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On tombe jamais loin du pommier.

Une mer agitée, imper oublié, me voilà bien trempé. Serrant, fièrement, les cordes permettant de diriger la voile de la chaloupe dans mes mains, j'affrontai la colère des dieux aquatiques sans sourciller. Vas y qu'une vague nous fait partir à gauche, vas y qu'sa sœur te renvoie à droite te faisant ravaler un litre de flotte à chaque tangage. Mais... Je cèderai pas. Le seigneur des pirates ne doit pas flancher face aux Blues, je fais qu'un avec elle ! J'dis pas ça parce que j'suis gaugé jusqu'à la moelle hein, et que l'eau et mes os ont fusionnés, mais parce que j'le sais ! Enfin j'crois...
Pomme en bouche, le sac les contenant à l'abri sous un banc, je m'éclatai comme un fou à tenir mon vaisseau de guerre (je vous emmerde) sur les rails du manège tempête. Je sais qu'on peut y arriver ! Ma guerrière de chaloupe arrivera à bon port, elle m'a pas lâchée au premier voyage pourquoi le ferait elle maintenant ?
Dans l'tumulte des vagues j'aperçois une île, la victoire, j'aperçois une vague fixe aussi...


" Une vague fixe ?! What the fuck ! "

Pas moyen de réduire la vitesse du rafiot, on s'dirige droit dessus en ballotant de tout les côtés. La vague devient de plus en plus grosse et nous pauvre malheureux, on y va à la one again of bistoufly ! Magad, impact dans 1... 2...

" YOUHOUUUUUUUUUUUUUUU BWAHAHAHAHAHAHAAAAAAAAAAAAAAH "

On volait littéralement ! J'me tenais au mat, flottant comme un drapeau, me marrant comme un marteau. Si si, j'ai déjà vu des marteaux rigoler. Je tente un regard en arrière et c'est là que j'l'ai vu. Une baleine noire d'la taille d'une putain de maison !! Elle dormait bêtement la tête à la surface et venait de me servir de tremplin. J'avais jamais vu un bestiaux pareil !

" Wohoo !!Géniaaaaaaaal ! "

Des étoiles dans les yeux puis autour d'la tête. Trop fasciné par l'animal marin, j'en oubliai l'essentiel, quand on décolle: on atterrit toujours !! L'problème c'est que y'a plus d'eau sous la coque, du vert à perte de vue. Oh putain !

SCRATCH !!!

Mazette ! J'ouvre les yeux, j'suis emmêlé dans un tas d'planche. Bon bah, ma chaloupe ne fera pas le troisième voyage. Que son âme repose en paix au panthéon d'honneur du Valabà des guerriers chaloupes ! Repoussant les planches qui recouvraient mon corps, j'me tire du cadavre de ma camarade tombée au combat. Je reste un moment a fixer les débris quand quelque chose d'effroyable traversa mon esprit.


" LES POMMES !! "

Tel un chien de terrier, j'saute dans l'amas de bout de bois et y cherche le sac que m'avait offert le marchand de pomme. Mes yeux s'illuminent, il est là, intact, je l'extirpe du tas et m'empresse de faire un bilan des dégâts.

" Hé, hé, hé, on a eu chaud ! Me reste encore plein de pommes ! Bon, où on est ? "

Beau regarder partout, y'a que du vert, du vert et du vert. D'temps en temps y'a du marron, parce que les arbres n'ont pas encore le tronc vert, et d'autres couleurs vives dépendants d'la sortes de fleurs qui traine dans le coin. En somme, c'était une île verdoyante, la campagne... Encore. La ville, ça sera pas pour tout de suite...

" Le meilleur moyen de se repérer sur une île c'est d'aller tout droit au centre ! Ouai, tout choussss !! "

C'est donc sans perdre une seconde, ni ma bonhumeur et mon entrain, que je m'en vais à l'aventure sur cette île inconnue. Peut être que y'a des supers mutants de la mort qui crachent du poison par les yeux et qui te donnent la sclérose en plaque si ils te mordent !! Quoi ?! Mon imagination est trop grande ?! Vous êtes étroits d'esprit !
J'entame mon périple, chantant une chanson (sans dec) que ma sœur avait inventée quand j'étais plus petit
.





Dernière édition par Adell "Golden" Dandy le Lun 29 Juil 2013 - 22:58, édité 1 fois
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Sirup, East Blue. 13h20

Sirup ! Quel magnifique et merveilleux petit village. Aucune police, Aucun malfrat la plupart des manoirs sont vides. Ah oui ! Non parce que ici les maisons ça n’existe pas, évidemment en trouve, mais elles sont tellement grande que je préfère nommer cela des manoirs. Les maisons ici appartiennent aux domestiques. Parce que oui à Sirup il y a une forte concentration de gens riches, à tel point que les manoirs sont la plupart du temps des résidences secondaires, et donc des gardes, des serviteurs en sommes des agents d’entretiens sont chargés d’entretenir les énormes bâtisses. Ils vivent dans des maisons car ils sont extrêmement bien payée. Comment je sais tout cela ?
Oh et bien voilà un petit moment que je suis arrivée sur cette île maintenant, et par conséquent j’ai eu le temps d’observé les habitudes de certaines personnes et plus particulièrement des gens en générale. Comment je suis arrivé sur cette île ? Ma foi ceci est une longue histoire que je vous narrerez probablement une prochaine fois, mais ce que je peux vous dire c’est que je n’ais plus de véhicule pour pouvoir me déplacer et c’est en partie pour cela que je suis resté si longtemps sur cette île.

Main gauche pour soutenir ma tête en mal d’apesanteur, tempe contre le carreau d’une vitre, regard perdue dans le paysage assombrie par les nuages à écouter le clapotis de l’eau frapper le carreau. En somme une grosse tempête s’abattait sur ma gueule. Heureusement que j’étais à l’abrie dans cette taverne. Il ne fallait plus qu’attendre que le temps passer et que le soleil daigne se présenter à nouveau.

Comme à son habitude j’étais presque seul dans ce foutue Bar. Il faut dire qu’à Sirup il n’y pas vraiment de population fixe et que même ceux qui y vivent n’ont pas vraiment besoin de venir faire la tournée des Bars. Cependant il y avait quand même quelques voyageurs.
Mon Milkshake à la Vanille sur ma table offert par la maison, mettait du temps à se terminer.

Après quelques heures mon Milkshake était enfin fini et le soleil revenu. Super je pouvais enfin sortir dehors. Le sol était encore mouillé et une fine pellicule de pluie tombé encore, mais ça sentait la fin. Le sourire revient, m’étirant bras ouvert mon regarde croisa celui du soleil, mais le regarde du soleil était plus puissant je fermis alors les yeux. Puis en les rouvrant quelques secondes plus tard au loin dans, les plaines de Sirup je pouvais apercevoir de la fumée. Une fumée très noire. Ma première pensée fut celle d’un accident quelconque.  Intrigué je me mis en direction de cette dit fumée, d’un pas lent. Arrivé à la frontière du village une petite forêt s’ouvrait à moi, et derrière elle il y avait probablement les plaines et derrière ces plaines se trouvait la fumée, je devais aller voir. Mais d’un coup une pensée me traversa l’esprit.


