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[1er Soul-Sol] Mind Crusher

*bip*
Dylaï entendit cet étrange son lorsqu'il fit son entrée dans l'étage supérieur. Il se trouvait maintenant dans un immense hall vide, même les araignées, rats et autres animaux habitant les lieux les moins attirants de la planète avaient désertés cet endroit. Au bout du hall se trouvait un couloir... mais un couloir qui semblait s'étirer à l'infini, sans possibilités de voir le bout, comme si l'espace lui-même s'était distordu.
Dans quel endroit il se trouvait ?
*bip*
Le son se reproduit et les torches éteintes de l'endroit s'allumèrent. La pièce fut entièrement éclairée... la tension était palpable, dans l'air : qui s'amusait à faire ces étranges tours de magie ? Il marcha quelques pas, le bruit de ses pieds résonnant dans le silence lourd et triste de l'atmosphère. A part cela, il ne laissa échapper aucun son, concentrant son énergie dans les oreilles... qu'est-ce qui allait se passer maintenant ?
*bip*
Un bout de papier se trouvait maintenant aux pieds de Dylaï. Il le prit dans ses mains et lut attentivement : "Trouve les escaliers et passe à l'étage suivant."

Bien, c'était donc ça l'épreuve ? A priori cela semblait simple... a priori. Mais il y avait quelque chose d'étrange dans tout cela, un piège... mais plus que tout, c'était ces sons qui intriguaient le guerrier. D'où venaient-ils ? Que représentaient-ils ? Ils semblaient enclencher des événements particuliers, comme un jeu de rôle, le son signifiant une décision du Game Master.
*bip*
Une musique se mit à jouer.

Dylaï sentit l'inquiétude commencer à se manifester dans son corps mais tenta de la repousser, c'était probablement le souhait du responsable. Il continua à avancer, jetant quelques coups d'œils vifs autour de la pièce. La seule chose qui était présente et la musique dont le ton devenait de plus en plus grave, comme si celui qui la jouait continuait d'enchaîner les bémols de manière inlassable. Qu'est-ce que ça signifiait, bordel ? Quel était le but de tout ceci ?
Alors qu'il allait faire son entrée dans le couloir, il sentit une présence derrière lui. Se retournant immédiatement, il se mit en garde (un réflexe) et cria d'une voix sonore :


"Montrez-vous !"

C'était la seconde fois qu'il le disait... la présence allait-elle se montrer cette fois-ci ou disparaître de nouveau ? C'était un véritable jeu psychologique.


    Cet escalier en colimaçon: je l'emprunte. Je ne sais pas ce que j'y trouverais au bout et à vrai dire, j’appréhende. Ce que je redoute le plus c'est de me cogner une nouvelle fois, mon mal de tête ne s'étant pas dissipé j'aimerais bien ne pas rencontrer d'autres problèmes. Heureusement que je possède cette torche qui désormais m'éclaire, sinon je pense que j'aurais étais couvert de bleu avant-même de pouvoir sortir de cette endroit pourris. Je ne sais même pas où je suis, mais je monte à un étage supérieur dans un lieu qui reste complètement mystérieux. Alors que je gravis les marche, j'entends au loin des bruits de pas, autres que les miens. J'angoisse. Est-ce quelqu'un qui me voudras du mal, un monstre peut-être. Douteux, je pose la main sur ma poche, celle où se trouve mon petit couteau. Certes il ne me défendras pas contre un monstre, mais ça me rassure. Idiot ? Peut-être, mais si un rien peut me rassurer, je suis preneur.

    Mais, il est interminable cet escalier, franchement l'architecte à abusé, d'autant plus que j'ai l'estomac sur les talons. Ne voyant pas le bout de cette montée, je décide de courir pour enfin voir le bout de cet escalier.

    Finalement, l'escalier de termine et un couloir apparaît devant moi. N'ayant pas d'autres choix, je l'emprunte. J'arrive sur une pièce … éclairé !? Très étonnant, mais je garde ma torche au cas où. Avant que je n'ai pu poser un pied dans cette même pièce, une voix se fais entendre …


    "Montrez-vous !"

