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Un naufrage, c'est la galère ! Mais des fois...

Cela faisait quatre jours ? Non cinq peut-être… Peut importe. Porco et moi étions sur cette petite île oubliée des cartes. De grandes étendues de sable faisaient le tour de notre terre d’accueil. Le reste n’était que roche, falaise et de petites surfaces de verdure… Les arbres étaient peut présent.

D’ailleurs les maigres morceaux de bois que nous avions créé ne pouvaient pas servir pour créer une embarcation… La densité était trop légère, ce qui la rendait peu stable. En plus, sa fragilité ne nous aidait pas… Même mon poids avait suffit à faire craquer les planches taillées vulgairement.

Nous étions arrivés sur cette portion de terre par mégarde… Enfin… On avait été expulsé de notre navire a cause d’un Porco trop porté sur la nourriture et un moi trop provocateur pour être apprécié du capitaine de bord… Dommage, sa femme elle m’appréciait plutôt bien… Le soir surtout.

Enfin, toujours utile qu’arrivé ici, c’était la galère… Heureusement que la pêche on connaît ! Mais rester ici trop longtemps allait être compliqué… Les jours passant, on risquaient de devoir aller vers le centre de l’île. Mais nous on veut partir ! Pas explorer… Pas maintenant en tout cas.

Porco avait comme idée de créer une machine volante. Autant dans le domaine navale, il est imbattable… Sauf peut-être pour moi… Moué… Mais dans le domaine aérien… Une bille je vous le dis ! Déjà trois planeurs de foutu en l’air ! Et pardonnez-moi l’expression. A la fin, on s’en servait plus pour nous réchauffer le soir qu’autre chose… Heureusement d’ailleurs. Car hier soir il y avait eu une sacrée tempête ! Le genre qui nous fait aimer les bars de nuit insalubres ou le barman est plus sexy que la prostituée.

Je pensais bien que dans ce bordel, un navire pouvait taper le mur de corail sous-marin qui était à quelques centaines de mètres de la plage. Tiens ! D’ailleurs il y a des fibres de bois étranges sur la plage… Mon imagination ou bien ?


Porco : Allez junior ! On va prendre les arbres qu’ils nous restent.

Ulcky : Oui Papy… Oui

Yuan : Relou le vieux.

Ulcky : Oui, mais si son plan fonctionne on rentre… Perso, je n’ai pas envie d’escalader les rochers pour trouver des arbres à transporter jusqu’ici… Le vieux n’est plus assez robuste pour nous aider et seul …

Yuan : Oui je sais on va mettre des semaines pour tout transporter… Mais tu sais que ça ne fonctionnera pas…

Ulcky : Oui, mais lui ça le fait sourire…

Je suis donc repartit a tailler ce bois merdique. Je savais que cela n’allait pas fonctionner, mais Porco semblait si heureux de retenter encore et encore son vieux rêve… De toute façon encore trois jours et soit on rentre à la nage, soit on va au centre de l’ile… Ou avec de la chance… Un navire passera. Possibilité bien pus importante et bien moi fatigante !

Le taillage établi, nous avons recommencé à assembler les morceaux… Nous sommes allés sur notre morceau de roche qui avait la particularité d’avoir une pente de sable, le rendant très facile d’accès.

Arrivé en haut… Il fallait sauter … Encore… Et se mouiller… encore… Se sécher … Encore…
Tiens ! On a sautés ! J’ai l’impression que nous restons plus longtemps en l’air cette fois. Mais pas assez…

Plouf !



Dernière édition par Ulcky Yuan le Mar 13 Nov 2012 - 18:43, édité 1 fois
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Sacré nom de dieu... Nakano s'était retrouver en mer sur l'inferno prit dans une tempête titanesque... Peut être, et ce n'est que pures suppositions, que si il y eut l'équipage complet à bord ce jour là les conséquences eut été fort différentes... Mais voilà, des ombres ils ne restaient que des miettes. Et tandis qu'il se cramponnait à ce qu'il pouvait pour éviter de passer par dessus bord, tandis que les flots impétueux remuait la pauvre coque de noix qui faisait office de navire pour les pauvres pirates affolés. Nakano lui ,tentait en vain de se rappeler des derniers mots avant que la capitaine et quelques uns de ses compagnons ne s'en aille de leurs côté, mais bon dieu! Ce brave petit moustachu pouvait se montrer de nature inattentive... Peut être aurait-il dû écouté cette fois ci, si tant est que les simples derniers mots d'une capitaine purent sauver un navire d'un naufrage imminent.

Valentina, capitaine en second attitrée, remuait terre et mer pour tenter de tirer quelques choses des quelques clampins n'ayant pas fait scission avec le reste, mission impossible. Se tournant vers Nakano elle lui hurla d'une voix aussi féminine que celle d'un catcheur dopé à la testostérone:


" Eh toi là ! Le prétendu ptit génie! Remue toi l'fion ! Si c'est par peur de passer par dessus bord que tu reste cramponné comme un morbac, laisse moi te dire que la sentence que j'te prépare est sensiblement équivalente, si on exclue que tu auras des poids aux pieds en guise de flotteurs.

- Oulaaaaaa, jeune femme faites donc preuve d'empathie! Je dois composer avec des tas de facteurs émotionnels inédits, jamais de ma courte existence je ne me suis retrouvé dans une telle situation et voir cette nature terrifiante déchaînement les éléments, en plus de me faire peur, m'inspire beaucoup ! J'ai deux invention en tête, la première serait une sorte de vecteur pour condenser la foudre mais je vais t'épargner les détails à toi pauvre femme sans cervelle...La deuxième si on sort et que la situation se reproduit serait une sorte de protège slip hygiénique, quel dommage que je n'r ai pas songer avant...

- C'est pas croyable ce que tu peux causer.... Si t'as le temps d'réfléchir et dparler autant, secoue toi les miches sinon on est foutue, on doit préserver l'inferno."

Il était difficile de savoir quelle heure il était car le ciel était sombre comme les ténèbres qui emplissent le coeur du plus maléfique des forbans, les vagues manquaient de renverser le navire qui n'était plus manœuvrable pour un sous...Chacun s'activait sous les ordres clairs et direct de la capitaine en second, percher sur la figure de proue se tenant avec rigueur, elle ne semblait pas effrayé et l'idée de contrôler l'équipage semblait même plutôt la réjouir.

Finalement après une nuit de combat face à la nature la tempête fit place au calme, me bateau lui avait finit sa lutte miraculeusement sur île sec et aride, rocailleuse comme pas deux, le genre d'île bien chiante pour un navire pirate échoué quoi... Valentina saisit par le bras un mécano que nous connaissons bien pour l'attirer en dehors du navire et voir l'étendu des dégâts de l’extérieur:

" Et merde... Bon bah on a intérêt à trouver not' charpentier sur cette île Nakano. Sinon on est fichue.

- UN CHARPENTIER ! Voilà merci, je me souviens maintenant des derniers mots d'la captain'! "Nakano mon beau prince à la moustache touffue, gaspiller ton génie à travailler le bois serait une offense à ton intélligence... Je vais devoir partir, tu es celui qui garderas le navire je te fais confiance ! Pendant ce temps là, fais moi plaisir et recrute un charpentier. Je te reviendrai vite.", j'avais complètement zappé, j'espère qu'on va en trouver un, ça m'embêterai de décevoir Aoi cette fois.

- T'es dérangé... Tu te rends bien compte qu'elle n'a jamais dit ça ?! Peu importe allons-y essayons d'explorer un peu, les autres pêcherons de quoi nous nou...

- Oh regarde dans le ciel un engin de fabrication humaine ! Incroyable ! Je veux voir ça allons y !Oh ! Il tombe à l'eau, c'est du travail de cochon... Allons voir ça de plus près ils ne sont pas tombés bien loin !

Comme un enfant Nakano se mit à courir vers l'objet qui attisait sa curiosité, Valentina contrainte, lui emboita le pas

- Ce type me sort par les yeux !"
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Des bulles… En même temps, deux poids comme nous qui venaient de tomber du haut d’une falaise… Quelle idée… Heureusement que nous n’étions pas comme dans les contes de fées, des maudits mangeur de fruit du démon. Sinon… On n’avait plus rien à dire…

Je me débattais pour remonter sans difficulté à la surface. Porco fit de même et commença à m’engueuler comme de merde ! Oui encore… Prenant une planche de bois qui trainait, il me la lança sans prévenir.


BIM ! Droit dans le front… Je gardais un sourire niait après le coup…

Porco : Pauvre crétin d’asticot ! Tu ne fais rien comme il faut. Encore deux tentative et s’en est fini ! On reste sur cette île !

Ulcky : Calme-toi le vieux, on est dans la même galère. Aide-moi a prendre les planches pour ce soir ou un autre prototype…

C’est comme ça que nous sommes revenus sur la plage. Encore mouillé, encore à devoir ce sécher. Sans trop de gêne, je me suis dévêtu pour laisser le soleil faire son office, la nouille à l’air. La seul chose que je gardait sur moi est mon bandeau…

Porco plus … Timide ? Gêné ? Bref, il resta en pantalon. Pendant que nous mettions les morceaux encore viables de cotés. Nous avons vu arriver un drôle d’hurluberlu et sa maitresse. Enfin je dis ça, je n’ai pas la moindre idée de leur relation mais l’un avait l’air heureux de nous voir et l’autre grande prédatrice moins enclin aux accolades… Ca ressemble à ça une maitresse et son esclave !