    « Comme disait Vauvenargues, « Il faut entretenir la vigueur du corps, pour conserver celle de l’esprit. »»





En somme il faut entretenir le corps ainsi que son esprit de se fait je me mis à accélérer le pas de plus en plus pour enfin m’élancer pour finir en courant. Et en quelque instant j’avais atteint une vitesse convenable. D’un bond j’atterrie sur une branche à fin de parcourir la forêt de branches en branches. Enfin la fin de la forêt qui se prononcé j’arrivais déjà à terme. Maintenant il ne me restait plus cas parcourir la plaine.

Mais qui sait sur quoi je pourrais tomber, peut-être des vagabonds, des malfrats, des voyageurs comme moi ou pire des pirates. Je ne savais pas en tout cas j’y allais, vous dire à quel point j’étais intrigué par cette fumée.
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Des fois j’me dis qu’il faudrait que je m’organise, que je m’en tienne à un plan et itinéraire fixe, que j’aurai peut-être dû prendre une carte et puis j’me rappelle comment tout ça c’est chiant… Du coup j’y vais à la one again of bistoufly et qui va pas voir, verra rien ! C’est un dicton que j’ai inventé sur le chemin. Faut savoir être philosophique dans la vie ! Enfin bon, à part une averse, pour le moment ma technique ne paye pas, mais je sens que ça vient ! Mon instinct de Seigneur de pirate qui m’le dit ! Si, si ! Il ne m’a encore jamais trompé.

Alors tu vois, j’suis toujours là, je marche, encore, toujours, comme depuis deux heures… en plus moi, marcher, ça m’donne super faim. Alors tu vois, j’mange, encore, toujours, comme depuis deux heures… du coup il me reste plus que sept pommes ! Ouai mec ! Je m’en suis envoyer une centaine et alors ?! Les médecins disent que c’est bon pour la santé. Et puis qu’est ce que ça peut te faire, t’es pas ma mère, lâches moi la grappe !
De toute façon, ce n’est pas ça qui va m’faire perdre le moral. J’suis un mec jovial et épanoui ! Même si je doute que dans le contexte ça veuille dire quelque chose. Bref ! J’commence à me dire que y’a pas une âme qui vive sur cette île quand j’entends des cris, ou des hurlements, enfin c’était un des deux, qui proviennent d’un peu plus loin derrières les collines. Fichtre ça sent le cochon grillé !


« Beuurk ! C’est pas une viande que j’connais, et j’veux pas y goûter ! »

Même si Amel, ma grande sœur, s’entête à m’expliquer qu’on ne peut pas dire qu’on aime pas si on n’a pas goûter… Bah elle n’est pas là, alors c’est pas un problème. C’est comme si on avait mit une bestiole au feu avec sa fourrure. Tu vois l’délire ? Du coup moi, j’vais voir, parce que j’suis curieux et que toute façon j’trouve rien de mieux à faire. J’marche plus, j’cours, sans jamais lâcher mon sac de pomme. J’le passe par-dessus mon épaule et le laisse pendre dans mon dos, au moins j’me prendrais pas les pieds dedans, c’est merdique.

J’suis plus qu’à quelques mètres du sommet d’la dernière colline, j’mange une pomme, et j’ai la ferme intention de m’informer sur la situation ! J’me dresse sur la bosse verdoyante et pose ma main au dessus des yeux, putain de soleil, j’distingue une sorte de ferme. Enfin pas une comme on a à Fushia, celle là elle a des flammes qui sortent de ses fenêtres.


« Wohooo ! Trop claaaaaasse !! »

Je sais ce que vous vous dites…
Détalant la pente tel le gosse courant après sa baballe, j’trace en direction de la baraque. J’ai oublié d’porter mon sac comme il faut. J’tombe. J’roule. Sur une vingtaine de mètre. J’me prends deux trois pommes dans les flans de temps à autre, puis j’finis par m’arrêter. Le ventre à plat à deux pas de la clôture. Gruiiii qui m’disait ! Gruiii ! Mais je ne parle pas le cochon alors je me relève et m’excuse au près de l’animal.


« Gomene ! Je comprends pas, je dois y aller ! Ciao ! »

J’laisse là mon nouvel ami et vois un groupe d’individu, y’en a le même nombre que mes doigts, sept si je compte bien.

« Oi ! »

Ils se retournent tous vers moi, genre d’où il sort lui, et vu la tête qu'ils tirent et la chaleur qui s’dégage de la baraque… C’est un vrai feu !

« Hey, gamin, restes pas là ! La ferme est en flamme, c’est dangereux !

- Laisses les adultes faire leur travail, y’a encore du monde à l’intérieur !

- Mais qu’est-ce qui s’est passé ?

- Encore un cadeau du destin !

- Vous faites cramer des maisons pour faire des cadeaux ?! Vous êtes de grands malades !

-

-

- ...

-

-

- On n’a pas le temps pour ses conneries ! Vite faut trouver quelque chose pour éteindre le feu et nous permettre de rentrer chercher ta femme et ta gosse Jeff.

- On est a deux kilomètres du village ! On n’a rien sous la main ! Hey tu vas où petit ? »


J’vais leur montrer moi à ces soit disant adultes ! J’défonce la porte d’entrée d’un royal golden kick, j’me ramasse une poutrelle sur le coin d’la couanne, j’me retrouve enseveli sous du charbon d’bois et d’la cendre.

« TCHIII TCHI TCHI TCHIII ! C’EST CHAUUUUD !! »

Tel un mentos dans une bouteille de coca, j’décolle de mon amas de débris fumant pour atterrir dans une bassine où se trouvait le dernier fond d’eau du bâtiment, chanceux ? A fond !

Le cul dans l’récipient, j’observe les alentours et j’entends appeler. Surement les deux innocentes femmes en détresse à sauver ! J’hurle un « j’arrive » et part en direction des voix, le truc c’est que y’a du feu et d’la fumée ! Sans blague ! L’escalier que j’dois emprunter en est entouré d’ailleurs, pas sûr que les marches tiennent le coup… T’façon c’est trop tard je suis déjà en train de le monter et y’a visiblement que deux marches qu’on cassées ! Enfin, ce que j’en dis. Pis c’est trop tard pour faire marche arrière, l’escalier est tombé sous mes pas.


« Fiiiou ! Ils connaissent pas la clim’ ? »

Je m’appuie sur la rambarde, je sais c’est débile, et dans le sursaut de surprise dû au contact peau/braise mon sac embrasse une flamme et s’embrase. J’le secoue sèchement pour l’éteindre mais il se consume trop vite alors j’lâche… MES POMMES TOMBENT !! Me sentant soudainement pousser des talents de jongleur, j’en rattrape une, deux, trois, quatre…. Ciiiinq… Chich ! Entre les dents chéchéché ! Gnié ?