    Quelqu'un ! Mais qui ? Je peux dors-et-déjà affirmer que je ne connais pas cette personne rien qu'a sa voix. Ne pouvant pas vraiment reculer, je pris mon courage à demain et je pénétrais dans cette pièce, me mettant à découvert.
    Au milieu de la pièce, un homme, un homme beaucoup plus petits que moi, et enroulé dans des turbans. Lui aussi une torche à la main, je le regarde attentivement. Ayant finis de le scanner visuellement, je lui demande qui il est,


    « Qui es-tu ? Et comment es-tu arrivé ici ? »

    J'aimerais bien savoir comment a-t-il atterrit ici, savoir comment lui aussi est tombé dans cette merde. Si lui aussi est là, nous ne sommes sûrement pas seul …

      Un autre visiteur de la forteresse ? Dylaï aussi un sourcil en voyant le nouveau venu une torche à la main. Il ne serait donc pas seul ici ? Ce serait étonnant... ou alors un piège. Cette possibilité n'était pas à exclure, la musique continuait de jouer et l'atmosphère devenait de plus en étrange, particulière. Cet homme était-il un envoyé de la chose qui s'amusait à jouer avec lui, était-il cette présence ? Sans relâcher son attention, Dylaï avança de quelques pas et répondit :

      "Je suis à la recherche des trésors de Salammbo. J'étais censé être le garde du corps d'un chasseur, mais nous nous sommes retrouvés séparés. Qui es-tu, toi ?"

      Il n'avait pas laissé d'informations compromettantes sur son identité, il vallait mieux jouer la carte de la prudence pour le moment, ne savait-on jamais. Autour d'eux, la musique avait augmenté en intensité, comme si elle tenait absolument à signaler sa présence... Dylaï avait un peu mal à la tête pour une raison inconnue, il tenta d'oublier cette sensa-ANALYSE DE LA SITUATION PAR DYLAIKIROSHIMASHINRBRBEBDBGSDGEGGDS

      Les chiens charniés de fougère sont éveillés. Leur absurde et temporaire terreur s'est estompée, et à fait place à une rationalitée étouffé et inaudible. La peur factice, artificielle, a laissée place à un débâcle sauvage. Le rire étranglé, mais néanmoins sécable, de celui qui n'existait déja plus, fût enfin coupé. Les effets sont instantanné.[/b] Libéré des chaînes de la folie, la seconde suivante est celle d'une plénitude elle aussi factice, née d'une adrénaline incontrôllable aux origines diverses : Stress, fatigue, épuisement... Tout se réunis en une simple conclusion usée et fatiguée, dont la seule conclusion d'usage est la destruction pure et simple de la raison de ces souffrances inutiles.[/b][/dr]

      Puis soudain, le noir complet ! Bip. Aucune réponse, inutile de s'égosiller à appeler son nom, c'est inutile, Colonel. Le néant pouvait être touché lui-même.
      *bibibibibibibibip* Dylaï ouvrit les yeux soudainement, et vit que les torches étaient maintenants à l'envers. La pièce était à l'envers. Tout était à l'envers. Les seules choses qui se trouvaient dans le même sens que lui étaient le nouvel arrivant et le couloir sans fin devant eux. Bordel, mais il venait de se passer quoi ? C'était comme s'il n'avait plus existé, comme si son âme s'était retrouvé dans le corps de quelqu'un d'autre qui les observait d'un lieu distant en notant chaque détail de la scène. Des pensées incompréhensibles, sans aucun sens, venaient de se bousculer dans sa tête, pour une raison inconnue... bon sang...

      Il vit le gars en face de lui et se demanda s'il avait lui aussi senti cette sensation et s'il était la cible du maniaque qui voulait leur folie et leur panique. Quoiqu'il en soit, le plus urgent était de dégager, c'est pourquoi il dit :


      "On discutera plus tard. Pour le moment, suivons le couloir, il conduit à des escaliers a priori. Ce lieu est bizarre et quelque chose nous veut du mal."

      Il jeta la torche qui tomba vers le haut (accentuant l'incompréhension de Dylaï vis-à-vis de la situation) et se mit à courir vers le couloir. Qu'est-ce qui allait leur tomber dessus ? La musique, elle, s'était arrêtée.
        Une porte s'ouvra donnant à des escaliers, Mizukawa allait enfin quitter l'endroit lugubre. A sa surprise, il était tombé sur un lieu encore plus sale que le dernier, c'était normal, il était dans les sous-sols. Là où l'on enfermait les prisonniers d'autres fois pour les servir comme plat aux nombreux rats enragés de l'époque. Grâce à la torche qu'il avait trouvé, il avait pu explorer la pièce du 1er sous-sol, rien d'anormal dans le tas.

