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Ce n'est pas que je me méfie, c'est juste que je n'ai aucune confiance en vous.

Lilou était partie chercher de l’aide auprès des montagnards de Drum, nous laissant seuls moi et An sur le Léviathan en compagnie du reste de l'équipage, avec comme mission de surveiller le navire pour elle, et d’en superviser l’inspection. Me confier autant de tâches importantes, à moi, elle me faisait pas mal confiance….. Kéhé, il y a encore quelques semaines, ça ne m’aurait pas fait autant plaisir. Et bien sur, je m’inquiétais pour elle, toute seule avec Bee, fragile (enfin, en partie), obligée d’affronter ce supplice écologique qu’est le désert glacé…. J’espérais qu’elle ait autant de volonté de vivre que moi, et que Dame Fortune veillait sur elle, car une chose était sure : la rouquine ne garderait pas de bons souvenirs de ce voyage. Pourvu que ce Robb ne lui ait pas filé de fausses information. Mais, je ne sais pas, quelque chose dans sa façon de parler me fait penser qu'il ne disait que la vérité.... Drôle de bonhomme, vraiment. M'enfin, maintenant que la mécano se trouvait loin, face à ses propres problèmes, je pouvais me concentrer sur les miens. Car, avant d’aller jouer au gardien ou au démineur sur le Léviathan, il y avait quelque chose que je devais vérifier. Parce que la rouquine n’était pas la seule à avoir des coups de fil importants à passer.


M’enfermant à double tour dans ma chambre après avoir vérifié que personne ne traînait dans les parages, j’allai m'installer au fond de la pièce, mon second escargophone blanc relié à un den den officiel du gouvernement mondial, le genre de chose à ne pas laisser traîner. Anko, elle, pour plus de sûreté, était resté faire le guet près de la porte d’entrée. Je composai rapidement un numéro, et au bout de quelques sonneries d’attentes, une voix féminine et très enjouée se fit entendre à l’autre bout du fil.


-Bonjouuuur, service d’achat en ligne « Aularn Ak ! », je suis Particia, pour vous servir. Désirez vous commander l’un de nos pot de fleur sans fond, ou alors un…

-Vous reste-t-il des Gants de Maestro ? Avec ça j’aurais la Paix !


La voix devint tout de suite beaucoup moins joyeuse, et bien plus sérieuse.

-Agent Hisachi, cela faisait un moment…

-En effet Edith , en effet.

- Pourquoi me contactez-vous ? Avez-vous besoin d’un renseignement quelconque ?

-La déduction est pourtant simple à faire, étant donné que vous être mon informatrice attitré. Donc, logiquement, si je vous appelle, c’est soit pour une info, soit pour vous inviter à sortir ce soir.

-Et vu votre localisation actuelle, je suppose que ce n’est pas la seconde option la bonne…

-En effet, vous êtes douée ! Justement, parlons-en de ma localisation. Vous vous rappelez de l'endroit où l'on m’a envoyé, non ?

-Chez les Rhino Storm, oui.

-En effet, chez les Rhino Storm, pour vérifier que l’ingénieur chargée de réparer plusieurs fonctions de ce petit bijou auquel tient tant le gouvernement qu'est le Léviathan ne s’amuse pas à tout saboter, et fasse bien son boulot. Et bah sachez que les Rhino Storm ont accostés à Drum il y a quelques heures. Drum, Drum, vous savez, l’île qui actuellement est envahit de révolutionnaire. Celle où un vice-amiral c’est fait couper en deux. L’endroit où un dénommé Krabb, qui est légèrement un futur Capitaine Corsaire, campe depuis quelques temps, pour des raisons obscures et particulièrement douteuses selon moi. Et en parlant de Capitaine Corsaire, il paraîtrait qu’Envy traîne dans les parages lui aussi. Ah, et l’homme crabe semble attirer une nuée de pirate dans sa direction.

-Oui, je suis au courant de tout ça…

-Hé bien justement : moi, je ne l’étais pas. Je l’ai découvert au cours des quatre dernières heures. Et ma question est : pourquoi personne ne m’a prévenu ?! Parce que sans vouloir être grossier, c’est le genre d’information qui pourrait être très utile, limite vitale vue la situation.

-Calmez vous agent, je comptais vous prévenir très rapidement, mais sachez qu'au QG nous n’avons été informé de tout cela que très récemment, ce qui fait que nous n’avons pas pu vous mettre au courant dans l'immédiat.

-…. Attendez, vous n’étiez pas au courant ? Je veux dire, pour Krabb, je veux bien, Envy, mouais, pourquoi pas, les Shishibukai n'en font qu'à leur tête après tout, mais pour l’armée de révolutionnaire qui traîne sur l’île ? Et qui semble très bien préparée et organisée ? C’est passé entre les mailles du filet géant du gouvernement ? On n’avait aucun informateur, aucun représentant, aucun indic sur l’île pour nous tenir informé à propos de la situation ?!