Ils arrivèrent à notre niveau après seulement quelques minutes. J’avais mis mes mains contre mes hanches, le sourire jusqu’aux oreilles pour montrer un signe amicale envers la dame. Malgré la nudité encore présent qui me caractérisais.

Yuan : Bien le bonjour ! Vous êtes passé par-dessus bord vous aussi ?

Ne laissant pas le temps de répondre, la personne devant moi qui était bien plus petit que la normal, arrivait au niveau de ma ceinture… Pas de malaise, mais quant même…

Yuan : Euh tu peux reculer un peu… Je sèche là.

Puis je me suis retourné vers Porco qui commençait à pioncer… La bulle Au nez.

Yuan : ALLER LE VIEUX !

C’est comme ça qu’on réveil un vieux loup de la mer de tout les périls ! Et il laissa sa bulle éclater !

Porco : Grui, Grui, c’est bien gamin que tu as trouvé la bonne personne… Grui, Grui… Mais quand même, Grui, allez vous cacher pour faire vos saloperies… Grui…

Vision étrange du vieux qui ne voyait que mon postérieur de sa position et la silhouette du bonhomme qui dépassait sur les cotés.

C’est comme ça que l’on commence à ce lancer dans une bataille de broutille chez nous. Laissant nos deux nouvelles rencontres regarder un spectacle non souhaité et sans avoir pris le temps de se présenter, mais c’est une erreur de politesse vite réglé. Les poings dans le visage de l’autre, on avait quand même pris l’initiative de donner nos noms.

Yuan : Che chui Ulcky Yuan.

Porco : Appecher moi Porco.

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Nakano courrait a vive allure avant d'être rappelé à l'ordre une nouvelle fois par le bras droit de l'équipage, cette dernière ne cessait d'enquiquiner le nabot moustachu depuis qu'elle avait pris les rênes et ne portait pas le mécano en grande estime... C'était courant pour le pauvre petit inventeur d'être traité de la sorte par les autres, il considérait même cela comme naturel pour les gens naturellement inférieur intellectuellement de s'arrêter à un aspect pour sonder une personne. Mais d'ordinaire Nakano était parfaitement libre d'écraser ou de prouver sa supériorité par n'importe quel moyen et quand bon lui semblait, cette fois ci était différente, il n'était plus un électron libre et était soumis à un forme de hiérarchie pesante et ceci même au sein d'un équipage pirate, ce qui allait par delà toutes ses profondes convictions, il s'arrêta, soupirant longuement:

" Bordel, qu'est ce qui te prend de détaler comme un lapin couille de loup?! On est pas là pour faire du putain de tourisme, alors tu arrête. N'oublie pas que c'est moi qui commande jusqu'à nouvel ordre.

Réprimant une poussée de colère, Nakano ne put s'empecher de répondre à la demoiselle faisant preuve d'un peu trop d'arrogance à son gout

- Mais, n'as tu donc aucuns esprit d'aventure ? La curiosité ne te prend jamais aux tripes jeune femme ? Il y a vraisemblablement des hommes qui ont tenté de faire voler une machine de confection humaine. Nous avons tout intérêt à leurs venir en aide.

- Mais bordel ! On est pas des enfants de coeur qu'avons nous a gagner à aller voir des pauvres gus perdu qui ont probablement tenté un suicide?

- Ah les femmes, sorties de leurs rayons d'expertises, a savoir le it et la cuisine, vous êtes complètement paumées... Bon je vais essayé de faire clair. Nous pirates, eux bonhommes capablent de créer machine en bois qui vole, nous perdu sur île inconnue. Ils ont visiblement du bois et des compétences pour le travailler ! Ou bien ils sauront nous indiquer la direction d'un village ou bien que sais-je ils sont peut être riche et nous les détrousseront ! Maintenant cessons de perdre d'avantage et allons y.

Visiblement convaincue, la lady ne laissa pas au moustachu l'honneur d'une joute verbale remportée.

- Pardon tu disais bout-d'homme ? J'étais dans mes pensées à imaginer quelqu'un disant des choses plus intéressantes... Très bien, on y vas mais en marchant inutile de que je me nique les pieds pour ces deux péquenauds qui te filent la trique Nakano."

Finalement ils arrivèrent à l'endroit ou se reposaient les deux gus en question, si il n'avait pas su pour leurs crash, Nakano aurait sans doute songé que les deux gaillards s'étaient fait une randonnée brokeback mountain, car l'un était grand et parfaitement nue tandis que l'autre plus petit, vieux et un peu plus vêtu était assoupi. Le grand nudiste affichait un air ultra confiant et engagea la conversation, ce corps robuste et cette arrogance provoqua en Nakano un désir de défier physiquement ce mastodonte, sans dire un mot il s'approcha de lui ce qui amena une situation cocasse! Finalement Ulcky et porco se présentèrent en se filant de joyeux marrons l'un sur l'autre, la tension retomba du côté de Nakano, un sourire aux lèvres il se présenta à son tour:
" Ououououuhhh, vous êtes de sacrés farceurs vous autres, je suis Nakano mécano navale et voilà Valentina, ma supérieure hierarchique en quelque sorte m'enfin

- Pas de m'enfin qui tienne, oui ! Je suis ta putain de supérieur hierarchique.

- Bref, j'ai vu votre machin tombé à la flotte et j'ai accouru, comprenez que ce genre d'engin ça attise la curiosité de l'homme de science que je suis. On a été pris dans la tempête de la nuit dernière et on s'est retrouvé échoué sur cette île avec un bateau incapable de reprendre la mer. On a pas les ressources ni les connaissances pour retaper le navire et on ne connait pas l'coin, z'avez l'air de chics gars qui semblez toucher du bois, littéralement, peut être pourriez nous indiquer la route d'un village où on pourrait trouver un bon charpentier, nous avons les moyens...

- Tu parles trop couillon, va droit au but ! Si la capitaine t'entendais nom de dieu ...Elle donnerait pas cher de la peau d'une chochotte comme toi.

Nakano sortit son faucon mécanique qui se cachait dans sa glorieuse coupe affro pour le remonter comme une pendule avant d'ajouter.

- Ca va ça va... Nous sommes des pirates, les ombres du chaos et tout ça... Contente, j'espère que cette fois ci je nous ait présenté convenablement ?! Cela convient il à madame ?!

- Mais t'es complètement con ! Un pirate ça doit terrifié les foules, toi on dirait que tu vas leurs vendre de la soie ! Bonjour à toutes, ici Nakano le térrifiant mécano des ombres du chaos ! Achetez ma soie des chaudes îles du sud!

- Eh oh c'est qu'elle commence à doucement m'irriter la rombière mal [...]"

Et c'est ainsi qu'entre les deux "pirates" une nouvelle engueulade éclata, elle se poursuivit jusqu'à ce qu'un des deux spectateurs ne fasse une réflexion interrompant Valentina qui secouait le col du pauvre nabot moustachu. Les lunettes en travers du visage, le mécano ajouta:

"J'ai une question, vous comptiez quitter l'île avec votre machine ? Si oui pourquoi au juste."
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Nous étions quatre et chacun de notre coté, nous nous amusions à nous chamailler... Chacun avait sa façon de faire...
Après avoir fini de battre le fer sur la tête de porco, qui se défendait le bougre ! Ma main laissa une trace sur sa joue rose et dodue. Ce dernier semblait heureux et envouté, malgré la douleur qui devait l'envahir. Comme des cœurs, ses yeux fondaient devant la belle apparue devant nous...

Alors la belle... Ulcky ne le voyait absolument pas de cette façon, une vieille peau fripé, qui pour seul atout son caractère... Et encore ! Que dire face à cette mise en avant qui n'avait que seul but de terroriser l'assemblé afin d'avoir un réel ascendant... Bref, pour le jeune homme, c'était une vieille peau sans intérêt...

Mais Porco lui... Il rampa au sol comme un ver, mais à la vitesse d'une souris atomique ! Agrippé à la main de la capitaine, il commençait à câliner l'avant bras.

Porco : Le destin nous a enfin réuni ma belle... Je vais te couvrir de bonheur... Grui...

Profitant de ce moment de tendresse, Ulcky pris le soit de remettre une petite douceur sur ses attributs pour en cacher le trésor ! Interloqué par son ami, il n'en oublia pas les nouveaux arrivants. Délaissant complètement la femme, il entama la conversation avec Nakano.

Ulcky : Enchanté l'ami. Nakano donc ? Ta rombière à l'air bien irritante.

Dit-il en esquissant un petit sourire. L'attitude du jeune homme était un peu différente du caractère plus extraverti d'avant. Des gètes simples, rapides et utiles.

Ulcky : Pour te répondre, oui on souhaitait partir d'ici. Rien ne nous retient et nous avons atterri ici par... Obligation, plus que par envie.