        Les forteresses cachent un passé effrayant, une histoire attirante et des trésors fantastiques. Les hommes s'aventurent sans peur dans ses lieux de terreur. Ils errent égarés dans leurs pensés de victoire, oubliant la principale loi. Celle de s'amuser en découvrant des objets dont la seule valeur était historique. Seul un archéologue pouvait penser de cette manière. Les nombreuses recherches du jeune homme sur les grottes de son ile natal lui avait permis de connaitre ce sentiment enfantin.

        Bon, je cours parce qu'il est sans fin ce couloir ! Quelques minutes plus tard, il trouva un long couloir qui paraissait sans fin. Il marcha continuellement puis décida de courir, encore et encore. C'était surement une épreuve d'endurance. C'était à ce moment, qu'il vit de la lueur au loin et s'avança prudemment par peur d'une mauvaise surprise. Après avoir aperçu qu'il ne s'agissait que de deux personnes, il eut l'idée de leur faire peur et oui. C'était sans doutes des archéologues qui voulaient savoir un peu plus de cet endroit, ou bien des gens qui voulaient un trésor.

        Arrivé près d'eux, il se montra...

        Salut brave gens, je suis le Chevalier Gouguille, Je suis un ami du maitre des lieux, on doit à tout prix rejoindre l'autre étage, il y a surement un escalier de secours ou une trape.

        Tout en continuant avec un air de bourgeois, il baratinait les hommes qui se trouvaient devant lui.


        Je viens sauvé la princesse Atiffa ! J'ai du subir pleins de dégat à mon arrivé. Voilà ce qui me reste de mon armure ! S'exclama t-il tout en faisant croire qu'il avait vécu pas mal d'aventures

        Sinon, vous êtes venu pourquoi faire ?

        Ils avaient l'air un peu perdu tous les deux, sans connaitre la sortie. Leurs visages semblaient montrés une anxiété, l'un deux avait comme une impression de retourner. En remarquant ce fait, le jeune homme prit le groupe comme guide et s’intéressa à un homme qui ressemblait vaguement à un vagabond perdu dans ses pensées.

        Réveille-toi ! On doit trouvé un moyen de sortir de là.



          Cette homme: je le regarde. Il est … comment dire ? Étrange. Il me semble en même temps si près mais aussi si loin de moi, à la fois physiquement que mentalement. Je ne saurais vous dire s'il est bon ou méchant, mais le fait qu'il ne m'ai pas attaquer me fais envisager des choses positif. Bref, il répond à la question que je venais de lui posais

          "Je suis à la recherche des trésors de Salammbo. J'étais censé être le garde du corps d'un chasseur, mais nous nous sommes retrouvés séparés. Qui es-tu, toi ?"


          Ouais, d'accord … Je m'en fous de sa vie ! J'voulais juste savoir comment il s'appelle … Il me demande à son tour qui je suis. Ouais, je ne lui dirais pas qui je suis et je vais lui dire comment j'ai atterris ici, il vas être content.

          « Je suis à la recherche de la sortie de cet endroit. J'étais censé mourir manger par un poulpe, mais j'ai chaviré ici. Voilà qui je suis ... »

          Les présentations faite, un silence se fit. Puis mon mal de crâne revins en trombe à tel point que je pris ma tête avec ma main. Je souffrais affreusement , désormais un bruit sourd envahit mon oreille et ma vue se troublais petit à petit. Les hallucinations me vinrent : la pièce était désormais sans dessus dessous et je voyais mon interlocuteur avec un corps qui ondule. Cet homme onduleur me parle alors

          "On discutera plus tard. Pour le moment, suivons le couloir, il conduit à des escaliers a priori. Ce lieu est bizarre et quelque chose nous veut du mal."

          Ces mots … Il dit que quelque chose nous veut du mal, lui aussi aurait-il ces hallucinations ? Ouais, en tout cas si c'est ça cela fera un mystère de plus. Alors que nous nous apprêtions à emprunter le couloir, une je sentis une présence derrière moi. Je me retournais pour apercevoir un homme.

          Salut brave gens, je suis le Chevalier Gouguille, Je suis un ami du maitre des lieux, on doit à tout prix rejoindre l'autre étage, il y a surement un escalier de secours ou une trappe.


