le con ! Je ne peux plus me retenir...Je vais me les farcir ces abrutis qui ont stoppé notre festin, ces abrutis qui s'en prennent à la révolution en nous mêlant dedans.

          Je regarde les agents un par un...Je décide donc d'y aller au corps à corps et de dépenser toute la bouffe que j'ai stocké dans mon estomac. Soudain, un autre coup de fusil pointé dans ma direction...essaie à bout portant la prochaine fois ou apprend à viser, chien du gouvernement.

          Je regarde le sol et attrape quelques pierres...comme dans mon enfance, si t'as pas d'armes, utilise des pierres. J'arrive à en toucher un, mais ne semble pas blesser. Puis je lance un regard intimidant à tous mes adversaires...Je serais celui qui aura dégommé 9 agents d'un seul coup...Je prépare mon attaque en me concentrant à mon maximum...La fureur se lis dans mes yeux, comme un conte pour enfant.

          Punch Of Earth Dragon !
          En plaquant mes deux mains l'une contre l'autre, puis en les ouvrant après avoir pris un léger élan. Je fends l'air qui se dirige avec une pente de 20 degrés sur le sol...Mes amis, les agents vont bientôt sentir un léger tremblement qui les déstabilisera, ainsi j'aurais une occasion en or de les frapper le plus rapidement possible, un à un.

          Il y'en a deux qui sont resté parfaitement immobile, les deux extrémités du groupe qui recule lentement des autres...Cest une bande de malin, faut pas que je les sous-estime. Je peux apercevoir que l'un des deux prends son escargophone jugeant pratique de déclarer ma dangerosité....Analysant ces hommes, je ne vois que deux bretteur's...Si je les attaque en premier, je pourrais récupérer leur sabre et ainsi éviter de me foutre dans une merde profonde surtout qu'ils doivent être entraîné à se battre au corps à corps...Je peux pas tous les avoir, car je fatiguerais très rapidement, j'ai une idée !

          Je cours vers eux d'un pas déterminé, je prends donc le stéthoscope que j'ai autour du cou et à deux mains, je surprend le premier agent. Croyant que leur nombre allait nous désavantager ou ayant peu confiance en ses capacités personnel, il se fait avoir comme un vulgaire agneau. Maintenant, je le tiens par le cou, à un cheveux de l'étrangler, je regarde tous les autres autour de moi et leur dis que s'ils osent quoi que ce soit, ils peuvent dire adieu à leur ami.

          Je recule d'un pas d'eux pour pouvoir les observer et t'as toujours les deux extrémités, celui qui a appelé les renforts et l'autre qui apparemment pointe leur fusil sur moi, sur mon otage. Voilà ce qui nous différencie de vous, vil agents de la loi...Nous pirates, jamais nous n'oserons pointé une arme sur notre nakama, notre ami...Battez vous en lâche et vous périrez ! ''Les lâches, c'est tout ce que je déteste !''

          Pan ! Pan !Deux balles fatales...J'entends tout à coup le gémissement soudain de mon otage qui succombe quelques seconde plus tard à ses blessures....C'est dégueulasse ce qu'ils ont fait ! Ecoeuré par ce spectacle, je décide de me rendre, du moins ce qu'ils croient.

          Vous avez gagné ! Je me rends ! Lion, vous autres, ne tentez rien...

          Sourire aux lèvres, deux agents se précipitent pour me menotter...N'aviez vous pas compris que vous avez à faire avec un pirate, dont la parole ne vaut rien quand on ne joue plus avec les règles...Dohahaha.

          Je tourne sur moi même et arrive à feinter les deux agents, j'arrive donc à me retrouver derrière eux...En deux kick, je les éjecte d'où je suis vers quelques mètres plus tard, pile en face de Lion et les autres.

          Voilà de quoi vous occupez, je me prends les autres. Dohahaha !