Ulcky n'oublia pas, qu'il s’adressait à des pirates. Même si l'annonce avait été faite de façon... humoristique, le nom de l'équipage n'était pas totalement inconnu. Mais bon, ici, à deux... Pourquoi s'inquiéter.

Ulcky : Vous êtes donc venu en bateau ? On pourrait y jeter un œil, mais bon... On n’est pas très doué.

L'homme aux yeux bandés avait dit cela pour ne pas trop éveillé l'envie. S’ils avaient besoin de charpentier, c'étaient leur jour de chance ! Mais pour nous... Il fallait rester sur ces gardes.

Ulcky : Voyez le travail, Porco voulait voler, alors nous avons tenté une de ses idées... Mais avec un bois pareil... Ce dernier est très léger, idéal assurer les envolés et les pressions de l'air. Mais le poids d'un humain est trop important.

Je pointais du doigt les 4 arbres qui restaient au loin.

Ulcky : Nos planches viennent de là. C'est un arbre à l'écorse friable et épaisse qui protège hermétiquement. C'est solide contre le vent... c'est tout. Le bois interne lui est aussi fragile qu'une feuille de brique... Bref, un bois inutile pour la construction... Comparable à un escargot, coquille fragile et animal pire encore.

Après ce discourt, impossible de comprendre le réel métier du jeune homme. Etait-ce pour avouer à demi mot ou bien simplement une inattention dans l'euphorie de l'explication.
Il s'en suiva un croquis précis fait sur le sable a l'aide d'un bâton pour expliquer le tout.

Ulcky : Nous n'avons pas vue de village en revanche, mais peut-être que ...

J'ai tourné la tête, en passant, j'ai croisé la fine feuille d'un brin d'herbe dépassant du sable. Le vent le faisait danser comme une ballerine. On pouvait comprendre le combat de la petite herbe qu'elle subissait chaque jour face à cette nature hostile.... Bref, passage inutile !

J'ai pointé du doigt trois têtes qui dépassaient de la falaise dernière nous.

Ulcky : ...Que eux connaissent un village ?


Dernière édition par Ulcky Yuan le Sam 27 Oct 2012 - 12:25, édité 2 fois
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Une fois que les deux binôme eurent finis de se foutre sur la gueule entre eux, ce fut le moment de la réelle confrontation, le petit dodu semblait s'être épris de la jolie quoi qu'un peu rude seconde des ombres du chaos, tandis que le grand nudiste s'approchait sourire discret aux lèvres vers le petit mécano, qui devait par ailleurs bien faire soixante-dix centimètres de moins que ce grand gaillard. D'un air complice il fit une réflexion sur le caractère de la femme de pouvoir qui accompagnait le pirate moustachu, ce à quoi ce dernier acquiesça de la tête. La glace était brisée.

La discussion poursuivie entre les deux hommes, tandis que de son côté, Valentina affichait un air effrayé et tentait de repousser les avances désarçonnantes de son courtisan providentielle. Tant mieux elle n’interférerait pas pour une fois ! Ulcky ne semblait pas avare en parole, après avoir avoué qu'ils pourraient jeter un coup d'oei, il ne manqua pas de détails pour expliquer leur tentative avortée de vol plané, Nakano n'en manqua pas une miette et des idées vinrent à germer dans son esprit fécond de mécano pour que leur invention puisse marcher, mais il se garda bien de les dévoiler pour le moment. Finalement il n'y a avait pas trouver de village, le village les avaient trouvé sous la forme de trois bonhommes qu'ulcky semblait avoir repéré, sans doute observaient-ils le petit groupe de naufragés depuis un bon moment, les trois hommes avaient l'allure de chasseurs ou de braconniers, celui qui semblait mener l’expédition avait à sa ceinture quelque bestiaux fraîchement tués ainsi que des armes de jet rudimentaires telles que des hachettes, plutôt baraqué et portant la coupe iroquoise il s'adressa au petit groupe, tandis que ses compagnons les tenaient en joues, l'un avec une lance de jet, l'autre avec une arbalete plutôt sophistiquée:

"Eh... Étrangers, on aime pas trop les étrangers... Étrangers, alors z'allez ptet décampez avant de finir dans la gamelle d'nos bêtes sauvages, c'pas une zone sure pour les étrangers ici vous savez ...J'vous ait entendu causé d'notre village?

Feignant d'ignorer les menaces, Nakano prit immédiatement l'initiative de répondre, tentant de reprendre le contrôle de cette situation tendu, il espérait surtout qu'aucuns de ses coéquipiers n'allaient commette d'impairs, ici il n'était pas en position de force. De sa voix haut perchée il répondait:

- Oh vous savez, aucun d'entre nous ne souhaitons rester ici, cette île semble sied à de réels combattants nous n'avons de toutes évidences pas l'étofe pour demeurer ici sain et sauf longtemps et notre instincts nous crie haut et fort de décamper pas d'inquiétude mon cher ami.

Semblant reprendre du poil de la bête, Valentina rebondit au quart de tour

- Qu'est ce que tu me chante, tu t'abaisse devant ces trois gugus ?! Toi une ombre du chaos, si la capitaine Aoi D. Nakajima t"entendait elle te trancherait la tête sur le champ! Bon les bouseux, z'avez la berlue, voyez pas qu'on est plus nombreux que vous ? Et il suffit que l'un d'entre nous survive pour vous faire la peau croyez moi. Alors au nom de l'équipage que je représente. Vous allez nous guidez gentiment vers un village proche et nous on pour vous remercier, on prend que ce qu'on a besoin de prendre et on se casse.

La réponse ne se fit pas attendre, une flêche veint sifler et ouvrir la joue du mécano, dans un rictus de douleur, il réagit immédiatement, lançant son corbac mécanique en l'air pour que ce dernier arrose les aggresseurs alors que le mécano lui se mit à tourner sur sa tête, la surface sableuse du sol lui permettant de soulever un nuage faisant écran parfait pour fuire ou contre attaquer. Si il avait été seul, il fait nul doute que Nakano aurait relevé le défi que représentait ces trois costaud bien armés, mais avec une population visiblement hostile, un navire échoué et un binôme qui avait l'air de toucher du bois, littéralement parlant, il était clair qu'il lui fallait privilégié la fuite.

- Bon mister double décimètre, groin groin et la milf, on décampe, on rejoint notre navire que ces braves gaillards, fussent-ils incompétents, puissent vérifier l'état du navire et nous donner leurs avis de toutes évidences ils ne sont pas beaucoup plus les bienvenus que nous autres. Allez on dégage."

Ils se carapatèrent tandis que leurs poursuivants tentaient en vain de les atteindre avec leurs projectiles, finalement ils arrivèrent à les semer, il semblait qu'un des leurs avait été touché par une des balles du faucon de Nakano et qu'ils avaient renoncé. Nakano pointa du doigt le navire
:

" Voilà notre coque de noix, vous avez tout à gagner à nous aider, on vous emmènera loin de cette île merdique, on a pas des masses de reserve de ...

- Dites, ça m'fait rondement chier de l'admettre mais... J'aurais bien besoin d'aide là.

Là affalé sur le sol se tenait le bras droit de l'équipage valentina, la main ensanglanté, elle avait reçu une flèche au dessus de son omoplate droite et n'avait plus fier allure. A cette vue, Nakano afficha un air sombre, serrant les poings il affirma:

- Ils ont touché une des notre... Je ne connais pas bien cette île mais elle n'a pas l'air bien grande, vous autres faites ce que vous pouvez pour le bateau, on a presque plus de bois en reserves et de toutes façon il est pourri, peut être que vous serez plus à même que moi de le travaille, pour ce qui est de ce prétendu village, la guerre est déclaré.
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Après avoir rencontré nos nouveaux ami, Yuan repris l'ascendant sur le corps du grand jeune homme. A l'écoute de leurs dires, c'est un petit fou rire qui commença à naitre devant les eux. Difficile de rester de marbre fasse à ça. On ne les connaît pas et ça commençait par des menaces. Sans rire ! Il commença à s'assoir et cacha son visage entre ses épaules pour ne pas sembler trop insultant, mais il était comme un gosse à l'école qui tentait de se cacher de son professeur...
Valentina, avait à juste titre fait une remarque auprès de nos nouveaux amis. Ce qui ne fut pas du goût de tout le monde. La réplique fut direct et Nakano fit comme Ulcky, il eu un reflexe ! Le mécano sortit un étrange oiseau mécanique qui avait des propriétés bien surprenantes. Devant une ingénieurerie aussi poussé Ulcky fut très intéressé par la science du petit homme. Mais ce n'était pas encore le moment.

J'ai mis mes mains entre mes jambes et souleva mon corps, j'ai fais des mouvements de demi cercle sur place tel un gymnaste sur sa poutre. Avec mes pieds, j'ai envoyé des planches en direction des agresseurs et en dernier mouvement j'ai tapé le sol afin de créer également un écran de sable.

Ulcky : Oui on décampe bonhomme !

C'est dans un dernier mouvement que j'ai attrapé mes vêtements et détalé avec les trois autres pour arriver devant l'imposant bateau. A première vue, il n’avait pas de gros dégâts, il penchait... L'eau devait avoir infiltré la calle et la coque prenait une pause bancale. Le fond de l'eau était proche, ce qui était un avantage. Au moins il serait stabilisé !