-Hé bien…

-Oui ?

-Ces informations ne concernent pas notre Cipher Pol normalement, mais je dois admettre que moi aussi j’ai trouvé tout cela très bizarre. Alors, je peux juste vous dire une chose : des agents du CP6 étaient infiltrés parmi les membres d’un groupe révolutionnaire faisant partie de cette grande armée actuellement présente sur Drum. Cette dernière est arrivée quelques temps avant le Vice-Amiral Alleyn, et nos agents se chargeaient de nous tenir informé de des mouvements de la révolution vers l’île, et de ce que je sais, jusqu’à leur dernier rapport ils ont affirmé n’avoir rien constaté d’anormal ou de réellement dangereux.

-Vraiment ? Étrange ça… Particulièrement étrange….

-Je pense aussi. Mais je ne peux rien de plus pour vous sur le sujet. Si vous souhaitez obtenir plus d'information sur le sujet, je vous conseil de faire un tour du coté des dernières personnes ayant été en contact avec les infiltrés. Selon les archives, le CP6 aurait transmit un rapport au Vice-Amiral Alleyn un peu avant qu’il n’accoste sur l’île.

-Je vois… Vu l'état actuel du Vice-Amiral, il ne pourra pas raconter grand chose, mais....je pense déjà savoir où chercher…. Ah, au fait, je ne sais pas si ça va vous servir, mais ça concerne de façon indirecte ma mission : on a un assassin bossant pour la révolution à bord. Et il a tenter de saboter le Léviathan d’une façon… explosive. Si vous voulez mon avis, je ne suis pas la seule taupe présente sur ce navire....

-Vraiment? Alors je transmettrais cette information au chef, il vous contactera surement pour en parler. Bien, est-ce tout agent Hisachi?

-Je n'ai rien d'autre à dire pour le moment, miss Orial. Mais quelque chose me dis qu'il va bientôt y avoir du neuf.


*CLIC*



Une fois la conversation terminé, je commençai à réfléchir à un moyen d'approcher sans éveiller les soupçons la personne qui avait le plus de chance de posséder les informations que je cherchais: la commodore Ayame. Mais la tâche risquait d'être ardue. Après tout, officiellement je n'étais qu'un simple caporal, et avec un grade pareil je n'étais pas sensé être au courant de l'existence du CP6, en plus de ne pas pouvoir ordonner à ce qu'on me remette les fameux rapports. Il y avait bien l'option "Utiliser quelqu'un", mais j'en savais trop peu sur les seuls haut gradés encore présent à bord pour me permettre d'agir de cette façon. Je pouvais tenter de fouiller le bureau du vice-amiral ou de la commodore à la recherche des rapports, mais c'était assez risqué, surtout avec la présence d'un possible traître à bord (faire des choses comme "fouiller les bureaux des gens" donne souvent l'impression aux autres qu'on est un infiltré, je sais pas pourquoi), mais..... mais ça semblait être la meilleur solution pour le moment. Surveiller la position de quelqu'un n'était pas bien compliqué..... Il me suffirait de quelques minutes pour lire et noter toutes les informations importantes sur ces rapports et mon problème serait réglé....Kréééé kréééééé krééééé, pourquoi me compliquer la vie à monter des plans absurdes et tirés par les cheveux, quand je peux simplement me contenter de jouer la carte de la discrétion.... et de l'effraction!

Récupérant quelques affaires, et cachant mes den den dans la meilleur planque du monde, j'allai vérifier que l'inspection du navire se passait sans problème, avant de tourner les talons et de me diriger vers la salle de réunion du navire. Une fois arrivé devant la porte, je vérifiai que personne ne pouvait me voir avant de coller mon oreilles contre le bois, essayant de capter le moindre petit son pouvant provenir de l'intérieur de la pièce. Et pour mon plus grand plaisir, je réussi à distinguer les voix du commodore Ayame et du capitaine Fenyang. Ils étaient donc tous les deux présents à l'intérieur, parfait! Usant de ma souplesse et de mon agilité naturelle, je grimpai au plafond du couloir avant d'ouvrir une petite grille menant à un conduit d'aération. Anko se glissa le long de mon torse pour y pénétrer, un den den mushi dans la bouche.


-Et rappelle toi An, dès que tu la vois sortir de la salle, tu me préviens, okay?

-Ssssssss!