« Pou’koi le pla’on il est pas en haut ? »

J’réalise que pour attraper la sixième pomme, j’me suis penché en arrière, le dos à l’équerre avec mon bassin… Loi de la physique oblige, je tombe à la renverse le crâne en premier dans un mur. Celui-ci éclate sous le choc, fragilisé par l’incendie, et me voilà allongé au sol des oiseaux plein les yeux… Des oiseaux ? J’secoue la tête au bout de quelques secondes d’absence puis remarque la présence de personne. Une mère et sa fille recroquevillées dans un coin de la chambre, qui devait être celle de l’enfant, me fixaient avec surprise ne sachant si j’étais une bonne ou mauvaise nouvelle.

« ! Bien ? Chui là pour vous chauver ! Une pomme ? »

Dis-je en tendant un fruit de ma main gauche et en en mangeant un de l’autre, tout en me relevant tranquillement.

« Dieu merci !

- On est sauvée maman !

- Allez, allez, on file !

- Kyaaaaa ! »


Bordel, voilà pas que le sol se dérobe sous les filles ! J’plonge littéralement pour attraper la mère, j’saisie que sa main. L’autre ceinture sa gamine de toutes les forces d’une mère pendant que, couché sur le ventre et le torse à moitié dans l’vide, je cherchais un moyen d’échappatoire. Le seul qui se présente, une fenêtre un peu cassée. Elle l’a comprit la madame, elle sait que c’est notre seul salut. Fermant les yeux, hochant la tête, la femme me donne son aval. Sans perdre de temps, j’agite mon bras pour en faire un balancier, à gauuuche, à droiiiite, à gauuche, à droiiite, vas y mémé !

Le fracas du verre se fit entendre, espérons à l’extérieur aussi, se massant en boule pour protéger sa fille, la mère encaissa le coup. Je l’espérais aussi car maintenant, j’étais le seul à l’intérieur. Mais là encore un bruit de casse, non ! D'éboulement !! Tout s’écroule sans me demander mon avis, sans me laisser le temps de sortir.


Dernière édition par Adell "Golden" Dandy le Lun 29 Juil 2013 - 22:57, édité 3 fois
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En sortant de la forêt, le soleil tapé tellement fort sur ma petite caboche. Mes yeux mirent un instant avant de s’adapter à la luminosité. Il était vrai que dans la forêt caché par les arbres la lumière ne venait pas éblouir mes petits n’oeils. La différence de température se faisait également ressentir. Il était rare de voir un tel changement. En si peu de temps nous sommes passés d’une pluie limite orageuse, à un lourd soleil. Ah ! La nature ! Cette si magnifique et belle Nature que je chéris tant. Elle me protégeait de la chaleur elle au moins.

D’un coup j’entendis une voix d’homme, levant la tête lentement je vis non pas un homme mes trois. D’un air vindicatif ils se mirent en face de moi. Le chauve qui était placé entre celui avec la casquette à droite et l’autre avec les lunettes à gauche. D’un voix qui se voulait menaçante il me dit.

    « Arrête-toi là. Gamin. Tu sais que pour passer sur ce chemin il faut payer une taxe ? »
    « Oh ? Vraiment je suis désolé, mais je n’ai rien vu de tel. Aucune pancartes aucune barrières aucun écriteaux. »
    « Normal. Gamin. C’est nous qui fixons la somme que tu vas devoir nous… BOURFFF»



Ne le laissant pas finir je lui mis un coup de boule, ou plutôt un coup de cornes dans les parties génitales. En effet grâce à ma petite taille ma tête arrivait pile devant, la chose était alors prévisible, de plus je ne voulais pas perdre de temps avec de simple broutille comme celle-ci j’avais une fumé à aller voir. L’homme se mit alors à tomber par terre se tenant les parties ne pouvant plus se relever. Ne laissant pas le temps aux deux autres énergumènes je l’ais asséné d’une joute physique. En commençant par une balayette à 360° au niveau du sol pour l’homme à lunette, le faisant tomber, dans mon élan je lui ais donné le coup de grâce. Mon talon directement logé dans le ventre. L’homme ne s’en releva pas. Quand au dernier totalement abasourdit par ce qu’il venait de voir fonça directement sur moi, sans même réfléchir. Je n’eu pas de mal à lui décocher un uppercut le mettant à terre par la même occasion.  Cette futilitée faite je pouvais enfin avancer. C’est alors qu’avant de partir je leur dit ces mots.

    « Il n’y a pas besoin de force dans un coup pour faire chuter un Homme. Tant que le coup est stratégiquement bien placé. »


Me hâtant j’arrivais enfin en haut de la dernière colline. Et là je pouvais facilement apercevoir l’origine des flammes noires que je voyais depuis le bourg. Et comme je le pensais ces flammes présagait un mauvais évènement. Devant moi une ferme qui était en train d’être consumé par ces fameuses flammes. La ferme en soi n’était pas très grande, elle avait un étage et une toiture parsemé ici et là par les flammes. Il y avait une clôture délimitant le jardin ainsi que plusieurs parcelles l’un pour les chevaux, l’autres pour les vaches, et le dernier pour les cochons. Au bout du terrain il y avait une grange, surement pour entreposer les animaux le soir.

Venant ainsi à la rencontre de la maison en feu il y avait devant elle, leur propriétaire. Un fermier, sa femme et son enfant, une petite fille d’au moins quatre an. La famille se retourna vers moi et d’un air blasé dit en cœur.

    « Encore un gamin, mais sérieusement c’est quoi ça !? »


    « Quoi j’ai rien fait ! »
    Affirmais-je de ma voix suave.


C’est alors que la femme m’expliqua ce qu’il c’était passer c'est à dire, le fait qu'un jeune ado un peu plus haut que moi leur avait porté secours, mais qu’il était surement encore bloqué dedans. D’un air calme et à la fois autoritaire je lui demandais de m’expliquer brièvement ce qu’il c’était passé. Avant que je me mette à écouter la femme j’ordonnais sur un ton de sympthique au fermier d’aller chercher une corde, cela pourrait fortement me servir. La femme m’expliqua que lors de la pseudo tempête leur fille avait eu peur et que, elle était en haut à l’étage avec le bébé. Les plombs de la maison avait sautés alors ils utilisèrent des lampes à fuel. Et la gamine était tombée dans les escaliers avec la lampe. Ce qui mit le feu à la maison. Le père quand à lui se trouvait déjà dehors. Quand la mère est venu voir ce qu’il c’était passer le feu s’était déjà propagé et elle n’avait eu le temps que de protéger sa petite fille. Et c’est là qu’un jeune homme aux cheveux rouge vint les sauver. Cependant il était restait coincé à l’intérieurs.
En somme je devais aller sauvé « Cheveux de Feu » et un bébé. La femme tout étonnée me demanda « Mais pourquoi vous voulez savoir ça qu’allez-vous faire ? »  Je lui dis que j’allais tout faire pour essayer de sauver son bébé et cet homme.
Elle me confirma que le bébé était situé au bout  du couloir au premier étage et que l’homme en question était au niveau de l’escalier. Il fallait faire vite un bruit de fracas se fit entendre et si nous n’agissons pas rapidement tout le monde allait y passer.