          Les quatres agents restant se jettent sur moi, tous en même temps, sabre à la main pour la moitié et l'autre armé de ses poings. J'esquive aisément leur méli-mélo et dans l'attaque, dans le manque de cohésion, un agent blesse mortellement son collègue...Les dommages collatéraux et les accidents de travail font ravage, plus de 83 % de la moyenne mondiale est prit dans ce cauchemars. Il n'y a qu'un homme qui arrive à me faire face enfin plus de dos. Profitant du chaos, ce petit malin m'assigne un coup de poing en plein ventre, je l'ai sentis passé, je peux vous dire. Surtout que je viens juste de manger...Titubant légèrement, je reprends mes esprits et envoie valser mon adversaire d'un beau crochet du droit. Je continue à le frapper à la mâchoire jusqu'à atteindre le mec qui a été tué par son ami. Là les deux sabreurs restant me préparent une attaque en duo...Bien trop lente pour m'atteindre, je fais le malin et esquive au dernier moment, seulement voilà ! A trop jouer avec le feu, on se brûle les mains, un des deux a prit de la vitesse et a réussis à me blesser au bras gauche.

          Très près d'eux, je tends mes bras et réussis à les assommer en cognant leur crâne l'un contre l'autre.
          Vous devriez manger plus de lentilles, ça procure du fer et c'est pour les os. Dis-je en prenant leur deux sabres respectifs...Maintenant observons !
            L’un des garçons du groupe a réussit à attirer l’attention sur lui, il ne veut pas de bagarre ici ? Mais moi j’en veux une !! Il n’est pas drôle … ah non ! Il va bel et bien avoir une baston, mais en dehors du restaurant. Hum … j’y vais où pas ? Bon je vais les suivre toujours en tant que spectateur, une brève salutation aux deux filles qui m’accompagnaient … d’ailleurs je n’ai même pas payé l’addition, elles seront folle de rage lorsqu’elles vont s’en rendre compte. Une fois dehors, je me retrouve face aux hommes en costard et au côté du petit groupe, comme si le destin avait choisit mon camp … je suis toujours spectateur et je ne porterais aucun coup ! Foie de Toki !

            Mon discours allait très vite changé, certain des agents me regardent. Je n’ai rien à me reproché… rien du tout ! Mais se qui me semble très bizarre c’est qu’ils commençaient à sprinter dans notre direction à toute allure ! Je regarde autour de moi … ils ont déjà commencé à courir … je ne perds pas de temps pour faire la même chose ! Dans quelle galère je me suis fourré ?! Je courais aussi vite que je pouvais … ça serait vraiment bête de mourir sur un malentendu. Pan ! kyaaa !!!! Ils sont malades !!!! Ils tirent dans notre direction ! Suite à une montée d’adrénaline fulgurante je réussi à rattraper le petit groupe jusqu’à parvenir à dépasser celui qui a engendré ce vacarme. D’ailleurs ce dernier se retourne subitement pour aller les affronter, pendant ce temps, j’essayais de reprendre mon souffle tout en regardant le combat. Il se débrouille bien ! Je suis impressionné de voir une tel agilité, un tel charisme et un … un … un tel coup bas … Il vient de piéger deux agents en passant derrière eux et en les propulsant dans ma direction… enfin dans notre direction, heureusement que je ne suis pas seul dans cette galère, mais contrairement à moi ils ont l’air habitué par ce genre de choses. Surtout le toubib qui avait l’air de s’amuser comme un petit fou. Soudain l’un des hommes en noir qui était au sol se lève pour m’asséner un coup sabre qui aurait pu être mortel pour moi si je n’avais pas fais un bon en arrière, une légère fissure pouvait se voir sur mon torse. Surpris qu’il aille aussi loin que ça, j’attendais des explications…

            Tu es fini !!!

            Ce n’est pas une explication !! Il fonce sur moi tête baissée en essayant de me trancher, je me contentais de sauter un peu partout pour éviter les coups de lame porté avec détermination. Je vais essayer quand même de le raisonner.

            C’est un malentendu, je ne suis pas du tout avec eux !

            Eh bien tu mourras sur un malentendu !

            C'est pas cool !