Je rebouchai le conduit et pris la direction de la chambre d'Ayame, en faisant bien attention à ne pas me faire remarquer (ce qui, contrairement à ce que l'on croit en général, n'était pas particulièrement compliqué à faire, malgré mon physique plutôt voyant). Au bout de plusieurs minutes de marches, je finis par me retrouver face à la porte d'accès au jardin secret de la militaire.... Et au étranges dessous de cette histoire.
  • https://www.onepiece-requiem.net/t5533-le-petit-guide-de-survie-d
  • https://www.onepiece-requiem.net/t5368-enzo-p-hisachi-le-fin-du-faim
Je devais agir le plus vite possible: Ayame pouvait terminer sa réunion avec Salem n'importe quand, et autres personnes chargées de l'inspection du navire allaient finir par se poser des questions vu mes absences. Sortant un crochet de l'une de mes poches (un vêtement plein de poches, le rêve pour quelqu'un comme moi), je commençai à jouer avec le mécanisme de la serrure jusqu’à ce qu'elle s'ouvre. Décidément, avoir appris l'art du crochetage était vraiment un sacré atout dans mon métier. Je me glissai à l'intérieur de la pièce, refermant la porte sans faire un bruit. Les appartements de la commodore était vraiment très jolis. Propre, bien rangé, on sentait que la jeune femme était du genre organisée. Mais je n'avais point le temps d'admirer la déco. Cherchant activement dans la pièce quelque chose qui pourrait ressembler à un placard à dossier, ou à un bureau, je fini par poser les yeux sur un coin de la pièce ou se trouvait table, chaise, lampe, et armoire à portée. Le coin parfait pour s'installer et remplir de la paperasse. Je décidai de commencer par fouiller le meuble, ouvrant ses volets, et essayant de pousser les vêtements contenues à l'intérieur sans tout déranger, avant de passer aux tiroirs se trouvant en dessous. Mais tout ce qu'ils contenaient, c'était des uniformes et diverses autres vêtements. Et très franchement, je n'aurais jamais imaginer la commodore avoir des goûts vestimentaires aussi.... particuliers. Ne jamais juger un livre à sa couverture....

Je concentrai alors mon attention sur le bureau qui était dressé non loin de la. Mon regard s'attarda sur une photo représentant Ayame en compagnie du Vice-Amiral Alleyn.... Les deux semblaient bien s'entendre..... Hum, triste histoire pour ce duo de militaires, mais je n'avais pas le temps de m'embêter avec de la compassion. Soulevant les dossiers, retournant les tiroirs, toujours en m'arrangeant pour tout remettre en place juste après, je continuais de faire chou blanc, jusqu'à remarquer un double fond situé en dessous du meuble. Après avoir jouer de mon doigter pour l'ouvrir, je commençai à en examiner le contenu: des dossier, classés top secrets, et parmi eux, une chemise marquée "Situation Drum, top secret!". Oui! C'était probablement ce pourquoi je me trouvais la. Mais d'un coup, j'entendis des bruits de pas s'approcher de la porte d'entrée. Mon coeur s'arrêta presque à cause de la surprise. Je ralentis petit à petit ma respiration avant de refermer le double fond, le dossier toujours en main, et je commençai à me redresser le plus silencieusement possible et à chercher un endroit ou le cacher. Je ne devais surtout pas, mais alors SURTOUT PAS me faire chopper ici! Avec un possible traître à bord, tout le monde serait persuadé que ça serait moi. Je sais comment fonctionnent les gens pataugeant dans la paranoïa et la méfiance, c'était ma vision quotidienne des choses, et je savais bien ce qui m'attendait si jamais on m'attrapait. Mais alors que j'avais déjà commencé à me glisser dans l'un des placard, le bruit de pas s'éloigna. Fausse alerte de toute évidence, ouf.

Et cette dernière m'avait complètement détournée de mon objectif: le dossier! Ouvrant la chemise, je me mis à lire son contenu. Des rapports, des rapports sur un groupe révolutionnaire et l'île de Drum, comme prévu. Et au fur et a mesure que j'avançais dans ma lecture, je constatais de plus de plus en plus la différence d'appréciation entre ce qui était écrit et les fait rapportés par Ayame et les quelques soldats encore capable de parler. Rien ne correspondait! La quantité de révolutionnaire donnée semblait beaucoup trop petite, rien à voir avec l'armée qui s'était installé sur l'île. Les objectifs décris me semblaient bizarres.... ça parlait de tuer le roi de Drum, et de kidnapper les toubib 20. Je veux bien que les connaissances de ces hommes dans le domaine médical valaient de l'or, mais de la à envoyer toute une armée et à renverser la personne au pouvoir.... C'était comme essayer de tuer une mouche avec un bateau de guerre: ça fait du bruit, des dégâts matériels, ça casse tout autour, et on est même pas sur de toucher la mouche avec tout ce bordel... Et les zones tombées entre les mains des révolutionnaires.... Le port et le palais seulement? Vraiment? Selon la carte de Lilou, ils avaient oubliés beaucoup de localisation les lascars. Qui sait, peut être qu'ils n'avaient pas prévu que toute l'île soit conquise..... Louche, très louche tout ça, encore plus qu'une personne souffrant de strabisme. Avec autant de truc pas net écrit dans ce rapport, pas étonnant que