La corde arriva enfin je le mis en bandoulière autour de mon coup pour ne pas quelle me gêne. Je me mis en direction de la maison, après avoir subtilisé la fourche de l’homme, un peu par la force sans lui demander son reste, mais il fallait faire vite, pas le temps pour les complaisances. Je fis le tour de la maison, la femme m’avait dit qu’il y avait une fenêtre qui donnait sur le couloir en haut où se trouvait l’homme aux cheveux rouge. Par chance il y avait une gouttière, coinçant la fourche dans mon dos avec l’aide de la corde, je me mis à grimper par la gouttière arrivé à hauteur de la fenêtre un simple coup de fourche et fenètre il n’y avait plus. Me mettant sur le rebord de la fenêtre je pouvais apercevoir l’homme étendus contre le sol. Avec l’avant du bassin dans le vide. Le sol était comlètement craquelé s’il se relevait c’était fini.

    « Mec ! Je vais te sortir de là surtout ne bouge pas, car ce sur quoi tu reposes et extrêmement friable. Tu bouges tu meurs ! »


D’un coup un énorme bruit de craquement se fit entendre. Le plafond commençait à céder. La poutre porteuse situer juste au dessus de l’homme aux cheveux rouge commençait à se fendre en deux. Le temps presse. Dépliant ma corde je lui jetais une extrémité. En lui disant de la tenir de ses mains. Une fois fait je fis un nœud avec cette corde à la deuxième extrémité au niveau de la fourche pour l’attacher, avant de la planter dans le sol, devant la gouttière. une fois que tout cela fut fait je lui dis qu’il pouvait utiliser la force de ses bras pour s’extirper de là et atteindre le rebord de la fenêtre. Une fois cela accomplie je lui dis de descendre et que moi pendant ce temps la j’avais quelques choses à faire et donc que l’on se retrouverait en bas devant la maison.

Après de longues minutes à attendre devant la maison, la famille ainsi que l’homme aux cheveux rouges commençait à s’impatienter. Mais c’est lorsque que l’espoir n’est plus de mise que, bras renfermé sur moi-même, tête baissé je vins traverser une fenêtre placé sur le toi de la maison atterrissant alors sur la toiture pour ainsi glisser dessus, comme si je glissais sur un bout de sac poubelle dans une pante remplis de neige, pour ainsi dégringoler de là-haut, tombant par terre sur le flanc, tout en continuant à glisser de la sorte jusqu’aux pieds des personnes qui attendaient. Mon regarde se plongea dans les yeux de la femme, ouvrant alors mes bras le bébé apparue. En effet je l’avais caché entre mes bras contre mon ventre pour évité qu’il respire trop de fumé, et qu’il se fasse toucher le moins possible par les flammes.
La femme prit immédiatement l’enfant dans ses bras puis nous remercia.

Pour ma part mon corps ne me répondait plus, et la seule choses qu’il voulait pour le moment c’était beaucoup de repos. Restant sur le dos je fermis les yeux et savoura cette petite, mais néanmoins douce victoire. Après quelques minutes je me redressais pour ainsi me retrouver en position assise au niveau du sol. Mon corps ne me le disait pas encore, mais je le savais j’allais avoir bon nombre de bleus sur le corps, d’ailleurs j’avais déjà énormément d’égratignures, de coupures et de brulures. Il allait me falloir du repos ça c’est sûr et certain.

M’adressant au jeune homme au cheveux rouge je lui dis de ma voix suave, et sur un air de plaisanterie.

    « Désolé, mais là-haut je n’ais pas eu le temps de me présenter. Je suis Kid Ohama »



Reprenant alors mon souffle j’attendais une réponse quelconque de sa part.[/color]
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J'pensais que j'allais manger du bois cendré toute ma foutue fin d'vie. J'restais gentiment allongé, la moitié du corps dans le vide, à réfléchir comment m'sortir de là et avec mes cinq dernières pommes. L'truc c'est que j'ai beau chercher, à part en démontant encore plus la baraque, pas moyen d'sortir sans tout s'prendre sur la gueule. Gnié ? C'était pas là avant ça ?! Un serpent ? Bwahah que j'suis con, c'est qu'une corde ! Mon salut ! D'abord les pommes ! Chaque chose en son temps.
J'tends les bras le plus possible pour attraper les fruits tombés à l'étage en dessous mais c'est mort, si seulement j'avais le Gomu Gomu no mi de Luffy ! C'est qui lui ? Qu'est-ce qui veut, j'suis occupé là putain !


" M'sortir de là ? Mourir ? Friable ? Comme d'la friture de sardine ? Mais d'quoi tu parles gamin !! "

Trop tard, il était repartit, m'expliquant qu'il avait encore un truc urgent à faire. Bah, pas grave. Comme si rien ne c'était passé, qu'aucune corde m'avait été tendue, j'recommence ma danse des épaules pour attraper ma nourriture si onctueuse. J'voulais demander à ce qu'on me descende plus bas mais pas de réponse, ensuite j'me suis rappelé que j'étais seul. Ô désespoir !
Idée ! La corde me fait de l'oeil, comme si elle essayait de me dire quelque chose.


" Quoi ?! lui balançais-je. Qu'est-ce que tu veux faire ?! Mais oui mais c'est bien sûr ! "

Je l'attrape, au bout de la dixième fois, et je me laisse glisser dans l'trou au sol... Elle est longue cette corde, vachement longue, trop...

PAF

Le nez enfoncé dans l'plancher, j'ressemble à un étoile de meeeeer~ bwahahah, je me suis éclaté comme il faut par terre, tellement bien que j'me marre comme un pain frais. Toujours le rire dans l'âme, j'visualise en relevant quelque peu la tête une pomme trônant fièrement devant mon pif. Une autre se situait à l’extrémité de ma main droite, une troisième vers celle de gauche et les deux dernières à mes pieds. Yes !! Elles sont toutes là et en vie ! Alors j'me redresse, plein d'entrain et d'bonne humeur. Comment c'est possible alors que tout crame autour de moi ? Bah, Amel elle dirait que c'est parce que j'suis trop con, papi que c'est grâce à ma concentration et mamie que c'est juste de l'inconscience totale. Enfin bon, j'époussette mes vêtements puis ramasse les fruits pour les foutres dans mes poches. La corde pend toujours ? C'est cool ! Ah bah non, plus maintenant... J'reste fixé sans rien faire devant, j'la regarde flamber. J'trouve ça beau. Quelle classe et qu'elle splendeur qu'une flamme....