            C’est ça sa réponse ? Il avait l’intention de me découper en rondelle et cela ne le dérangeait pas plus que ça que sa soit un malentendu ? Très bien … mon regard avait changé, il était déterminé, alors moi aussi ! Je sors Tenshi de son holster en le faisant tournoyer pendant quelque seconde, je me décide par le tenir du côté du canon laissant le cross bien en évidence. Je vais lui donner une bonne leçon à cet homme qui se fou d’une vie humaine ! Une nouvelle attaque, mais cette fois-ci je la bloque, puis je lui envois un super kick qui le fit valser sur le côté et avant qu’il reprenne ses esprits un méga « Tenshi cross » sur le haut du crâne ! C’est bon, à peine fissuré ! Je suis toujours en vie !!! A force de sauter partout comme un singe, je me suis éloigné du groupe. Je m’en vais les rejoindres, mais au même moment, un hurlement féroce venait de derrière. L’homme en noir, inconscient, fait une tentative désespéré pour m’avoir… Pan ! Tenshi lâche une de ses balles et ça fait un mort. C’était la seule solution pour qu’il me lâche les baskets. Je reprends mon chemin comme si de rien était …. Enfin comme si je venais de me prendre un coup de sabre sur le bide qui me brulait affreusement ! Je marchais tout en expriment ma douleur d’une manière assez étrange, voyez par vous-même : aïe aïe aïe !!! Ouille ouille !!! C’était comme ça pour pratiquement chaque pas et durant tout le chemin…
              Un plan ? Non de non, impossible d’élaborer un plan. Nous commençons tous à courir et je peux entendre l’armée des neuf singes s’exciter derrière. Mizu reprend sa discussion avec le révolutionnaire pendant la course. Apparemment, il n’est pas seul sur l’île. *PAN* Un coup de feu interrompt leur conversation et Mizu s’arrête en me regardant.

              - Ne me demande plus de faire le con ! Je ne peux plus me retenir...Je vais me les farcir ces abrutis qui ont stoppé notre festin, ces abrutis qui s'en prennent à la révolution en nous mêlant dedans.

              Bon, normalement c’est l’homme à la capuche qui nous a interrompu mais bon. Ses propos m’ont fait sourire. Cette incapacité à se contrôler qu’il a ce mec… c’est hallucinant. Bien que je n’aie pas trop la tête à me battre avec qui que ce soit, je suis encore pris dans une bagarre. J’ai bien dis ENCORE, car depuis que je suis dans cette équipage, il n’y a pas une fois où on s’est posé tranquillement sur une île. Après ce n’est pas tant mal, ça nous fait de l’aventure, mais il me faut un break des fois. Je n’ai pas l’habitude de vivre que de violence. Enfin bref, de toute façon, je n’ai pas le choix, je dois affronter ces hommes… ah mais… cette tenue qu’ils ont… je la reconnais ! Il y avait des hommes habillé comme ça lors de l’assassinat de mes parents. Ce sont des hommes du gouvernement mondial, des chiabrenas qui tuent à leur guise ! Ohhh mon dieu, je vais les démonter ces basts.

              Je vois que Mizu s’occupe de quelques-uns et un type sorti de nul-part qui se mêle au combat. Je sens la violence monter en moi. Je sens mon buste, mes bras, mes jambes et mon dos se gonfler, mes dents se serrer. Oubliant un des gorilles que Mizu nous avait laissé, je charge en direction des deux autres devant. C’est alors que celui que j’ai oublié m’envoie un coup pied qui me fait voler sur le côté. Quand je relève la tête, je ne vois personnes à cause du soleil qui m’éblouie. La main couvrant les yeux de cette lumière intense, je cherche à voir où est-ce qu’il est. Un sifflement retenti dans la rue. C’est le révolutionnaire qui siffle, surement pour appeler ses compagnons. Après m’être relever, je cherche toujours ce foutu gorille.

              - Derrière toi !!