          Oh putain ! C'est quoi ce truc !? Un homme blond. Il dit s’appeler Gouguille. Il prétend aussi être l'ami du maître de ces lieux, saurai-t-il où je suis ? Intéressant …

          Je viens sauvé la princesse Atiffa ! J'ai du subir pleins de dégat à mon arrivé. Voilà ce qui me reste de mon armure !

          Une nouvelle phrase venant de sa part. J'ai vraiment du mal à le croire ce gaillard. Il ne semble pas être timide, il a attaqué directement les discussions. L'esprit ailleurs, je le vis s'approche de la petite personne qui me faisais auparavant face. Il le pris par le col et le secoua lui demandant de se réveiller, nous devions trouver une sortie. Certes, il a raison mais c'est plus facile à dire qu'a faire.

          Le crâne toujours défoncé, je pris la parole


          « Euuh … Calme toi ! Y'a pas le feu ! Et puis il faut d'abord traverser ce couloir, et j'ai pas confiance … Tu n'irais pas en guide ? »

          Oui, en gros si le danger étais présent je lui demander d'aller le tester. Je regardais alors le couloir qu'il nous faut prendre, il est sombre et on n'en vois pas le bout. Quand est-ce que seras finis tout sa !?

            Dylaï sentit peu à peu son esprit se faire aspirer dans les profondeurs des abysses née d'une adrénaline incontrôllable aux origines diverses : Stress, fatigue, épuisement... les pensées l'inondaient tandis que la pièce continuait de tourner sur elle-même avec pour seuls élément fixes le rire étranglé, mais néanmoins sécable, de celui qui n'existait déja plus et le couloir. La réalité semblait elle-même distordue par cette situation étrange qui défiait toutes les lois de la logique et de la physique. Qu'est-ce qui se passait bon sang ? Les lames bientôt transpèrcent son corp qui nous apparaît horrible, et le sordide éclair du jugement s'abât sur lui. L'adrénaline chute, et le stress s'affaisse, le calme revient alors que nous observons enfin le cadavre de celui que nous avons, d'un simple coup épuisé et paniqué, occis. Tout cela n'avait aucun sens.

            "Salut brave gens, je suis le Chevalier Gouguille, Je suis un ami du maitre des lieux, on doit à tout prix rejoindre l'autre étage, il y a surement un escalier de secours ou une trappe."

            Il ne remarqua même pas la présence du nouvel arrivant, il avait l'impression qu'il avait toujours été présent dans ce lieu, qu'il pouvait même faire partie des choses qu'ils voyaient. Etait-ce un ennemi ? Un défi du manipulateur qui jouait avec leurs esprits ? Il ne lui répondit pas, son attention était captivée, son regard s'était déplacé à autre chose qui se trouvait au bout du couloir, les attendant avec une certaine impatience. La seule chose qu'il entendait était le son de sa respiration modifié par quelque chose, ainsi que ses grognements qu'il faisait en massant sa tête.

            "Hey, réveille-toi !"
            Code:
            DANGER. ELEMENT EXTERNE AU PROCESSUS.
            DECONNEXION. DECONNEXION. DECONNEXION. DECONNEXION.

            Analyyyyyssssse de la sissisisisiiitutututuaaation[/b]
            *biiiiiiiiiiip*

            Dylaï ouvrit ses yeux et se retrouva dans le hall qui avait retrouvé sa forme normale, les torches étaient allumées normalement. La musique n'avait pas redemarré et avait laissé place à un silence beaucoup moins pesant qu'auparavant. Il était face au dénommé Gouguille, un grand gaillard aux cheveux blonds, qui se disait ami du maître des lieux... il y avait donc bel et bien un locataire dans ce lieu ?
            Attendez une minute. Que foutrait l'ami du maître des lieux dans un endroit aussi sombre et obscur ? Cela n'avait aucun sens... mais il fallait accepter l'hypothèse que plus rien n'avait aucun sens et que n'importe quoi pouvait arriver.

            Et surtout, qu'est-ce qui s'était passé dans sa tête ? Pourquoi avait-il vécu tout ça ? Pourquoi ce flot de pensées étrange et sans queue ni tête ? Il ne comprenait simplement pas. Il semblait avoir vu quelque chose les observer... et il avait remarqué sa présence en utilisant ses yeux comme moyen de vision. Comment avait-il fait ? Aucune idée. Peut-être était-ce un souhait de la quatrième présence de cette pièce.
            Et le responsable de tout ceci se trouvait au bout de ce couloir ?