" AAAAAAAAAAH PUTAIN COMMENT J'SORS MAINTENANT !!! "

Il me fallait une solution au plus vite, le bâtiment c'était déjà effondré à certain endroit et ce n'était qu'une question de minute avant que tout parte en cendre. Réfléchis Adell, réfléchis, tout l'monde y arrive, pourquoi pas toi ! Ah ?! Y'a quelque chose dans mes poches, sans doute un objet magique qui me permettra de sortir d'ici via un tunnel dans l'espace temps, ou en me téléportant dehors ! En hâte, j'enfouis ma paluche dans l'une d'elle, je tâte, ça, on dirait bien que j'le tiens ! Mais bien sûr !!


" J'vais manger une pomme ! "

J'croque à pleine dent, quelle sensation agréable, quelle explosion de saveur, des papilles qui en frémissent ! Ouai, y'a pas à dire, dans les situations catastrophiques, faut toujours avoir une pomme sur soit, tu fais l'point, tu te recentres sur tes objectifs. Mais bon, moi, j'ai jamais vraiment été très centré, alors j'mange juste sans penser à quoi que se soit d'autre qu'au délicieux fruit divin.

" J'me sens déjà presque mieux ! J'en ai même oublié mes soucis. "

J'la termine, puis je jette le trognon dans les flammes.


" DES FLAMMES !!! Oh putain ! "

Bon restons calme, il me restait encore quatre pommes, j'pouvais survivre encore un moment dans cette fournaise mais quand j'en aurais plus ? Qu'adviendra t-il de moi ? Je crèverais ici comme un moins que rien ! J'suis l'roi des pirates, j'peux pas mourir ici !
Que vois-je ? C'est quoi ce truc qui brûle pas là ? J'm'approche pour mieux regarder, on dirait de la laine de verre, t'sais ce qu'on utilise comme isolant thermique et tout et tout. J'sais ça parce que papi il a construit sa baraque avec, allez pas croire que j'suis cultivé hein ! Ne juger pas trop vite. D'ailleurs, mon cerveau analyse l'information pas très rapidement non plus, le détail "incombustible" ne venant pas tout de suite faire tilt, là haut dans mon crâne.


" MAIS OUAIII J'SUIS UN GÉNIE ! "

Je choppe et tire sur la laine histoire de la décrocher et de l'utiliser. C'est cool, ça vient tout seul. J'me retrouve avec un bon rectangle de là de hauteur à de là de largeur. Bwahahah j'm'enroule dedans en ricanant comme un diable. Voilà la crêpe à la pomme d'Adell. Emmitouflé dans ma nouvelle armure j'hurle:

" GOLDEN INGNIFUUUUGE !! "

Et je trace vers la sortie la plus proche, le mur. Les deux pieds en avant, tendu comme un cierge, j'défonce les planches qui me bloquent la route et m'voilà enfin revenu à l'extérieur !

" Mais que... Et le deuxième gamin ?! "

J'tourne la tête, enfin j'essaye parce que c'est compliqué de ce mouvoir dans un rouleau d'laine, et je vois le fermier, sa femme, sa fille et ses potes qui m'regardaient avec leur grands yeux d'adultes qui savent pas comment réagir.

" Il est partit faire de la friture de sardine.

- Qwuah ?!

- Ouai c'est débile mais il m'a pas laissé le temps de lui dire.

- On ne reverra plus jamais notre enfant han han han ouiiiiiiin

- Ah bah toute façon avec un fils aussi stupide fallait pas s'attendre à un miracle. "


Je sais pas à quoi rimait ce gros silence, à mon avis, on était pas sur la même longueur d'onde. En même temps, ils font cramer leur maison en guise de cadeau, pas trop envie d'leur ressembler. Bon, ils m'aident quand même à sortir de mon rouleau de printemps et me remercient à foison pour avoir sauver la femme et la fille. On essayait tant bien que mal de calmer la mère, persuadée grâce à moi que son fils avait fini carbonisé. C'est après qu'ils ont décidés de m'expliquer... C'est devenu tout de suite plus limpide !

" Mais pourquoi vous m'en avez pas parlé plus tôt, j'serai allé le chercher moi, au lieu d'jouer à la dinette au milieu des flammes !

- On a pas eu le temps m'ssieur au cheveux rouze. Le sol a cassé pis tu nous z'a s'ter par la fenêtre !

- Bwahahah, c'est vrai que sur le coup, j'ai eu un éclair de génie ! "

Oh ! Pourquoi qu'ils me regardent plus ! C'est mal élevé de tourner le dos au gens ! Gnié ? Ah mais c'est l'mec des sardines ! Et avec le bébé ! Géééééééééénial !

***

Les fermiers nous remercièrent encore et encore puis finirent par s'en aller. Leur pote qu'était présent avait proposé de les hébergés en attendant. Un mec sympa. Quand à nous bah... On restait planté là. J'mangeais une pomme. Et c'est là que l'gnome des sardines m'adressa la parole.

" Pomme à toi Kiddy !! Moi c'est Dandy, Adell Dandy, dis Golden ! Mais tu peux m'appeler Adell Golden Dandy si ça te chante ! Ah et oublie pas, je suis le roi des pirates, n'hésites pas à faire mes éloges partout où tu iras ! Bwahahahahah ! "


J'sors de ma poche une pomme et la lui tend.

" Tiens, tu deviendras plus balèze ! "

Et je fondais ça sur absolument rien du tout ! Du coup, j'me relève et m'étire un long moment. Mon cerveau avait déjà tout oublié et était prêt pour de nouvelles aventures.
J'commence à marcher vers l'horizon, genre le mec ultra mystérieux que tu croises à un moment décisif dans ta vie et... pis j'me rappelle que j'suis paumé et que j'ai pas demander mon chemin aux fermiers....


" Hey, Kiddy, s'tu veux, on fait la route ensemble et tu m'montres où qu'il est le village. J'en ai plein la compote de marcher et puis marcher pour marcher sans s'arrêter de marcher dans une prairie interminable où y'a rien d'autre à faire que marcher. "

Sans attendre sa réponse, j'reprennais mon chemin vers je sais pas où, en plus, fallait que j'me rachète des pommes.
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L’énergumène aux cheveux rouge n’eu pas vraiment la réaction que j’attendais, enfin je dis « pas vraiment » car il l’a eu, mais qu’à moitié. En effet j’espérais qu’il allait plus rire, ou alors se présenter plus en détaille, mais non rien de tout cela. Il me répondit uniquement par « pomme à toi Kiddy ». Déjà ça commençait mal, le mec il me connaît absolument pas et il se permet de me tutoyer, pire ! Il me donne directement un surnom. « Kiddy » Même si ses méthodes me paraisse peu conventionnelle j’aimais assez, puis lui au moins il n’est pas comme les trois autres de tout à l’heure devant la forêt il n’est pas agressif. De tout façon s’il l’aurait été je l’aurais recalé vite fait le gamin.
 