Nakano demanda l'aide et précisa qu'il apporterait une sortit de secours pour Porco et lui. Mais ce fut avant que valentina fasse son annonce...
Porco eu le sang qui ne fit qu'un tour. Agacé ? Enervé ? Non une véritable tornade !

Porco : Bande de crétin ! Sortez-vous les doigts du cul et aidez ma belle ! Voyez la douceur sombrer dans la douleur ... Prenez de l'eau, alcool, linge propre, fil aiguille ! Plus vite !

N'ai de crainte ma belle, la douleur est là je le sais mais rien n'est grave dans cette blessure impropre à ta beauté... grui, grui...


Nakano était furieux et pour la première fois il montra un signe d'affection envers la femme. Les deux ressemblait a Porco et lui, il se chamaillait tout le temps, mais était présent l'un pour l'autre... C'était agréable de voir ça.
Il fallait calmer un peux le petit génie !

Ulcky : Calme toi, nous devons d'abords examiner le bateau.

J'ai sauté sur le pont avec une certaine facilité et je suis allé dans la calle pour examiner l'étendue des dégâts. Après Plusieurs minutes, j'en suis sortis et fait mon diagnostique...

Ulcky : Je ne sais pas ce que vous foutez avec votre navire, mais ce n’est pas la joie... La pression de l'eau pendant la tempête a créé des fissures sur plusieurs planches et il faut les remplacer... Mais si on s'en sort, c'est une plus grande réparation qu'il faudra effectuer. Pour l'heure, le bois que vous avez est mort, donc on doit en trouver et ce n’est pas avec ce nous avions sur la plage que l'on va faire de miracle...
Mais les flèches de nos amis sont faites d'une autre essence.


Porco acquiesça de la tête...

Ulcky : La bonne nouvelle, c'est qu'on une chance de réparer le bateau. La seconde, c'est que l'on v a aller à la rencontre de nos agresseur ! Alors heureux l'ami ?

J'ai bondit sur la plage et tendu ma main vers mon nouveau partenaire, comme un signe pour lui montrer qu'il ne serait pas seul... D'ordinaire, je n'aurais rien fait de spéciale, mais la relation qu'avait Nakano avec Valentina et la tristesse de Porco, me fit changer de réaction.


Dernière édition par Ulcky Yuan le Sam 27 Oct 2012 - 23:42, édité 3 fois
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Nakano avait vu juste concernant ces deux gaillards, ils n'avaient pas l'air de mauvais bougres et ils étaient dans la même galère que les ombres, le petit trapu pris panique s'activa auprès de sa dulcinée tandis que le grand, Ulcky, semblait poser ses idées et vouloir tempérer les ardeurs des deux petits hommes l’accompagnant, avec aisance il sauta et examina le bateau rapidement,courageux de s'aventurer seul dans un navire pirate réputé si vous voulez mon avis, son expertise fut claire et concise, exécutée en quelques minutes elle confirma les doutes de Nakano, pas question de repartir avec un navire dans un état pareil et la réserve de bois était foutue, même pour quelqu'un de compétent.


Scrutant l'horizon, Nakano cogitait, analysant la topographie, c'était trop rocailleux à son gout par ici... Il envoya son faucon mécanique, s'agirait ptet de le trouver un nom à c'te volaille non? Dans le but d'obtenir un point de vue aérien de la zone via la vision de l'oiseau retransmise au brillante lunettes de Nakano, fine fleur de la technologie de l'inventeur.


* Il est plus que probable que les hommes qui nous ont attaqués font office de chaseur, il n'aurait surement pas besoin de s'éloigner à ce point du centre de l'île pour trouver du gibier pour leur village, conclusion le village est probablement plus proche de nous que ce que je peux l’espérer , la gourdasse devrait s'en sortir, la voir affaiblie et vulnérable la rendrait presque séduisante cette tigresse mal coiffée...*

"Bon, jeunes hommes, voilà le topo. J'ai fait une rapide évaluation de nos possibilités, nous n'avons pas de bois peu de vivres et une population hostiles aux étrangers, probablement plutôt dangereuse, ouuuuh ouuhh c'est un défi passionnant pour un génie de mon genre ! j'ai remarqué une butte plus loin, elle semble idéal pour obtenir un excellent point de vue sur la région, je vais m'y rendre pour trouver le village et le reste j'aviserai, violence ? Subtilité? Manipulation infiltration? Tant d'option qui s'ouvre à moi ! ils regretterons ces idiots obscurantistes de refuser que le progrès vienne à eux."


Il se mit immédiatement en route une fois Valentina mise en lieu sûr et alitée à bord, il semblait qu'il n'allait pas s'y rendre seul finalement... Ses deux camarades providentiels étaient du genre pot de colle, sans doute voulaient-ils s'assurer du bon déroulement des opérations après tout ils étaient dépendant de la réussite de cette "vendetta". Arrivé au fameux relief sur élevé, ils n'eurent pas trace d'un village dans leurs lignent de mires, mais n'allaient pas repartir sans rien à se mettre sous la dent... Plus bas sur le flanc, deux des trois chasseurs accompagnés de quelques autres gars semblaient avoir eu la même idée que le brillant Nakano pour repérer et chasser les indésirables... Ils ne les avaient pas repérés, le trio se devait d'agir vite ils avaient l'initiative, Nakano observait et calculait les angles d'attaques possible...
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Pratique le petit bonhomme ! Nakano avait en sa possession un drôle d'animal mécanique bien pratique ! Allant à trois vers le lieu de pistage, ils n'en furent pas moins surpris de découvrir nos amis survivants de l’attaque du petit génie, accompagné par quatre gaillards...
Je voyais Porco bouillir intérieurement, mais le vieux débris, ne pouvais pas faire grand chose... Ou tout du moins, ne le pouvais plus... Que c'est dur de vieillir ...
Nous nous étions allongés pour éviter d'être trop vite repéré. Mais l'impatience du vieux cochon me saoula vite... La discutions se fit en chuchotant.

Yuan : Bon, j'ai une idée !

Nakano qui continuait à examiner la situation me regarda que très rapidement, pendant que Porco se collait devant mon nez, dos contre la pente qui prenait la direction de nos ennemis.

Yuan : Toi servir d’appât !

J'ai poussé mon ami avec l'aide de mon pied en laissant un sourire fourbe et amusé s'incruster dans la rétine de ce dernier. Il commença à partir en arrière et dévala la pente à une vitesse ahurissante pour son âge ! Mais la gravité faisait bien son travail... Son poids aussi... Arrivé en bas et à moitié sonné, il se fit attraper avec une facilité déconcertante et se fit ficelé comme un petit rôti.
J'ai attrapé Nakano par le coup en collant sa tête a coté de la mienne pour qu'il entende bien.

Yuan : Là normalement, ils ne vont pas le tuer, mais l’emmener vers leur village. Et nous, on va les suivre. Et s’il meurt... Bah c'est qu’il n’était pas assez fort...

Et presque trop chanceux de son idée, nos inconnus de l'île commencèrent à l’emmener dans une direction nouvelle. Grâce à la bête curieuse de Nakano, ont à pu suivre nos agresseurs a longue distance. Ce qui était surprenant, c'est que la végétation ne semblait pas plus importante... Au bout d'un moment, nous sommes arrivés sans trop de difficulté devant leur village.

Il y avait un mur de terre sèche qui servait de rempart. Cela semblait encercler le village. Mais pour maintenir une telle quantité, il fallait des tiges de soutient. Donc du bois. Il y avait une ouverture ou l'on pouvait apercevoir les huttes de terre. Pour Ulcky c'était sur, il y avait du bois quelques par...

Ulcky : Regarde le toit, il est soutenu par des poutres de bois exotique. On est au bon endroit.

L'oiseau du mécano nous fit une autre découverte. Il semblait que le centre du village était une espèce de trou béant très large... Et que dans le font, la verdure y existait ou en tout cas une grosse masse ressemblant à du végétal vert...
Mais plus d'info sur le veux cochon pour le moment...
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Un plan... Vite il fallait aviser rapidement ! Le cerveau de Nakano bouillait et son excitation était palpable... Tiens z'étaient plus que deux, où était passé l'autre ? Ah bah en bas, logique logique... Une seconde, Ulcy Yuan venait tout juste de pousser son compagnon pour qu'il serve d'appat, quelle cruauté méprisable, voilà qui devrait plaire à Nakano.

* Hum, si il meurt c'est qu'il fut trop faible tout simplement... Les circonstances ne lui sont effectivement pas favorable mais je suis bien d'accord avec ce gars, qui est il ? Il est moins posé que ce qu'il parait*

" Sbire ! Repose moi donc, si je veux m'élever vers les cieux nul besoin de l'aide d'un roturier quelconque l'ami. "

Que ce plan fut une bonne idée ou non, ce fut un succès probant ! Les chasseurs tout heureux qu'ils furent de mettre la main sur l'un des intrus , qui plus est un homme cochon dodu pouvant tout à fait satisfaire les désirs déviants de cannibales notoires, si toutefois ils en furent bien entendu, l’emmenèrent donc à ce que le binôme supposait être le village principale de l'île.... Il s agissait de ne pas trop tarder tout de même, sil le faisait parler c'était l'intégrité de l'équipage qui serait mis en cause.