            Dylaï s'avança, jetant un oeil à chacun de ses deux partenaires de fortune. Il s'adressa d'abord au prétendu chevalier :


            "Il semblerait que tu m'ais sauvé de tout ce foutoir sans logique pour le moment. Merci. Maintenant... ce couloir semble être le seul chemin pour sortir de cet endroit. Il vaut mieux que nous le prenions ensemble, je reste persuadé que quelque chose veut s'amuser avec nous et qu'elle ne va pas se gêner pour continuer... soyons prudents, d'accord ?"

            N'attendant pas de réponse, il se mit à marcher vers le couloir attendant les deux autres. Il y avait quelque chose qui le fascinait, quelque chose qu'il voulait voir au bout, plus que la sortie. Et il le trouverait. Il trouverait le gars responsable des hallucinations qu'il a subi... et percerait son masque à jour.
            Un *bip* se fit entendre dans l'air. Dylaï l'ignora.
              Les hommes devant Mizukawa parlèrent à leur tour, puis ils partirent sans attendre de réponse de la part du jeune homme alors il les rattrapa et leur parla en se souvenant de ce qu'ils ont dit tout à l'heure.

              « Euuh … Calme toi ! Y'a pas le feu ! Et puis il faut d'abord traverser ce couloir, et j'ai pas confiance … Tu n'irais pas en guide ? »

              Ce couloir est tiré de votre imagination, il est pas si long ! Il y a surement une porte caché ou un passage secret, essayez de toucher les murs tout en longeant le couloir.


              Le jeune pirate continua de chercher sur les murs pour essayer de trouver une trappe ou quelque chose du genre qui leur permettra de sortir d'ici. Il s'approcha du jeune homme qui était déboussolé...


              "Il semblerait que tu m'ais sauvé de tout ce foutoir sans logique pour le moment. Merci. Maintenant... ce couloir semble être le seul chemin pour sortir de cet endroit. Il vaut mieux que nous le prenions ensemble, je reste persuadé que quelque chose veut s'amuser avec nous et qu'elle ne va pas se gêner pour continuer... soyons prudents, d'accord ?"


              Il ne faut pas trop s'éloigner les uns les autres mais on se sépare, on ne sait jamais si il y a des pièges ici. L'un prendra le couloir tandis que les autres essayerons de trouvé un mécanisme ou une trappe.

              Le jeune pirate prit le coté droit et continua d'avancer, ils avaient raison, il ne fallait pas s'éloigner pour autant recevoir des ennuies. Ce lieu est comme un test pour sélectionner les meilleurs hommes. Qui sait peut être qu'il y avait plusieurs autres personnes. Ce serait marrant pour notre protagoniste si son équipage était lui aussi de la partie.

              Ils s'enfoncent dans Les ténèbres sans connaître leur chemin, Il fallait trouvé une issue de secours au plus vite, peut être qu'un miracle pourrait les sauver et les ramener à la lumière. La seul lueur étant celle de leurs torches respectives et leurs intelligences. Ils devaient trouvé un moyen de sortir de ce piège à cerveau le plus vite, car la frayeur et la folie se fait sentir sur certains. Le dernier cas étant le tueur qui prit le bras de son armure et s'écria !

              Oh ! Sézam ! Ouvre- toi ! Qu'allait-il donc se passer ?


                Alors que nous nous dirigions vers ce couloir qui me semblais immensément long, l'homme aux cheveux blond nous rattrapa. Il prétendait que notre imagination nous jouais des tours et que ce couloir n'était pas si long que ça. Peut-être, mais tant que je n'en verrais pas la fin, il me sera infini. Il continua sa phrase pensant qu'un mécanisme secret ou une trappe se cacherais dans ses murs. Personnellement, je ne n'ai pas suivis ses dires, certes je longeais le mur gauche et m'y appuyant, mais c'est juste car j'ai du mal à me tenir debout. Alors que nous marchions, l'énergumène blond se remit à parler. Il voulait optimiser nos chances de trouver un quelconque moyen de sortir d'ici. Il pris le côté droit du couloir, l'autre homme le centre et moi je devais longeais la partie gauche.

