Rupture.
Le corps tombe. Le sol prend un teint rouge. Une balle, un mort. Une nouvelle âme cédée à Hadès, dieu des morts. Que vois-je ? Pour qui coule le sang que je viens de répandre ? Je suis, si je l'en croit, un assassin. Est ce un ami qui meurt ? Et suis je Satoshi enfin ? En ce jour j'ai violé une loi, un code. Quelque chose d'important, quelque chose qui se doit d'être respecter, j'ai tué un ami. Pour qui ? Pour une ingrate, et l'ingrate, en fuyant, me laisse pour salaire tous les noms odieux que j'ai pris pour lui plaire. On me demande de tuer, je tue, aveugle que je suis.
Celle ci n'assume pas, elle ne le voulait pas. Sa haine était fictive, elle n'avait pas pesé ses mots. Je n'ai pas su le voir. Elle l'aimait plus qu'elle ne le haïssait. Je fus idiot, et elle est morte, elle aussi. Une corde et un tabouret pour achever sa vie. Je l'ai sans doute aimé aussi, surement pour cela que je l'ai servie. Mais cet acte ne sera pas sans conséquences, cet acte devra être puni, mais je ne peux me résoudre à abandonner. Je ne paierais pas pour elle. Je n'ai jamais payé pour personne. Je dois fuir. Loin. M'exiler, peut être, surement.
La ruelle ayant vu l'acte s'accomplir n'est plus inhabitée, elle n'est plus sans bruits ni témoins. La foule ayant entendu le coup de feu assourdissant ne tarde pas à se rassembler. Je suis loin, couvert d'une cape noire, je m'éloigne de cet endroit maudit qui m'aura vu naître et périr. Néanmoins un homme allant à l'opposé de tous les autres se fait toujours, qu'il le veuille ou non, remarquer. Les gens me regardent de leurs yeux noirs, ténébreux et globuleux.
Ils sont méfiants, haineux. Savent ils ? Comment ? Est ce moi qui suis un paranoïaque acharné ? Bientôt la marine sera sur les lieux pour les quitter aussitôt, cherchant l'auteur de cet acte de barbarie, mais la femme coupable n'est plus ici, personne ne pourra la faire payer, il en faut donc un autre. Celui ci s'enfuit. Celui ci c'est moi. Et celui ci est maintenant face à eux. eux la marine. Eux qui l'ont vu. Eux qui vont le traquer pour l'arrêter.
Je découvre mon visage, rien ne sert de se couvrir lorsque l'on est découvert. Je cours. Je suis poursuivis, il m'interpelle, trois sommations plus tard ils commencent à tirer à balle réelle. Je suis déjà caché dans un tonneau et en route pour Logue Town, adieu, ancienne vie.
Celle ci n'assume pas, elle ne le voulait pas. Sa haine était fictive, elle n'avait pas pesé ses mots. Je n'ai pas su le voir. Elle l'aimait plus qu'elle ne le haïssait. Je fus idiot, et elle est morte, elle aussi. Une corde et un tabouret pour achever sa vie. Je l'ai sans doute aimé aussi, surement pour cela que je l'ai servie. Mais cet acte ne sera pas sans conséquences, cet acte devra être puni, mais je ne peux me résoudre à abandonner. Je ne paierais pas pour elle. Je n'ai jamais payé pour personne. Je dois fuir. Loin. M'exiler, peut être, surement.
La ruelle ayant vu l'acte s'accomplir n'est plus inhabitée, elle n'est plus sans bruits ni témoins. La foule ayant entendu le coup de feu assourdissant ne tarde pas à se rassembler. Je suis loin, couvert d'une cape noire, je m'éloigne de cet endroit maudit qui m'aura vu naître et périr. Néanmoins un homme allant à l'opposé de tous les autres se fait toujours, qu'il le veuille ou non, remarquer. Les gens me regardent de leurs yeux noirs, ténébreux et globuleux.
Ils sont méfiants, haineux. Savent ils ? Comment ? Est ce moi qui suis un paranoïaque acharné ? Bientôt la marine sera sur les lieux pour les quitter aussitôt, cherchant l'auteur de cet acte de barbarie, mais la femme coupable n'est plus ici, personne ne pourra la faire payer, il en faut donc un autre. Celui ci s'enfuit. Celui ci c'est moi. Et celui ci est maintenant face à eux. eux la marine. Eux qui l'ont vu. Eux qui vont le traquer pour l'arrêter.
Je découvre mon visage, rien ne sert de se couvrir lorsque l'on est découvert. Je cours. Je suis poursuivis, il m'interpelle, trois sommations plus tard ils commencent à tirer à balle réelle. Je suis déjà caché dans un tonneau et en route pour Logue Town, adieu, ancienne vie.