              Quoi ? Malgré l’avertissement du révolutionnaire, je n’eus le temps de me retourner qu’un autre coup m’envoya voler à nouveau. Cette fois-ci, je suis tombé sur le ventre et mes habits se sont déchirés. Espèce de traitre, je ne te le pardonnerais pas. Tu as osé t’attaqué à moi. Tu as agis en traitre, mais en plus tu m’abime mes vêtements ?! Ahhhh, je vais te tuer. Enervé comme jamais, je me relève tout en m’attendant à un nouveau coup traitre de ça part. Chose dite, chose faite. Je le vois charger par le côté avec une dague. Hop, une esquive suivis d’un croche-patte suffis à le mettre à terre. Alors comme ça t’essaye de reprendre ta dague à terre ? Je vais te montrer moi ce que c’est que de s’attaquer à un Shino ! Je saute les deux genoux à l’avant sur sa tête qui craque lors de l’impact. Je ne sais pas ce qu’il a de cassé, mais je ne vais pas m’arrêter là. Je lui attrape le bras droit et me relève face à lui en posant le pied sur son épaule. Je tire comme si je voulais lui arracher le bras. *CRACK* *CRACK* Cri sale chien ! Cri pour montrer à tes compagnons combien je suis cruel. Cri pour montrer au monde autour combien un Shino peut être violent lorsqu’on s’attaque à lui. Je relâche son bras et lui envoie un coup de pied direct à la nuque. Un autre craquement se fait entendre, mais cette fois-ci, les cris s’arrêtent en laissant place au tremblement de son corps.

              - Ça c’est pour mes parents ! Meurs chien du gouvernement !

              Alors que Mizu se bat toujours avec les quelques agents qui reste, j’en aperçois deux qui se battent avec le révolutionnaire. C’est l’anarchie. Certaines personnes cris autours de nous, d’autres se contentent d’assister au spectacle. Soudain, un groupe d’homme apparait sur le champ de bataille. Une dizaine ou quinzaine j’en sais rien. Ils chargent tous sur les deux derniers agents qui se battent avec le révolutionnaire. Sont-ils ses amis ? Je pense bien, ils ont l’air de se connaitre. Oui, c’est bien ça, d’autres révolutionnaires. Très vite, le combat se fini. Les agents du gouvernement tous à terre, Mizu essoufflé et… cette homme qui s’est battu avec nous et qui marche plutôt bizarrement. Mais que diantre, c’est qui ce mec ? Il a l’air touché au ventre vu la position de ses mains. Je m’approche de lui pour connaitre son identité.

              - Eh toi ! Pourquoi t’es-tu mêlé au combat ? Ça va ? Tu m’a l’air blessé !

              Sans attendre, je passe sous son bras pour l’aider à rester debout. Après tout, il s’est battu avec nous. Le révolutionnaire avec qui nous nous sommes enfuis se rapproche alors de moi. Bien entendu, ses amis l’avaient suivi. Mizu est là lui aussi.

              - Même si j’aurais pu m’échapper seul, je vous remercie de m’avoir aidé à combattre ces agents du gouvernement.
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              - Même si j’aurais pu m’échapper seul, je vous remercie de m’avoir aidé à combattre ces agents du gouvernement.


              Cette phrase dite par ce révolutionnaire résonne dans ma tête encore et encore...Elle saute dans tous les sens, elle crie puis part, ensuite revient...ça se chamboule dans ma caboche. Toi et moi en combat singulier, on va voir si tu vas t'en sortir seul ! Enfoiré de révo...Je fronce les sourcils et me dirige en face de lui et je vais lui retirer les vers du nez..Aboule l'info, coco ! Dit moi tout tes secrets...

              Comment tu oses accuser mon maître d'être le commendataire des évènements d'Inu Town...


              Ecoute Baby Doll...Tu vas ravaler ta fierté, canaliser ta rage et mettre en tête ce que je vais te dire...C'était il y'a de cela trois ans, j'ai perdu plusieurs hommes à Inu Town, ces derniers avaient une famille, des amis. Bref, a l'époque j'étais qu'un Commodore de la révolution, sous les ordres de ta mère qui nous réfugiait jusqu'à notre prochaine escale...Dans notre groupe, il y avait plusieurs primés, des sommes exorbitante...Tu fais le lien ? A ce que je vois, tu n'es pas choqué d'apprendre que ta mère était quelqu'un d'important, tu le savais surement, mais ce que tu ne sais pas, c'est que ton maitre de pacotille nous a trouvé un jour et a appelé le gouvernement pour préparer ce coup de filet qui allait lui rapporter un pognon considérable !

              Cet homme est une ordure, encre bien ça dans une partie de ton crane !

              Quant à moi, j'ai pris du grade, du poil de la bête...J'ai concocter un petit coktail's avec mes hommes, d'ailleurs ça ne va pas tarder...,D'ailleurs tu as les yeux de ta mère au passage. Dommage qu'elle soit morte.