Le village finalement en vue s'avera fort étrange, un mur de terre bien épais le protégeait des envahisseur, ils étaient vraiment parano par ici non? Et le village en lui même se trouvait au centre de cette protection dans une sorte de trou béant, sans doute le pervers que les ravisseurs avaient sous la main eut son terrible appétit assouvie après avoir pénétré un trou béant de cette taille.

"Bon le grand dadet, sympa tes explications mais moi j'décolle, on se retrouve en bas, t'as l'air débrouillard, fais gaffe à ton cul ils ont l'air plutôt hostile."

Sans sourciller d'avantage, l'inventeur se saisit d'un tirette qui se trouvait sous sa veste longue de scientifique pour activer son jet pack miniature! Sans aucunes difficultés il passa le mur d'enceinte et se dirigea vers la ville, perdant peu a peu de la puissance pour en douceur dans ce territoire ennemi, quand, bien évidemment, son jet finit par s'éteindre totalement... Une chute plus tard amortie par une toiture que traversa Nakano, il se rendit compte que dans toutes mauvaises experiences pouvaient se nicher quelques points positifs, ainsi, la buée et chaleur ambiante ainsi que les petits crie de pies apeurées qui suivirent l'intrusion du moustachu ne laisser pas planer de mystère: le bain des femmes.

Des tétons! Partout ! A foison! Des grands et puis des ronds! Les demoiselles dans la panique courraient en vain, laissant rebondir leurs formes, pour tenter de recouvrer une certaine pudeur tout en appelant les gardes qui, bien entendu, ne mirent pas une plombes à venir se rincer l'oeil sous couvert de "protection des civils".Deux gardes firent donc leurs entrés, Nakano les mis au tapis en un clin d'oeil avant de sortir en tirant une révérence pleine d'humilité envers ces gentilles dame, un comité d’accueil attendait le pirate à la sortie...
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Un abandon pur et simple… Mais sympa son propulseur ! Telle un moustique Nakano venait de partir en volant ! Avec Porco on avait galéré pendant 3 jours pour faire semblant de planer et lui, il nous sort un sac a dos mécanique pour s’éclipser… Bon En même temps 20 kilos tout mouillé c’est plus facile à faire décoller. Et puis ça n’avais pas été si loin que ça son truc… Mais ça restait classe… Bon, pas le temps de rêvasser sur ça, il était entré dans le village et je devais faire de même.

Je pensais arriver en me déguisant pour tromper l’œil. Je suis plutôt bon en général, mais un livreur de pizza dans un village de pécno… J’avais beau être bon acteur… Bref, nouvelle idée. Escalader le mur de terre ? Pfff trop salissant… Bon, au pire je pouvais leur demander directement… Des fois ça marche dans les séries. Rien à faire… Aucune idée… Mais soudain !?! Des cris ??? Les quelques garde de fortune posté devant l’ouverture qui devait être appelé porte se sont mis à courir vers l’intérieur. Nakano aurait-il fait des siennes ? Et bien tant mieux !

C’est donc avec un pas des pas de crabe que je me mis à glisser gentiment vers l’entré pour enfin me retrouve dans les murs. Il y avait une sacré vapeur qui se dégageait un peu plus loin, d’ailleurs en direction du dit bruit fait ultérieurement. Donc surtout ne pas aller là-bas ! Direction opposé ou presque… J’ai commencé à me faufiler entre les huttes pour trouver bois et accessoirement Porco…

Je sentais un doux fumer sortir de ce qui pourrait-être une cantine, en tout cas, je souhaitais que c’était ca, depuis le temps que je bouffais de la merde sur cette île. Un bon repas avant de finir le travail ne pouvait être que bon ! Je me suis laissé envahir par l’odeur et je suis entré. Il y avait pas mal de fumé la dedans, mais ça amplifiait la douce odeur de légume et de viande qui marinait dans sa sauce…
Oh ! Une grosse marmite ! Telle morfale, j’ai immédiatement saisi une louche pour gouter le liquide qui mijotait… La douceur sur mes lèvres, le goût qui parcourait mon corps. Puis un bruit…

Grui !!!!!!!!!!!! Gr !!!!!!!!!!!! Gru !!!!!!!!!!!!!!! Gruiiiiiiii !!!!!!!!!!

Fumé dissipé ! Devant moi Porco nue, une pomme dans la bouche en train de baigner dans mon ragout… MAIS C’ETAIT LUI LE RAGOUT !!!!!!
Je me mis à cracher tout ce qui venait d’entrer dans ma bouche droit sur lui le rendant encore plus rouge qu’il n’était déjà…

Yuan : Mais vieux con, t’es fou de te laisser cuire comme ça !! T’aurait pus crier comme une fille plus tôt MERDE !!!

J’ai donné un coup de pied sur la marmite pour la laisser se vider au sol. Le cochon pus se libérer non sans quelques brulures… Bah oui, en dessous de la marmite, il y avait du feu, et le feu ça brule ! Si, si, je vous le jure !
Il se mit a m’engeuler aussi, prétextant une stupidité qui me caractérisait… Bref ineptie et autre connerie sortie d’un homme tout nue… Mais ça sentait le roussie là, et dans le sens propre du terme… La braise qui avait volé grâce à mon magnifique coup de pied, avait fait naitre un brasier au dessus de nos têtes… Pas facile de faire mieux pour dire où nous sommes positionné…

Course vers la sortie avec monsieur tout nue. C’est devant 4 gaillards que nous nous retrouvons… PIF ! PAF ! Clef de bras manchette, balayette, et Brissette ! Course folle vers le centre du village pour rejoindre le trou…
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Du menu fretin d'East Blue, voilà ce que représentait ce petit corps de garde drapé de cuir, un emblème était tracer dans leurs rustres plastron, cette île ne semblait pas receler d'une végétation fleurissante si l'on excluait cette mysterieuse forêt à l'épicentre du village au beau milieu du grouffre, et Nakano n'avait pas remarquer de port de pêche ou de commerce, tous ce qui venait de la mer semblait effrayer ces braves ostrogoths, jalousant leurs précieux biens matériaux et vivant probablement de chasses et d'élevage principalement. La place de l'intellectualisation devait être minime et on imaginait sans mal les femmes se faire tirer les cheveux par leurs maris chasseurs lorsque ces dernières mettaient le pied dehors plutôt que de garder la maison en parfait état, un tel manque d'évolution était stupéfiant, surtout dans les blues et cela agaçait fortement notre mécano préféré. Bien que les hommes ici étaient bigrement costaud, surement plus que certains des corps de gardes réputés des autres îles des blues d'ailleurs, Nakano ne fit qu'une bouchée de cet dizaine de soldats de pacotilles, tournoyant sur sa tête il dispensait de bien beaux coups de pieds à ses rustres paysans.

*Bon, ceci étant fait une reconnaissance des lieux se doit d'être accomplie, j'ai du attirer l'attention ça facilitera la vie des deux autres, j'ai un besoin vital de ces gars là, objectif premier trouver du bois quitte le prélever immédiatement sur les bâtiments et enfin se casser en esperant que les deux hommes m'accompagne, j'aurais ptet du les attacher sur le bateau ptet qu'un vrai pirate l'aurait fait, j'en sais rien ouhouuuuh, mince voilà d'autre péquenots.*

Nakano, se mit à courir aussi vite que ses courtes jambes pouvaient, se saisissant du faucon mécanique qui s'était de nouveau planquer dans sa coupe afro, essoufflé il le lança en l'air pour effectuer un balayage visuel de la zone...Ah ça pas facile de courir en utilisant ses lunettes pour avoir la vision du faucon en parallèle ! Et forcement, le choc arriva rapidement sous la forme d'un télescopage avec une femme, le corps entier du nabot rebondit sur la croupe tout aussi rebondie de la demoiselle qui faisait barrage bien malgré elle...Elle était belle, d'une beauté qui coupe le souffle littéralement et pourtant semblait renfermé une grande hargne en elle, paré d'une tunique du même genre que les gardes précédemment explosés, elle afficha un sourire quand elle constata que l'intrus s'était montré à elles, car oui dérrière elle tout un escadron de femmes armées jusqu'au dent semblait a la recherche des forbans

"Vous tombez bien monsieur le nain pervers, nous sommes l'escadron spéciale de cette île, notre spécialité ? L’assassinat... Et vous l'aurez compris vous êtes notre cible!

Elle agitait les bras comme pour se donner en spectacle sous les acclamation des villageois qui ouvrait leurs fenêtre pour être témoins de la mise a mort sanglante de l'inconnu, coutume locale sans aucuns doutes.
- Cela ne m'enchante jamais de devoir frapper une femme, mais là j'en ai assez des rombières si vous voyez ce que je veux dire, alors tchao pantin."