Le jeune homme aux yeux bleus et à la chemise sans manche, avec pour seul ornement une cravate toute rouge comme ses cheveux. D’ailleurs en y repensant quel accoutrement. Mais qui suis-je pour juger, et puis après tout, les gens on le droit de s’habiller comme il le souhaite. J’espère seulement que l’hiver il met au moins des manches longues parce que là, ça va, mais  dans un climat beaucoup plus froid… Bref ceci ne me regarde pas. Donc je disais que cet homme se présenta en tant que «  Adell Golden Dandy » Quelle drôle de prénom, beaucoup de « d ». Il se disait roi des pirates. Je m’en foutais pas mal, vraiment ça me faisait une belle jambe… D’ailleurs je dois avouer que ma jambes était belle, pas de poiles, le muscle saillant, normal vu mon agilité.
Donc comme je vous le disais le mec il se disait « Roi des pirates » et il voulait que je colporte la nouvelle. Cependant il fini ça phrase par un rire. Devais-je rire avec lui ? En tout cas je trouvais pas ça drôle moi. Cependant sur la note de l’arrogance je lui sortie de ma voix suave.
 

    « Gold… Si tu es le « Roi des Pirates », saches que moi je suis le plus jeune Sophiste de ce monde. L’on me surnomme même  « Kid le Sage. »

 
 
Ironie ? Peut-être bien. Et oui je me permettais de lui donner un surnom, il le faisait pourquoi ne pas le faire ? Quelque minutes après il me sortie une pomme de sa poche qu’il me tendit. Il me dit que cela me rendrait plus fort que je ne le suis. Une fois en main et après l’avoir essuyé grâce à ma manche et surtout après avoir enlevé la petite queue, je la gobais d’un coup, sans recracher les pépins. Il est vrai que je devenais plus fort je ne sentais plus tellement les blessures que j’avais. Peut-être qu’il disait la vérité. Non cela ne pouvait pas être possible, sa pomme ne pouvait pas avoir de pouvoir aussi grand. Bah.. peut m’importe.. en tout cas elle était bonne sa pomme.
Une fois debout Adell me fit comprendre qu’il voulait gagner le bourg de Sirup, et qu’il en avait marre de marcher. Seulement le man la il marchait à l’opposé. Dans ma tête un long silence se mit en place avec comme écho un mot, celui de : Baka.  Je lui fis signe que le village se trouvait de l’autre coté. Articulant alors de ma voix suave.
 

    « Je viens du bourg si tu veux je peux t’y amener, mais c’est absolument pas dans la direction où tu te diriges. Le centre de Sirup se trouve par là-bas.  Pendant un dizaine de km il faudra marcher pour enfin tomber sur une petite forêt. Et bien Sirup se trouve juste derrière. »

 
Arrivant à l’abord de la forêt je revis les trois hommes qui m’avaient attaqué lors de mon premier passage. Prit de peur l’un deux rétorqua
 

    «  Re..Re..Regardez ! C’est le môme de T’a-l’heure ! »

 
 
Les deux hommes, se cachèrent derrière le chauve. Ainsi devant moi s’offrait une bande de trouble-fête très traumatisé, un rien suffisait pour leur faire peur. Ceci était ma chance. Prenant un air sérieux
 
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    « FUYEZ PAUVRE FOU ! Tout à l’heure j’étais gentil, mais là je n’ais plus le cœur à rire. »

M’arrêtant pour voir leurs réaction. Ne bougeant toujours je pas je me mis alors à lever les mains au ciel puis venant les joindre à l’aide d’un mudra je me mis à dire le nom de ma technique à voix haute.
 

    « Ninpō ! Ringo Ringo no jutsu ! Technique suprême de… »

    C’est alors, que d’un coup sans prévenir les trois roublards prirent leurs jambes à leurs cous. Ainsi je pouvais terminer ma phrase sans retenu. « … de la pomme » .  Après un petit laps de temps restant toujours dans la même position avec mes mains formant un mudra, je fis sortie des pépins de ma bouge que je me mis à cracher devant moi. Et oui ces pépins était ce de la pomme que j’avais engloutie d’un trait. C’est alors que je dis à mon compagnon.

 

    « Tu sais des fois, les mots peuvent être un leurre extrêmement dangereux surtout dans la bouge des plus malins. »

 
 
Ainsi nous reprîmes chemins pour enfin atterrir dans le bourg de Sirup. Il se faisait déjà tard et au vue de mes blessures je voulais qu’une seule choses me reposer. Mais quand était-il de mon compère?
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Wooooaaah !! C'était génial, il existait une technique suprême de la pomme ! Il fallait que j'essaye ! Du coup, j'prend l'avant dernier fruit qui m'restait et l'enfile dans la bouche, j'place mes bras en forme de "m" au dessus de ma tête et...

" Niiinpoo....

- Mais qu'est-ce que tu fous ? "

Je tourne tranquillement le visage et vois un Kiddy surpris, étonné, voir désespéré, il me fixait de ses grands yeux d'enfant, se demandant surement ce qui allait pas chez moi.

" Bah, ch'fait la technique de la pomme ! "

Le garçon se frappa le front d'une main. Kid m'expliqua alors l'idée, donc c'était pas une vraie technique, juste un leurre ?! Pffwaah J'suis déçu à max ! Il m'expliqua aussi des trucs "tragédique" surement un rapport avec la tragédie, comme quoi utiliser de bon mot dans les bons moments pouvait nous sortir de bien des faux pas. Moi j'm'en branlais ! J'suis pas un mec porté sur la tragédie, si on m'comprend pas, j'imprime à coup d'pomme !

Le temps passait, ça faisait un moment qu'on marchait, il commençait à faire nuit. Nous trainions trop. Bon j'avoue, c'est en partie de ma faute mais pas que ! C'est aussi celle du berger et de ses moutons. Quelle idée de mettre ça sur ma route... Du coup après plus d'une heure à jouer à saute mouton, nous avions repris la route sévèrement en retard sur notre planning.


" Tu savais que ces trucs tout moche c'était aussi des moutons mais rasés ? T'imagines les pauvres ! "

Ah ? Ça, c'est mon ventre qui crie famine, normal, j'ai rien mangé depuis notre départ de la ferme, surtout qu'il m'reste qu'une pomme, mais c'est pas grave, on trouvera bien un lapin à fumer sur la route.

En fait, on a croisé un espèce de cochon sauvage avec des cornes qui lui sortait d'la bouche, un "Patrochère" qui m'dit Kiddy. Pis du coup, on a reperdu une heure voir deux. Ouai c'est aussi d'ma faute. J'voulais savoir le goût qu'il avait pour être si peu chère, du coup j'l'ai poursuivit pendant un bon moment. J'ai dû l'attirer avec mon dernier fruit pendant que j'me perchais sur une branche au dessus. J'LUI AI ÉCLATÉ SA TÊTE ! Les deux pieds joints dans l'museau bwahah. C'était ça, ou il bouffait ma pomme. L'honneur et sauf, on a d'la viande et l'dessert. Enfin j'ai le dessert, je partage pas ma dernière pomme.

Après avoir soulevé un autre problème, décidément ce Kidd voit des problèmes partout, on a décidé de manger la bestiole une fois arrivé à Sirup car la nuit tombait et que... On avait rien pour faire un feu. J'rêve du jour où on inventera la bouffe qui cuit instantanément après avoir appuyé sur un bouton. Ouai, ça serait la classe !
On a reprit notre route du coup, je tirais le porc par une de ses défenses, sans montrer de signe de fatigue hors mit la faim.