              MA MÈRE N'EST PAS MORTE ! ! !

              Hahaha...Aussi Naif et colérique que ton père à ce que je vois...

              Il connait mon père ? Mais ? Mais ? C'est qui ce type ? Qu'est ce qu'il complote ? Heiiin ! Il croit que ma mère est morte, il y a trois ans...What is the fuque, comme dirait un certain peuple d'une contrée lointaine. Je vais le dézinguer, c'est sûr qu'il ment ! Je ne sais pas où donner de la tête...Ce type mystérieux qui semble me connaître sait qui est ma mère, mon maître ainsi que mon père qui m'a abandonné à ma naissance ! Je sens que j'ai la tête qui tourne, j'ai envie de lui mettre des patates, de dégueuler, de crier en même temps ! Cette histoire n'est qu'un cauchemars, hein ? Tout ceci ne s'est jamais produit en fait...héhé...

              Je suis dégoûté, vraiment Ecoeurer...Je suis dérouté par toutes ses informations...Je tremble...mais ? Mais ? Pourquoi je tremble ainsi...

              De la peur ? As-tu peur de quelques rêvos...Hahaha. Après t'être occupé si brillamment de tous ces agents ? Ou bien as tu peur de ce que je vais te révéler de plus ?

              Mensonges ! Crève !


              Little Breath Of Fire !

              J'utilise ma rage, je rassemble la chaleur emmagasiné par mon corps pour la faire ressortir d'un coup...Il va le sentir ce poing que je vais lui donner direct en pleine face ! C'est toi qui sera la baby doll, espèce de rêvo misérable, je vais te le foutre dans le fion ton merci ! Et je vais t'enterrer avec tes infos à la con !

              J'enchaîne directement avec un PUNCH of Earth Dragon !, après avoir utilisé la chaleur de mon corps pour propulser la puissance de mon poing droit, je fends l'air juste en plein dans sa tronche...j'ai jamais tenter un coup aussi puissant, mais ça vaut le coup ! Il va prendre bien cher à vouloir insulter mon nom...

              Soudain, il recule d'une vitesse déconcertante et met son poing pour barrer mon attaque, puis il enchaîne en serrant sur mon poing...Je sens mes muscles se tendre...Putin ! Il est fort. J'essaie du mieux que je peux de résister, mais j'ai foutu toute mon énergie sur ce coup...J'ai toujours cru que c'est cette rage en moi qui me donnait la force, mais en fait c'est elle qui me rend plus faible ! Elle consume mon esprit comme ses clopes qui empoisonnent mes poumons. Par sa force, il me fait agenouillé de force devant tous le monde...Puis il me regarde avec un regard compatissant, il veut pas m'achever, mais pourquoi ? A sa place, je l'auras tué !

              Mizukawa ! Je suis...Ton Oncle !


              Bouaaaaaaaaaaaaaaaaaaabouyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaargh ! *Vomit ce qu'il a mangé*


              Je suis Keito D. Norimasu et je t'invite toi et tes amis dans mon bateau...Nous ferons route pour le QG de South Blue, là où nous préparerons un assaut digne de la révolution. Si tu refuses, libre à toi, je ne serais pas vexé, je sais que ça fait beaucoup pour toi petit, mais c'est entièrement la vérité et il va falloir l'encaisser...

              AAAAh ! *Cri de la populace provenant des parcs de loisirs, là où il y'a les Toboggans...

              Je me pose deux secondes par terre et repense à tout ça, j'ai un mal de chien, je suis fatigué et je ne sais quoi penser de tout ce cirque, c'est là que je m'allonge main sur le visage...

              Ecoutez mes frères...L'opération trouble fait a réussis...Soyez fier de votre labeur, maintenant nous attendrons que les agents du gouvernements se rassemblent vers les tobogans, pendant ce temps nous allons assister nos confrères qui sont en train de kidnappé un noble d'une riche famille. Il nous servira d'assurance vie pour les évènements à venir...Vive la Révolution !

              Après quelques instants, je me relève à moitiéde mes tourmentes, un genoux à terre, je dis clairement...