Un magistral coup de poing vint égratigner cette beauté de la nature qui s'envola quelques mètres plus loin, aucun remord à frapper une femme, le contraire serait du parfait sexisme, l'instant d'après une salves de projectiles à buts meurtriers convergèrent vers le pauvre moustachu qui, prenant bien ses appuis en fléchissant ses genoux, sauta d'un coup pour arriver sur un toit, une flèche vint malgré tout se plantée dans l'épaule du mécano, fichue péquenots... Il repéra une bicoque en flamme au loin, Ulcy Yuan ne plaisantait pas non plus visiblement... De toit en toit, et ce malgré la douleur cuisante, il tenta de rejoindre l'emplacement de son allié providentiel pour s'assurer de la réussite de leurs opération, Nakano voulait vraiment en finir avec cette île, il rejoint vite le grand charpentier qui cassait du garde lui aussi, les femmes spécialisées dans l’assassinat semblaient toujours sur la piste du pirate, il fallait agir vite. Porco était sauvé, à poil oui, mais sauvé... Impossible de dire si la vision d'un Porco totalement nu et sauf était une bonne chose. De sa position surélevée, Nakano sauta directement sur la tête de son grand compagnon, agrippant ses cheveux comme si c'étaient des rênes, il pointa la direction du gouffre et cria:

"Sbire, allons dépouiller du bucheron !"
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Durant notre course avec monsieur tout nue, on a rencontré bon nombre de vilain garde, paysan, clochard ?... Bref, on a rencontré du monde. Un coup, il fallait les cogner pour les repousser ou les assommer, le coup d’après la vision de l’autre nudiste suffisait à faire fuir nos opposants. On continuait à courir comme des dératés en faisant mine de contrôler la situation. Mais disons-le clairement, depuis le début, il n’y avait pas de plan établit. Nous avons foncé dans le tas et là on s’étonne de la situation. La zone où nous devions trouver notre bonheur n’était plus très loin. Mais ce moment je sentis une chose se poser sur ma tête, non plus s’écraser dessus vue le poids que cela m’a donnée à supporter d’un coup. Et comme si cela ne suffisait pas, On me tirait les cheveux… J’étais prêt à coller le haut de mon crane contre le sol pour faire un frotti bien mérité à mon agresseur, mais le son de sa voix m’en empêcha.

Ulcky : Mais tu n’es pas bien ??? C’est ma tête quant même ! Et puis bouge tes pieds je ne vois pas grand-chose. Tu pourrais courir par toi-même ou utiliser ton sac a dos magique propulseur de nain ! Et puis au fait, je ne suis pas ton larbin !

J’ai sentis quelques choses couler le long de mon cou… Chaud…

Yuan : Crétin ! Si tu me pisse dessus je te donne en pâture au …

Je comprenais que plus tard que c’était du sang.

Ulcky : Ca va pour cette fois, mais n’y prend pas goût.

On à donc continué notre course, mais le bougre avait ameuté un groupe de nana. Elle ressemblait à des fans hystériques qui cherchaient l’autographe de leur idole. Les pieds de Nakano continuaient à me gêner, et c’est que trop tard que j’ai sentis le sol non palpable… Chute collective !

Porco derrière nous ne faisait pas attention et nous a suivis dans notre course dans le vide. Les mots de l’amis sur ma tête me prévenant du gouffre, n’avait pas résonné assez fort. Moi quant j’ai un truc qui me gêne, je n’écoute pas les autres. Et c’est dans un roulé boulet en descente dure, que nous avons dévalé la pente. Quant ce fut enfin plat. Nous avons pus découvrir une zone luxuriante de verdure. On pouvait même voir de petite créature. Une sorte de mini écosystème en plein milieu de cette île pauvre de tout. Chose étrange, nos chères amis du haut n’avaient pas pris la peine de nous suivre, enfin pas tous, les mégères avaient prient la pente, mais en mode, tranquille Émile, si je tombe je vais me casser un ongle. On pouvait remarquer des souches mortes par ci par là. Le bois des villageois venait bien d’ici. D’après leurs emplacements, ces phénomènes semblaient garder un équilibre entre déforestation et repousse. Le bois semblait parfais pour restaurer le navire, mais encore fallait-t-il le transporter et même le tailler. Mais une chose était étrange. Les souches n’avaient pas été coupées, d’après les traces on croirait que les arbres avaient été… Arrachés…

GRRROOAAAAAAA

Au loin, une grotte d’où est sortit un homme assez grand et plutôt costaud même. Habillé plus sommairement que les autres, il portait les stigmates de combat plus ou moins féroce. Il semblait vivre dans ce coin et c’est avec un grand étonnement qu’il se mit à parler.

??? : Qui vous être ? Ro !

Ulcky : Nous être ami, nous pas vouloir mal, nous vouloir réparer bateau avec bois. Toi comprendre ?


Un sifflement… Boom !!! En tournant ma tête, un arbre venait d’être planté derrière nous, mais planté genre sur la paroi de la falaise. Boom Boom ! En regardant le grand dadet, oui plus grand dadet que moi. L’homme avait en main un autre tronc dans sa main. Prêt à nous le lancer. Il venait de prendre une attitude plus colérique cette fois…

Le protecteur : Moi protecteur de foret du village. Vous pas toucher, moi tuer vous !

Bon la messe était dite. En fasse de nous un mastodonte furieux prêt à nous planter avec ses deux troncs… Et de l’autre les femmes qui prenaient leur temps, mais allaient arriver… Pourquoi ne pas rester au fourneau comme toute bonne femme qui se respecte ? Après un rapide coup d’œil sur la poutre qui était derrière nous, cela faisait un moment que ce bois avait été déraciné. Donc il ne devait pas abîmer les arbres pour rien. Mais j’espérais qu’il n’y avait pas d’autres armes cachées autre part.
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Le problème avec les sbires, c'est qui sont pas bien malins... Vous pensez les honorer en les chevauchant comme si ils étaient de prestigieux étalon. Et vlà qu'ils vous déçoivent, car même cette simple tache s'avère trop dure pour eux... Nakano, tout génie autoproclaméqu'il fut,réfléchissait, tout en dévalant la pente de manière bien rude, à l’éventuel projet de monter une sorte d'école de sbire, ou une secte a son génie... Ses fulminations mentales en même temps que sa dégringolade s'arrêta et ici, en pleine forêt, il eut le sentiment d'être hors du temps, cette île aux allures si abruptes avec ses habitants si xénophobes et rustres... Cette endroit tranchait par son calme apparent, un coin de paradis qui était qui plus synonyme de salut pour les naufragés. La manière d'arriver ici n'avait peut-être pas été la meilleure mais au mois l'insolite trio y était, la douleur endolorissait le chétif corps de l'inventeur mais malgré tout c'est un sourire qu'il affichait. La flèche qu'il n'avait pas pris le temps de retirer c'était briser, ce qui ne faisait qu'accentuer la cuisante souffrance de s'être fait pénétrer par ces charmantes amazones.

" Nous y sommes les gars, nous avons peu de temps... Dépêchons nous."

Un arbre vint se planter littéralement dans la paroi montagneuse juste derrière nos héros, drôle d’accueil, l'enfer avait cerbère et ce coin paisible semblable à un Éden avait hercule, lobotomisé visiblement, pour défendre l'entré aux visiteurs non désirés. Comme souvent, Nakano eut l'air paniqué, jetant de vifs regards dans toutes les directions mais, cette manœuvre était une manière pour lui de s'approprier le terrain. Le kung-fu des mécanos devait s'adapté à l'environnement du combattant, quelques arbres déracinés, la plupart intactes formaient une forêt très dense, facile il serait de semer cette brutasse si jamais la confrontation n'était pas désiré et pour ce qui était de fuir...Mince la pente qui leur avait servis d’ascenseur expresse se voyait maintenant emprunté par le groupe de farouches guerrières. Nakano était alors soumis à un dilemme, le protecteur semblait différent en tout point du petit moustachu, fort massif stupide et lent il était le parfait contraire de l'homme de science et par conséquent ce dernier rêvait de prouver que malgré sa petite taille sa seule volonté de vivre suffirait à surpasser cette brutasse dans ce qui faisait probablement sa fierté, de plus il ignorait tout de ses alliés, étaient-ils fort ? Le petit pervers-cochon-aviateur-nudiste semblait affectionner la gente féminine tandis que l'autre était un grand gaillard qui avait une fière allure mais, qu'en fut il de sa capacité à combattre ? Accepterait il de frapper des faibles femmes ? Le risque était trop grand, Nakano lui n'était pas sexiste pour un sou, à ses yeux les femmes méritaient autant de se prendre une dégelée par ses augustes petits poing que n'importe quel homme, vous savez égalité des sexes et tout le tralala.
"Bon, mec, je te laisse gérer le bestiaux je vais assurer notre fuite, si t'es pas a la hauteur attend que je finisse ces dames. Je serai pas long."


Nakano commença a se préparer à réceptionner les demoiselles qui auraient finies leur glissade commune dans quelques instants.
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Le petit était blessé. Oui, il avait souffert de notre avancé dans cette zone florale importante. Un signe de tête me suffit a demander à Porco de suivre l'ingénieur. Et puis après... Toujours en voulent me détacher, toujours pour cacher les choses...
Ulcky : T'as raison, faudrait pas que tu te blesse d’avantage. Occupe toi des dames. Perso j'aime pas la facilité !