" Hey Kito ! C'est pas Sirup là, enfin ?! "

Le gamin confirma d'un geste de la tête, un sourire de soulagement s'affichant sur son visage.

" Je t'avais dis que je t’amènerais à bon port ! J'suis imbattable en orientation ! "

Encore une mission accomplie pour le roi des pirates.
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Deux jours plus tard




Voilà maintenant deux jours que je me tenais en compagnie de mon nouvelle amis Adell dit Golden. Nous étions à Sirup d’ailleurs nous y somme toujours. En effet aucun moyen de partir d’ici, ma chaloupe repose maintenant en paix au fond de l’océan et il en est de même pour Adell. Nous deviens impérativement avancer et partir de cette île.
Le lapse de deux journée mon suffit pour que mes blessures se guérisses. Bien sûr il n’y avait rien de grave que du superflue, voilà ce qui explique pourquoi, en seulement deux jours de repos je pouvais alors être en pleine forme. Cependant, même si cela fait deux jours que nous cohabitons Adell et moi-même, je ne savais pas grande chose sur lui, à part le fait qu’il se prétend Roi des pirates.

Une journée toute en beauté et pour cause. Le soleil est à son rendez-vous avec juste ce qu’il faut de vent pour venir nous rafraichir, de plus le bourg de Sirup est magnifique avec ses routes pavés impeccablement propre. Chose compréhensible vu le peux de monde qu’il y a dans cette ville. Nous étions là Adell et moi. En train de marcher dans ces rues, en direction de la grande place pour trouver de quoi manger. Même si l’on avait très peu de moyen j’avais bien quelque Berries en poches, au pire le vol, si cela est pour la bonne cause. Bref tout en marchant je demandais à Golden d’où il venait. Parlant alors de ma voix suave.

    « Adell. Cela fait deux jours que nous, nous côtoyons et je me rends compte que je ne sais rien sur toi. Cela te dérange si non faisions plus amples connaissances ? D’où viens-tu ? »


J’attendais sa réponse avec impatience. Je ne savais pas ce qu’il allait se passer. Il fallait dire que pour le moment il n’y avait rien entre lui et moi il n’était juste qu’une simple rencontre. Et étant dans la même galère je reste avec lui. Car je prétends à penser qu’il faut mieux galérer à deux que seul. Comme il m’était sympas j’eu décidé de rester avec lui. Peut-être qu’une amitié futur naitra ou peut-être que nos chemins se séparerons une fois que nous aurions quitté cette île. Mais en tout cas une chose est sûr c’est qu’il faut que l’on quitte cette île.

    « Au fait « Golden Boy. » As-tu une idée de comment quitter cette île, car je dois t’avouer que mon moyen de transport c’est détruit et que donc je n’ais pas moyen de quitter cette île et… fin… j’espère que toi tu aurais un moyen de transport. »


Je ne savais pas s’il avait un bateau, ou une chaloupe, enfin de quoi nous transporter en dehors de cette île. S’il me répondait que oui alors cela serrait vraiment une joie pour nous. Mais si la réponse serait négative il serra alors plus difficile de quitter cette île, car cela signifie que nous devrons en trouver un. A moins que nous voyageons clandestinement. Mais au fait moi ! Pourquoi je me vois encore avec lui plutard je ne le connais pas ce type. D’ailleurs je pense que c’est le moment de faire connaissance. Entamant une nouvelle fois la conversation pendant que nous marchons vers le centre du bourg. Je lui dis.

    « Tu sais j’ai un rêve, mon rêve est qu’un jour je sois considéré comme le plus grand des Sophistes de ce monde. Pour être honnête avec toi si je te dis tout cela c’est que je ne sais pas si je dois te faire confiance et te suivre partout où tu iras sachant que je ne connais pas tes buts dans la vie. Il est vrai que je ne connais pas grande chose de toi. Quelle est la prochaine île où tu veux aller ? Qu’est ce que tu recherches ? »


Voilà j’avais dit ce que j’avais à dire. Maintenant je n’attendais plus que la réponse de mon ami. Espérant qu’il réponde avec sincérité. Et en vue de ses réponses je pourrais alors peut-être prendre une décision si je dois le considéré comme un ami ou juste une connaissance.
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J'ai faim. Un truc de fouuu. Kiddy il me parle, j'hoche la tête, j'fais genre mais, j'pige rien. Un jour que j'ai pas mangé, j'suis en pleine croissance, me faut de la viande et pis, et pis des pommes merde !! J'suis grincheux quand j'mange pas, excusez moi. J'ai bien essayé de rechasser un cochon sauvage comme l'autre fois mais ce coup ci, y'a un mec qu'est sortit avec une fourche. Kiddy disait qu'un animal dans une clôture, s'pas un animal sauvage tu vois, du coup tu peux pas le fumer pis l'bouffer après parce qu'il appartient à un type et blah, et blah, et blah... En vrai j'suis vachement contrarié, voir même frustré, tout les animaux sont pas sauvage, on peut en griller aucun...
On erre dans les rues à la recherche de quoi faire quelque chose. Pis j'me dis que merde, j'suis le roi des pirates alors j'vais pas me laisser emmerder par la faim ! J'puise dans mes réserves d'énergies, gloire à la pomme, et j'me ressaisis. Le ptiot il a envie d'parler. Je l'écoute et j'lui déclare le sourire au lèvre:

" Oi, oi, no problemo Kiddy. Tu veux savoir quoi ?! D'où j'viens, j'vais te le dire. J'suis d'Fushia, le bled natal de Monkey D.Luffy ! Et ouai mec ! "

J'vois que ces yeux s'mettent à briller, il est fan de Mugi lui aussi ? Héhé ! En fait, il me raconte qu'il est lui aussi d'Fushia. C'est pas trop classe ça ? J'rencontre un mec, comme ça, au milieu de nul part, pis bah il est du même bled que moi. Y'avait peu de chance, j'comprend rien au statistique alors j'les utiliserai pas, mais voilà c'est pour dire quoi.
Du coup, le gamin pas fou, il me repose une question. Bon, celle ci était plus technique, elle parlait de l'avenir, de l'organisation d'un plan conçu pour un but précis, celle de se casser d'ici.

" T'as raison, on a pas d'bateau et on a pas d'plan mais ! Mais ! J'en ai un d'plan ! On va prendre un bateau ! "

J'voyais dans son regard qu'il me croyait fou et que mes phrases n'avaient sans doute ni queue ni tête pour lui. Du coup je répète version mieux.

" A ton avis, où y'a des bateaux ? Au port ! Donc où qu'on doit aller pour avoir un bateau ? Au port ! Une fois au port, on improvise. Genre braquage de navire version Golden ! "

Et bah mes gars, si ça c'était pas un vrai plan d'capitaine ! J'suis fier de moi. Pis c'est dans ce moment de glorieuse gloire que le petit Kid il me déballe ses rêves. Il a de l'ambition le bonhomme. J'aime bien ça moi. J'sais pas ce que c'est un Sophiste mais ça a l'air de claquer sa mère ! Pis "le plus grand... du monde" ça fait toujours classe. J'l'aime bien ce gosse. T'sais quoi ? Même que j'vais l'aider !

