Je me réveillais enfin, après une nuit mouvementée dans la calle de ce bateau marchand. Eux, ils avaient fait la fête toute la nuit pendant que moi, j’avais du mal à respirer et je ne pouvais pas bouger dans l’une de ces caisses sombres. Ils s’étaient enfin arrêter, je défonça le dessus de la caisse pour sortir de cet endroit macabre. Je monte sur le pont : personne, ils étaient déjà tous descendu. A mon tour, je prend la rampe qui mène sur la terre ferme, je regarde autour de moi : personne. Je lève la tête, un beau soleil rond et jaune, aucun nuage pour cacher les rayons de chaleur qu’il m’envoie. Je commence déjà à transpirer, je regarde au loin, que vois-je ? Les nuages qui se déchirent au dessus d’une sorte de château. Ma curiosité d’ancien contrebandier et futur capitaine pirate me donne envie d’y aller. Je commence à marcher sur une plaine verte pour le moment, sous ce soleil levant, je commence à entendre l’orage, puis je vois la foudre arriver, de grandes traînées bleu sorte de ce trou dans le ciel, je commence à apercevoir une grande tour, une tour qui surplombe toutes les fortifications autour d’elle.
J’entre maintenant dans un champ de terre, terre mouillée et fertile, on pourrait y faire pousser toutes sortes de légumes, toutes sortes de plantes. Je continu de marcher et arrive devant un pont, un pont de pierre qui semble solide, je n’avais qu’à le traverser pour me trouver devant l’entrée de ce bâtiment. Je commence à parcourir ce chemin de pierre à tâtons, me tenant au bord de celui-ci, je vois le bout, je regarde en bas, une hauteur considérable, tu tombes : tu meurs. Je suis arrivé au bout, j’attrape mon pot de mayonnaise et en prend une bonne bouchée. Pour passé l’entrée en pierre du bâtiment.
Un bruit sordide émettra au moment où je passai l’entrée, puis, une trappe s’ouvrit, et moi, en l’air, comme un gland dirait-t-on, je tombai. Je fus aspiré dans un espèce de tuyau, me roulant dans tout les sens dans cet endroit étroit, pour tomber dans une pièce sombre. J’essuyais toute la poussière sur mon costume, et commençai à marcher. SBIM, un mur, on y voyait vraiment rien. Je sort mon briquet, et sur la porte : Un mot était marquer sur du Papyrus, il devait daté de longtemps.
"Pour sortir, trouver la torche vous devez."
Une torche hein… Comment voulait-on que je trouve une torche alors que je n’ai aucuns repères spatiaux dans cet endroit, je ne le connais pas, une torche, mais où on voulait que je trouve une torche ! Je commençai déjà par me calmer, en m’allumant l’une de mes divines clopes, pour prendre une bouffée de leur intense breuvage. C’est sûr que pour calmer, ça calme, je l’étais un peu trop d’ailleurs. Je rallumai mon briquet, et commençai à chercher quelque chose, une porte ou quoi que ce soit sur les bordures de la pièce.
Par pur hasard, quelque chose me vient sous la main, une poignée de porte. Je la tourne, et arrive dans une autre pièce beaucoup plus grande, mais toujours pas éclairé comme il le faut, je le vois uniquement grâce à mon briquet, sur une grande table, une torche, puis, un bruit, je n’étais donc pas seul. Enfin bref, on s’en fichait, l’important était de sortir d’ici, je prend la torche, et l’allume à l’aide de mon briquet.
J’entre maintenant dans un champ de terre, terre mouillée et fertile, on pourrait y faire pousser toutes sortes de légumes, toutes sortes de plantes. Je continu de marcher et arrive devant un pont, un pont de pierre qui semble solide, je n’avais qu’à le traverser pour me trouver devant l’entrée de ce bâtiment. Je commence à parcourir ce chemin de pierre à tâtons, me tenant au bord de celui-ci, je vois le bout, je regarde en bas, une hauteur considérable, tu tombes : tu meurs. Je suis arrivé au bout, j’attrape mon pot de mayonnaise et en prend une bonne bouchée. Pour passé l’entrée en pierre du bâtiment.
Un bruit sordide émettra au moment où je passai l’entrée, puis, une trappe s’ouvrit, et moi, en l’air, comme un gland dirait-t-on, je tombai. Je fus aspiré dans un espèce de tuyau, me roulant dans tout les sens dans cet endroit étroit, pour tomber dans une pièce sombre. J’essuyais toute la poussière sur mon costume, et commençai à marcher. SBIM, un mur, on y voyait vraiment rien. Je sort mon briquet, et sur la porte : Un mot était marquer sur du Papyrus, il devait daté de longtemps.
"Pour sortir, trouver la torche vous devez."
Une torche hein… Comment voulait-on que je trouve une torche alors que je n’ai aucuns repères spatiaux dans cet endroit, je ne le connais pas, une torche, mais où on voulait que je trouve une torche ! Je commençai déjà par me calmer, en m’allumant l’une de mes divines clopes, pour prendre une bouffée de leur intense breuvage. C’est sûr que pour calmer, ça calme, je l’étais un peu trop d’ailleurs. Je rallumai mon briquet, et commençai à chercher quelque chose, une porte ou quoi que ce soit sur les bordures de la pièce.
Par pur hasard, quelque chose me vient sous la main, une poignée de porte. Je la tourne, et arrive dans une autre pièce beaucoup plus grande, mais toujours pas éclairé comme il le faut, je le vois uniquement grâce à mon briquet, sur une grande table, une torche, puis, un bruit, je n’étais donc pas seul. Enfin bref, on s’en fichait, l’important était de sortir d’ici, je prend la torche, et l’allume à l’aide de mon briquet.