A part ça, il y avait surtout quelques photos, peut être celle des agents du CP6 infiltrés parmi les révo de Drum? Une autre attira mon attention, celle d'un homme grand, baraqué et portant un casque à corne. "Hyoga "Staline" Hijiro", un géant bossant pour la révolution apparemment.... Connu pour ne jamais laisser aucune victime, charmant bonhomme. Il y avait d'autre photos, d'autres descriptions, et le plus vite possible j'essayais de noter un maximum de nom, de retenir un maximum de visage.... Cela pourrait m'être très utile par la suite. Enfin, mes yeux arrivèrent tout en bas de la dernière page. Et la, surprise: pas de signature. Habituellement, pour les rapports du CP, nous devons laisser un identifiant spécial, un numéro, quelque chose du genre, afin de confirmer l'origine de l'information... Mais la rien, absolument rien... Pas de signature, pas de signe distinctif, quedalle.... Peut être que le CP6 fonctionnait différemment? Peut être qu'aucun agent de ce Cipher Pol n'avait écrit ce dossier en fait? Et si c'était ça?! Ça expliquerait toutes ces incohérences..... Ou alors, c'est ce que le CP6 essaie de nous faire croire. Mais dans ce cas pourquoi? Peut être qu........ Tiens?

Trop occuper à m'adonner à la création de théories du complot, je n'avais pas remarquer cette légère marque sur un coin de la feuille, comme si elle était corné. Utilisant mes doigts pour la déplier, j'eu la surprise d'y trouver un petit papier. Un drôle de petit papier où un numéro était inscrit, un numéro d'escargophone plus précisément. Et une mention particulière: "Dispo 14h/17h, valable 2 semaines". Ma curiosité prit le dessus, et je me mis à noter le numéro et les horaires et dates données. Une fois cela fait, j'entendis une petite sonnerie provenant de sous mon chapeau. Retirant le den den que j'avais caché en dessous, je décrochai pour entendre une série de sifflement paniqués. C'était Anko! Ça voulait dire qu'Ayame avait terminée! Et ça voulait aussi dire que je devais me barrer d'ici le plus vite possible. Rangeant sans plus tarder le rapport dans son double fond de tiroir, je fonçai vers la sortie en faisant bien attention de n'avoir rien laissé derrière moi, de n'avoir rien laissé de dérangé, de déplacé ou autre. Une fois dehors, je refermai la porte avant de rapidement utiliser le crochet pour activer le verrou de l'extérieur. Tournant les talons, je pressai d'abord le pas pour m'éloigner de la porte avant de ralentir le rythme, petit à petit.... c'est bon, j'étais suffisamment loin de la chambre pour ne plus paraître suspect.

Et, continuant d'avancer, je fini par croiser la commodore, qui visiblement se dirigeait vers ses quartiers. De toute évidence, j'avais eu chaud! Ouf! Quand elle arriva à mon niveau, par politesse je la salua, et je cherchai à dire quelque chose qui pourrait être prit comme une bonne nouvelle.



-Ah, commodore, je voulais vous annoncer que la fouille se déroule sans problème, nous aurons bientôt finit de trouver et de désamorcer toutes les bombes!

Elle se contenta d'acquiescer, d'un ton qui se voulait surement amical. Elle me faisait de la peine, cette femme. La déprime et le remord la rongeait, la dépression essayerait surement de la dévorer, la tristesse viendrait se charger des restes..... Continuant ma route vers le couloir où se trouvait Anko, je m'arrêtai un moment, sans me retourner, et je me contentai de lâcher:

-Vous savez.... Vous ne devriez pas trop vous en vouloir pour cette histoire. Ce n'est pas de votre faute ce qui s'est passé... Il y a surement un fautif, mais je ne pense pas que ça soit vous... C'est quasiment impossible de rester insensible à tout ça, mais si vous m'autorisez à vous donner un conseil: ne restez pas seule, ne vous refermez pas, parlez en autour de vous......

Bon, c'est pas tout ça mais j'ai du boulot moi! Salutation, commodore!



Et, toujours sans me retourner, je continuai ma route vers mon ange à écaille... Je devenais peut être trop sensible? Non, c'est plus parce que je savais parfaitement ce que c'était que sombrer dans la déprime et la dépression que je n'avais pas pu m'empêcher de l'ouvrir.... Au milieu de cet enfer qui me rappelait tant mon île natale, c'était juste.... un conseil pour survivre que je m'étais permis de dispenser.....


Mais tout cela mis à part, moi qui avait agit en espérant trouver quelques réponses, au final, le mystère s'était épaissit.... Et quelque chose me disait que lorsque l'heure du coup de fil sonnerait, toute cette histoire n'allait devenir qu'encore plus mystérieuse.
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