" T'es un veinard Kiddy, j'compte justement aller au bout du monde. Accompagnes moi et je réaliserai ton rêve. Il n'y a qu'avec le Roi des pirates qu'on peut devenir le plus grand ! Bwahahahahah, suis moi dans ma quête d'aventure jusqu'au One Piece, trouvons le, devenons des légendes. Écrivons l'histoire de demain ! Comme Gol D.Roger, Barbe Blanche, Shanks, Ace et Luffy l'ont fait pour nous. Donnons aux enfants futurs de quoi rêver comme nous l'avons fait ! "

Mais mon ventre me décrédibilisa dans un énorme gargouillis, réclamant son dû, voulant avoir la panse blindée.

" Et faut qu'on trouve à manger aussi !

- Et bien ça tombe bien ! "


J'me retourne le plus rapidement possible, donc assez lentement, pour observer d'où provenait cette voix familière. Deux hommes avaient assistés à la conversation.

" Si on peut inviter l'roi des pirates et son ami à manger pour le r'mercier d'avoir sauver la vie d'ma femme et d'mes gosses, c'est pas de refus.

- Oooii Oyaji-san !! Sérieux ?!

- Plutôt deux fois qu'une, vous nous avez sortit d'un bien beau merdier. Sans vous, plus d'famille !

- Ouai, s'pour ça qu'en attendant que l'Paul il récupère une ferme, j'vous invite chez moi. Pas tout les jours qu'on croise des étrangers si serviable. Et pirate en plus !

- Roi des pirates en fait.

- Bwahah t'as de l'humour gamin ! Allez venez ! "

J'fais un clin d'oeil à Kiddy, voilà, on aurait de quoi se remplir le ventre ce soir. On volera le bateau demain, t'façon, on va pas le faire le ventre vide non mais ! Allez on s'casse bouffer !
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Envie de dessiner … Oui j’ai une énorme envie de dessiner, pas vous ? Honnêtement pourquoi dans un moment pareil j’ai une telle envie ? Oh puis mince un carnet de croquis, un critérium, il fallait absolument que je trouve ça. En plus cela tombait bien nous étions dans la rue principal de Sirup celle où se trouve tous les magasins en tout genre. Cependant il n’y avait pas celui que je recherchais, "The" magasin pour le dessin. D’un coté on n’est pas à Logue Town même si je ne savais pas exactement où ce situer cette île. Je savais qu’il fallait voyager longtemps vers le Nord pour l’atteindre, après vous dire dans quelle direction, pour combien de temps exactement et avec précision, je ne saurais le dire. Je ne suis pas navigateur après tout. En tout cas maintenant je savais où je voulais aller. Ma prochaine destination est Logue Town !

Je venais d’engager une conversation avec Adell mon nouveau compagnon de voyage et surtout ami. Je peux le dire après avoir parler avec lui. Jusqu’à présent l’homme n’était guère sérieux, mais j’ai quand même réussi au grès de ses réponses, et au timbre de sa voix à comprendre que cet homme était sérieux et que je pouvais le suivre dans son aventure. Je lui avais demandé de quel île, il était natif il me répondit qu’il était originaire de Fushia. J’étais également originaire de ce petit village. Tout en apposant ma main droite sur mon torse, pour ainsi ressentir à travers mon T-shirt à rayure ma croix. Une petite pensée me traversa l’esprit. « J’espère que Toby vas-bien et qu’il s’en sort. »

    « Humm… Fushia tu dis ? Je suis également natif de ce petit village »


Hasard ou Destin ? Peut-importe comme l’un est liée à l’autre. Cependant il fallait avouer que la chose était drôle. Ma deuxième question celle qui portait sur l’embarcation. Etait posée de telle sorte que je lui demandais seulement s’il avait un navire ou au moins quelque chose pour pouvoir navigué. Cependant au vue de sa réponse j’ai très vite compris qu’il n’en avait pas. Car pour lui nous allons devoirs voler un bateau. Pour être honnête avec vous, cela m’importait peu. Qui dit que voler c’est mal ? Vous ? Alors peut-être que pour vous c’est mal, mais pour moi c’est rien, ce n’est ni bien ni mal. Car qui décrète ce qui est bien ou mal sur Terre ? Ce n’est pas vous ni moi. Car sur quoi ce baser pour déterminer si une chose et bien ou mal ? Il n’y en a pas. Alors peut-être que le vole est mal pour vous, mais pour moi il m’importe peu.
Evidemment cela n’est pas une généralité. Voler les pauvres pour donnée aux riches, jamais je le ferais car j’ai des principes, mais voler au riches pour donner aux pauvres pourquoi pas le tolérer. Alors je vous pose la question. Peut-on faire le bien par le mal ? Sans que cela soit mal ?

Bref je m’égare un peu, excusez-moi. Et si je n’ais perdus personne alors continuons, pour les autres… tant pis

Donc le garçon aux cheveux rouge il voulait que l’on vole un bateau au port, donc direction le port.
Adell voulait que je l’accompagne dans son aventure. Qu’il comptait aller au bout du monde. Cela tombait merveilleusement bien. Je savais qu’il était sérieux. Il voulait devenir le roi des pirates alors je l’aiderais. Tendant alors la main devant lui pour qu’il me l’empoigne comme pour passer un pacte. Je lui dis de ma voix suave.

    « Si tu m’aides à devenir le Sage le plus respecté de la Terre. Alors je t’aiderais en retour à devenir Roi des pirates ! Que l’on me traite de fou, mais saches que je n’ai pas peur de la mort. Je pourrais t’expliquer si tu le veux mes théories là-dessus. Même si je pense que cela t’importe peu. »


Une fois la discutions fini, nous nous mîmes en directions du port. Cependant sans même le temps de faire ne serait-ce qu’un seul pas. Que le ventre de mon nouveau capitaine se fit entendre. Il fallait avouer que j’avais également faim et j’avais envie de Milk-shake. Mais dans un silence prolongé, venant à notre secours la famille que l’on avait sauvé des flammes.

    « Je vous remercie de votre invitations. »


Le repas fut chaleureux, beaucoup de rires, de chant, de Milk-shake. Beaucoup de théorie incomprise, et donc de moquerie. Comme quoi l’artiste et un perpétuel incompris. Oui j’ai essayé de faire passer mes idéos à cette famille. Cependant tout n’est pas à jeter, les plus simples de mes principes ont été compris. Comme la théorie des bulles, ou bien celle sur la mort ou encore à propos de la religion. Et il on dit qu’il aller essayer de s’en souvenir et de les appliquer. La machine est en marche « Kid le Sage » a partagé son savoir. Et le peu que j’avais fait m’avait déjà rendu tellement heureux.
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