Je ressentais les vibrations des coups de poings du géant. Enfin, de l'homme aux hormones sur-développés ! Ce qui était intriguant dans la première attaque, c'est la maîtrise du lancé. Pas un arbre n'avait été touché. Bon, maintenant, il fallait voir la résistance du bonhomme.
Pour ne pas faire celui qui était trop sur de lui, j'ai sortis mon arme de la poche. Mon petit bijou de métal, mon poing de métal ! Je me suis précipité vers lui. Mon avantage, c'était la vitesse. Mon talon d’Achille... Que nénies ! Rien ! Pfff !
Arrivé devant lui, j'ai rapidement pris appui pour sauté au niveau de son visage et lui porter un violent coup de poing. BIM ! La mâchoire inférieur commençait a faire du houla-oup avec sa tête. Et BIM !
Moi qui vole vers le sol à la suite d'un coup de boule bien placé...

Et merde, mes premières gouttes de sangs. Je pensais pouvoir en finir vite, mais le gus avait de la répartit. En me relevant, j'ai esquivé de justesse le coup de massue façon, j'attrape mon tronc pour te taper ! Et n'y voyez aucune allusion sexuelle dans l'affaire... Mais le temps que j'évite les autres coups, il était à ma porté... Ou plutôt moi à sa porté...
Je me suis donc fait prendre comme un vulgaire hochet et balancé violemment au sol à l'opposé de mes compères. Le sol était dure quand même... J'avais pris de bonnes blessures là. Quelques cottes avaient cédés...

Mais le plus grave était pour les autres, mon gros bonhomme courait vers eux pendant qu'ils s'occupaient des faibles et frêles jeunes femmes sans défenses... Je devais trouver une solution pour lui faire faire demi tour et l'attirer vers moi. Je ne savais pas trop quoi faire sur l'instant, mais une chose m'était revenu. J'avais toujours touché le sol et jamais un arbre, c'était la même chose pour lui, il avait pris soin de protéger les alentours... Prenant appuie sur une belle plante de plusieurs dizaines d'années, j'ai infligé un coup puissant sur le végétal.
On entendis des craquements comme un hurlement. L'arbre tenait bien entendu toujours debout, l’écosse avait volé et une fissure pris place. Cela a suffit pour faire faire demi tour à mon colosse Vert de rage fasse à mon manque de délicatesse. Le monstre hurlait des remarques sur mon manque de respect, sur son espace, patati et patata...

Ffffffiiiiit !

Et voilà le deuxième manche de mon ennemis qui avait filé vers moi. J'ai simplement détournée mon corps de l'énorme projectile par un claquement de main sur le coté du tronc. Mais là aussi j'avais morflé pour éviter la mort. Et comparé a lui, je commençais a me fatiguer. Solution ? Courir !

Nous avons donc fait le jeu du loup et comme par hasard, le loup c'était pas moi... J'ai pu jouer avec l’intelligence de mon agresseur on le faisait grincer des dents quant il se prenait des branches et surtout, lorsqu'il les cassaient. De temps a autres, j'arrivais à placé des coups bien placé de mon bras droit, qui était bien plus en état que l'autre, suite à ma prise de survie pour éviter une plante verte. Mais ça ressemblait à des coups de fouet pour lui. Des grimaces et des gémissements, mais pas bien plus...

J'ai essuyé une erreur qui m'a fait perdre l’équilibre... Oui bon, j'ai trébuché comme une merde. Mais en même temps, sur un terrain en friche et inconnu... allez faire des miracles vous ! Bref, je me suis lamentablement éclaté au sol, la fatigue faisait, je ne savais plus quelle position tenir, défense ? Attaque ? Il avait beau être con, il était costaud... J'ai commencé à vraiment flippé et à moins faire le malin quand j'ai vu son poing commencer à s'écraser sur moi. Je voyais l'action au ralentit et je sentais ma mort arriver. Autour de moi Nakano et Porco continuaient à se défendre et les feuilles dansaient lentements au vent...

Mais je me suis rendu compte que je ressentais vraiment cette effet de ralentissement. Ce n'était pas la peur, mais... autre chose. Je me suis dégagé tellement vite que ça paraissait, surnaturel... On pouvait encore voir mes déplacements, mais c'était comme suivre un train qui changeait de direction comme il le voulait. J'avais des gonflements qui étaient apparus sur mon corps, comme si mes veines avaient trop irriguées de sang. Mais ce n'était pas mes veines...
Lorsque que je me déplaçais, je sentais les feuilles me fouetter... C'était douloureux et pourtant ce n'était que des feuilles. l'herbe était douloureuse sur mes tibias, sec comme des coups de trique !. Je ressentais mieux les choses, mais tout était aussi clair que douloureux... Puis j'ai donnée l'un de mes derniers coups de poing... Le premier en plein visage. Pour une fois, cela l'avait fait chuté en arrière. Le second sur une de ses tempes, pour lui faire perdre l'équilibre définitivement. Il cria d'une voix sourde et tellement forte que j'ai eu mon dernier effort a faire pour faire taire ce cris... Mon ultime coup dans les bijoux de familles.

Crac !

J'ai eu mal les trois fois, très mal, car autant mes coups étaient plus puissants, autant les contre-coups étaient aussi rudes. Et puis mes autres blessures me faisaient atrocement souffrir depuis mon changement. Mais devant la vue de ses testicules broyés et de la voix de soprano qu'il avait acquise... Même les femmes qui continuaient a se battre, en on eu le coeur soulevé...

Ulcky : Bon j'attends que t'es terminé et ensuite on se casse... Prend ton temps surtout...
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Finalement arrivé en ce lieu qui garantissait la bonne continuité de l'aventure des ombres du chaos, ou du moins de son seul et unique navire l'inferno, Nakano pouvait prendre le temps de souffler, il y avait le bois, il y avait les charpentier, ne manquait plus alors que la piraterie et la vengeance! Ces rustres avaient assez joués avec les nerfs du jeune mécano et allait payer leurs insultes répétés au sens commun. Il avait en face de lui un jeune escadron de femmes qui semblaient rompus aux manoeuvres militaires, avec aisances ces demoiselles se positionnaient couvrant tous les angles de fuites. Cependant, pour nakano qui restait immobile le sourire figé, ce combat n'allait être qu'un prétexte pour se détendre un peu tout en cognant de jolies demoiselles, pour un amateur de femmes et de castagne comme Nakano tout les ingredients d'une bonne journée était réunis!

" Si tu te rend bout d'homme nous aurons la décence de t'offrir une exécution publique, dévoré par nos cochons qui seront servis dans la foulée dans un grand banquet commémorant la mort d'un immonde envahisseur comme le veut la coutume.


Ce genre de proposition que font les personnages secondaires à celui qui va leurs foutre une dégelée à toujours eut le don de foutre en rogne le moustachu

- Nan mais sérieusement, tu pense que je vais te dire oui ?! Allons y ! J'ai toujours rêver d'explorer les poche gastriques de porcs affamés pour ensuites passer par les colons d'autochtones ayant quinze siècles de retards sur le reste du monde! Laisse moi te dire, c'est une proposition, que si je devais passer par ton colon je préférerai y entrer que d'y sortir ma jolie !

- Tu penses vraiment que ta proposition est plus sensée que la mienne... Nan mais sérieusement quoi petit homme !"

Toutes passionnantes conversations ayant forcement une fin, Nakano fonça avec vitesse vers la meneuse de ce petit groupe d'amazones, cette dernière sortant une sorte de chaîne qui faisait office d'arme et sembla s'exclamer de se saisir de son agresseur, mais le véloce petit homme lui sautait déjà dessus! Avec peine elle tenta une prise de corps a corps pour se défaire du nain qui affichait un regard plus que pervers, il l'a plaqua au sol bloquant ses pieds et ses mains et fit rouler sa tête entre ses nibards tout en poussant un ricanement pervers, les guerrières qui se jetaient sur lui furent sans aucuns doutes quelques peu refroidies et firent un pas en arrières. La partie de plaisir était lancée, Nakano ne tarda pas a se lasser de son adversaire qui avait perdu tout élan de combativité et testa sur elle, bien qu'elle fut au sol, son nouveau joujou, un poing assisté capable de foutre une beigne avec accelleration vapeur ultra technique de la mort qui déchire. Elle perdit immédiatement connaissance suite au prodigieux coup de poing, l'arma broya le bras du nain déjà blessé superficiellement précédemment, mais ce n'était surement pas ça qui allait l'empecher de prendre l'ascendant sur ce groupe de femmes guerrières du plus faible de toutes les blues si ? Il se retourna donc sourire aux lèvres, n'affichant aucunes onces de peur à contrario de ses adversaires qui commençaient sans doute à regretter l’accueil qu'elles offraient aux visiteurs... Alors là je pourrais effectivement vous décrire des volées de marrons bien chaud que ces pauvres femmes se prirent ou les élans d'ingéniosités perverses que ce brave Nakano développait mais, dans une optique de rester dans un format tout publique nous garderons sous silence ses faits de forbans...