                Longer ce mur deviens rapidement fatiguant, toutes les briques sont les même, aucune différence en terme de textures: rien. Même avec la lumière de ma torche je ne décèle aucune, même infime, différence. Commençant à désespérer, je me demande si j'arriverais à sortir d'ici … Je regarde alors mes deux compagnons de misère: celui du milieu ne semble pas afficher d'émotions, est-il inquiet ou serein ? Quant au blond il semble plutôt content d'être ici, du moins il n'affiche pas de mécontentement particulier. Serais-je le seul à m'inquiéter de mon sort ? Je sens … que je vais bientôt craquer ! Je sais rester calme, mais là mes nerfs lâcheront bientôt … j'en suis sûr et certain. Et puis j'ai faim … Ouais, très faim, si seulement je pouvais me remplir la pense … Si ça continue comme ça, je verrais mes deux compagnons se changer en nourriture, et avec toute mes dernières hallucinations, je trouverais ça normal.
                Je crois que …


                « Oh ! Sézam ! Ouvre- toi ! »


                Le grand blond coupe mes pensées et ce n'est pas plus mal, j'aurais finis par me suicider à force de penser aussi négativement. Sur les cris de l'autre zouaves, je m'arrête net et m'adosse contre le mur. Je souffle et regarde l'homme qui semble avoir trouvé quelque chose … « Sézam » … Une entrée ? Une sortie j'espère … Moi, d'ici je ne vois rien mal grès le feu qui m'éclaire. Ce serais vraiment magnifique qu'il ai trouvé un moyen de partir d'ici, je crois que je le remercierais vivement. Il me faudra du courage et un tant soit peut de lucidité si on venait à continuer d'avancer dans ce cauchemar horrible. D'ailleurs, et si tout ça n'était qu'un rêve ? Un cauchemar ? Le fruit de mon imagination, il est vrai que de voir une salle se retournée reste très peu réaliste, voir complètement absurde … Si c'est qu'un rêve, qu'on me réveille !
                Peut-être ce truc qu'a trouvé notre fou blond, est la fin de mon rêve … La fin d'une angoisse nocturne … J'espère pouvais me tirer d'ici au plus vite, d'une manière ou d'une autre …


                  Ils se mirent à marcher dans le couloir, chacun observant le moindre détail qui pourrait montrer une sortie secrète vers l'un des étages supérieurs. Le prétendu chevalier avait pris la droite, l'autre inconnu avait pris la gauche tandis que lui marchait en plein milieu, essayant de vérifier avec le pied les possibles trappes. Le couloir en lui-même lui ne semblait pas vouloir se finir, tandis que la tension et le stress continuaient de grimper alors que le hall disparaissait de leur vue, ils semblaient maintenant bloqués dans un espace nouveau, ayant échappé aux lois de ce monde, emportant à tout jamais les fous qui osaient s'y aventurer. Ou bien, était-ce une nouvelle hallucination et ils continuaient de tourner en rond ? Toutes les hypothèses étaient bonnes, même celle selon laquelle ses deux partenaires n'existaient pas.

                  Dylaï n'avait jamais ressenti une menace de ce genre, même pendant son séjour en prison. Il y avait quelque chose, dans ces ténèbres qui lui voulait du mal, pour une raison qu'il ignorait. Et il ne savait pas comment il pouvait se battre contre cette menace dont la nature était totalement inconnue. Toutes les attaques faites auparavant avaient été faite pour brouiller l'esprit de ses cibles... et cela avait réussi. Qu'est-ce qui allait se passer maintenant ?


                  "OH ! SEZAM ! OUVRE-TOI !"

                  La concentration de Dylaï fut interrompu par le hurlement du blond qui rebondit en echo sur les murs du couloir. Une tactique étrange, mais soit... après tout, il vallait mieux utiliser les solutions particulières.
                  Le couloir semblait ne pas avoir changé d'une pierre... par contre, quelque chose avait bel et bien changé : le hall qui avait autre fois disparu de leur vue était réapparu juste derrière eux, comme s'il avait toujours été là. La sensation qu'ils étaient dans un autre monde était absente, comme si le tissu de la réalité était revenu à la normale. Encore plus étonnant, devant eux semblait se dessiner la fin du sous-sol, une zone obscure qui ne révelait absolument rien mais qui laissait l'espoir d'une sortie.

                  Etait-ce vraiment le moyen de sortir d'ici ? Hurler "Ouvre-toi !" ?
                  Cet endroit était décidemment étrange, mais si Dylaï pouvait en sortir, il s'en contenterait.


                  [Post trèèèèèèès court. Mais en manque d'inspiration pour un truc normal. J'attend la validation du staff pour passer au RDC]
                    Validation du staff accordée !