              Non ! Je n'ai plus rien à reprocher au gouvernement...Bien que ce soient des ordures et je le conçois, le seul fautif de mon cauchemars n'est en fait que mon maître...C'est bien difficile à avaler, mais je compte bien le retrouver et lui arracher la vérité, par contre si tout ce que tu m'as dis est faux, je risque de déchaîner ma colère envers la Révolution ! Alors ton invitation, mon oncle, tu te la met où je pense...Y'a qu'un seul truc pour apaiser ma douleur, c'est bien l'alcool...Désormais combattre la marine ou le gouvernement ne fait plus partit de mes objectifs, alors débrouillez vous avec votre noble, votre attaque et tout ce qui s'en suit. Je ne veux que me reposer, repenser à tout ça et me prendre une cuite.
                Aïe aïeuuuh !!! Je souffrais toujours le martyre, il ne m'avait pas loupé ce satané heu ... c'était quoi au fait ? C'était bien beau de se battre, mais faut-il savoir pourquoi et avec qui. Des sbires de la marine ? Je ne pense pas, je n'ai jamais vu ce genre d'accoutrement sur ces imbéciles d'hommes en bleu. Un petit surnom très attractif d'appeler la marine. Bon revenons au moment présent, je continuais à boiter jusqu'à atteindre le mec qui s'était battu à mes côtés, la main sur mon torse, j'essayais à tout pris de cacher mon malaise de cette blessure.

                Eh toi ! Pourquoi t’es-tu mêlé au combat ? Tu m’a l’air blessé !

                Oui ça va … Ils ont cru que j’étais dans votre groupe, je n’ai pas vraiment eu le choix.

                Pourquoi me suis-je mêlé au combat ? Hum... bonne question, peut être parce qu'ils ne m'avaient pas laissé le choix ? La prochaine fois, je mesurerais la distance pour ne plus avoir ce genre de quiproquo qui pouvait me coûter la vie ! J'ai vraiment eu de la chance cette fois-ci, j'ai réagi au bon moment pour me défaire du traire qui avait voulu m'attaquer par surprise. Ah ! Une vraie bande d'incapable ! Tout de suite après sa phrase, le jeune homme passe sous mon bras pour m'aider à rester debout sous mes yeux ébahi. La dernière personne qui m'avait aidé dans ma vie fut mon père ... lors d'une altercation avec un enfant de mon village, mon défunt père me porta sur son dos jusqu'à la maison. Un sourire aux lèvres il me soigna avant de me relâcher dans la maison. Je me rappellerais toujours de ce jour, un jour unique pour moi. Le jeune homme avait cette même gentillesse, même s'il ne me connaissait pas, il apporte son aide. Je ne peux m'empêcher de sourire bêtement.

                Cet homme, ce n’est pas vraiment un médecin rassure moi …

                Je pointe de mon doigt ensanglanté l'autre mec surexcité de se battre contre des révolutionnaires, un vrai fou furieux, serait-ce possible que sa soit réellement un toubib? Dans ce cas, je ne veux absolument pas qu'il me soigne, je n'ai pas envie d'avoir une souffrance de plus, je préfère que ma blessure ce cicatrise toute seule, mais malheureusement ce n'était pas le cas, au contraire ! Elle s'ouvrait de plus en plus. J'espère simplement que la perte de sang ne soit pas trop conséquente et que je ne vais pas m'évanouir sur le jeune homme. Alors que j'observe le toubib se battre, les deux bombes du bar s'approche de nous dangereusement, je pense qu'elles veulent régler mon compte avec moi... ZBAF ! ZBAF !

                La première c’est pour nous avoir plantées dans le bar et la deuxième c’est pour nous avoir laissé payer l’addition ! Espèce de goujat !!

                Putin ! Elles sont vraiment sans pitié, elles me donnent une gifle chacune pour ensuite repartir comme si de rien était … Elles s’en fichaient complètement si j’étais sur le point de mourir où pas. Le monde ne tourne vraiment pas rond. Pour me remettre un peu d’aplomb, je sors une cigarette pour la placer entre mes lèvres, puis avec un rire assez forcé dut à ma blessure, je m’adresse une nouvelle fois au jeune homme.

                J…je voulais te présenter, mes copines, mais elles n’étaient pas vraiment d’humeur. La pro…prochaine fois peut-être.