Se tournant finalement vers Ulcky qui lui aussi avait été pas mal occupé visiblement il lui adressa la parole
:

" Désolé parfois faut prendre son temps avec les femmes, faire preuve de patience, elles aiment ça tu sais ... M'enfin moi ce que j'en dis, j'ai été pas mal absorbé par tous ça, tu t'es occupé de la brutasse ? Si oui bravo! Tu ferais un bon copain de bagarre dans les bars ma foi. La suite c'est quoi on trouve l'endroit où il stock le bois on vandalise quekchose ? Ou on và à l'essentiel et on se casse d'ici, d'ordinaire je serai tenté de décamper rapido d'ici mais ces gaillards là m'ont pas mal agaçé, bon ils ont bien allumé la rombière qui me sert de chef et ça c'était aussi poilant qu'énervant si j'y réfléchis avec du recul, mais cette mentalité d’arrièreré à le don de m'agacer, je suis d'avis de les cramer, qu'ils comprennent qu'il faut pas acceuillir tous le monde avec le couteau au dent, allez quoi!"

* Remarque si j'crame leur village... Théoriquement ça leur donnera raison ? Qu'en est il de l'éthique ? Serais je aussi barbare que cette espèce de tribus sauvage ? Dans le doute je suis quand même pour cramer, les problèmes de morales seront pour toi Nakano du futur!*

" Tiens euh... Au passage, mes blessures commencent sérieusement à me faire souffrir. Ce serait cool si tu te chargeait de ramener du bois avec ton pote, ma main droite n'est pas disposé à porter des trucs lourds vois-tu... Enfin j'te r'vaudrais ça crois moi on se rejoint à bord, tarde pas trop ça risque de sentir le roussit par ici."

Nakano cogna deux trois fois sur son jet pack pour qu'il redémarre, s'envolant du cratère végétal et une fois à hauteur du village il constata que les villageois fréquentaient de nouveau les rues, quelle confiance outrageante ! Au préalable terrifiés, une fois qu'ils eurent appris que l'escadrons de gonzesses et la brutasses s'occupaient de l'affaire ils considéraient "l'invasion" comme contenue et le couvre feu terminé ? Quelle manque de jugeote affligeant ! Ainsi donc ils purent voir un nain moustachu avec une coupe afro sortir du cratère en volant pour leur apporter la mort... La panique s'empara rapidement des rues du village tandis que le pirate chantonnait en se posant... Plus tard alors qu'il arrivait près de la cote il regarda avec un oeil amusé la partie la plus éloignée du cratère qui commençait à flambée.
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Nakano parti, tel un hibou. Il était prêt à mettre le feu et dans le sens propre du terme. Porco n’avait rien fait pour l’aider dans sa bataille. A part peut-être profiter de la situation… Des femmes laissées à l’abandon… Nous devions récupérer le bois et rejoindre les pirates au bateau. J’étais dans un état moyen… Côte en vrac et bras avec… Mais mon mentor était présent. Aux alentours, du bois, oui, mais il nous aurait fallu un bois déjà coupé pour éviter que ce dernier travail pendant la traversé. En y repensant, notre brute castrée utilisait des armes qu’ils nous faudraient ! La recherche ne fut pas difficile… Mais nous avions un souci de taille. Transporter la marchandise. Porco seul ne pouvait rien faire.

Ah … Ah... Ouille… J’ai mal…

Hallucinant, mais réel ! Le mastodonte était sorti de son sommeil et avec sa nouvelle voix de fillette en pleure. Porco et moi nous nous sommes regardé avec un regard complice et sadique. Quel était le meilleur moyen d’amener un tronc d’arbre de cette taille sans se bouger trop ? Solution droit devant. Nous nous sommes donc approchés de lui en le menaçant. Mais nos tronches ou plutôt la mienne, à suffit à le rendre doux comme un agneau et docile par-dessus le marché. On lui expliqua rapidement son travail pour être enfin tranquille et nous voire partir de son île et de sa petite zone luxuriante. Sans bronché il s’exécuta, même si sa démarche laissait à désirer… Nous, chacun sur une épaule du grand bonhomme, on se faisait trimbaler. Au loin on entendait les cris et on voyait la fumé prendre. Lui aussi se faisait plaisir. On croisait des autochtones de temps à autre, mais le simple fait d’avoir maté leur meilleur atout suffisait à les faire fuir. On arriva enfin au bateau et on laissa la grande tringle se reposer en lui disant de partir quand nous, nous serions au large. Nakano n’avait pas encore fini son œuvre, mais il allait nous rejoindre. Maintenant, problème de découpage, tronçonnage, bref de taillage ! Nos petites épées ne servaient à rien pour un bloc pareil. C’est là que le vieux m’a étonné.

Porco : Pousse-toi gamin. Je ne t’ai pas encore tout enseigné et si tu es sage, je t’apprendrais peut-être un jour cette technique ancestrale de maitre charpentier. Avec la paume de ma main, je vais te faire les planches qu’il nous faut. Maintenant tait-toi, regarde et soit subjugué !

Il avait sa main tendu, comme pour faire une lame, seules les dernières phalanges étaient pliées. D’un geste rapide, il à tapé l’immense tronc de bois. Ce dernier était coupé comme un rien et d’une façon presque chirurgicale… Il continua l’opération autant de fois qu’il nous fallait de planche, et en un rien de temps… Nous avions notre porte de sortit ! La femme pirate, était sorti de sa cabine en râlant comme à son habitude, enfin depuis que nous, nous la connaissions. Le cochon s’empressa de courir après elle pour lui donner l’amour qu’elle ne voulait pas… Et de mon côté, on m’octroya un petit groupe de pirate pour m’aider dans ma tâche. Enfin… Je les ai réquisitionnés plutôt… Nous avons remplacé le bois touché et remplacé par le bon. Ensuite, les hommes se sont occupés à vider la cale de toute l’eau présente. Et tout doucement, le bateau reprise son équilibre.

J’ai pu enfin me reposé en attendant Nakano qui allait nous faire une drôle de demande. Je ne le savait pas encore, mais ma vie de pirate allait commencer, ou plutôt avait commencé au moment de notre rencontre. Je ne sais plus pourquoi j’avais dit oui… A cause de Porco et de son nouveau béguin ? Des liens étrange qui les unissait ou simplement par le fait que je me sentais bien ici, avec eux ? En tout cas, j’avais dit oui à la vie de pirate.
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Finalement l'épilogue de cette aventure arrivait plus vite que prévue... Horrible expédition qui finissait bien pour les pirates, finalement plus de peur que de mal! Et une bonne leçon pour ces gens inspirant un profond dégoût à notre mécano moustachu ! Le village s'activant au loin pour tenter d'arrêter l’incendie, Nakano empruntait, et ce sans même se retourner, le même sentier escarpé qu'à l'aller. Finalement, Aoi pouvait être fier de lui, il avait réussi à ne pas totalement ruiner le seul moyen de locomotion de l'équipage et avait trouver des mecs qui touchait du bois, littéralement. Il atteignit aussi rapidement la crique que ses petites jambes fatiguées pouvaient le lui permettre, croisant au passage le mastodonte gardien qui avait perdu de sa superbe virilité ! Ulcky et Porco était là, et c'était déjà mis à travailler sous l'oeil sévère de valentina visiblement bien remise la rombière! Porco semblait plus à l'aise en travaillant le bois qu'en combat, il remontait dans l'estime de Nakano celui là ! Ils s'activaient avec zèle, quitter cette île pourrie jusqu'au trognon était visiblement une motivation suffisante pour tout le monde. Observant leur aisance naturelle, Nakano affichait un sourire amical:

" Finalement, m'avez l'air d'artisans confirmés les gars. C'est une bonne chose que nous nous soyons trouvés. Je vais donner un coup de pouce et on repartira d'autant plus rapidement.

Nakano commençait à sentir la fatigue peser sur son organisme et ces blessures, bien que relativement superficielles, commençait à peiner le petit homme qu'il était, une fois n'étant pas coutume il se plia absolument à toutes les instructions que pouvaient lui donner Ulcy et Porco, une fois la tache finie, sur le bateau remis à flot, il pointa du doigt le pavillon pirate qui flottait au dessus de leur tête.

-Les gars, je vais honorer ma promesse et vous emmener avec nous, gardez en tête que vous serez considérés comme des forbans de la pire espèce, sillonnant les mers, brûlant et pillant les villages, bon vous avez pas beaucoup d'autres choix si vous voulez déguerpir d'ici, mais si vous n'êtes pas fait pour la vie de pirate, fut-ce elle temporaire ou non, feriez bien de commencer à cogiter pour trouver un plan les gars! J'vais pas tergiverser plus longtemps, je suis un des premiers pirate de cet équipage, j'vous aime bien et on a besoin de gars talentueux comme vous, donc si ça vous chante considérez vous comme membre de notre équipage les mecs."

Ce n'était pas forcement une demande des plus formelle, ni une demande qui fasse vraiment pirate mais Nakano ne s'en souciait pas. C'était pour l'avenir des ombres du chaos, pour ce qui est des us et coutumes, Nakano s'en contrebalancerait toute sa vie et laissait ça a qui voulait bien... Le bateau put enfin reprendre la route avec des nouveaux compagnons et Nakano, éreintés, s'affala dans sa cabine.
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